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Viduité

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Messages posté(e)s par Viduité

  1. Ne sois pas pessimiste ... et lis bien cette disposition :

    La décision d'élimination est prise par le directeur de l'établissement après avis du médecin responsable de l'information médicale.

    Tu peux toujours demander, dans l'hypothèse d'une élimination du dossier, la décision susvisée ... et apprécier, en légalité externe (respect des procédures) si, par exemple, cette décision a été prise après l'avis du médecin responsable ... avec preuve matérielle en appui ...

    En l'absence de réponse en ce sens ou en l'absence de réponse tout court (décision implicite de rejet), on peut tenter le coup de l'ouverture du délai de recours contentieux sur le fondement de ce nouvel événement juridique ...

    ... Bien équipé, il est toujours possible de bien les emmerder ...

    Tout ceci bien sûr ne préjuge pas de l'absence d'une bonne publicité à donner aux incuries de l'établissement concerné ... ça ne mange pas de pain et ça leur fait toujours plaisir ...

  2. Kyubi,

    Il n'y a pas d'explication à demander ou à fournir. Le code de la santé publique répond à ta question s'agissant du délai de conservation des dossiers médicaux en son article R1112-7 (partie réglementaire donc) :

    A l'issue du délai de conservation mentionné à l'alinéa précédent et après, le cas échéant, restitution à l'établissement de santé des données ayant fait l'objet d'un hébergement en application de l'article L. 1111-8, le dossier médical peut être éliminé. La décision d'élimination est prise par le directeur de l'établissement après avis du médecin responsable de l'information médicale. Dans les établissements publics de santé et les établissements de santé privés participant à l'exécution du service public hospitalier, cette élimination est en outre subordonnée au visa de l'administration des archives, qui détermine ceux de ces dossiers dont elle entend assurer la conservation indéfinie pour des raisons d'intérêt scientifique, statistique ou historique.
  3. Enfin, nos chères thérapeutes, corporativement, se défendent bec et ongle pour continuer à "jouir" d'une relative impunité ... et s'insurgent contre toute remise en cause de leur espace de liberté en ce domaine (voire de la hausse de leurs cotisations d' assurances).

    Ils exerceraient, selon certains, un "art" plutôt qu'une science ... Ils feraient le "maximum" en l'état de la science (ou de l'art ?) à un moment M ... C'est parfait ... mais en droit, ce n'est pas à eux d'apprécier si cette artistique pratique et l'atteinte de son sommet est bien ce qu'ils en disent ... ou ce qu'ils en pensent d'un ton badin et insolent.

    Lorsque la santé d'un patient décline et, a fortiori lorsqu'elle s'effondre de façon irréversible, ils doivent "souffrir" de la levée de quelques doutes quant à la façon qu'ils ont eu de jouer leur artistique partition ... La France étant un pays corporatiste, la tâche en contentieux est ardue mais d'autres artistes peuvent pratiquer dans un autre régistre : la critique par voie contentieuse au civil (pour le passage par la caisse) et au pénal (pour la découverte du milieu carcéral le cas échéant).

    Il faut inverser les termes du vieil adage " la critique est aisée et l'art est difficile" ... La critique devenant plus aisée, l'art et ses piètres résultats en deviendraient alors beaucoup plus difficile ... initiant ainsi de roboratives remises en cause et une prudence de bon aloi ... chez nos artistes qui pipotent depuis plus de 20 ans sur les ondes, dans leurs alcôves, dans leurs colloques exotiques, dans leurs séminaires ruineux et dans leurs "laboratoires" de chercheurs à subvention.

  4. Tout cela pour dire qu'il est parfaitement possible de compléter ou de reconstituer son dossier médical lorsqu'on a été "négligeant", y compris par un tiers autorisé et post-mortem.

    Pour reprendre une expression à la mode, il est donc parfaitement possible d'assurer "la traçabilité" de l'action des "thérapeutes" (comme lorsqu'il s'agit des poluets ou des bovins) ... dans le cas où ils se montreraient de mauvaise volonté ou négligeants eux-mêmes, il est conseillé d'initier une première action contentieuse.

    S'il s'agit d'une structure de soin publique, le refus de communication totale ou partielle doit se solder par un recours "en excès de pouvoir" (procédure gratuite sans ministère d'avocat) devant un tribunal administratif.

    Le non respect de la loi par le tiers public peut également permettre d'introduire une action en "plein contentieux" (demande de réparation financière). Dans ce cas, il y a ministère d'avocat (ça engage des frais donc).

    Tout ceci sans préjudice des actions civiles et/ou pénales devant la juridiction de droit commun.

    Tout ceci aussi ne doit pas vous empêcher de conserver avec soin toutes les pièces de votre dossier et de susciter "les explications" par écrits, datés et enregistrés ...

  5. ce topic fait suite à un message de Viduité ici et à une demande de "complément d'information" :

    Hum ... quand tout le monde n'est pas beau (ce qui est effectivement le cas), il convient, très concrétement, de tenter une action civile en réparation.

    Ca ne fera pas revenir les parents de notre amie hélas et sans doute qu'il est déjà trop tard pour initier cela (encore que ...).

    Maintes fois, j'ai dit ici que tous les concernés et leurs proches doivent, à titre conservatoire, conserver toutes les paperasses produites au cours de "l'aventure" ... et même pour les "recommandations" les plus importantes se les faire notifier par écrits, datés et signés de l'auteur.

    Un jour viendra (j'en suis presque sûr) que le boomerang leur reviendra ... sous les traits de condamnations civiles (réparation financière) qui vont calmer leur ardeur à faire n'importe quoi avec suffisance et aplomb.

    La solution viendra d'un pays anglo-saxon car le droit y est plus rigoureux sur ce plan ... et ça fera mal ...

    Pour répondre à Diamant bleu et dans la cadre du droit positif français :

    1. du dossier médical dans le cadre de la pathologie qui nous occupe, lisons d'abord le dernier alinéa de l'article L1110-5 du code de la santé publique dans sa partie législative mise à jour en avril 2005 :

    Toute personne a accès à l'ensemble des informations concernant sa santé détenues par des professionnels et établissements de santé, qui sont formalisées et ont contribué à l'élaboration et au suivi du diagnostic et du traitement ou d'une action de prévention, ou ont fait l'objet d'échanges écrits entre professionnels de santé, notamment des résultats d'examen, comptes rendus de consultation, d'intervention, d'exploration ou d'hospitalisation, des protocoles et prescriptions thérapeutiques mis en oeuvre, feuilles de surveillance, correspondances entre professionnels de santé, à l'exception des informations mentionnant qu'elles ont été recueillies auprès de tiers n'intervenant pas dans la prise en charge thérapeutique ou concernant un tel tiers.

      Elle peut accéder à ces informations directement ou par l'intermédiaire d'un médecin qu'elle désigne et en obtenir communication, dans des conditions définies par voie réglementaire au plus tard dans les huits jours suivant sa demande et au plus tôt après qu'un délai de réflexion de quarante-huit heures aura été observé. Ce délai est porté à deux mois lorsque les informations médicales datent de plus de cinq ans ou lorsque la commission départementale des hospitalisations psychiatriques est saisie en application du quatrième alinéa.

      La présence d'une tierce personne lors de la consultation de certaines informations peut être recommandée par le médecin les ayant établies ou en étant dépositaire, pour des motifs tenant aux risques que leur connaissance sans accompagnement ferait courir à la personne concernée. Le refus de cette dernière ne fait pas obstacle à la communication de ces informations.

      A titre exceptionnel, la consultation des informations recueillies, dans le cadre d'une hospitalisation sur demande d'un tiers ou d'une hospitalisation d'office, peut être subordonnée à la présence d'un médecin désigné par le demandeur en cas de risques d'une gravité particulière. En cas de refus du demandeur, la commission départementale des hospitalisations psychiatriques est saisie. Son avis s'impose au détenteur des informations comme au demandeur.

      Sous réserve de l'opposition prévue à l'article L. 1111-5, dans le cas d'une personne mineure, le droit d'accès est exercé par le ou les titulaires de l'autorité parentale. A la demande du mineur, cet accès a lieu par l'intermédiaire d'un médecin.

      En cas de décès du malade, l'accès des ayants droit à son dossier médical s'effectue dans les conditions prévues par le dernier alinéa de l'article L. 1110-4.

      La consultation sur place des informations est gratuite. Lorsque le demandeur souhaite la délivrance de copies, quel qu'en soit le support, les frais laissés à sa charge ne peuvent excéder le coût de la reproduction et, le cas échéant, de l'envoi des documents.

  6. Ce sont les querelles de chapelle . tux.gif.. d'ailleurs, j'ai vu le travail "admirable" des gestionnaires des "associations d'aide aux séropos" qui déploient des trésors d'énergie pour remplir les formulaires qui leur permettent d'aller à la pêche aux subventions sur la manne Sidaction afin de maintenir les trop rares emplois que génére cette activité altruiste. Bientôt, ils seront contraints de proposer des C.P.E. à leur personnel dont le fondement vient d'être promulgué mais dont le plus grand d'entre nous vient de nous expliquer, très logiquement, de ne pas les appliquer.

    En fait, il conviendrait que Jacquot, le visionnaire politique et celui à qui tout réussi 4-ptdrasrpt.gif , parle un peu au bon peuple de la question du VIH ... Tout deviendrait alors lumineux ...

    Ainsi, il pourrait légitimer les tri thérapies en recommandant, dans le même temps, de ne pas les avaler ... soif.gif

  7. Notre Cheminot connaît la musique et, avec élégance, change les partitions avec maestria ... de portées pour dupe mineur, il propose les clefs en ox (pour oxydatif) majeur ... sans stress et sans vergogne ...

    Peu importe le Sidaction pourvu qu'on ait l'ivresse !

    Croquer ou vivre, il faut choisir ! ... sans tenter de survivre vainement ...

  8. Il a été précisé que c'était un "cas unique" (une sorte de miracle) ... de plus, l'intéressé, artiste photographe et homosexuel sans doute, ne semble pas compter son temps pour "l'organisation" ... un homme sûr et représentatif de l'entreprise donc ...

    Ce n'est pas lui qui refuse les thérapies mais son foie ... il a un foie "dissident" ...

    Par ailleurs, il a expliqué (en est-il convaincu vraiment ?) que c'est le virus qui attaque ses muscles et ses graisses et non les médocs qu'il a croqués de longues années ... avant de rendre grace ...

    Je n'ai pas son "expérience" et son "antériorité" mais moi, le virus ne m'empêche pas de courir comme un lapin et jusqu'à plus amplement informé et sauf erreur d'interprétation de mon miroir, je ne vois aucun transport de graisse sur mon corps d'éphèbe ...

    Le virus a bon dos ...

    En vérité je vous le dis, rendons graisse à nos sauveurs et à tous leurs saints ... mais évitons de nous rendre dans leurs temples et dans leurs confessionnaux ... car heureux sont les abstinents (de médocs) car le royaume des noeuds ne leur appartient plus. icon_ange.gif

    Amen.

  9. Y ayant bossé, je suis moins "pessimiste" que toi s'agissant des US beau Papillon ...

    Les pourris ne manquent nulle part ... pas plus aux US qu'ailleurs ... mais ils ont des institutions et surtout des avocats bien plus performants qu'ailleurs (je ne connais pas le fonctionnement canadien).

    Alors, oui tous les espoirs sont permis. Il y a d'ailleurs des actions en marche qui, bien sûr, ne font pas les titres du journal.

    Hier, comme d'autres, j'ai écouté des témoignages sur le cable ... A un moment et sur celui rapporté par notre ami AIXUR, je me suis demandé si l'hépatite C n'avait pas bon dos s'agissant du flinguage du foie des intéressés ... Il ne s'agit pas d'une maladie opportuniste en l'espèce mais d'une maladie "opportune" pour expliquer "autrement" les ravages des médocs ...

    En ce qui me concerne, mais je l'ai dit déjà, il n'a fallu que trois petits mois de tri pour que je me retrouve dans un état comateux ou presque du fait de la prise de Viracept ... et pourtant, je suis négatif aux hépatites ... C'était il y a très longtemps mais je m'en souviens comme si c'était hier tant ce fut douloureux et insupportable. Trois mois d'errement en quelque sorte ...

  10. Hum ... quand tout le monde n'est pas beau (ce qui est effectivement le cas), il convient, très concrétement, de tenter une action civile en réparation.

    Ca ne fera pas revenir les parents de notre amie hélas et sans doute qu'il est déjà trop tard pour initier cela (encore que ...).

    Maintes fois, j'ai dit ici que tous les concernés et leurs proches doivent, à titre conservatoire, conserver toutes les paperasses produites au cours de "l'aventure" ... et même pour les "recommandations" les plus importantes se les faire notifier par écrits, datés et signés de l'auteur.

    Un jour viendra (j'en suis presque sûr) que le boomerang leur reviendra ... sous les traits de condamnations civiles (réparation financière) qui vont calmer leur ardeur à faire n'importe quoi avec suffisance et aplomb.

    La solution viendra d'un pays anglo-saxon car le droit y est plus rigoureux sur ce plan ... et ça fera mal ...

  11. Virus biologiques, virus informatiques, vie quotidienne, vie virtuelle, ...

    Lémergence de linformatique et de ses possibilités d'accès à l'information de façon autonome dans la vie quotidienne a été presque instantanément accompagnée de la mise en place dune « pollution virale » qui, elle-même, a permis lédification de « politiques sécuritaires » [/b](au sein des entreprises par exemple) et dune « médecine réparatrice », enjeu de nouveaux créneaux dactivités économiques.

    Un peu dépassé par les événements (comme souvent) et au-delà des virus, le « politique » qui veille jalousement sur le bien-être social (le sien essentiellement)séchine, bardé de sa légitimité démocratique et avec un succès relatif pour linstant, à réfléchir à de la réglementation afin de contrer ce quil faut bien appeler une des rares extension récente de lespace de "liberté individuelle" de chacun.

    Comment ne pas établir de parallèles avec dautres libertés individuelles chèrement acquises et cette dernière ?

    Comment ne pas se souvenir des années 60/70 et de la liberté sexuelle et les années 80/90 qui ont suivi ?

    Ces parallèles sont troublants, étonnement troublants ! A croire que lexpression de la liberté individuelle est toujours loccasion, pour la société, de déployer des trésors dénergie pour organiser une riposte frontale et, pour léconomique, dinstaller de nouvelles sources artificielles de revenus à l'aune de ces "opportunités". Il y a osmose socio-économique.

    Le libertin des années 60/70 est un peu linternaute des années 90/2000 ... Les deux sont contraints de se protéger dun mal concrètement qualifié à lidentique : le virus.

    Aux deux, on propose des solutions qui engendrent de lactivité. Pour les deux encore, on peut mettre en évidence des « personnalités douteuses » en allant prospecter dans leur vie privée qui peut se loger au fond de leurs disques durs comme au fond de leurs nuits et de leurs lits. Il ne fait pas bon se retrouver, même pour des faits sans rapport avec le sujet, devant le bras séculier de la société - la justice - avec un portrait « psychologique » hors des sentiers communément admis. La justice sintéressera autant, voire davantage, aux « vices » comportementaux du prévenu quaux faits eux-mêmes et la sanction sera paramétrée en conséquence.

    Le virus est devenu le bras armé de la sanction immanente, un véritable auxiliaire de justice dInstitutions qui ne peuvent déférer et traiter leurs « rebelles » en si grand nombre par manque de moyens.

    Il ny a pas dautres solutions aux « charges virales » que le passage par la caisse et par « des médecines officielles » (bonjour Symantec et Roche) ou par des « médecines parallèles » souvent disqualifiées en réflexe dautoprotection des systèmes sociaux.

    Un jour, jai entendu un propos du genre : « Oui certes ... mais avec certains virus le reformatage complet de la configuration nest pas autorisé ».

    ... et ce sera là ma conclusion : « En effet, la technique nautorise pas certains reformatages, il faut bien en convenir ... mais le tout nest-il pas de se poser la bonne question : que faut-il reformater au juste ? ... le sang ou la tête ? ... alors amis séropos, essayez donc le second reformatage ... et vous verrez que la question du premier ne se posera même plus pour vous ... dans lhypothèse où vous succomberiez à lacquisition dun anti-viral qui va aller se loger au plus profond de votre système pour le ralentir et le perturber, ce reformatage de la tête sera plus difficile à réaliser ... est-il possible de désinstaller proprement un anti-viral ? ... certains disent que oui, certains disent que non, mais vous pouvez toujours essayer en ayant le projet de vivre et en écartant celui de survivre ».

    Ceci est ma contribution à Sidaction 2006 ... (ils vont être contents j'espère ...)

  12. no comment

    j'évite aussi le machage de chewing gum en plus ca donne mal aux ventre

    Surtout lorsqu'après on est contraint de raser le bas ventre de l'intéressée pour éliminer le chewing gum qui s'est glissé dans les aprties les plus intimes de sa pudeur !

    ... sans compter qu'après et lors d'une banale pénétration, le latex du préservatif à la fraise peut coller au chewing gum à la menthe ... Personnellement, je ne trouve pas heureux le mélange menthe/fraise lorsqu'il s'agit de consommer des moules ... je préfère une bonne bière ...

  13. Si tu sais faire plusieurs choses en même temps 

    Bien sûr et en plus avec plusieurs partenaires simultanément !

    La luxure et la débauche n'empêchent pas la lucidité de la bonne gestion de son temps.

    Une chose n'est pas conseillée néanmoins : mâcher du chewing gum lorsqu'on honore sa ou ses partenaires du moment surtout lorsqu'elles sont d'origine du sud et avec un système pileux abondant ... ça colle alors ...

  14. Je rigole car moi je mets des préservatifs pour pas tomber enceinte

    C'est une sage précaution ... mais que veux-tu dire au juste ... est-ce toi qui enfile le préservatif ? ... ou ton partenaire ?

    ... ma sagacité me laisse à penser que tu es une fille ...

    Remarque il existe aussi des préservatifs féminins comme il existe des seins et des fesses siliconés ...

    Muni de la capote conventionnelle, j'ai plus l'impression de jouer à la freebox qu'à une partie de jambes en l'air classique ... surtout en regardant d'un oeil Sidaction et en remplissant une déclaration d'impôts en même temps ...

  15. excusez moi, c'est vri que j'ai dérapé pour gens normaux, je dirai plutôt les gens que je cotoie fréquemment, et qui ne couchent qu'après s'être longuement connus et pas au 1er soir

    mais ne t'excuse pas Médoche ... c'est très bien de ne pas coucher le 1er soir ... Pour le second (soir), pas même une petite pipe pour la route ? ... Allez ne fais pas le timide Médoche ...

    Pour la sodomie bien sûr, il faut attendre un peu ... c'est naturel ... on ne va pas quand même proposer cela au premier dîner aux chandelles avant les entrées ! Ce ne serait pas correct ! Le romantisme impose, outre des lubrifiants appropriés, un peu de patience ... le premier coït, selon les convenances communément admises, doit se limiter à un rapport vaginal très classique ... comme chacun le sait.

  16. Des propos de ce genre, tout particulièrement l'expression "gens normaux", que renieraient certainement pas les lepénistes de tout poil et la droite religieuse, me semblent sans aucune "pertinence"

    J'ai peine à croire que ce n'est pas de la provocation mais bon ... j'ai entendu à midi à la télé un micro-trottoir assez révélateur et de ce genre ...

    Je pense que la " cause dissidente " n'est pas prête à surgir ... dans les esprits ... car l'esprit critique n'est vraiment ce qui caractérise nos contemporains ... dans ce domaine comme dans bien d'autres ... C'est ainsi ...

    J'espère que Médoche ne se contente pas de faire cela en famille ou avec la voisine de pallier qui disparaît parfois avec le facteur ... surtout qu'il n'est pas impossible que ce même facteur, les matins de grande tristesse, honore et oblitère sa grand soeur ... lorsqu'elle même n'honore pas, en nature, les factures du plombier ... qui a choppé une chaude pisse dans les urinoirs publics du coin en y faisant quelques raccords ...

  17. Oui tu as tout compris Médoche ... 20 ans de sensibilisation coûteuse pour en arriver là, c'est formidable ...

    En ta qualité d'appartenant à la catégorie des "gens normaux", je te souhaite un excellent avenir (fais gaffe aux grippés quand même, on ne sait jamais; nul n'est à l'abri) ...

    Continue à coucher uniquement avec des gens que tu connais bien en leur demandant de faire pareil également ... car sinon ...

    Enfile bien ta capote et mets en deux l'une sur l'autre ... deux précautions valent mieux qu'une ...

    ... Téléphone au 110 en précisant que l'euro que tu veux envoyer est destiné uniquement aux petits africains ... Les NGO en feront bon usage ... ou alors mieux encore : envoie tes capotes usagers ou celles de sgens que tu connais bien pour leur permettre d'accéder au latex ... un coup d'éponge et ce sera propre ... no problem ... 4-ptdrasrpt.gif

  18. Alors comment se présente le bébé cette année ? ... La récolte est-elle prometteuse ? Allons-nous pouvoir donner autre chose que des C.P.E. aux "chercheurs" ?

    En parlant de cela, Line Renaud et ses copains n'ont guère de chance ... l'année dernière leur vertueuse action avait été flinguée par le décès de Jean Paul II et cette année, c'est Chirac et Villepin qui foutent la pagaille dans la kermesse ...

    Je viens d'apercevoir ce bon vieux Rozenbaum (co-découvreur du virus a-t-on annoncé aussi) ... Il vieillit bien le bonhomme ! ... Bon d'accord, il n'a pas grand chose à ajouter depuis ses interventions du début des années 80 mais ça fait toujours plaisir de le revoir ... comme un vieil ami ... une sorte de Léon Zitrone de la question ...

    La capote, toujours la capote ... y a que ça de vrai ! ... 20 ans de recherche et de sensibilisation pour capoter ... encore et encore ... en millions de dollars, ça capote onéreusement ...

    On pourrait tenter le coup avec un "grippaction 2006" après ...

    Luc, t'as rien à dire sur le sujet ? ... t'es pas le co-découvreur avec Willy du H5N1 ? ... d'ailleurs au fait pourquoi ces découvreurs ne sont-ils pas aussi célèbres que Luc et Willy ! C'est injuste ... !

    Heureusement que les labos ROCHE sont sur tous les bons coups ! ... une maison bien tenue ... ça tourne comme une horloge (suisse).

  19. C'est pour cela que le secteur tertiare, moins considéré comme produisant de la valeur ajoutée, était beaucoup moins source de stress.

    Certes oui mais il vaut encore mieux (pour la reconstitution de l'organisme) se cogner un beauf en chef de service que d'aller, avec un boeuf, labourer les champs ou aller couler de la fonte dans un haut fourneau (ces deux dernières activités n'excluent pas non plus la pression des beaufs, encore plus pénible quand on travaille comme un boeuf ... de mon point de vue ... non ?

    Et que dire de nos compagnes qui doivent subir des beaufs montés comme des boeufs lorsqu'elles se font harceler au bureau sous le prétexte (et le bureau) d'être courtement vêtues et d'avoir omis d'enfiler un slip ? 4-piout.gif

  20. La médecine officielle se gausse souvent des "excellents résultats" de son action en s'appuyant sur "l'allongement de la durée de la vie en France" ... N'est-ce pas un raccourci trop rapide même si des chiffres peuvent appuyer cette thèse ? ... mais il est vrai qu'il faut bien justifier au bon peuple les prélévements qu'il doit consentir pour faire fonctionner tout cela.

    En regardant un excellent documentaire sur "Planète" afférent à la durée de vie du genre animal et humain (je le conseille, c'est fait par des anglais), on peut apprendre que la durée de vie des êtres est fonction de différents paramètres : la taille (plus ils sont gros, plus ils vivent vieux), le rythme cardiaque (plus ça bat vite et moins longue est la vie), du rythme de vie (plus on se dépense et plus on diminue son espérance de vie).

    Ainsi, le gros éléphant dont le coeur bat à 25 pulsations/mn a toutes les chances d'arriver à 70 balais sans prédateur ... alors qu'une petite souris qui tourne à 100 pulsations/mn a beaucoup moins d'espoir sur ce plan ... Pourtant, le coeur de chacun aura battu à peu près le même nombre de coups.

    Par ailleurs et pour les prédateurs (et donc les humains aussi), plus on sollicite la machine et plus elle doit se reconstituer souvent alors que le nombre de cycles de reconstitution est, biologiquement, limité et programmé ...

    Quel rapport avec la "médecine officielle" et ses auto-élogieuses conclusions ?

    ... et bien si car il est manifeste que les robotisations diverses et le glissement des populations du secteur primaire et secondaire vers le secteur tertiaire font qu'on tire moins sur nos organismes en terme d'épuisement des épisodes de reconstitution physique ...

    D'ailleurs, des statistiques démontrent à l'évidence que la durée de vie des travailleurs manuels est bien plus courte que celle des autres.

    Ces observations sont à rapprocher d'autres : j'ai des amis médecins qui sont très sceptiques sur le rapprochement qu'il est admis de faire entre éradication (relative) de la tuberculose et B.C.G. ... Ils attribuent des "progrès" davantage à de meilleures conditions d'hygiène dans les pays développés.

    N'y aurait-il pas duperie sous cape ?

  21. Cheminot,

    Mais Viduité,

    pourquoi l'herpès serait-il uniquement dû à un virus?

    D'ailleurs ce demi aveu officiel (cela vient d'un site très officiel) jette bien un trouble sur la recherche actuelle qui considère la pathogénie de tous les troubles émergeants comme étant due à des agents extérieurs pouvant être répliqués (les virus)... mais jamais, ô grand jamais, on ne s'intéressera à la causalité chimique (ou biochimique, c'est la même chose), qui à mon avis, est à la source de toutes les maladies. Une scarlatine par exemple, qui exprimera le streptocoque hémolytique, est d'abord due à un déséquilibre physicochimique du métabolisme.

    Pourquoi je n'en sais rien ... j'écoute bêtement ce qu'on raconte sur la question chez les gens "de savoir" ... mais je suis ouvert à une autre explication.

    Amitiés

  22. Oui Daman, car le problème de ces droits exorbitants que l'on confère aux médecins est lié à ce qu'eux-mêmes avancent lorsqu'on critique telle ou telle attitude : les thérapeutiques et les modes de diagnostics évoluent et même se contredisent d'une décade à l'autre, et pourtant c'est les recommandations de l'année qui sont utilisées pour juger.

    De toutes manières, ils cherchent actuellement à verrouiller le système de manière presque définitive... mais là encore, il y aura un mai 68 de la médecine, du moins je l'espère.

    ... eh oui Cheminot, tu poses à nouveau la question de la "légitimité" de ceux qui sont autorisés à parler et à penser ... d'où tirent-ils cette légitimité ? ... La réponse est confuse : ça va du parchemin obtenu par le biais de la cooptation ou du népotisme au droit d'entrée dans les médias obtenu à l'identique ... des humains décident pour d'autres de ce qui est bien et de ce qui est mal ... quand les seconds contestent, c'est la crise sociale ...

    C'est aussi vieux que le monde. D'un point de vue technique, les plus malins (les religieux) ont contourné la difficulté (du pouvoir de l'humain sur l'humain) en asseyant leur légitimité sur le Divin ... L'infaillibilité papale érigée en dogme dans un concile en est la traduction la plus parfaite au niveau du droit et de la légalité externe des actes créant (ou en enlevant) des droits précisemment au commun des mortels.

    Le mai 68 dont tu parles, ne pourra, de mon point de vue, que se traduire par une montée de l'indifférence face au corps médical tel qu'il fonctionne.

    Dans une partie de dupes, il y a des dupeurs et des dupés ... mais pour que la partie se déroule, il est indispensable que les dupés jouent également ... la partie ne peut être interrompue que lorsqu'ils quittent la table ... sinon, on continue ... de duper ... de tricher ... d'illusionner ...

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