Attention aux antibiotiques

 

L'analyse du parcours de quelques dissidents me conduisent à écrire cet article sur des médicaments dont ne se méfient à mon avis pas assez les dissidents : les antibiotiques.

Je pense que les antibiotiques ont comme effet secondaire, comme l'aspirine et les corticoides, de désagréger les protéines (ou d'empêcher leur agrégation) et de fluidifier le sang. Par ailleurs, Le chimiste qui intervient sur le forum onnouscachetout sous le pseudo de Cheminot souligne qu'un certain nombre d'antiotiques ont une activité oxydante.

Certains dissidents se trouvent dans une situation particulièrement vicieuse vis à vis des antibiotiques, parce qu'ils adoptent des méthodes de soins naturelles, et, en même temps, ils ne se méfient qu'assez peu des antibiotiques. Donc, si jamais ils sont malades, ils vont avoir tendance à prendre des antibiotiques sans crainte. Pas pour un oui ou pour un non, comme le font beaucoup de gens ; mais, si ça leur parait justifié, ils en prendront.

Or, le fait que certains antibiotiques fluidifient le sang et soient oxydants est dangereux. C'est dangereux pour les parois des vaisseaux sanguins. Ca va avoir, à mon avis, tendance à les désagréger à certains endroits. Ca ne va pas désagréger les gros vaisseaux, bien sur, dont les parois sont trop épaisses, mais les petits vaisseaux. Et ça va être particulièrement le cas sur des personnes maigres. Et encore plus sur des personnes maigres qui pratiquent le jeûne. Ces personnes, de par un régime pauvre en graisses et protéines, vont avoir un sang déjà fluide et des parois de vaisseaux assez fines. Du coup, absorber un produit qui fluidifie encore plus le sang et attaque les parois des vaisseaux sanguins, chez ces personnes là, va conduire à des hémorragies. Alors que chez des personnes qui ont un régime classique, les parois des vaisseaux sanguins sont suffisamment épaissies par l'absorption de graisses et de protéines et le sang est suffisamment encombré de protéines pour que l'antibiotique désagrège ces protéines avant d'attaquer les vaisseaux et pour que rien ne se passe.

Le danger mortel va se situer essentiellement à un endroit : le cerveau. Partout ailleurs, le fait que certains petits vaisseaux sanguins soient percés n'entraine probablement pas de danger mortel. Parce qu'une petite hémorragie ne va pas entrainer de gros dommages pour l'organe touché et celui-ci va par ailleurs être réparé en quelques mois. Mais, en ce qui concerne le cerveau, les choses sont différentes. Une hémorragie cérébrale va complètement esquinter la zone du cerveau touchée. Et la destruction, même partielle du cerveau, signifie souvent carrément la mort. Les hémorragies cérébrales provoquent 42.000 morts pour 150.000 cas par an. Donc environ 30 % des cas.

Pour ceux qui pratiquent le jeûne comme solution aux divers problèmes de maladie, l'expérience de Mark Griffiths montre que l'antibiotique va agir de façon là aussi, assez vicieuse. L'antibiotique va agresser l'organisme de façon particulièrement intense là où il est le plus concentré. Et logiquement, il est le plus concentré à l'endroit où il est absorbé. Donc, dans le système digestif. Il est connu que les antibiotiques donnent des maux de ventre. Du coup, quelqu'un de maigre, qui a l'habitude de jeûner pour résoudre les petits problème de maux de ventre, risque de jeûner. Son sang déjà assez fluide va l'être encore plus. Et l'action néfaste de l'antibiotique va être maximale sur les parois des vaisseaux, entrainant un risque relativement important d'hémorragie. Bref, l'antibiotique, par son agression du système digestif, provoque le comportement de jeûne qui va rendre son action encore plus dangereuse.

Mais même sans jeûne, sur quelqu'un d'assez maigre, l'action de l'antibiotique reste dangereuse à mon avis.

Ca a été le cas pour Mark Griffiths je pense. D'après ce qu'on m'en a dit, il a pris pendant un certain temps des antibiotiques en juillet suite à une opération des dents. Il s'est rapidement plaint de maux de ventre. Il a alors utililisé la méthode qu'il utilisait habituellement : le jeûne. Il a fait plusieurs périodes de jeûne entre aout et septembre. Puis, une semaine avant le 23 octobre, il a commencé à avoir des comportements incohérents devant ses amis, comme essayer de changer les chaines de sa télé avec une lampe torche ou de se rouler une cigarette sans tabac à l'intérieur. Le 22 octobre, un journaliste l'appel et Mark lui semble totalement incohérent. Et le 23 octobre, il meurt. Il semble donc clair, à la vue de son comportement de plus en plus incohérent, qu'une hémorragie cérébrale lui a détruit le cerveau.

Il semble que ça a été le cas aussi pour sa femme : Sylvie Cousseau. J'avais lu qu'elle avait eu un cancer du sein. Du coup, je croyais qu'elle avait quand même utilisé la médecine allopathique et qu'elle était morte à cause des médicaments anticancéreux. Mais, en fait, une personne l'ayant cotoyée peu avant sa mort m'a dit qu'elle n'avait pas suivi de thérapie allopathique anticancéreuse. Elle n'avait suivie que la méthode Hamer; qui est une méthode basée sur la psychologie ; donc, sans médicament. Et en fait, il semble clairement qu'elle n'est pas morte à cause du cancer du sein, mais à cause d'une hémorragie suite à la prise d'antibiotiques ou/et d'anti-viraux. Mark aurait dit à celui qui a le pseudo Terry sur le forum onnouscachetout : "elle est decedée d'une hemoragie, a cause du medicament anti viral qu'elle prenait pour des problemes digestifs". La personne l'ayant connue m'a dit "mais elle a pris des antibiotiques peu avant la fin". Il est possible qu'elle ait pris d'abord des antibiotiques, que ça lui ait causé des maux de ventre, et qu'elle ait pris des antiviraux ensuite. Elle aussi était assez maigre (enfin, elle était à son poids de forme, comme Mark). Donc, là aussi, on a une prise très probable d'antibiotiques et on a, comme par hasard, une mort par hémorragie.

Celui qui a comme pseudo Jimmy le rebel, sur le forum onnouscachetout, a aussi eu des problèmes de maux de ventre, causés très probablement par des antibiotiques. Ici, il ne s'agit donc pas d'un cas de décès ; mais c'est un exemple intéressant également. Les maux de ventre liés aux antibiotiques sont connus. Mais, autant si ça agit immédiatement ou rapidement, on établit facilement la relation entre les maux de ventre et la prise d'antibiotique, autant ça sera beaucoup moins le cas si l'effet secondaire se déclare 1 mois ou 2 mois après. Là, ça s'est passé un peu plus d'un mois et demi après que Jimmy ait fini un traitement contre une supposée toxoplasmose. Ce qui entraine un autre effet, très vicieux lui aussi, qui est qu'en se faisant soigner pour une maladie non dangereuse (et que je pense carrément bidon) comme la toxoplasmose, les effets réels, eux, de l'antibiotique font croire que, ça y est, le stade SIDA est atteint. Ce qui permet aux médecins de faire angoisser la personne et de la pousser à se remettre à la trithérapie. On a donc un processus en deux temps : 1) soit on a une maladie qui n'a donnée lieu à aucun symptome, mais qu'on détecte par des tests, soit on a une maladie réelle banale, dont on grossit l'importance. 2) Dans un cas comme dans l'autre, on donne des antibiotiques qui provoquent des maux de ventre et des diarrhées. Du coup, le médecin a les coudée franches pour dire que ça y est, le stade SIDA est atteint et qu'il faut se remettre à la trithérapie. On fait passer l'effet iatrogène de l'antibiotique pour une maladie bactérienne et on se sert de ce mensonge pour donner de la consistance à une première étape qui, sans ça, n'en aurait aucune ou assez peu et pour faire croire que le stade SIDA est atteint.

Pour les personnes qui ont un peu de surpoids, et qui mangent une nourriture assez riche en protéines et graisses, à mon avis, les antibiotiques ne représentent pas un danger mortel. Par contre, le fait de donner des maux de ventre, lui, reste présent, et peut entrainer le processus décrit dans le cas de Jimmy.

D'une façon pour générale, pour les personnes maigres qui prennent des antibiotiques lors d'une angine ou d'une grippe, ou d'un rhume, ou alors à la suite de maux de ventre, la prise de l'antibiotique pourrait bien arriver au plus mauvais moment. En effet, c'est en général lorsque la crise d'élimination est passée ou en train de passer (grosse suée et nez qui coule en abondance pour les rhumes, grippes et autres ; et diarrhée pour les maux de ventre) qu'on commence à prendre l'antibiotique. Du coup, l'effet sur les vaisseaux sanguin, et sur le système digestif, est maximum.

 

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