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Viduité

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Messages posté(e)s par Viduité

  1. il y avait des cinemas pornos à chaque coin de rue et le fameux film erotique emmanuelle des milliers d entrées.........

    Terry nous parle d'un temps que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître ... nous avions une éphémère illusion de liberté ... mais tout est rentré dans l'ordre ... hélas ...

    Observons que la "fenêtre" fut étroite ... de 69 à 81 environ ... il fallait que ça cesse pour garantir "l'ordre public" ... le sexe et l'ordre public n'ont jamais fait bon ménage ... Certains n'hésitent pas à qualifier cette période de "dérives dangereuses" ... et je ne pense pas qu'il soit nécessaire de distinguer les sodomites des autres cher Terry. Tout le monde est à mettre dans le même sac et disons que la sodomie est considérée simplement comme étant une circonstance aggravante ...

    La vraie question est : " Mais pourquoi bordel est-ce ainsi ? "

    Il y a l'imprégnation religieuse bien sûr ... mais pourquoi est-ce que cela perdure même dans des sociétés plus ou moins laïcisées ?

    Tout s'est toujours passé comme si "baiser" était contre nature (y compris par les voies dites "normales") .

    Ne serions-nous pas que des sociétés de primates refoulés où serait traduit un comportement atavique (de primate) d'accès contrôlé du male dominant à la femelle ?

    En fait et comme dans bien d'autres domaines, il y a un espace considérable entre ce qu'imposent et font les "dominants" et ce que pensent et ce que sont autorisés à faire les "dominés" ...

    Faut-il chercher ailleurs les malaises et les crises sociales ?

  2. J'avais raconté un jour comment, au Burkina Faso, on trouvait "remarquable" (les ONG, les autres bailleurs, ...) le fait d'envoyer l'armée locale dans les villages pour maintenir de force les villageois et leur faire des vaccinations dont ils ne voulaient pas ... Ils n'ont pas droit au libre-arbitre.

    " C'est pour leur bien " m'avait-on rétorqué ... sous-entendant qu'ils étaient trop cons pour se faire une opinion par eux-mêmes ... mais cela, bien sûr, n'a rien à voir avec le racisme ...

    Notre amie est donc "trop conne" pour vivre sa vie comme elle l'entend ... d'ailleurs et de plus en plus, nous sommes tous trop cons pour savoir ce qui est bien ou mal pour nous car attention, chacun d'entre nous, un jour ou l'autre, peut toucher du doigt concrétement ces comportements liberticides qui emplissent maintenant cette belle société en progrès constants. icon_confus.gif

    Notre amie doit se soumettre ou se démettre ... elle doit adhérer et remercier tout le monde.

    dès que les parents refusent un traitement pour leur enfant, le medecin en réfère au procureur et à la DASS et les parents se retrouvent avec une menace de retrait de garde.

    eh oui ... ils savent même frapper juste et efficace ...

  3. Shasha,

    Je viens de lire ton témoignage ... édifiant mais peu surprenant ...

    Tes interlocuteurs avisés t'opposent notamment l'article 221-6 du code pénal français :

    "Le fait de causer, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou les règlements, la mort d'autrui constitue un homicide involontaire puni de trois ans d'emprisonnement et de 300 000 F d'amende. En cas de manquement délibéré à une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou les règlements, les peines encourues sont portées à cinq ans d'emprisonnement et à 500 000 F d'amende."

    Tu peux donc toujours leur demander de lire l'article 221-5 qui précède :

    " Le fait d'attenter à la vie d'autrui par l'emploi ou l'administration de substances de nature à entraîner la

    mort constitue un empoisonnement.

    L'empoisonnement est puni de trente ans de réclusion criminelle.

    Il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'il est commis dans l'une des circonstances

    prévues aux articles 221-2, 221-3 et 221-4.

    Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à

    l'infraction prévue par le présent article."

    Afin de les "rassurer", tu peux même en rajouter une couche par le truchement des peines complémentaires :

    "Article 221-8.

    Les personnes physiques coupables des infractions prévues au présent chapitre encourent également les peines complémentaires suivantes: 1° L'interdiction, suivant les modalités prévues par l'article 131-27, d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise; 2° L'interdiction de détenir ou de porter, pour une durée de cinq ans au plus, une arme soumise à autorisation; 3° La suspension, pour une durée de cinq ans au plus, du permis de conduire, cette suspension pouvant être limitée à la conduite en dehors de l'activité professionnelle; 4° L'annulation du permis de conduire avec interdiction de solliciter la délivrance d'un nouveau permis pendant cinq ans au plus; 5° La confiscation d'une ou de plusieurs armes dont le condamné est propriétaire ou dont il a la libre disposition; 6° Le retrait du permis de chasser avec interdiction de solliciter la délivrance d'un nouveau permis pendant cinq ans au plus."

    Vis ma belle ! ... et fais vivre ta fille ! ...

  4. pj'aimerai qu'on m'explique un truc... Comment vous expliquer les personne seropositive qui ont découvert leur maladie tardivement et qu'ils avaient deja un pied dans la tombe, et qui mènent une vie a peu près normale depuis 15 ans grace a une tritérapie ?

    Et voilà ! ... le discours qu'il est convenu de porter à la connaissance du grand public ...

    " Ils ont découvert leur maladie tardivement " ...

    En fait, ils n'ont rien découvert du tout : ils ont été "dépistés" à une occasion ou à une autre ...

    La sémantique des officiels est évolutive ... jadis, on parlait de "porteurs sains" (donc pas malade) ... puis, il y eut un subtile glissement pour requalifier de "malade" tous les dépistés positifs ... tout est dans le verbe ...

    Ce n'est pas passé comme cela ex abrupto mais c'est un lent travail de communication qui porte ses fruits.

    Ensuite, et à ma connaissance, il n'y a pas de gens qui "vivent à peu près normalement depuis 15 ans avec les tri " ... et ce, pour deux raisons :

    1. la tri existe depuis 9 ans ...

    2. il faut ne jamais avoir pris ces merdes pour croire qu'on peut vivre avec "à peu près normalement" ...

    Ne serait-il pas mieux de porter à la connaissance du grand public, le sentiment de la cohorte qui ne prend rien et qui vit, cette fois, tout-à-fait normalement ... mais ça ce n'est pas possible : ça froisse le dogme et les intérêts des uns et des autres !

  5. Ce Delarue est incorrigible d'autant qu'il aurait pu, en économie de moyens, inviter une beurette qui se prostitue (il y en a beaucoup) et qui se fait cogner par son julot en rentrant après une maigre journée de labeur et de sueur !

    Il y aurait eu donc deux places disponibles dont une pour toi ...

    Au fait, comment fais-tu pour prendre 950 euros de contravention ? ... sur la route ? ... tu vas top vite ? ... tu brûles les stops ?

  6. En effet, c'est ce médicament là ... être handicapé à vie pour avoir pris un coupe-faim ... c'est con ... d'autant qu'il ne s'agirait pas d'un cas isolé ...

    Ce qui démontre, à l'évidence, que les médias n'accordent que peu de résonnance à ce genre d'événements ... alors qu'ils sont si prompts à s'épancher sur d'autres ...

    L'information est triée puis diffusée : c'est pour la raison, sans doute, pour laquelle elle n'est que rarement vérifiée ... faute de temps ...

    Quand on additionne les erreurs médicales poursuivies (faibles en nombre), les erreurs médicales passées aux oubliettes (sans doute infiniment plus importantes en nombre), les maladies nosocomiales et les effets dévastateurs de certains médocs, il y a lieu d'être perplexe sur le rapport qualité/prix de ce magnifique système de santé qui est le nôtre ...

    ... La consultation portée à 21 euros (en lieu des 23 exigées) me paraît suffisante ... jusqu'à une meilleure lisibilité du dispositif ...

  7. Le Professeur L.M., directeur de recherche dans le labo X tient à préciser ce qui suit ...

    " L'homme de la rue (mais la femme aussi alors qu'elle devrait rester à la maison) ne distingue pas la subtile nuance entre la recherche fondamentale et la recherche appliquée : nous le déplorons dans nos laboratoires.

    La recherche fondamentale n'a pas pour objectif de le soigner mais poursuit celui d'accorder à ces acteurs une légitime reconnaissance par le biais, comme déjà dit, d'autocongratulations confidentielles formulées dans des standing ovation chaleureuses et convenues au sein de colloques aussi onéreux que nombreux.

    Tout cela a un coût et il est légitime que cet homme de la rue contribue, par ses impôts, au parfait déroulement de ces manifestations exotiques.

    Ainsi et pas plus tard qu'hier, l'OMS vient de me charger d'une délicate mission : celle d'aller au Nigéria observer le devenir des galinacés aux sympômes manifestement grippaux.

    Compte tenu du fait que le Nigéria est devenu l'un des premiers producteurs de pétrole d'Afrique, il est évident que ce déplacement participe à ma quête inlassable de recherche de financements fondamentaux.

    Nous allons donc nous retrouver, mes confrères et moi, dans des suites luxueuses du meilleur hôtel de Lagos dont je tiens à saluer l'aimable directrice qui sait, à tout heure, combler le moindre de nos désirs.

    Afin de faire patienter l'homme de la rue qui ne perçoit pas tout l'intérêt de notre action, nous allons distraire un petit pourcentage des subventions acquises pour le sensibiliser à l'importance de la prévention car, après ces efforts d'un quart de siècle, une chose reste certaine : " Sortez couverts ! "

    Il convient de préciser que "quand l'amour passe" dans les suites luxueuses des hôtels africains, il n'est pas rare (sauf lorsque j'ai vidé le mini-bar) que j'applique moi-même cette sage consigne."

    Merci Professeur !

  8. Le dsyfonctionnement de la recherche !

    Lisons l'interview qu'a bien voulu nous accorder le Professeur L.M., directeur de recherche dans le labo X ...

    Notre rédaction : " Cher Professeur, vous êtes en pointe dans la recherche sur les effets dévastateurs du VIH, pouvez-vous nous exposer quels sont les efforts déployés par votre laboratoire et le sens de vos recherches ? "

    Le Professeur : " Voyez-vous ce qui manque cruellement à nos laboratoires, ce sont les financements et sans financement point de recherche sérieuse "

    Notre rédaction : " Donc, cher Professeur, le premier axe de votre recherche est la recherche de financements ... "

    Le Professeur : " Effectivement ... mais pas seulement puisqu'une autre exigence s'impose à nous : le statut des chercheurs. Nous voulons obtenir des CDI et, mieux encore, la titularisation de tous nos chercheurs ".

    Notre rédaction : " Pouvez-vous, à l'attention de nos lecteurs, faire un point sur les avancées actuelles ? "

    Le Professeur : " En fait et même si la route reste longue, des avancées significatives sont enregistrées tant au niveau des financements qu'à celui de la stabilisation de mes jeunes collègues ".

    Notre rédaction : " Comment se concrétisent ces avancées ? "

    Le Professeur : " En vérité, les fonds recueillis souvent au détour de relations personnelles nouées dans des colloques internationaux (d'où leur importance) avec des décideurs des grandes organisation multilatérales (type ONUSIDA, OMS, ...) nous permettent d'envisager favorablement la participation à d'autres colloques créant ainsi une saine dynamique dans la recherche des financements ".

    Notre rédaction : " Oui bien sûr mais s'agissant des patients eux-mêmes ? "

    Le Professeur (non sans humour) : " Un patient doit être patient, n'est-ce pas ? "

    Notre rédaction : " Cher Professeur, nous vous remercions d'avoir éclairé nos lecteurs et nous formulons tous nos vieux de réussite dans la recherche des financements pour laquelle vous vous dépensez sans compter "

  9. La corruption frappe tous les maillons de la chaîne de prestation de soins de santé, dans le tiers-monde, mais aussi en Occident, dénonce Transparency International (TI).

    Le rapport annuel de Transparency International a été rendu public hier et il est consacré cette année à la corruption dans le secteur de la santé.

    Selon Transparency, les fraudes et les détournements équivalent, chaque année, à plusieurs milliards de dollars de pertes et ils compromettent bien souvent l'accès aux soins médicaux.

    Des milliards de francs sont détournés à des fins privées. Dans son Rapport mondial sur la corruption 2006, publié hier, Transparency International (TI) disséque le secteur de la santé et ses 3000 milliards de dollars (3840 milliards de francs) de budget total au niveau mondial.

    L'organisation considère la branche comme "un labyrinthe de systèmes complexes et opaques". La majorité des employés sont intègres, note TI, mais la corruption sévit aussi à large échelle.

    Cela va du vol et de l'extorsion à petite échelle à des distorsions massives de politiques sanitaires, en passant par des détournements sous forme de gratifications aux fonctionnaires. Elle donne des exemples concernant les Philippines (fraude et extorsions), le Costa Rica (disparition de 8 millions de dollars d'un crédit international), mais aussi la Grande-Bretagne ou la Bulgarie.

    Le rapport note également qu'aux Etats-Unis, les programmes de santé public Médicale (destiné aux personnes âgées) et Médicale (pour les plus pauvres) ont quant à eux estimé que 5 à 10% des budgets disparaissaient en "soins excessifs".

    Au Cambodge, poursuit le rapport, 5% du budget de la santé est détourné avant même de quitter l'administration centrale.

    Liens Pertinents

    Afrique de l'Ouest

    Sénégal

    Organisations Internationales et l'Afrique

    Corruption et Criminalité

    Ces méthodes érodent la confiance des citoyens et portent préjudice en premier lieu aux plus pauvres, incapables de payer les pots-de-vin nécessaires pour accéder aux soins, note en outre TI. Ces personnes sont en outre souvent la cible de charlatans qui leur vendent des contrefaçons, qui peuvent aller jusqu'à les tuer.

    Les recettes proposées par l'Ong pour améliorer la situation sont multiples: accroître la transparence en matière de marchés publics, augmenter les contrôles, punir sévèrement tous les comportements répréhensibles et diminuer les conflits d'intérêt dans la certification des médicaments.

  10. Mais non, mais non mon cher Sic !

    Il n'y a pas que Luther Martin qui a le droit de rêver !

    Nous avons tous droit au sens de la formule !

    " Ich bin ein berliner " ... (ein ou eine ? ... Cheminot, tu me corriges)

    " Vive la pensée libre ! " (avec un petit accent québecois)

    " Ce n'est pas un quarteron de blouses blanches en pré-retraites ..." (dit avec des accents gauliens)

    " Que de cons humides, que de cons humides ! " (pour citer un ex-président juché sur une barque lors d'inondations ...)

  11. ... et si le SIDA existait vraiment ?

    Cest une bonne question bien sûr qui ne nécessite pas des jets de pierres ou un quelconque bannissement (comme, dans lhypothèse inverse, on a coutume de le faire sur dautres sites).

    Pourquoi donc les discussions devraient être « fermées » ? ... Quelles craintes entretiennent-ils donc ? ...

    Ces craintes sont facilement compréhensibles lorsquelles parviennent des laboratoires ou des acteurs et jouisseurs de la pensée unique ... mais des autres ?

    Le débat actuel sur les caricatures de la foi musulmane (comme si le sujet devait revêtir les habits dun débat de société !) démontre à lévidence les dérives dune société qui flirte avec le formatage des esprits via un « besoin » de censure affichée ou non.

    Les mêmes qui se drapent dans la vertu à cette occasion, ricanent lorsque les caricaturistes sen prennent au judéo-chrétien. Deux poids, deux mesures ...

    Entrons-nous, outre dans une ère de réchauffement climatique, dans une période « obscurantiste » ... dans lhypothèse où nous en serions un jour sortis ?

    Personnellement, et au vu de ces "rapports de force", je serai en mesure dapporter une réponse pertinente lorsque les « prédictions diaboliques » qui mont été faites par « lestablisment » se réaliseront ...

    Pour lheure, ce nest pas le cas. "Pire" encore, et dans cette « attente », les prédicateurs nont même pas le pouvoir de me perturber le mental ... même sils sont parvenus à me bousculer, mentalement justement et physiquement aussi (tri) quelques mois il y a très longtemps.

    Où est le problème ? ... est-ce quils considèrent que ce « très longtemps » et en fait à requalifier de « trop longtemps » ? ... pour moi et pour bien dautres ... Ils « sanctionnent » déjà lexpression de ces quelques autres dans leurs médias à configuration monopolistique ... Ont-ils lambition daller plus loin encore ? ... Un tatouage ? ... une étoile ? ... des lieux de détention ? ... des médicaments puissants pour régler la question (ça, cest déjà fait ...).

    Tout pouvoir a besoin de légitimité ... Cette légitimité s'acquiert par l'adhésion obtenue softement et lorsque cela ne suffit pas par une mise au pas hard. Il en va ainsi, en tout lieu et de tout temps, des techniques de ceux qui nourrissent l'ambition du pouvoir, de l'argent et de la reconnaissance.

  12. Et si le S.I.D.A avait été créé par des martiens aux longues antennes qui, a force d'enlever de jeunes terriens pour les sodomiser dans des salles toutes blanches, ont diffusé le virus sur la terre?

    Pourquoi les martiens auraient-ils de longues antennes ? 4-piout.gif

  13. Dans le bon sens ?

    Pour la première fois en France, la Cour de cassation vient, cette semaine, de donner satisfaction à une requérante face aux laboratoires SERVIER dans une affaire où les effets secondaires dévastateurs d'un médoc lui ont flingué la vie.

    Il s'agit d'une grande jurisprudence en rupture avec les précédentes.

    Le lobby des labos vient de perdre une bataille malgré les moyens disproportionnés qui etayent leurs actions.

    Ce genre de procédure est courant ailleurs, notamment aux Etats Unis.

    Il reste d'autres batailles à gagner : notamment celle qui permettrait d'introduire en droit français, la possibilité pour un groupe d'individus ayant intérêt pour agir d'ester de manière collective ... comme souvent ailleurs.

    Nul doute que les labos ne vont pas l'entendre de cette oreille ... et mettront tout leur poids et tout leur fric pour contrer ce genre d'initiative ...

  14. Bonne et vieille question Wally, c'est sans doute parce que les tri thérapies "protègent" d'une certaine façon ... message facilement porteur dans le grand public puisque le message associé ne fait même pas imaginer au grand public qu'il peut y avoir des séropos (occidentaux) qui ne se "soignent" pas ... quelques fous peut-être ...

    Bien sûr et consécutivement, ce beau raisonnement ne s'applique pas aux séropos "free de traitement et qui ne sont jamais malades" (il ne peut y en avoir dans le culte) ... et si il y en a ... il faut les faire taire ! ... ces gens là sont empoisonnants à ne pas se laisser ainsi empoisonner.

    Remarque que dans le cas des gens sous traitement, il est difficile de distinguer la gastro-entérite classique des effets laxatifs avérés des médocs ... et comme on est naze sans arrêt, il devient difficile de distinguer la mauvaise grippe de la nazitude ...

    Pour ceux-là (les free de traitement), on doit se référer à une période de latence plus longue que la moyenne pour des raisons mystérieuses et admettre le principe que tout doit s'effondrer d'un coup sans crier gare. Encore un effet de seuil ... mais nul doute que ça arrivera selon la doctrine ... et si ça dure quand même trop, on inventera une particularité génétique pour expliquer l'injustifiable. Il faut blinder le dogme.

    En vérité, tout se passe comme si la progressivité n'existait pas : on est tout malade d'un coup ou pas malade du tout. Le système immunitaire ne répond pas à une logique bénoîte : quand il déconne un peu, il continue à faire face pleinement ... ce n'est pas comme un 6 cylindres qui marche sur 4 ...

    ... et quand il déconne plein pot, c'est la bérézina ...

    Tout ce bel édifice repose sur l'unité de mesure dudit système ... essentiellement le CD4 circulant.

    Mais est-on dans le vrai déjà exactement à ce niveau là ? Je crois avoir lu déjà des choses moins carrées que cela, non ?

  15. De deux choses l'une ou sur 10000 personnes qui vont aux urgences prendre un traitement il y en a 1 au lieu de 5 qui devient seropo, je vois pas comment ils ont eu un nombre de pesonnes suffisant pour faire une telle statistique et ça fait un nombre phénoménal qui prennent des antiviraux pour rien avec tous les effects secondaires et problèmes, ou ils ont un mode de calcul qui se base sur des modèles théoriques du genre calcul des seropositifs en Afrique (à mon avis c'est plutot ça) et donc cela repose sur beaucoup de vent.

    Rosalie a raison : on nage en plein délire ! ...

    La question du traitement "du lendemain" est un des aspects les plus comiques, ou enfin les plus navrants, de la question ... et pourtant ça passe ...

  16. les noirs africains ont une séxualité identique, ou même moins importante que celle des blancs européens ou américains,

    Héhé ... c'est l'homme de terrain qui te cause Cheminot ... mais je ne pense pas que ces constats livresques se vérifient sur le terrain ... et crois-moi j'ai tourné sur ce continent ... dans sa partie anglophone et francophone ... A ce niveau, ma préférence va à Madagascar, au Nigéria, à la Côte d'Ivoire et à l'Ethiopie ... encore qu'au Maroc, ce soit très bien aussi ...

    1. les africains sont souvent polygames : 4 femmes + quelques maîtresses ... donc ... le lit est fait ...

    2. les femmes africaines (afrique noire) sont très souvent excisées ... et connaissent souvent des problèmes sous la ceinture ... ce qui n'est pas propice à encourager les barrières ... même si à peu près partout en afrique, l'amour est à portée de main à la ville comme à la campagne. On ne fait pas tout un fromage pour se faire du bien ... tout cela est fort sain ... faute d'être très Saint aux yeux de certains.

    3. l'homme blanc avisé préfère, lorsqu'il est avisé justement, vérifier l'appartenance religieuse de ses partenaires avant de passer sa soirée ... un prénom "occidental" est déjà un très bon indice car il y a alors de fortes chances que la compagne soit une "chrétienne" ... et, plus pragamatiquement et plus romantiquement, qu'elle ne soit pas excisée. Ce qui est quand même plus encourageant pour la qualité des ébats de la soirée ... il faut bien en convenir.

    ... L'imposition du préservatif à la dulcinée du moment la décourage souvent : " non, non, ... pas de capote chérie ... l'amour doit passer en l'état brut ... ". Chassez le naturel, il revient au galop de la gazelle ...

    Finalement, les orthodoxes ont raison : il faudra encore un paquet de milliards avant de parvenir au formatage à la capote de nos amis d'afrique ... et autre chose que des statistiques de l'OMS pour les convaincre de rester un peu tranquille ...

    Pour bien faire, il faudrait qu'ils puissent constater cela sur le terrain ... le fait qu'ils ne puissent pas le faire justement jette un doute sur la véracité et la réalité desdites statistiques ... non ? ... enfin me semble-t-il ...

  17. ... en fait, les sociétés, développées ou non, refusent le suicide non pas par compassion individuelle mais comme indicateur de leurs échecs collectifs.

    Souvent, on entend : " mais chez nous, le suicide n'est pas pénalisé " ...

    Même s'il est vrai que ce n'est pas partout le cas, cette réflexion défit le bon sens ... et démontre à l'évidence que le système flirte toujours avec l'idée que l'individu ne s'appartiendrait pas y compris dans son intégrité la plus absolue.

    Il en va de même pour l'euthanasie comprise comme un suicide assisté.

    Lorsqu'une société se prend les pieds dans le tapis pour ne pas résoudre des questions secondaires, il n'y a aucune raison pour qu'elle soit plus efficace sur l'essentiel.

    L'approche du suicide faite par les romantiques est sans doute la meilleure ... la quintessence du choix absolu.

    ... et si l'administration des tri n'était en fait qu'un suicide assisté et non consenti ? ... une mort lente par la dégradation progressive du mental et du physique ?

  18. Cet argument est à la base un argument alakon qui n'a aucune valeur. Je m'explique : c'est cet argument qui fait qu'on poursuit Hamer parce que une personne est morte en suivant son approche du cancer

    Exactement !

    Hier, je lisais un article relatif à la commission parlementaire chargée de décortiquer les procèdures des trois magistrats instructeurs de l'affaire d'Outreau.

    Quand on est "investi" d'une légitimité par le système, on peut s'autoriser quelques bévues même en procédures collégiales ...

    Celle-ci me paraît assez croustillante et très révélatrice :

    L'un des prévenus a été renvoyé (et condamné) en cour d'assises pour avoir pratiqué à une date donnée des attouchements sexuels sur son enfant ... né pourtant plusieurs mois "après les faits" ...

    Quelle rigueur dans l'instruction à charge et à décharge !

    ... Voilà qui est de nature à rassurer le commun des justiciables ...

    ... mais toutes les conneries faites par le système ne jouissent pas de la même publicité : il faut que ce système en fasse des "énormes" pour en arriver là ... et encore ...

    Dormez tranquille braves gens ...

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