Aller au contenu
forum sidasante

Terry

Membres
  • Compteur de contenus

    505
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Terry

  1. FinallyFree.............nous voilà une fois de plus en presence d un parasite atteint du syndrome de l intelligence defaillante acquise.....quelle horreur de lire des conneries du genre l sida existe l azt et les tri therapies sauvent des vies..........hier soir sur TF1 on nous a expliqué le procés du sang soit disant contaminé.....on a y u vu le calvaire en particulier d un enfant de meme pas 10 ans......on nous l a montré à l image avant azt et pendant et à la fin.........les parents ont filmés l agonie...........une horreur.........le gamin avait pris 40 ou 60 ans d un coup.......n oublions pas le dosage de l azt de l époque.........le corps le visage completement lipoatrophié........( la lipoatrophie = acidose metabolique etant un des effets secondaires MORTELS de l 'azt et autres saloperies anti cancereuses hi tech d avant garde).......comment ont ils pu ??? meme les enfants......quel monde de merde...........enfin a l epoque le test hiv etait pratiqué a tout va......ca a bien changé depuis....( sauf dans les fameux groupes discreminés ).........enfin on nous a dit clairement que les accusés ont etaient relaxés car ils n ont pas causé le decés et n ont pas voulu le causer ...............justement quelles sont les causes de decés de ces personnes ????........: en voici une explication claire et nette : IL N A JAMAIS ETE PROUVE SCIENTIFIQUEMENT QUE LES TRI THERAPIES SAUVAIENT DES VIES AU CONTRAIRE MEME COMME LE MONTRE L ETUDE SUIVANTE http://www.invs.sante.fr/BEH/1999/9917/ LA SEULE CHOSE QUE LES TRI THERAPIES ONT PROUVEES A CE JOUR..........C EST JUSTE DE TUER. bref les informations legales ne manquent pas sur le net pour nous prouvé que la personne finallyfree est completement "jetée du cerveau"................... les personnes sont tri therapies qui soit disant ne devellopent plus ou plus tard ( citation de l abruti ci dessus) des infections opportunistes devellopent grace aux tri therapies des choses bien pires ( voir adresse ci dessus).....alors un lymphome causé par l azt ( chimio anti cancereuse), soigné par une chimio classique, debouche forcement sur une infection opportuniste ( vih ou pas )....ou est le benefice risque ???...... je note que le webmaster a mis 4 etoiles a ce finallyfree.....ben c est sans commentaire, mais il est evident que moi j en merite dix fois plus , ne serais ce que pour ce lien sur cette etude publiée par l etat........... finallyfree vous me degoutez, le mot est faible........je ne souhaite de mal a personne, je pense etre trop humaniste mais je vais quand meme faire un effort avec vous; alors voici votre traitement afin de vous soigner et non pas GUERRIR
  2. http://nantes.indymedia.org/article.php3?id_article=5644 Remarquez bien les references ! 21 ans de vih le 23 avril dernier le 23 avril 1984, Robert Gallo annonçait qu'un virus était la cause "probable" du sida. Pourquoi l'application de cette hypothèse n'a-t-elle pas porté le fruit prévu dans le monde réel ? Le vih est-il la cause du sida ? Le VIH est-il la cause du Sida ? Pourquoi 1500 scientifiques se posent-ils la question ? Examinons deux faits Le problème posé par l'évolution démographique en Afrique. L'évolution des cas de Sida comparée à celle de la séropositivité aux Etats-Unis 1. Le cas du Botswana Selon les Etats-Unis : http://www.census.gov/ipc/hiv/botswana.pdf Le résultat des recensements effectués au Botswana en 1991 et 2001 donnent http://www.statoids.com/ubw.html Un calcul classique permet d'obtenir l'accroissement annuel de la population : Soit 2,4% On constate donc que l'accroissement réel de la population est très proche de celui d'un Botswana sans sida 2. L'Uganda La lettre de Matthew Black, membre de l'Institut de surveillance du Sida au Kenya, est sans équivoque : http://www.nationaudio.com/News/DailyNatio...s081220035.html En résumé, il indique que, comme l'Uganda est passé en 10 ans d'une population de 16,5 Mios (prévalence de la séropositivité 30%) à 23 Mios (prévalence 5%), cela signifie qu'il y a aujourd'hui 3,8 M de séropositifs en moins. Que leur est-il arrivé ? Un article récemment paru montre que cette évolution ne peut être due à une modification des comportements en matière de sexualité : http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/artic...-2005Feb23.html ?sub=new Les auteurs indiquent même que cette diminution ne peut être due qu'à la mort des séropositifs manquants. Ce qui impliquerait une augmentation de 5% par an de la population s'il n'y avait pas de sida ! Que penser de ces deux faits bruts ? Outre l'absurdité de penser qu'un pays comme l'Uganda puisse atteindre un taux de croissance de 5% l'an, les données botswanaises posent un problème véritable quant au modèle (Epimodel) utilisé pour estimer le nombre de séropositifs et la mortalité, l'espérance de vie censés en découler. La raison véritable du « miracle » ugandais est l'utilisation de tests Elisa à la place de l'utilisation de la définition de Bangui. Une vérification des résultats « Elisa » par le Western Blot devrait conduire à une diminution encore plus drastique des cas de séropositivité Le continent Africain, finalement, a à peine plus de séropositifs recensés (et non pas estimés) que les Etats-Unis d'Amérique Les résultats de l'étude sur la cause des décès en Afrique du Sud sont en tous cas significatifs : depuis plusieurs années, le nombre des décès attribués au sida tourne autour de 10000 par an. http://www.statssa.gov.za/Publications/P03093/P03093.pdf L'Epimodel, appliqué en Afrique du Sud, conduit à un nombre aberrant : 370000, ce qui laisse 130000 morts/an pour les causes classiques, soit environ 3 pour mille, loin devant la France, qui présente un taux annuel de mortalité de 9 pour mille. Qu'est ce que l'Epimodel ? Les personnes testées sont les femmes enceintes (tests anténataux). Certaines études des années 80 ont montré que la prévalence de la séropositivité dans la population générale était la même que chez ces femmes enceintes (Ghys & al.) Il semble donc, qu'à une certaine époque, l'Epimodel présentait un semblant de validité. A l'heure actuelle, ou la relation montrée dans ces années-là est fausse, ce qui entraîne la fausseté de toutes les estimations données dans les médias Ou bien, la relation entre vih et sida est beaucoup moins évidente qu'on l'a dit Pour comprendre un peu plus, voici les données pour les Etats-Unis, obtenues grâce aux publications des CDC et du NIH Nombre de cas de sida avéré, de 1985 à nos jours http://www.deanesmay.com/files/deanesmay-i...eofAIDSinUS.png Références : CDC p 405-406 http://duesberg.com/papers/chemical-bases.html Prévalence de la séropositivité pendant la même période http://www.deanesmay.com/files/deanesmay-P...nfectionsUS.png Comment expliquer cette évolution ? L'explication classique : - à partir de 1995, l'incidence du sida symptomatique a chuté grâce à l'utilisation de la trithérapie. Mais cette diminution a commencé en 1993 ! Remarquer par ailleurs la stabilité de la prévalence de la séropositivite, mesurée par screening des banques de sang. L'explication alternative : Après 1985, l'introduction de l'AZT (oxydant très puissant) a fait s'envoler les cas de Sida À partir de 1992, à la suite de l'expérimentation Concorde, le dosage d'AZT a été graduellement diminué jusqu'au quart de la dose initiale À partir de 1995, la lamivudine (réducteur soufré) a été rajoutée au régime médicamenteux. Expliquons un peu tout cela Si un virus (VIH) est seul responsable de la séropositivité, puis du Sida, la relation entre VIH et séropositivité doit être NECESSAIRE et SUFFISANTE S'il existe une expérience qui montre que la séropositivité (présence de certaines protéines nommées P24, GP120,...) ne nécessite pas d'infection, la première partie de notre condition est fausse ! Eh bien, cette expérience existe ! ! http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi ?cmd=Retrieve&db=PubMed&list_uids=1909456&dopt=Abstract Des souris exposées à des cellules provenant d'une autre lignée de souris (alloimmunes) ont montré la production des anticorps gp120 et p24, censés créés lors d'une infection à vih. Ces résultats sont considérés comme surprenants par les auteurs car ces souris n'ont pas été exposées au vih. Si donc le « VIH » n'est pas nécessaire pour faire apparaître la séropositivité, est-il suffisant ? Le Professeur Luc Montagnier n'a-t-il pas dit lui-même, en 1990, que, pour qu'il y ait sida, le « vih » ne suffisait pas ? Et selon les meilleurs virologues, le « vih » est incapable de tuer lui-même les lymphocytes T. On ne sait d'ailleurs pas comment ils sont détruits. Le « VIH » n'est donc ni nécessaire, ni suffisant pour provoquer la Séropositivité, et encore moins le Sida. Mais, dira-t-on, la séropositivité peut se transmettre, comme le fait un virus. Du moins c'est ce qui est clamé partout ! Dans ce domaine comme dans celui des tests, le flou artistique règne également On trouve à ce sujet tout et son contraire. Mais les études ont été apparemment résumées par le ministère de la santé français, dans le texte suivant : http://www.sante.gouv.fr/pdf/dossiers/sidahop/ch16.pdf On y découvre p 202 que la probabilité de transmission par acte est de l'ordre de 1 pour 2000 dans le cas d'un rapport vaginal. Ce qui est très faible, et peut être interprété comme un bruit de fond Il existe des études cherchant à montrer par exemple la protection par préservatifs. Ce qui est déroutant, c'est que de nombreuses études montrent que cette protection est illusoire. Par exemple, cette étude publiée dans le Lancet montre que, si le préservatif empêche la transmission des MST classiques, il n'en est rien quand il s'agit de la séropositivité : Lancet. 2003 Feb 22 ;361(9358):645-52. Plus étrange est cet entrefilet du Dr Anand Pant, de l'université de Berlin : (au bas de la page) http://www.fu-berlin.de/presse/fup/fup99/fup_99_226.html Où il écrit : Après examen de 20 études portant sur 12000 Consommateurs de drogue, on constate que dans ¾ des cas, les utilisateurs de préservatifs présentent un taux de transmission supérieur à ceux qui n'en utilisent pas. En ce qui concerne la transmission par seringues non stériles, là encore, les études épidémiologiques jettent la confusion : En 1997, Bruneau & al. publiaient l'article suivant dans l'AJE : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi ?cmd=Retrieve&db=pubmed&dopt=Abstract&list_uids=9420522 Ils indiquent, à la fin de l'abstract, la conclusion suivante : En définitive, à Montréal, ceux qui participent aux programmes « seringues stérilisées » ont apparemment un taux de transmission plus élevé que ceux qui n'y participent pas. Arrivés à ce point, nous nous devons de nous poser une question importante : Si la séropositivité ne se transmet pas à la manière d'une MST classique, que signifient les tests « vih » ? Les tests initialement développés déterminaient, non pas la présence ou non d'un virus, mais le taux d'anticorps à certaines protéines retrouvées en quantité importante chez les malades. Il a fallu déterminer une valeur limite permettant de séparer les séronégatifs des séropositifs. Cette valeur limite a été évaluée d'après les données cliniques et non pas en fonction de la présence ou non d'un virus. C'est pour cela que cette valeur limite a été définie après de nombreux tâtonnements. En effet, dans le cas du test Elisa, qui mesure les anticorps à la P24 essentiellement, la personne présentant un résultat valant 90% de l'index sera déclarée négative, celle qui présente 110% de l'index sera déclarée positive En réalité, chacun d'entre nous présente des anticorps aux protéines du « vih », non pas parce que nous avons rencontré ce virus dans notre vie, mais parce que ces protéines proviennent d'un autre phénomène qu'un phénomène infectieux : Les scientifiques appartenant au « Groupe de Perth » ont avancé une nouvelle hypothèse : la disparition des marqueurs des lymphocytes TH1 (les fameux CD4) provient de l'impact de certains composés oxydants, et/ou de la déficience en réducteurs. www.theperthgroup.com Cette thèse permet-elle de mieux expliciter les contradictions que nous avons relevées, ainsi que les observations concernant la « maladie » Sida ? La séropositivité en Afrique. La séropositivité est maximale dans les régions faisant partie du socle cristallin archéen. Se souvenir que les roches du Drakenberg en Afrique du Sud ont pratiquement 3 Miards d'années. Or ces roches sont très pauvres en sélénium, oligoélément essentiel du système immunitaire, permettant en particulier le fonctionnement de la GPx, qui élimine l'eau oxygénée en transformant le GSH en GSSG. Cela entraîne une oxydation directe du GSH en sulfinate et sulfonate, puis sulfate, et une perte en soufre réduit, qui s'élimine sous forme de sulfates ce qui provoque en particulier la diarrhée. D'où proviennent ces assertions ? La gravité du Sida est directement liée au taux de glutathion. L'implémentation en précurseurs de la cystéine multiplie par deux l'espérance de vie. http://herzenberg.stanford.edu/Publication...ints/LAH448.pdf Le sélénium et la glutathion peroxydase sont en déficit chez les malades. http://ods.od.nih.gov/factsheets/selenium.asp Tous ces thiols sont oxydés en sulfates Massive loss of sulfur in HIV infection. Breitkreutz R, Holm S, Pittack N, Beichert M, Babylon A, Yodoi J, Droge W. AIDS Res Hum Retroviruses. 2000 Feb 10 ;16(3):203-9. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi ?cmd=Retrieve&db=pubmed&dopt=Abstract&list_uids=10710208 Le Sida est donc associé à une déficience en réducteur, une diminution des lymphocytes T1, une augmentation de protéines anormales, associées à un ARN particulier. Il apparaît des anticorps à ces protéines anormales, mesurés par les tests Elisa et Western-Blot. L'existence de faux positifs. Les causes apparentes de fausses positivité des tests Elisa ou Western Blot sont nombreuses : Ce document indique les principales : http://www.aafp.org/afp/20010201/483.pdf En particulier, il indique p 2001 : Maladies autoimmunes Grossesses multiples ou transfusions Hépatites Utilisation de drogues injectables Vaccination hépatite, etc...(dont la grippe) Dans le modèle du stress oxydatif, ces faux positifs sont de vrais positifs,... aux protéines P24, GP120, créées à l'occasion de ces maladies, qui créent un stress oxydatif. L'exemple des hépatites est clair, puisque à l'occasion de ces maladies, il y a consommation de glutathion. NB : remarquer que l'Epimodel dont nous avons parlé au début est basé sur le dépistage antenatal, chez des personnes multipares ! ! Il nous faut donc rechercher les substances ou les événements capables de consommer la réserve réductrice des cellules. Il a été montré que le glutathion et la cystéine réduisaient de nombreux antibiotiques nitrés (métronidazole (flagyl), chloramphénicol, nifuroxime). On peut très certainement rajouter à cette liste la nitrofurantoïne et d'autres antibiotiques nitrés. THE INTERACTION OF NITROAROMATIC DRUGS WITH AMINOTHIOLS Biological Pharmacology, Vol 50, n°9, 1367-1371, 1995 Tochter JH, Edwards DI Ce document : Reduction of 3'-Azido-3'-deoxythymidine (AZT) and AZT Nucleotides by Thiols ; KINETICS AND PRODUCT IDENTIFICATION John E. Reardon, Ronald C. Crouch, and Lisa St. John-Williams THE JOURNAL OF BIOLOGICAL CHEMISTRY Vol. 269, No. 23, Issue of June 10, pp. 15999-16008, 1994 indique clairement que les thiols (dont le glutathion) sont oxydés par les azotures organiques, dont fait partie l'AZT. De la même manière, les dérivés nitrosés provenant du métabolisme de nombreux médicaments oxydent le glutathion ou le piègent. Par exemple, cette publication : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi ?cmd=Retrieve&db=pubmed&dopt=Abstract&list_uids=1686233 montre bien l'oxydation du glutathion par le sulfaméthoxazole (bactrim) Enfin, comment passer sous silence la très forte affinité du soufre -II vis-à-vis des ions mercuriques contenus dans les dérivés du mercure métabolisés. La formation de sulfures mercurique et mercureux conduit également à l'acidification du milieu cellulaire. Les drogues récréatives sont pratiquement toutes des substances comportant (ou menant à) des azotes oxydés. Il n'est pas besoin de faire de grands discours pour démontrer que les nitrites d'alkyle (poppers) font partie de cet ensemble. Les études récentes montrent bien que les amines secondaires et tertiaires conduisent à un stress oxydatif important (par exemple, la cocaïne augmente la production d'eau oxygénée par la superoxyde dismutase). La formation d'hydroxylamines et de N-oxydes est chimiquement tout-à-fait envisageable. Le groupe de Perth envisage également la possibilité que le caractère oxydant du sperme (très nombreux ponts disulfure) puisse expliquer une diminution locale temporaire des CD4 dans le cas de relations anales http://www.biolreprod.org/cgi/reprint/52/6/1209.pdf De manière générale, les oxydants azotés semblent prendre de court le système oxydoréducteur de la cellule (contrairement aux oxydants oxygénés, qui sont très bien contrôlés par la catalase, la Glutathion peroxydase,...) Or, ces oxydants azotés sont ceux qui sont utilisés comme antibiotiques dans les maladies vénériennes, dans les helminthiases et les typhoïdes si fréquentes en Afrique. Ce modèle permet également de mieux comprendre les assertion de David Gisselquist : http://www.cirp.org/library/disease/HIV/gi...isselquist1.pdf et de ses associés (Brody, Potterat, Vachon) qui publient depuis deux ans des études montrant que la « transmission » du « vih » se fait très souvent en Afrique à l'occasion de soins On conçoit aussi, dans ces conditions, que l'AZT, qui certes joue un rôle pour détruire les cellules des organismes responsables des maladies opportunistes, soit à long terme responsable de l'apparition des symptômes du Sida. En réalité, la résistance à l'AZT est simplement due à l'effondrement immunitaire qu'il provoque Ce document : http://content.febsjournal.org/cgi/reprint/269/11/2782.pdf a bien établi la toxicité in vivo de l'AZT, concernant le taux de glutathion, son action mutagène (d'où les soit-disant résistances) et l'augmentation des « promoteurs du vih ». On constate donc que l'AZT - et la littérature permet de vérifier que c'est vrai pour d'autres oxydants azotés) - est capable de dénaturer les protéines et l'ADN des mitochondries, et par là-même provoquer la mort cellulaire. Il a même été montré que l'apoptose (suicide) cellulaire, responsable de la déplétion en lymphocytes (donc en CD4) pouvait survenir en présence de ces oxydants azotés, car ceux-ci modifient profondément la concentration cellulaire en monoxyde d'azote. La mort cellulaire entraîne logiquement l'apparition des fossoyeurs que sont les champignons, en particulier les mycobactéries et les candidas, et sans doute également les Pneumocystis Carinii, qui ont été reclassés récemment dans cette catégorie. Les maladies à champignons sont donc la conséquence logique du stress oxydatif. Il est d'ailleurs frappant de constater que les antifongiques naturels (tea tree par exemple) contiennent des structures réductrices. Mais dira-t-on, le « VIH » a bien été isolé ? Dans ce domaine apparaissent deux écoles critiques, qui reconnaissent en gros ce qui vient d'être dit précédemment. Les tenants du modèle de Peter Duesberg, membre de l'académie des Sciences américaine, qui prétendent que le vih est un rétrovirus inoffensif, qui n'a rien à voir avec le sida. Et les membres du groupe de Perth (médecins et biologistes), qui remettent en question la méthode d'isolation du virus. Voir cet article de Stefan Lanka (http://www.sidasante.com/science/scirevih.htm) et cette étude de Eleni Papadopoulos & al. (http://www.posh-uk.org.uk/gmh/isolation.html) pour se faire une idée du problème. La thèse de Peter Duesberg a un point faible, à savoir qu'il nie tout lien entre séropositivité et Sida, car, virologiste de renommée mondiale, il ne nie pas le lien entre le « vih » et les protéines que l'on a découvert à l'occasion des études de Gallo et Montagnier. Stefan Lanka, à le suite d'Eleni Papadopoulos et du Groupe de Perth, pose la question de la validité du processus d'isolation et de caractérisation du « vih ». La principale objection vient du fait que les images que l'on attribue au vih proviennent du plasma total et non du matériel que l'on a suspecté comme étant rétroviral dans la bande de densité 1,16 g/mL obtenue par double centrifugation dans un gradient de sucrose. Les premières photos au microscope électronique de cette bande ont été faites en 1997 par Gelderblom & al. Et ne présentent absolument pas les structures attendues. Pour approfondir le débat, on pourra visiter les sites suivants : (en anglais) Site de Peter Duesberg : http://www.duesberg.com/ Le Groupe de Perth : http://www.theperthgroup.com/ Le débat du British Medical Journal : http://bmj.com/cgi/eletters/326/7387/495 L'expérience qui prétend permettre la production continue de virus dans le but d'obtenir les protéines associées : http://www.pubmedcentral.nih.gov/picrender.fcgi ?artid=362827&blobtype=pdf La mise en cause de cette expérience : http://www.free-essays.us/dbase/c3/vrk102.shtml Quelques articles scientifiques ont été traduits en Français (http://www.sidasante.com/science/sciindex.htm). Lire en particulier les interviews d'Eleni Papadopoulos et d'Etienne de Harven, Docteur en médecine et spécialiste de la microscopie électronique. Conclusion provisoire Le Sida « serait », non pas un trouble dû à un virus, mais un trouble métabolique progressif associé à l'apparition de protéines (celles des tests), un peu comme l'augmentation du taux de cholestérol. Ce trouble métabolique serait créé par un statut rédox (en particulier, le taux de glutathion) perturbé par les molécules existant depuis 30 à 40 ans et qui sont (ou promeuvent) des oxydants azotés (certains antibiotiques, certaines drogues,...), ainsi que par une déficience chronique en enzymes permettant d'y remédier (déficience due soit à une malnutrition sur des terres pauvres en sélénium ou à une diminution de ce même sélénium sous l'effet des oxydants sus-nommés. Lorsque ce dérèglement atteint un certain point (peut-être de non-retour), les maladies opportunistes apparaissent. Auteur: anonymous ( choqué ) FANTASTIQUE.....est ce une oeuvre de Cheminot ??
  3. Rock , il faut que tu saches que c est le fait de perdre mes cheveux qui a fait que j ai pris du soufre ( en amploues pour solusoufre).....et non pas à cause de l hypothese vih/sida ou autre chose........apres le hasard, aurait il fait les choses ?!!!....mais bon si tu es pas malade et que tu fais pas trop joujou avec dautres substances, et que tu ne perds tes cheveux je ne vois pas pourquoi tu irais prendre quoi que ce soit.....puis meme si tu faisais des follies de ton corps, en y rajoutant d autres susbtances on ne sait pas ce que cela peut donner.... concernant le medoc cite dans mon premier post je crois que je peux le deconseiller.....d apres ce que j ai compris, certains en reve comme anti cancereux depuis 30 ans : sans succés......une nouvelle forme de celui ci sert pour le diabete avec des effets secondaires terribles....puis apparement cette substance sert de nourriture à certains champignons...!!! mefiance donc ! mais c est quand meme fou les coincidences qu il y a entre les explications de cheminot sur les thiols et celle de montagnier sur les cancers....enfin de compte ils nous parlent de la meme chose non ??,........les infections virales, les cancers, les intoxications ont toutes un point en commun, à savoir , la fameuse carence en soufre.........cela doit etre vrai mais personne n a pu encore prouvé quoi que ce soit !....... ce qui m emmene a penser au test vih : bon, beaucoup sont ok , il est bidon, c est un truc blanc-noir, t as 99 anticorps x, t'es negatif....t'en as 101 : t'es positif......donc ca veut rien dire..... mais cette charge virale, faussement positive chez des seronegatives et interdite comme diagnostic premier de seropositivité...elle mesure quoi ???? tant de millions de dollars engloutis pour rien ??? je crois pas.......l évidence nous montre bien que ce ne sont que des cellules pre-cancereuses qui sont detectées et que si on ajoute des composés soufrés ( lamudivine, emtriva ( son heritiere ) celles ci disparaissent .........et qu l on sait que celles apparaissent si on utilise trop de certains produits.... donc on peut dire que les personnes vih +, sont des personnes qui servent de cobbayes pour la recherche anti cancereuse hi tech, d avant garde.....et rien d autres.......maintenant est ce que toutes les personnes seropos vont declarer des cancers ??? peut etre....mais faudrait qu'on leur laisse le temps pour voir ................!!!!!!!....à moins que la pneumocystose soit un signe avant coureur de cancer des poumons, les oesophagites a candida : des futurs cancers de la sphere orl.....kaposi, un cancer des vaisseaux cappilaires, la toxo : un cancer cerebral ??..... honnetement, tout cela me semble etre une explication logique ! l azt, de toutes les facons est bien un anti cancereux ??? donc toutes ses descendantes aussi !
  4. Merci on est ok mais une fois de plus , je note : ........mais attention, les ARV (l'AZT en fait) provoquent à mon avis (de la même manière que le chloramphénicol, selon les sources officielles) des dégâts irréversibles. ........ je vous taquine ! bon je le sais, c est apparemet irrversible, à moins de croire a la ré-incarnation !!!....mais j ai decidé de ne pas y croire.......donc j invite les seropos ex tri therapiens a ne pas croire tout ce qu ils lisent !!..............
  5. Bon pour ma part, j avoues que la prise de soufre me fait du bien.........j ai des cheveux à nouveau magnifiques....(lol!).....une langue de bebe.....et sur la lnfs, le nombre totaux de lymphocytes, neutrophiles, leucocytes normaux ( j etais descendu a la limite inferieure)....donc pour ma part je retiens quelques mollecules me faisant du bien : solusoufre ....du soufre comme son som l indique...ou cystineb6 bailleul. leuco4 ou bchabre ( vitamines b4)......vitamine anti neutropenique, anti leucopenie, anti lymphopénie ( sur le point clinique cette vitamine ne change rien, mais sur le papier, dans mon cas oui, et des fois cela peut servir..je revois encore la tete de mon medecin hiv à ce sujet, pret, d apres des analyses precedentes, à me foutre bactrim et tout le toutim dans mon joli gosier)..... donc je ne peux que partager actuellement la version de l oxydation que Cheminot a eu la gentillesse de nous expliquer........je me permets de rajouter seulement que je me demande si le foie ne serait pas en fait la base de tout........( dans mon cas perso, sans aucune hepatite, la seule chose qui deconne sur 15 ans, avec ou sans tri therapie, ce sont des enzymes que celui ci fabrique qui deconnent : transferrine ( sans carence ni inflammation notoire) et ceruloplasmine ( toujours basse aussi alors que je n ai pas de carence, ni de wilson disease ). en restant dans l hypothese ou l epivir ( l'amie divine(lol) = lamudivine ) *******serait la plus benefique dans la tri therapie********j ai trouvé ceci : http://www.biam2.org/www1/Sub2575.html TIMONACIC Introduction dans BIAM : 18/2/1992 Dernière mise à jour : 7/6/1999 Etat : validée Identification de la substance Propriétés Pharmacologiques Mécanismes d'action Effets Recherchés Indications thérapeutiques Précautions d'emploi Contre-Indications Posologie & mode d'administration Identification de la substance Formule Chimique : ACIDE THIAZOLIDINECARBOXYLIQUE-4 Ensemble des dénominations DCIR : TIMONACIC autre dénomination : A.T.C autre dénomination : ACIDE THIAZOLIDINE CARBOXYLIQUE autre dénomination : ACIDE THIAZOLIDINE-CARBOXYLIQUE autre dénomination : ACIDE THIAZOLINE-CARBOXYLIQUE autre dénomination : THIOPROLINE bordereau : 1098 Classes Chimiques THIAZOLIDINE Proprietés Pharmacologiques HEPATOPROTECTEUR (principale certaine) APPORT DE SOUFRE (principale certaine) LIPOTROPE (principale certaine) Mécanismes d'action principal L'hydrolyse hépatique libère de la cystéine intervenant dans le maintien du potentiel d'oxydo-réduction par ses groupements thiols. Intervention du soufre dans la détoxication. Stimule la régénération cellulaire. Effets Recherchés LIPOTROPE (principal) HEPATOPROTECTEUR (principal) Indications Thérapeutiques STEATOSE HEPATIQUE (principale) CIRRHOSE HEPATIQUE (principale) PSORIASIS (principale) Précautions d'emploi ENFANT Contre-Indications ENFANT DE MOINS DE 5 ANS Posologie et mode d'administration Dose usuelle par voie orale : - chez l'adulte: Deux à quatre cents milligrammes par jour en 2 prises. - chez l'enfant : utilier avec précaution, sensibilité particulière au surdosage. * enfant au-dessus de 5 ans: Cent milligrammes par jour. -* enfant de 5 à 8 ans: Cent cinquante milligrammes par jour. * enfant de 9 à 12 ans: deux cents milligrammes par jour. Pour rechercher les spécialités contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes : Attention ! Données en date de janvier 2000. HEPALIDINE (FRANCE(SPECIALITES RETIREES DU MARCHE)) HEPAREGEN (SUISSE) Alors en France le nom est TIADILON............ Si je comprends bien celui ci doit faire partie de tout traitements de gens avec des hepatites * virales * ou autres.....( je crois pas )... Si je comprends bien aux USA cela s appelerai acid alpha lipoic ( mais je me trompe peut etre ! mais si c est un truc qui se vend dans les supermarches americains de vitamines, j en serais degouté car cela voudrait dire, pour moi : ca marche pas !).......... Je suis donc à la recherche d'info sur ce produit ...... Qu en pensez vous Cheminot ???
  6. Cheminot, je suis d accord avec vous mais je n aime pas cette phrase qui fait un peu homophobe : ......Ou alors, ils ont présenté des MST, comme beaucoup d'homosexuels en présentent, ... Si les homosexuels etaient les seuls a avoir des mst et à bouffer des antibios oxydants, les laboratoires ne seraient pas aussi riches !!! puis ...........:......Tout au plus fait-elle apparaître une séropositivité réversible.............. Bonne blague !...........on devrait faire passer un test vih à tous ceux qui prennent des chimios anti cancereuse avec de la cortisone plus des antibios et des antifongiques pour savoir si l homosexualite est la seule a faire apparaitre une seropositivité REVERSIBLE ?? La je bugg.......j amerais avoir un test negatif ( meme le positif n a aucune valeur à mes yeux)....mais comme ca,lol ! pour faire bien .....la oui il y aurait matiere a faire un bon procés !.....mais helas je reste positif.....comme la plus part des dissidents !!! je n ai pas encore trouvé sur le net un seul cas , preuve a l appui, d un test vih positif qui devient negatif 10 ans aprés ?!!!! y aurait il un truc ?? certes on est fichés chez PasteurCerba.............. ou alors essayé un test vih anonyme ?!!! pourquoi pas....je vais essayer....mais pas de suite... je vous tiens au courant !! lol!
  7. quoique...*.mitenrand* aurait ete contre le projet VIH SIDA......et c est pour cela que l on aurait du attendre 1995 que CHICHI prenne les rennes et signe avec Bill pour un package tri therapie !
  8. Puis je mettre mon grain de sel ??? Je pense que LeLuron est mort à cause surement du poppers associé à des hormones pour se modifier la voie ( comme l'ont fait beaucoup de chanteurs d opera )....quand à Hudson je pense qu il a du un peu trop forcé sur les anabolisants durant les années 60, peut etre du poppers aussi ainsi que d'autres jolies choses, en y incluant les vitamines à hautes doses comme savent si bien le faire les americains....n oublions pas que celui ci aurait ete un des premiers à recevoir de l 'azt....à Paris...vu qu il avait des relations ( line renaud deja dans la coup ???) , je crois que Montagnier a du s occuper un peu de son cas....ce n est pas de moi, il me semble avoir lu cela quelque part . Pour le Luron , vu qu il est mort avant la folle epoque azt, je me demande si *on l aurait pas un peu aidé* a en prendre sous ses premieres formes (azt), en lui faisaint payé un max en plus... ou aurait il essaye un traitement d avant garde de l epoque contre le fameux AIDS ?, grace à un professeur en medecine ayant des relations un peu trop haut placées ?? .......... Colcuhe, Balavoine et pourquoi pas LeLuron aussi ?... ( si certains comprennent ce que je veux dire) Pourquoi pas ?!!! on peut tout imaginer non ?
  9. ROCK a ecrit : Le message (rapporté) : - avec les tri thérapies, cest merveilleux ... « mon séropo » peut vivre mieux et plus longtemps .... Oui, certaines personnes penseront cela...... Mais que vont penser les scientifiques de haut vol ? : Bien la recherche anti-cancereuse avance à grand pas......on reussit maintenant, tant bien que mal, à faire rester debout les patients tests tout en leur faisant prendre des mollecules anti cancereuses hi tech.....encore une vingtaine d années et on pourrat donner ces traitements de fond à toute personne susceptible de declarer un cancer pour eviter qu il se declare 20 ou 30 ans plus tard.....heureusement que vous nous avons su mettre au point la PCR dans ce sens là, car elle detecte les degats cellulaires causés par des susbtances chimiques cancerigenes legales et illegales....on peut dire que celle ci detecte un debut de cancer au niveau cellualire avant que cela se detecte de maniere classique sur tissus humains, et que celle ci est valable apparement a 99.99%.......et hereusement que l on a trouvé des cobbayes que l on prends dans des categories à risques grace aux tests vih....test vih qui se positive lorsqu une personne est en contact avec des substances cancerigenes ILLEGALES . SANS COMMENTAIRES !
  10. merci pour la réponse, mais je ne suis pas du tout enervé...! merci quand meme.
  11. ************).2. Indications du dépistage Notion de prise de risque : *homo et *bisexualité masculine, *toxicomanie IV, *hétérosexualité avec partenaires multiples et/ou occasionnels a priori atteints de MST, *partenaires originaires dAfrique sub-saharienne, desCaraïbes ou dAsie du sud-est, * transfusions de sang ou de dérivés du sangsurtout si antérieures à Août 1985, partenaires sexuels de sujets ayant unfacteur de risque, rupture de préservatif, nouveau-nés de mère séropositive. ************** non non ce n est pas du tout de la discremination!!!!, it's juste de la democratie chretiene !.
  12. et j ai bien aime lire cela dans cet article : - Si CD4 < 100/mm3: infection à mycobactéries atypiques (hémoculture,biopsie), à CMV (FO, virémie), tuberculose, lymphome (scanner thoraco-abdominal).- Si CD4 > 100/mm3: tuberculose, lymphome, Hodgkin.- *********** Dans tous les cas, penser à une cause médicamenteuse*************. - Dans les régions d'endémie (dont sud-est de la France), quel que soit ledegré d'immunodépression, rechercher une leishmaniose viscérale. sans commentaires ! ...le texte en entier : Ci-dessous se trouve la version cache de http://www.infectiologie.com/public/POPI/D...RT/27___INF.PDF. C'est l'état de la page au moment où notre robot l'a parcourue. Nous avons surligné les mots : candidose vih Le site Web est susceptible d'avoir changé. Vous pouvez consulter la page actuelle (sans mots surlignés). Yahoo! N'est pas affilié aux auteurs de cette page ou responsable de son contenu. La maladie SIDA est à déclaration anonyme obligatoire. Cependant aucuntest ne doit être pratiqué sans l'information et l'accord du patient.1. Dépistage obligatoire ou systématiquement proposéObligatoire lors des dons du sang, d'organes ou de sperme. Systématiquement proposé lors de lexamen médical prénuptial et lors dupremier examen prénatal.A réaliser chez la personne accidentée et à proposer chez la personne sourceen cas dexposition accidentelle au VIH (cf chap 30).2. Indications du dépistageNotion de prise de risque : homo et bisexualité masculine, toxicomanie IV,hétérosexualité avec partenaires multiples et/ou occasionnels, a fortioriatteints de MST, partenaires originaires dAfrique sub-saharienne, desCaraïbes ou dAsie du sud-est, transfusions de sang ou de dérivés du sangsurtout si antérieures à Août 1985, partenaires sexuels de sujets ayant unfacteur de risque, rupture de préservatif, nouveau-nés de mère séropositive.Signes cliniques évocateurs de l'infection par le VIH. Demande du patient qui peut conserver l'anonymat en passant par lesCentres de Dépistage Anonyme et Gratuit (CDAG).Linfection VIH est affirmé sur la présence danticorps (Ac) spécifiquessériques. Le dépistage des Ac anti-VIH nécessite la réalisation systématiquesur le même prélèvement de 2 techniques, dont au moins un ELISA mixte(détectant Ac anti-VIH-1 et Ac anti-VIH-2).Tout prélèvement positif doitêtre confirmé par un test de confirmation (Western-blot ou Immuno-blot) etvérifié sur un second prélèvement. Le test de confirmation permet de préci-ser la spécificité VIH-1 ou VIH-2 (virus essentiellement localisé en Afriquede lOuest où il coexiste avec le VIH-1). Le Western blot VIH-1 met en évi-dence des Ac dirigés contre différentes protéines [glycoprotéines d'envelop-pe (gp160, gp120, gp 41), protéines de core (p55, p24, p17)] ou enzymes(p66, p51, p31) du VIH-1. La présence dAc dirigés contre les gp denve-loppes et les protéines de core est exigée pour affirmer la séropositivité.152Retour au sommaireChapitre 27 - Infection parVIH, SIDALes Ac anti-VIH apparaissent 3 à 6 semaines après la contamination. Le testpeut être répété, en cas de négativité, 3 mois après la contamination présu-mée, jusquà 6 mois en cas dexposition professionnelle. En cas de primo-infection ou de situation à risque dûment datée, on peutdétecter le virus, pendant la phase sérologiquement muette par mise en évi-dence, soit dARN VIH plasmatique (premier marqueur détectable entre le8eet le 17ejour après la contamination), mais attention aux faux positifs,comme pour toute PCR, soit dantigène p24 (lantigénémie p24 est positiveentre le 12eet le 26ejour et le reste pendant une dizaine de jours).Chez le nouveau-né de mère séropositive, le diagnostic dinfection à VIHrepose sur la mise en évidence du virus en culture et/ou par biologie molécu-laire (ADN cellulaire ou ARN plasmatique) sur un prélèvement réalisé dansles premiers jours de vie, à 1 mois et 3 mois. En cas de traitement antirétro-viral chez lenfant dans les premières semaines de vie, les examens doiventêtre répétés 2 et 6 semaines après larrêt du traitement. En labsence dinfec-tion à VIH, les anticorps dorigine maternelle disparaissent vers lâge de 15 à 18 mois.153T1 - Stades CDC (définition 1993) chez les adultes et les adolescentsDéfinition du SIDA(CDC 1993)Nombre delymphocytesCD4 +500/mm3Catégories cliniques(A)Asymptomatique,primo-infectionou adénopathiesdiffuses chroniques(B)Symptomatique,sans critères (A) ou ©©SIDAA1A2A3B2B3C2C3B1C1< 200/mm3200-499/mm3Catégorie A:Un ou plusieurs des critères ci-dessous, s'il n'existe aucun des critères des caté-gories B et C : infection VIH asymptomatique; lymphadénopathie persistante généralisée(PGL); primo-infection symptomatique.Catégorie B : Manifestations cliniques (liste non limitative) ne faisant pas partie de la caté-gorie C : angiomatose bacillaire; candidose oropharyngée; candidose vaginale persistante,fréquente ou répondant mal au traitement; dysplasie du col (modérée ou grave) ou carcinomein situ; syndrome constitutionnel: fièvre > 38,5° C ou diarrhée >1 mois; leucoplasie cheve-lue de la langue; zona récurrent ou envahissant plus d'un dermatome; purpura thrombocyto-pénique idiopathique; salpingite en particulier si compliquée d'abcès tubo-ovariens; neuropa-thie périphérique.Chapitre 27 - Infection parVIH, SIDA154T1 bis - Classification pédiatrique 1994 (CDC)La classification clinique (A) est croisée avec la classification biologique (B).A- Classification cliniqueCatégorie NAsymptomatiqueCatégorie ASymptômes mineurs : lymphadénopathie, hépatosplénomégalie,dermatose, par otidite, infections ORL ou br onchiques récidivantes.Catégorie BSymptômes modérés (liste non limitative): infection bactérienne, pneumopathie lymphoïde, thrombopénie, anémie, neutropénie, zona, candidose ou herpès buccal récidivant, néphropathie, cardiopathie.Catégorie CSymptômes sévèr es : infection opportuniste, infections bactériennessévères répétées, encéphalopathie, lymphome ou cancer, cachexie.B- Évaluation du degré de déficit immunitaire, basé surle taux de lymphocytes CD4 en fonction de lâge (exprimé en nombre absolu et pourcentage)CD4< 12 mois*1 - 5 ans6 - 12 ansI. Pas de déficit immunitair e%25 %25 %25 %NA**1 5001 000500II. Déficit modéré%15 - 24 %15 - 24 %15 - 24 %NA**750 - 1 499500 - 999200 - 499III. Déficit sévèr e%< 15 %< 15 %< 15 %NA**< 750< 500< 200* les normes sont pr obablement plus hautes pour lenfant de moins de 6 mois. Le nombre normalde lymphocytes CD4 à la naissance est denviron 3 000/mm3. ** NA =nombre absolu/mm3.T1 (suite) - Stades CDC (définition 1993) chez les adultes et les adolescentsCatégorie C : Correspond à la définition du SIDA: candidose bronchique, trachéale ou pul-monaire; candidose de l'sophage; cancer invasif du col; coccidioïdomycose disséminée ou extrapulmonaire; cryptococcose extrapulmonaire; cryptosporidiose intestinale > 1 mois;infection à CMV(autre que foie, rate ou ganglions); rétinite à CMV(avec perte de la vision) ;encéphalopathie au VIH; infection herpétique cutanée avec ulcères chroniques >1 mois, oubronchique, pulmonaire ou sophagienne; histoplasmose disséminée ou extrapulmonaire;isosporidiose intestinale chronique > 1 mois; maladie de Kaposi; lymphome de Burkitt ouimmunoblastique; lymphome cérébral primitif; infection à Mycobacterium avium ou k a n s a s i idisséminée ou extrapulmonaire; infection à Mycobacterium tuberculosis quel que soit le site(pulmonaire ou extrapulmonaire); infection à mycobactérie, identifiée ou non, disséminée ouextrapulmonaire; pneumonie à Pneumocystis carinii ; pneumopathie bactérienne récurrente;leuco-encéphalopathie multifocale progressive; septicémie à salmonelle non typhi récurrente;toxoplasmose cérébrale; syndrome cachectique dû au VIH. Lorsqu'un sujet a présenté une des pathologies de cette liste, il est classé définitivement dansla catégorie C.Chapitre 27 - Infection parVIH, SIDALe bilan initial puis le suivi permettent de déterminer les indications duntraitement antirétroviral et dune prophylaxie des infections opportunistes enfonction de létat clinique, du degré dimmunodépression (lymphocytesCD4), (T1, T1 bis) et du niveau de réplication virale (charge virale : ARNVIH plasmatique).1. Bilan initial (= bilan de référence)Facteurs de risque (mode de vie, partenaires sexuels, si toxicomanie : natu-re, substitution...).Examen clinique : poids, bouche, peau, aires ganglionnaires,... Examen gynécologique chez la femme, avec frottis cervical. Explorations complémentaires : NFS avec taux des plaquettes, lymphocytesCD4 et CD8 (pourcentage et valeur absolue), charge virale (ARN VIH plas-matique), transaminases, créatininémie, sérologies VHB, VHC, syphilis,toxoplasmose, CMV; IDR à la tuberculine, radiographie du thorax.Informations sur la transmission, les précautions utiles ou inutiles dans lavie quotidienne (rapports sexuels, famille, profession, personnels de santé)et les implications sociales (assurances et sécurité sociale). Linfection àVIH bénéficie dune prise en charge à 100 % (ALD).Évaluation du retentissement psycho-socio-professionnel, et organisation dela prise en charge, si nécessaire.2. SuiviLe suivi clinique, tous les 3 à 6 mois en labsence de traitement antirétrovi-ral, est plus rapproché en cas de traitement antirétroviral (tous les 15 joursou tous les mois au début du traitement, puis tous les 3 mois si la toléranceclinique et biologique est satisfaisante). Le suivi biologique de linfection à VIH est réalisé tous les 3 à 6 mois enlabsence de traitement antirétroviral, tous les 3 mois en cas de traitementantirétroviral : NFS, plaquettes, CD4, ARN-VIH (avec une mesure 1 moisaprès le début du traitement), transaminases, et selon le traitement : glycé-mie, lipase, triglycérides, cholestérol. Une fois par an : examen gynécolo-gique chez la femme et, en cas de négativité, contrôle des sérologies toxo-plasmose ± CMV, VHB et VHC. En cas dimmunodépression (CD4 < 200/mm3), un suivi clinique plus rap-proché est souhaitable pour dépister une infection opportuniste débutante,associé en cas de CD4 < 100/mm3et de séropositivité pour le CMV, à undépistage de la maladie à CMV (rétinite) par un FO et une recherche de 155Chapitre 27 - Infection parVIH, SIDAmarqueurs de réplication du CMV (antigénémie pp65 ou PCR) tous les 2 à3 mois. En cas de fièvre, la recherche dune infection à Mycobacteriumavium Complex (MaC) par hémoculture simpose. Le suivi a également pour objet d'évaluer l'observance du traitement anti-VIH, des mesures de prophylaxie, l'impact psychologique et social de l'in-fection sur la vie du patient et de proposer éventuellement au patient un pro-tocole thérapeutique.1. Primo-infectionDevant des signes possibles d'une primo-infection (fièvre, myalgies, pharyn-gite, lymphadénopathie, rash cutané, céphalées et plus rarement méningo-encéphalite, polyradiculonévrite, transaminases élevées, syndrome mononu-cléosique), il faut rechercher l'Ag p24 et/ou lARN VIH dans le sang, etconfirmer la séroconversion par la détection, dans les 2 à 6 semaines sui-vantes, des Ac spécifiques. Une primo-infection symptomatique est associée à un risque d'évolution plusrapide vers le SIDA et constitue une indication au traitement antirétroviral,de préférence dans le cadre dun protocole thérapeutique.2. Infection chroniquePassé la phase de primo-infection avec séroconversion, linfection VIH per-siste avec une multiplication virale permanente mais avec, pendant plusieursannées, peu ou pas de manifestations cliniques (en dehors dadénopathiescervicales ou axillaires dans la moitié des cas). La charge virale plasmatique est le meilleur paramètre prédictif de l'évolu-tion ultérieure : baisse des CD4, puis apparition de la maladie. La baisse deslymphocytes CD4 (en moyenne 50/mm3/an) est d'autant plus rapide que lacharge virale est élevée. Les premiers signes de progression clinique sont souvent cutanéomuqueux(zona, candidose buccale, leucoplasie chevelue : catégorie B) mais lentréedans la maladie peut être demblée la survenue dun événement classantSIDA(catégorie C) (T1).3. Manifestations cliniques liées au VIH et du SIDA1. Atteintes pulmonairesTrès fréquentes, elles peuvent être dues à des infections opportunistes (Pneu -mocystis carinii, tuberculose, plus rarement toxoplasmose et champignons)ou bactériennes (S. pneumoniae, H. influenzae, BGN), ou à des localisationspulmonaires de la maladie de Kaposi.156Chapitre 27 - Infection parVIH, SIDALa radiographie, impérative, peut orienter le diagnostic : - syndrome interstitiel : pneumocystose (surtout si CD4 < 200/mm3),- infiltrats macro ou micronodulaires, excavés ou non : tuberculose, plusrarement nocardiose,- syndrome alvéolaire : S. pneumoniae ou H. influenzae, - syndrome macronodulaire : sarcome de Kaposi. La fibroscopie bronchique avec lavage broncho-alvéolaire (LBA) est l'examenclé. Outre l'examen direct qui permet la mise en évidence de P. carinii, leliquide de LBA doit être ensemencé à la recherche de l'agent infectieux encause (mycobactéries, bactéries, champignons, CMV). En pratique : - devant une pneumopathie alvéolaire franche, lantibiothérapie (de préféren-ce C3G injectable) probabiliste simpose ;- devant une pneumopathie interstitielle diffuse, largument de fréquence(pneumocystose) impose de débuter rapidement le cotrimoxazole (voirinfra).2. Atteintes neurologiquesLiées au neurotropisme du VIH, aux infections opportunistes ou auxatteintes tumorales, elles réalisent souvent des formes intriquées. Céphalées, convulsions, troubles de conscience, signes de localisation,troubles psychiques (confusion, états démentiels) nécessitent un scannercérébral sans et avec injection de contraste en urgence. - Des images d'abcès évoquent une toxoplasmose cérébrale, surtout si lesCD4 sont < 200/mm3et la sérologie toxoplasmique est positive, et impo-sent un traitement spécifique (pyriméthamine-sulfadiazine-acide folinique)en urgence. En l'absence de réponse clinique ou radiologique (jugée à J15-J21), le diagnostic le plus vraisemblable est celui de lymphome qui peutêtre affirmé par une biopsie stéréotaxique.- Des aspects d'hypodensité évoquent une leuco-encéphalite multifocale pro-gressive (LEMP) ou une méningo-encéphalite subaiguë virale (à VIH ouCMV). L'IRM est plus sensible. Le diagnostic se fait par létude du LCRen PCR (virus JC, CMV).Un scanner cérébral normal associé à un syndrome méningé et/ou unefièvre doit faire rechercher une cryptococcose dans le LCR (encre de Chine,Ag) et le sang (Ag). Il peut s'agir aussi d'une tuberculose, d'une listériose,d'une syphilis.Une atteinte myélitique doit faire rechercher une atteinte à CMV ou à VZV(culture du LCR, PCR), ou à toxoplasmes.157Chapitre 27 - Infection parVIH, SIDA3. Atteintes digestivesLa diarrhée chronique, parfois sanglante, d'abondance variable, fait recher-cher dans les selles des bactéries (salmonelles, Campylobacter, C. difficileet sa toxine) ou des parasites (cryptosporidies, microsporidies, Isosporabelli). En cas de négativité, la coloscopie avec biopsies et prélèvementsmicrobiologiques recherche des lésions d'entérocolite nécrosante due auCMV, des lésions de Kaposi ou à mycobactéries. La dysphagie fait envisager une candidose sophagienne ou des ulcérationsà CMV ou à HSV, mises en évidence par fibroscopie haute ; celle-ci montreégalement des lésions de Kaposi et de duodénite non spécifiques où la biop-sie recherche notamment des cryptosporidies, des mycobactéries et du CMV.4. Atteintes cutanéomuqueusesMultiples et souvent associées, elles sont peu spécifiques, souvent cause dedécouverte de l'infection par le VIH. La dermite séborrhéique et le prurit dif-fus sont très fréquents à un stade précoce. Les candidoses et la leucoplasiechevelue sont les affections les plus courantes, de même que le sarcome deKaposi, le zona, l'herpès.5. Atteintes oculairesLe fond d'il permet de les dépister (surveillance systématique tous les 2 à 3 mois si CD4 < 100/mm3et sérologie CMVpositive).Les nodules cotonneux correspondent à une vascularite non spécifique. La rétinite est due au CMV, plus rarement au toxoplasme. L'angiographierétinienne peut aider au diagnostic différentiel. En cas de rétinite à CMV, letraitement doit être débuté rapidement (en raison du risque d'évolution versla cécité). La nécrose rétinienne aiguë (VZV, CMV) est plus rare.6. Atteintes hématologiquesLes lymphomes non hodgkiniens se caractérisent par des localisations extra-ganglionnaires plus fréquentes, des aspects histologiques de haute malignitéet par un pronostic péjoratif. L'augmentation de volume et de dureté d'unganglion impose une biopsie exérèse. Les cytopénies, et notamment la thrombopénie de type immunologique, sontfréquentes et liées à l'infection par le VIH.7. Fièvres inexpliquées persistantesFréquentes, en particulier au stade de SIDA, leur étiologie dépend du degréd'immunodépression.158Chapitre 27 - Infection parVIH, SIDA- Si CD4 < 100/mm3: infection à mycobactéries atypiques (hémoculture,biopsie), à CMV (FO, virémie), tuberculose, lymphome (scanner thoraco-abdominal).- Si CD4 > 100/mm3: tuberculose, lymphome, Hodgkin.- Dans tous les cas, penser à une cause médicamenteuse. - Dans les régions d'endémie (dont sud-est de la France), quel que soit ledegré d'immunodépression, rechercher une leishmaniose viscérale.1. Antirétroviraux (T2, T3, T4, T5, T6)Les indications de mise en route du traitement sont (en décembre 2000) : - les patients symptomatiques (SIDA, catégorie B, primo-infection), - les patients asymptomatiques dont le taux de lymphocytes CD4 est inférieurà 350/mm3(ou inférieur à 20 % des lymphocytes totaux).Compte tenu des effets indésirables métaboliques lors de traitements prolon-gés (troubles de la répartition des graisses, dyslipidémies, insulinorésistance,acidose lactique) la tendance actuelle est de différer linitiation du traitementchez les patients ayant un nombre de lymphocytes CD4 supérieur à 350/mm3lorsque la situation immuno-virologique est stable.En traitement de première intention : - les 3 combinaisons dantirétroviraux 2 INRT + 1 IP, 2 INRT + 1 INNRT,3 INRTpeuvent être utilisées (T5),- chez les patients ayant une charge virale supérieure à 100 000 copies/mlet/ou des lymphocytes CD4 inférieurs à 200/mm3, lassociation 2 INRT +1 IP est celle dont lefficacité est la mieux évaluée. Chez ces patients, onpeut être amené à utiliser une quadrithérapie.Le traitement est modifié en cas de toxicité ou dintolérance, déchec virolo-gique initial (diminution de moins de 1 log de la charge virale), de réponsevirologique non maintenue (remontée de la charge virale). Lévaluation delobservance est fondamentale. En cas de changement de traitement pouréchec virologique, la réalisation dun test génotypique de résistance peutpermettre doptimiser le traitement tout en épargnant des molécules pourlavenir. Chez les patients en succès immuno-virologique avec une 1retrithé-rapie comportant 2 INRT + 1 IP, il est possible de changer lIP par 1 INNRT et probablement par labacavir sans risque déchappement virolo-gique. Chez la femme enceinte, un traitement est indiqué, soit en raison de létatimmuno-virologique (CD4, ARN VIH plasmatique) de la mère, soit unique-159Chapitre 27 - Infection parVIH, SIDA160T2 : Inhibiteurs nucléosidiques de la reverse transcriptase (INRT)DCI et nomPrésentationet posologiePrincipaux effetsPrincipaux éléments decommercialmoyenne chez l'adulteindésirablessurveillance biologiqueA Z T = Gélules à 100 mgcéphalées, nausées,NFS, l paq tous les 15 jRétrovir®250 mgmyalgies, asthénie,pendant 2 mois, puisComprimés à 300 mgtroubles du sommeilune fois par mois500 à 600 mg / jour anémie macrocytaireCPKen 2 prisesneutropénie acidose lactiqueddI = Gélules 125, 200, 250, 400 mgpancréatitesAmylasémieVidex®Poids < 60 kg : 250 mg x 1/jourdiarrhée Poids 60 kg : 400 mg x 1/jour nausées, vomissementsCp à 25, 50, 100, 150, 200 mgneuropathie périphériquePoudre pour solution buvablehyperuricémie, 2 et 4 gélévation ALAT, ASAT,acidose lactiqueddC = Gélules 0,375 mg ; 0,750 mgneuropathieAmylasémieHivid®Poids < 50 kg : 0,375 mg x 3/jpériphériquePoids 50 kg : 0,750 mg x 3/jallergie cutanée (rare) acidose lactiqueD4T =Gélules 15, 20, 30, 40 mgneuropathieZérit®P < 60 kg : 30 mg x 2/jpériphériqueP > 60 kg : 40 mg x 2/j acidose lactique3TC = Cp 150 mgRares :NFS, plaqÉpivir®150 mg x 2/jcéphalées, malaise, asthénie,acidose lactiqueAbacavir Cp à 300 mgréaction dhypersensibilité (5 %) :Ziagen®300 mg x 2/jfièvre, rash intenseacidose lactiqueT2 bis : combinaisons dINRTDCI et nom commercialPrésentationPosologie chez ladulteAZT + 3TC = Combivir®cp à 300 mg AZT , 150 mg 3TC2 cp/jourAZT + 3TC + abacavir cp à 300 mg AZT , 150 mg 3TC2 cp/jour= Tr i z i v i r ®300 mg abacavirment dans loptique de prévenir la transmission mère-enfant. Les décisionsthérapeutiques sont difficiles et doivent tenir compte de lanalysebénéfice/risque. Elles nécessitent une consultation spécialisée (infectio-logue-obstétricien). Lévaluation de la toxicité des antirétroviraux pendant la grossesse reste dif-ficile. Les indications thérapeutiques doivent tenir compte de lanalysebénéfice/risque et relèvent dune concentration spécialisé (infectiologue-obstétricien. En cas dexposition accidentelle : voir chap 30. T3 : Inhibiteurs non nucléosidiques de la reverse transcriptase (INNRT)DCI et nomPrésentationet posologiePrincipaux effetsPrincipaux éléments decommercialmoyenne chez l'adulteindésirablessurveillance biologique Névirapine Comprimés à 200 mgHépatite et éruption Transaminases=Viramune®200 mg x 1/jour cutanée pouvant être les 14 premiers jours sévèrepuis à partir du 15ejour fièvre, nausées200 mg x 2/jourélévation des transaminasesou Solution buvableacidose lactique(50 mg/5 ml) De 2 mois à 16 ans : 4 mg/kg une fois par jour x 14 jours puis 7 mg/kg 2 fois par jour (sans dépasser 400 mg/jour avant 8 ans)Efavirenz =gél : 50, 100, 200 mgtroubles neuropsychiques= Sustiva®poids > 40 kg : 600 mgéruption cutanée parfois sévèreen une priseDelavirdine4 gél. à 100 mg x 3/jrash cutané= Rescriptor®nausées, fatigabilitécéphaléesChapitre 27 - Infection parVIH, SIDA161T4 : Inhibiteurs de protéaseDCI et nomPrésentationet posologiePrincipaux effetscommercialmoyenne chez l'adulteindésirablesSaquinavir = Gélules 200 mg : 1 800 mg / jourtroubles gastro-intestinaux raresInvirase®en 3 prises au cours des repascéphalées Fortovase®6 gélules à 200 mg x 3/jhématomes chez lhémophileRitonavir = Capsules molles 100 mg : 1 200 mg / jourtroubles gastro-intestinauxNorvir®Solution buvable 80 mg/ml : 1 200 mg/jourparesthésies péribuccales en 2 prises au cours des repas asthénie, pruritavec augmentation progressive augmentation des transaminasesdes posologies sur 6 à 14 jours.et des triglycérides (lipodystrophie)Conservation à 4°hématomes chez lhémophileIndinavir = Gélules 200 mg, 400 mg : 2 400 mg / jour lithiases des voies urinairesCrixivan®en 3 prises par jour hyperbilirubinémiesoit 1 h avant le repas, céphalées, vertigessoit 2 h après hyperhydratationhématomes chez lhémophile lipodystrophie diabèteÉléments de surveillance biologique : NFP, ASAT, ALAT, CPK, bilirubines, glycémie, triglycérides Nombreuses interactions médicamenteuses : cf Vidal. La complexité des interactions médicamen -teuses impose de faire appel aux services des maladies infectieuses. Des combinaisons dantiprotéases comportant du ritonavirutilisé comme inhibiteurcompétitifdu métabolisme sont possibles ; elles peuvent amener des modifications de posologie de chaqueproduit et de modalité dadministration (en dehors du Kalétra®qui est une association toute faite).Chapitre 27 - Infection parVIH, SIDAUne surveillance rigoureuse (clinique et biologique) de effets secondaires(T2-T2 bis, T3, T4, T6) et une prise en compte des interactions pharmacoci-nétiques (antirétroviraux entre eux (T7) et avec les autres produits co-admi-nistrés) sont impératives. En cas de risque dinteraction, le dosage plasma-tique des antirétroviraux et tout particulièrement des inhibiteurs de protéaseest utile pour repérer des taux faibles ou élevés. Cette précaution sapplique àlutilisation du ritonavir à faible dose comme inhibiteur du cytochrome p450impliqué dans le métabolisme de plusieurs IPet autres médicaments. Dans tous les cas, une décision de modification ou d'arrêt d'un traitementantirétroviral doit être prise en concertation avec un spécialiste. En complément du traitement antirétroviral des stratégies dimmunothérapie(immunothérapie non spécifique : interleukine-2, immunothérapie spécifiquevaccinale, interruptions thérapeutiques programmées et séquentielles) sonten évaluation.162T4 : Inhibiteurs de protéase (suite)Nelfinavir = Comprimés 250 mgtroubles digestifsViracept®2 250 mg / jour en 3 prises au cours des repasAmprénavir =8 gélules à 150 mg, 2 fois par jourtroubles digestifsAgénérase®éruptions cutanées, paresthésies péribuccales, dyslipidémie, syndrome lipody-strophique.Lopinavir capsules molles troubles digestifs+ ritonavir133,3 mg lopinavir + 33,3 mg ritonavirhypertriglycéridémieKaletra®3 capsules 2 fois par jour (si INRT)4 capsules 2 fois par jour (si INNRT)T5 - Associations préférentielles pour le traitement initialAssociation de 2 INRT + 1 IPZidovudine + Didanosine+Indinavir ou Nelfinavir ou Saquinavir-HCG/ritonavir ou Ritonavir (rarement utilisé seul à pleine dose)Ou Zidovudine + Lamivudine+idem ci-dessusOu Stavudine + Didanosine+idem ci-dessusOu Stavudine + Lamivudine+idem ci-dessusAssociation de 2 INRT + 1 INNRTZidovudine + Didanosine+Efavirenz ou Névirapine*Ou Zidovudine + Lamivudine+Efavirenz ou Névirapine*Ou Stavudine + Didanosine+Efavirenz ou Névirapine*Ou Stavudine + Lamivudine+Efavirenz ou Névirapine*Association de 3 INRTZidovudine + Lamivudine+Abacavir** surveillance particulière durant les 2 premiers mois du fait du risque dintolérance sévère.Chapitre 27 - Infection parVIH, SIDA163T6- Effets secondaires des antirétroviraux et conduite à tenirPathologiesConduite à teniret médicaments Insuffisance rénaleDidanosineDiminuer la posologie (50% chez lanurique dialysé).ZalcitabineAdapter la posologie à la clairance de la créatinine.LamivudineAdapter la posologie à la clairance de la créatinine.StavudineAdapter la posologie à la clairance de la créatinine : contre-indication si < 10 ml/mn.NévirapineContre-indication en labsence de données.SaquinavirContre-indication si insuffisance rénale sévère.IndinavirPrudence si insuffisance rénale, hypovolémie, antécédent de lithiase urinaire; interruption si une néphropathie apparaît sous traitement.Altération des tests hépatiquesDidanosineEnvisager un ajustement de posologie en cas dinsuffisance hépatique.LamivudinePrudence en cas de cirrhose sévère liée au virus de lhépatite B.StavudineArrêt transitoire ou définitif en cas délévation des transaminases.NévirapineContre-indication en raison de son métabolisme et en labsence de données: arrêt en cas de perturbation modérée à sévère des paramètres fonctionnels.Inhibiteurs deEn cas dinsuffisance hépatique sévère: sont contre-indiqués.protéaseEn cas dinsuffisance légère à modérée en rapport avec une cirrhose: diminuer la dose dindinavir à 600 mg x 3/j et administrer le nelfinavir ou le ritonavir avec précautions.PancréatiteDidanosinePour ces quatre produits :Zalcitabine- prudence en cas dantécédent de pancréatite ou Lamivudinedhypertriglycéridémie;Stavudine- arrêt en cas de survenue dune pancréatite (clinique ou biologique).DiabèteInhibiteurs dePrudence en cas de diabète préexistant.protéaseEn cours de traitement: surveiller et équilibrer ;une interruption peut être nécessaire.DyslipidémiesRitonavirSurveillance pancréatite si hypertriglycéridémie importante,Lopinavirmesures diététiques, arrêt tabagisme, fibrate, statine (attention interactions), modifications du traitement.LipodystrophieStavudineSelon retentissement modification du traitement (substitution) maisInhib. de protéaserésultats variables, interventions esthétiques (lipoatrophie du visage)Chapitre 27 - Infection parVIH, SIDA164T7- Interactions pharmacocinétiques entre inhibiteurs de protéase (IP) et inhibiteurs non nucléosidiques de la reverse transcriptase (INNRT)IndinavirRitonavirSaquinavirNelfinavirAmprénavir(IDV)(RTV)sgc (SQV)(NFV)(AMP) Nevirapine- NVP- NVP- NVP- NVP(NVP)AUC IDVsans effetAUC SQVAUC NFV28 %sur RTV(hgc) 25 %8 %(Pas de donnéesPas depour sgc)données- IDV- RTV- SQV- NFVsans effetsans effetsans effetsans effetsur NVPsur NVPsur NVPsur NVPDelavirdine- DLV- DLV- DLV- DLV effet(DLV)AUC IDVsans effet AUC SQV(hgc) opposé sur100 %sur RTV500 %NFVet sonPas demétabolitedonnées- IDV- RTV- effet SQV- NFVsans effetsans effetsur DLV:AUC DLVsur DLVsur DLVpas de données40 %Efavirenz- EFZ - EFZ: effet- EFZ (EFZ)AUC IDVPas dePas deopposé sur NFV AUC AMP30 %donnéesdonnéeset son métabolite36 %- IDV- NFV- AMPsans effetsans effetAUC EFZsur EFZsur EFZ15 %AUC*: area under the concentration curve (aire sous la courbe)hgc: hard gel capsule (première formulation du SQV= Invirase®)sgc: soft gel capsule (deuxième formulation du SQV= Fortovase®)T6 (suite) - Effets secondaires des antirétroviraux et conduite à tenirTroubles hématologiquesZidovudineContre-indiquée si Hb <7,5 g /dl ou PNN <750 /mm3;diminuer la dose si Hb < 10 g / dl ou PNN <1 200/mm3:arrêter si Hb <8 g/dl ou PNN <750/mm3.IndinavirEn cas danémie hémolytique sous indinavir: arrêter.Inhib. de protéaseEn cas dhémophilie: surveiller la survenue de saignements.Neuropathie périphériqueDidanosineEn cas de neuropathie périphérique non guérie :Zalcitabinela didanosine est contre-indiquée.LamivudineEn cas dantécédent de neuropathie périphérique Stavudine(diabétique, éthylique,) :- contre-indication de la zalcitabine- utilisation prudente de la didanosine, la lamivudine et la stavudine.En cas de survenue dune neuropathie périphérique :arrêt de la didanosine, de la zalcitabine et de la stavudine.Chapitre 27 - Infection parVIH, SIDA1652. PneumocystoseLe traitement est le cotrimoxazole (Bactrim®) : 15 à 20 mg/kg/j de trimétho-prime et 75 à 100 mg/kg/j de sulfaméthoxazole, en 3 à 4 prises par voie oraleou IV(en cas d'intolérance digestive), pendant 21 jours. En cas d'antécédent allergique grave ou de complications secondairessévères (fièvre à 40° C, leucopénie, syndrome de Lyell débutant), le relaisest pris dans les formes peu sévères par l'association triméthoprime-dapsoneou l'atovaquone (Wellvone®), et dans les formes sévères par la pentamidineIV (3 mg/kg/j) aux effets secondaires fréquents et graves. Une corticothérapie (1 mg/kg/j pendant 5 j puis décroissante) est associée encas d'hypoxémie (PaO2< 70 mm d'Hg en air ambiant).L'efficacité est jugée sur la clinique, la radiographie thoracique et les gaz dusang ; la surveillance parasitologique dans le LBA n'a pas d'intérêt. Un trai-tement prophylactique des rechutes est nécessaire, soit par un compriméquotidien de Bactrim forte®, soit en cas d'intolérance par un aérosol mensuelde Pentacarinat®(300 mg).3. Toxoplasmose cérébraleOn utilise l'association sulfadiazine (Adiazine®) [4 à 6 g/j, avec alcalinisa-tion des urines] - pyriméthamine (Malocide®) [50 à 75 mg/j], avec l'acidefolinique [25 mg/24 h-48 h]. En cas d'intolérance aux sulfamides, la clinda-mycine (Dalacine®) [1,8 g à 3,6 g/j] est proposée en alternative à la sulfadia-zine. Le traitement d'attaque, de 6 semaines en moyenne, est relayé par untraitement d'entretien à demi-dose à vie.4. Infection à CMV(voir chapitre 26. Infections à Herpès virus)Le traitement d'attaque, de 3 semaines, fait appel au ganciclovir IV (Cymé-van®) ou en dispositif intravitréen (Vitrasert®) ou au foscarnet (Foscavir®).Le cidofovir IV (Vistide®) est réservé aux rétinites à CMV pour lesquellesles autres traitements sont inappropriés. En cas dimpossibilité dutilisationde la voie intraveineuse, le ganciclovir peut être utilisé en injection intravi-tréenne dans le traitement dattaque ou dentretien de la rétinite ; ces injec-tions locales nempêchent pas lextension controlatérale de la lésion ou uneautre localisation viscérale. L'effet secondaire majeur du Cymévan®est la leuconeutropénie, nécessitantladministration de facteur de croissance (G-CSF, GM-CSF). Le Foscavir®et le Vistide®ont une toxicité rénale, justifiant des précautions dadministra-tion et une surveillance attentive. Le traitement d'entretien est théoriquement poursuivi tant que le déficitimmunitaire persiste. Les rechutes sont fréquentes, nécessitant de nouvellesChapitre 27 - Infection parVIH, SIDAcures, avec les inconvénients liés à leur toxicité et aux contraintes de leurprescription intraveineuse (intérêt des chambres implantables). Une formeorale de ganciclovir (Cymévan®gélule 250 mg), de faible biodisponibilité, al'AMM pour la prévention des rechutes à la posologie de 3 g/j. Une nouvelleformulation (prodrogue) orale (Valganciclovir) a une meilleure biodisponibi-lité (disponible en ATU). Chez les patients ayant sous traitement antirétroviral un contrôle efficace etprolongé de la charge virale plasmatique et une remontée maintenue desCD4 (> 200/mm3), larrêt du traitement dentretien se discute en raison de salourdeur, sous réserve dune surveillance rigoureuse (bi-mensuelle) : fonddoeil, marqueurs sanguins de réplication du CMV.5. Leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP)Peu sensible aux diverses thérapeutiques, elle saméliore parfois sous traite-ment antirétroviral puissant.6. MycobactériosesLa sensibilité de M. tuberculosis aux antituberculeux est généralementconservée mais les échecs et les intolérances sont plus fréquents chez lespatients infectés par le VIH. Le schéma thérapeutique est la trithérapie (isoniazide, rifampicine, pyrazinamide) pendant 2 mois puis la bithérapie(isoniazide, rifampicine) pendant au moins 7 mois. Lassociation rifampici-ne-inhibiteurs de protéase est contre-indiquée (voir chap 24 Tuberculose).La nécessité dun traitement dentretien nest pas prouvée. Mycobacterium avium intracellulare est résistant aux antituberculeux habi-tuels. Le schéma thérapeutique comporte lassociation clarithromycine(Zéclar®) [1500 mg/j], éthambutol (Myambutol®) [1200 mg/j], et rifabutine(Ansatipine®) [300-450 mg/j], en se méfiant pour cette dernière des interac-tions ou contre-indications aux IP et aux INNRT.7. Cryptosporidiose - microsporidiose - candidose - cryptococcoseLa cryptosporidiose est parfois améliorée par la paromomycine (Humatin®).Pour la microsporidiose, le Zentel®est actif sur Encephalitozoon intestinalis.Ces 2 infections digestives chroniques, souvent rebelles à tout traitement,sont habituellement contrôlées lors de la remontée des CD4 sous traitementantirétroviral actif. Pour la candidose et la cryptococcose (cf chap 42).8. Maladie de KaposiL'interféron (IFN) alpha peut être utile en cas d'immunodépression modérée(CD4 > 200/mm3) et de forme cutanée pure et peu extensive.Les traitements locaux (chirurgie, radiothérapie, laser) sont indiqués pour les166Chapitre 27 - Infection parVIH, SIDAlésions peu étendues ou ayant des conséquences fonctionnelles ou esthé-tiques. La chimiothérapie cytotoxique est indiquée en cas de forme rapidementextensive ou de localisation viscérale. Il peut sagir de la bléomycine seuleou associée à de la doxorubicine, vincristine. La daunorubicine liposomale(DaunoXome®) et de la doxorubicine liposomale (Caelyx®), ont unemeilleure tolérance hématologique. Le docetaxel (Taxotère®) et le paclitaxel(Taxol®) sont en cours dévaluation en cas déchec ou de toxicité de la chi-miothérapie usuelle, dans les Kaposi viscéraux ou étendus.9. Purpura thrombopéniqueLes manifestations hémorragiques viscérales sévères sont traitées par l'asso-ciation d'immunoglobulines IV (2 g/kg répartis sur 2 à 5 jours) et de transfu-sions plaquettaires. La splénectomie est indiquée en cas de thrombopénieprofonde < 30 000/mm3symptomatique après échec de 6 mois de traitementmédical (zidovudine >1g/j ou corticoïdes).1. PneumocystoseIndication : lymphocytes CD4 < 200/mm3ou < 15 % des lymphocytestotaux, infection à VIH symptomatique, quel que soit le taux de CD4. Laprophylaxie la plus efficace est le cotrimoxazole (160/800 mg/j ou 80/400 mg/j) ; en cas d'intolérance (10 % à 20 % des cas), on peut envisagerune désensibilisation, des aérosols de pentamidine (300 mg une fois parmois) ou l'association dapsone-pyriméthamine (fréquence des allergies croi-sées) (voir posologie ci-après).2. ToxoplasmoseIndication : CD4 < 200/mm3et sérologie de toxoplasmose positive. Lerisque est majoré si le taux danticorps sériques anti-toxoplasmiques estélevé (taux dIgG > 150 UI/ml en ELISA). Le cotrimoxazole (à la même posologie que pour la prophylaxie primaire dela pneumocystose) est le produit de choix. En cas d'intolérance confirmée,on propose l'association dapsone (50 mg/j) et pyriméthamine (50 mg/sem,avec l'acide folinique 25 mg/sem), ou, en cas d'intolérance de la dapsone, la pyriméthamine seule (50 mg 3 fois par sem, avec l'acide foli-nique).167Chapitre 27 - Infection parVIH, SIDA3. Infection à Mycobacterium avium intracellulareChez les sujets ayant des CD4 < 100/mm3, la rifabutine (Ansatipine®) à ladose de 300 mg/j permet de réduire de 50 % la survenue d'une infection dis-séminée à ce germe. On lui préfère actuellement lazithromycine (Azadose®,cp à 600 mg) à la dose de 1200 mg une fois par semaine, qui a une efficacitésupérieure, une meilleure tolérance, labsence dinteraction médicamenteu-se, un moindre coût et au prix cependant d'un risque de sélection de mutantsrésistants.4. Infection à CMVSi séronégatif : respect des précautions transfusionnelles. Si séropositif : études en cours pour évaluer l'intérêt et les modalités de laprophylaxie ou dun traitement présomptif chez les patients ayant des mar-queurs virologiques de réactivation du CMV.5. TuberculosePrévention de la transmission aérienne à partir des patients atteints. Chimioprophylaxie par isoniazide si contact infectant documenté ou IDRfortement positive.6. Indications des prophylaxies chez un patientsous traitement antirétroviral puissantLa restauration de limmunité observée chez la plupart des patients recevantune multithérapie antirétrovirale permet dinterrompre les traitements pro-phylactiques des infections opportunistes lorsque les lymphocytes CD4 sontredevenus supérieurs à 200/mm3depuis plus de 6 mois. Il ne faut oublier de reprendre une prophylaxie lors des échecs immuno-virologiques soustraitement antirétroviral ou en cas dinterruption de traitement (surveillanceCD4 + T1).Le BCG est contre-indiqué quel que soit le statut immunitaire. La vaccina-tion anti-amarile est possible en l'absence d'immunodépression sévère (CD4 > 200/mm3). Les vaccinations anti-hépatite B et A, antitétanique, anti-diphtérique et polio inactivé (injectable) peuvent être pratiquées. Les vacci-nations antipneumococcique et anti-grippale ne sont généralement pasrecommandées.168
  13. Il y a quelque temps de cela nous avons vu le professeur DELFRAISSY ( representant officiel francais du $ida ) nous expliquait tranquillement les effets secondaires "importants" des tri therapies sur france 2.....rassurez vous il nous parlait bien des effets visibles à l'oeil nu, à savoir les deformations physiques....à ce sujet il a quand meme dit : on ne sait pas sur le long terme ce que cela peut donner au point de vue toxicite cumulative.....( bien entendu nous savions bien qu il sait qu il n y a pas de long terme avec une tri therapie....certains en prennent 2 mois et en crevent, et de plus il n a pas parlé des effets secondaires mortels connus depuis des lustres )...... ce jour à l image on avait donc montré deux ou trois seropos en bonne forme mais deux dans sale etat ( plus de graisses sur le corps ).......en gros, c est comme si on essayait de faire passer le message : voila une tri therapie, sur long terme, ca peut faire cela et ca se voit a l oeil nu...mais c est le prix à payer pour rester en vie !.......bref on cherche apparement a banaliser ces problemes, car ils sont trop gros à cacher....... c est là que je me dis que ce n est pas dans l interet de l industrie sida de montrer cela !......ces effets ont les connait depuis l 'azt ( années 80 )....pourquoi en parler que maintenant ???.......je pense que dans l esprit de la populasse ca va donner envie de porter la capote et donc moins de tests vih seront positifs ( en supposons que l on devient parfois seropo a cause de mst repetées et soignées avec antibios à repetition aussi )...... remarques on montre une fois de plus que le sommet de l iceberg.....en restant donc l hypothese qu ils nous montrent cela pour mieux faire passer la pillule ( dans le sens : c est ça ou creve !)......et que cela n influe en rien sur les chiffres ventes des tri therapies.......la banalisation donc continue et prends forme........est ce le hasard ? : ce soir dans la ferme nous avons un bon panel representatif de notre société : riches, pauvres, drogués, alcoolos,arrivistes...etc...etc... et personne blanche gay deformée par une tri therapie et une femme noire venue vendre (sans s en rendre compte )le test vih ( vous etes noire ? passer un test....etc....)etc...... c est quand meme fou que cela arrive maintenant, sans que personne ne bronche alors qu a l epoque de la pub beneton ca avait etait un scandale.....on y voyait un homme RAVAGE par l'azt ( et d autres choses surement) en train d agonir avec ses parents a cote.....aujourd hui on nous montre la meme chose, mais l homme est debout cette fois et cela ne derange personne.......surement pas la nouvelle filliale de glaxo chargée de produire du newfil/botox :produit de comblement pour le visage....bientot pour les fesses....la secu vient d accepter de prendre en charge les frais de cet inconvenient des tri therapies......un marché juteux s annonce......enfin c est ça tiens !!!!!......c est les vendeurs de botox qui font peut etre pression pour que l on montre des seropos au visage creusé avec un message caché :...joues creuses ??? :y a le botox !( ou ses consoeurs : new fil )......maintenant si le fabricant du dit produit est la sidapharma je comprends peut etre tout...mais sur le long terme les labos peuvent etre perdant...remarques qu ils sont assez fort pour faire disparaitre une maladie pour en faire sortir une autre...!!! enfin, avec le sida, ils se gavent quand meme...! pour ma part, je pense que les medias en france et en europe sont hyper bien controlés....manipulés......de toutes les facons avec des societes mega-multinationales avec des filliales , des actions un peu de partout........c est comme si il y avait une seule personne qui dirigait les pays dits industrialisés.........certain on pourrait dire : c est l homme....ok........mais le quel ?? hormis l industrie phamarceutique, qui a plus de pouvoir ??....nous sommes depuis beaucoup de temps (lol!) dans une societe qui vit pour la science.....aller plus loin dans l espace...voir de plus en plus petit dans le corps humain....bref......apparement la science est devenue maitresse de l homme...elle a tout les pouvoirs, elle peut tuer des millions d etres humains sans que des milliards d autres s en soucie....je suis sur qu ils ne doivent pas etre beacoup a s occuper de cela en haut lieu finalement.... vous imaginez vous les enfants du pdg de glaxo en photos dans Gala ??,....les heritiers de roche dans la ferme celebrites ??...les descendant du valium a popstar.....lol....c est fou comme on en entend jamais parle de ces grosses tetes....car cela doit etre eux qui controle une grosse partie de l information.....eux, qui se sentent superieurs à nous tous..........à l heure ou nous parle d un pdg LOCAL de carrefour viré pour des tas de millions....ca fait scandale......imaginons un peu les salaires des pdgs de grosses mega-inter-nationales style glaxo ( encore eux !!! ).......ca doit etre ENORME..........on m enlevera pas de l esprit que c est l industrie des medocs qui dirige une grosse partie de la planete.....certes on pourait dire que c est l armement, l alimentaire, l informatique( lol ! surtout des trous laisses volontairement dans windows pour mieux espionner tout le monde*), le cinema, la musique, la drogue ??? .....non non et non : impossible car l armement et l alimentaire de masse ca rend malade et les cachets se vendent deux fois plus grace a cela ! drole de monde non ?!!! * au fait je decouvre depuis peu de temps le monde des virus informatiques....bon je savais...mais j ai quand meme envie de l ecrire : nous sommes sur un site que certains pourrait qualifier de negationniste, revisioniste etc....donc nous, moi qui ecrit, vous qui lisez.....n oubliez jamais que quelqu un a l autre de bout de la planete a le pouvoir de savoir tout ce que vous ecrivez,lisez sur votre ordinateur.....alors en plus en etant sur des forums comme celui, dy participer, ca pourrait, je dis bien : pourrait..nous apporter, peut etre des ennuis...ennuis benins bien sur du genre : sa ligne sous ecoute ( avec des empoloyes mouchards des pays pauvres payés pour ecouter toute la journée ce que l on dit, ecrit....lol!)......comme le vih, les virus informatiques sont invisibles a l oiel nu !!.........je pensais qu internet etait une sorte de liberté, democratie........que dalle !!! tout est bien calculé, controlé... ..combien de chance d atterir sur ce site si on tape pas le bon mot sur un moteur de recherche....style yahoo : vih ! =0.....a qui va venir a l esprit de taper sidasante sur aol??,..... vaut mieux rire qu en pleurer finalement ...!!! L HOMME EST L ENNEMI UNIQUE ET MORTEL DE L HOMME.........
  14. Je ne vois pas pourquoi il est difficile pour beaucoup ici d admettre que d avoir des ganglions peut etre une chose positive : le corps se defend contre quelque chose........dons en restant dans la logique officielle, dans certains cas des ganglions, il vaut mieux en avoir que pas !!!.............je repete que j en ai depuis plus de 18 ans : bien sur on m y a cherche des tas de choses sans jamais y trouve quelque chose.......par contre lorsque j ai demandé à un anapath de quoi ceux ci sont consititués il m a repondu : uniquement de la graisse...n etant pas un gros mangeur, mais un gros fumeur, j en deduis que je suis en quelque sorte pas paré pour affronter les degats cellulaires causes par la clop..........lorsque je prenais la tri therrapie; à moi aussi mes ganglions avaient diminués.....mais en meme temps que mon poids !!!.....alors si les analyses de sang ne montrent rien d anormal ( sur une nfs) il ne faut pas s en inquieter....car cela ne peut qu aggraver les choses............ nous sommes tous different mais les toubibs ont decidés que non et nous devrions etre tous identiques !.......trop de ganglions = probleme de sante ( cancer ou autres).... ....et si cela etait tout simplement une facon saine au corps de s adapter a une situtation sans pour autant que cela le mette en peril....ce sont des organes draineurs non ?......meme sur des années ..... : 18 ans dans mon cas, c est pas rien non ?? une toux seche causée par le tabac peut survenir meme apres 20 ans d utilisations....mais bon de nos jours il y a bien plus de toux d irritation due aux anti inflammatoire et aspirine....., bref une toux seche peut etre le signe d un debut de gastrite, ou d ulcere ou x x x x x x chose
  15. Almitava d apres ce que je lis vous etes en SUISSE.....pourriez nous dire pourquoi beaucoup de medicaments interdits la bas y sont authorisés en France ?......meditez sur des choses comme celles ci pour develloper votre fort interieur au lieu d ingurgiter des saloperies qui ont montrées legalement leurs pouvoirs lethales....pourquoi jouer avec le feu ??, une espece d auto destruction volontaire en plus ! je reve.....une bequille a 3 pattes vous dites ?? moi je dirais un cheval de Troie............ ...................."Il n'en reste pas moins que certaines personnes ont et auront peut-être besoin de béquilles toute leur vie et que personne n'a le droit de les juger à cause de cela. Aidons-les plutôt en les soutenant............" tout cela est du a un bourrage de crane subi subi depuis la naissance.....il faut croire en soi avant de croire les autres .........je ne juge pas : je ne fais que contaster que la race humaine est dans un etat de delabrement physique et mentale bien avancée et qu en fait ce n est pas les seropositifs qui ont le sida mais la planete, celle ci etant envahie par la race humaine : un virus appelé par ces memes humains : VIH !: un comble...
  16. Almitava a ecrit :........Au contraire ! Je témoigne que oui, sans médic aucun (ni azt, ni antibio, ni drogues, ni alcool, très peu de tabac) je suis restée en bonne santé pendant très longtemps. .................... pas longtemps ¨pas tout le meme paré physiquement pour supporter la cigarette ( ou des antibiotiques).......meme trés trés peu.......et cela l homme a du mal a s en convaincre !!!......de la a que ce soit une chance pour l humanité, je doute.....en attendant c est vraiment mal baré !...... Tous pareil mais tellement different !! pour ma part ( histoire de renvoyer l ascenceur ) quand j ai arrete la tri therapie prise pendant 18 mois, ben pendant les quelques jours qui ont suivis je peux vous garentir que j ai degusté copieusement et heureusement que je ne suis pas allé m en plaindre a un medecin hiv car je n ose pas penser ce qu il aurait pu aller chercher et surtout trouver....
  17. les ganglions ( moi j en ai depuis 18 ans ) sont en fait une reaction d hypersalivation du la cigarette.....sans commentaire pour la toux....
  18. ce n est pas par hasard le libre blanc de la securite sociale dont est extrait le doc ci dessus ??
  19. Merci, sympa comme adresses....( un peu demodées pour nous dissidents !)..........par contre j ai trouvé sur le net sans le faire exprés un document ci joint....j ai completement perdu l adresse, tout ce que je me souviens c est que ca commencer par www.01libreblanc..... un truc du genre. lisez bien toutes les informations a cote du nom de chaqu medoc, il y a des trucs assez drole !!! ........LISTE DES ACTIONS Télécharger Home action n° 1: Ofloxacine TARIVID ® (HOECHST) (1/90): "A coup sûr dans les infections respiratoires" action n° 2: Proglumétacine TOLINDOL ® (THERABEL) (6/91):"1er AINS qui respecte l'estomac". action n° 3: Naftidrofuryl PRAXILENE ® (LIPHA) (4/92): " Après un AVC, 93% retrouvent leur mobilité" " Diminue de moitié la durée d'hosptalisation après AVC ". action n° 4: Etidronate OSTEODIDRONEL ® (PROCTER GAMBLE (6/92): "50 % de fractures vertébrales en moins; le traitement complet de l'ostéoporose postménopausique" action n° 5: Salcatonine MIACALCIC ® (SANDOZ) (92): "Traitement de l'ostéoporose trabéculaire postménopausique", illustré par des images d'une fracture du poignet et d'une fracture du col du fémur. action n° 6: Sumatriptan IMITREX ® (GLAXO) (10/92): publicité indirecte au J.T. de la RTBF pour un " nouvel anti-migraineux révolutionnaire ", dans le cadre d'une campagne médiatique européenne. action n° 7: Editorial de la RMG (10/92) " accueillir les délégués médicaux est un devoir du médecin généraliste" action n° 8: pénicillines PENIORAL ® (WYETH) et ORACILLINE ® (RHONE POULENC) (2/93): retrait des sirops de pénicilline V. action n° 9: Clarithromycine BICLAR ® (ABBOTT) (6/93) "Armé contre le quarté ... 95% d'efficacité dansles infections respiratoires". action n° 10: Piracétam NOOTROPIL ® (UCB) (6/93): promotionné dans le Tiers-Monde pour le traitement de l'A.V.C. action n° 11: collyre OCUVIT ® (CYANAMID) (9/93): complexe vitaminé promotionné dans la prévention de la cataracte et des troubles maculaires. action n° 12: Bisoprolol EMCONCOR ® (MERCK) (12/93): publicité subliminale. action n° 13 : Aciclovir ZOVIRAX ® (WELCOME) (1/94): promotion dans la varicelle banale. action n° 14: Fluor ZYMAFLUOR ® (ZYMA) (1/94): prix multiplié par 4,5 à 7 lors d'un changement du statut du produit. action n° 15: Nifuroxazide ERCEFURYL ® (SYNTHELABO) (11/94): "le choc des cultures". action n° 16: Kétoprofène TOPREK ® (SOPAR) (6/94): "pour une action en toute sécurité". action n° 17: Métoclopramide PRIMPERAN ® (SYNTHELABO) (11/94):promotion et banalisation dans le premier trimestre de la grossesse. action n° 18: association PERDOLAN suppo ® (JANSSENS) (11/94): "association sûre de sorte qu'un résultat meilleur est obtenu avec moins d'effets secondaires" action n° 19: association YAMALEN NEW ® (MERREL DOW) (3/95): pas de composition mentionnée dans la publicité action n° 20: publicités pour des médicaments dans LE LIGUEUR (3/95). action n° 21: Lactulose DUPHALAC DRY ® (SOLVAY) (5/95): promotionné dans le traitement de la salmonellose. action n° 22: Amlodipine AMLOR ® (PFIZER) (5/95): promotion orale dans la prévention secondaire de l'infarctus. action n° 23: Carvédilol DIMITONE ® (BOEHRINGER MANNHEIM) (9/95): Bétabloquant testé en post-infarctus contre placebo. action n° 24: vaccin hépatite B ENGERIX B ® 5SMITH KLINE) (9/95):100 % plus cher que son équivalent en France. action n° 25: Céfuroxime ZINNAT ® (GLAXO-WELLCOME) (1/96): promotionné dans le traitement de l'angine. action n° 26: Clométocilline RIXAPEN ® (MENARINI) (2/96): "8 jours de traitement dans les angines". action n° 27: Pravastatine PRAVASINE ® (BRISTOL-MEYERS SQUIBB) (2/96): détournement des résultats de l'étude WOSCOPS à des fins publicitaires. action n° 28: Vaccin pneumocoque PNEUMOVAX 23 (PASTEUR-MERIEUX MSD) (3/96): discordance dans les délais de revaccination; campagne de vaccination de masse à visée publicitaire. action n° 29: Thiamphénicol et chloramphénicol (3/96): danger de la banalisation de ces produits en ORL (DEICOL ®, FLUIMICIL ANTIBIOTIC ®) action n° 30: Magaldrate GASTRICALM ® (WHITEHALL) (4/96): publicité comparative mensongère. action n° 31: SCHERING, WYETH, ORGANON, AACIPHAR (5/96):demande de déremboursement de contraceptifs oraux. action n° 32: Nimésulide MESULID ® (THERABEL PHARMA) (6/96): "L'AINS idéal en matière de tolérance gastro-intestinale". action n° 33 : Nifédipine ADALAT ® (BAYER) (5/97): " Sécurité et excellente tolérance". action n° 34: Saccharomyces PERENTEROL ® (BIODIPHAR) (10/96): "efficacité prouvée dans les diarrhées infectieuses" action n° 35: Méloxicam MOBIC ® (BOEHRINGER) (7/97): " Tolérance améliorée " action n° 36: Salmeterol SEREVENT ® (GLAXO) (11/97): publicité médiatique indirecte pour un médicament sur prescription à la RTBF "reconnu par les pneumologues du monde entier comme souverain dans l'asthme". action n° 37: Acétylcystéine LYSOMUCIL ® (ZAMBON) (11/97): remboursement injustifié. action n° 38: Diphénhydramine NUICALM ® (GLAXO) (11/97): antihistaminique en vente libre, proposé pour traiter l'insomnie. action n° 39: lait maternisé ENFALAC ® (MEADJOHNSON) (6/98): distribution d'échantillons de lait en poudre à des populations défavorisées ("publicité humanitaire") action n° 40: contre la banalisation de la prescription des héparines à bas poids moléculaire (HBPM). action n° 41: INFANRIX ® (SKB) (1/99): promotion grand public dans les maternités d'un vaccin sous prescription, cher et non remboursé, avec promotion d'un rappel à 6 ans, indication ne figurant pas dans les recommandations officielles actuelles. action n° 42: vaccin contre la varicelle VARILRIX ® (SKB) (1/99): publicité indirecte au J.T. de la RTBF pour le vaccin contre la varicelle action n° 43: association (antihistaminique + pseudo-éphédrine) ACTIFED ® (GLAXO WELLCOME) (6/99): contre-indication chez les enfants de moins de 12 ans (modification de la notice nécessaire). action n° 44: Zanamivir RELENZA ® (GLAXO WELLCOME) (11/99) publicité médiatique indirecte. action n° 45: Zaleplon SONATA ® (WYETH LEDERLE) (11/99): discordance entre la publicité et la notice scientifique enregistrée action n° 46: Irbesartan APROVEL ® (SANOFI) ((11/99): utilisation de graphiques trompeurs action n° 47: Orlistat XENICAL ® (ROCHE) (10/99): élargissement indu des indications. action n° 48: NIVAQUINE ® et NOZINAN ® (RHONE POULENC RORER) (12/99): similitude des emballages entrainant un risque d'erreur dans la délivrance et dans la prise du médicament. action n°49: Etonogestrel IMPLANON ® (ORGANON) (12/99): publicité médiatique pour un médicament sur prescription. Oubli et minimisation de certains effets secondaires. action n°50: Rofécoxib VIOXX ® (MERCK SHAPE & DOHME) (3/2000): publicité annonçant une sécurité gastro-intestinale comparable au placebo notice scientifique reconnaissant un risque de perforations, d'ulcères ou de saignements action n°51: Moxonidine MOXON ® (SOLVAY Pharma) (3/2000): indications thérapeutiques non fondées action n°52: Oestrogènes conjugués PREMARIN ® (WYETH LEDERLE) (4/2000) : déremboursement non annoncé avec forte augmentation de prix action n°53 : Noréphédrine (TRENKER et PIETTE) (7/2000) : promotion dun coupe-faim dangereux, disponible en vente libre comme décongestionnant nasal. SUIVI 9/2003 action n°54 : Naproxène ALEVE ® (ROCHE) (10/00) : anti-inflammatoire en vente libre avec publicité médiatique. action n°55 : Ipratropium ATROVENT ® (BOEHRINGER INGELHEIM) (2/01) : augmentation de prix injustifiée. action n° 56. ATROVENT® (Ipratropium) BOEHRINGER INGELHEIM (2/2001) : augmentation de prix injustifiée action n°57: Amoxicilline + Acide Clavulanique AUGMENTIN ® (GLAXO SMITH KLINE) (4/01) : inadéquation dun traitement en 2 prises quotidiennes. SUIVI 9/2003 action n°58. HENAFURINE (Bisacodyl) DELATTRE-HEMAPURINE (3/2001) changement de composition dun mélange laxatif sans modification marquée de dénomination action n°59. MARGARINES AUX PHYTOSTEROLS : (6/2001) publicité médiatique pour un produit sujet à caution. action n°60. UROPYRINE (Phénazopyridine) PHARMACOBEL (8/2001) : maintien sur le marché dun produit inefficace et dangereux. action n°61. VIOXX (Rofécoxib) -CELEBREX (Célécoxib) MSD - SEARLE : (12/2001) « AINS de 1ère intention chez les plus de 65 ans » Remboursement incohérent chez les plus de 65 ans. action n°62. DEPISTAGE DES MALADIES ACIDODEPENDANTES (11/01) ASTRA-ZENECA et THERABEL : Manque de preuves justifiant une prise en charge médicamenteuse plus précoce et risque dun surplus de prescription non-justifié. action n° 63 : DEPISTAGE DE LOSTEOPOROSE - MSD (4.2002) : campagne de dépistage de lostéoporose non-justifiée, en collaboration avec les pouvoirs communaux et associatifs entraînant un surcoût dexamens complémentaires et inquiétant inutilement les femmes ménopausées action n° 64 : INDIGENCE DE LA MATERIOVIGILANCE BELGE (5.2002): rupture de têtes de prothèses de hanche en céramique : pas d' information officielle auprès des médecins depuis le 23.07.2001. action n° 65 : MOXIFLOXACINE (AVELOX ®) : « un antibiotique innovateur dans le traitement des infections bactériennes des voies respiratoires » - BAYER (4.2002): promotion dun antibiotique dans des indications non-justifiées ; notice scientifique erronée ; incohérence dans la politique gouvernementale. action n° 66 : PRODUITS ANTIPOUX (9.2002): discordances et manquements dans les notices, susceptibles d'entraîner un mauvais usage et l'apparition de résistances. action n° 67 : RUPTURES DE STOCKS (9.2002): Politique délibérée de marketing contraire aux règles en usage. action n° 68 : PIRACETAM (NOOTROPIL®) - UCB (12.2002): publicité médiatique indirecte pour un médicament sur prescription; promotion déguisée pour des indications non-validées. action n° 69 : TACROLIMUS pommade (PROTOPIC°) - FUJISAWA (12.2002): publicité médiatique indirecte pour un médicament sur prescription action n° 70 : OSELTAMIVIR (TAMIFLU®) - ROCHE (11.2002): publicité rédactionnelle signée par un membre du Cabinet du Ministre de la Santé publique action n° 71 : AMLODIPINE (AMLOR ®) - PFIZER- (01-2003): utilisation mensongère (par oubli) des résultats de létude ALLHAT action n° 72: SYMBICORT® : (9.2003) : publicité médiatique illégale action n° 73: EXPERIMENTATION HUMAINE. BELGIQUE (2.2003) : carences éthiques et juridiques action n° 74: TIMBRES MORPHINIQUES (2003): mauvaise utilisation des systèmes transdermiques libérant du fentanyl action n°75 : FOIRE AUX STEREOISOMERES ET AUX METABOLITES ACTIFS (2003): faire du neuf avec du vieux . Promotion trompeuse danalogues structurels (Desloratadine (Aerius®)/ Loratadine (Claritine®) ; lévofloxacine (Tavanic®)/ ofloxacine (Tarivid®) ; lévocétirizine (Xyzall®)/ cétirizine (Zyrtec®) ; ésoméprazole (Nexiam®)/ oméprazole (Losec®)...) ou de métabolites sans intérêt clinique nouveau à lexpiration du brevet de la molécule originale. ETONNANT NON bon je ne vous cache pas que j ai bien aimé celui ci : action n° 44: Zanamivir RELENZA ® (GLAXO WELLCOME) (11/99) publicité médiatique indirecte. J ADORE ..........................
  20. au fait vous demontrez, peut etre malgres vous, que l on peut rester 18 ans sans traitements et ne pas en mourrir..............je vous rappele que les effets secondaires les plus dangeureux des tri therapies arrivent chez plus de 50% des patients au bout de 24 mois ......etes vous sur que si vous aviez pris une tri therapie depuis 1995 vous seriez a ce jour comme vous le dites : en forme ?!! et toujours en vie ?.....j en doute fort.....puis c est pas moi qui le dit ....et meme pas des dissidents mais carrement le ministere de la santé : http://www.invs.sante.fr/beh/1999/9917/index.html
  21. je viens de relire les pots d almavita......que dire ?? le deuil d un proche entraine un stress donc un dereglement immunitaire....c'est prouvé......tous les autres problemes de santé s expliquent autrement......ainsi que les caiuses de decés de vos frequentations dissidentes...... est ce que vous etes/etiez des fumeurs ?? il n y a pas que les antibios qui sont nefastes pour la sante....... puis par curiosite malsaine....vous etes present depuis mi mars sur ce forum.....ou peux t on trouver des traces sur le net de votre ex dissidence ?? hummm ca sent l espion Medicare ca.........tout pour nous faire douter ??? pour ma part je pense que l on peut se prendre de l heroine en iv pendant 2 ans, se detruire le systeme immunitaire et en mourrir dix ans aprés....! ( par rapport a certains dissidents decedés : là dessus il y a pas de questions a se poser; de plus ils l ont eux meme reconnu et ecrit ).....dans votre cas , qu est ce que vous vous reprochez ??? ho que ca sent l espion.....! courage les filles !!
  22. he bien dites donc ca devient un forum ravagé par MEDICARE INTERNATIONAL$ ou quoi ?!!! .................Et je rappelle que dans mon cas, après 18 ans de dissidence active, j'ai finalement décidé de prendre ces traitements et que pour l'instant je me porte beaucoup mieux qu'il y a un an (même si j'oublie très très régulièrement de les prendre car chaque fois que je viens sur ce forum, je n'arrive plus à les avaler............................. pourquoi avoir attendu 18 ans pour en prendre ????????? que s est il passé ?? en supposant que vous les ayez pris a cause d une lymphpenie cd4..............peux t on savoir ce que vous preniez d autres ?...: drogues ? tabac ? alcool ? medicaments ?? huiles essentielles ? vitamines ???..... il est etonnant de voir un dissident prendre ces medicaments apres 18 ans....... ceci dit je n ai jamais vu de poisson volant.....
  23. ...Au bout d'environ un an mon médecin m'a fait sortir de ce protocole, en raison de l'apparition de certains signes, dont la Leucodysplasie chevelue de la langue. Certainement était-ce l'un des critères à l'époque qui devait faire sortir de l'étude, que sais-je ? 1989 c'est loin. C'était bien la zidovudine que je prenais et pas le placebo. effectivement pour ma part il m est apparu une leucoplasie au dernier mois de traitement avec 1461 t4....voilà maintenant 5 ans que j ai ce que vous et les charlatants du vih appelaient leucoplasie ou candidose.....sachez que chez les seronegatifs on appele lichen plan ou ou glossite ou psoriais de la langue,( cela peut etre aussi la syphilis)......et cela arrive la plus part du temps chez des gens ont subu des chimiotherapies......conseil : ne tombez pas non plus dans le piege des antifongiques qui ne servent à rien dans ce cas là sauf a faire rentrer du pognon dans les caisses de pziffer. ......En 1990, en fonction de mes analyses de sang, ce médecin m'a mis sous Bactrim en prophylaxie primaire, comme il était d'usage...... oui surtout quand l azt pris un auparavant cause une leucopenie, une neutropenie donc une lymphopenie en cd4......mais helas le bactrim, meme a faible dose ne fais qu aggraver cela ( notons que sur la notice de celui ci il est note depuis quelques années en effet secondaire : candidose oro pharyngé...donc sida.) .........Fin 1994, mon ami fait une très grave allergie au Bactrim (yeux, muqueuses, peaux brûlés avec fièvre etc...)........... pourquoi appeler cela allergie ??, ne serais ce tout simplement pas un signal du corps qui n arrive pas à supporter cette saloperie qui est l antibiotique le moins cher au monde ?!. .........À certaine période, lorsque l'on est sans informations et dans la peur, on peut être d'une extrême docilité... ca, je connais et j ai meme redonné, par pour moi, recement....quand on a peur, ils nous tiennent encore mieux ! ....Tout le corps médical sait depuis longtemps que l'AZT tue en 42 semaines ceux qui le prennent ou l'ont pris du fait de ses effets secondaires...... désolé, mais comme vous avez l air de l apprendre actuellement, cela est une realité !...et ca ils le savent depuis le debut.....ca ne les empeche pas de continuer comme le vous savez.....! ....C'est comme affirmer : test hiv positif = mort dans x années. Cela ressemble au même procédé, exact mais on peut y apporter un bemol......si on prends plus ou pas de medocs , on en a plus de chance de s en sortir ! Sur que nous sommes tous fragilisé, c est clair et reste plus qu a sauver sa prope peau avant d essayer de sauver celle des autres . je ne connais pas votre dossier medical, mais ce que je veux dire d apres mon experience personnelle, c est arretez de vous croire malade de x ou x chose, arretez de trouver un remede qui n existe pour une maladie qui n existe pas !!! que cela vous plaise ou non, si ce que vous dites sur votre parcours azt/bactrim est vrai ....vous POUVEZ VOUS ESTIMER HEUREUX D ETRE TOUJOURS LA PARMIS NOUS...........SUREMENT UN GROS DE COUP DE CHANCE QUI MONTRE QUE VOUS AVEZ UN CORPS QUI SOIT DISANT RESISTE BIEN AU VIRUS MAIS SURTOUT QUI ARRIVE A GERER LES ABUS DE DROGUES QU IL SUBIT........honnetement meme Montagnier pourrait etre interressé par votre cas..... ! j espere que vous avez bien lu l etude que je vous ai fais parvenir....elle est pas issue d un systeme de soins alternatif...elle publiée par un organisme d etat....cette etude dit clairement : les tri therapies tuent dans des proportions enormes ! petite question qui a toute son impoprtance : en prenez vous toujours ?!.
  24. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...t_uids=15829028
  25. heu, j avais demandé comment les autorites font pour etre sur de ce que l on appele "groupes à risques" vu que le test n a pas été fait à toute la population et je voulais savoir sur quoi les medecins se basent pour prescrire un test vih dans le cas ou le patient n est pas noir, ni arabe, ni gay , ni ex toxico ou ni hemophile et sans mst classiques avec signes cliniques s y rapportant .............pas mechant comme question ?! cela me rappele un jeune couple hetero de 25.32 ans qui ont par deux fois, eu un episode de gono à 2 mois d intervalle, soignés par deux medecins differents.....sans que aucun test vih leur soient proposés !!! ( remarques connaissant mes lectures, ils comptaient les deux le refuser ) : un comble non ??,..........
×
×
  • Créer...