Official Satellite Meeting
Eleni Papadopulos et al.
Dept. Med. Phys. Royal Perth Hospital, Australia
Cependant, vers 1980, deux groupes de recherche, un de l'Institut National sur le Cancer, et l'autre du Centre contre le Cancer de Sloan-Kettering ont prouvé que "les anticorps en question sont obtenus à cause de l'exposition à de nombreuses substances naturelles possédant des antigènes ayant de larges réactions croisées et ne sont pas le résultat d'une infection répandue de l'homme avec des oncovirus capables de se répliquer."
En 1981 Gallo a reconnu que les anticorps n'étaient pas des anticorps du HL23V.
Cette découverte a eu une signification si profonde par rapport à l'existence du HL23V, qu'aujourd'hui personne, même pas Gallo, ne réclame plus que le HL23V ai jamais existé.
Ainsi, avant l'ère du SIDA, une large évidence existait indiquant qu'il est impossible de prouver l'existence de ou l'infection avec un retrovirus par un test d'anticorps. La question est alors : comment est-il possible qu'on ait dit à des millions de personnes à travers le monde qu'elles étaient atteintes du VIH sur la base d'un test d'anticorps ?
