Official Satellite Meeting
Presentation by
Eleni Papadopulos et al.

Dept. Med. Phys. Royal Perth Hospital, Australia
Dia 25

Pour revendiquer qu'un bout d'ARN est le génome d'un retrovirus, il est nécessaire, mais non suffisant de prouver :

1. L'existence d'une entité moléculaire unique

2. que l'entité moléculaire provient d'une particule retrovirale

Au lieu de ça, Montagnier et de ses collègues ont ajouté au matériel trouvé à 1.16g/ml, dans lequel il n'y avait pas de particules retroviral-likes, une courte amorce synthétique d'ADN et les substrats requis pour la synthèse de l'ADN.

Ils ont revendiqué la détection d'un ADN qui était le résultat de la transcription inverse d'un ARN riche en adénine et ont conclu que l'ARN était l'ARN du VIH et l'ADN, le provirus VIH.

Il y a beaucoup de problèmes avec cette interprétation, dont ceux-ci :

   


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