AMAROLI PAR UN MALADE DU SIDA

 

Je suis malade du sida depuis 3 ans.

Après toutes sortes d'aventures dans le domaine de la médecine orthodoxe et des médecines douces j'ai pris conscience de deux choses fondamentales :
- premièrement que nous sommes le résultat de nos émotions et de notre façon de vivre
- deuxièmement qu'il fallait se désintoxiquer physiquement, émotionnellement et spirituellement afin de sortir de la maladie.

J'ai entendu parler d'Amaroli. Je me suis préparé par deux jours de cure de fruits. Au début cela fut pour moi un exploit, car il me fallait aller au delà de toutes les appréhensions possibles, de toutes les idées reçues dans le genre "c'est un poison toxique, c'est dégoûtant, répugnant, un déchet, tu vas mourir si tu fais ça, t'empoisonner...", j'en passe et des meilleures !

J'ai eu besoin d'appeler le courage pour me jeter à l'eau, si j'ose dire, mais j'avais besoin de quelque chose d'exceptionnel si je voulais vraiment parvenir à réparer mon grand corps malade et maigre. Je ne voulais pas crever mais vivre et j'avais compris que c'est avant tout s'aimer soi même, s'accepter tel que l'on est aujourd'hui à ce moment précis. C'est ce qu'il fallait que j'apprenne. Et je voulais aller vite.

Alors j'ai bu, vite et bien dès le premier jour, en me regardant dans le miroir de la salle de bain pour me dire "bravo, mec, tu es super!", m'encourager et me féliciter.

Oh, bien sûr, j'aurais pu commencer plus doucement, en douceur, par des doses homéopathiques faites avec mon urine, j'aurais pu la mélanger à du jus d'orange, j'aurais pu... Mais je voulais aller vite, expérimenter la guérison. J'ai jeûné pendant trois jours de descente en enfer, tel Orphée à la recherche d'Eurydice, guidé par le passeur Amaroli. J'ai eu en effet une réaction extrêmement intense avec un fièvre très élevée, des maux de tête, des courbatures, et une fatigue générale. J'ai eu l'impression que mon corps attendait cela depuis longtemps, dans sa grande sagesse, il attendait Amaroli pour pouvoir se nettoyer. J'ai vomi de la bile verdâtre, une vraie fourniture pour film d'horreur, j'ai eu une transpiration tellement nauséabonde que mes colocataires ont cru que j'avais vomi dans l'appartement. Au bout du troisième jour je me suis senti comme ressuscité. Mes ganglions avaient totalement désenflés, ma peau est devenue à nouveau saine, je me suis senti comme un bébé, avec une telle énergie que je me sentais comme une pile atomique difficile à contrôler, je me déplaçais par petits bonds de joie sous les yeux médusés de l'entourage qui n'a pu que constater la transformation.

Je me sens heureux, en harmonie avec le monde qui m'entoure. Je vais de miracle en miracle, au quotidien. Les solutions aux problèmes arrivent toutes seules, comme si une porte s'était ouverte. J'ai rencontré un groupe de guérison où il y a plein de gens formidables, positifs, qui me soutiennent et me conseillent dans ma nouvelle vie afin de m'éviter les écueils d'un trop grand enthousiasme.

Je sens que de grandes ailes se déploient, celles du pardon et de la joie par l'acceptation. J'apprends à pardonner à mes parents, à tous ceux qui ont croisé douloureusement mon chemin, afin que les traces de mon passé inscrites dans ma chair s'estompent pour laisser place à la joie de vivre, à la lumière et à a santé totale.

Je me retrouve sauvé, régénéré, optimiste, en bonne santé, plein d'énergie et de volonté pour aider ceux qui souffrent d'un corps intoxiqué, malades de leurs émotions et de leurs refus.

La vie est devenue un grand oui, un chant de reconnaissance. Je dis maintenant merci à la vie, merci au sida, merci à Dieu qui m'a donné cette grande claque d'amour, merci à tous ceux qui m'ont soutenu, aidé et encouragé.

V.C., Paris 1992

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