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Guérir le Sida!


Invité kisskat
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UN (TOUT) PETIT RESUME EN FRANCAIS DE CET INDISPENSABLE ARTICLE EN ANGLAIS (du Docteur Heinrich Kremer)

1) Il faut absolument se faire épauler par un praticien expérimenté dans l'administration de compléments alimentaires en vue de gérer la séropositivité et le sida.

Bon, OK, mais cela relève du voeu pieux vu que les quelques rares praticiens en cette matière, du moins de ce côté de l'Atlantique, se trouvent essentiellement en Allemagne !

A défaut, le mieux à faire est sans doute de se référer à un médecin nutritionniste, si possible orthomoléculaire.

2) Il est en principe possible de surmonter un sida avéré en recourant aux compléments alimentaires (mais franchement, ce n'est pas donné !). Et si vraiment c'est l'extrême urgence, une question de vie ou de mort, les drogues dites "antirétrovirales" ne doivent être consommées que pour un temps extrêmement limité (et encore, il faut vraiment mieux l'éviter dans la mesure du possible), et en tout état de cause, la thérapie compensatrice naturelle doit être entamée en même temps (et de toute façon, aucune "thérapie" préventive genre "Bactrim" pour prévenir par exemple d'éventuelles pneumocystoses), déjà pour compenser les effets destructeurs des drogues dites "antirétrovirales".

Les grandes lignes directrices de cette thérapie d'urgence (puisqu'on est alors en plein sida déclaré) sont les suivantes :

- Durant les deux à quatre premières semaines, 5 grammes de glutathion (ceci étant, on a pourtant vu que cela n'était pas terriblement efficace) et 10 à 30 grammes de NAC doivent être pris chaque jour simultanément (en cas d'extrême urgence, on administrera du glutathion par voie intraveineuse).

- Après ces deux à quatres premières semaines, il faudra prendre 5 à 10 grammes par jour de NAC, et ce pendant 6 mois.

- On complétera tout cela avec de la glutamine.

Pour autant que ce traitement soit fait sous la supervision d'experts en la matière, qui pourront l'adapter au cas par cas, ces traitements produiront de bien meilleurs et plus efficaces effets que les drogues dites "antirétrovirales", et bien entendu avec bien moins d'effets secondaires.

3) Les polyphénols sont absolument indispensables pour traiter le sida. On les retrouve dans la sylimarine (qui fait également augmenter le niveau de glutathion), et la curcumine entre autres. Ceci étant, le nec plus ultra paraît bien être le Padma 28, qui est également très efficace pour lutter contre l'hépatite C (et B).

4) Il faut se méfier d'un excès d'acide arachidonique, un oméga 6, qui favorise les inflammations et donc le sida. L'excès de cet acide arachidonique va favoriser un excès de TH2 au détriment des TH1, et donc le sida.

Il ne faut donc pas trop consommer d'oméga 6. En revanche, une consommation accrue d'oméga 3 (tout particulièrement les huiles de poisson) favorisera les TH1, et donc amoindrira les risques de sida (voir aussi ici).

On voit donc ici tout l'intérêt d'inclure dans son bilan nutritionnel un bilan de son statut en acides gras.

5) L'intérêt fondamental de l'acide alpha-lipoïque est réaffirmé, lequel protège les mitochondries et recycle le gluatathion oxydé.

Ceci étant, comme précisé au milieu de ce post, il semble que l'acide naturel R-alpha-lipoïque soit bien plus efficace encore.

6) On constate presque toujours chez les séropositifs un début de déficience en coenzyme Q10. Il est nécessaire d'y remédier dès que possible car cette déficience s'accroîtra avec le temps et contribuera fortement au déclenchement du sida, cette coenzyme jouant un rôle fondamental dans la production d'énergie cellulaire (et donc dans la prévention du sida).

D'où l'utilité de la mesurer dans un bilan nutritionnel.

Comme je l'ai lu dans d'autres articles, la coenzyme Q 10 serait trois fois mieux assimilée par l'organisme si elle prise sur support lipidique. Et vu son prix, c'est bon de le savoir !

7) La DHEA peut réduire les inflammations et faire régresser un état de sida (en conjonction avec tout ce qui précède, bien sûr).

8] Encore plus que tout ce qui précède (qui sont essentiellement des acides aminés), il faut manier avec la plus grande prudence encore la consommation de diverses vitamines et oligoéléments, tels que les vitamines A, C, E, les différents sous-types de vitamines B, le sélénium, zinc, cuivre, magnésium, ... Même si c'est loin d'être systématique ou même de constituer la majorité des cas, un mauvais usage de ceux-ci, et en particulier un surdosage, peuvent avoir des effets contre-productifs et même parfois accélérer l'évolution vers le sida !

9) En application directe du point 8] qui précède, il ne faut JAMAIS se supplémenter en fer (contrairement à ce qu'affirment de nombreuses campagnes publicitaires), SAUF s'il y a une carence avérée en fer dans l'organisme. Dans le cas contraire, la supplémentation en fer aura un effet immunodépressif (+ des tas d'autres dommages insoupçonnés à l'organisme)! D'où l'utilité d'inclure également dans son bilan nutritionnel une analyse de son statut en fer.

En revanche, en cas de carence avérée en fer, il faut y remédier par une supplémentation adéquate. Ceci étant, comme je l'ai lu en son temps dans un autre article, le seul bon fer à prendre en compléments alimentaires est le fer chelaté (et rien d'autre), semble-t-il.

10) De manière générale, j'ai déduit de la lecture de cet article :

- que la maniement des acides aminés et des flavonoïdes en général est bien moins périlleux que le maniement des vitamines et des oligoéléments,

- et que faire un bilan nutritionnel régulier constitue une réelle nécessité !

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  • 3 weeks later...
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Une petite campagne vient de commencer, suite à la dépêche de Destination Santé :

Selon le Dr Richard Beach un spécialiste du SIDA de la University Miami School of Medicine,

‘on ne peut jamais commencer à traiter un diabétique sans un régime alimentaire.

Je pense quil est absurde dessayer de traiter dune personne infectée par le VIH sans un bon régime alimentaire qui prenne en compte toutes les phases de la progression de la maladie (Positively Aware, Sept.1992).

iuhr.org Modifié par Liane
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L'alimentation n'est pas un remède miracle. Elle n'empêchera pas que l'on meure du SIDA. Mais elle peut aider les malades à vivre mieux, plus longtemps, et à rester productif.

Qu'est-ce que l'orthodoxie du sida en sait ?

En fait, l'orthodoxie du sida n'utilise pas l'alimentation comme moyen de guérir du sida mais bien comme moyen pour permettre aux sidéens nutritionnels de "tenir" jusqu'à ce que l'Etat africain en question arrive à gratter ses fonds de tiroir pour trouver les fonds nécessaires pour acquérir les si "bénéfiques" et surtout si coûteuses trithérapies. Vu la toxicité de celles-ci, il n'est pas étonnant que les sidéens nutritionnels finissent par mourir de ce qui est appelé "sida" "malgré" une bonne alimentation.

Car les témoignages ne manquent pas qui prouvent qu'une alimentation correcte, avec de bonnes mesures d'hygiène, permet de guérir du sida. En d'autres termes, lutter contre la manultrition et la pauvreté permet de guérir le sida nutritionnel, et non les drogues dites "antirétrovirales".

Que le lecteur lise par exemple les articles suivants pour s'en convaincre.

1) Tanzanie, région de la Kagera, épicentre du SIDA il y a 15 ans : Quen est-il aujourdhui ?

2) SIDA en Afrique. Une expérience de terrain en Tanzanie.

3) Le SIDA n'est pas une condamnation à mort.

Et l'orthodoxie du sida prétend encore que les tri"thérapies" sont la solution pour le sida nutritionnel ?

Tout simplement écoeurant ... et criminel !

Modifié par wallypat
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Bienfaits des antioxydants: un mythe?

9 août 2006 - Dans un article qu'il vient de publier, le magazine scientifique New Scientist met en doute l'efficacité et l'innocuité des antioxydants1 sous forme de suppléments.

L'auteure, une vulgarisatrice scientifique reconnue en Angleterre, remet en question l'hypothèse selon laquelle les substances antioxydantes que renferment certains aliments auraient des effets bénéfiques pour la santé. Biochimiste et immunologue, Lisa Melton laisse même entendre que les suppléments vendus comme antioxydants pourraient représenter un danger pour la santé.

Sans dévoiler de nouveaux résultats d'études, l'auteure fait plutôt un survol de certaines données choisies et en tire des conclusions. Interrogé à ce sujet, le pharmacien Jean-Yves Dionne juge ses conclusions pour le moins hâtives. « Les études auxquelles elle se réfère ne représentent pas la totalité du corpus scientifique portant sur les effets des antioxydants, dit-il. Les données qui en ressortent ne peuvent, à elles seules, amener à conclure que les antioxydants sont inefficaces ou dangereux pour la santé. »

Expert en produits de santé naturels, Jean-Yves Dionne fait remarquer que la vulgarisatrice scientifique ne cite que les études dont les résultats sont négatifs en négligeant celles qui ont obtenu des résultats positifs. « Ses conclusions sont donc, à mon avis, abusives et trompeuses. On peut d'ailleurs s'interroger sur les objectifs réels de la Fondation Novartis qui emploie l'auteure de cet article », laisse-t-il tomber. Lisa Melton travaille en effet pour une fondation caritative financée par Novartis, une multinationale pharmaceutique.

Les suppléments : oui ou non?

La popularité des antioxydants tient au fait que nombre d'études épidémiologiques ont démontré que les personnes qui consommaient une abondance de fruits et de légumes, qui en sont riches, étaient moins susceptibles de souffrir de diverses maladies attribuables au stress oxydatif : troubles cardiovasculaires, diabète, démence sénile, certains types de cancers, etc.

Cet engouement pour les antioxydants a donné lieu à une forte augmentation de la consommation de suppléments riches en vitamines et autres substances naturelles antioxydantes : vitamines E et C, bêta-carotène, lycopène, polyphénols, extraits de pépin de raisin, d'écorce de pin, de canneberge, de bleuet, de thé vert, etc. Ce secteur des produits de santé naturels a connu une croissance de 18 % l'an dernier, apprend-on dans l'article du New Scientist.

« Ce qui est certain, indique Jean-Yves Dionne, c'est que la consommation d'aliments riches en antioxydants est bénéfique pour la santé et que rien ne permet de supposer qu'il serait dangereux d'en abuser sauf, peut-être, dans le cas du bêta-carotène chez les fumeurs ayant déjà souffert d'un cancer. »

Selon lui, la communauté scientifique s'entend sur une chose : il vaut mieux bien s'alimenter plutôt que de prendre des pilules pour compenser de mauvais choix nutritionnels. « Les suppléments ne peuvent remplacer une bonne alimentation, affirme le pharmacien, mais ils peuvent certainement la compléter. »

Pierre Lefrançois - PasseportSanté.net

D'après NutraIngredients-USA.com.

1. Melton L. The antioxidant myth: a medical fairy tale, New Scientist, No 2563, Angleterre, 2006. [Consulté le 8 août 2006]. www.newscientist.com

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On peut d'ailleurs s'interroger sur les objectifs réels de la Fondation Novartis qui emploie l'auteure de cet article », laisse-t-il tomber. Lisa Melton travaille en effet pour une fondation caritative financée par Novartis, une multinationale pharmaceutique.

Evidemment, on comprend maintenant tout de suite la raison de cet article.

Il faut en effet savoir que les antioxydants, dont font partie les vitamines, ne sont pas brevetables. Les industries pharmaceutiques, qui produisent des tas de médicaments, dont les drogues dites "antirétrovirales" sont de véritables "blockbusters" générant des centaines de millions de dollars de bénéfice par an (si pas plus), n'ont donc aucun intérêt à ce que l'on sache que dans bon nombre de cas, le recours judicieux et adapté à des antioxydants, beaucoup moins coûteux et non brevetables, peut produire les mêmes effets, et généralement sans autant d'effets secondaires que les drogues chimiques de Big Pharma. En d'autres termes, celle-ci n'a qu'un seul intérêt : dénigrer encore et toujours l'utilité des antioxydants, car l'usage généralisé de ceux-ci fera fondre leurs bénéfices comme neige au soleil !

Remarquons que l'article en question est généraliste et ne vise pas spécifiquement le cas du sida. Donc, peut-être que sur certains (rares) points, certains reproches adressés à l'encontre des antioxydants pourraient être - partiellement - fondés, et encore. Mais en matière de sida, ce syndrome est directement lié au stress oxydatif et au statut antioxydant. Dès lors, plus que dans bien d'autres maladies, le recours aux antioxydants est plus que jamais justifié en matière de sida et nous avons déjà vu qu'il existe de nombreuses études scientifiques qui l'ont démontré à multiples reprises (et qui continuent à le démontrer).

En conclusion, la partie de cet article critiquant l'usage des antioxydants ne peut être considérée comme objective et n'a guère d'intérêt car émanant d'une journaliste se comportant en bonne porte-parole dévouée et servile de l'industrie pharmaceutique, laquelle a pour but de casser tout ce qui peut nuire à ces intérêts financiers. Et le cas des antioxydants non brevetables est un très bon exemple à cet égard !

Remarque : Il ne faut pas s'étonner de ne (quasiment) plus retrouver d'AZT dans les tri"thérapies". On en a déjà donné des raisons (entre autres : l'AZT est éminemment toxique). Mais il y en a aussi une autre : les brevets protégeant l'AZT ont expiré fin 2005 aux USA et début 2006 en Europe !

Modifié par wallypat
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Pour en revenir à l'alimentation / nutrition contre le " vih " :

Le PAM s'emmêle un peu les pinceaux entre " instruction sur le sida et alimentation contre le sida "

Mais c'est dit quand-même :

Le PAM et World Vision visent les écoles pour préserver les enfants du VIH/SIDA:

En doublant le nombre d'enfants qui bénéficient d'une alimentation scolaire, les deux organismes pourraient contribuer à réduire le nombre de nouvelles infections par le VIH, tout en faisant grandement avancer les efforts qui visent à scolariser 100 millions d'enfants pauvres souffrant de la faim.

...

"L'alimentation scolaire n'est qu'une composante des efforts visant à résoudre le problème du VIH/SIDA, mais elle est essentielle pour lutter contre la pandémie," a indiqué M. Morris. "Nous avons déjà des preuves qu'elle donne de bons résultats.

Programme Alimentaire Mondial

On dirait qu'il y en a qui essaient de faire leur boulot correctement, mais en se cachant derrière le prétexte " prévenir par l'instruction et l'alimentation permettra d'éviter le vih qui conduit aux trithérapies "

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Bienfaits des antioxydants: un mythe?

Lire cet article :

Les antioxydants, le cancer et les médias

dans lequel il est répété que :

Les antioxydants ne sont pas interchangeables.

La vitamine C ne remplace pas la vitamine E. Le sélénium ne remplace pas le zinc.

Un minimum de connaissances en biochimie suffit pour comprendre comment une molécule aide soit à neutraliser le produit dune réaction initiée par un autre antioxydant, soit à recycler un autre antioxydant.

En produisant de lénergie à partir des aliments que nous mangeons, nos cellules fabriquent un radical libre quon appelle superoxyde.

Il est pris en charge pour être neutralisé par une enzyme qui dépend de la présence de zinc et de cuivre (superoxyde dismutase).

En neutralisant le superoxyde, cette enzyme donne naissance à... un autre radical libre, le peroxyde dhydrogène (eau oxygénée), qui peut être très dangereux pour lorganisme.

Ce peroxyde dhydrogène est donc à son tour pris en charge par des enzymes qui dépendent de la présence de fer (catalase) et sélénium (glutathion peroxydase).

Autre exemple : la vitamine C, qui est notre première ligne de défense contre les radicaux libres, joue aussi un rôle crucial en régénérant un autre antioxydant, la vitamine E, après quelle a réagi avec des radicaux libres pour les neutraliser.

La leçon de ce petit ballet de biochimie, cest que les antioxydants ne sont pas interchangeables.

Cest pourquoi ils sont donnés en association.

Et c'est pourquoi les compléments d'antioxydants ne doivent pas se prendre n'importe comment, mais sous la supervision d'un pro.

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Bienfaits des antioxydants: un mythe?

Bonne nouvelle :

Compléments alimentaires, la France a enfin une réglementation :

Dix ans de condamnations

De nombreuses plaintes, faute du retard réglementaire français, se sont accumulées contre la France à propos des compléments alimentaires.

La France restreignait leur circulation et leur usage sous le prétexte que les substances en cause (dont la vitamine C) «présenteraient un risque pour la santé. »

Les autorités françaises ont pendant des années et encore récemment poursuivi en justice et réclamé des peines de prison contre des sociétés qui vendaient des compléments alimentaires, des magasins diététiques et même des consommateurs, en se réclamant dun texte réglementaire de 1912.

...

La France se met enfin au diapason de lEurope

Le 20 mars 2006, soit 6 mois après la condamnation européenne, la France prend enfin un décret relatif aux compléments alimentaires.

Elle reprend la même définition de complément alimentaire que la directive européenne en prévoyant toutes les formes possibles de présentation (gélules, pastilles, sachets de poudre ...).

Le décret français va même plus loin que la directive européenne en visant non seulement les vitamines et les minéraux mais aussi les substances à but nutritionnel ou physiologique autres que les vitamines et minéraux ainsi que les plantes et préparation de plantes. Un arrêté viendra fixer une liste des nutriments et substances autorisés.

Ces listes pourront être enrichies par un système dautorisation déclarative lorsque la substance, absente des listes françaises, sera vendue et légalement fabriquée dans un autre pays membre de la Communauté européenne ou de lEspace économique européen.

Cette autorisation est délivrée après un avis de lAgence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa).

La Nutrition.fr
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Une très intéressante étude scientifique parue il y a quelques jours : HIV treatment response and prognosis in Europe and North America in the first decade of highly active antiretroviral therapy: a collaborative analysis.

L'orthodoxie du sida ne cesse de faire de la publicité pour ses "antirétroviraux", toujours plus "efficaces".

Mais efficaces en quoi ?

Et bien, l'étude en question a analysé 22.217 séropositifs ayant commencé, entre 1995 et 2003, pour la première fois de leur vie un traitement dit "antirétroviral".

Leur conclusion est sans appel :

INTERPRETATION: Virological response after starting HAART improved over calendar years, but such improvement has not translated into a decrease in mortality.

Soit : la réponse "virologique" s'est améliorée en 10 ans (c'est-à-dire que la charge dite "virale" ne cesse de diminuer plus rapidement) MAIS le taux de mortalité n'a toujours pas baissé en 10 ans de traitements toujours plus "efficaces" !

Voilà qui laisse pour le moins songeur !

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Or ces derniers mettent tout particulièrement l'accent sur l'usage des polyphénols, des flavonoïdes et des tannins pour combattre le stress oxydatif et rétablir l'équilibre oxydo-réducteur.

Pour mieux comprendre encore pourquoi l'usage des polyphénols est si essentiel pour traiter le sida, le lecteur est invité à lire ce post-ci placé dans le topic "Le glutathion" ainsi que l'article scientifique auquel ce post fait référence.

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Attention également au niveau de sélénium, qui permet de constituer l'une des variantes du glutathion.

Il ressort de nombreuses études scientifiques qu'un niveau optimal de sélénium est absolument nécessaire pour combattre le sida.

Par exemple, il ressort de cette étude-ci datant de 2002 que les infections mycobactériennes des séropositifs (mais cela pourrait être également valable pour les séronégatifs, me semble-t-il) sont fort associées à une déficience en sélénium, tout en restant "pourtant" dans les échelles normales de référence !

Ainsi, dans l'étude en question (confirmant d'anciennes études), il a été constaté que les séropositifs qui ont moins de 135 microgrammes/litre de sélénium ont 13 fois plus de "chance" de développer des infections mycobactériennes !

Voilà qui me paraît très inquiétant car lorsque je relis mon bilan nutritionnel, l'échelle "normale" de référence est de 90 à 150 (mais cela change certainement un peu en fonction de l'âge et du sexe) ! Donc, si j'étais dans la moyenne "préconisée" (soit 120), j'aurais 13 fois plus de "chance" de faire des infections mycobactériennes !

J'ai vraiment tendance à croire que ces échelles de "référence" ont juste été établies pour éviter que les gens ne souffrent de maladies extrêmement graves ou même mortelles, mais n'ont pas été établies pour prévenir des maladies plus "bénignes".

Par ailleurs, lorsqu'un séropositif fait une infection à champignon quelconque (comme les fameuses infections à candida), il devrait donc et entre autres se poser la question de savoir si elle ne souffrirait pas ne fût-ce que d'une relative carence en sélénium (ce qui semble relativement courant dans la population en général). Si c'est bien le cas, une supplémentation en sélénium est certainement de nature à fortement remédier au problème.

Enfin, tout cela illustre la nécessité de faire un bilan nutritionnel approfondi régulièrement ! Même chez des séronégatifs aussi, à mon avis.

Modifié par wallypat
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Les dissidents du sida sont souvent accusés, mais à tort, de propager l'idée que les compléments alimentaires permettraient de lutter assez efficacement contre le sida, mais de ne pas avoir de références scientifiques (ou très peu) le démontrant.

Et bien nos détracteurs sont invités à lire par exemple cet article-ci datant de 2003 qui énumère une liste de très sérieuses références scientifiques pour différents compléments alimentaires (NAC, sélénium, vitamines A, B, C et E, Padma28, acide alpha-lipoïque, etc...) ayant montré leur utilité certaine pour lutter contre le sida.

Alors, ils diront que c'est loin d'être toujours efficace et qu'il faut parfois modifier la combinaison gagnante (un bilan nutritionnel régulier permettra justement de mieux la déterminer), ce à quoi je répondrai en précisant que les trithérapies sont également loin d'être "gagnantes". Qu'il suffise de lire ce post d'où il ressort entre autres que 26% des trithérapies échouent également et qu'il faut donc changer la combinaison "gagnante" des trithérapies.

Il y a toutefois une très grande différence entre les compléments alimentaires et les drogues dites "antirétrovirales" : les premiers sont généralement éminemment moins toxiques que les secondes !

Modifié par wallypat
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Wallypat,

t'inquiète!! $IDA bosse également sur ce sujet, mais de leur façon.

Poste de Magnus (de AFP):

* La faim empêche la guérison des malades

La faim facilite la transmission du virus et pousse femmes et adolescents à des relations sexuelles à risque. Elle pousse les hommes à migrer pour trouver du travail, ce qui répand la contamination et précarise les femmes. Dans les situations extrêmes, on voit se répandre l'usage de la prostitution et du "sexe transactionnel", a expliqué le Dr Gillespie. Les femmes y gagnent un peu d'argent pour nourrir les enfants, les filles et les garçons pour acheter les livres pour l'école.

Une personne mal nourrie sous thérapie antirétrovirale a six fois plus de chances de mourir qu'une autre, correctement nourrie, qui bénéficie du même traitement, montre une étude récente de l'Institut international de recherche sur la politique alimentaire (IFPRI). Non seulement la faim met en jeu les coûteux programmes de traitements dans ces pays, mais elle risque aussi de provoquer l'apparition de formes de résistance du virus aux médicaments actuellement employés.

Voilà, toujours le même entêtement, la même méthode, la spirale infernale d'une recherche qui n'arrête pas

son ridicule.

-- Quand le sage montre la lune, l'imbicile regarde le doigt --

Ciao

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J'en reviens brièvement aux polyphénols, dont le Padma 28 serait l'un des plus efficaces, si pas le plus efficace.

En effet, même l'orthodoxie du sida reconnaît dans des études scientifiques la réelle utilité, si pas nécessité, de l'utilisation des flavonoïdes pour lutter contre le "VIH".

Ainsi, par exemple, dans ce document-ci intitulé "Effets protecteurs de divers composés flavonoïdes sur linfection HIV" (allez à la page 78), on lit le résumé suivant :

Un large ensemble de preuves indique que les espèces d'oxygène réactives sont fortement impliquées dans la pathogénie de l'HIV. Dans les premiers stades de la maladie déjà, on observe de faibles niveaux plasmatiques d'antioxydants, qui continuent de diminuer au fur et à mesure de la progression de la maladie. De plus, plusieurs auteurs ont rapporté des niveaux sériques élevés de produits de peroxydation lipide dans le plasma de patients infectés par l'HIV.

Nous avons démontré récemment que divers antioxydants (dismutase superoxyde, tocophérol) bloquaient l'expression du sida in vitro et ex vivo. Nous avons aussi montré que les flavonoïdes et les composés polyphénols (éthyles férulique, gallique, caféique, férulate, gallate, curcumine et O-Tocophéryle succinyle O-éthyle de férulate) empêchaient jusqu'à 80% de la réplique du sida (infection sévère par le virus HIV-1 et transmission de l'HIV), bloquaient la lipoperoxydation des cellules et prévenaient la consommation de glutation cellulaire.

Sur la base de nos découvertes, on pourrait envisager une nouvelle

approche thérapeutique, fondée sur l'association de flavonoïdes ou d'autres destructeurs de radicaux libres avec des médicaments antiviraux. Cette polythérapie pourrait, si elle débutait assez tôt après l'infection, prolonger la période de latence et limiter l'émergence de souches virales résistantes aux médicaments. (Bulletin O.I.V., 2000, vol. 73, n° 837-838, pp. 811-818).

Et quand on examine cela, on se rend compte encore une fois que sous le prétexte du soi-disant "VIH", l'orthodoxie du sida ne fait qu'étudier ..... les mécanismes du stress oxydatif comme cause du sida !

Au sujet des polyphénols, flavonoïdes etc... dont le Padma 28 est très riche :

Une liste très complète d'aliments et de thés classés selon leur teneur en flavonoïdes, tirée d'un site orthodoxe de l'alimentation (en anglais)

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Bonjour,

Ci-dessous, un mail qui est passé sur une liste.

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Un article fondamental apporte un espoir dans les recherches sur le SIDA. Il vient de paraitre et met en evidence une clearance du virus par blocage d'une molécule PD-1.

C'est fondamental mais c'est majeur. Si cela se confirme c'est un espoir médical à moyen therme... Croisons les doigts!

Nat Med. 2006 Aug 20; [Epub ahead of print] Links

Upregulation of PD-1 expression on HIV-specific CD8 + T cells leads to reversible immune dysfunction.

Trautmann L,

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...%22%5BAuthor%5D

Janbazian L,

Chomont N,

Said EA,

Wang G,

Gimmig S,

Bessette B,

Boulassel MR,

Delwart E,

Sepulveda H,

Balderas RS,

Routy JP,

Haddad EK,

Sekaly RP. Laboratoire d'Immunologie, Centre de Recherche du Centre Hospitalier de l'Universite de Montreal (CR-CHUM) Saint-Luc, 264 Rene Levesque Est, Montreal, Quebec H2X1P1, Canada.

The engagement of programmed death 1 (PD-1) to its ligands, PD-L1 and PD-L2 1-4 , inhibits proliferation and cytokine production mediated by antibodies to CD3 (refs. 5-7). Blocking the PD-1-PD-L1 pathway in mice chronically infected with lymphocytic choriomeningitis virus restores the capacity of exhausted CD8 + T cells to undergo proliferation, cytokine production and cytotoxic activity and, consequently, results in reduced viral load 8 . During chronic HIV infection, HIV-specific CD8 + T cells are functionally impaired 9-11 , showing a reduced capacity to produce cytokines and effector molecules as well as an impaired capacity to proliferate 12-15 . Here, we found that PD-1 was upregulated on HIV-specific CD8 + T cells; PD-1expression levels were significantly correlated both with viral load and with the reduced capacity for cytokine production and proliferation of HIV-specific CD8 + T cells. Notably, cytomegalovirus (CMV)-specific CD8 + T cells from the same donors did not upregulate PD-1 and maintained the production of high levels of cytokines. Blocking PD-1 engagement to its ligand (PD-L1) enhanced the capacity of HIV-specific CD8 + T cells to survive and proliferate and led to an increased production of cytokines and cytotoxic molecules in response to cognate antigen. The accumulation of HIV-specific dysfunctional CD8 + T cells in the infected host could prevent the renewal of a functionally competent HIV-specific CD8 + repertoire.

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  • 2 weeks later...

...Il vient de paraitre et met en evidence une clearance du virus par blocage d'une molécule PD-1.
icon_confus.gif

Faut-il le répéter ?

01.09.2006,

RFI - Radio France International ( 44 millions dauditeurs réguliers dans le monde en 2005) - principalement financée par le ministère français des affaires étrangères :

Des taux sanguins en micronutriments (vitamines, minéraux, oligoéléments, acides aminés) particulièrement bas ont été relevés chez beaucoup de séropositifs ; ce déficit est associé par les scientifiques à une faiblesse immunitaire, à une progression plus rapide du sida, ainsi quà un taux plus élevé de mortalité.

De nombreuses études sont en cours.

On peut dores et déjà retenir les constatations suivantes :

daprès une vaste étude tanzanienne, une supplémentation en micronutriments variés a permis de réduire la mortalité maternelle par infections opportunistes ainsi que de diminuer le risque dévolution vers le sida en stade 4;

elle a aussi réduit le risque de diarrhée, de même que la mortalité prématurée des bébés de mères malades ;

prise seule, la vitamine A a réduit la mortalité dun groupe de bébés HIV-positifs, ainsi que la durée et la gravité des diarrhées qui les affectaient.

Le manque de zinc est associé à un taux bas de CD4.

Une étude a montré que les sujets ayant un faible taux sanguin de zinc étaient dix fois plus susceptibles de mourir.

Une alimentation bien pourvue en zinc et une supplémentation améliorent le système immunitaire :

la même étude a montré que le risque de mourir des suites du sida diminuait dun tiers pour chaque milligramme de zinc supplémentaire par jour et ce, indépendamment de la numérotation des CD4 ou de la thérapie anti-HIV en cours.

Le statut en potassium et magnésium est important aussi :

leur carence peut en outre aggraver les effets secondaires des antirétroviraux sur le cur et les reins.

Chez des bébés de mères HIV-positives, la carence en sélénium a été associé à un taux plus important de maladie et de mortalité.

Conclusion des chercheurs : « Un taux suffisant de sélénium pourrait être important dans la prévention de la mortalité infantile ».

Une autre recherche a permis de relever des niveaux très bas en vitamine C chez de jeunes adultes séropositifs. Conclusion : « Les besoins en vitamine C sont fortement accrus en cas de séropositivité et de sida ».

Au-delà de ces recherches ponctuelles, on sait que minéraux, vitamines, antioxydants fonctionnent en synergie, et que leur déficit aggrave toutes les infections.

Plusieurs travaux concluent donc à lintérêt dune supplémentation globale (alimentation et compléments) en micronutriments essentiels.

1-marteau.gif

Il n'y a qu'un médecin-nutrionniste ou orthomoléculaire qui saura faire un bilan complet des antioxydants dans le corps.

Modifié par Liane
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Un article fondamental apporte un espoir dans les recherches sur le SIDA. Il vient de paraitre et met en evidence une clearance du virus par blocage d'une molécule PD-1.

C'est fondamental mais c'est majeur. Si cela se confirme c'est un espoir médical à moyen therme... Croisons les doigts!*

* : c'est moi qui ai reproduit ce petit passage en gras.

Lire ce post, par exemple.

Modifié par wallypat
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  • 2 weeks later...

Bonne nouvelle :

Compléments alimentaires, la France a enfin une réglementation

Eh ben, je me demande à quoi ça sert.

Certains antioxydants ne sont plus remboursés par les assurances maladies en France depuis mars 2006 (date de la nouvelle réglementation) :

Soit : la réponse "virologique" s'est améliorée en 10 ans (c'est-à-dire que la charge dite "virale" ne cesse de diminuer plus rapidement) MAIS le taux de mortalité n'a toujours pas baissé en 10 ans de traitements toujours plus "efficaces" !
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Stress oxydatif et VIH

Les antioxydants qui dérouillent

`Paru dans...

Couverture du JDs

Cet article est paru dans le Journal du sida n°188 (septembre 2006)

Les antioxydants sont souvent un objet de discorde entre patients et médecins. La plupart des médecins n'y croient pas et surtout ne connaissent pas leurs actions et leurs doses. Beaucoup de patients les utilisent, non pas pour remplacer leur thérapie antivirale, mais pour diminuer les effets indésirables des traitements et contrer le « vieillissement accéléré » dû au VIH.

http://www.arcat-sante.org/167/Article_du_JDs&article_id=648

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Pas mal comme article!

Je suis peut être dépassé par les évènements mais deux passages dans cet article ont attiré mon attention:

L'infection à VIH entraîne une surabondance de RL, d'où un stress oxydatif (SO) aggravé. Le SO favorise la réplication du VIH et le virus, à son tour, épuise l'arsenal de défenses antioxydantes, d'où des carences de plus en plus graves en antioxydants. C'est le cercle vicieux infernal pour les mitochondries qui saturent et se ramollissent, aboutissant à un vieillissement accéléré du corps.

Encore je suis peut être dépassé par les événements, mais j'aimerai bien voir ce que pense Wallypat de ça.

Si j'ai bien compris le VIH est présenté comme un facteur sévère de stress oxydatif. c-à-d, c'est plutôt la séropositivité qui provoque un stress oxydatif aggravé, pas le contraire!!!

Intéressant!! Surtout que le Perth Group admet que des MST peuvent être à l'origine d'un stress oxydatif.

Alors qui, est la cause de qui?

Ciao

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