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Terry

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Tout ce qui a été posté par Terry

  1. Candice..... Les etudes que j ai copié/collé dans mes messages precedents sont des documents extraits de sites gerés par le ministere de la republique francaise ( en ce qui concerne le BEH, je vous invite par vous meme à savoir ce qu'est et represente cet organisme là ). "Ignards" n'est pas une insulte, et meme si on me surnomerais comme cela, perso, je chercherais a comprendre pourquoi ?.......désolé de rajouter : il n y a que les cons qui ne changent pas d'avis. J ai toujours pense que le terme Syndrome de l Intelligence Defaillante Acquise pour SIDA et le Virus de l'inintelligence humaine pour VIH representait la meilleure explication pour ces sigles là. Si on veut s'en sortir dans ce monde de brutes, vaut mieux en apprendre tous les jours et surtout avoir un maximum de sources differentes afin de s en faire sa prope idée sur n importe quel sujet d ailleurs. En ce qui concerne le sida, il faut avouer que les medecins jouent bien avec les peurs, le manque d instructions des malades, ou un trop plein de fausses informations, pour leur faire bouffer des poisons à longueur de journées et pendant un nombre d années, helas, court pour des personnes seropositives.....de maniere volontaire ou involontaire ( a cause du dollar) , beaucoup de medecins sont des .....comment pourrais je dire ?.....des CHARLATANTS! Il n'y a pas besoin de d'expliquer au grand public ce qu est vraiment le sida, par contre on pourrait clairement eduquer le grand public a lire et comprendre correctement tout ce qu il y a d inscrit sur les notices de medicaments......en particulier pour les antiretroviraux et les antiproteases anti-vih............il est quand meme curieux de voir le terme LEUCOPENIE pour l'azt en effet secondaire......Leucopenie= sida. Donc certains medecins, pourris, diront : ho vous savez les effets secondaires cela arrive rarement! Mais ils oublient de preciser que plus on en prends et plus les effets secondaires risquent de survenir........puis pourquoi on noterai pas le pourcentage sur les notices, du style : indinavir : risque de crise cardiaque ( 70% des utilisateurs ). http://www.biam2.org/www1/Clp68595.html a cette adresse, vous trouverez une liste de tous les produits utilises pour traiter le vih ( et non pas le sida) composants des tri therapies...explique avec detail parfait .....ainsi que tous les effets secondaires repertories jusqu'à ce jour.......... pour savoir enfin par qui cela est edite, consulte la page d accueil du meme site..... Bon courage. Enfin pubmed est une "fillaile informatique" du gouvernement americain.....et pour comprendre le sida, vaut mieux savoir lire l anglais.........donc la meme maison que le Niaid ........donc la zidovudine cause des cas de sida ? oui : en voila UNE DES preuveS. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...t_uids=10961525 Groschel B, Miller V, Doerr HW, Cinatl J Jr. Institute of Medical Virology, Johann Wolfgang Goethe University, Frankfurt, Germany. Groeschel@em.uni-frankfurt.de Cellular cytoplasmatic thymidine kinase 1 (TK1) catalyzes the intracellular phosphorylation of anti-HIV-1 nucleoside analogs zidovudine (AZT) and stavudine (d4T) to the corresponding monophosphate form. In HIV-1-infected patients, treated with combination therapy including one of these compounds for more than 1 year, enzymatic activity of TK1 in peripheral blood mononuclear cells (PBMC) was determined by radioactive assay. TK1 activity in PBMC of HIV-1-infected patients correlated with CD4 cell count (r = 0.4, p<0.05) and HIV-1 RNA copy number (r = 0.4, p<0.05), being lower in patients with decreased CD4 cell count and high viral load. Furthermore,TK1 activity differs between HIV-1-infected individuals treated for more than 6 months (13.5 pmol/mg/h) compared to patients treated for less than 6 months (28.1 pmol/mg/h; p<0.05) with chemotherapeutic agents including thymidine analogs. "The results demonstrate that TK1 deficiency in PBMC of HIV-1 infected patients may develop due to continuous treatment with thymidine analogs and correlates with a more progressed stage of disease expressed as diminished CD4 cell count and increased viral load." PMID: 10961525 [PubMed - indexed for MEDLINE] Lol ! Qui dit mieux ??? Qui peut contre dire cela ??? Franchement ?! Je suis un des meilleurs non ??.
  2. Meme sur le site NIAID on peut y lire en cherchant bien que l'azt cause le sida et que les tri therapies sont des produits tueurs. IL n y a pas plus de sida en thailande qu en france.....tout cela n est que de la pression mediatique....la thailande y aurait succombée....mais heureusement la chine, la russie ne veulent pas du projet franco-anglo-americain qui a pour nom : SIDA ....combien de temps vont ils resister ?. POur comprendre correctement ce qu est le sida, il faut avoir des bases medicales, que tout le monde peut apprendre. Je ne suis pas d accord avec cheminot quand il dit qu il y aurait un lien entre test vih et sida...cela est affreusement faux et une fois de plus on est en pleine science fiction! 95% des patients cancereux ( vih ou pas) sont atteints de maladies dites opportunistes apres leurs chimiotherapies......toutes ces maladies opportunistes font partie de la definition SIDA de l'OMS ( l organisme des menteurs de santé).......tous ne sont pas vih+ mais sont quand meme tous atteints d'une ou de maladies classifiées SIDA.........donc on peut avoir le sida sans etre seropositif,ce qui indique CLAIREMENT que les tests vih ne sont pas indicateurs systematiques de SIDA ( sauf cas de sida iatrogene mortel qui touche 100 % des personnes mises sous tri therapies).......... ET CE JUSQU A PREUVE DU CONTRAIRE! Donc le sida est un syndrome iatrogene definitivement acquis ( vih ou pas).J invite bien sur qui que ce soit à me prouver le contraire !. ENFIN POUR LES IGNIARDS LIRE CECI EN PRENANT SURTOUT SOIN DE BIEN LIRE LA TOUTE TOUTE DERNIERE PHRASE :lol ! BON COURAGE ! http://www.ifrance.com/sebiv/recommand/part1_5.html Pourquoi de nouvelles recommandations concernant le traitement de l'infection VIH? 1996 et 1997 ont vu surgir des bouleversements dans le traitement des personnes infectées par le VIH. Grâce à la détermination quantitative de l'ARN du virus VIH, largement répandue, et grâce au développement et à l'enregistrement de nouvelles substances anti-rétrovirales plus puissantes, le médecin traitant dispose de médicaments de choix qui permettent, chez la majorité des patients (mais pas chez tous), de réduire la réplication virale à un niveau très faible, et de déterminer et surveiller directement l'efficacité thérapeutique. La diminution des cas de décès dus au SIDA dans certains pays disposant de ces médicaments est particulièrement impressionnante. Recommandations actuelles concernant la prophylaxie post-expositionnelle au VIH à l'extérieur du domaine médical (extrait) La disponibilité d'une prophylaxie post-expositionelle (PPE) au VIH ne dispense aucunement de procéder aux mesures de précautions connues: préservatifs et matériel d'injection stérile restent les moyens les plus simples et les plus efficaces d'éviter la transmission du VIH. La prophylaxie antirétrovirale devrait être recommandée dans les situations suivantes: Rapports sexuels non protégés, par voie vaginale ou anale (p. ex. consécutifs à une déchirure du préservatif) avec un/e partenaire infecté/e par le VIH. Rapports sexuels oraux (fellation) non protégés avec éjaculation d'un partenaire infecté par le VIH. Utilisation de matériel d'injection déjà employé par une personne infectée par le VIH Médicaments recommandés pour la prophylaxie post-expositionnelle au VIH AZT + 3TC + inhibiteur des protéases (indinavir ou nelfinavir) * Substance Nom commercial Posologie Remarque Zidovudine (AZT) Retrovir® AZT® 2 x 250 mg/jour Lamivudine (3TC) 3TC® 2 x 150 mg/jour Indinavir Crixivan® 3 x 800 mg/jour Toutes les 8 heures, absorber à jeun Nelfinavir Viracept® 3 x 750 mg/jour Avec un repas ou un en-cas * En pratique, zidovudine / lamivudine est fréquemment prescrite sous la forme de Combivir (communications pers.). Sur la base de données expérimentales chez l'animal et de réflexions pratiques, tout en considérant le rapport coûts/efficacité, l'instauration d'une PPE-VIH est généralement recommandée dans les 72 heures au plus tard après l'exposition. Comme c'est le cas lors d'exposition professionnelle, une PPE-VIH devrait durer 2 à 4 semaines. Il est important que tous les cas d'exposition au VIH extérieurs au domaine médical et auxquels on prescrit une PPE soient déclarés de manière détaillée à l'aide du questionnaire correspondant (Bulletin 50 de l'OFSP du 22.12.1997, page 7 ou imprimé à partir de l'adresse Internet suivante: http://www.hiv.ch/therapie/pep/pepsex/pepsexanf.htm Les effets indésirables potentiels liés à la PPE-VIH, l'impact difavorable sur la prévention et les mesures de protection individuelles, doivent faire l'objet d'une réflexion critique. L'utilisation de préservatifs et de matériel d'injection stérile ne doit pas être aboli sous le prétexte fallacieux que la PPE-VIH remplace les précautions courantes. L'indication PPE-VIH doit toujours être assortie d'un entretien personnel expliquant le sens du Safer Sex et de la mise à disposition des toxicomanes iv du matériel d'injection stérile. Mise à jour sur les expositions au VIH en milieu médical Mesures générales, chimio-prophylaxie, déclaration (extrait) Le personnel médical est exposé au risque d'infection par le VIH en cas de contact avec du sang ou un autre liquide biologique infecté par le VIH. Toutefois, ce risque est négligeable. Les situations suivantes présentant un risque d'exposition avec du sang infecté ou des liquides biologiques infectés sont considérées comme significatives: Blessures avec des objets souillés par du sang ou des liquides biologiques contaminés. Les facteurs de risque suivants sont à prendre en considération: blessure profonde sang visible sur l'objet ayant causé la blessure l'objet ayant causé la blessure a été en contact préalable avec un vaisseau sanguin (artériel ou veineux) du patient Patient au stade terminal Exposition de la muqueuse ou de peau endommagée à du sang ou à un liquide biologique clairement contaminé par du sang. Exposition à des suspensions virales concentrées Mesures d'urgence: En cas d'inoculation percutanée (aiguille creuse, aiguille chirurgicale, scalpel etc.): lavage abondant à l'eau et au savon; élimination d'éventuels corps étrangers; désinfection pendant plusieurs minutes (alcool ou iodophore PVP). En cas de plaies cutanées ouvertes: laver la plaie abondamment avec de l'eau et du savon, puis désinfecter à l'aide d'une solution antiseptique non irritante (Iodophore PVP). Exposition des muqueuses ou des conjonctives: rinçage abondant avec de grandes quantités de solution stérile physiologique; dans certaines circonstances, avec de l'eau Immédiatement après l'accident, clarifier les deux points suivants: Est-ce que le patient présente une infection potentielle ou démontrée au VIH, et si oui, à quel stade? S'agit-il d'une exposition significative? En d'autres termes, existe-t-il un risque de contamination VIH dépendant du type d'exposition? IIndications lors d'une chimioprophylaxie post-expositionnelle: Instaurer la prophylaxie dès que possible Dans tous les cas, administrer une association d'au moins 2 médicaments anti-rétroviraux (AZT et 3TC) lors d'exposition significative Association de 3 substances anti-rétrovirales (AZT, 3TC et indinavir) lors d'exposition à haut risque Durée du traitement: 2 à 4 semaines La prophylaxie est recommandée lors de: Exposition percutanée Transfusion sanguine ou transplantation d'organe d'un donneur VIH positif Toute exposition avec injection accidentelle de sang ou de matériel VIH-positif On recommande dans ces trois cas une triple combinaison associant AZT, 3TC et indinavir. La prophylaxie est facultative lors de: Toute blessure superficielle (sans hémorragie) Exposition de muqueuse ou de peau endommagée à du sang ou à des liquides corporels visiblement infectés par du sang Dans ces cas, préférer une double combinaison associant AZT et 3TC. Certains experts recommandent une triple association pour chaque cas de prophylaxie. La prophylaxie n'est pas recommandée Lors d'exposition de peau intacte avec du sang ou des liquides corporels sanglants Il est important de discuter en détail, avec chaque personne exposée, des bénéfices et risques potentiels (effets indésirables) de la chimiothérapie. Les personnes exposées au VIH souffrant d'une surcharge émotionnelle considérable, il est impératif de leur offrir un soutien lors de la période d'observation. Il peut être utile de leur proposer des information par écrit. Les substances recommandées plus loin en matière de prophylaxie devraient être à la disposition de toutes les institutions soignant des patients VIH-positifs, afin de permettre d'instaurer le traitement sans délai. Comme c'est le cas pour toutes les professions à caractère d'urgence, l'exposition au VIH implique également une déclaration du cas à l'assurance (Loi sur les accidents professionnels et non-professionnels). En outre, les expositions effectives ou supposées envers le VIH, le VHB et le VHC doivent être également déclarées à l'aide du questionnaire aux centres de référence désignées par l'Office fédéral de la santé publique (Romandie et Tessin : CHUV, Prof. P. Francioli, Division autonome de médecine préventive hospitalière, 1011 Lausanne, Tél. 021/314 02 52; Suisse-allemande et Grisons : Universitätsspital Zürich, Dr J. Jost, Abteilung Infektionskrankheiten und Spitalhygiene, Rämistrasse 100, 8091 Zürich, Tél. 01/255 33 22) Recommandations concernant le test VIH Avant chaque test destiné au dépistage des anticorps VIH, demander l'accord du patient. Le test VIH est soumis au consentement du patient. En outre, un entretien approfondi avant et après le test revêt une importance essentielle. De même, un résultat de test négatif nécessite un entretien personnel, afin de vérifier que le patient présente une tendance faible envers les situations à risque. Entretien avant le test: Discuter des conséquences psychologiques d'un résultat positif Le patient désire-t-il effectuer ce test pour lui-même? Anamnèse des risques: a-t-il présenté une situation à risque? Le test est-il nécessaire? Procéder avec sensibilité (tout le monde n'est pas capable de parler ouvertement de sa sexualité) Expliquer la séroconversion (après 12 à 16 semaines, les anticorps sont généralement détectables avec fiabilité dans le sang) Evaluer les possibilités de soutien (communiquer évt. le résultat en présence d'une personne accompagnant le patient) Entretien lors de résultat VIH négatif Expliquer les règles du Safer Sex et offrir un petit guide sur le VIH et le SIDA, pour information Entretien en cas de test VIH positif Prendre son temps au cours de l'entretien Communiquer le test positif avec tact Même si ce résultat ne constitue pas une réelle surprise pour le patient, celui-ci peut être bouleversé Laisser le patient exprimer ses sentiments Insister sur le fait qu'être "VIH-positif" n'équivaut pas à être "condamné à mort" La perspective d'une vie peut-être plus courte ne signifie pas que la qualité en soit absente Expliquer les risques de contagion dans la vie quotidienne: une personne souffrant de VIH n'est pas un "puits à virus" Souligner l'importance d'un mode de vie sain Recommander, ne pas obliger Quelle est la situation actuelle du patient, peut-il évt. y modifier quelque chose? Proposer un examen médical, souligner les possibilités médicales Le patient a-t-il besoin d'aide, dans sa situation? Qui peut le soutenir? Quel est son environnement social (famille, assistance-SIDA)? Avec qui peut-il parler de son infection? Souligner les possibilités d'assistance, p. ex. services de conseils SIDA, posithiv (posithiv first day-kit: premier point de chute /plaque tournante coordinatrice en matière d'informations initiales et adresses en tout genre) Répondre aux questions du patient Sur le thème de la sexualité: même les personnes atteintes de VIHont des besoins sexuels, et ont le droit d'avoir une vie sexuelle Souligner les principes du Safer Sex A quels autres examens fault-il procèder lorsque un résultat VIH est positif? I. Anamnèse Etat général Bien-être en général Symptômes constitutionnels Anamnèse personnelle: maladies infantiles, infections à l'âge adulte, consultations médicales précédentes, hospitalisation (où/quand) Vaccinations Anamnèse médicamenteuse Médicaments et posologies Méd. sur ordonnance Méd. en vente libre Traitements alternatifs Drogues Par voie intraveineuse/injections; crack, cocaïne Autres Partenaire à risque Le patient est-il tabagique? Consommation d'alcool Anamnèse sexuelle Pratiques sexuelles Maladies sexuellement transmissibles Anamnèse obstétricale/gynécologique Moyens de contraception Partenaire à risque Risque d'infections opportunistes Voyages Domiciles actuels et précédents Professions actuelle et précédentes Hobbies Status tuberculeux (vaccination, famille/connaissances) Animaux domestiques Hépatite virale connue (type?) II. Examen clinique approfondi Taille et poids corporels Fond d'oeil, examen de la cavité buccale Examen dermatologique Ganglions lymphatiques Inspection de la région génito-anale y c. toucher rectal Status mental (démence?) III. Examens de laboratoire Premier examen Formula sanguine complète avec différenciation Test de la fonction rénale Tests de la fonction hépatique Staging du VIH Nombre de cellules CD4 Charge virale (VIH-1 RNA (PCR)) Tests complémentaires PPD Intermediate (5TU) Radiographie du thorax Sérologie de la syphilis Sérologie de la toxoplasmose (IgG) Sérologie pour hépatite B et C Anticorps anti-CMV IV. Entretien initial Expliquer les risques de transmission Sevrage des drogues /safer needle use/échange de seringues Désaccoutumance au tabac Information au partenaire Planning familial Soutien psycho-social Vaccinations (évt. charge virale temporairement élevée) Vaccin pneumococcique Vaccin Influenza Vaccin Hépatite B Examen chez un dentiste En cas de CD4 <100/mm3, examen ophtalmologique intial V. Médecin traitent du patient infecté par le VIH Plusieurs études ont montré que les médecins traitants obtiennent de bien meilleurs résultats lorsqu'ils traitent un plus grand nombre de patients atteints de VIH, qu'ils concentrent leurs efforts sur ce traitement et se perfectionnent régulièrement. Indicateurs de maladie lors de SIDA Tableau clinique / agent infectieux Le diagnostic de SIDA est posé: Uniquement en cas de maladie diagnostiquée avec certitude Lors de suspicion clinique également Uniquement chez les adultes et adolescents de plus de 12 ans: Pneumonie bactérienne récidivante oui Tuberculose pulmonaire oui Cancer du col, invasif oui Chez toutes les personnes VIH-positives avec diagnostic certain: Candidose des bronches, de la trachée ou des poumons1 oui Candidose oesophagienne1* oui Encéphalopathie due au VIH oui VIH-wasting-syndrom (cachexie) oui Herpes simplex, ulcération chronique (>1 mois) ou pneumonie, ou oesophagite1* oui Histoplasmose, extra-pulmonaire oui Isosporiasis, diarrhée à (>1 mois) oui Kaposi, sarcome1* oui Coccidioïdomycose, extra-pulmonaire oui Cryptococcose, extra-pulmonaire1* oui Cryptosporidiose, diarrhée (>1 mois)1* oui Lymphome de Burkitt oui Lymphome immunoblastique oui Lymphome primaire du SNC oui Mycobacterium avium (complexe) ou M. kansasii, extra-pulmonaire ou disséminé oui Mycobactériose, autre, ou espèce non identifiée, extra-pulmonaire ou disséminée oui M. tuberculosis, extra-pulmonaire oui Pneumocystis carinii, pneumonie1* oui Leucoencéphalopathie progressive multifocale oui Salmonelles, septicémie à, récidivante, non-typhique1 oui Toxoplasmose cérébrale1* oui Cytomégalie (localisation non hépatique, splénique ni ganglionnaire) oui Cytomégalovirus, rétinite à, avec perte visuelle oui Uniquement chez les enfants de moins de 12 ans: Infections bactériennes, multiples ou récidivantes oui Pneumonie lymphoïde interstitielle ou hyperplasie lymphoïde pulmonaire1* oui 1* en cas de diagnostic certain de ces maladies, le diagnostic de SIDA peut également être posé en l'absence de résultat de laboratoire positif d'infection VIH Enfin pour ceux qui sont toujours persuades des biens des tri therapies ( de conneries ) je leur conseil de lire cela, lol ! http://www.invs.sante.fr/beh/1999/9917/index.html -------------------------------------------------------------------------------- Retour au sommaire des BEH de 1999 ÉVOLUTION DES CAUSES DE DÉCÈS DES PATIENTS INFECTES PAR LE VIH DANS LA COHORTE AQUITAINE, 1985-1997 S. Vandentorren 1, P. Mercié 1, 1, C. Marimoutou 1, 1, F Dabis 1,3, 1 et le Groupe d'Epidémiologie Clinique en Aquitaine (GECSA)I, 3 INSERM U330, Université Victor Segalen Bordeaux 2, 146, rue Léo Saignat, 33076 Bordeaux Cedex. Service de Médecine interne, Hôpital Haut-Lévèque, Centre Hospitalier Universitaire (CHU), Bordeaux. Centre d'information et de Soins de l'Immunodéficience Humaine (CISIH), CHU de Bordeaux. INTRODUCTION Jusqu'à l'arrivée des Inhibiteurs de Protéase (IP) en 1996, les principales causes de décès des patients infectés par le VIH (VIH+) étaient les manifestations cliniques classant SIDA [1]. La prescription des trithérapies avec IP a spectaculairement amélioré la survie des personnes VIH+. On peut désormais se demander si leur mortalité peut redevenir comparable à celle de la population du même âge indemne de l'infection. Or depuis le début de l'épidémie, très peu d'études se sont intéressées à la description complète des causes de décès des patients VIH+, indépendamment de leur passage au stade SIDA [2]. MATÉRIEL ET MÉTHODES Depuis 1987, le Groupe d'Épidémiologie Clinique du Sida en Aquitaine (GESCA) a établi un système de surveillance hospitalier de l'infection par le VIH-1 au Centre Hospitalier Universitaire de Bordeaux puis dans les centres hospitaliers de Bayonne, Dax, Libourne et Villeneuve-sur-Lot. Les critères de signalement sont une infection par le VIH-1 confirmée par un test Western-Blot, un âge supérieur ou égal à 13 ans, un recours au moins une fois à un des services hospitaliers participant au recueil des données et le consentement éclairé du patient. Cette étude descriptive a concerné les patients inclus dans ce système d'information et décédés entre 1985 et 1997. Les causes de décès des patients ont été notifiées de manière prospective, trois causes de décès pouvant être mentionnées sur le modèle des informations exigées pour le remplissage des certificats de décès. Les patients décédés ayant au moins une pathologie classante SIDA mentionnée en tant que cause de décès sont répertoriées dans le groupe " cause SIDA " et seuls les décès pour lesquels aucune pathologie classante n'était mentionnée constituent le groupe des " causes non SIDA ". Les distributions des causes de décès ont été exprimées en pourcentages, calculés par rapport au total des causes de décès, globalement, puis elles sont analysées séparément pour les causes SIDA et non SIDA. Les comparaisons ont été réalisées sur les données annuelles depuis 1985 puis sur deux périodes équivalentes de 18 mois : de janvier 1995 à juin 1996 et de juillet 1996 à décembre 1997. RÉSULTATS Au total, 1 662 décès ont été notifiés parmi les 5 124 patients de la Cohorte Aquitaine. La mortalité cumulative est donc de 32,4 % pour la période de 13 ans, 1985-1997. Les patients décédés étaient de sexe masculin à 80 %. La médiane d'âge au moment du décès était de 37 ans, s'étendant de 15 à 92 ans. Les patients décédés avaient le plus souvent acquis leur infection lors de rapports homo-bisexuels (40 %), toxicomanie (31 %) ou de rapports hétérosexuels (13 %). La diminution du nombre annuel de décès est nette à partir de 1996 (Fig. 1). La létalité globale (nombre de décès/nombre de patients suivis dans l'année) diminue ainsi de 11,5 % en 1995 à 3,1 % en 1997. La proportion des causes de décès non SIDA passe de 15,2 % des décès en 1995 (n = 263) à 35,1 % en 1997 (n = 77). Figure 1. Tendances séculaires du nombre de décès de causes SIDA et non SIDA Cohorte Aquitaine, 1985-1997 L’évolution des causes de décès liées au SIDA (N = 1 249) a montré la persistance d'une part importante et relativement stable des décès par pathologies multiples (30 % du total des causes SIDA chaque année depuis 1990). La proportion des décès liés aux lymphomes a quant à elle augmenté depuis 1991 pour atteindre 24 % du total des causes SIDA en 1997 contre 5 à 10 % les années précédentes, alors que la proportion des décès secondaires à des infections opportunistes a diminué (27 % du total des causes SIDA en 1996 contre 45 % en 1993). L’étude de l'évolution des causes de décès non liées au SIDA (N = 370) a mis en évidence une pari importante de causés de décès non informatives (33 % des causes non SIDA), sans modification sur la période d'étude. Cependant, parmi ces causes de décès non SIDA, la part des décès par cancers non classants au stade SIDA (tumeur maligne des bronches, tumeur maligne digestive...) a augmenté passant de 3 % en 1995 à 7 % en 1997. De la même manière, la part des pathologies hépatiques (cirrhose, hépatite chronique ... ) s'est accrue entre 1995 (8 %) et 1997 (11 %). Enfin, la part des décès par suicide et overdose est restée importante tout au long de la période d'étude (11 % par an en moyenne des décès non SIDA). La comparaison des causes de décès durant les 18 mois avant (janvier 1995juin 1996) et après l'introduction des AP (juillet 1996-décembre 1997) met en évidence une tendance à l'augmentation des causes de décès par pathologies néoplasiques, classantes ou non SIDA, passant de 18 % (n = 66) à 23 % (n = 32) sans atteindre le seuil de significativité (p = 0,10). Ce phénomène est amplifié lorsqu'on compare l'ensemble de la période avant l'introduction des AP et les 18 mois suivants. Ainsi, il y avait 15 % de causes de décès par cancer de 1985 à juin 1996 (n = 216) et 23 % après, de juillet 1996 à décembre 1997 (n = 32), p = 0,03. En comparant les deux dernières périodes d'observation de 18 mois, on trouvait une augmentation significative des causes de décès par suicide ou overdose : 8 % (n = 12) de juillet 1996 à décembre 1997 au lieu de 3 % (n = 12) dans les 18 mois précédents (p = 0,01). Il n'y avait pas de différence significative dans la part des causes de décès par infections opportunistes, 55 % pour les deux périodes (n = 204 et n = 77, respectivement). DISCUSSION La part de décès non liés au SIDA est croissante parmi les causes de décès des patients VIH+, parallèlement à la chute de la mortalité dans cette population, depuis 1996. Nous remarquons enfin que les décès de cause néoplasique ont augmenté après l'introduction des tri-thérapies avec AP. Dans notre système d'information, les décès sont notifiés spontanément et prospectivement par les cliniciens et une recherche active des patients perdus de vue est régulièrement effectuée. Le risque de sous-estimation du nombre de décès même les plus récents est faible. La principale difficulté de cette étude a été d'obtenir des informations précises sur les causes de décès. On note toutefois parmi les patients décédés de causes non informatives que 28 % étaient déjà au stade SIDA au moment du décès. La part de causes non informatives reste stable au cours du temps (30 %). Un biais dans la répartition exacte des causes de décès ne devrait pas avoir modifié son évolution temporelle, comme cela a été montré pour d'autres causes de décès en dehors de l'infection à VIH [3]. Malgré l'existence toujours possible de ces biais de sélection et d'information, notre étude représente une description exhaustive des causes de décès non liées au SIDA, qui occupent une part de plus en plus importante parmi les causes de décès des patients VIH+. Il s'agit d'une source d'informations intéressante sur des pathologies émergentes, potentiellement létales [4]. Une mortalité normale pour la tranche d'âge, auparavant masquée par la surmortalité liée au SIDA peut ainsi réapparaître. De même, de nouvelles maladies favorisées par les traitements antirétroviraux peuvent se développer, comme les pathologies cardiovasculaires liées aux anomalies du métabolisme glucidique et lipidique récemment décrites [5]. Un dépistage plus précoce et ciblé, par exemple des pathologies néoplasiques, pourrait aussi améliorer, grâce à une prise en charge adaptée, la morbidité et l'espérance de vie des patients VIH+. Ceci pose la question de la surveillance épidémiologique systématique de l'infection à VIH au lieu de se limiter à celle des cas SIDA déclarés [6]. Nos données justifient dès aujourd'hui la mise en place ou l'intensification des moyens de surveillance des décès des patients VIH+. RÉFÉRENCES [1] Chang H., Morse D., Noonan C. et al - Survival and Mortality Patterns of an Acquired Immunodeficiency Syndrome (AIDS) Cohort in New York State. Am. J. Epidemiol 1993 ; 138 : 341-9. [2] Kravcik S., Hawley-Foss N., Victor G. et al. - Causes of death of HIV-infected persons in Ottawa, Ontario, 1984-1995. Arch. lntern. Med. 1997; 157: 2069-73, [3] Salmi R., Dabis F, McKinley T et al. - Quality of death certificates: studying or burying? Am. J Public Heaith. 1990; 80: 751. [4] Bindels P.J.E., Reeijneveld S.A., Mulder-Folkerts D.K.F et al. - Impact of AIDS on premature mortality in Amsterdam, 1982-1992. AIDS 1994; 8: 233-2 [5] Henry K., Melroe H., Huebsh J. et al. - Severe premature coranary artery disease with protease inhibitor. Lancet 1998 ; 351 : 1958. [6] Mocroft A., Vella S., Benfield TL. et al - Changing patterns of mortality across Europe in patients infected with HIV-1. Lancet 1998 ; 352 : 1725-30. Decidement jamais je ne pourrais me lasser de citer cette etude a chaque fois qui demontre par a+b que depuis les tri therapies les cas de sida ont baissés mais les DECES DES PERSONNES SEROPOSITIVES SOUS TRI THERAPIES ont largement augmenté.s Lol ! Faut arreter d etre con et de croire tout ce que dit le 20h. Terry Seropo depuis 1988 mis sous tri therapies d avril 98 a decembre 1999....arretée pour deformation physique ( look rescapé des fours crematoires) et guerrison automatique du Syndrome de l Intelligence Defaillante Acquise grace aux travaaux de certains dissidents ( www.sidasante.com). toujours en vie avec une maladie opportuniste begnigne classifiée SIDA....: candidose....qui touche des millions de personnes en france et dans le monde, seropo ou pas......n oublions pas de plus que celle ci est une maladie iatrogene causée par l abus d antibiotiques...et quand on sero, on a droit a des antibiotiques par kilos, meme en absence d infections.......ceci donc, expliquant cela. Et bientot en justice ???
  3. Terry

    Suderlandia Fructosa

    Et encore un panneau de publicite ! et encore un !! Peuf Bon moi pour certains cas de sida, à savoir, les candidoses ( qui arrivent de maniere iatrogene dans 99.99% des cas) il existe un remede simple et efficace vendu dans les grandes surfaces : VICHY CELESTIN Hé oui ! et je ne rigole pas..... Imaginons la gueule des dirigeants des multinationales qui fabriquent le triflucan, la fungizone et autres saloperies pour soigner les candidoses, si au jt de 20h on annoncait : vichy celestin soigne une maladie faisant partie du sida !!
  4. Warning !! Arretons de se sentir malade et de vouloir soigner quelque chose meme pas visible à l oeil nu! Toutes ces plantes ont aussi des effets secondaires qui peuvent etre mortels et aussi pire que l azt!...echinacea peut par exemple declencher chez certaines personnes des cancers ...euphytose peut causer des maladies hepatiques mortelles. QUand on est malade et que cela se ressent et se voit on se fais etablir un diagnostique et on choisit son mode de soins( quand on le peut bien sur). IL y a un grand danger, surtout encore plus chez un sero, à se goinfrer de vitamines et mineraux en tout genre !..... sauf cas de carences prouvés par analyses de sang!
  5. Mark ESt ce que la personne dont vous parler est toujours en vie ? ( le bodybuildé). Pourquoi vous en tant que dissident vous employez le terme : atteint gravement du sida. POurriez vous preciser ? quel SIDA ????????????????
  6. Bien sur j invite tout seropositif sorti du Syndrome de l 'Intelligence Defaillante Acquise ( c est a dire informé et sans traitements anti-vih donc, en bonne santé, jusq'a preuve du contraire) à bannir les propositions faites dans le premier message de claudej. Voila qu apres nous avoir "deformé" avec les tri therapies, on essaye de prendre une fois de plus les gays pour des vaches à traires pour l industrie pharmaceutique........ "Deformé par la tri therapie? prenez un peu d hormones et d anti oxydants et de dhea : sur et sans danger !" Beurk, à moi, on ne m aurat plus!.... Quelle horreur ! Navré pour ce monsieur ClaudeJ qui doit surement croire que l'accouchement est sans douleur et que la malediction est en faite une bénédiction !. Notons que les graisses perdues sous tri therapies reviennent aprés total arret de celles ci ( dans la plus part des cas) parfois en s aidant de complements alimentaires vendues en pharmacie et remboursés par la secu ( fortimel sans lactose et sans sucre ou clinutrene). Inutile de s empoisoner avec des hormones POURRIES en tout genre....ou de botox newfil, trés a la mode en ce moment ( personellement sachant depuis 5 ans que ce produit allait devenir un best chez les patients seros actuellement : utilise pour se regonfler les joues........je peux vous garentir que la bourse ca rapporte !.). Si la dhea et autres conneries etaient des produits fabuleux, miraculeux et surtout sans danger ( lol!): CA SE SAURAIT !
  7. "Seul, l'être lui-même peut modifier son code en délaissant les programmations laissées par ses ancetres...." Oui mais si certains scientifiques ont decidés que l on pouvait ESSAYER de le faire de facon anticipée ?( via AZT)? Ok le corps s adapte sur des generations.....certains ne voudraient ils pas essayer de se raccourcir ce nombres d'années incalculables ??? Et si avant, la race disparaissait a cause de trop de defaillance genetiques engendrés par tous types de pollutions ?? Tiens personnelement, je m 'appercois que la race grandit...beaucoup de gamins sont de plus en plus grands ( effets iatrogenes des nouvelles souches divers de vaccins ??....si on y a pas rajouter autre chose dedans?).......ou est ce que le corps s allonge pour mieux respirer ??....allons nous tous avoir des corps de girafes dans l avenir pour respirer de l air un peu plus pur ??. ..."Voici en tout cas un article qui montre tous les dégâts causés par l'AZT "....... Merci pour cet article qui malheureusement pour moi me rappele que j aurais jamais du en bouffer !. Fais, c'est fais...et bien fait !!LOl. Pas besoin de chercher des tas et des tonnes d articles scientifiques, plus ou moins serieux, parlant en bien ou mal de l 'azt..........IL SUFFIT DE LIRE LA NOTICE à la rubrique EFFETS INDESIRABLES et surtout de bien COMPRENDRE ce qu'il y a d'inscrit.
  8. Nous savons que la plus part des enfants de parents toxicomanes aux "drogues dures illégales" et sero+ naissent avec des anticorps contre "le vih"....aussi je me demande si certaines personnes ne seraient seropositives à cause de l'industrie pharmaceutique. En effet durant les années 50/60 ont ete commercialisés à grande echelle ( vive le $ !) tous types de médicaments neurologiques ( antidepresseurs;anxiolitiques;neuroleptiques)...à cette époque, les medecins n 'hesitaient pas à prescrire ce type de médicaments d'une manière assez facile et chose trés importante, dans des dosages bien plus important que de nos jours pour certaines mollecules existant deja à l'époque....et meme chez les femmes enceintes ! ce qui ne se fait pratiquement plus de nos jours ( sauf cas extreme ). Prenons l exemple d une femme de 60 ans aujourd'hui qui dés l age de 20 ans a pris des neuroleptiques légaux.... 15 ans plus tard, toujours sous meme type de traitements, cette meme femme tombe enceinte....et subi un des effets secondaires des medicaments neuroleptiques, à savoir : l'epilepsie ( maladie iatrogene ) et que pour traiter celle-ci les medecines DOIVENT prescrire des derivés de l hydantoine, qui est reconnu pour detruire la moelle osseuse, donc le systeme immunitaire ( surtout sur les lymphos ) ne serait il pas logique que l enfant naisse seroposif ?. Vu que ces drogues legales ont en point en commun avec celles dites illegales de "toucher" le cerveau, est il possible que l enfant naisse aussi avec un syndrome de dependance ( à l haldol par exemple )?? au meme titre qu un enfant né sous une dependance d heroine ?.....herOINE....hydantOINE !. Et supposons que les drogues illegales comme celles legales detruisent le systeme immunitaire du foetus ?....que celui ci s adapte en fabricant une certaine quantite de globules necessaire pour une 30 taine ou une 40 taine d années aprés la naissance?! N aurions nous pas là, par hasard, une explication à des cas de sida chez des seropositifs ou negatifs ( qui ont jamais pris de tri therapie surtout) ?. Alors "deficience " génétique de resistance aux produits chimiques ( via le foie ou le cerveau ?) ou Syndrome Iatrogene Definitevement Acquis ? ou les deux à la fois?. En restant dans cette hypothese il apparait bien que les tri therapies sont bien des medicaments ( qui en plus de permettre d envisager de nouveaux traitements anti-infectieux, pour les futures generations, envers des germes banaux et connus depuis Mathusalem....) qui ont été creés pour "reparer" les effets secondaires de produits chimiques legaux et illegaux...... en modulant le code genetique des personnes seropositives. Et Si "l homme" pouvait par le biais de medicaments arriver à modifier les codes genetiques ( les rendre plus resistants face aux microbes et agressions chimiques diverses), cela ne serait il pas magnifique pour les generations futures ( pour reprendre une pub de GlaxoWelcomBurroughs) ........ Cela ne serait il pas ce qui se cache derrier le projet SIDA/VIH and co auquel les politiciens n hesitent pas a depenser des milliards. Science Fiction ou Réalité? Qui à des infos a ce sujet.
  9. Jimmy Je travaille dans le milieu Gay depuis de trés longues années....et des mecs ravagés par les médocs j'en ai vu et en vois des tas.....je me suis essayé bien sur, par obligation morale, de faire voir les autres choses autrement sur le sida auprés de deux malades....résultat : un s est arrété et a repris au bout de deux d arret son traitement ( quand les t4 ont chutés : lol! )....et l autre ne veut meme pas entendre parler de quoi que ce soit et me repete : c'est beau la vie !!. Bon ok c est pas suffisant pour baisser les bras mais bon à mon niveau cela me suffit et je me dis : Chacun voit midi à sa porte...! Pour vivre heureux, vivons cachés ! et que tot ou tard, ce gros merdier finirat par exploser et eclabousser tout ceux qui l ont cree et entretenu !....et honnetement, ce jour là, si il arrive, je doute fort que cela soit grace aux dissidents....On ne peut pas lutter pour x et x raisons....( à ce jour et cela jusqu'a la preuve du contraire). Bon courage.
  10. Oupssss! Milles excuses Madame, pour le "e"....promis je vais essayer de moins me plaindre.....mais 10 ans quand meme !!! sans interruptions ? ...ouahh, ca fait beaucoup; Honnetement je pense que tu as beaucoup de chances d 'etre encore là, certains scientifiques diraient : belle résistance, bon profil génétique! Hold On!
  11. Bambou Malgres une candidose non invalidante ( grace a des petits trucs comme le bicarbonate de sodium en bain de bouche), je te garantie qu apres 4 ans d arret de tri therapie, je vais bien.....meme si j ai eu une thymidine kinase elevée.....qui a descendu depuis donc ( voir post precedent), je ne suis pas atteins de myelome ou autres. Il ne faut pas tomber dans la psychose; cela ne sert à rien de se sortir de celle du vih et des t4 pour em tomber dans une autre. En as tu pris longtemps ? tu as arrete quand ?. Hold on ! Lol.
  12. c'est bien ce que j ai ecris plus haut, j en ai toujours dans le sang...peut etre pas de l'azt....mais les reactions engendrées par!.......rassurez vous Aixur, j en aussi physiquement.....à savoir la coloration noire des ongles et la lypodystrophie ( gros ventre de haut en bas ) et cela me suffit a me voir massacrer dans la glace....( mais bon en fait je plais plus q u'avant : terrible !!!). J ai commence la tri therapie avec un deficit en fer et l ai terminé avec un "trou dans le fer" !....Quoi que je fasse mon corps ne veut pas de fer ! Pourquoi ? parce que l azt et surtout les anti proteases ont causes des degats toujours irrervsibles 4 apres arret du traitement que j ai pris deux ans. et je vous parle pas des cd19 ( lympho b ) qui ont disparues...alors que chez un sero sans traitements y en aurait trop......donc l 'azt, en detruisant la moelle, il detruit les lymphocytes B ....cool non ?...si mon deficit en deficit b etait naturel, je crois que je l aurais su jeune non ?....donc a mes yeux, une fois de plus : iatrogene !...( et je ne suis pas sous couveuse....alors quand mon medecin me parlait apres arret du traitement, des t4...je lui demandais ou sont passes mes cd19 ( ceux qui produisent les anticorps contre le vih justement !!) reponse : JE NE SAIS PAS .....( effet garanti!) Mais si on suit la logique du but principal cache dans l utilisation des tri therapies, a savoir : des mollecules d avant garde anti-infectieuses qui enverront au panier les antibiotiques quand elles seront au point.....il est tout à fait normal que mon fer et ses enzymes soient "detruites". Le fer est necessaire à la croissances des bacteries amies et ennemies du corps...donc les anti retroviraux agissent sur des enzymes de l inflammation ( transferine, ceruloplasmine) ou sur les enzymes a cysteine...ce que font certains antibios demodes mais pas aussi bien ...normal, le progres ! Un toxico qui se pique n importe comment est sujet a la contamination de diverses bacteries (aiguilles, produits). Un homo avec une sexualite a risque aussi ( multiples partenaires sans capotes) Un africain qui vit dans la pauvrete, le manque d hygiene ( eau) et de nourriture aussi. Voila donc les raisons des tri therapies....evitez a ces pauvres gens de tomber trop souvent malades a cause de leur style de vie et puis le bonus : le jour ou cela serat au point ca profitera a des millions de personnes sur terre pour les generations futures ; l homme aurat reussi a rayer le mot infection de la medecine ( vision futuriste: croyez vous que les medecines tremblent de peur de disparaitre??? non , car ils savent qu ils y aurat toujours des effets secondaires a soigner ....lol!). EST CE QUE QUELQU UN SUIT , COMPRENDS ? lol ? est ce que serait possible ? est ce que quelqu'un parmi vous s est dit : quand meme ils depenseraient pas des milliards dans la recherche anti retroviral juste que pour quelques drogués, pds ??!!..si il y a mini genocide non premedité, il y a une raison ! qu'est ce qu ils cherchent avec ces tri therapies ??? il est impossible que tout cela soit fait rien : je m y refuse d y croire. il y en a encore un point en commun entre le toxico, l africain, et le gay atteint de sida : l obsession . le premier par l argent et son produit a trouver quotidiennement. le second est obsedes par la nourriture, la belle vie a l europeenne, l argent. le dernier obsedes par le manque d amour, le sexe, d' etre mieux dans sa peau. l obsession, la nevrose detruisent le systeme immunitaire...ajouter a cela une petite comdanation a mort par le biais du test hiv : remuez bien, vous obtenez de la chair a industrie ( la plus part du temps un peu pourrie mais c est mieux que rien !)........enfin cela s applique aussi aux dissidents obsedes par la soif de verité !! alors prenez garde ! car prenez tout ce qui est cite 3 lignes au dessus :apres ajouter un choc psychologique en apprenant la verite ou plus tot une explication logique et claire que celle claironnée par le medias sur le sida ! pas etonnant des seropos soient morts, soit disant avec du cmv dans le cerveau !!!....franchement je pense que le cerveau de gens comme moi ou jimmy est franchement bien activé, surement trop.....et qui dit cerveau activé, dit systeme immunitaire trop activé et ca c'est pas bon ...... il parait que ce le point en commun de beaucoup de seros en commun....systeme immunitaire hyper activé jusqu'a destruction ?!??....c'est bien le cerveau qui commande le corps non ?. donc je vais reprendre une retraite d'internet car honnetement ca peut rendre fou. je ne sais si tout le monde me suit dans mes propos, neanmoins, je pense bien avoir fait comprendre moin point de vue sur les tri therapies : de la merde, et bien fraiche ! sans parler du test hiv...... Desole pour les diverses fautes, bon, c est peut etre un peu FOU, dirais je, mais bon , moi je me trouve du genie quand meme ...lol!. hiv ou pas sida pas sida Take care of you .
  13. Aixur a ecrit : "Tiens, au fait, j'ai appris que c'est la fille d'Edwy Plenel (du Monde) qui est la trésorière d'Act-up (c'est le responsable d'act-up qui a démissioné qui le dit" encore une conne completement "chanelisée", avec des chaussures a 1500 euros grace a ses pauvres gays malades du sida ! quand je vois le flanc qu il y a toujours avec l affaire elf dumas et sa pouf pour les fregates de taiwan; je ne prefere meme pas imagine comme cela s est passe pour l "azt et surtout pour les tri therapies dont les appels d offres ont ete directement dans les jt de 20h a l epoque avant meme commercialisation! c est infecte ! c est la race humaine tout qui a le sida.....nous sommes tous le vih de la planete Terre ! Enfin si on me donnait une part du gateau ce serait cool! Remarques que je profite bien de l 'a.a.h (800euros/mois) uniquement donnée aux seropos SOUS TRAITEMENTS et sans emploi......ils ont commence a payer.....ils continuent et sont obliges de continuer alors que je prends plus de medocs....lol... a defaut de deposer plaintes contre des moulins a vents, c est toujours bon a prendre ! Bye!
  14. ...gag! ....donc a verifier aussi! Enfin comment rendre un medecin HIV fou ?? et surtout le taquiner ?? Comment savoir si on a toujours de l'azt de le sang??? .......( de maniere à etre sur qu apres exposition a une tri therapie,si on a des problemes de sante apres ou longtemps apres , on peut faire chanter son medecin hiv en lui disant : j ai toujours de l azt dans le sang : charlatant !) he oui pas de pities....apres tout eux en ont pas.....marche ou creve ! analyse non remboursée par la secu ( 20 euros a peu pres ) et peut se faire sans ordonnance ( comme toutes analyses, du moment qu on paie...meme avec un faux nom...lol!): thymidine kinase Si cette proteine est elevée, sans autres anomalies ( immunoglobulines donc cancers,lymphomes) c est que la personne a ete soumis a de l azt.....et plus cette enzyme s eleve dans le sang sous tri therapie, plus la personne a % eleve de develloper lymphomes, cancers donc SIDA etc.... CHerchez sur www.pubmed.com en tapant sur leur moteur de recherche : thymidine kinase haart thymidine kinase zidovudine thymidine kinase iatrogenic diseases Bon courage! Voici mon entretien avec mon medecin hiv le jour meme ou j ai eu le resultat: Dites moi, est ce que j ai toujours de la zidovudine dans le sang maintenant que je n en prends plus depuis deux ans? reponse : NON BIEN SUR ! et je lui pointe sous les yeux le resultat de la thymdine kinase a 150 iu ( normale inf a 20).......... LA J AI JOUI ........il est devenu rouge ECARLATE... j ai repose ma question une fois de plus : reponse : HEU JE NE SAIS PAS...HEU MAIS QUI VOUS A PRESCRIT CETTE ANALYSE ? je lui reponds : moi meme et je sais cela que veut dire quand on a pris de l'azt trés longtemps. sa réponse a ete : bon autre chose ???... et depuis il est bien sur different avec moi depuis, sans plus, mais il ne me parle plus de t4 et charge virale, lorsque que je vais le voir ( 2 ou 3 fois par an pour du gaviscon et des nfs toutes simples et d' une radio des pôumons car je bosse dans endroit enfumés)....sacres toubibs, je suis quand meme envoute !! c est fou, j ai le cerveau qui deconne LOL! ENfin bonne nouvelle il y a deux mois en arriere ma Thymidine KInase etait a 90.......quatre ans apres arret et j ai toujours les ongles rayes en marrons ( effets secondaires de l azt qui provoque une surproduction de melanine...eventuellement cancerigene donc) et le gros ventre des anti proteases...... l evidence montre que ces effets sont donc irrerversibles, ou reversibles selon les personnes mais alors avec beaucoup de temps et meme en se purifiant l'organisme ( bio parlant), meme avec de l eau benite de Lourdes (lol) je me demande si on pourrait y changer quelque chose........j ai rencontre une homeopathe une fois, qui avait mis sur sa plaque ( specialisée en immunologie et sida( une menteuse de +) et ma premiere question a ete : j ai pris une tri therapie pendant 2 ans j ai arrete....est ce que c est possible, pour vous, d' essayer de reparer les degats de l 'azt ? sa franchise a ete de dire : non ! ETONNANT NON ?! En y mettant de l humour on pourrait dire que meme en ayant arrete l azt, on est peut etre toujours dans la merde !! ( zut! encore un choc psychologique de decouvrir tout cela et la dissidence : pas bon pour les t4 tout cela !!!.). bon il parait qu une dose unique tous les quinzes jours de thymuline 5 ch ferait du bien (20 frcs par mois)pour faire monter les t4 ( encore eux!!) ( cherchez sur le net : thymuline sida ou thymuline vih ou thymuline systeme immunitaire)....lol! j ai essaye mais je ne sais pas si cela a marche...je suis vraiment hurlant! et surtout de ne jamais prendre ce genre de produits ! NEVER NEVER de meme que le zovirax ou tout autre antiviral. HOLD ON AND TAKE CARE! PD OUI MAIS PAS MUTILE !!.........ou presque !!!!
  15. Petit conseil qui n engage que moi : Jimmy, j ai lu votre parcours plus haut.....( moi j ai jamais pris de bactrim, nanananére .....lol!, je plaisante), si vous etes fatigues et que votre NFS indiquent une leucopénie ( chute des globules blancs ) ou une neutropénie ( quantite insuffisante de neutrophiles) ou une lymphopénie ( lol) sans causes apparente ou iatrogenes AVEC UNE VS normale , sachez que dans les années 70 on prescrivait un medicament qui s appele LEUCO4 ( vendu sans ordonnance....c'est de la vitamine b4.......(lol, vous qui avez aussi sucombe a la vitaminomania, celle la semble sympa) pour les leucopenies et de la vitamine b6 pour la lymphopenie, pour la neutropenie une gellule d huile de bourrache/onagre jour ( ou une cuillere d huile d olive tous les matins a jeun avec un filet de jus de citron) suffit a relever la barre, parfois. A PRENDRE si les analyses CLASSIQUES sont mauvaises et faire de petites cures et controler par analyses le resultat, de maniere a ne pas en prendre pour rien. IL serait bon peut etre pour vous de voir si le bactrim ne vous a pas sucé tout l acide folique et de mesurer aussi la b12...demandez a votre medecin hiv une ordonnance : il va adorer ! Toujours dans le meme style et bien plus important que les anti- oxydants, les pro oxydants . Les tri therapies defoncent le systeme d absorption du fer et du cuivre, donc a
  16. "Les tri therapies prolongent les vies"alors j ai poste dans un message precedent dans ce meme sujet de discussion une etude faite et publiee par l INSERM, donc ministere de la sante qui demontre clairement que depuis la mise sur le marche des tri therapies avec AP ( anti proteases) le deces des personnes seropositives sous traitements a augmente alors que les cas de sida aurait diminue dans cette meme population.... Et vous dites que vous voyez tous les jours les bien faits de ces produits sur votre lieu de travail.........bonne blague ! vous etes un salarie du $ida et devant votre entetement face à des preuves irrefutables vous devriez etre ignoré. Si il fallait prescrire des tri therapies a toutes les personnes qui font des pneumocytoses, des lymphomes , la tuberculose , des candidoses ( donc qui ont le sida )seul les labos seraient heureux...il faudrait mettre dirons nous pour la france au moins 5 millions de personnes sous traitement anti-retroviral.......ca couterait des milliards et là, dans ces conditions, on pourrait vraiment qualifier cela de genocide ! J AIMERAIS BIEN QUE LE TEST HIV SOIT OBLIGATOIRE RIEN QUE POUR CELA : LES LANGUES SE DELIERAIENT VITE. Moi , Monsieur Hufa, legalement j aurais le sida depuis plus de 27 ans ( candidose orl suite a une appendicitectomie avec eventration abdominale)....et je suis toujours là ! ( j ai 34 ans).....j ai pris pendant deux ans ce que vous qualifiez de methode avec resultat ( tri therapie) et sans les informations que l on trouvent sur le net je serais mort.....et vous comment savez vous que les patients que vous voyez ont le sida declaré ?????d'apres leurs dossiers ou/et d apres leurs aspects physiques ???? par leur maigreur mortelle induite par les traitements ( avez vous deja lu une notice de l' azt ?). Mais oui, vous savez trés bien! Moi je travaille depuis 15 ans dans le milieu GAY et je peux voir chaque soir les ravages physiques visibles à l oeil nu que causent ces medicaments ( je ne parle pas des effets internes c est encore un autre probleme bien plus grave mais lié). Donc à mon avis, soit vous etes : un employe du $ida aveugle et igniorant ( comme des milliers qui bossent dans les assocs style actup aides etc)....donc un idiot atteint du Syndrome de l Intelligence Defaillante Acquise. ou un cadre sup de chez GlaxoWellcom and co donc un assasin et vous vous foutez de notre gueule ! ( et je pense honnetement que des gens doivent etre remunerés pour contre dire les discours dissents sur les plus sites internets vu les interets financiers, meme moi, patron de Glaxo par exemple, j y aurais pensé!!! pas vous ??? lol ). A vous de choisir Mais svp, arretez de vous moquez de la gueule du monde !. Et j invite d autres a faire pareil ! On en a marre de vos phrases stereotypées de pauvres malades du sida ressucités par des drogues dangeureuses mortelles et qui aggravent le trou de la secu ( triple LOL!). Cherchez pas à mettre le doute, vous avez quelques coriaces (ici).....
  17. NON NON et NON MONSIEUR .... Lorsqu'il y a des grandes epidemies des milliers de personnes ( sero ou pas )sont touchées et des millions d autres passent a travers......certains immunologistes pensent que cela vient d'une defaillance,mais car cela n est pas prouvé dans le sens ou des millions de gens avec une immunité deteriorée ne sont pas infectées lors de memes epidemies. Voila une fois de plus votre theorie tombe à l'eau, à mes yeux bien sur!, comme celles de la cysteine. A ce sujet j applaudis bien fort Jimmy qui a enfin compris que les vitamines peuvent etre aussi dangeureuses que l 'azt ( surtout prise a grosses doses et de maniere continue....comme le font les americains d ailleurs)... Il ne faut pas rentrer dans le jeu des vitamines qui sont pas authorisées patati patata..la mafia des labos etc etc...car c est faire le jeu des labos ......et donc approuver aussi, quelques parts les tri therapies en se disant : les salauds, ils pourraient trouver autre chose!. IL est completement debile de juger l'etat d un systeme immunitaire uniquement avec les cd 4.......et pourquoi pas les cd 19 et les t45 ?...les cd 4 positifs? negatifs ? les cd4 issu de th1 ou th2?! Aujourd hui seule la NFS fait office de references dans les hopitaux .....pourquoi aller chercher plus rien ??.....il y a bien plus de pneumones mortelles chez des t4 a 800 qu a 200.......JUSQU A PREUVE DU CONTRAIRE . Vous savez je commence a m interresser de prés à la psychologie et je pense que c est une voie interressante.....dans le sens ou si une personne seropo qui n a auncune autres infections latentes ( tb, syph, gono, carini cancers etc etc etc) qui ne prends ps de medocs et en a tres pres pris dans sa vie...la seule solution est que son immuno deficience est PEUT ETRE psychologique......un traumastime cranien ( problemes enfance, homo ou bissex mal vecue ajouté a un test hiv+)... Il est bien connu que la peur, l'angoisse, le mal etre et L OBSESSION les nevroses les addictions profondes PEUVENT DETRUIRENT LE SYSTEME IMMUNITAIRE ... C'est le cerveau qui commande le corps et non pas le contraire....basic et logique .....sous l effet d un stress cela cause une inflammation auto immune (tissu lymphatique........d ou l expression : j ai les boules ou MOURRIR DE PEUR)........... j aurais bien voulu connaitre l etat du systeme immunitaire des prisionniers irakiens dont on a tant parle recement maintenant que l on sait que toutes les veuves de plus de 60 ans en ont 0 de t4 justement!. Arretez avec votre chloramhenicol.....ok c est un vieux medoc pourrit qui peut causer des aplasies mortelles irreversibles ( visibles sur une NFS.....sans aller compter les t4!!)......aujourd'hui c est un collyre pour les yeux que des milliers de personnes en prennent dans le monde....quand aux comprimes cela fait longtemps qu on en fabrique moins ( juste pour l afrique ok)......je doute fort que ce soit la cause unique de SIDA en afrique....certains doivent en mourrir ok mais ils ne meurent pas que de ca.......puis le bactrim est tout a fait dans la meme lignée pourquoi vous en parlez pas ??? c est l antibio le plus prescrit chez les seros et le MOINS CHER DU MARCHE!......par exemple si vous prenez pendant 2 ou a 3 ans 1 comprime de bactrim par jour, il se peut que vous fassiez une pneumonie intersitielle ( vous savez la meme que la pneumocystose a carinii, mais sans carinii !:lol!!!).........www.pneumotox.com. Neanmoins j apprecie vos posts que je suis depuis longtemps, a l epoque doctissimo et que je suis ravi de pouvoir debattre de tout cela...sans etre censure. Enfin pour finir, n oublions la nosologie principale du SIDA : ( qui viens bien avant l azt, les drogues, les conduites a riques, les infections, les cancers et etc....): Syndrome de l' Intelligence Defaillante Acquise
  18. Bonsoir monsieur Gluthation Cheminot. Vous avez ecrit : ......Par ailleurs, Hufa, l'immunodéficience acquise est bien une "déficience de l'immunité qui devient irréversible à partir d'un certain stade, avec des maladies opportunistes (de type mycose la plupart du temps) qui vont faire mourir", avec des taux de certaines protéines (les fameux anticorps) qui deviennent élevés.......... Lol, serieusement je vous comprends pas toujours !!.....par contre j'ai tres bien compris seule la connerie humaine est IRREVERSIBLE et ca continuera, et ca depuis ,et pour, des millions d'années !
  19. Pour FAF Vous avez une drole de reaction par rapport à tout ce que vous avez pu lire ( qui n'estpas synonyme de comprendre)....ne seriez vous pas un employe du $ida par hasard ?! Comment faites vous pour insinuer qu' un arret de traitement comme celui des tri therapies dont les effets secondaires sont connus maintenant de tous, et qui ne sont un secret de polichinel pour personne dans le milieu medical, mettrait la vie en danger d une personne seropositive......d'ou vous viens cette ultime conviction ?. J ai arrete depuis 4 ans une tritherapie et j en ai en cadeau diverses petits problemes que je ne souhaite à personne.....cela fait 16 ans que je serais "seropositif" et les seules maladies que j ai pu avoir sont toutes iatrogenes......vous devriez un peu etudie la nosologie des maladies avant d en parler comme vous le faites..... Je fais de temps en temps des examens et tout va bien......j ai arrete la mesure de la charge virale qui ne sert à rien.....il y a des seropos avec une charge virale a 0 et qui meurent quand meme de maladies classifiées SIDA.....quand aux T4 cela ne sert aboslument à rien de les faires....de toutes les facons le stress induit par l annonce de test positive suffit à les faires chuter ( comme des tas d autres choses d ailleurs). vous avez ecrit : La recherche de tritherapie sans effets secondaire est le combat n°1 des chercheurs.Arreyter un traitement tritherapique c'est racourcir son temps de vie . Voila une phrase type de charlatant qui pensent avoir decouvert le secret de la vie eternelle......vous etes un ASSASSIN en ecrivant cela, moi je vous dis ARRETER ET NE JAMAIS PRENDRE DE TRI THERAPIE RALLONGE LA VIE...mieux ....DE NE PLUS FAIRE LES COMPTAGES T4/charge virale LA RALLONGE DEUX FOIS PLUS. Meme si les tests vih indiquent une tendance à certaines infections ok.....prenons la tuberculose par exemple...il est quand meme curieux de savoir qu'il ya des seropos qui vont en mourrir alors que des seronegatifs non...ou est la difference ?? dans le traitement........un seropo a droit a un traitement double classique de la TB et en plus la tritherapie..........et vous voulez nous faire gober que c est a cause d'une reaction chimique endogene que certains appelent VIH ??. LOL...faut arreter la science fiction là..ok? soyez plus terre à terre. Il ne faut pas confondre certaines choses vous savez : CE N EST PAS PARCE QUE VOUS AVEZ LE SIDA QUE VOUS FAITES UNE TUBERCULOSE ou UNE PNEUMONIE........... C EST PARCE QUE VOUS FAITES UNE TUBERCULOSE OU UNE PNEUMONIE QUE VOUS AVEZ LE SIDA.....seropositif ou pas . Et je vous invite à me prouver SCIENTIFIQUEMENT LE CONTRAIRE. Il ne faut pas confondre aussi... LES CAS DE SIDA ONT DIMINUE MAIS LES DECES DES PERSONNES SEROPOSITIVES ONT AUGMENTES DEPUIS LA MISE SUR LES MARCHES DES TRI THERAPIES a ce sujet je vous invite à vous sortir du Syndrome de l 'Intelligence Defaillante Acquise dont vous semblez atteint, voici le resultat d une etude publiée par des organismes publiques d 'état......lisez la bien et si vous insistez en disant qu'arreter son traitement est dangeureux pour un seropositif, c est que vous etes dans la mafia SIDA financierement parlant.....et franchement on a marre de gens comme vous qui sont des empecheurs "d'exister".....avant les gens comme cela, LES CHARLATANTS, on les pendait haut et court!. Quand meme fou ces medecins qui decident du droit de vie ou de mort ! Allez bonne instruction et si dans cette etude, vous ne comprenez pas quelque chose, téléphonez au ministre de la santé pour plus d informations : lol !........idiot ! http://www.invs.sante.fr/beh/1999/9917/ -------------------------------------------------------------------------------- Retour au sommaire des BEH de 1999 ÉVOLUTION DES CAUSES DE DÉCÈS DES PATIENTS INFECTES PAR LE VIH DANS LA COHORTE AQUITAINE, 1985-1997 S. Vandentorren 1, P. Mercié 1, 1, C. Marimoutou 1, 1, F Dabis 1,3, 1 et le Groupe d'Epidémiologie Clinique en Aquitaine (GECSA)I, 3 INSERM U330, Université Victor Segalen Bordeaux 2, 146, rue Léo Saignat, 33076 Bordeaux Cedex. Service de Médecine interne, Hôpital Haut-Lévèque, Centre Hospitalier Universitaire (CHU), Bordeaux. Centre d'information et de Soins de l'Immunodéficience Humaine (CISIH), CHU de Bordeaux. INTRODUCTION Jusqu'à l'arrivée des Inhibiteurs de Protéase (IP) en 1996, les principales causes de décès des patients infectés par le VIH (VIH+) étaient les manifestations cliniques classant SIDA [1]. La prescription des trithérapies avec IP a spectaculairement amélioré la survie des personnes VIH+. On peut désormais se demander si leur mortalité peut redevenir comparable à celle de la population du même âge indemne de l'infection. Or depuis le début de l'épidémie, très peu d'études se sont intéressées à la description complète des causes de décès des patients VIH+, indépendamment de leur passage au stade SIDA [2]. MATÉRIEL ET MÉTHODES Depuis 1987, le Groupe d'Épidémiologie Clinique du Sida en Aquitaine (GESCA) a établi un système de surveillance hospitalier de l'infection par le VIH-1 au Centre Hospitalier Universitaire de Bordeaux puis dans les centres hospitaliers de Bayonne, Dax, Libourne et Villeneuve-sur-Lot. Les critères de signalement sont une infection par le VIH-1 confirmée par un test Western-Blot, un âge supérieur ou égal à 13 ans, un recours au moins une fois à un des services hospitaliers participant au recueil des données et le consentement éclairé du patient. Cette étude descriptive a concerné les patients inclus dans ce système d'information et décédés entre 1985 et 1997. Les causes de décès des patients ont été notifiées de manière prospective, trois causes de décès pouvant être mentionnées sur le modèle des informations exigées pour le remplissage des certificats de décès. Les patients décédés ayant au moins une pathologie classante SIDA mentionnée en tant que cause de décès sont répertoriées dans le groupe " cause SIDA " et seuls les décès pour lesquels aucune pathologie classante n'était mentionnée constituent le groupe des " causes non SIDA ". Les distributions des causes de décès ont été exprimées en pourcentages, calculés par rapport au total des causes de décès, globalement, puis elles sont analysées séparément pour les causes SIDA et non SIDA. Les comparaisons ont été réalisées sur les données annuelles depuis 1985 puis sur deux périodes équivalentes de 18 mois : de janvier 1995 à juin 1996 et de juillet 1996 à décembre 1997. RÉSULTATS Au total, 1 662 décès ont été notifiés parmi les 5 124 patients de la Cohorte Aquitaine. La mortalité cumulative est donc de 32,4 % pour la période de 13 ans, 1985-1997. Les patients décédés étaient de sexe masculin à 80 %. La médiane d'âge au moment du décès était de 37 ans, s'étendant de 15 à 92 ans. Les patients décédés avaient le plus souvent acquis leur infection lors de rapports homo-bisexuels (40 %), toxicomanie (31 %) ou de rapports hétérosexuels (13 %). La diminution du nombre annuel de décès est nette à partir de 1996 (Fig. 1). La létalité globale (nombre de décès/nombre de patients suivis dans l'année) diminue ainsi de 11,5 % en 1995 à 3,1 % en 1997. La proportion des causes de décès non SIDA passe de 15,2 % des décès en 1995 (n = 263) à 35,1 % en 1997 (n = 77). Figure 1. Tendances séculaires du nombre de décès de causes SIDA et non SIDA Cohorte Aquitaine, 1985-1997 L’évolution des causes de décès liées au SIDA (N = 1 249) a montré la persistance d'une part importante et relativement stable des décès par pathologies multiples (30 % du total des causes SIDA chaque année depuis 1990). La proportion des décès liés aux lymphomes a quant à elle augmenté depuis 1991 pour atteindre 24 % du total des causes SIDA en 1997 contre 5 à 10 % les années précédentes, alors que la proportion des décès secondaires à des infections opportunistes a diminué (27 % du total des causes SIDA en 1996 contre 45 % en 1993). L’étude de l'évolution des causes de décès non liées au SIDA (N = 370) a mis en évidence une pari importante de causés de décès non informatives (33 % des causes non SIDA), sans modification sur la période d'étude. Cependant, parmi ces causes de décès non SIDA, la part des décès par cancers non classants au stade SIDA (tumeur maligne des bronches, tumeur maligne digestive...) a augmenté passant de 3 % en 1995 à 7 % en 1997. De la même manière, la part des pathologies hépatiques (cirrhose, hépatite chronique ... ) s'est accrue entre 1995 (8 %) et 1997 (11 %). Enfin, la part des décès par suicide et overdose est restée importante tout au long de la période d'étude (11 % par an en moyenne des décès non SIDA). La comparaison des causes de décès durant les 18 mois avant (janvier 1995juin 1996) et après l'introduction des AP (juillet 1996-décembre 1997) met en évidence une tendance à l'augmentation des causes de décès par pathologies néoplasiques, classantes ou non SIDA, passant de 18 % (n = 66) à 23 % (n = 32) sans atteindre le seuil de significativité (p = 0,10). Ce phénomène est amplifié lorsqu'on compare l'ensemble de la période avant l'introduction des AP et les 18 mois suivants. Ainsi, il y avait 15 % de causes de décès par cancer de 1985 à juin 1996 (n = 216) et 23 % après, de juillet 1996 à décembre 1997 (n = 32), p = 0,03. En comparant les deux dernières périodes d'observation de 18 mois, on trouvait une augmentation significative des causes de décès par suicide ou overdose : 8 % (n = 12) de juillet 1996 à décembre 1997 au lieu de 3 % (n = 12) dans les 18 mois précédents (p = 0,01). Il n'y avait pas de différence significative dans la part des causes de décès par infections opportunistes, 55 % pour les deux périodes (n = 204 et n = 77, respectivement). DISCUSSION La part de décès non liés au SIDA est croissante parmi les causes de décès des patients VIH+, parallèlement à la chute de la mortalité dans cette population, depuis 1996. Nous remarquons enfin que les décès de cause néoplasique ont augmenté après l'introduction des tri-thérapies avec AP. Dans notre système d'information, les décès sont notifiés spontanément et prospectivement par les cliniciens et une recherche active des patients perdus de vue est régulièrement effectuée. Le risque de sous-estimation du nombre de décès même les plus récents est faible. La principale difficulté de cette étude a été d'obtenir des informations précises sur les causes de décès. On note toutefois parmi les patients décédés de causes non informatives que 28 % étaient déjà au stade SIDA au moment du décès. La part de causes non informatives reste stable au cours du temps (30 %). Un biais dans la répartition exacte des causes de décès ne devrait pas avoir modifié son évolution temporelle, comme cela a été montré pour d'autres causes de décès en dehors de l'infection à VIH [3]. Malgré l'existence toujours possible de ces biais de sélection et d'information, notre étude représente une description exhaustive des causes de décès non liées au SIDA, qui occupent une part de plus en plus importante parmi les causes de décès des patients VIH+. Il s'agit d'une source d'informations intéressante sur des pathologies émergentes, potentiellement létales [4]. Une mortalité normale pour la tranche d'âge, auparavant masquée par la surmortalité liée au SIDA peut ainsi réapparaître. De même, de nouvelles maladies favorisées par les traitements antirétroviraux peuvent se développer, comme les pathologies cardiovasculaires liées aux anomalies du métabolisme glucidique et lipidique récemment décrites [5]. Un dépistage plus précoce et ciblé, par exemple des pathologies néoplasiques, pourrait aussi améliorer, grâce à une prise en charge adaptée, la morbidité et l'espérance de vie des patients VIH+. Ceci pose la question de la surveillance épidémiologique systématique de l'infection à VIH au lieu de se limiter à celle des cas SIDA déclarés [6]. Nos données justifient dès aujourd'hui la mise en place ou l'intensification des moyens de surveillance des décès des patients VIH+. RÉFÉRENCES [1] Chang H., Morse D., Noonan C. et al - Survival and Mortality Patterns of an Acquired Immunodeficiency Syndrome (AIDS) Cohort in New York State. Am. J. Epidemiol 1993 ; 138 : 341-9. [2] Kravcik S., Hawley-Foss N., Victor G. et al. - Causes of death of HIV-infected persons in Ottawa, Ontario, 1984-1995. Arch. lntern. Med. 1997; 157: 2069-73, [3] Salmi R., Dabis F, McKinley T et al. - Quality of death certificates: studying or burying? Am. J Public Heaith. 1990; 80: 751. [4] Bindels P.J.E., Reeijneveld S.A., Mulder-Folkerts D.K.F et al. - Impact of AIDS on premature mortality in Amsterdam, 1982-1992. AIDS 1994; 8: 233-2 [5] Henry K., Melroe H., Huebsh J. et al. - Severe premature coranary artery disease with protease inhibitor. Lancet 1998 ; 351 : 1958. [6] Mocroft A., Vella S., Benfield TL. et al - Changing patterns of mortality across Europe in patients infected
  20. http://www.monde-diplomatique.fr/1999/02/SMADJA/11634 février 1999 Page 27 SUR FOND DE RIVALITÉ FRANCO- AMÉRICAINE Les dessous de laffaire du sang contaminé CEST sur la question du dépistage du sang contaminé que M. Laurent Fabius, ancien premier ministre, et les ex-ministres Edmond Hervé et Georgina Dufoix comparaissent devant la justice, ce mois-ci. Laccusation repose sur un postulat fondamental : au printemps 1985, le gouvernement français a retardé le dépistage systématique des donneurs de sang, alors même quun test américain était disponible et de bonne qualité. Cette décision aurait visé à favoriser le groupe Pasteur, qui lui-même préparait un test. Pourtant, à étudier le dossier, il apparaît que cest le géant américain Abbott qui sest livré, pour conquérir le marché des tests, à des pratiques pour le moins douteuses. Le sida est apparu sur la côte ouest des Etats-Unis en 1981, mais lorigine de cette maladie infectieuse était inconnue. Si, en 1983, léquipe du professeur Luc Montagnier isole un nouveau rétrovirus, appelé alors LAV (virus lympho-adénopathique), il faudra attendre que Robert Gallo « redécouvre » le même virus en 1984, quil nomme HTLV3, pour que le monde soit persuadé de son existence. La découverte danticorps spécifiques chez des patients sidéens apportera la preuve biologique du rôle du virus LAV dans linfection. Mais la preuve de la responsabilité du virus dans la transmission du sida dun individu à lautre ne sera apportée, sur le plan épidémiologique, quen 1985, quand on montrera que le sang dun donneur séropositif (cest-à-dire ne portant pas de traces de la maladie au moment du don de sang mais atteint de sida ultérieurement) a pu contaminer un receveur. Sil y a, en mai 1985, environ 350 personnes en France qui ont développé le sida, le nombre de séropositifs est inconnu : il faudrait un test pour les détecter. Depuis Louis Pasteur, la médecine considère que la présence danticorps est la preuve que lorganisme a développé un système de défense contre la maladie : leur présence signifie donc protection. Beaucoup espéraient encore, début 1985, que les séropositifs étaient protégés de la maladie ou au moins nétaient pas contagieux. Dans les années suivantes, il fallut se rendre à lévidence : les séropositifs sont porteurs chroniques du virus et le transmettent. Avec le passage de la conception de la séropositivité comme protectrice contre la maladie à la conception de la séropositivité comme annonciatrice de la maladie, cest une véritable révolution conceptuelle qui sopère entre 1984 et 1986. Le professeur Montagnier lui- même sinterroge dans Le Nouvel Observateur, le 8 septembre 1985 : « Quelle est la signification exacte de cette "positivité" ? Le virus est-il encore présent malgré les anticorps ? A quoi servent ces prétendus anticorps - destinés en principe à protéger - si la maladie napparaît justement que quand ils sont là ? Le sujet positif est-il contagieux, transmetteur du virus ? » La mise en évidence danticorps chez des sujets sidéens à la fin de lannée 1983 par les équipes des professeurs Montagnier et Gallo ouvrait cependant la voie à la mise au point de tests de dépistage sanguin, à condition de pouvoir cultiver et produire le virus en grande quantité. Aucun laboratoire correctement équipé pour ce faire nexistait en France. Le professeur Montagnier obtient, en janvier 1984, du gouvernement de Pierre Mauroy le financement dun laboratoire de haute sécurité. Parallèlement, aux Etats-Unis, le National Institute of Health organisait un appel doffres pour la mise au point dun test avec à la clé un engagement de pré-licence rapide du produit : ainsi, cinq sociétés américaines seulement eurent le droit de vendre des tests aux Etats- Unis. Parmi elles, Abbott, géant de lindustrie des tests de diagnostic, qui devenait le « poulain » officiel du gouvernement américain dans la course mondiale au test. Désormais, tous les coups seront permis pour laider à sapproprier lessentiel du marché national et international. La tentative de Pasteur de pénétrer aux Etats-Unis en salliant à une des cinq sociétés retenues, Genetic Systems, sera un échec. Une partie de poker menteur sengage dès le mois de février 1985, date à laquelle deux industriels, Abbott et Diagnostics Pasteur - société industrielle de développement des découvertes de Pasteur -, déposent, à quelques jours dintervalle, une demande dhomologation de leur test de dépistage du virus VIH auprès du Laboratoire national de la santé, qui effectue les tests préalables à la mise sur le marché de médicaments (il a été remplacé depuis par lAgence du médicament). Deux questions se posaient pour le test Abbott. Etait-il fiable ? Existait-il en quantité suffisante pour fournir le marché français dans le cadre de la politique de dépistage systématique décidée par le gouvernement le 19 juin 1985 ? La qualité dun test diagnostique de ce type se juge sur sa sensibilité à détecter, dans le sérum de la personne testée, de faibles quantités danticorps anti-VIH et sur sa capacité à ne reconnaître spécifiquement que ces anticorps à lexclusion de tous les autres, de manière sûre et reproductible (1). Or la firme américaine a constamment présenté de manière fallacieuse les caractéristiques réelles de son test : elle cherchait avant tout à obtenir le contrôle total du marché. Ainsi, pour obtenir le feu vert de la Food and Drug Administration (FDA) et signer un accord dexclusivité avec la Croix-Rouge américaine, qui lui assurait lhégémonie commerciale sur le marché américain, Abbott a présenté en janvier 1985 des résultats « parfaits », qui sont tronqués et bien peu reproductibles. Personne ne sinquiète du fait que seuls 93,4 % des malades sidéens avérés, et donc probablement porteurs de grandes quantités danticorps, sont détectés par le test, alors que la sensibilité annoncée dans la notice dutilisation était de 97,5 % à 100 %. Un test peu fiable DE nombreux documents et articles scientifiques (2) démontrent en effet que le test Abbott était de mauvaise qualité. Ses faiblesses portent non seulement sur sa mauvaise spécificité (nombre élevé de faux positifs), qui était connue en France dès février 1985, mais aussi sur sa faible sensibilité, cest-à-dire son incapacité à détecter tous les porteurs de VIH (faux négatifs). Des études américaines concordantes démontrent la médiocrité du test Abbott pour ces deux paramètres (3). Plusieurs personnes ont dailleurs été contaminées aux Etats-Unis par des échantillons sanguins pourtant testés négativement par le test Abbott (4). De plus, la reproductibilité des performances du test Abbott dun lot à lautre est faible. On peut comprendre les doutes des expérimentateurs français. Dautre part, Abbott ne pouvait fournir le marché étranger pendant la plus grande partie du premier semestre 1985. Lentreprise ne disposait à ce moment que dune réserve dun ou deux jours de production de tests dont 20 % des lots étaient défectueux, cest-à-dire se périmaient trop vite (5). Face à tous ces défauts, le test Diagnostics-Pasteur est de bien meilleure qualité, comme le confirment les tests pratiqués aux Etats-Unis fin 1985 et en 1986, notamment par la Croix-Rouge américaine (6). Sa sensibilité est ainsi bien meilleure puisque le test Pasteur détecte plus de sujets porteurs du virus que celui dAbbott. Pasteur utilise une technique moderne automatisable. La Croix-Rouge américaine confirmera le 7 octobre 1986 que, même après les modifications demandées, les performances du test Abbott restent mauvaises par rapport à celles de son concurrent. De nombreux problèmes techniques ont en effet accaparé les services dAbbott entre 1985 et 1987, les empêchant de procéder à lamélioration des performances de leur test que la Croix-Rouge et la FDA ont (tardivement) exigée. Une conférence de consensus (réunion dexperts chargée détablir les procédures de diagnostic et le traitement dune maladie particulière) du 7 juillet 1986 conclut que les résultats faussement négatifs avec Abbott sont plus fréquents quon le pensait et exige que la Croix-Rouge achète des tests Pasteur. Du fait de ces problèmes de production, une souche virale spéciale a été préparée en juillet 1985 pour le seul marché français, ce qui signifie que les tests livrés en France ne sont pas les mêmes que ceux qui ont été soumis à homologation. Même sur le marché américain, le nombre de tests livrés en avril-mai est très en deçà des promesses dAbbott et des besoins du pays. Le test de Diagnostics-Pasteur avait de plus lavantage, fin février 1985, davoir été déjà évalué avec succès en France. Il pouvait donc être enregistré immédiatement. Mais le lobbying agressif de la firme américaine entraînera la mise en place dun essai comparatif à grande échelle de lensemble des tests industriels. Or Diagnostics- Pasteur pouvait commencer à livrer des tests en grande quantité dès le 15 avril 1985. Le directeur de Diagnostics-Pasteur, M. Jean Weber, préconisa alors vainement un scénario à laméricaine : autorisation immédiate de son seul test avant même que sa société soit capable de fournir 50 % du marché français. Le dépistage serait recommandé (comme en Allemagne et aux Etats-Unis) mais non rendu obligatoire : la précocité de la mesure avait pour corollaire une montée en puissance progressive. Cest un tel scénario quaurait choisi le gouvernement français sil avait eu pour objectif principal de favoriser les intérêts de la société Diagnostics-Pasteur. Mais, à partir de la réunion interministérielle du 14 mai 1985, la décision est prise de sorienter vers un dépistage systématique de tous les dons de sang, et donc de ne pas autoriser les réactifs avant début juillet, pour que tous les produits sanguins puissent être testés simultanément. Le test Diagnostics-Pasteur sera certes agréé fin juin 1985, soit un mois avant le test Abbott, mais tous les tests industriels concurrents seront sur le marché et également remboursés le 31 juillet 1985, date du début du dépistage obligatoire. Et Abbott prendra environ 50 % du marché français. En revanche, la stratégie dAbbott aux Etats-Unis a permis déviter la mise sur le marché de tests concurrents. Un dirigeant dAbbott intervient directement auprès de la FDA le 3 juillet 1985 pour exiger, avec succès, la non-autorisation sur le territoire américain du test Pasteur. Dailleurs, le ministère américain de la santé et la direction de la Croix-Rouge continueront à défendre la compagnie américaine jusquà ce que, en 1986, les scientifiques de la Croix-Rouge sinsurgent contre lexclusivité dachat chez Abbott : eux- mêmes avaient recommandé dacheter « 80 % des tests chez Pasteur », considérés comme meilleurs que ceux dAbbott (7). La conduite dAbbott a suscité aux Etats-Unis de nombreuses protestations de médecins, des articles de journaux accusateurs et même une enquête de membres du Congrès en 1992, ainsi que des actions en justice de personnes contaminées à partir de lots testés négativement. Ainsi, au début de lannée 1985, de fortes présomptions planaient sur le test Abbott. Cest ce quexplique, en février 1985, un chercheur britannique, le docteur Angus Daiglish, du Chester Beally Laboratory (Institut de la recherche du cancer) : « Ce test est pire quinutile [et] il est surprenant que le département américain ait donné son autorisation. » Et il ajoute : « On suspecte [le test américain] dêtre dangereusement peu fiable. (...) Il donne des faux négatifs et même des faux positifs (8 ) . » Le test Abbott de première génération ne sera dailleurs pas autorisé en Grande-Bretagne. Au même moment, le docteur Alain Leblanc, du Laboratoire national de la santé, sétonnait auprès de ses supérieurs. « Je suis frappé par la légèreté du dossier présenté par Abbott au regard de lexpertise conduite pour le réactif de Pasteur », écrivait-il le 25 février 1985. Lévaluation comparative des tests, conduite en France entre mars et juin 1985, a dailleurs démontré que les tests Abbott présentaient un nombre beaucoup plus élevé de faux positifs que ses concurrents Pasteur et Organon. A partir des éléments contenus dans les documents disponibles, en particulier dorigine américaine, les doutes des membres des cabinets ministériels envers le test Abbott étaient tout à fait justifiés. De même, lhomologation du seul test Abbott en juin 1985 aurait conduit à augmenter le nombre de personnes contaminées à partir de dons testés négativement (du fait de la haute prévalence de faux négatifs du test Abbott), à désorganiser les services de transfusion (du fait des très fréquents faux positifs), et donc à compromettre laccès au sang en quantité suffisante. Philippe Froguel et Catherine Smadja. -------------------------------------------------------------------------------- (1) Les résultats des faux positifs sont liés à une mauvaise spécificité du test et conduisent à considérer comme infestés des dons de sang en réalité indemnes ; les résultats des faux négatifs sont dus à une mauvaise sensibilité du test, qui ne peut reconnaître des quantités faibles danticorps. Ces résultats faussement rassurants conduisent à transfuser du sang contaminé. Ce dernier cas est, évidemment, le plus dangereux. (2) Concernant la spécificité, lire Holland PV et al., « Anti-HTLV-III Testing of Blood Donors : Reproductibility and Confirmability of Commercial Test Kits », Transfusion (Paris, juillet-août 1985, 25 (3) , 395-397). Il étudie deux tests commerciaux (dont Abbott) et ne trouve pas les mêmes résultats avec lun et lautre ; il conseille donc de confirmer un résultat positif de séropositivité par un test de nature différente. (4) Le résumé dune communication présentée en septembre 1985 et publiée dans Transfusion, numéro spécial de septembre 1985, rapporte que le même lot de sang testé successivement avec plusieurs kits Abbott a dabord été négatif, puis positif. (4) Par exemple Mme Judith Jones vs. Conrad Fraser (US District Court for the Eastern District of Pennsylvania). (5) Selon un mémo interne dAbbott daté du 14 juin 1985, « les stocks ne peuvent augmenter tant que lon ne disposera pas de davantage dantigène ». En dautres termes, Abbott nest pas capable de produire assez de virus inactivé pour fabriquer la quantité de tests nécessaire. (6) Cest ce qui ressort de la réponse faite le 7 février 1992 par la Croix-Rouge américaine à M. John Dingell, chargé dune commission denquête par la Chambre des représentants, qui écrit que la Croix-Rouge a utilisé le test Abbott « malgré la plus grande sensibilité » du test de Pasteur. (7) Rapport du groupe de travail de la Croix-Rouge américaine sur les kits de détection des maladies infectieuses, présenté le 20 février 1986. (8 ) Daily Telegraph, Londres, 23 février 1985. LE MONDE DIPLOMATIQUE | février 1999 | Page 27 http://www.monde-diplomatique.fr/1999/02/SMADJA/11634 TOUS DROITS RÉSERVÉS © 2004 Le Monde diplomatique.
  21. Mark Je suis persuadé que le tabac est la principale cause de la chute des t4 chez certaines personnes seropositives.....donc fumer en etant sero n'est pas une cause directe de sida mais disons plus tot : fumer predispose au sida ....( au meme titre que se craker, poppers, antibios en continue,chimios...etc)
  22. Propagande...quand tu nous tiens !!! Les tri-therapies qui font grossir !!!!!!!!! Laissez-moi rire !! On aurat vraiment tout lu! Quel est l'idiot qui a eu un ecart de faiblesse en croyant ces balivernes.......cela fait des années que des etudes menées en Afrique sur les bien-faits des traitements sont publiées.....y a rien de nouveau là!....... Maintenant l'évidence montre que les tri-therapies ont de veritables pouvoir anti-infectieux ( rien de nouveau la aussi, car elles ont ete créees dans ce sens la) et que certains malades en tirent profit ok, mais dans un espace temps trés trés limité alors et puis ces effets s'arretent en meme temps que l arret du traitement!.......... Mais passé de 29k a 75kg sous HAART c'est de la connerie.....quand on a prouvé scientifiquement que celles-ci cause lypoatrophie et lypodystrophie ! Surement une étude PUBLICITAIRE publiée et destinée aux peuples africains lisant le français ( congo ....tout ces pays sous "protectorat" francais). Enfin , vaut mieux lire cela que d'etre aveugle ou sous AZT!
  23. Je ne pense pas que les antibiotiques soient responsables de tous les cas de SIDA....maintenant que ceux-ci aient des effets pro-oxydants, surement, mais il y a des antibiotiques qui peuvent renforcer l'immunité (+ de cd4) surtout si ils sont bien employés (www.positifs.org).....il est évident qu'il y a abus mais de là à dire que la race humaine est en danger à cause des antibiotiques !!!.
  24. Désolé mais il y a bien plus de gingivites et de parondites sur les quelles ont identifie des bacteries responsables de ces problemes....par contre on a jamais trouvé de trace d'infections sur des hemoroides, d'ailleurs celles ci ne se soignent pas avec des antibiotiques, alors que les problemes dentaires cités plus haut oui. Idem pour les angines, parfois le streptocoque en est responsable.....pour arriver a cet endroit,en restant dans la theorie Pasteur, le germe a bien du passer par quelque part....dans ce cas précis la bouche. Pour l'anus, faut savoir que c est par cet endroit que le corps rejete tout ce qu'il n'a plus besoin et une grosse partie des toxines.....donc la logique, à mon sens est que la muqueuse anale est bien plus resistante aux infections que la muqueuse buccale.....pour preuve dans le cas du SIDA, il y a 100 fois plus de candidose oro-pharyngée que anale!. Donc hormis les condylomes ( infection iatrogene bien sur caracterisée par une sur croissance de chair, n importe ou sur le corps aussi ) il y a tres peu et tres rarement des infections sur la marge anale. Les seuls problemes pouvant suvenir à l 'anus sont des cancers ( azt par exemple en ce moment )des hemoroides, fistules, fissures..... Maintenant je ne fais pas reference aux sado masos; cela est un probleme a part, qui ne concerne pas la population generale et qui ne concerne pas non plus une grande partie des seropositifs. Clair ??? Vlan !
  25. Cheminot Vous insisitez sur le probleme d 'immunodeficience comme si c'était une vérité et contre lequel il y faudrait un remede aussi je me permets de vous rappeler que de tout temps des hommes, des femmes meurent plus jeunes que d autres....en particulier chez les hommes dont on sait qu'ils vivent moins longtemps que les femmes......De meme que certaines personnes sont plus sensibles à certaines infections, cancers ou autres. Il se peut trés bien qu'il n'y ai auncun remede contre cette defaillance immunitaire innée, du moins à a ce jour on teste des produits qui vont dans ce sens la et on en connait tous les resultats. Neanmoins, pour ma part,je suis à la recherche d informations concernant le tabac et la seropositivité....plusieurs etudes montrent que l arret du tabac conduit à une augmentation des cd4..... POurquoi il n y a pas inscrit sur les paquets de cigarettes : FUMER CAUSE LE SIDA Certains diront pourquoi ??? Car fumer donne certains cancers Les chimiotherapies ont pour effets secondaires toutes les maladies classifiées sida ( pneumocystose;kaposi:infections à CMV, Herpes, Candidose, Mycobacteries). Donc jusqu'a preuve du contraire FUMER DONNE LE SIDA . Qui veut debattre sur un sujet interressant ? Y a t il des seropos non fumeur et n ayant jamais fumé ?.
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