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SIDA: Prédiction qui se vérifie elle-même ?


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Essai-Partie I.

SIDA

« Prédiction qui se vérifie delle-même »

Préavis

Je nai pas le prétention de détenir une quelconque vérité à ce sujet et je nai pas peur davouer quil y a même certains concepts que je ne maîtrises pas dans les détails. Cette intervention a pour but de mettre en évidence une certaine « construction du Sida» sur le plan cognitif. Jespère que vous me pardonnerer mes manques et que vous me corrigerer de façon à ce que je puisses complèter cette démarche.

Introduction

« Tout ressemble à un clou pour qui ne possède qu'un marteau. »

Abraham Maslow

La démarche scientifique consiste à poser une hypothèse pour expliquer un phénomène, puis ensuite à la vérifier par toute une série dexpérimentations. Très peu de gens ont jusquà présent remis en cause cette démarche. Pour Paul Watzlawick, psychologue américain de lécole de Palo Alto, il existe un phénomène quil nomme des « prédictions qui se vérifient delle-même.», cest-à-dire que tout ce que nous faisons pour vérifier ou éviter une chose que nous supposons, la provoque. Ce phénomène népargne en rien la démarche scientifique qui fonctionne exclusivement sur ce modèle de prédiction-vérification. Au bout du compte, il sagit de savoir si le résultat dexpérimentations qui prouvent la véracité dune hypothèse nest pas le fait de nos interventions. Autrement dit, de notre aptitude à créer le phénomène prédit, dans lintime conviction que cette reproduction est tout à fait identique au phénomène initiale.

Contexte générale

« La double vue perdue »

La tableau qui suit exprime de façon très basique sur le plan logique et chronologique les étapes de la construction du concept de SIDA. Lintérêt de ce tableau cest de voir comment les scientifiques ont fait pour savoir, à priori, que ce phénomène était du à un virus. Il mets en parralèle la thèse officielle et dissidente pour comprendre comment certaines déductions, qui naurait pas du se faire, se sont faites à partir dune hypothèse initiale, qui a plongés les deux clans dans une situation que lon qualifie d« indécidable » en logique, et qui, se traduit aujourdhui sur le plan éthique par la conclusion suivante :

« Il est aussi immoral de laisser mourir des personnes séropositives du sida que dadministrer des traitements toxiques amenants des personnes saines à la mort.»

En science, le principe fondamental qui permet de faire des liens de causes à effet sur leffet de nos interventions cest le protocole du double aveugle, qui consiste à administrer des placebos à un groupe témoin et un véritable traitement à lautre groupe. Hors à lépoque, lorsque lon a découvert les premiers cas de sida, cest une situation durgence qui a immédiatement été décrétée sur la base de lhypothèse virale.

Nous sommes au temps O - celui de la découverte.

Ce qui a amené à penser quil sagissait dun virus cest très probablement une phénomène de communication. A ce titre, je nhésiterais pas à citer Coluche ; « Le Sida est médiatiquement transmissible. » Si lon y réfléchi bien rétroactivement à ce qui sest passé, ce que lon a dénombré à lépoque et qui a mis les chercheurs sur la piste virale, cest le nombre de cas de SIDA dit déclarés sur un temps relativement court ! Nest-ce pas étrange quun virus qui mets 10 ans en moyenne pour être actif, selon les conceptions actuelles, soit soudainement activé en moins de deux ans simultanément chez plusieurs personnes ? au point que des chercheurs qualifie cela de « phénomène émergeant», Ce qui explique cela sur le plan cognitif, et ce de façon bien moins mystérieuse, cest simplement que ce phénomène était déjà présent et cette épidémie virale de lépoque, nest en fait que le reflet du fait davoir communiqué une observation qui sest vue confirmée à plusieurs endroit du globe par plusieurs personnes.

Néanmoins cette hypothèse a eu pour conséquences que toutes les personnes testées positives au virus que lon présuppose être la cause du sida se sont vus administrer différents traitements. Ce qui fait quaujourdhui, il nexiste absolument aucun groupe témoin nayant jamais pris de traitement. Le principe du double aveugle na absolument pas été respecté, ce qui est aisément compréhensible sur le plan éthique, si lon admet lhypothèse virale. Il nen reste pas moins que ce fait, du point dune authentique connaissance scientifique, est une grave erreur de méthodologie. La réalité cest que nous ignorons, dans le cadre détudes contrôlées, la durée de vie dune personne séropositive nayant jamais pris de traitement. Le fait que les études réalisées avec des groupes témoins se déroulent sur de courtes périodes ne permets pas dimputer la rallonge de la durée de vie dune personne séropositive aux traitements, puisque celle-ci est inconnue justement à cause des taitements, qui sont pris dès quun effet positif à été mis en évidence.

Ceci qui nous devait nous rendre le don de double vue, nous a effectivement rendu doublement aveugle : officiels et dissidents.

Sil est exclu que les premiers cas de Sida soient dus aux traitements contre le vih, il nest par contre pas exclus quils soient du à lusage de drogue. Etrangement les groupes chez lesquels le SIDA, et non le vih, a été mis en évidence sont les drogués et les homosexuels hommes consommateurs de poppers, qui sont dailleurs toujours catégoriser aujourdhui comme « groupes à risques ». Cest seulement par lhypothèse virale que le « SIDA » sest étendu à toutes les couches de la société. Les tests de séropositivité au VIH, effectuer sur des personnes parfaitement saines, les ont simplement déterminés à mourrir du SIDA dans les prochaines années, sils ne prennaient pas de traitement.

Cest sur dernier point que la prédiction qui se vérifie elle-même sétablit : « Si les premiers cas de sida étaient dus aux drogues, les suivants ont simplement été la conséquence de une hypothèse virale qui nécessitait également ladministration dautres drogue, sur des personnes saines. »

Comment lhypothèse pilote linterprétation des faits

et la mise en place de nos interventions.

Tableau I

(pas réuissi à intégrer image)

Pour suivre les déductions qui ont été peut-être faites, il faut bien garder à lesprit quau début nous sommes face une personne malade dont nous ignore complétement la cause, quil faut déterminer.

Temps 1 de la recherche

Nous sommes face à la personne malade. La communication dune observation porte notre attention sur une cause virale plutôt que sur une forme dintoxication à long terme. Par conséquent nous rattachons cette maladie à une déficience immutaire, comme la plupart des maladies. Nous faisons des investigations plus poussées dans ce sens et trouvons des anti-corps, non-répertoriés, dans le sang du malade du sida. Nous concluons que la personne est peut-être malade à cause de cette réponse immunitaire.

Temps 2 de la recherche

Il faut vérifier en comparant avec des personnes saines que cette réponse nexiste pas chez elles. Que trouvons-nous ? Quil y a chez les personnes saines autant des gens qui ont cette réponse et dautres qui ne lont pas. De là que peut-on déduire ?

Temps 3 de la recherche

Deux interprétations différentes

Si une personne parfaitement saine la et lautre malade la aussi : nous pouvons déduire soit que la personne saine va devenir malade ou soit que cette réponse na aucun lien avec la maladie puisquune personne saine la et lautre malade ne la pas.

Quelque soit le nombre de personne dans qui ont cette réponse ou ne lont pas, cela ne permet pas détablir la signification de celle-ci. Si tous les malades lont, en quoi, sur 10 personnes saines, cela détermine-t-il quil vont tomber malade ou pas, si 9 lont et 1 ne la pas ?

(Par contre si une personne malade ne la pas, cela confirme que cela na aucun lien.)

Nous sommes logiquement dans une position « indécidable ». Alors quest-ce qui a décidé ?

Temps 4 de la recherche

Ce qui dans une telle position indécidable a vraiment décider cest le contexte dans lequel la recherche de la cause du sida a eu lieue, cest-à-dire celui de la virologie elle-même.

Puisque la recherche de la cause a été faites dans ce contexte, il est normale quun fait indécidable, non-déterminé, se colore du contexte de la virologie telle quelle est existait et soit alors déterminé par celui-ci: cest-à-dire que les virus sont des choses qui se transmettent, puis provoque des maladies si le corps ne se défends pas, etc.

Puisque que le Sida est devenu le fait de leur recherche, par limpression dune épidémie au temps 0 de la découverte, ils doivent conclure à une progression de la maladie : négatif - transmission - séropositif - Sida déclaré. Le concept Sida tel que nous le connaissons prend forme.

Mais la viriologie se heurte à de sérieux problèmes entre la théorie et les faits. Ordinairement une réaction positive montre que le corps sest correctement défendu. Ils leur faut absolument expliquer cela du fait que la personne en meurt quand même. Un nouveau chaînons conceptuel vient alors sintégrer entre la réaction positive et la mort: celui de mutation.

Cest par cette explication que le sens des tests est renversé pour la première fois dans lhistoire de la virologie par rapport à tout ses autres tests. Le HIV devient un virus spécial.

Pour suivre lautre interprétation, celle prise par la dissidence, il aurait fallu quun autre context de recherche soit mis en place.

A suivre......

PS : Le tableau est disponible par e-mail : wardege@bluewin.ch

amicalement

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Intéressant, qui aurait des ref sur l'affirmation "Il faut vérifier en comparant avec des personnes saines que cette réponse nexiste pas chez elles. Que trouvons-nous ? Quil y a chez les personnes saines autant des gens qui ont cette réponse et dautres qui ne lont pas. " y 'a t'il des travaux le montrant avec les prélevements sanguins (parce que les anticorps anti hiv croisant avec des protéines intracellulaires ça soulève un doute mais pas plus).

Quant au "Mais la viriologie se heurte à de sérieux problèmes entre la théorie et les faits. Ordinairement une réaction positive montre que le corps sest correctement défendu. Ils leur faut absolument expliquer cela du fait que la personne en meurt quand même. Un nouveau chaînons conceptuel vient alors sintégrer entre la réaction positive et la mort: celui de mutation." pas du tout d'accord, encore une fois c'est pas parce qu'on détecte une réponse immunitaire type anticorps par exemple qu'on est protégé, le corps se défend mais ça peut ne pas être suffisant. D'autre part la mutation est un phénomène naturel, on mute tous mais c'est l'environnement et avec quoi on est en contact qui modifie le taux de mutation ou qui les sélectionnent, ce n'est pas le VIh qui a fait apparaitre cette notion.

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Bonjour,

Nico111, merci de ta contribution je vais pouvoir nuancer mes propos sur les choses que je ne connais pas dans les détails comme je l'ai mentionner. C'est le but de ce "post".

Pour la première partie de ton intervention:

J'ai fais une erreur de taille avec un seul mot: j'ai mis autant ! alors que je ne voulais pas mettre de proportion, puisqu'il s'agit ici de cognition ou comment ont-ils fait pour savoir que cette réponse était liée au sida. Ce que je tente de démontrer c'est qu'ils ne peuvaient pas le savoir, même en comparant.

donc ne cherche pas des références, le but c'est pas de montrer qui a mis cela en évidence mais comment ont-ils fait pour mettre en évidence le lien anti-corp vih-sida ! Pourquoi cette démarche `? parce que si sur un plan logique il y a pas de moyen de départager sur un plan purement comparatif, ils n'ont simplement jamais pu mettre en évidence et toutes les études prétendant démontrer cela sont "arbitraire".

Pour le seconde partie, ok ce n'est pas le vih qui a fait apparitre cette notion, je corrgerais.

Néamoins dans l'optique cognitive, c'est justement le contexte qui va décide de l'explication.

Le texte va être corrigé il est plein de bavure d'expression et de fautes d'orth.

A+

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Invité Ganaëlle

Salut à tous,

J'aimerais vous raconter l'histoire d'une pauvre jeune femme. Elle n'avait pas contractée le virus du sida mais son vécut ressemble étrangement à tout ce charabia de sida.

Voilà :

Admise à l'hopital, des hématologues lui ont fait passé des tests biens spécifiques ayant trait à une coagulopathie tres tres rare. La jeune femme fuit placée en étroite surveillance durant l'administration d'une transfusion de plasma. Les infirmieres étaient en pose !!! Lorsque la patiente alla demander de l'aide. Ensuite un code d'urgence fut lancé : la jeune patiente était sous un choc anaphylactique !!!

Deux semaines de convalescence et les spécialistes n'arrivaient toujours pas à stabiliser les éléments sanguins. J'explique : un jour les globules rouges étaient tres basses et le lendemain au tour des blancs. Les plaquettes sanguines normalement à 325, 000 se sont abaissées à 50, 000 !!!!

etc. etc.

Du pus et irritations dans les vaisseaux sanguins et tout le reste !!!

Un cas à ne pas savoir quoi faire et tres problématique.

Suite à de nombreuses autres interventions du genre et à plusieurs chirurgies ( 8 au total ) les spécialistes n'ont jamais pu comprendre le mécanisme de coagulation de cette jeune femme.

Un cas unique au Canada et peut-etre meme en Amérique.

Pourtant, cette patiente a survécu et plus tard elle a été soumise à des tests d 'allergie au plasma...

Résultat : négatif et aucune réaction allergique légere ou choc anaphylactique !!!

Bizarre.

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Invité Ganaëlle

Suite -

En fait les hématologues, allergistes, etc. ne savent meme pas comment nommer sa maladie.

L'hémophilie est masculine, mais maintenant ils disent qu'elle peut etre aussi féminine.

Et les élements sanguins qui se promenent de haut en bas !!!

Aucun ne peut se prononcer sur un diagnostique officiel.

Exactement comme le sida. C'est un fourre-tout ou l'on met plusieures maladies en les regroupant sous le nom de HIv et sida.

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Ma remarque était plus générale qu'autre chose !

Quant au "cest-à-dire que tout ce que nous faisons pour vérifier ou éviter une chose que nous supposons, la provoque." je dirais juste "haaaaaa si c'était vrai je serais bien content !!!!!!" parce que je peux vous dire que ce n'est pas comme ça tous les jours !!! (vaut mieux sinon les scientifiques ne diraient que des conneries, dèjà que ce n'est pas tout le temps terrible !)

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La démarche scientifique consiste à poser une hypothèse pour expliquer un phénomène, puis ensuite à la vérifier par toute une série d’expérimentations. Très peu de gens ont jusqu’à présent remis en cause cette démarche. Pour Paul Watzlawick, psychologue américain de l’école de Palo Alto, il existe un phénomène qu’il nomme des « prédictions qui se vérifient d’elle-même.», c’est-à-dire que tout ce que nous faisons pour vérifier ou éviter une chose que nous supposons, la provoque. Ce phénomène n’épargne en rien la démarche scientifique qui fonctionne exclusivement sur ce modèle de prédiction-vérification. Au bout du compte, il s’agit de savoir si le résultat d’expérimentations qui prouvent la véracité d’une hypothèse n’est pas le fait de nos interventions. Autrement dit, de notre aptitude à créer le phénomène prédit, dans l’intime conviction que cette reproduction est tout à fait identique au phénomène initiale.
Ce phénomène n’épargne en rien la démarche scientifique qui fonctionne exclusivement sur ce modèle de prédiction-vérification

Non seulement ce phénoméne n'épargne pas la démarche scientifique ....mais je dirais même que la démarche scientifique ne peut pas y échapper.

Tous les bouddhistes et tous les observateurs "objectifs" constatent et admettent la loi d'interdépendance.

Cette loi nous dit qu'il n'existe pas dans l'univers de "manifestations" isolés des autres...en tout cas s'il en existaient nous ne pourrions pas , par définitions en prendre conscience.

La conséquence directe de cette loi c'est qu'il existe toujours un chemin pour aller d'un phénoméne à un autre....et que finalement il existe toujours une possibilité pour démontrer tout ce que l'on veut.

En fin de compte la démarche scientifique n'est qu'un jeux de l'esprit , et le résultat de cette démarche aussi interêssante et respectable qu'elle soit , ne peut en aucun cas prétendre de façon catégorique décrire la réalité....alors que bien souvent elle ne décrit même pas les apparences.

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Re Nico111,

Oui, bon j'ai fais une généralisation abusive en employant le mot "tout". Je sens qu'avec toi je vais m'arrêter sur le détail. En effet j'aurais du mettre parfois. Néanmoins c'est plus souvent le cas que nous le croyons.

Quant au scientifique je ne supposais pas que par ce principe ils disaient "que des conneries", la prédiction qui se vérifie c'est une aussi création d'un phénènome réelle, rendu possible grâce à la réalité et par la réalité, mais qui n'aurait jamais existé autrement dans la réalité sans intervention humaine. Ce qui signifie qu'il ne s'agit pas d'une connaissance de la réalité: c'est plutôt la pertinence de l'assemblage expérimentale qui va détermine si l'hypothèse peut devenir réelle. C'est un fait crée par la technique ! voilé pour cette notion.

J'arrive pas corriger mon premier textes, je trouve pas le bouton édition.

Amicalement.

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Le bouton d'édition disparait au bout de quelques minutes.

Quant au scientifique je ne supposais pas que par ce principe ils disaient "que des conneries", la prédiction qui se vérifie c'est une aussi création d'un phénènome réelle, rendu possible grâce à la réalité et par la réalité, mais qui n'aurait jamais existé autrement dans la réalité sans intervention humaine. Ce qui signifie qu'il ne s'agit pas d'une connaissance de la réalité: c'est plutôt la pertinence de l'assemblage expérimentale qui va détermine si l'hypothèse peut devenir réelle. C'est un fait crée par la technique ! voilé pour cette notion.

Sans vouloir être désagréable , je dirais que tu fais des "observations" sur la feuille en oubliant que celle ci , par son pétiole s'accroche à la brindille , qui s'accroche à la branche , qui s'accroche au tronc , qui s'enracine dans la terre , qui tourne autour du soleil , au confins de la voie lactée , dans l'espace intergalactique , dans le mystére du monde , etc .....

On peut faire cela , pourquoi pas....aprés tout , c'est exactement ce que font les scientifiques.

Et moi je vais aller dormir....et tu sais pourquoi ?

Parce que j'en ai envie .

Allez , bonsoir !

sic,

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Sicnarfa,

"Sans vouloir être désagréable , je dirais que tu fais des "observations" sur la feuille en oubliant que celle ci , par son pétiole s'accroche à la brindille , qui s'accroche à la branche , qui s'accroche au tronc , qui s'enracine dans la terre , qui tourne autour du soleil , au confins de la voie lactée , dans l'espace intergalactique , dans le mystére du monde , etc ....."

Parce que tu crois que toi, tu perçois ton lien à la brindille , qui s'accroche à la branche , qui s'accroche au tronc , qui s'enracine dans la terre , qui tourne autour du soleil , au confins de la voie lactée , dans l'espace intergalactique , dans le mystére du monde, en essayant même pas de connaître leur relations ?

Je ne faits pas QUE des « observations sur la feuille » : où as-tu vu que je ramenais sans cesse des références qui font référence à dautres références puis encore à dautres. ? Nulle part. Je me suis contenté de réfléchir de façon logique à partir de faits très généraux qui été ont été rapportés. Ce, parce que tout comme toi, je ne peux que me baser sur le récits des gens que je ne suis pas et des lieux où je nétais pas. Si jétais aussi méfiant que toi envers le récit des autres, je serais exactement comme toi ; laxiste et rongé par un doute existentiel.

Je crois que tu nas pas du tout compris ma démarche : je tentais de savoir comment concrétètement, et non sur la feuille, les scientifiques ont fait a priori le lien entre létat du malade et une chose aussi microscopique que cette anti-corps.

Parce quici on ne cesse de répéter dun côté qu: « Il nexiste pas de document scientifique qui prouve que le vih soit la cause du sida » et de lautre ont ne cesse pas de donner des dizaines de références qui le prouve.

Alors moi je dis : « COMMENT ONT-ILS FAITS POUR LE DEMONTRER"

Je remets la correction de mon texte et je me retire de ce forum. Jen ai assez des gens dont la critique nest finalement jamais constrcutive.

Oui - je préfère vivre dans la construction où les choses prennent du sens, tout en sachant le faire, que dans une profonde méditation où les choses nont plus de sens, parce quelles sont juste perçue un tout interdépedant dont on ne distingue même plus leur relation.

Bye

Modifié par Psyence
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psience,

tout d'abord une petite remarque : restons cool.

ensuite, selon ce que j'ai pu lire des publications des années 1984 et suivantes, il y a correlation certaine entre baisse des taux de lymphocytes TH1 et apparition progressive de maladies opportunistes de type PCP...

il y a également correlation entre cette apparition de maladies opportunistes, et celles de protéines contre lesquelles le corps crée des anticorps.

Tout part de l'hypothèse : s'il y a création d'anticorps, c'est que ces protéines sont du "non-soi", c'est-à-dire exogènes, c-a-d codées par un ARN exogène.

La seconde hypothèse de l'époque est que cet ARN ne peut apparaître que lorsque l'organisme est en contact avec une entité "semivivante" qu'on appelle un virus.

Cependant, on sait tous maintenant qu'il existe des maladies autoimmunes et alloimmunes qui se transmettent par le sang, et qui sont dues à l'expression de gènes "dormants" dans l'ADN humain sous l'intervention d'un stress externe. On a d'ailleurs retrouvé une partie importante des gènes du vih dans les parties inutilisées du génôme humain (je m'exprime un peu mal ici, Nico pourra me corriger)

A l'époque, les choses étaient moins claires qu'aujourd'hui, mais effectivement, on est parti sur les rails du vih, et maintenant, le train n'a plus d'aiguillages qui lui permettraient de revenir au départ.

Faire exploser la voie n'arrange rien du tout non plus. Il faut ralentir et remonter doucement tout l'échevau des milliers d'expériences qui ont été faites et petit à petit retrouver la véritable trame de cette maladie.

En ce qui concerne les prédictions épidémiologiques des années 80, le moins qu'on puisse dire est qu'elles ont été complètement à côté de la plaque : par exemple, extinction de la race humaine en Afrique, alors que c'est le continent dont la croissance est la plus forte.

Alors on bricole, et en Afrique c'est facile, vu la faible fiabilité des chiffres, et puis, si une population augmente de trop au dire des agences de recensement nationales, on dire : "oui, mais là-bas, vous savez, ils en sont encore à l'âge de pierre des statistiques" (je l'ai entendu).

Les bras m'en tombent quand je vois ce racisme latent qui parcourt notre société.

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Cheminot,

Tout d'abord, je serais calme avec les gens qui s'interresse au contenu de la discussion, si c'est pour critiquer la personne par ce qu'elle tente de faire, je n'hésiterais pas à me soulever: sois-en certains !

Maintenant, pour ce qui est des détails aux niveaux biologiques, j'ai beaucoups de manques à ce niveau, je le reconnais c'est pas vraiment mon domaine.

Par contre, ceci ne m'empêche pas d'essayer de comprendre comment l'on a donner ce sens là, à certaines observations, plutôt que celui-ci.

"Cela veut dire que" - "parce que"

Maintenant pour avoir survolés vos discussions, tes interventions sont très pointilleuses, peut-être que tu tu sais exactement où tu en es dans la décortication: mais c'est pas le cas de tous le monde.

Ce que j'ai fais par ce texte: j'ai fais des recoupement entre des faits d'ordres généraux pour donner un repère global.

"Tout part de l'hypothèse : s'il y a création d'anticorps, c'est que ces protéines sont du "non-soi", c'est-à-dire exogènes, c-a-d codées par un ARN exogène."

Voilà ce que j'appel le context de la virologie, mais moi ce qui m'intéresse c'est ce qui a permis de dire "Le sida est lià à cet anti-corps là." a priori. Car expliquer ce lien par des baisses ou des hausses du taux de ceci ou cela, ne permet pas toujours d'établir la signification de ces variables;

J'ai lu par exemple sur le site d'aixur( mark-griffith) selon les divers témoignages, que la relation entre le taux de CD4 et l'état de la personne n'était pas très significatif. Ainsi avec un taux bas l'on pouvait être en bonne santé, contrairment à ce qui est communément admis: ceci étant expliquer par le fait que ces cellules T4 se retiraient dans des ganglions etc. A-t-on fait ces prélévements ?

Je vais donner une autre interprétation abusive de cela:

- Si le rôle de CD4 est une réponse immunitaire, ne pourrions pas interpréter leur absence de deux façons:

"Pas de CD4 = pas de réponse immunitaire = pas d'infection"

"Pas de CD4 = pas de réponse immunitaire = danger d'infection"

Les CD4 sont-ils envoyé ou crée lorsqu'il a besoin d'une réponse ou pas ? Cet aspect du système immunitaire est-il une constante ?

Voilà le type de question que je me pose: qu'est-ce qui décide d'une signification des variables ?

La correction de mon textes est ci-dessous:

Je reprends des faits très généraux, non pour faire exploser la voie, comme tu dis, mais pour les ordonner un peu.

Amicalement

Modifié par Psyence
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CORRECTION DU PREMIER TEXTES AVEC RAJOUTS

SIDA

« Prédiction qui se vérifie delle-même »

Préavis

Je nai pas le prétention de détenir une quelconque vérité à ce sujet et je nai pas peur davouer quil y a même certains concepts que je ne maîtrises pas dans les détails. Cette intervention a pour but de mettre en évidence une certaine « construction du Sida» sur le plan cognitif. Jespère que vous me pardonnerez mes manques et que me corrigerez de façon à ce que je puisse compléter cette démarche.

Introduction

« Tout ressemble à un clou pour qui ne possède qu'un marteau. »

Abraham Maslow

La démarche scientifique pour expliquer un phénomène consiste à poser une hypothèse puis à la vérifier par toute une série dexpérimentations. Très peu de gens ont jusquà présent remis en cause la valeur de cette démarche. Pour Paul Watzlawick, psychologue américain de lécole de Palo Alto, il existe un phénomène quil nomme « prédiction qui se vérifie delle-même », cest-à-dire que parfois ce que nous faisons pour vérifier ou éviter une chose que nous supposons, la provoque. Ce phénomène népargne en rien la démarche scientifique qui fonctionne exclusivement sur ce modèle de prédiction-vérification. Ce quil sagit de savoir exactement ici, cest si les résultats d expérimentations qui prouvent la véracité dune hypothèse sont le fait de nos interventions ou pas. Autrement dit, de notre aptitude à créer involontairement ce que nous prédisons, de sorte que cela se réalise dans lintime conviction quil sagit du bien phénomène lui-même.

Contexte générale

« La double vue perdue »

Le texte qui suit exprime sur le plan cognitif, de façon logique et chronologique, les étapes de la construction du concept de SIDA. Lintérêt de ceci c'est d'imaginer comment les scientifiques ont fait pour savoir, à priori, que ce phénomène était dû à un virus. Il met en parallèle la thèse officielle et dissidente pour comprendre comment certaines déductions, qui nont pas pu se faire, se sont faites à partir dune hypothèse initiale, dont la conséquence est de maintenir aujourdhui les deux clans dans une situation que lon qualifie dindécidable en logique, et qui, se traduit sur le plan éthique par la conclusion suivante :

« Il est aussi immoral de laisser mourir des personnes séropositives du sida que dadministrer des traitements toxiques amenants des personnes saines à la mort.»

En science, le principe fondamental qui permet détablir une relation de cause à effet et de quantifier la pertinence de nos interventions cest le protocole du double aveugle. Cela consiste à administrer des placebos à un groupe témoin et un véritable traitement à lautre groupe. Lorsque les premiers cas de sida furent découverts à lépoque, cest sur la base dune hypothèse virale quune situation durgence a immédiatement été décrétée.

Nous sommes au :

Temps 0

Celui de la découverte.

« Le Sida est médiatiquement transmissible. »

Coluche.

En premier lieu quest-ce qui a bien pu amené à penser quil sagissait dun virus plutôt quautre chose ? Il doit très probablement sagir dun phénomène de communication. En réfléchissant à ce qui sest passé, ce que lon a dénombré à lépoque cest des cas de SIDA et non de HIV-positif. Nest-ce pas étrange quun virus qui mettrait 5 à 10 ans pour se déclarer, selon les estimations actuelles, mène soudainement et simultanément plusieurs personnes à la mort dès 1983 ? Ceci au point que des chercheurs parlent de « phénomène émergeant. »

Ce qui explique cela sur le plan cognitif, et ce de façon bien moins mystérieuse, cest simplement que ce phénomène était déjà plus ou moins présent, mais que nous lignorions. Le fait davoir communiqué à plusieurs personnes au travers le monde, une observation qui sest trouvée confirmée par beaucoup, a très certainement créé lillusion dune épidémie, dont seul un virus est capable. Néanmoins cela ninfirme pas pour autant la présence de ces cas de sida. Si à cette époque il est exclu que les premiers cas de Sida puissent être attribués aux traitements contre le VIH, il nest par contre pas exclus quils soient dus à lusage de drogues. Si lon admet cette autre hypothèse qui exclut la cause virale, compte tenu de lespérance de vie moyenne, qui est actuellement estimés entre 7 à 10 ans pour une personne séropositive qui prend des traitements chimiques, il nous faut revenir à peu près en 1970. Hors à cette époque, le slogan contre-culturel post-hippies était « Sexe, drogue et rock and nroll. » Ceci peut tout à fait expliquer pourquoi environ 10 ans plus tard, des cas de sida deviennent subitement apparents. Puisque nous sommes pratiquement certains que ce n'est pas à cause du rock-n-'roll, il subsiste toujours une indécision entre le sexe et la drogue.

Néanmoins cest lhypothèse virale qui retenus notre attention, très certainement par un phénomène existant mais émergeant à la conscience, puis répandu par phénomène de communication.

La principale conséquence est létat durgence qui a été décrété suite à cette hypothèse. Le dépistage dun virus chez les malades du sida a donné naissance aux tests. Toutes les personnes testées positives au virus que lon présuppose être la cause du sida, même si elles sont en bonne santé, se sont vues administrer différents traitements chimiques.

Le résultat de cette action durgence est quaujourdhui il nexiste absolument aucun groupe témoin de personnes séropositives nayant jamais pris de traitement. Le principe du double aveugle na absolument pas été respecté. Ce qui est aisément compréhensible sur le plan éthique si lon admet lhypothèse virale nen reste pas moins du point de vue dune authentique connaissance scientifique, une grave erreur de méthodologie.

La réalité est que nous ignorons, dans le cadre détudes contrôlées, la durée de vie dune personne séropositive nayant jamais pris de traitement. Le fait que les études réalisées avec des groupes témoins se déroulent sur de courtes périodes ne permets pas dimputer la rallonge de la durée de vie aux traitements, puisque celle-ci est précisément inconnue à cause des taitements, qui sont pris dès quun effet positif à été mis en évidence.

Ceci qui nous devait nous rendre le don de double vue, nous a effectivement rendu doublement aveugle : officiels et dissidents.

Les groupes de personnes chez lesquels le SIDA, et non le vih, a été mis en évidence dès le départ sont les drogués et les homosexuels hommes, consommateurs de poppers. Dailleurs aujourdhui ils sont toujours considérés comme des « groupes à risques », alors que le « SIDA » sest pourtant étendu à toutes les couches de la société et ce simplement du fait que les tests de séropositivité au VIH, effectuer sur des personnes parfaitement saines, les déterminent à mourir du SIDA dans les prochaines années sils ne prennent pas de traitement.

Cest sur ce dernier point que la prédiction qui se vérifie elle-même sétablit :

« Si les premiers cas de sida étaient dus aux drogues, les suivants, sont simplement la conséquence de cette hypothèse virale qui nécessite dadministrer dautres drogues, à des personnes autrement en parfaite santé. »

Comment lhypothèse pilote linterprétation des faits

et la mise en place de nos interventions.

Ici la question qui est soulevée, cest celle de savoir :

« Comment a-t-on fait pour déterminer le lien entre les anti-corps lié au VIH et létat de SIDA déclaré »

Pour suivre les possibilités de déductions qui peuvent être faites, à priori, il faut bien garder à lesprit quau début nous sommes face une personne malade (niveau macroscopique) et que nous devons déterminer la cause de sa maladie (niveau microscopique)

Temps 1

de la recherche

Nous sommes face à la personne malade. La communication dune observation porte notre attention sur une cause virale plutôt que sur une forme dintoxication à long terme.

Par conséquent, nous rattachons cette maladie à une déficience immutaire, comme la plupart des maladies dont lorigine est virale. Ainsi nous définissons lensemble des maladies concernées qui sont associées à une défaillance immunitaire, comme pouvant faire partie du sida. ( ?) Nous faisons des investigations plus poussées dans ce sens et trouvons des anti-corps non-répertoriés dans le sang des malades du sida. Nous concluons que la personne est peut-être malade à cause de cette réponse immunitaire.

Temps 2

de la recherche

Comment peut-on vérifier que cela est bien la cause de létat du malade et pas autre chose ? Nous navons pas dautres choix que de comparer avec des personnes saines, si elles ont également cet anticorps. Que trouvons-nous ? Quil y a chez les personnes saines, des gens qui ont cet anticorps et dautre qui ne lont pas !

De là que peut-on déduire ?

Temps 3

de la recherche

Deux interprétations différentes :

Si une personne parfaitement saine et lautre malade ont cet anticorps en commun, nous pouvons déduire :

A - soit que la personne saine va devenir malade.

B - soit que cet anticorps na aucun lien avec la maladie puisquune personne parfaitement saine la aussi.

Dautre part, quelles que soient les proportions de personnes saines qui ont cet anticorps ou ne lont pas par rapport aux personnes malades, ne permets pas détablir le sens de sa présence en rapport avec le Sida. Si tous les malades lont, en quoi, sur 10 personnes saines, cela détermine-t-il quils vont tomber malade ou non si 9 lont et 1 ne la pas ? Ici la quantification ne permet en aucun cas de décider si cest linterprétation A ou B qui est la bonne. Il ny a pas de causalité proprement dit, mais seulement corrélation.

Il y a donc que deux façons de savoir quelle interprétation est, à priori, la bonne :

1 - Trouver des personnes mortes ou atteintes dune des maladies comprises dans la définition du sida sans la présence de cet anticorps-là.

Cela sest vraisemblablement déjà produit, mais puisque ce qui fait la spécificité du sida cest quil sagit dun ensemble de maladies « opportunistes » déjà connues, mais qui ont pour hypothétique cause commune la présence du HIV, ce type de cas ne sera pas pris en considération. Autrement dit la personne ne sera techniquement pas morte du sida.

2 - Ne pas intervenir sur les personnes qui ont cet anticorps pour voir sils deviennent malades du sida au bout dun certain temps.

Cela ne sest officiellement jamais produit à cause de la situation durgence que cette hypothèse à elle-même provoqué. Les personnes saines dont a détecté la présence du VIH, participants aux études et divers données ont toutes fini par prendre un traitement. Autrement dit, nous incapable de savoir si les personnes mortes du sida, le sont à cause de traitement et drogue, ou du passage dune séropositivité à un un sida déclaré.

Linaccessibilité à ces deux moyens de savoir nous plongés dans une position « indécidable ». Mais alors quest-ce qui a décidé de linterprétation A plutôt que la B ?

Temps 4

de la recherche

Ce qui dans une telle position indécidable a vraiment fait pencher la balance pour linterprétation A cest le contexte dans lequel la recherche sur la cause du sida a eu lieue, cest-à-dire celui de la virologie elle-même.

Il est alors normal que lorsquune chose ne puisse pas être arbitrée par les faits eux-mêmes, cela soit le contexte de la discipline qui le fasse, en déterminant ainsi linterprétation et lordre des choses grâce à ses propres concepts.

Et puisque que le Sida est devenu exclusivement le fait de leur recherche, par limpression dune épidémie au temps 0 de la découverte, ils concluent forcément à une progression typique de la maladie : - négatif - transmission - séropositif puis Sida déclaré.

Ainsi la virologie a statué en fonction delle-même pour linterprétation A, sans aucun autre point de comparaison logique et clinique réaliste, cest-à-dire de façon complètement arbitraire.

Généralement dans le cas de tous les autres tests, la positivité associée à un bon état de santé signifie que le corps a pu se défendre contre un virus. Mais pour le HIV cest nest pas le cas, lon ne considère pas quun test positif associé à un bon état de santé soit bon signe, tout au contraire cela signifie que lon devrait passer au stade du SIDA dici quelques années. Le concept de mutation, déjà existant en virologie, explique très bien comment cela est possible : - il fait un lien magique entre un test positif associée à un état de bonne santé et la mort dans des conditions tout à fait opposées.

Le HIV devient un virus à part.

1 ère CONCLUSION :

Ce que jessaie de démontrer ici cest quen réalité, sur un plan purement épistémologique, la théorie officielle sur le SIDA serait une hypothèse sans fondement véritablement scientifique. Je ne lai pas montré de façon scientifique avec des concepts de biologies, mais plutôt de façon logique et pragmatique, en essayant de la confronter à ses propres critères de base, cest-à-dire :

« Expliquer un phénomène (théorie, mécanisme) reproductible (culture, isolation) et à partir de cette explication déduire des applications pratique dont on peut prévoir les effets. (traitement)»

Comment ont-ils fait pour démontrer la causalité VIH-SIDA en respectant la démarche scientifique de base qui est la suivante :

Pour le démontrer, il ny a que trois types de démonstrations :

1-technique.(microscopique : biologie, virologie, tests.)

2-clinique. (macroscopique : clinique, épidémiologie )

3-logique. (hypo-déductif) : méthodologie, épistémologie.)

1 - En démontrant tous le développement, le mécanisme daction du virus jusquà la mort. Ceci cest précisément lobjet de la recherche actuelle qui va déterminer un traitement qui évitera à la personne de mourir du sida. Nous en mourrons toujours malgré les traitements actuels : -ce qui signifie que la preuve de la causalité na pas été démontrée sur ce plan.

Lapplication pratique prouvant la théorie est inexistante.

2 - En démontrant que les personnes saines porteuses du VIH mourraient au bout dun certain temps sans prendre de traitements. Cela na jamais été démontré pour dévidentes raisons éthiques. Le fait que toutes les personnes séropositives qui sont mortes du sida prenaient des traitements ne permets pas de dire si cest imputable au VIH ou au traitement. Les personnes qui ne prennent pas de traitement ne participe pas aux études et données : - il ny a que des témoignages.

Le principe de double aveugle est on-respecté.

3 - En démontrant sur le plan cognitif, comment ils sont arrivés à conclure logiquement que le VIH avait bien une relation avec le Sida, sur la base de prélèvements et de comparaisons entre personnes saines et malades. Hors nous avons vu que laxiome qui pouvait linfirmer ou le confirmer était rejeté par la définition même du sida et quen labsence de celui-ci, il était impossible de tirer une conclusion hypo-déductive correcte qui puisse départager les deux interprétations possibles. Dautant plus quaucun autre recoupement a pu être fait avec le plan clinique. Sur ce plan également le lien de causalité na pas pu être démontré.

Le choix de linterprétation est arbitraire.

IMPLICATION

La conséquence de cela cest que toutes les études qui prétendent avoir démontrer la causalité entre le VIH et le Sida doivent justifier comment elle ont fait pour pouvoir le démontrer de façon scientifique.

FIN.

Modifié par Psyence
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(Psyence @ Jeudi 08 Septembre 2005, 07:41)

]

Parce que tu crois que toi, tu perçois ton lien à la brindille ......

Cher Psyence .....je vais par respect pour toi te donner une occasion supplémentaire d'exprimer tes humeurs ...cela est trés bon pour la santé.

Quand une personne se met en colére au cours d'un débat purement théorique , c'est qu'en fait elle est plus en quête d'explication ( dans le sens de : raisonnement) que de compréhension .

C'est une quête affective ... une quête de sens ...pas une quête de vérité .

D'ailleurs tu le dis toi-même .

Cela ne pose pas de probléme , si tout au long du voyage , on en vient pas à oublier le pourquoi .

Pour ce qui est de la perception de mon lien avec la brindille...ne te fait pas de soucis , car :... et la brindille , et la branche , et ..., et...., et...., ce sont chargés dés les premiers jours de mon existence , de me faire prendre conscience de leurs propres existences.

Toutefois s'il n'est pas forcemment bon de s'addonner à la colére , il l'est encore moins de s'exposer à celle des autres...ainsi je te promets de ne plus t'importuner sur ce topic.

Amitiés ,

sic,

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Sicnarfa,

"Quand une personne se met en colére au cours d'un débat purement théorique , c'est qu'en fait elle est plus en quête d'explication ( dans le sens de : raisonnement) que de compréhension ."

Parce que pour toi le raisonnement ne participe pas à la compréhension ?

Etrange pour une personne comme toi qui semble partager la vision boudhiste de l'interdépendance.

Hormis l'intuition en tant que compréhension spontanée, c'est plutôt lorsqu'une personne est en quête d'une compréhension qu'elle cherche des explications ! et lorsqu'elle a compris qu'elle explique.

"C'est une quête affective ... une quête de sens ...pas une quête de vérité . D'ailleurs tu le dis toi-même ."

Parce que la quête de sens se distingue de la quête de vérité ? Les choses ont un sens sans vérité pour toi ?

Ce n'est pas une quête personnel dont je parlais lorsque je parle de construction, mais collective.

Mon débat n'est pas que purement théorique, ils parlent de faits et de leurs sens, de leur rapport logique. Ce qui est en revanche est théorique c'est tout ces discours qui justement plongent dans le détails a en oublier le pourquoi, comme tu l'as dit très justement, tous ses discours qui ont oublier comment et pourquoi l'on a fait signifier une chose ainsi plutôt qu'autrement.

Bonne décision, car ta compréhension des ma démarche est à côté de sa réalité.

Modifié par Psyence
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