DU SIDA À LA SANTÉ

(COMMENT ROGER S'EST GUERI DU SIDA) de Bob Owen


Ce livre relate la rencontre d'un médecin généraliste, appelé Bob, avec l'un de ses anciens compagnons de la guerre du Viet-Nam, Roger. Après avoir abusé, par désespoir, de drogues illégales au Viet-Nam, Roger a continué à prendre des drogues légales à son retour aux USA, sous forme de médicaments contre l'anxiété. Après des années de "vie normale", il est soudain atteint du sida, avec un sarcome de Kaposi.

Il se précipite chez son ami Bob qui, bien qu'il n'ait encore jamais soigné de malades atteints de cette maladie, accepte par amitié de chercher une solution. Ensemble, ils étudient la question sous tous ses angles, parcourant la littérature médicale, cherchant de tous côtés comment éviter la condamnation à mort qu'avait donné à Bob les médecins qui avaient posé le diagnostic et affirmé que la maladie était mortelle à 100%. Un jour, Bob s'écrie:

"Roger, j'ai trouvé!" Je marchais de long en large, comme un tigre en cage. "Ecoute. Le sida n'est pas une maladie épidémique du tout. Le sida est la conséquence d'un mode de vie abusif. Dit d'une autre façon: le sida ne détruit pas notre système immunitaire. Mais un système immunitaire affaibli entraîne l'apparition d'un groupe de symptômes que nous appelons sida. Roger, le sida n'est pas la cause d'un mal-fonctionnement du système immunitaire, le sida est le résultat du mauvais fonctionnement d'un système immunitaire détruit par un mode de vie abusif. Nous n'avons pas à avoir peur d'un virus que nous ne pouvons pas voir. Mais nous avons à faire attention de ne pas pousser nos corps au-delà du point de rupture." Roger prit la parole: "C'est une bonne définition, Bob. Le sida est un exemple de ce qui se passe lorsque nos corps ont été maltraités au-delà du point de rupture. C'est cela le sida! "

Je savais que j'avais raison. J'étais content. J'étais vraiment certain de ce fait: le sida est le résultat d'un système immunitaire qui a été surmené et qui a dépassé le point de rupture. Quand le système immunitaire ne peut plus faire face il ne peut plus répondre aux agressions qu'il subit alors il réagit en cessant tout d'un coup de fonctionner

"Oui, Roger, la nuit passée quand je t'ai parlé d'un mode de vie abusif tu as pensé que je parlais de la consommation de médicaments chimiques n'est-ce-pas?" "Oui, j'ai pensé à la fois aux drogues illégales et aux drogues prescrites légalement. A la chimiothérapie et à toutes ces choses là. "Pourtant le café , le thé, le chocolat et le coca-cola sont aussi des drogues. Tous contiennent de la caféine. Beaucoup de caféine. La caféine est une drogue." Roger éclata de rire "Tais-toi, Bob. Tout le monde boit du café et tout le monde boit du coca-cola. Est-ce-que tu es en train d'essayer de me faire croire que les deux cents millions d'américains qui boivent du café sont toxicomanes?

C'est de la folie! ". "C'est précisement ce que je t'explique, Roger. Et si tu ne me crois pas, eh bien, tu n'as qu'à essayer de cesser de boire du café. Tu verras que tu vas souffrir de symptômes de manque, exactement comme tu as souffert lorsque tu as cessé de consommer les drogues dures." Roger rit de nouveau. "Est-ce-que tu plaisantes? De toutes façons qu'est-ce-que cela a à voir avec le sida?". "Roger, quand je t'ai parlé de mode de vie abusif la nuit passée, je pensais à tous les abus. Tu ne m'as pas compris. Les abus ne concernent pas seulement les médicaments chimiques et les drogues mais aussi les produits toxiques absorbés avec l'alimentation et le fait d'exagérer dans les quantités consommées. Et aussi le fait d'exagérer dans le sexe.

Je crois vraiment que tous les abus s'accumulent les uns aux autres. Je crois donc que le sida n'arrive pas à quelqu'un après simplement quelques semaines ou quelques mois d'abus. Même pas après une année. Même pas dix. A mon avis, le genre d'abus dont je parle peut prendre bien 20 ou 30 ans pour détruire le système immunitaire. Mais il y a un jour où il faut payer la note."

"Oui, mais alors que dis-tu pour les enfants? Et les bébés qui ont le sida? " Je secouais la tête. "Roger, de nombreux enfants et bébés ont été intoxiqués dès le moment de leur conception. Certains même bien avant, par le mode de vie abusif de leur mère et de leur père. Par les drogues que les parents ont consommées. Par les pensées négatives dont ils se sont nourris. Ces bébés ont eu un système immunitaire bloqué déjà dans le ventre de leur mère. Puis, peu après la naissance, ces bébés sont agressés par toutes sortes de médicaments et de vaccins ..... C'est l'ensemble de tous ces facteurs qui paralysent le système immunitaire." Je voyais la sueur perler sur le front de Roger, mais il avait écouté très attentivement chaque mot que je venais de prononcer. "Et maintenant, Roger, je vais te dire la vérité en face: tu sais que ton corps a le sida. Il te faut ouvrir les yeux à cette réalité.

C'est parce que tu as vécu d'une manière abusive que tu souffres de cette maladie. Et si tu ne changes pas ton mode de vie, tu vas mourir." Je passais ma main par-dessus la table et pris sa main. "Je regrette, Roger. Tu ne sais pas comme je regrette. Mais aussi dur que cela soit de te dire cela je suis persuadé de te dire la vérité. Les faits sont les faits." Roger avala sa salive. Il regarda sa tasse de café comme si elle était tout d'un coup devenue du poison. Il la repoussa, violemment, et me répondit, avec une voix rauque, "Bob, dans mon coeur je sais que tu as raison. Mais j'ai peur, j'ai très peur".

Il me regarda comme un enfant malade et effrayé. "Bob... est-ce-que tu crois, en toute honneteté, que j'ai une chance de m'en sortir?" "Je ne sais, pas, Roger. Vraiment je ne sais pas mais je crois que nous avons franchi le premier obstacle." "Que veux-tu dire? " "Le premier obstacle, à mon sens, était d'avoir une vision claire de la cause du sida. Le second, et je pense que cela n'est facile ni pour toi ni pour moi, c'est de voir en face le fait que toi, Roger, et toi seul est responsable de ta condition.... es-tu d'accord?" Il acquiesca d'un air misérable. "Et le troisième obstacle, qui m'intéresse maintenant est de savoir ceci: est-il possible de réparer un système immunitaire qui a été endommagé? Je ne sais pas. Les évidences médicales que j'ai jusqu'à présent à ma disposition me disent que non. Mais je ne crois pas ces évidences! Je pense qu'avec ta coopération nous devons arriver à réparer ton système immunitaire.

Par la suite, Bob découvre le livre "La toxémie expliquée" de J.H. Tilden. Il y lit:

"Depuis des temps immémoriaux, l'homme a cherché un sauveur hors de lui-même. Et lorsqu'il ne cherche pas un sauveur il cherche un remède pour guérir ses maux. Mais plutôt que d'essayer d'acheter un traitement miracle, il est préférable de cesser de fabriquer la maladie en soi-même. Car la maladie est une fabrication de l'homme."

Dans cet ouvrage, Tilden explique que la cause de toutes les maladies est la toxémie. "C'est une loi qui existe dans tout l'univers. Elle est la même hier, aujourd'hui et à jamais, elle est vraie pour les étoiles et pour tout ce qui vit. La toxémie explique comment la loi universelle fonctionne dans la santé et dans la maladie. Si un mode de vie déséquilibré et une alimentation nocive sont poursuivis suffisamment longtemps, des fermentations acides se produisent dans le tube digestif et irritent les muqueuses qui peu à peu s'enflamment et s'ulcèrent puis s'épaississent et se cancérisent. Le monde médical lutte pour trouver la cause du cancer. Pourtant le cancer n'est que la conséquence de processus inflammatoires qui eux-mêmes sont le résultat de simples irritations."

Pour la première fois depuis mon internat, je passais toute la nuit à lire ce livre. Au matin, j'avais fini de lire l'oeuvre de Tilden. Et ma vision médicale avait changé d'une manière irréversible. Il me fallut toute la matinée suivante pour réorienter mon esprit dans la compréhension du concept d'aider les gens à se guérir plutôt que de traiter les symptômes de leurs maux par des médicaments.

J'avais passé vingt ans de ma vie à être médecin généraliste. J'étais fier de l'être. Pourtant je commencais à avoir certaines difficultés pour me convaincre de l'efficacité des traitements médicaux. D'un côté, je pouvais lire les rapports triomphants de l'Institut National du Cancer concernant les progrès faits par la guerre contre le cancer, telle cette lettre à l'éditeur du "Los Angeles Time" du 21 mars 1987 dans laquelle le médecin de l'Institut National contre le Cancer écrivait: " Nous avons fait de grands progrès dans le traitement du cancer et dans les recherches cliniques à ce sujet. Nous disposons maintenant de traitement très efficaces."

D'un autre côté, un article bien documenté de "The new England Journal of Medicine", du 8 mai 1986, indiquait que, de 1950 à 1982, "aux Etats-Unis, pendant ces années, on peut constater une augmentation constante du nombre de morts par cancer ..... Nous sommes en train de perdre la bataille contre le cancer".

Sur le même sujet et à propos de la même période de temps, le docteur Bob de Bragga déclarait: "Notre nation perd la guerre contre le cancer parce que tous les moyens de prévention et de traitement du cancer qui utilisent l'alimentation ou d'autres moyens non toxiques sont complètement ignorés du monde médical orthodoxe."

Si des déclarations aussi contradictoires pouvaient être formulées par les experts à propos du cancer, pouvais-je attendre d'eux des informations plus claires à propos du sida? La réponse me sembla évidente: c'était tout à fait impossible. Plus j'étudiais la littérature médicale avec soin, plus je prenais conscience du fait que, pour des raisons qui ne m'apparaissaient pas encore très clairement, les informations données au public par l'établissement médical cachaient la vérité puisque le bilan du cancer était extrêmement négatif. Je ne pouvais pas oublier que près d'un demi-million d'américains mouraient du cancer chaque année et que ce nombre ne faisait qu'augmenter. En comparaison, je constatais que, depuis 1980, moins de 40 000 personnes avaient été atteintes du sida et près de la moitié de ce nombre était décédée.

Si l'on compare cela au cancer et aux maladies cardio-vasculaires ce chiffre est vraiment extrêmement faible. Je pris conscience du fait que l'on sous-estimait systèmatiquement la gravité du cancer alors que l'on montait en épingle les statistiques concernant le sida. Il est évident que chaque journal, chaque magazine, et chaque nouvelle de la télévision intoxique la population en cherchant à créer une véritable panique concernant le sida. Pourquoi? Je m'aperçus que des millions de dollars sont consacrés chaque année à la recherche d'un vaccin contre le sida et je pris conscience, avec une certaine colère, que cette course en avant pour chercher un remède ne pouvait en aucun cas aboutir à quoi que ce soit. Mon scepticisme ne fit que croître lorsque je lus dans "Health Freedom News" de mai 1986: "Au cours des dix années écoulées, pendant que la Société Américaine contre le Cancer a récolté plus d'un milliard de dollars de dons du public américain et que l'industrie pharmaceutique a consacré plus de dix milliards de dollars à la recherche contre le cancer, le nombre de morts par cancer a augmenté de 12 %! ".

J'appris aussi d'un confrère, le docteur Sydney M. Wolfe, dans son excellent livre: "Pills that don't work" que 610 médicaments utilisés par les médecins pratiquant la médecine orthodoxe n'avaient jamais été testés ou avaient montré, lors des tests, qu'ils étaient totalement inefficaces. Je m'apercevais maintenant que des millions de pilules de médicaments sans aucune valeur continuaient à être vendus par les médecins à des patients dans l'espoir de miracles qui ne pouvaient jamais se produire. Et je me rappelais ce que ma femme m'avait dit avec beaucoup de sagesse: "Peut-être qu'ils cherchent la solution au mauvais endroit! ".

Par la suite, Roger et Bob découvrent le livre "Fit for life" de Harvey Diamond et découvrent les bienfaits d'une alimentation vivante. Ils découvrent aussi les idées du docteur Mendelsohn (l'auteur de "Des enfants sains... même sans médecin" Editions Soleil). Et Bob s'écrie :

"Ce n'est pas d'une infection virale que souffre Roger. C'est de toxémie. C'est de poisons qu'il n'a pas éliminés! Le corps de Roger est tellement rempli de poisons non éliminés que son système immunitaire surchargé ne peut plus faire son travail. Ce qui est en train de tuer Roger n'est pas le sida, mais la toxémie, la surcharge de déchets qui ne s'éliminent pas.

Je lisais, sous la plume de Tilden "sans toxémie, il ne peut pas y avoir de maladie." La cause profonde de toutes les maladies, affirmait Tilden, consistait en la rétention de déchets métaboliques qui ne parvenaient pas à être éliminés par le corps.

Bob et Roger découvent les bienfaits du jeûne, grâce au livre sur le jeûne de Herbert M. Shelton. Roger s'aperçoit que le point commun des diverses populations qui ont été touchées par le sida est d'avoir été fortement vaccinées est d'avoir reçu un grand nombre de traitements médicaux aux antibiotiques ou encore d'avoir utilisé des drogues légales ou illégales. Par conséquent, le problème commun à toutes ces populations est l'abus de drogues, de médicaments ou de vaccins.
Il écrit:

"Les américains inoculent de façon routinière à leurs bébés âgés de quelques jours ou de quelques semaines des sérums qui sont immuno-dépresseurs. Ensuite ils les soumettent à des radiographies faites par les dentistes et les médecins, qui sont aussi immuno-dépressives, puis ils donnent à leurs enfants un nombre considérable de médicaments chimiques, les nourrissent d'une façon déséquilibrée les bourrent de toutes sortes de médicaments pendant toute leur enfance, pratiquent des rappels de vaccins nombreux..... et s'étonnent lorsque le système immunitaire de leurs enfants ne peut plus fonctionner!"

Roger comprend peu à peu pourquoi la médecine orthodoxe n'aboutit qu'à des échecs avec les médicaments chimiques qu'elle utilise dans le traitement du sida. Tout simplement parce que l'abus de médicaments chimiques est ll'une des causes les plus importantes du problème!

Bien que Roger passe par des crises d'élimination désagréables et que Bob lui refuse tout médicament chimique pour calmer ses douleurs, peu à peu apparaissent des signes d'amélioration. Un jeûne de 35 jours puis une alimentation vivante permettent au système immunitaire de Roger de se remettre à fonctionner. Les lésions dues au sarcome de Kaposi régressent puis disparaissent. Un autre livre les aide:"There is a cure for Arthritis" de Paavo Airola. Dans ce livre il est écrit :

"Les bactéries et les virus ne sont pas la cause première des maladies mais seulement des facteurs symptomatiques. Les médicaments chimiques peuvent apporter un soulagement momentané des symptômes mais un usage prolongé de médicaments chimiques entraînera toujours des dégâts dans le milieu biologique." Et Airola d'ajouter "Il faut comprendre que les médicaments n'ont aucun pouvoir de guérison. La guérison est toujours le travail du corps lui-même qui se guérit et ce qu'un médecin peut faire de mieux est de soutenir le corps dans son travail d'auto-guérison." Je m'apercevais", écrit Bob, "qu'Airola ne parlait pas seulement du rhumatisme puisque tout ce qu'il enseignait s'appliquait parfaitement bien à toutes les maladies ainsi qu'au sida."

Puis, Roger et Bob découvrent l'influence des pensées négatives et des émotions rentrées sur la maladie. Roger écrit:

"Des pensées négatives entraînent la production par le corps de substances chimiques qui perturbent les délicats mécanismes biologiques et affaiblissent le système immunitaire. Le sida est la conséquence d'un certain mode de vie et non la cause. Il montre que le système immunitaire a été détruit mais ce n'est pas le sida qui cause la destruction du système immunitaire! Si le système immunitaire a été affaibli par un mode de vie abusif, par des pensées négatives et des émotions refoulées, alors le corps est laissé sans défense et toutes sortes d'infections opportunes peuvent apparaître. La mort ne vient pas du sida. Le sida n'est pas la cause de la mort. Le sida ne cause rien. Le sida est simplement l'état dans lequel le corps se trouve lorsque le système immunitaire a été détruit."

"Je pensais que l'amertume, la colère et la haine, un état d'esprit compétitif, l'agressivité, des souvenirs d'avoir été maltraité ou violé dans l'enfance, toutes les peurs qui n'ont pas été déchargées, toutes les tensions, les frustrations et les émotions qui sont restées à l'intérieur de l'individu produisent automatiquement une grande quantité de substances chimiques dans le corps qui bloquent son fonctionnement normal et entraînent peu à peu une destruction du système immunitaire. Un tableau se dessinait devant mes yeux: les drogues externes sont les produits chimiques que nous mettons dans notre corps et qui le détruisent. Mais il y a aussi des drogues internes qui sont les substances chimiques produites par notre corps lorsque nous nous laissons envahir par des pensées et des émotions négatives. Elles aussi nous font du mal.

Grâce au jeûne, le corps de Roger a pu éliminer tous les poisons et se guérir lui-même. Bob, le médecin, découvre qu'il y a probablement un point de non-retour, un point où le système immunitaire a été tellement détruit que la guérison ne peut plus se faire et il se demande:

"Comment un seul docteur au monde, un être humain qui n'est certainement pas Dieu, peut-il décider pour quelqu'un d'autre si ce point a été atteint ou non? Il me semble tout à fait évident qu'aucun docteur, quelle que soit son expérience et sa science, n'a pas le droit d'affirmer qu'une situation est irréversible!"

Bob lit aussi, sous la plume du docteur Caiazza:

"Le sida est une tragédie humaine très impressionnante. C'est pourtant une maladie dont nous pourrions venir à bout si nous avions de la volonté et de la détermination. Mais je crains que cela ne puisse se faire en raison du fait que l'industrie pharmaceutique va dans une direction tout à fait différente de la prévention." En lisant cela, écrit Bob, je ressentis en moi la même colère que j'avais bien connu au Viet-Nam lorsque je devais aller soigner des hommes qui avaient été blessés dans un conflit inutile et sans espoir. Le docteur Caiazza écrivait encore: "Nous sommes près du moment irrévocable où nous aurons besoin du sida et ne pourrons plus nous en passer parce que le sida sera devenu indispensable à la vie d'un grand nombre de compagnies pharmaceutiques."

Bob découvre dans un article du "Los Angeles Herald Examinor" du 21 mars 1987 que le traitement de malades atteints du sida, par la médecine orthodoxe, représente huit à dix mille dollars par patient et par année. Il écrit:

"Ces faits et d'autres m'ont permis de découvrir que des hommes, des médecins comme moi, des milliers d'autres médecins bien intentionnés, ont été manipulés d'une manière inconsciente et sont victimes d'une propagande qui nous a fait jouer le jeu de l'industrie pharmaceutique au détriment de nos patients."
Bob s'aperçoit aussi que des cliniques de médecine naturelle ont été fermées par l'association des médecins américains simplement parce qu'elles utilisaient des thérapeutiques non chimiques. Des médecins ont été aussi condamnés à des années de prison pour avoir utilisé des médecines alternatives.
Cet ouvrage se lit d'une traite, comme un passionnant roman d'aventures.
La guérison de Roger est un fait réel, la transformation des idées médicales de Bob aussi.
Pour des raisons de discrétion, Bob et Roger ont choisi de rester anonymes. Pendant un an, ils ont raconté leur histoire à l'écrivain Bob Owen, auteur du livre et ont relu les textes qu'il avait écrits.
Ce livre montre qu'il est totalement aberrant que des médecins osent affirmer "le sida est mortel à 100 %." Il y a des survivants qui se portent bien plusieurs années après avoir reçu un diagnostic de sida.
De nos jours, médecins et malades ont un chemin à faire pour redécouvrir les lois simples de la santé et, grâce à elles, triompher des peurs et des maladies.
Expliquer ce qu'est la maladie et comment, par le respect des lois de la vie, chacun peut vivre en bonne santé est probablement l'information la plus importante que nous puissions diffuser autour de nous en cette fin du vingtième siècle où la planète entière est menacée de destruction par la folie d'hommes qui ont oublié qu'ils étaient les enfants de la Mère Terrestre et du Père Céleste.
Pourtant si l'on observe l'extraordinaire merveille qu'est le corps humain et la sagesse biologique de la nature, comment pourrions-nous faire confiance aveuglément à des experts qui illustrent le propos de Rabelais: "Science sans conscience n'est que ruine de l'âme".
Ne croyons plus ceux des experts qui sont devenus des marchands de peur et apprenons à écouter notre intuition intérieure; elle nous confirmera que Bob et Roger ont raison: le sida est la conséquence d'un mode de vie abusif. Si on change ce mode de vie, le corps se guérit lui-même.

Extrait de DU SIDA A LA SANTE. © 1989 Edition Vivez Soleil.


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