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delwere

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  1. Pour que tout bascule il faudrait un événement majeur, la presse s'occupera du reste dans un temps record! Regardez la crise financière où plusieurs analystes ont exprimé leurs inquiétudes depuis deux ans, rien ne s'est passé. Ceux qui parlaient il y a deux ans de la baisse de l'immobilier ont été pris pour des marginaux! Il a suffit que LEHMAN BROTHERS s'effondre pour que plus personne ne pourrait nier l'existence et l'ampleur de cette crise. Même les plus hauts responsables, ont attendu cette bombe médiatique pour commencer à prendre des mesures (comme si ils ne savaient pas déjà que la situation était très mauvaise) Les démissions ou déclarations de certains responsables de l'industrie du SIDA, aussi importantes soient elles, ne constituent que des vaguelettes sans effets. Tant qu'il y aurait pas un événement de taille qui intéresse toute la presse internationale, rien ne bougera! Rappelez-vous que tout a commencé dans une grande conférence de PRESSE. Aujourd'hui l'événement majeur (celui des Nobels) va dans le sens du courant, donc la vie continue.
  2. Cheminot, Je ne sais pas si cet article confirmerait ta théorie de débris cellulaires suite à un stress oxydant! Je n'ai pas la compétance pour l'analyser, je te laisse regarder. http://www.sciencedaily.com/releases/2007/...70604205512.htm Merci.
  3. Dans un ancien post j'avais parlé d'un article qui stipulait que l'usage de la formule augmenterait le risque d'infections autres que le HIV pour les bébés. Là on parle du risque augmenté de séroconversion. Donc si j'ai bien compris: Ceux qui prennent exclusivement le lait de leurs mères séropositives ont beaucoup moins de chance de se sérconvertir que ceux qui prennent moitié lait maternel moitié lait de vache. Je crois que ceci se justifie dans l'orthodoxie par le faite que les infections virales ou bactériennes augmenterait le risque d'infection par VIH. En effet, l'allaitement hybride provoque des infections variées, ces infections augmentent le risque d'infection par VIH transmis par le lait maternel. L'allaitement exclusif protège des autres infections et donc diminue le risque d'infction par VIH. Et puisque personne n'oserai inclure dans ces recherches un groupe de bébés ne prenant pas du tout de lait maternel, il est difficile de prouver que l'orthodoxie n'a pas raison.
  4. delwere

    Autre opinion sur le 3TC

    Salut Aixur, (Hors sujet), cette semaine j'ai eu une discussion avec un vétérinaire à propos de la théorie Lanka (Il n'existe aucun virus pathogène à l'homme). Ce véto a beaucoup travaillé sur la rage et m'avait demandé comment Lanka pourrait l'expliquer. Il trouve l'histoire du tétnos ridicule et n'arrive pas à comprendre comment des chercheurs de ce niveau pourraient avancer des hyptothèses parailles. Aurais-tu du nouveau sur ce sujet. Merci
  5. Merci Wallypat pour tes clarifications. J'espère que le Perth Group réagira à cette toute récente "découverte". Sinon, la réponse de Duesberg m'avait un peu étaonné. Merci.
  6. Aux supporters de la théorie du Perth: Dernièrement des recehrches ont montré que dès la primo-infection le VIH tue énormément de cellules CD4 dans les intestins. Article. Une personne a demandé l'avis de Duesberg là dessus, qui a répondu, entre autres: En somme, si l'orthodoxie declarera que les dernières découvertes sont finalement la preuve de l'hypothèse virale (qui n'était pas prouvée jusque là) alors Duesberg changera d'avis. Lien. Ma question aux supporters de la théorie du Perth Group: Comment expliquez vous un tel résultat en termes de stress oxydatif? Merci
  7. delwere

    Le glutathion

    Ok pour Béchamps, Lanka et autres...mais à quand une explication consistante de la rage? Tous ceux qui prétendent que les virus ne sont pas la causes des maladies doivent dire leur mot sur le virus de la rage!!
  8. Le dépistage tardif a lui aussi des définitions spéciales. Une personne est jugée tardivement dépistée si elle dévloppe une maladie définissant le SIDA dans moins de 6 mois après le premier test VIH positif. Pour d'autres auteurs cela peut être 3 mois ou même 0 jours. Biensûr le SIDA en abscence de VIH n'existe pas (par définition) et donc la notion de dépistage tardif est non applicable à ceux qui developpent les même maladies sans VIH. Dans tous le cas ce n'est qu'une question de limite à fixer afin de pouvoir publier des statistiques. Mais en pratique je crois aussi que le dépistage sera aussi considéré comme tardif même si 7, 9, 12 mois après le premier test une maladie déclarant le SIDA se devéloppe. Sinon les médecins doivent avouer que les thérapies n'ont pas marché! Donc grosso modo un dépistage tardif veut dire que le temps écoulé entre le premier test positif est l'occurance d'une maladie définissant le SIDA est relativement court. Cette definition suppose donc - non seulement que c'est le VIH qui a causé la maladie en question. - Mais aussi qu'en présence de VIH il n'existe aucune autre cause de cette même maladie. Cela est très important, car non seulement les cas de maladies définissant le SIDA sans VIH sont exclus des chiffres mais aussi, ces mêmes maladies sont condamnées à être causées par le VIH si ce dernier est présent. Millus cours toujours derrière Montagnier et al. pour qu'ils lui fournissent la ou les preuves que le VIH causerait le SIDA. Mais même en acceptant le fait que le VIH causerait le SIDA, il nous faut une autre preuve qui montre que si une maladie définissant le SIDA se déclare chez un séropositif, la cause ne peut être QUE le VIH. En tous cas pour parler de dépistage tardif il faut avoir la certitude que le VIH pourrait causer le SIDA ET aussi la certitude que si une des 29 maladies se déclare en présence du VIH, la caus ene peut être que le VIH.
  9. Salut à tous, J'ai enfin décidé de ne plus utiliser des chiffres/statistiques ayant pour but de montrer des contradictions dans les corrélations VIH/SIDA t cela pour une raison simple: C'est peut être un peu tard que je m'en suis rendu compte mais mieux vaut tard que jamais. Ce que j'ai compris après maintes lectures des documents officiels sur le sujet, c'est que le SIDA n'est pas une maladie ou une collection de maladies. Le SIDA est une CONDITION dans la quelle les deux éléments suivants doivent être valides: 1- Réagir prositivement au test du VIH 2- Avoir les symptômes d'une des 29 maladies "définissant le SIDA" et pour certains pays avoir moins de 200 CD4 dans le sang. Donc il est impropre de dire qu'une personne est malade du SIDA. En effet, dire qu'une personne satisfait la condition SIDA est plus correcte. Partant de là, tous les chiffres/statistiques du SIDA qu'on trouve dans les documents officiels décrivent plutôt l'évolution d'une condition et non d'une maladie ou d'un ensemble de maladies bien déterminé. Par exemple, les tuberculeux séronégatifs ne sont pas inclus dans les statistiques du SIDA car la condition n'est pas satisfaite. Pourtant la tuberculose est bien une maladie grave. A titre d'exemple, une condition groupant: - cancer du poumon, cancer de la bouche, des levres et de la langue - teinte jaûnatre au niveau des doigts pourraît être nommée AYFS pour Acquited Yellow Finger Syndrom et pourraît être statistiquement étudiée. Les résultats de telles études n'auraient de sens seulement s'il y a lien de causalité entre Yellow Fingers et les cancers listés. Ce lien doit être biensûr démontré scientifiquement mais surtout pas en se basant sur la correlations entre teinte jaunatre des doigts et le syndrome AYFS car celle-ci est par définition égale à 100%. Une fois le lien de causalité démontré ces études pourraît être d'une certaine utilité. Pour l'orthodoxie il reste à démonterer, mais en déhors des données statistiques qui traitent de l'évolution d'une condition liant les 29 maladies au VIH, comment le séropositivité nuit à l'immunité et comment cette nuisance pourraît entrainer exculsivement l'une des 29 maladies. Pour le reste je vous laisse comprendre ce paragraphe lian le VIH à la tuberculose. Si vous comprenez quelque chose veuillez me l'expliquer svp. lien Merci
  10. Salut Wallypat, Merci pour tes explications détaillées. Je me 'excuse si je t'ai quelque part poussé a répéter des choses déjà dites sur ce forum. J'ai lu un ancien article du PG qui met en question la procédure utilisé par Gallo et al. pour l'isolation du virus. L'article était rejeté par Sicence et Nature. Le problème c'est que je ne suis pas un spécialiste des virologie comme c'est le cas pour plusieurs dans ce forum et que à un certain moment je dois faire confience aux spécialites dans le domaine surtout à ceux qui sont dans la dissidents de la question HIV/SIDA. Il se trouve que la plupart des virologues de la dissidence sont du côté de Duesberg. De l'autre côté je ne vois que Stefan Lanka et Etienne de Harven. Quand je dit que les arguments du Perth ne sont pas convaincants c'est pour dire qu'ils ne sont pas convaincants pour la communauté des virologues. C'est vrai que ne pas publier l'article en question dans Nature et Siience n'arrange pas les choses. Mais la question reste ouverte, pourquoi la majorité des virologues rejettent les questions du PG? D'un autre côté tu as raisons, pour rejeter ces questions il faut réfuter les propositions du PG, ce qui ne semble pas être le cas encore. Merci encore pour tes clarifications. Salutations
  11. Wallypat, Ce que tu dit semble être une élégante et cohérante hypothèse pour le SIDA bien meilleure que celle de l'orthodoxie. Mais ce qui ne semble pas être une hypothèse c'est quand tu dit: Là il y a un grand problème. Car la notion d'isolation n'est pas définie de la même façon chez tout le monde. Gallo, Fauci et al. pour eux il n'y a aucun doute, le VIH a été isolé! Pour le perth group, Kremer, Lanka, de Herven et al. le VIH n'a pas été proprement isolé. Pour Gallol, Fauci et al. Il existe des tonnes de photos au microscope electronique du VIH, pour le perth group, Kremer, Lanka, de Herven et al. il y'en a aucune! Il y a-t-il donc une dissidence dans le domaine d'isolation des rétrovirus ainsi que dans la photographie de ceux-ci? (à la quelle Duesberg, Millus et leurs partisants n'appartiennent pas). Il me semble que la réponse est oui. Mais là il y a moins de places pour les hypothèses. C'est plutôt une grande partie de toute la théorie rétrovirale qui soit en question. Il y a une grande différence entre débattre le lien VIH/SIDA et l'isolation même des rétrovisrus. Par exemple Kary Millus affirme clairement qu'il n'existe pas de papiers avec peer-review qui démontrent le lien VIH/SIDA mais ne met pas en question l'existance de papiers avec peer-review qui démontrent l'isolation du virus. Si d'autres chercheurs ont un autre avis de ce que c'est l'isolation, il doivent montrer beaucoup plus d'arguments. Ce n'est pas une hypothèse seulement qui est en question là, ce sont les ABC de la virologie moderne qui sont en question. Enfin, le perth group a probablement une des meilleures hypothèses sur le SIDA, mais je ne crois pas qu'il soit convaincant sur le sujet de l'isolation.
  12. A un certain niveau de raisonnement, la logique suffit pour avoir une idée précise sur certaines choses. En particulier: Pour une infection sexuellement transmissible et asymptômatique pendant 7 à 10 ans je ne vois pas comment les porteurs saints peuvent être en majorité identifiés si le test n'est pas obligatoire. Je ne vois donc pas comment en France on a pu identifié plus que 4/5 des porteurs saints entre 1984 et 1994. Donc en absence de grossesse, de symptômes spécifiques (sida, pré-sida) ou d'une prise de risque avec un partenaire séropo je ne vois pas pour quelle raison une personne lamda passerait un test VIH surtout entre 1984 et 1994. Si l'on applique la caratérisation orhodoxe du SIDA la logique dit qu'il devrait y avoir beaucoup plus de séropositifs ne connaissant pas leur status entre 1984 et 1994, que des de séropositifs connaissant leur status. Or les chiffre de 1994 donnent une situation contraire. Ainsi la théorie orthodoxe ne peut tenir que si les deux deux propositions sont vrais: A- En France entre 1984 et 1994 la majorité (au moins 4/5) des séropostifs ont été dépistés B- L'infection au VIH est transmissible sexuellement et elle est asymtômatique jusqu'à 7 à 10 ans après l'infection. Passé cette periode asymptômatique la grande majorité des infectés non traités développent un SIDA. Si A est fausse, B doit être aussi fausse. Si B est fausse, A n'a plus de sens. Donc il suffit de démontrer que A est fausse, pour mettre la théorie orthodoxe en panne. Actuellement je ne vois pas d'arguments convaincants qui supportent A.
  13. Cheminot, Oui, mais Gallo n'a pas pu démontrer que le VIH produirait cette apoptose chez d'autres cellules du système immunitaire. Il s'est basé seulement sur des corrélations pour l'affirmer.
  14. Viduité, réponse: autre chose Mes capacités mentales et mon sens de la logique ne me permettent pas d'admettre que la France a réussi à dépister la plupart des infections au VIH dans la période de 84-94. Donc ce que je conclurais personnellement: Les chiffres donnés dans le figure en question ne peuvent tenir la route que s'il existe une forte corrélation entre avoir un test positif au VIH et avoir le SIDA plus tard, et non pas entre être VIH+ et avoir le SIDA plus tard. Si comme moi tu n'admets pas que dans la période 84-94 la plupart des infections VIH on été dépistées en France tu en déduiras qu'en 94 un séropositif avait plus de chance (beaucoup plus) d'avoir le SIDA s'il est déjà dépisté que s'il ne l'est pas d'où la corrélation entr ele test positif et le SIDA. Je rappelle que l'infection VIH est sexuellment transmissible et qu'elle est généralement asymptômatique (même en cas de symptômes ces derniers ne sont pas spécifiques) avant le SIDA et que les tests ne sont pas obligatoires. Etant donnée de telles proprietés je ne vois pas comment on pourrait précocément dépister même le quart de la population séropositive dans cette periode de temps. Parcontre si tu crois que la France était capable de dépister précocemment la plupart des séropositifs avant 94 (ce qui va dans le sens de la coorélation VIH --> SIDA) j'aimerais bien voir quelques arguments convaincants. En ce qui conserne le dépistage systématique dont certaines organisations veulent mettre en oeuvre, je crois qu'il vient du fait que le nombre de nouvelles infections dépistées par an en France est très bas (autour de 6.000) ce qui se traduit par, au maximum, 6.000 nouveaux abonnés aux services de la 3thérapie. A mon sens c'est très peu pour l'industrie de la 3thérapie, il faut donc trouver encore plus d'abonnés.. le dépistage systématique étant une exellente solution..la sécu s'occupera du reste. Merci
  15. Salut, L'incidence du SIDA chez ceux qui n'ont jamais passé un test de VIH avant d'avoir un SIDA reste constante depuis au moins 1994. (je n'ai pas trouvé de données avant cette date). Regardez la troisième figure de cet article. En France cette frange représente environ la moitié des cas de SIDA par an depuis 2003. La définition de la non connaissance de la séropositivité avant le SIDA n'est pas la même pour tous les auteurs. En effet cette frange est identifiée comme étant l'ensemble des sidéens tradivement dépistés. Un dépistage tartdif est défini comme étant la connaissance de la séropositivité 6 à 0 mois avant le SIDA. Cette défintion découle du fait que même 6 mois ne sont pas suffisants pour que les thérapies donnent de bons résultats. Un extrait de cet article: Donc, le jugement d'un dépistage tardif n'est pas basé sur la recherche de la date approximative de l'infection. Plutot, pour certains, un dépistage n'est jugé tardif que si un SIDA se déclare avant la fin des 6 mois suivant le premier test positif ou si l'on a déjà moins de 200 CD4. En 1994 en France le nombre des cas de SIDA parmis ceux qui ne se connaissent VIH+ était de 4 fois plus élevé que celui des tradivement dépistés. Pour faciliter les choses supposant que les tradivement dépistés sont ceux qui ont découvert leur séropositivité à l'occasion d'un SIDA (donc 0 mois avant le SIDA). Ceci veut dire qu'il y a 4 fois plus de cas de SIDA en 1994 parmis ceux qui se connaissent VIH+ que ceux qui ne se connaissent pas. Si l'on suppose que l'infection VIH cause le SIDA dans 7 à 10 ans (si non traitée), pour un test non obligatoire et commercialisé autour de 1984, la France à réussi à dépister précocément au moins* le 4/5 de toutes les infections par VIH entre 1984 et 1994. Sachant en plus qu'un tel test était presque tabou dans les années 80, je dirais bravo pour l'efficacité des tests non obligatoires et pour la définition du dépistage tardif!! Si j'assume que les chiffres de la figure ci-dissus sont basés sur la définition de 6 mois avant le SIDA alors je dirais que la France a réussi à dépister presque toutes les infections VIH entre 84 et 94. Je vous laisse juger de vous même. * Je dis au moins 4/5 des infections par VIH parce que ceux qui savent qui sont séropos sont généralement pris en charge et donc leur SIDA devrait être retardé. Parcontre ceux qui ne le savent pas doivent avoir un SIDA dans les 7 à 10 ans suivant l'infection selon l'orthodoxie. Plus concrêtement: - Parmis tous les séropositifs dépistés précocement (donc généralement pris en charge) environ 4000 on eu un SIDA en 1994. - Parmis Tous les autres séropositifs (donc ne connaissant pas leur état), il y avait que 1000 qui on eu un SIDA en 1994 Si je comprends la logique des choses, il y a beaucoup plus (au moisn 4/5) de séropositifs précocement dépistés avant 1994 que des séropositif tardivement (ou carréement non) dépistés avant la même date.
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