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Le nouvel homme

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Messages posté(e)s par Le nouvel homme

  1. Je m'adresse aux personnes qui estiment qu'un régime très pauvre en acides gras insaturés et riche en acides gras saturés est un "bon régime alimentaire".

    Est-ce que vous recommanderiez également un tel régime pour un enfant en bas âge ? Ou autrement dit, est-ce que priver un enfant d'acides gras insaturés, ce n'est pas "perturber le développement et le fonctionnement du cerveau de l'enfant" comme on peut le lire un peu partout ?

    Les références qui préconisent les acides gras insaturés (pour les enfants et les femmes enceintes) sont légions, d'où mon questionnement.

    Merci.

  2. Pourquoi ne pas créer un groupe sur facebook par exemple ? (je cite facebook, mais y en a d'autres bien sûr)

    Il en existe plusieurs, mais ils sont tous en anglais.

    Facebook rassemble des millions de personnes à travers le monde entier. De cette manière, ce serait les dissidents qui iraient vers les autres, et non l'inverse, comme sur ce forum par exemple.

    Cela permettrait de montrer

    - que ces théories existent, car beaucoup de gens en sont ignorants

    - qu'il y a un engouement pour celles-ci

    - que derrière les théories dissidentes, il existe des gens, des vrais et des normaux.

  3. Merci beaucoup Wallypat pour cet exposé clair et limpide !

    Voici ma contribution pour les enzymes digestives.

    La source est le site : retrouversonnord.be

    Pourquoi le cru reste indispensable à la digestion ?

    "Les enzymes présentes dans les aliments crus s'avèrent indispensables à leur propre digestion. Leur destruction par la cuisson apparaît comme un facteur clé de l'accroissement des allergies et des maladies dégénératives chroniques observé aujourd'hui."

    [Ne pas faire l'impasse sur la psychobiologie moderne en phase avec les découvertes incontestées de la Physique Quantique : le psychisme est le maître du jeu sur la matière et donc, mis à part les fortes agressions chimiques et radioactives, les maladies ne se déclencheront qu'en présence d'un programme psychobiologique. En cliquant dans le texte précédent sur le mot" allergies" vous trouverez des exemples concrets et validés par la science moderne comme par l'expérience empirique, ce qui achèvera de vous convaincre que la préséance du psychisme sur la physiologie.]

    Que sont et comment opèrent les enzymes

    "Les enzymes sont considérées comme la «main d'œuvre» chez les organismes vivants. Elles sont les seules substances capables de travailler. Elles s'affairent à assembler ou à séparer des éléments. Elles initient, accélèrent, ralentissent ou interrompent tous les processus biochimiques chez les êtres vivants. Les enzymes sont très spécifiques dans la façon dont elles travaillent sur un substrat. On a souvent assimilé cela à un «système avec clé et verrou». Le substrat est le verrou tandis que les enzymes sont les clés qui lui correspondent très précisément. Elles ne peuvent fonctionner que sur le substrat leur correspondant parfaitement.

    Les enzymes se classent en plusieurs groupes. Les enzymes hydrolytiques sont les plus utiles en nutrition clinique et se décomposent en trois grands groupes :

    1) Les enzymes digestives - fabriquées par les organes digestifs pour contribuer à la digestion des aliments

    2) Les enzymes alimentaires - présentes dans tous les aliments crus, non cuisinés

    3) Les enzymes métaboliques - fabriquées par toutes les cellules pour exécuter leurs fonctions respectives.

    Bien qu'il existe plusieurs classes et sous-classes d'enzymes digestives, nous allons considérer ici quatre enzymes générales :

    L'amylase - digère l'amidon, dont les céréales et les légumes amylacés

    La cellulase - décompose les fibres végétales

    La lipase - sépare les graisses et les huiles en acides gras

    La protéase - décompose les protéines en acides aminés et peptides à chaîne courte." (...)

    " Les enzymes sont les seules substances capables de fissionner les aliments en nutriments utilisables. "

    Comment est-on parvenu à pouvoir faire diminuer les cancers grâce aux enzymes ?

    "(…) au début des années 1900 que le D" John Beard, embryologue écossais, a filtré le liquide pancréatique de jeunes animaux fraîchement abattus pour en récupérer le contenu enzymatique actif. Ses observations l'amenèrent à penser que les jeunes animaux devaient posséder des concentrations d'enzymes plus élevées et plus puissantes car ils avaient besoin de plus d'énergie pour se développer. Beard injecta cette concentration d'enzymes dans les veines, les muscles fessiers et parfois directement dans les sites tumoraux de patients atteints de cancer. Il observa la rapide diminution des masses tumorales et l'inhibition du développement des cellules cancéreuses".

    [Rappel : ne pas faire l'impasse sur l'origine psychique et incontournable des maladies : un unique traitement physique donnera au mieux des effets de type placébo ; l'analyse des cas où une personne semble avoir guéri uniquement (en l'apparence) par des traitements physiques montre en fait qu'elles avaient concomitamment ou peu de temps après résolu la situation psychique conflictuelle qui s'était donc traduite en cancer ou autre maladie Trop d'expériences prétendument scientifiques tombent alors dans ce panneau qui est de ne pas prendre en compte les facteurs psychiques, les rendant assimilables à des variables contaminantes].

    Selon quel processus s'alimenter avec de la nourriture trop fortement transformée conduit-il presqu'à l'intoxication alimentaire ?

    "En 1930, lors de la première Conférence Internationale sur la Microbiologie, à Paris, le D'Paul Kautchakoff, un médecin suisse, présenta un article intitulé «L'influence de la préparation des aliments sur la composition sanguine de l'homme». Il y expliquait comment une leucocytose digestive survenait chaque fois qu'un aliment cuit était ingéré par des sujets d'âge et de sexe différents. Ce phénomène, observé chez des patients dès 1843, était considéré comme normal. La leucocytose digestive consiste en une augmentation spectaculaire du nombre et du niveau d'activité des globules blancs (leucocytes) dans le sang suite à un stimulus - ce stimulus étant des aliments cuits non digérés traversant la paroi intestinale. Avec des aliments en conserve et cuisinés, cette augmentation était modérée. Avec des aliments fortement transformés tels que les viandes préemballées, l'augmentation était identique à celle d'une intoxication alimentaire ! La seule différence était l'absence de la bactérie associée à l'intoxication alimentaire. Les aliments cuisinés manquaient des enzymes essentiels qui permettaient une bonne digestion. Le Dr Kautchakoff a noté qu'il n'y avait pas d'augmentation du nombre ni de l'activité des leucocytes chez des sujets consommant exclusivement des aliments crus. La raison en est que tous les aliments crus contiennent des enzymes alimentaires qui permettent leur complète digestion."

    A quelle température de cuisson disparaissent tous les enzymes ?

    "(..) le Dr Wolf poursuivait ses recherches à New York, le Dr Edward Howell de Chicago remettait en question l'utilisation d'aliments cuisinés et traités pour la consommation humaine. Il découvrit que le fait de chauffer des aliments jusqu'à 118 °C pendant plus de 15 minutes détruisait toutes les enzymes. Il était alors évident que le fait de chauffer des aliments à des températures plus élevées pendant des périodes plus courtes détruisait également les enzymes. La technologie actuelle de la « pasteurisation flash » du lait et du jus de fruits en est un exemple. Les enzymes sont les seules substances capables de digérer les aliments. Elles se trouvent dans les aliments crus et permettent leur décomposition. "

    [il faut noter ici et paradoxalement qu'il est plus dangereux de consommer non bio et cru que bio et cuisiné : les aliments non bio renferment des doses importantes de nitrate, de pesticides et autres toxiques dont une partie s'en va avec l'eau de la cuisson ; il serait aussi une erreur de cuisiner même bio avec de l'eau courante : elle possède notamment des nitrates qui vont contaminer ce qui est cuit ; dans tous les cas, il vaudrait mieux cousiner avec de l'eau osmosée ; il faut savoir aussi que la plupart des eaux minérales contiennent des nitrates.]

    En quoi manger du fromage pourrait-il être bénéfique, en apparence ?

    "Manger un morceau de fromage produira plus d'enzymes qui digèrent les graisses que le fait de manger un morceau de pain, qui n'est autre que de l'amidon et nécessite une enzyme qui digère l'amidon."

    [il a été toutefois prouvé que les produits laitiers commercialisés étaient finalement toxiques pour l'organisme, à cause de la pasteurisation qui tue notamment l'action des enzymes. Donc, dans une alimentation saine, mieux vaudrait s'en abstenir le plus possible].

    En quoi la consommation d'aliments cuisinés conduit à terme à hypertrophier certains organes ?

    "(…) lorsque l'on consomme des aliments cuisinés, d'autres organes fournissent les enzymes afin que ces aliments soient digérés. Cela oblige constamment le système immunitaire et d'autres organes importants à fournir des enzymes. Lorsque cela se produit durant toute une vie, les organes s'affaiblissent et finissent par succomber à la «maladie».

    Howell développa le concept d'hypertrophie organique, remarquant que tout organe ou toute glande développe davantage de cellules et voit sa taille augmenter s'il est sollicité au delà de sa capacité de fonctionnement. Il découvrit, en particulier, que le pancréas humain était de 2 à 3 fois plus lourd et plus grand par rapport au poids du corps que le pancréas d'autres mammifères et a attribué cela à une consommation excessive d'aliments cuisinés." (...)

    "Lorsque les enzymes sont absentes de l'estomac, les aliments passent dans le duodénum, la partie supérieure de l'intestin grêle. Là, les enzymes sécrétées par le pancréas digèrent les aliments. C'est ce que l'on enseigne dans les facultés de médecine. Et si le pancréas ne devait finalement pas être le plus important organe producteur d'enzymes digestives ? Et si la digestion devait en réalité s'effectuer dans l'estomac, grâce à des aliments eux-mêmes riches en enzymes ? "

    Qu'elles preuves en donnent, par exemple, les chats ?

    "De 1932 à 1942, le Dr Francis Pottenger Jr, de Monrovia, en-Californie, se lança dans l'une des études cliniques les plus fascinantes jamais entreprises dans le domaine de la nutrition. Son étude dura 10 ans et couvrit quatre générations de plus de 900 chats. Dans cette étude révolutionnaire, le Dr Pottenger a simplement contrôlé l'alimentation des chats.

    Le premier groupe reçut du lait cru non pasteurisé, de l'huile de foie de morue et des morceaux de viande cuisinée.

    Les deux autres groupes reçurent respectivement : viande crue et lait pasteurisé et viande cuisinée et lait pasteurisé.

    Le quatrième groupe reçut de la viande crue et du lait cru non pasteurisé.

    Les observations du D' Pottenger auraient dû ébranler les fondements de la médecine moderne. Néanmoins, son travail, comme celui de tant d'autres, a été largement ignoré. Il a méticuleusement consigné ses observations, mesures et photographies à l'appui. Voici un bref résumé de ses découvertes. Dans le groupe de chats n'ayant reçu que de la viande crue, aucune maladie dégénérative chronique ne fut constatée ! Les chats vécurent vieux et furent faciles à vivre. Ils vécurent bien plus longtemps que les membres des autres groupes et moururent de vieillesse."

    Ou encore celui des animaux des zoos ?

    " Le Dr Howell avait remarqué que durant la première partie du XXe siècle, lorsque l'on a créé des zoos pour abriter les animaux sauvages capturés, le taux de mortalité était très élevé. On réalisa que, dans leur habitat naturel, les animaux ne mangeaient que des aliments crus. On leur donnait désormais des aliments cuisinés et ils présentaient bon nombre de nouvelles maladies inconnues de leurs congénères restés dans la nature. On mit en évidence la faible teneur enzymatique de la salive d'animaux vivant dans la nature. Au contraire, les animaux capturés ayant consommé des aliments cuisinés présentaient une forte concentration d'enzymes dans leur salive. Leur régime contraignait une sécrétation enzymatique accrue de leurs organes. La teneur enzymatique de leur salive diminua et le taux de mortalité chuta de façon importante."

    "Le Dr. Howell a noté que des animaux à qui l’on administrait des aliments cuits/transformés en étaient souvent réduits à manger leurs propres excréments. Il a découvert que c’était pour remplacer les enzymes alimentaires perdues au cours de la cuisson."

    Conviendrait-il pour autant de manger TOUS les légumes crus ?

    "Même si une alimentation exclusivement composée d'aliments crus semble être l'idéal, la plupart de nos contemporains ne pourraient la respecter. Même les légumes de la famille des crucifères (brocoli, chou de Bruxelles, chou, chou-fleur et chou frisé) ne doivent pas être consommés crus. Ils contiennent des facteurs inhibiteurs de la thyroïde qui doivent être détruits par la cuisson."

    Que devrait faire la société au plus haut niveau mais le fera-t-elle un jour, vu les intérêts macroéconomiques ?

    "Modifier le système de façon à ce que les aliments crus deviennent la base alimentaire de la société exigerait de rééduquer les gens et de bouleverser totalement les industries médicale et agro-alimentaire. Cela pourrait même remettre en question les systèmes de croyance de nombreuses cultures et défierait l'industrie la plus imposante et puissante du monde:  le cartel pharmaceutique et pétrolier. Monsanto serait la première à attaquer en justice quiconque s'en mêlerait et menacerait les efforts de la compagnie visant à contrôler le marché mondial des cultures génétiquement modifiées dont l'intérêt est nul.

    Seules les cultures de l'agriculture biologique pourraient être utilisées en raison de leur plus grande teneur enzymatique à l'âge adulte. Tous les aliments seraient des aliments biologiques, non seulement pour prévenir l'interférence des pesticides/herbicides sur les fonctions enzymatiques corporelles normales mais également parce que les aliments biologiques contiennent bien plus de minéraux, qui sont des co-enzymes indispensables. Les sociétés de l'électroménager vendant des fours à micro-ondes [°] seraient obligées de fermer leurs portes à moins de développer de nouveaux produits. Toutes ces émissions culinaires diffusées sur la télévision câblée devraient être réinventées et proposer de nouvelles façons de préparer les aliments crus. Le débat ferait rage, comme c'est déjà le cas aujourd'hui, pour savoir s'il ne faudrait pas devenir végétarien, car manger de la viande crue apparaîtrait sans doute atrocement barbare. " (…) [° les fours à micro-ondes (en cas de fuite par vieillissement du joint), émettent des hyperfréquences : ils échauffent les molécules du corps ou du cerveau comme le four chauffe les aliments. De plus, les aliments cuisinés ou réchauffés au fours à micro-ondes continuent à cuire dans l'estomac...]

    "Howell explique qu'il n'existe aucune preuve selon laquelle l'homme pourrait vivre en ne consommant que de la viande crue mais il défend la pratique de l'autolyse.  [autolyse : dissolution des tissus par l'action de ses propres enzymes.] Il faudrait moderniser les conditions d'hygiène des animaux de boucherie de façon à ce qu'ils vivent dans des environnements d'une grande propreté, sans cage, et puissent courir librement. On les ferait paître au lieu de leur donner des graines. Les antibiotiques et autres médicaments ne seraient que rarement utilisés. Cela coûterait des milliards de dollars de changer le système. Les industries pharmaceutiques et agro-alimentaire n'y seraient sûrement pas favorables. L'objectif de toute industrie, le profit, serait fortement amoindri si les agriculteurs et la population n'avaient soudain plus besoin de la plupart des produits pharmaceutiques. Traditions et implications culturelles mises à part, les structures socio-économiques du monde d'aujourd'hui rendent difficile une telle révolution à grande échelle. Néanmoins, de petits groupes dans le monde ont déjà adopté ce type d'alimentation. Ils prônent pour la plupart le végétarisme. Même les végétariens peuvent avoir d'importants problèmes de santé, parfois beaucoup plus graves que les non-végétariens. L'objet du présent débat est l'utilisation clinique des enzymes comme outils thérapeutiques pour prévenir et guérir la maladie et conserver la meilleure santé possible. [On a en effet démontré que de la qualité du "terrain" dépendait la rapidité du déclenchement de la maladie (en présence donc sine qua non d'un facteur psychobiologique), la qualité et le volume de leurs somatisation.]

    L'emploi thérapeutique des enzymes met en évidence d'importantes différences selon leur origine animale ou végétale. Aujourd'hui, les enzymes animales sont surtout extraites du pancréas de porcs juste abattus, source animale la plus abondante connue à ce jour. Utilisées depuis le début des années 1900, elles se sont avérées très efficaces sous certaines conditions.

    D'autres enzymes sont d'origine végétale comme la bromélaïne, extraite de l'ananas, la papaïne, extraite de la papaye et la nanokinase, extraite de la fermentation du soja. La culture d'espèces diverses de champignons/moisissures produit des concentrations très élevées de diverses enzymes végétales. Contrairement à ce que l'on croit, ces enzymes ne contiennent aucune trace des substances sur lesquelles elles ont été cultivées. Les laboratoires les fabriquant font appel à des tests biologiques indépendants permettant de le garantir. "

    En quoi le mode alimentaire des Esquimaux est-il exemplatif et, plus, a contrario ?

    "le Dr Howell a parlé des Esquimaux qui mangeaient de la viande crue autolysée [dissolue par ses propres enzymes] et souligna la signification du terme amérindien «Esquimau»; «celui qui mange de la viande crue». La technique de l'autolyse implique une conservation de la viande dans des conditions de température et d'humidité précises pour que la cathepsine, enzyme présente dans les tissus des viandes, la décompose lentement. Cette pratique est vieille de plusieurs siècles. La tradition veut que les Esquimaux aient survécu aux rudes hivers de la toundra septentrionale en consommant des viandes crues prédigérées et du blanc de baleine, sans aucun fruit ni légume et sans la moindre maladie dégénérative ! Celles-ci sont apparues lorsqu'ils se sont mis à suivre une alimentation «ordinaire» à base d'aliments cuits riches en glucides, ils ont présenté davantage de maladies dégénératives. "

    [On se souviendra aussi de cette habitude des mères esquimaux qui, judicieusement, mâchonnent la nourriture pour la préparer enzymatiquement en la prédigérant en quelque sorte avant de la donner à leurs bébés ; elle prend alors tout son sens "bio-logique"].

    Faut-il aussi manger crus les légumineuses, les fruits à coque et les graines ?

    "Les légumineuses, les fruits à coque et les graines contiennent des inhibiteurs enzymatiques. Les inhibiteurs empêchent ces aliments de pousser spontanément et empêchent aussi les propres enzymes digestives du corps d'agir dessus. C'est pour cela qu'ils sont si difficiles à digérer et que nous nous sentons fatigués après les avoir consommés. Leur digestion exige beaucoup d'énergie de l'organisme. La chaleur détruit les inhibiteurs enzymatiques mais également les enzymes elles-mêmes alors que faire tremper ces aliments pendant au moins 12 heures détruit les inhibiteurs tout en activant les enzymes. Une fois activées, les enzymes vont commencer à décomposer les protéines, les graisses et les glucides de la légumineuse, du fruit à coque ou de la graine, offrant ainsi au corps un aliment prédigéré."

    "Honnêtement, nul besoin d'être polytechnicien pour conclure à quel point nos déchets et notre toxicité chimique sont devenus nocifs pour l'environnement. Il est essentiel de consommer des aliments biologiques tout en évitant de manger des aliments industriels, génétiquement modifiés, passés au micro-ondes et/ou irradiés. Mais malgré cela, si vous les cuisez, le corps souffrira encore de carences enzymatiques. Lorsqu'il y a suffisamment de «main d'œuvre» naturelle - à savoir, des enzymes métaboliques et du liquide circulant à l'intérieur du corps - la digestion, la réparation des tissus, la croissance, la fonction immunitaire et la désintoxication se dérouleront normalement.

    Le Dr Loomis procède, en guise d'évaluation, à une analyse d'urine sur 24 heures. Le «volume» révèle la quantité de liquide absorbée et la capacité d'élimination du corps. En ce qui concerne les chlorures et la densité relative, le volume fournit des informations sur la consommation de chlorure de sodium (sel) ainsi que sur la fonction rénale. Consomme-t-on trop de sel ou pas assez ? Le patient boit-il suffisamment d'eau ou trop ?

    Beaucoup de gens boivent trop de liquide (pas forcément de l'eau), s'imaginant faire du bien à leur corps en lui permettant d'éliminer les toxines. Bien que l'élimination des toxines soit bénéfique et recommandée, une absorption excessive de liquide peut appauvrir et modifier l'équilibre électrolytique, entraînant de nombreux disfonctionnements. Plutôt que de tenter de deviner la quantité d'eau dont votre corps a besoin, vous devriez suivre les recommandations exposées dans le livre du Dr Batmanghelidj.

    En outre, ce protocole d'analyse d'urine du Dr Loomis révélera au patient s'il boit trop, pas assez ou la ration quotidienne correcte d'eau. Adapter sa consommation d'eau d'après les résultats de cette analyse constitue une bonne méthode clinique pour corriger les taux électrolytiques et équilibrer les conditions acide/base."

    (...)

    "Il lui expliqua qu'il avait continué à prendre des enzymes végétales, achetées dans un magasin de diététique. Il était encore en vie plusieurs années après, à la stupéfaction de ses médecins. Les enzymes végétales agissent sur une gamme de pH très large, de 2,0 à 12,0 environ. Cela couvre à la fois les gammes acides et alcalines et les rend idéales pour digérer les aliments "

    (...)

    "L'une des carences enzymatiques la plus souvent abordée est l'intolérance au lactose — l'incapacité à digérer le composant sucré du lait.

    Des associés du Dr Loomis ont observé que lorsque quelqu'un était intolérant au lactose, il était également allergique à beaucoup d'autres sucres, dont le maltose des céréales et le saccharose.

    Les enzymes nécessaires à la digestion de ces sucres sont produites par les villosités de l'intestin grêle. Lorsqu'une personne consomme trop de sucre, sous diverses formes, elle réduit au fil du temps la capacité de son corps à produire les enzymes nécessaires à la digestion de ces sucres. C'est également le cas avec le fructose lorsqu'il est utilisé comme additif, synthétique ou même naturel, s'il n'y a pas d'enzymes pour le digérer.

    Les personnes qui consomment trop de sucre finissent par ne plus digérer les graisses correctement. C'est particulièrement vrai chez les femmes. Le système endocrinien complexe des femmes garantit leur capacité à digérer les graisses et les protéines afin d'assurer une production hormonale adéquate tout au long de la vie, surtout à la ménopause. Les hormones sont principalement produites par les graisses, les protéines et les minéraux. En fait, les principales hormones stéroïdes (aldostérone, cortisol, oestradiol et testostérone) proviennent du cholestérol.

    En raison d'une surconsommation de sucre et de leur incapacité à le digérer, beaucoup de femmes connaissent une ménopause difficile due à des carences en minéraux provoquées par le sucre. Une ménopause difficile s'explique également par des problèmes de digestion des graisses et des protéines à long terme. Le corps utilise les aliments non seulement pour y puiser de l'énergie mais également pour réparer les tissus (ce qui nécessite des protéines) et produire les hormones essentielles.

    [ici encore, il en faudrait pas négliger les contexte psychologique qui entoure l'arrive comme le vécu de cette période de ménopause (sans oublier aussi analogiquement l'andropause) : la manière dont elle sera vécue par la femme sera déterminante, tout comme lorsqu'elle est devenue fertile ; nul doute que des conditions de nutrition défavorables ont la faculté alors de déclencher plus tôt et d'amplifier symptômes et les divers inconforts qu'ils produisent.]

        ]

    L'exemple ci-dessus est valable pour tout aliment consommé en grande quantité pendant de longues périodes. La consommation excessive de certains aliments et l'incapacité simultanée à les digérer constituent des facteurs de stress alimentaire. Tout le monde est soumis à des facteurs de stress alimentaire dû à la surconsommation répétée de certains aliments. La base de la pyramide alimentaire préconisée par le milieu médical est constituée par les glucides." [le stress alimentaire tout comme les autres stress physiologiques, s'ajoutant aux autres stress psychiques, viennent augmenter le niveau global du stress  en permanence la qualité du "terrain" du sujet est modulée au gré de divers stress qui ne vont pas nécessairement se somatiser mais qui le feront au delà d'un seuil estimé par le cerveau comme dangereux.]

    "Un autre groupe d'enzymes, les enzymes anti-oxydantes, agit sur ce que l'on appelle les radicaux libres. Les radicaux libres sont la conséquence d'une vie au sein d'une société industrielle. En externe, ils sont engendrés par le rayonnement, la pollution et les toxines, tandis qu'en interne, ils sont le résultat d'un métabolisme normal. Ce sont des molécules dépourvues d'un électron apparié dans leur anneau extérieur. Les électrons lient les molécules entre elles. Normalement, une molécule stable possède une paire d'électrons. Elle deviendra instable et réactive s'il y a un électron non apparié dans son anneau extérieur. Très souvent, les radicaux libres sont composés d'une molécule d'oxygène instable qui endommagera la partie lipidique de la membrane cellulaire. Elle peut également affecter la protéine et l'ADN de la cellule. Les antioxydants, y compris les enzymes, peuvent prévenir ou arrêter les dégâts causés par les radicaux libres."

    [ J'ajouterai : d'autant mieux que sera pratiquée une hygiène de vie de la meilleure qualité possible ; donc pas seulement l'hygiène alimentaire, mais la pratique d'activités et ou des soins physiques, une hygiène psychique, une communication de qualité, un niveau de stress le plus bas possible etc. ;  plus vite interviendra alors la guérison de maladies (au sens le plus large) et inversement et en aval, moins vite et moins fort se déclencheront donc les maladies et les somatisations indésirables.]

    "La glutathion-peroxydase divise le peroxyde d'hydrogène en eau et en un unique atome d'oxygène stable. Les principaux symptômes d'un excès de radicaux libres produits par le peroxyde incluent des maladies cardiaques et hépatiques, un vieillissement prématuré ainsi que des problèmes de peau tels que tâches de vieillesse, cancer, dermatite, eczéma, psoriasis et rides. La glutathion-peroxydase dépend du minéral sélénium. S'il y a un manque de sélénium dans le sol, et donc dans les aliments consommés, le corps risque d'avoir du mal à produire les quantités adéquates de gluthation-peroxydase. Fait intéressant, les recherches épidémiologiques menées aux Etats-Unis et en Chine montrent que les zones où les concentrations de sélénium dans le sol sont les plus faibles sont celles qui présentent le plus fort taux de cancers, et inversement. Cela a été connu pour la première fois en 19883, puis confirmé à la fin des années 1990."

    Vous êtes ce que vous digérez !

    "Au cours du siècle dernier, les médecins ont cherché à traiter les maux humains à l'aide de diverses méthodes plus ou moins naturelles. Motivés par les profits financiers des compagnies pharmaceutiques, les chercheurs ont tenté de percer les secrets de la nature pour synthétiser les ingrédients actifs des végétaux et des animaux. Aux Etats-Unis, les dépenses de santé par personne, basées sur le revenu par habitant, arrivent loin devant celles des autres pays pourtant la maladie sévit, les compagnies pharmaceutiques promettant sans cesse de nouvelles découvertes disponibles. La plupart des gens en sont venus à attendre la «pilule miracle» qui résoudra tous leurs problèmes. Même dans le secteur de la diététique, les derniers compléments en vitamines/minéraux contiennent un peu de tout pour faire bonne mesure.

    Au début des années 1900, les rayons et la chirurgie sont devenus les traitements de base. Dans les années 1940, les médicaments s'étaient transformés en remèdes miraculeux.

    Nous sommes entrés dans un territoire entièrement nouveau et non réglementé, trop sûrs de nous avec l'analyse des génomes et la possibilité de manipuler la vie. Le clonage des animaux et la production de médicaments génétiquement modifiés sont les prochaines promesses pour l'avenir. On nous dit que les aliments irradiés et génétiquement modifiés nourriront le monde mais à quel prix ?

    Tous les facteurs susmentionnés montrent clairement que les carences enzymatiques entraînent d'obscures maladies impossibles à identifier. Le terrorisme biologique et chimique menace désormais notre existence, tout autant que la manipulation de notre alimentation.

    Au cours de l'histoire, de nombreuses découvertes scientifiques ont été ternies par une grande inconnue : l'avenir de la planète et de l'humanité. Dans les religions hindoue et bouddhiste, le karma est le principe de cause à effet. Il a été décrit de nombreuses façons et en de nombreuses langues par de grands chefs religieux aussi bien que par des physiciens. Les Chrétiens le comprennent dans le sens de «On récolte ce que l'on sème». Ce que nous faisons aujourd'hui affectera pour toujours le monde sur lequel et dans lequel nous vivons. De l'eau, de l'air et des aliments sains sont essentiels à notre survie. Nous pouvons contrôler ce que nous mangeons, buvons et respirons, à condition d'être bien informés sur le sujet.

    ["L'univers est un tout dont nous faisons partie, toute agression de quelque nature que ce soit

    contre l'un de ses composants se retourne inévitablement contre l'auteur.

    En biologie cela s'appelle le feed-back ou choc en retour."

    Pr Jacqueline BOUSQUET.]

    Le travail que poursuivent actuellement le Dr Loomis et ses associés témoigne du secret le mieux gardé dans le domaine de la nutrition. Vous n'êtes pas nécessairement ce que vous mangez mais vous êtes ce que vous digérez. Une meilleure digestion grâce à des enzymes végétales devrait être le point de départ de tout programme médical. Lorsque le corps peut avoir ce dont il a besoin, au moment où il en a besoin, il fera des merveilles et même des miracles. Comme le dit le Dr Howell, «Sans les enzymes, toute vie serait impossible» ".

    Quels sont donc les signes et symptômes typiques des carences enzymatiques les plus fréquentes ?

    "- Si vous avez du mal à digérer les glucides, vous souffrez peut-être d’allergies dues à des allergènes atmosphériques, de diarrhées, de fibromyalgie ou du trouble de déficit de l’attention (ADD ou ADHD). [Rappel : ne pas faire l'impasse sur l'origine psychique des maladies]

    - Si vous n’arrivez pas à digérer les graisses, vous risquez de souffrir de constipation, de problèmes de vésicule biliaire, de maladies cardiaques ou de déséquilibres hormonaux.

    - Si vous ne parvenez pas à digérer correctement les protéines, vous risquez de souffrir de constipation, d’arthrite ou d’autres états inflammatoires, d’anxiété ou de crises de panique, de syndrome prémenstruel ou de dysfonctionnements du système immunitaire.

    - Si vous êtes incapable de décomposer les fibres d’origine végétale, vous risquez de souffrir de constipation, d’eczéma ou autres problèmes de peau, de mycoses/levuroses récurrentes ou d’une prise de poids excessive."[Rappel : ne pas faire l'impasse sur l'origine psychique des maladies] (...)

    "Dans le monde de la médecine naturelle, ancienne comme nouvelle, les thérapies abondent. Tout, depuis l’acupuncture, la botanique et la nutrition jusqu’à l’homéopathie et, plus récemment, «la médecine énergétique» est à la disposition du patient ordinaire.

    Indépendamment de la modalité choisie, ce qu’il reste à comprendre est que, dans chaque cas, la guérison ne peut survenir que si le corps possède suffisamment d’enzymes métaboliques pour effectuer le travail. Les enzymes accomplissent bel et bien un travail. Dans ce cas, le travail désigne la capacité à initier, modifier, accélérer ou ralentir les processus biochimiques. C’est la faculté de décomposer ou de lier des composants de façon synergétique afin de modifier leur fonction et leur structure d’origine.

    Durant la digestion, les aliments sont décomposés en éléments plus petits qui sont alors utilisés dans le corps pour leur structure et leur fonction. La protéine est décomposée en acides aminés et peptides. Ces derniers peuvent être utilisés comme neurotransmetteurs pour un bon fonctionnement cérébral. Certains acides aminés sont utilisés pour puiser de l’énergie, transporter les minéraux et réparer des tissus."

    [C'est ce qu'on appelle aussi prendre en compte le "terrain" particulier à chaque sujet].

    Surpoids :

    "(...) le corps risque de commencer à consommer plus que nécessaire. Trop manger est une façon de compenser les carences en nutriments.

    Ces carences ne sont pas dues à la restriction consciente d’un aliment particulier. Comme l’a dit précédemment le Dr. Howell, la cuisson des aliments détruit toutes les enzymes, par conséquent les aliments ne seront pas entièrement décomposés en micro - nutriments nécessaires à leur utilisation par les cellules. Cela est comparable au fait de prendre un objet de la taille de votre maison et de le réduire à la taille d’un grain de sable afin de le faire entrer dans la cellule pour la nourrir.

    Les enzymes sont les seules substances capables de fissionner les aliments en nutriments utilisables.

    Etant donné que les aliments non digérés ne peuvent pas nourrir correctement les cellules, le cerveau commandera à la personne de manger une plus grande quantité de tel ou tel aliment afin de compenser ce que le corps n’a pas eu à cause d’une digestion partielle. Lorsque cela se produit sur de longues périodes, on constate une prise de poids associée à une diminution constante des enzymes métaboliques. Le besoin maladif de certains aliments est un autre signe de digestion incomplète. L’aliment dont nous mourons d’envie a tendance à être celui que nous ne digérons pas très bien. L’hypothalamus nous dicte quoi manger en se basant sur la chimie du sang. Ainsi, lorsque nous mangeons un aliment particulier et que nous en avons une envie folle par la suite, cela révèle que nous ne l’avons pas très bien digéré. Nous continuerons à en manger encore davantage parce qu’il y a dans cet aliment quelque chose dont nous avons besoin mais que nous n’avons pas eu. Nous avions en réalité besoin des enzymes présentes dans cet aliment avant sa cuisson. Ces enzymes dont nous manquons chroniquement devraient normalement se trouver dans l’aliment qui nous fait tant envie. "

    [il faut noter que toutes les personnes qui ne mangent pas correctement ne développent pas nécessairement un surpoids ; en effet, comme pour les maladies qui sont d'autres somatisation de situations conflictuelles non résolues, le surpoids est, par excellence, une traduction psychosomatique.]

    Les suppléments enzymatiques : un gage de santé et de longévité.

    "Bien qu’il soit souhaitable d’adopter une alimentation exclusivement (ou presque) composée d’aliments crus, cela exige de la discipline. Chacun de nous peut franchir le pas et découvrir ce qui lui convient. On peut utiliser des produits animaux sains et naturels pour avoir sa dose de protéines.

    Il y a beaucoup d’autres adeptes des aliments crus sur Internet. Ils ont écrit plusieurs livres, parlant surtout d’un régime végétarien à base d’aliments crus. Chacun avance ses propres arguments et points de vue. En fin de compte, c’est au lecteur de décider, après de multiples essais, ce qu’il estime être dans son intérêt. Ce sont finalement les essais, les erreurs et votre éducation qui vous poussent à être végétarien ou pas. Vous devez noter comment vous vous sentez sur le plan physique, spirituel et émotionnel durant toute transition. Ce n’est qu’en essayant que vous pourrez juger de l’impact des enzymes sur votre santé.

    Nous sommes nés avec des carences enzymatiques et nous avons un potentiel de production d’enzymes limité. Le Dr. Howell pensait que les suppléments enzymatiques, en plus d’être importants pour la santé et la longévité, constituaient également une sorte d’assurance. En vieillissant, notre corps ne produit plus autant d’enzymes que pendant notre enfance ou notre jeunesse. Quoi de mieux pour être assuré de vieillir en bonne santé que de consommer des aliments enrichis en enzymes et des suppléments enzymatiques lorsque cela s’avère nécessaire ?

    Les études cliniques sont généralement financées par les compagnies pharmaceutiques dans l’intérêt des actionnaires et ont tendance à ne pas être réalisées pour des raisons purement altruistes. En outre, on s’intéresse peu aux produits naturels parce qu’ils ne peuvent pas être synthétisés et brevetés – du moins pas aux Etats-Unis. Nous vivons dans un monde de fous où n’importe qui peut acheter et mettre en pratique diverses menaces biologiques et chimiques."

    Extrait de l'article (traduction) sur les enzymes de la revue Nexus (Nr 6 - October-November 2003) (version anglaise) :

    - Leucocytose

    Savez-vous que vous sollicitez inutilement vos globules blancs quand vous mangez des aliments cuits ou des produits industriels raffinés. Cela s’appelle la leucocytose digestive.

    En effet, tout aliment non cru abandonne des restes non assimilés par la digestion normale. Si ces restes traversent la paroi intestinale, ils rejoignent la circulation sanguine ou la circulation lymphatique. Quand ces restes stagnent trop longtemps dans les intestins, cela provoque la dysbiose intestinale : fermentation ou putréfaction de la nourriture non décomposée. Ce n’est pas mieux.

    Or donc, nous supposons maintenant que les restes d’aliments non digérés / non assimilés ont passé la paroi intestinale (bordure en brosse) et sont évacués dans la circulation sanguine.

    NB : Les molécules de Maillard qui se forment lorsque nous faisons griller ou rôtir notre viande sont un exemple d’aliment toxine (croûte rôtie).

    Là, ces restes sont repérés et identifiés comme intrus / allergène par le système immunitaire. Les globules blancs sont appelés à la rescousse. Ils vont aller phagocyter / tuer les intrus.

    Normalement, cela se produit sans préavis (sans se faire remarquer). Parce qu’il y a assez d’enzymes disponibles chez une personne en bonne santé, l’allergène peut être neutralisé discrètement. Chez quelqu’un avec une réponse allergique à la même substance, le système immunitaire est appelé pour faire le même travail mais ne peut pas traiter le problème. Chez une personne présentant une réponse allergique, il n’y a pas assez d’enzymes disponibles pour les globules blancs pour neutraliser les allergènes / les intrus, et les évacuer du corps. Cette personne perçoit alors une réponse d’histamine, incluant tous les signes habituels (rougissement des yeux ou des tissus locaux, de la chaleur, un nez qui coule et douloureux).

    - Thérapie par les enzymes digestifs

    Bien que les enzymes soient généralement associés avec les aliments crus et la digestion, l’utilisation clinique de ces enzymes a fait ses preuves dans le traitement des maladies et le recouvrement de la santé.

    Le moment idéal serait de prendre un supplément d’enzymes 15’ avant les repas, afin de soulager la réserve et de permettre au système immunitaire de fonctionner correctement. Malheureusement notre système immunitaire est souvent agressé de toute part (pollution, nourriture industrielle, stress).

    Les suppléments d’enzymes d’origine animale ne fonctionnent pas bien pendant le processus de la digestion. Problème d’acidité. Le pH ne convient pas : trop bas. A moins de prendre ces enzymes pancréatiques en dehors de la digestion.

    Heureusement il existe des enzymes d’origine végétale qui ont une plage d’action bien plus large :

    Les enzymes végétaux fonctionnent dans une large gamme de pH d’environ 2.0 à 12.0. Cela couvre à la fois les plages acides et alcalines, et les rendent idéaux pour la digestion de la nourriture.

    De nombreux enzymes peuvent être cultivés au départ de Fungi / levures en concentration très élevée. Soit vous vous adressé à votre thérapeute pour qu’il vous prescrive des suppléments d’enzymes en capsules ou poudre, soit vous décidez de prendre les choses en mains et vous commencez votre petite culture.

    C’est la 2ème solution que j’ai choisie. Je viens de commencer la culture d’un kombucha, appelé aussi « champignon de vie » car il apporte pleins d’enzymes végétaux. Elevage en bonne voie. Je testerai la boisson dans 4 jours, comme me l’a conseillé la personne qui m’a envoyé le kombucha reçu par colis postal (bien emballé dans son jus).

  4. Est-ce que tu sais, Nouvel Homme, ce que signifie "vaccin thérapeutique"?

    En fait, il s'agit de renforcer le système immunitaire par des molécules - sans doute antioxydantes, mais on ne le dit pas - qui n'ont plus rien à voir avec ce qu'on appelle traditionnellement vaccin.

    Là encore, le commun des mortel se fait manipuler par les mots utilisés. icon_confused.gif

    Ah ! Je ne savais pas du tout ...

    Clairement, c'est vrai que le mot "vaccin" nous induit en erreur.

  5. Bonjour à tous.

    Découverte d'un gène ouvrant potentiellement la voie à un vaccin antisida

    WASHINGTON (AFP) - La découverte d'un gène jouant un rôle clé dans la production d'anticorps neutralisant des rétrovirus pourrait ouvrir la voie à la mise au point d'un vaccin contre le sida, selon des travaux prometteurs publiés jeudi aux Etats-Unis.

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    Cette avancée fortuite faite sur des souris paraît aussi expliquer pourquoi certaines personnes exposées au VIH (virus de l'immunodéficience humaine) responsable du sida ne sont jamais infectées, relèvent les auteurs de cette étude parue dans la revue Science datée du 5 septembre.

    Ce gène, appelé Apobec3, qui existe aussi chez les humains et se situe au même endroit sur le chromosome, contrôle la capacité des souris à produire des anticorps neutralisant des rétrovirus qui leur permettent de combattre avec succès des infections.

    Ces chercheurs font l'hypothèse que ce gène pourrait jouer le même rôle chez les humains et neutraliser le rétrovirus responsable du sida.

    Cette hypothèse est confortée par de précédentes études montrant que les protéines produites par Apobec3 ont des propriétés anti-VIH et que la région du chromosome où se trouve ce gène exerce une influence sur la capacité de ce virus à infecter l'organisme.

    "Cette avancée met en évidence un mécanisme génétique potentiel de production d'anticorps capables de neutraliser le virus du sida ce qui est essentiel pour empêcher l'infection", souligne dans un communiqué le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID).

    "D'autres recherches sur la fonction du gène Apobec3 chez les humains pourraient conduire à la découverte de médicaments et vaccins contre le sida", ajoute-t-il.

    Les anticorps sont la clé pour combattre avec succès des infections virales et la plupart des vaccins stimulent la production d'anticorps visant un virus en particulier.

    Mais malgré un quart de siècle de recherche et la mobilisation d'importantes ressources, la médecine n'a pas encore pu mettre au point un vaccin efficace contre le virus du sida sans lequel cette pandémie, déjà responsable de plus de 25 millions de morts, ne peut-être maîtrisée.

    "Cette découverte apporte une nouvelle dimension à notre compréhension du mécanisme biologique d'Apobec3 qui pourrait nous aider à résoudre le casse-tête de la neutralisation du virus du sida", relève le Dr Warner Greene, directeur du Gladstone Institute of Virology and Immunology de l'Université de Californie (ouest), principal auteur de ces travaux.

    L'hypothèse selon laquelle le gène Apobec3 joue un rôle non seulement dans la capacité du VIH à provoquer une infection mais aussi dans la réponse immunitaire de l'organisme à ce virus avait été avancée à la vue des résultats d'une étude précédente.

    Cette recherche avait montré que la région chromosomique humaine contenant plusieurs gènes Apobec3 est liée aux réponses anti-VIH chez un groupe d'Italiens qui ne sont jamais devenus séropositifs malgré de nombreux contacts sexuels avec leurs partenaires infectés.

    Les travaux du Gladstone Institute et du NIAID apportent également un nouvel éclairage sur la manière dont le virus du sida utilise l'une de ses propres protéines, appelée Vif, pour détruire deux protéines humaines produites par le gène Apobec3.

    Etant donné le fait qu'Apobec3 paraît jouer un rôle important pour aider le système immunitaire à produire des anticorps contre des rétrovirus, la destruction de ces deux protéines par Vif pourrait expliquer pourquoi la plupart des individus ne fabriquent pas d'anticorps contre le virus du sida.

    "Nos recherches sur les souris laissent penser que la neutralisation de la protéine Vif permettrait d'obtenir une plus forte réponse immunitaire contre le VIH", explique le Dr Kim Hasenkrug, du NIAID, co-auteur de l'étude, jugeant cette voie prometteuse.

    http://fr.news.yahoo.com/afp/20080904/thl-...ev-96993ab.html

    Que pensez-vous de cette nouvelle largement diffusée sur internet, notamment ?

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