Le sida est-il causé par le virus VIH seul ou...
par l'usage des drogues, médicaments et vaccins?

Guylaine Lanctot

Qu'est ce que le sida ?
C'est un
Syndrome d'
I mmuno
D éficience
Acquise.

SYNDROME vient du grec qui veut dire réunion. C'est un ensemble bien défini de signes et de symptômes qui peut s'observer dans plusieurs maladies différentes et ne permet pas à lui seul de déterminer la cause et la nature de la maladie. Prenons, par exemple, le syndrome grippal. Les signes et symptômes sont connus : malaises, fièvres, courbatures, fatigue, nez qui coule, yeux qui pleurent... On sait qu'il s'agit d'une grippe, mais on ne peut conclure de quelle grippe il s'agit, ni de la cause de la grippe. Il en est ainsi pour le sida.
1. C'est un ensemble de signes et de symptômes : fatigue, faiblesse, perte de l'appétit, fièvre, infection, amaigrissement... qu'on retrouve dans plusieurs maladies.
2. Il n'y a pas qu'une seule maladie qui puisse présenter ces symptômes, mais plusieurs.
3. Il reste à déterminer la cause de ces maladies.

IMMUNO pour immunité. C'est la résistance naturelle ou acquise, d'un organisme vivant à un agent infectieux (microbe, virus), ou à un agent toxique (venins, toxines).

DÉFICIENCE, c'est à dire insuffisance organique ou psychique. Donc les maladies différentes ont en commun une immunodéficience, c'est à dire une insuffisance des résistances de l'organisme, ou encore une faiblesse du système de défense de l'organisme.
D'où une facilité à contracter des maladies.

ACQUISE, c'est à dire obtenue, par opposition à naturelle, innée, héréditaire. Donc, la faiblesse du système de défense est acquise au cours de notre vie. OU, QUAND, COMMENT ? Voilà l'énigme !

Symptômes- Fatigue, Fièvre, Infections, Anorexie.

SIDA : Causes de déficiences immunitaires :
- Soumission, Peur, Pauvreté, Drogues

Nous constatons qu'avec la seule définition des termes S, I, D, A, et à partir de notre seul bon sens, nous pouvons arriver à une définition compréhensible du sida :
LE SIDA EST UN ENSEMBLE DE SYMPTOMES (La pointe de l'iceberg)
PRÉSENTS DANS DES MALADIES DIFFÉRENTES (Le corps de l'iceberg)
QUI ONT EN COMMUN UNE FAIBLESSE DU SYSTEME DE DÉFENSE.
LA CAUSE DE CETTE FAIBLESSE EST ACQUISE
QUELQUE PART AU COURS DE NOTRE VIE (La base de l'iceberg).
LES CAUSES DU SIDA

(Prévenir, c'est éviter d'avoir à guérir )

Toute la question est là : qu'est ce qui cause le sida ? Parce qu'un bon diagnostic conduit à un bon traitement. Si les maladies du sida ont en commun une faiblesse immunitaire, il est logique d'orienter nos efforts vers les causes de cette faiblesse immunitaire pour corriger la maladie... et, surtout, la prévenir. Les CAUSES DE LA FAIBLESSE IMMUNITAIRE les plus fréquentes chez les personnes malades d'une des maladies du sida sont :

1. La drogue . Elle semble être la plus dévastatrice. Ce ne sont pas les seringues contaminées qu'il faut stopper, c'est l'usage même de la drogue.

2. Les médicaments : antibiotiques, anti-inflammatoires, chimiothérapie, transfusion, dérivés sanguins... "Nous sommes une société immunodéprimée", s'exclamait Dr. Mc Kenna. Aux USA, par exemple, on dépense par année 30 milliards $ en médicaments prescrits, 50 milliard $ en médicaments non prescrits (OTC : over the counter ).

3. Les vaccins. Nous savons que les vaccins dépriment le système immunitaire. Les enfants reçoivent près de 20 vaccins avant de rentrer à l'école. Puis on soumet la population de tout âge aux vaccinations ciblées annuelles et aux vaccinations de masse occasionnelles.

4. La pollution de l'air, de l'eau, des aliments. Les innombrables produits chimiques industriels polluent l'eau que l'on boit et l'air que l'on respire. De plus, nos aliments sont remplis de radioactivité, d'ondes électromagnétiques, de pesticides et d'engrais chimiques, sans parler des vaccins et des hormones contenus dans la viande que nous mangeons.

5. La malnutrition . soit par carence (manque), soit par excès, soit par alcoolisme. Elle va de pair avec les maladies infectieuses. Elle est surtout présente dans les pays du Tiers-Monde et chez les femmes enceintes.

6. Les infections répétées, de toutes sortes, aigu's ou chroniques.

7. Les facteurs qui affectent l'âme de la personne : désespérance et impuissance . Absence de sens à la vie. Soumission au pronostic fatal.

8. Style de vie débauché et décousu. Absence d'amour et de besoin affectif.

9. La peur qui nous emprisonne. Elle est notre pire ennemie.

Au congrès de Copenhague sur le sida, en mai 1992, les patients "survivants" du sida étaient tous d'accord. Pour vivre, il faut corriger les causes de la déficience immunitaire. Avant tout, il faut se libérer de la peur. Elle nous tue. Les autres solutions proposées par la médecine scientifique sont inefficaces, surtout l'AZT. Aucun de leurs amis qui avaient pris l'AZT (fort dépresseur immunitaire) n'avait survécu. On survit au sida, mais on ne survit pas à l'AZT.

F F F = Freedom from fear


EN RÉSUME


Facteurs causant incapacité de apparition des
une faiblesse l'organisme à maladies du
des défenses se défendre sida

En enrayant les facteurs qui causent l'immunodéficience, on prévient et/ou on guérit le sida. Tout cela semble logique et conforme au solide bon sens. On est en droit de se demander pourquoi les autorités tiennent-elles si fort, depuis dix ans, à rabâcher l'équation suivante :

V.I.H. + = SIDA = MORT

En imposant le virus comme responsable du sida, les autorités condamnent toute personne séropositive (V.I.H. +), en bonne santé ou non, au diagnostic du sida et à a mort prochaine. Le mot séropositif est synonyme du sida et on confond les deux termes dans les statistiques. Ils ont aussi droit au même traitement aussi meurtrier et inefficace de l'AZT.

En réalité, séropositif ne veut rien dire de plus qu'avoir été en contact avec le rétrovirus V.I.H. Sans déficience immunitaire, pas de sida. On peut être séropositif et dormir tranquillement sur ses deux oreilles !

Plus encore, cette approche V.I.H. = sida tue les gens en bonne santé et empêche de guérir les vrais malades du sida. Car le sida, ça se prévient et ça se traite... Mais pas à l'AZT. Le solide bon sens nous permet de deviner que ce n'est pas avec des médicaments immunodépresseurs (qui affaiblissent e système de défense) que l'on renforce un système immunitaire...

Réalisons que :


Nous pouvons choisir de vivre ou de mourir. Nous n'avons qu'à regarder les résultats des deux approches de traitement du sida, et à prendre une décision. Les survivants du sida en témoignent. Écoutons-les.

* Le traitement de la maladie (guerre au virus) avec des médicaments agressifs conduit à la mort ;

* Le traitement du malade (paix des corps, âme, esprit) avec un renforcement de son immunité, garde en vie.

Leur recommandation est claire : prendre charge de sa santé et de sa vie. Consulter, s'informer et prendre SA décision.

V.I.H.+ NE VEUT PAS DIRE SIDA
SIDA NE VEUT PAS DIRE MORT
POURQUOI CET ACHARNEMENT MEURTRIER ?

Pourquoi les autorités imposent-elles par la force l'idée que

* Le sida est une (seule) maladie ?

* Causée par un seul virus : le rétrovirus V.I.H. (Virus d'Immunodéficience Humaine) ?

* Transmise sexuellement ?

* Traitée par des médicaments antirétroviraux : de puissants immunodépresseurs, comme l'AZT, qui précipitent le sida ?

* Prévenue par les mesures du "safe-sex " ?

Pourquoi les autorités persistent elles à ne pas reconnaître que la théorie du "V.I.H. seulement" comme cause du sida, en dépit des fortes oppositions à ce concept de la part de :

* Nombreux scientifiques comme Peter Duesberg de l'Université de Californie, Berkeley, en tête. Un des premiers virologue à étudier les rétrovirus (classe du V.I.H.), ses travaux lui ont valu d'être élu membre de l'Académie Nationale des Sciences (National Academy of Sciences) . Cette prise de position contre l'establishment médical lui a valu le discrédit auprès de la profession et la perte de fonds pour ses recherches.

* Luc Montagnier, de l'Institut Pasteur, l'inventeur officiel du virus V.I.H. en 1983. Depuis 1990, il affirme que le V.I.H. seul ne suffit pas à causer le sida.

* L'évidence de nombreux cas de sida sans virus V.I.H. et de nombreux cas de virus V.I.H. sans sida.

* L'impossibilité du virus unique comme cause unique, car on compte plusieurs types de V.I.H., suite à la mutation du virus V.I.H.

* L'impossibilité de démontrer que le virus V.I.H. cause le sida. C'est pourtant une règle spécifique élémentaire pour rétablir une relation de cause à effet entre deux facteurs.

* Le V.I.H. est un rétrovirus inoffensif. Il ne peut être activé que lorsque le système de défense est affaibli. De plus, il ne peut à lui seul détruire le système immunitaire. Duesberg l'appelle "le petit minou" (pussy-cat) . Montagnier dit qu'il a besoin d'autres facteurs avec lui... Il semble bien loin du rôle de gros méchant loup qu'on lui prête.

* Lauritzen, analyste en recherche de sondage et auteur du livre Poison by prescription - The AZT Story qui fait la démonstration que la fraude entourant la recherche, de l'acceptation du produit par le food and drug et de l'usage honteux de l'AZT. Ce médicament est inefficace et dangereux. De plus, il cause le cancer.

* La violente dénonciation de mensonge et de fraude dans le pratique officielle du traitement du sida. Patients, thérapeutes et journalistes blâmèrent l'establishment médical avec fureur au Congrès d'Amsterdam. Les "survivants" réclamaient le droit à la vérité et à la vie.

LE VIRUS BOUC ÉMISSAIRE

Comme on ne peut répondre des intentions des gens, on ne peut répondre à la question : pourquoi les autorités s'acharnent-elles à tuer les gens ? On peut toutefois, envisager les conséquences de la théorie du "V.I.H. seulement". Elles sont les suivantes :

1. On trouve enfin le coupable du sida, le virus V.I.H.
C'est bien plus pratique et payant de faire la guerre à un virus avec des médicaments que de régler les problèmes sociopolitiques de drogue, malnutrition, soumission, désespoir... et de stopper la vaccination et les médicaments.
De plus, en donnant le même nom au virus et à la maladie, on amenait une confusion totale permettant de les utiliser indifféremment l'un pour l'autre.

2. On trouve aussi des responsables de l'épidémie : les homosexuels. La terminologie "épidémie gay" passe mieux que "épidémie vaccinale". Ainsi, on tait les vaccins expérimentaux anti-hépatite B qu'ont reçus les groupes homosexuels ciblés avant de développer leur maladie, empêchant, par ce silence, qu'on puisse établir un lien de cause à effet.
De plus, on réduit ainsi le sida à une vulgaire M.T.S. (maladie transmise sexuellement), alors qu'il s'agit en réalité en réalité de plusieurs maladies résultant d'une déficience immunitaire.

3. On trouve le traitement : contre un virus, on donne un traitement antiviral, l'AZT, qui rapporte plusieurs centaines de millions de dollars à ses fabricants (682 $ millions en 1991)

4. On trouve la prévention : le safe-sex et ses condoms. On est puni par là où l'on a péché... la morale est sauve... et les vaccins aussi.

5. On trouve l'explication pour la disparition des peuples Afrique : la promiscuité cause la transmission sexuelle du virus qui diffuse la maladie et fait mourir tout le monde. C'est certes plus commode comme réponse que d'avouer que la Banque Mondiale les appauvrit et que l'Unicef les vaccine...

6. On trouve un test de dépistage extrêmement lucratif. A un point tel que la France et les U.S.A. se sont battus pendant quelques années pour savoir qui des deux encaisseraient les royalties .

7. On trouve un tout nouveau sujet de recherche dans lequel on engloutit des milliards de dollars. Mais on cherche quoi, au fait ? Imaginons la réponse... un VACCIN antisida ! Un vaccin pour combattre les virus d'autres vaccins !

8. On trouve un nouvel outils efficace et subtil d'éradication de la population surtout chez les pauvres et les non-blancs. Cette politique n'est pas exclusive aux pays surpeuplés du Tiers-Monde. Elle s'applique également aux pays industrialisés. Dans son programme Agenda for the Eighties, la Commission Trilatérale (gouvernement mondial) a convenu que la population souhaitable, pour les U.S.A., serait de 100 millions de personnes...

9. On trouve une façon de limiter les droit à la vie privée des personnes. Sous prétexte que "le bien public l'exige", on divulgue les noms des personnes séropositives (en parfaite santé) et malades d'une ou plusieurs maladies du sida. On les déclare, on les fiche et... qu'en fera-t-on?... Les études de "séroprévalence", pour utiliser des termes épidémiologiques, constituent un viol des droits fondamentaux de la personne et ouvrent la porte toute grande à une autre forme de génocide ou d'exclusion "d'indésirables". Comme par hasard, ce sont les noirs et les pauvres qui sont le plus atteints...

L'origine du rétrovirus V.I.H.

Le V.I.H. fut officiellement "découvert " en 1983.
Or, certaines personnes se sont penchées sur cette question et ont fait d'étonnantes découvertes qui es ont amenées à conclure que le V.I.H. était une pure création de laboratoire et non la découverte d'un virus déjà existant.

1. En 1982, Robert Harris et Jeremy Paxman publiaient un livre intitulé A Higher Form Of Killing - The Secret Story Of Chemical And Biological Warfare sur les secrets de la guerre biologique et chimique. Ils y dénonçaient des expérimentations humaines secrètes conduites par l'armée et la C.I.A. pendant les années 1950. Ils révélaient aussi les travaux faits au département de guerre biologique de l'armée à Fort Detrik.

2. En 1985, Robert Strecker, médecin gastro-entérologue et docteur en pharmacologie, a conclu que le sida avait été délibérément provoqué - soit volontairement soit involontairement - par le biais des essais de vaccination contre l'hépatite B sur les homosexuels. Il est également convaincu que le continent africain a été contaminé de la même façon, au moment des campagnes de vaccination contre la variole, pour étudier, à la demande de l'O.M.S., les effets de certaines bactéries et de certains virus. Il explique que le V.I.H. ne peut venir de la nature, tant il est différent des autres virus connus. Il serait le résultat d'un clonage de virus d'animaux qui, inoculé chez l'humain, a provoqué une nouvelle maladie.

Strecker a rédigé une plaquette, Bio-Attack , et réalisé une vidéo.

3. En 1987, Alan Cantwell Jr. médecin dermatologue et chercheur, arrive sensiblement aux mêmes conclusions dans son livre AIDS And The Doctors Of Death.

4. En 1987, Rolande Girard, journaliste, parle des armes ethniques dans son livre: Tristes chimères.

EN 1987, L'O.M.S. DÉCLARAIT OFFICIELLEMENT QUE
"LE V.I.H. EST UN VIRUS NATUREL
D'ORIGINE GÉOGRAPHIQUE INCONNUE".

5. En 1992, Eva Lee Snead, médecin holistique et chercheuse écrit deux volumes intitulés Some Call It AIDS.. I Call It Murder - The Connection Between Cancer, AIDS, Immunizations, And Genocide. Elle rétablit la ressemblance des syndromes cliniques du V.I.H. , et ceux du SV 40 des singes verts d'Afrique. On a retrouvé du SV 40 chez certains individus. La seule façon dont un humain peut attraper du SV 40 de singe, c'est par ingestion (en mangeant sa viande) ou en se le faisant inoculer en même temps qu'un vaccin. On a également retrouvé ce même SV 40 dans le vaccin Sabin contre la polio ("la soupe de singe" Sabin ) avec lequel on a vacciné des millions d'enfants pendant des années. Or on a constaté que le SV 40 cause des anomalies congénitales, des leucémies, des cancers, une grave immunosupression : des symptômes semblables à ceux du sida. Le Dr. Snead a montré les relations existant entre les LEUCÉMIES, le SV 40 et le sida. Pour elle, le sida n'est qu'une forme de leucémie.
Elle démontre la responsabilité des vaccins dans l'apparition du sida et dans l'accroissement des leucémies et des cancers.

LA SAGA DU SIDA

Pour la suivre, rappelons ici quelques dates.

1952. Réunion à huit clos à Ottawa de chercheurs américains, britanniques et canadiens sur les rétrovirus.

1959. L'O.M.S. dénonce les dangers de l'utilisation des vaccins fabriqués à partir du matériel biologique des singes.

1960. L'O.M.S. signale la présence, dans les vaccins, de virus inattendus et indésirables.

1960. On identifie la présence du virus SV 40 dans les cultures de cellules du singe vert d'Afrique et on prend conscience que LE SV 40 ÉTAIT PRÉSENT DANS LA PLUPART DES VACCINS ANTIPOLIO A VIRUS VIVANTS FABRIQUES AVANT CETTE DATE.

1961. La vaccination par virus vivant commence.

1963. On signale un virus tumorigène (qui cause des tumeurs) provenant d'un singe.

1963. On rapporte que le nombre de leucémies a augmenté dans les états où le vaccin antipolio contenant le SV 40 a été administré.

1963. Début, à Fort Detrick, d'un programme de recherche biologiques patronné par la C.I.A. (Central Intelligence Agency) et la U.S.Army . Fort Detrick, dans le Maryland, est rattaché à l'Institut National du Cancer (N.C.I. - National Cancer Institute), situé à Bethesda, tout près de Washington, la capitale.

1964. Découverte de la présence de virus SV 40 chez des enfants préalablement vaccinés contre la polio par le vaccin Sabin.

1964. Constatation que les virus de vaccins (à virus vivants) donnent des maladies malignes. LES PROBLEMES SUIVANTS SE MANIFESTAIENT DE PLUS EN PLUS DANS LA POPULATION :
1. déficiences du système immunitaire ;
2. anomalies congénitales ;
3. leucémies ;
4. maladies malignes chez les jeunes enfants.

1968 Les virologues américains installent leur matériel sophistiqué au Za re.

1969 Nixon annonce son intention de suspendre la fabrication des armes biologiques et de faire détruire les anciens stocks.

1969 Début d'une forte relance de la recherche sur le cancer. Les rétrovirus sont à l'honneur car on sait qu'ils causent des cancers chez les animaux. Pourquoi pas aussi chez les hommes ? On réussit rapidement à cultiver ces rétrovirus sur la cellule humaine. On sait cancériser des cellules humaines. On sait fabriquer le cancer.

1970 L'O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé) et le N.I.H. (National Institute of Health ) décident d'injecter des virus et des bactéries à des enfants, à l'occasion de campagnes de vaccinations, pour mener une étude.

1971 Démonstration que le SV 40 cancérise les cellules de souris.

1972 L'O.M.S. transforme l'étude de 1970 en une étude sur les virus qui provoquent un affaiblissement de la fonction immunitaire.

1973 Berg et autres grands de la biochimie exposent les principes généraux d'une nouvelle science : l'ingénierie génétique est née.

1973 Isolation d'un nouveau rétrovirus : le BVV (virus du visna bovin).

1974 On réussit la transmission héréditaire d'un gène étranger.

1975 Galo, chercheur américain, annonce la découverte du HTLV et déclare que ce virus déclenchait des leucémies dans certains groupes de population.

1977 Premiers cas d'immunodéficience acquise chez une femme médecin d'Afrique, puis nombreux cas chez les Noirs, les Haïtiens, les drogués, les hémophiles.

1978 Vaccination contre l'hépatite B des homosexuels de New York.

1980 Vaccination contre l'hépatite B des homosexuels dans cinq autres villes américaines.

1980 Apparition de cas de pus en plus nombreux d'immunodéficience qui n'entraient dans aucun cadre préexistant.

1981 Début officiel de l'épidémie du sida.

1983 Découverte officielle d'un rétrovirus que l'on tient responsable du sida. On l'appelle du même nom que la maladie : V.I.H., c'est-à-dire Virus d'Immunodéficience Humaine.

1992 "MALGRÉ LES DIX ANNÉES DE LA RECHERCHE A PLUS INTENSE ET LA PLUS COUTEUSE QUI AIT JAMAIS ÉTÉ FAITE SUR UNE MEME MALADIE, NOUS NE FAISONS QUE COMMENCER A RÉALISER COMBIEN PEU NOUS SAVONS SUR LE SIDA. L'ASPECT LE PUS INQUIÉTANT DE CETTE CONSTATATION, C'EST LA POSSIBILITÉ QUE NOTRE IGNORANCE RÉSULTE EN GRANDE PARTIE DE LA FOI TROP GRANDE QUE NOUS AVONS ACCORDÉE A LA THÉORIE DU V.I.H., ET DE L'ATTENTION INSUFFISANTE QUE NOUS AVONS PRETEE A SA CRITIQUE. DE PLUS CHAQUE ANNÉE VOIT SE RENFORCER CEUX QUI PROCLAMENT QUE LE V.I.H. SEUL NE PEUT CAUSER LE SIDA, ET QUE, PAR CONSÉQUENT, LE CONTROLE DU SIDA DOIT PORTER SUR AUTRE CHOSE QUE LES VACCINS, LES MÉDICAMENTS ET LES POLITIQUES PUBLIQUES VISANT LE V.I.H.".
- Robert Root-Bernstein, biochimiste et immunologiste, professeur de physiologie, Université du Michigan

Extrait de"La Mafia Médicale" de Guylaine Lanctot.
Editions voici la clef. Voir bibliographie.


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