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maladies infectieuses ou intoxication?


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D'abord, on trouve cet ARN après avoir stimulé les cultures avec de la phytohemagglutinine (oxydant). Ensuite, les lymphocytes, ne font-ils pas partie des cellules qui sont au premier rang de la défense contre les substances étrangères?

Il ne faut pas confondre synthèse de nucléotides et celle de l'ARN à partir de l'ADN. Les désoxyribonucléotides isolés sont synthétisés à partir des ribonucléotides, mais la transcription se fait à partir de l'ADN vers l'ARN, en utilisant les secondes briques précitées. Par contre, l'ADN polymérase cellulaire a besoin des premières briques. Et si ces briques ne sont pas en nombre suffisant, la formation de nouvel ADN ne se fera pas.

Il serait intéressant de savoir quelles sont les substances utilisées dans les expériences de Monatgnier et Gallo, et en particulier savoir s'ils ont rajouté des "briques" telles que les désoxyribonucléotides pour que leur ARN primer (un oligo polyA) soit rétrotranscrit en ADN.

Modifié par Cheminot
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On stimule les T4 supposés infectés (phyto hémagglutinine etc...) ce qui entraine le "réveil " de l'ADN intégré du VIH dans le génome cellulaire et ensuite arn viraux et protéines et virus. Dans les contrôles négatifs tu n'a pas ces ARN viraux. De toute façon, l'expression d'ARN du vih suppose une intégration précédente en ADN à partir d'ARN libéré par le virus. dans le corps ce sont les antigènes qui font figures de stimulant et qui "réveillent " les T4 dont ceux infectés.

Les T4 organisent la défense mais ne sont pas responsable de la gestion des substances étrangères, cela fait appel à d'autres cellules comme les monocytes macrophages ou les cellules dendritiques qui présentent les antigènes. En plus les molécules toxiques peuvent avoir de fortes affinités pour autres choses : globules rouges, cellules graisseuses, foie avec les cytochromes détoxifiants etc...bref les T4 ne sont pas en premières lignes.

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Invité lateteatoto

Exos, pour info je suis labelisée positive vhc depuis 98.

Ce qui alors ne m'avait pas tellement étonné.

J'ai le foie fragile depuis l'enfance, et mon caractère limite Hamletien (le mélancholique - le bilieux -

la médecine de l'époque faisait un lien direct entre l'organe atteint ou dominant et le caractère de la personne), n'a pas limité à une époque mon acharnement à l'abimer.

Entre temps ou (depuis cette époque), la foi a pris le dessus, la foi dont je parle est cette nouvelle conscience qui peu à peu a changé et change jour après jour le regard ou la compréhension que l'on peut avoir sur les choses.

Disharmonie = atteinte de l'énergie = problèmes divers.

Pour l'heure, à noter depuis 98, une très légère activité des transaminases et encore pas toujours.

On m'a récemment invité à entreprendre le traitement pour 6 mois.

Je connais quelqu'un qui l'a suivi pendant une dure année, il ya 3 ou 4 ans et pour qui le "virus" n'est plus décelable.

J'en connais un autre positif hiv + vhc, qui il y exactement un an a commencé le traitement vhc après avoir entrepris le traitement hiv 6 mois auparavant. Non seulement il a failli y laisser son couple parce qu'il a dormi toute l'année, mais l'hiver dernier vraiment il m'a fait peur, il se trainait comme un petit vieux et ça c'était triste. Ce qui m'épate c'est qu'en plus ses médecins lui prescrivent du doliprane pour ses nombreux maux de tête!

J'en connais un troisième, bon vivant, bon buveur, qui a préféré décliner l'invitation au traitement pour cause de famille avec trois enfants pas bien vieux. Il consulte un phytotérapeute et un naturopathe du "mou" qui lui fait un massage foie-pancréas tous les mois, ce qui lui fait un bien fou.

Il travaille actuellement sur son hygiene de vie et d'alimentation et prépare son corps à un traitement phyto au long cours.

Des nouvelles dans quelques mois donc.

Voilà tout ça pour dire, qu'il ya des fois des foies malades (c'est un organe doué d'une incroyable puissance de régénération), qu'il y a tout de même des alternatives à une chimio plus ou moins expérimentale et quoiqu'il en soit incontournablement toxique pour lui.

Chacun reste bien sûr libre devant ces différents choix mais c'est plutôt bien d'avoir le choix. albator7k.gif3 - thermo.gif5-aureole.gif

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(Nico111 @ Mardi 27 Septembre 2005, 14:20)

On stimule les T4 supposés infectés (phyto hémagglutinine etc...) ce qui entraine le "réveil " de l'ADN intégré du VIH dans le génome cellulaire et ensuite arn viraux et protéines et virus. Dans les contrôles négatifs tu n'a pas ces ARN viraux. De toute façon, l'expression d'ARN du vih suppose une intégration précédente en ADN à partir d'ARN libéré par le virus. dans le corps ce sont les antigènes qui font figures de stimulant et qui "réveillent " les T4 dont ceux infectés.

Les T4 organisent la défense mais ne sont pas responsable de la gestion des substances étrangères, cela fait appel à d'autres cellules comme les monocytes macrophages ou les cellules dendritiques qui présentent les antigènes. En plus les molécules toxiques peuvent avoir de fortes affinités pour autres choses : globules rouges, cellules graisseuses, foie avec les cytochromes détoxifiants etc...bref les T4 ne sont pas en premières lignes.

Il est clair que ces ARN n'apparaissent pas dans les contrôles négatifs. En fait, selon Gallo lui-même, ils n'apparaissent que dans 30 à 40% des cas de personnes présentant les maladies opportunistes éligibles pour le sida.

L'hypothèse alternative est que l'ADN proviral fait en fait partie du génome humain (qui l'aurait rencontré il y a un million d'année, mais est-on bien sûr qu'il est exogène, ou bien est-ce simplement une hypothèse), et qu'il s'exprime dans le cas de la maladie, parce que c'est le stress oxydatif que supportent cet ADN qui est à l'origine de son expression.

A-t-on montré que les antigènes permettent l'expression de cet ADN? Ou est-ce une hypothèse?

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L'hypothèse alternative est que l'ADN proviral fait en fait partie du génome humain

On trouve de petit morceaux de séquences similaires (je ne sais pas le % d'homologie ) mais pas de génome complet comme celui le vih, en général les rétro transposons possèdent des séquences LTR qui leur permettent d'aller dans d'autres endroits du génome. ces LTR ont une relation avec celles de rétrovirus.

qui l'aurait rencontré il y a un million d'année,

Chez le singe on retrouve un virus proche mais non pathogène alors...

Est il exogène ? Ben si on ne croit pas en sa méthode d'isolement son isolement non.

A-t-on montré que les antigènes permettent l'expression de cet ADN? Ou est-ce une hypothèse?

Les voies d'activation des Lymphocytes par un antigène font intevenir des cascades qui sont identiques à celles nécessaires à l'activation du provirus (par la protéine virale TAT). Après dans les test in vitro je ne sais pas, il faudrait regarder dans pubmed. En utilisant des plasmides contenant le genome du vih en remplacant des gènes par un gène rapporteur on l'active dans les lymphocytes avec différents stimulants. La manip à faire pour répondre à ta question est trop lourde je pense (isoler les lymphocytes de patients infectés, les mettre avec des non infectés et pouvoir activer les lymphocytes avec les antigènes qui leur correspondent (faut savoir lequels) en passant par une cellule présentatrice de l'antigène !!!!!! Dur. Ou alors infecter ces lymphocytes de patients par un autre virus et voir si on produit du VIH mais en aura t on assez ? Bon je ne répond en fait pas très bien car il y tellement de données qu'il faudrait être dans la partie pour te donner un avis correct . Bref comme ça je ne peux pas vraiment te répondre mais il y a des arguments en faveur.

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en ce qui concerne la présence de séquences similaires au "vih" dans le génome humain, il semble que ce soit plus que quelques fragments, selon les Proceedings of the National Academy of Sciences :

http://www.cybersciences.com/cyber/3.0/n1538.asp

...

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c'est PNAS mais pas de réf , faut voir si on peut la trouver sans y passer des heures !!! Sinon il faut voir si les séquences sont similaires (le %) mais souvent on compare plus avec la "structure du génome", c'est à dire l'enchainement de séquences codant pour les LTR puis les proteines etc.... J'ai vu des expériences où ils identifient les sites d'insertion du vih et ensuite ils sequencent une partie mais bien sur ce n'est qu'une partie, je ne sais pas si ils font par exemple une PCR sur le génome pour amplifier et voir la taille obtenue qui devrait correspondre à celle de l'ARN entier du virus.

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  • 7 months later...

Bon, je tombe sur cet ancien sujet.

Quelqu'un pourrait-il me donner des liens, même en anglais, permettant de mieux analyser les deux points suivants.

1) Il semblerait que le virus de l'hépatite C n'aurait jamais été convenablement isolé (un peu comme le VIH donc). C'est ce qu'affirme l'article reproduit dans le premier post de ce topic.

Mais n'y aurait-il pas d'autres articles, même en anglais, qui approfondissent le sujet ?

Cela me paraît quand même suspect que le "virus" de l'hépatite C ait été isolé par la méthode PCR. Cela me semble un peu n'importe quoi, mais j'aimerais bien approfondir ce point.

2) Il apparaît de plus en plus que l'hépatite C serait en réalité causé par certaines formes de stress oxydatif. Ce ne serait donc pas un hasard qu'entre 30 à 40% des séropositifs au "VIH" deviennent ensuite séropositifs à l'"hépatite C", à supposer que ce dernier existe réellement.

Concernant le stress oxydatif comme cause de l'hépatite C, je n'ai de prime abord trouvé que cet article-ci qui le suggère : "Le glutathion est vital". Mais cet article ne dit pas en tant que tel que le stress oxydatif cause l'hépatite C mais précise que cela y contribue très fortement. Mais cet éventuel détournement de langage ne serait-il pas en réalité un moyen pour maintenir coûte que coûte l'hypothèse du virus comme cause de l'hépatite C ?

Bref, quelqu'un pourrait-il me communiquer des liens intéressants, même en anglais, où il serait précisé que le stress oxydatif serait également la cause de l'hépatite C ?

Merci.

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Identification of the Virus

During the ensuing 15 years, a large number of reports appeared claiming to have discovered the virus, a viral antigen, or a specific antibody associated with NANBH. None of these reports proved accurate. Nevertheless, many things were learned about the etiologic agent, the disease, and the epidemiology of NANBH. The agent was passed to chimpanzees (13,137). It was clearly shown that NANBH caused chronic infections, as would be predicted by the fact that it was frequently transmitted by blood transfusion from presumably chronic carriers. It was shown that NANBH could be a very serious disease that could result in chronic liver disease and cirrhosis, whereas the acute disease was often relatively mild compared with that of transfusion-associated hepatitis due to HBV (11). The pathology was described at both the light and electron microscopic levels (83,255). Several viral characteristics were also described using the chimpanzee model for the infectivity readout. It was shown that the virus could be inactivated by lipid solvents, suggesting that the virus was enveloped (98). The virus was also shown to be able to pass through a 50-nm filter (126). Thus, a picture of a small, enveloped virus emerged.

With the development during the 1980s of increasingly powerful and sensitive molecular biologic techniques, the detection of previously unrecognized infectious agents became possible. Using a large volume of plasma that had been collected over time from a chronically infected chimpanzee and that had a relatively high titer of infectious virus (40), a group of scientists at the Chiron Corporation, led by Michael Houghton, made a lambda phage complementary DNA (cDNA) expression library from the nucleic acid extracted from the plasma (64). This library was screened with serum from a patient with chronic NANBH as a likely source of antibody to the virus. They identified a clone termed 5-1-1 that expressed an antigen that was shown to be specific for NANBH. They were able to show that the origin of the clone was a single-stranded RNA molecule of about 10,000 nucleotides in length and that the RNA had one continuous long open reading frame (ORF). The expression product of clone 5-1-1 became the basis for the first serologic assay for antibody to the NANBH agent, which was now termed hepatitis C virus (HCV) (181). The specificity of the clone and the antibody assay was determined by testing sera from patients who had previously been used to transmit NANBH to chimpanzees, implicated blood donors, and transfusion recipients who developed NANBH. They found that at least 80% of patients with posttransfusion NANBH developed antibody to 5-1-1, and 58% of patients with chronic NANBH without a known exposure to blood had antibody. The 5-1-1 antigen remains a part of the commercial multiantigen test for HCV antibody in use today.

Later, sequence analysis of clones representing nearly the complete HCV genome showed that the virus most closely resembled the Flaviviridae. Since the discovery of HCV by the technology of modern molecular biology, many of the fine details of this virus have been determined, even though it still has not been grown to useful levels in vitro.

13. Alter HJ, Purcell RH, Holland PV, Popper H. Transmissible agent in non-A, non-B hepatitis. Lancet 1978;i:459-463.

137. Hollinger FB, Gitnick GL, Aach RD, et al. Non-A, non-B hepatitis transmission in chimpanzees: A project of the transfusion-transmitted viruses study group. Intervirology 1978;10:60-68.

40. Bradley DW, Maynard JE. Etiology and natural history of post-transfusion and enterically- transmitted non-A, non-B hepatitis. Semin Liver Dis 1986;6:56-66.

64. Choo QL, Kuo G, Weiner AJ, et al. Isolation of a cDNA clone derived from a blood-born non-A, non-B viral hepatitis genome. Science 1989;244:359-362.

181. Kuo G, Choo QL, Alter HJ, et al. An assay for circulating antibodies to a major etiologic virus of human non-A, non-B hepatitis. Science 1989;244:362-364.

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Bien ! Je viens de lire ceci :

Le virus de l’hépatite C se transmet quand le sang d’une personne contaminée entre en contact avec le sang d’une personne indemne. La majorité des patients sont contaminés par l’usage intraveineux de drogue (essentiellement héroïne) ou la transfusion de sang (ou de ses produits dérivés) avant 1992. En 1989 o­n a retrouvé une infection par le VHC chez 85% des transfusés, chez 60 - 80% d’hémophiles transfusés, 60 - 70% des maladies chroniques du foie avec une histoire de transfusion de sang et dans 50 - 70% des cas d’usage intraveineux de drogues.

Et aussi :

A part la transfusion, impliquée notamment lors des actes médicaux ou chirurgicaux lourds (transplantation, opération chirurgicale lourde, hémorragie...) et la toxicomanie, les autres modes de transmission de l’hépatite C sont : de la mère à l’enfant lors de l’accouchement (5% de risque), l’utilisation de matériel qui n’est pas stérile ou à usage unique lors des actes de mésothérapie, d’acupuncture, de piercing, de tatouage, de dermographie, de rasage ou lors du partage avec une personne malade de matériel de toilette coupant. La transmission sexuelle est très faible et survient essentiellement lors des saignements et des blessures des organes génitaux.

Il faut dire qu’actuellement, il est impossible de définir une cause précise dans un pourcentage important de cas (environ 20%).

Tout lire ici.

Dans le fond, quand quelqu'un ne s'est fait ni transfusé, ni opéré, ne se drogue pas, et qu'on considère que les rapports sexuels se sont faits sans présence de blessures (ça ce sent, que je sache), l'hépatite C proviendrait de quoi ?

On continue :

Dans 20% des cas, l’hépatite C guérit spontanément. Quand une personne est guérie, l’ARN du virus disparaît de son sang et les transaminases deviennent normales. Les anticorps anti-VHC peuvent baisser un peu mais ils restent présents pendant plusieurs dizaines d’années.

Comme par hasard, pour 20% de personnes, l'hépatite C est d'origine inconnue. Et pour 20% de personnes, l'hépatite C se guérit "spontanément"

SPONTANEMENT ! Mais c'est miraculeux ! Ca voudrait dire qu'il y a aussi des "faux-positifs" à l'hépatite C ou bien je n'y comprends rien du tout ? Mon toubib m'a toujours dit que l'hépatite C, ça se guérit difficilement et qu'il n'y a pas de vaccins.

Si l'existence de faux-positifs à l'hépatite C est probable, qu'est-ce qui les rends réactifs aux tests ? 20%, c'est énorme.

Et si nos gentils docteurs faisaient une petite enquête poussée avant de brandir l'interféron, la ribavirine et puis quoi encore ????

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Et quand j'ai fait mon test hiv, mon toubib m'a dit texto :

" par voies sexuelles, 0,3% de chances de contracter le hiv et 30% de contracter le vhc "

J'en ai marre de ce n'importe quoi. J'aimerai bien qu'un allopathe "non-agressif" vienne m'expliquer tout ça en CLAIR parce que pour la langue de bois, j'ai pas le décodeur.

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Degoutée !

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(Liane @ Dimanche 07 Mai 2006 à 00h54)
Le virus de l’hépatite C se transmet quand le sang d’une personne contaminée entre en contact avec le sang d’une personne indemne. La majorité des patients sont contaminés par l’usage intraveineux de drogue (essentiellement héroïne) ou la transfusion de sang (ou de ses produits dérivés) avant 1992. En 1989 o­n a retrouvé une infection par le VHC chez 85% des transfusés, chez 60 - 80% d’hémophiles transfusés, 60 - 70% des maladies chroniques du foie avec une histoire de transfusion de sang et dans 50 - 70% des cas d’usage intraveineux de drogues.

Tous ces cas me semblent parfaitement compatibles avec l'hypothèse du stress oxydatif comme cause REELLE de la soi-disant "hépatite C". Il s'agit en fait ici exactement des mêmes causes de séropositivité au "VIH" (+ également d'autres sources de stress oxydatif ne causant pas le sida proprement dit, ce qui explique que la soi-disant hépatite C ne frappe pas que les séropos au VIH mais bien une partie importante [2%] de la population en général, en particulier ceux un peu trop portés sur la boisson).

A mon avis, l'hépatite C traduit un stress oxydatif qui a touché plus particulièrement le foie.

Il faut dire qu’actuellement, il est impossible de définir une cause précise dans un pourcentage important de cas (environ 20%).
Dans le fond, quand quelqu'un ne s'est fait ni transfusé, ni opéré, ne se drogue pas, et qu'on considère que les rapports sexuels se sont faits sans présence de blessures (ça ce sent, que je sache), l'hépatite C proviendrait de quoi ?

Ils sont incapables de l'expliquer parce que l'orthodoxie de l'hépatite C part du dogme selon lequel l'hépatite C serait causé par un virus qui se transmet par le sang (toxicomanie intraveineuse et transfusion sanguine) et plus rarement lors de rapports sexuels non protégés avec risque de contamination via le sang du partenaire. Or si on pense plutôt que l'hépatite C n'est rien d'autres que des ARN anormaux causés au foie par le stress oxydatif, on comprend que ces 20% de cas sont parfaitement explicables ...... par le stress oxydatif justement. Les drogues administrées par voie intraveineuse et la transfusion de sang non chauffé ne constitue en effet pas les seules sources de stress oxydatif ! Il suffit de penser à une consommation exagérée d'alcool par exemple.

Dans 20% des cas, l’hépatite C guérit spontanément. Quand une personne est guérie, l’ARN du virus disparaît de son sang et les transaminases deviennent normales. Les anticorps anti-VHC peuvent baisser un peu mais ils restent présents pendant plusieurs dizaines d’années.

A partir du moment où le stress oxydatif est réversible, il me semble parfaitement logique qu'une personne puisse effectivement guérir d'une hépatite C, tant que le stress oxydatif n'aura pas causé de dégâts irréversibles au foie. Et à cet égard, les traitements orthodoxes à l'interféron et à la Ribavarine me semblent à cet égard très dangereux, à l'instar des trithérapies dans le VIH. Cependant, contrairement à celles-ci, elles peuvent effectivement parfois (35 à 40% des cas, semble-t-il) guérir de la soi-disante hépatite C. N'empêche, ce sont visiblement des traitements (qui durent au moins un an) à double tranchant puisqu'elles causent par définition des dommages au foie ! Sans compter les effets secondaires, souvent fortement handicapants.

Je pense de plus en plus que le virus de l'hépatite est également un mythe. A ma connaissance, il n'a jamais été isolé selon les méthodes traditionnelles en vigueur mais bien par la méthode, extrêmement critiquable en l'espèce, du PCR. En d'autres termes, l'orthodoxie de l'hépatite C a réussi à amplifier divers ARN anormaux qu'ils ont considéré comme étant la caractéristique d'un "nouveau" virus. L'orthodoxie de l'hépatite C ne paraît s'être jamais dit qu'il pouvait très bien s'agir (et c'est ce que je pense) d'ARN produits par le corps humain sous l'effet d'un stress oxydatif endommageant tout particulièrement le foie.

A mon avis, les meilleurs méthodes pour guérir d'une hépatite C consiste à éviter toute source de stress oxydatif même moyen (alcool, drogues [en ce compris les drogues chimiques telles que l'interféron et la ribavarine, mais aussi les tri"thérapies" qui ne font que très fortement aggraver la situation; ce n'est d'ailleurs pas un hasard qu'une fois sous trithérapie, bon nombre de séropos au "VIH" se découvrent ensuite séropos au "VHC" !]) et à utiliser des méthodes naturelles (phytothérapie [desmodium, silymarine, ...] et aromathérapie par exemple) pour prévenir de nouveaux dommages au foie et pour surmonter ceux qui ont déjà été causés au foie. Ce n'est qu'au cas où cela continuerait à s'aggraver malgré tout (ce qui peut arriver si le stress oxydatif antérieur a déjà pu causer des dégâts irréversibles) que le recours à l'interféron et à la ribavarine pourrait sérieusement être envisagé, malgré les terribles effets secondaires.

On constatera donc que les similitudes entre l'hépatite C et la bourde du sida sont frappantes. Et d'ailleurs, ce n'est évidemment pas un hasard qu'environ 40% des séropos au "VIH" soit également séropos au "VHC". Ils soufrent dans les deux cas du même mal, à savoir le stress oxydatif, si ce n'est que dans celui de l'hépatite C, ce stress oxydatif cause tout particulièrement des dégâts au foie. L'hypothèse du stress oxydatif comme cause de l'hépatite C tient tout particulièrement quand on examine les statistiques : 2% à peine de la population en général seraient "contaminés" par le VHC alors que 40% des séropos le sont également. Or les séropos souffrent bien plus que la population en général de stress oxydatif. Je ne peux dont pas y voir une coïncidence ni même un cofacteur mais bien la cause par excellence, surtout quand on sait comment le "VHC" aurait été isolé (et je remercie à cet égard Nico111 pour son post en anglais sur le sujet).

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Une question comme ça :

Et si les anti-corps ou anti-gènes du vhc réagissaient positifs avec le test vih ? Ou vice-versa ?

-> Ferrés à vie ou à mort...

Pour un co-infecté, impossible de s'en sortir : les tri-thérapies flinguent le foie, l'interféron aussi.

On commence par qui ? D'abord l'hépatologue, ensuite le sidologue ?

Ou les 2 en même temps ? Ou d'abord le sidologue en espérant que l'hépatite C "se résorbe toute seule" ?

En espérant que ces 2 "spécialistes" communiquent entre eux un minimum.

Parfois, il y guerre d'importance entre "confrères" et comme résultat un missile sur le foie avec un gros cratère autour.

Boum, plus de vih, plus de vhc, plus de foie. Génial 3 - parano.gif

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(Liane @ Dimanche 07 Mai 2006 à 03h42)

On commence par qui ? D'abord l'hépatologue, ensuite le sidologue ?

Ou les 2 en même temps ? Ou d'abord le sidologue en espérant que l'hépatite C "se résorbe toute seule" ?

En espérant que ces 2 "spécialistes" communiquent entre eux un minimum.

Moi, je dirais : "Aucun des deux". Dans un cas pareil, j'irais de toute façon chez un naturopathe. En effet, comme ces deux maladies ont visiblement la même cause globale, soit le stress oxydatif, remédier à la cause, ce sera en principe remédier également aux deux maladies par la même occasion, enfin, je crois.

Ce n'est que si les deux maladies s'aggravent ultérieurement, c'est-à-dire en cas d'absolue nécessité de recourir aux drogues dites "antivirales" et/ou l'interféron, que la nécessité de recourir aux deux spécialistes en question devrait se faire réellement sentir.

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  • 1 month later...

J'ajoute ci-dessous un lien vers certains posts du site http://groups.msn.com/AIDSMythExposed. En effet, différents intervenants de ce site-là reproduisent régulièrement des résumés et extraits d'articles scientifiques très intéressants d'où il semble de plus en plus clairement ressortir que l'hépatite C n'a effectivement strictement rien à voir avec un pseudo virus, mais bien avec le stress oxydatif.

Voici le lien : http://groups.msn.com/AIDSMythExposed/heal...elete=0&CDir=-2

C'est hélas en anglais mais c'est très intéressant pour ceux qui comprennent un peu l'anglais.

Les posts en question ne concernent pas que l'hépatite C mais bien l'hépatite en général. On constate (mais je n'ai fait que survoler ces - très longs - posts) que le stress oxydatif joue un rôle non négligeable dans la plupart des formes d'hépatites et de cirrhose, et concernant l'hépatite C, on peut très raisonnablement considérer que celle-ci trouve sa cause réelle dans le stress oxydatif. D'ailleurs, dans un post reproduisant un article scientifique, on peut constater l'aveu des scientifiques qui ont bien du mal à expliquer le ou les mécanismes par lequel le soi-disant virus de l'hépatite C causerait de tels dégâts au foie. En revanche, ils constatent que le stress oxydatif est ultra présent dans l'hépatite C.

Pour ma part, ce que j'ai pu constater en survolant ces différents posts, c'est que contrairement au sida, ce ne sont pas spécialement ou uniquement les oxydants azotés qui auraient un rôle étiologique dans l'hépatite C, mais surtout et tout particulièrement les radicaux libres provenant des espèces activées de l'oxygène. Cela pourrait, à mon sens, expliquer que les cas dits d'hépatite C soient bien plus nombreux que les cas dits de sida dans les pays occidentaux.

De prime abord, la meilleure façon de traiter l'hépatite C consiste donc à lutter contre les différentes sources de stress oxydatif nuisant au bon fonctionnement du foie.

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  • 4 weeks later...
(wallypat @ Vendredi 09 Juin 2006 à 00h40)

De prime abord, la meilleure façon de traiter l'hépatite C consiste donc à lutter contre les différentes sources de stress oxydatif nuisant au bon fonctionnement du foie.

Voilà qui me fait penser que " Hepatites B et C" = même combat = même source ?

LE TRAITEMENT DES HEPATITES CHRONIQUES B ET C

Traitements nutritionnels adjuvants :

Protocole nutritionnel :

1.Sélénium, 400 à 600 mcg par jour

2. Sylimarine, 300 à 600 mg par jour

3. Vitamine C, 5000 à 10000 mg à répartir sur la journée en 5 prises au minimum

4. Vitamine E, de 533mg à 800 mg par jour

5. Glutathion réduit à 500 mg par jour

6. N-Acétylcystéine (NAC) : 1800 mg par jour

7. Multivitamines contenant acide folique et vitamine B12 pour protéger de l’anémie induite par la ribavirine qui a lieu chez 10% des patients atteints d’hépatite C et traités à la ribavirine.

Nutranews

Encore des antioxydants icon_eek.gif

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(Liane @ Jeudi 06 Juillet 2006 à 21h57)

Encore des antioxydants icon_eek.gif

-->

Enfin, l’extrait de Thé vert pourrait avoir une action antivirale directe sur certaines souches du virus de l’hépatite C.
Nutranews

Je ne suis pas loin de penser que les carences en GLUTATHION et en antioxydants jouent un rôle dans bien des maladies chroniques ou auto-immunes. reflechi.gif

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  • 2 weeks later...
(Liane @ Mardi 11 Juillet 2006 à 13h23)

Je ne suis pas loin de penser que les carences en GLUTATHION et en antioxydants jouent un rôle dans bien des maladies chroniques ou auto-immunes. reflechi.gif

Et hop !

La superoxydismutase

À 38 ans, Isabelle Terrana commence enfin à revivre. En 1996, on lui diagnostique une double séropositivité VIH-VHC et un cancer du col de l'utérus.

Après une radiothérapie, elle se fait opérer de sa tumeur cancéreuse, en février 1997.

Deux mois plus tard, les images du col font penser à un retour du cancer. Seul le Pr Jacques Émerit, hépatogastro-entérologue, ex-consultant à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière de Paris, parle de fibrose, un processus dégénératif, consécutif aux rayons, et qui concerne également le foie. Il décide de lui prescrire un traitement à la Superoxydismutase (SOD).

Alors que cette enzyme est interdite en France depuis 1991, il obtient une autorisation temporaire d'utilisation pour sa jeune patiente: "Il m'a fait une ordonnance et ma mère est allée en Espagne m'acheter mes piqûres de SOD. Le traitement a duré de 4 à 6 mois avec deux séries de 25 piqûres environ. Sans aucun effet secondaire, le résultat a été positif.

Les biopsies ont révélé la disparition totale des fibroses du col de l'utérus et du foie.

Et quatre ans après, ma dernière biopsie montre toujours un col et un foie intacts. Aujourd'hui, je n'ai plus de cancer, plus de fibrose, la vie va de mieux en mieux.

Tiens, tiens... reflechi.gif

Quant à l'Interféron, soit-disant "le seul traitement" :

Ces derniers mois, les pouvoirs publics ont mis l'accent sur la nécessité du dépistage des malades victimes d'hépatite C. On avait, paraît-il, trouvé la parade : l'interféron (Quand un organisme subit l'attaque d'un virus, ses globules blancs produisent des substances ou interférons qui augmentent la résistance à l'agression. Il existe différentes formes d'interférons, que l'industrie pharmaceutique est maintenant capable de produire par génie génétique. L'interféron alpha est utilisé dans le traitement de l'hépatite C, le bêta dans celui de la sclérose en plaques).

Plusieurs raisons conduisent à relativiser l'effet de cette annonce.

En premier lieu les échecs thérapeutiques à l'interféron restent nombreux: 55% des patients traités.

Deuxièmement : quantité de malades demeurent exclus de ce traitement, soit qu'ils sont à un stade trop avancé de la maladie, soit qu'ils présentent des fragilités (tendance dépressive, idées suicidaires) qui seront décuplées par la prise de ce médicament.

Enfin les effets secondaires nombreux : fatigue, nausées, céphalées, insomnies, dérèglements psychiques, myalgie, sécheresse de la peau, chute des cheveux... pénalisent grandement la qualité de vie du patient, l'incitant à arrêter le traitement.

Pour ne donner que quelques chiffres, l'association SOS Hépatites a évalué que la prise d'interféron entraîne dans 75% des cas de l'asthénie ou une grande fatigue, dans 77% des problèmes musculaires divers allant parfois jusqu'à l'immobilité partielle grave, nécessitant le recours au fauteuil roulant et dans 30% une dépression lourde.

Alternative-Santé, L'Impatient

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Concernant toujours l'hépatite C, j'ajoute ci-dessous trois liens d'où il ressort clairement que le virus de l'hépatite C est bel et bien un mythe (tout comme le "VIH" donc), mais pas bien sûr les maladies dont souffrent les personnes prétendument contaminées par le virus de l'hépatite C.

Ces liens sont hélas en anglais mais on ne peut pas faire autrement vu qu'en France, c'est la "sagesse conventionnelle" qui prévaut, sans que (presque) personne ne se pose de questions sur le sujet :

- Premier lien;

- Deuxième lien;

- Troisième lien.

Notons que ces trois liens renvoient eux-mêmes à divers autres liens.

On y apprend des tas de choses (dont ne seront bien sûr pas étonnés les familiers de la dissidence du sida), comme par exemple ce qui suit.

1) Le soi-disant virus de l'hépatite C n'a aucune espèce de ressemblance avec les virus de l'hépatite A et de l'hépatite B, ce qui n'a jamais cessé d'étonner les hépatologues orthodoxes (sans pour autant qu'ils se remettent en question).

2) Jusqu'à ce jour, personne n'a réussi à isoler et purifier le prétendu virus, à le cultiver, à l'injecter chez un animal et à causer des maladies.

3) Les scientifiques orthodoxes de l'hépatite C ne savent toujours pas comment ce virus (très lent, comme le supposé rétrovirus "VIH") cause les dommages qui lui sont attribués.

4) La recherche d'un vaccin contre le présumé virus de l'hépatite C s'est révélée être un cuisant échec, malgré des dizaines de millions de dollars investis (en pure perte).

5) Les séquences génétiques du prétendu virus de l'hépatite C se trouvent également dans l'ADN humain.

6) Adopter un style de vie "sain et équilibré" empêche généralement la survenance des maladies prétendument attribuées au virus de l'hépatite C.

7) Ceux qui font les maladies attribuées au prétendu virus de l'hépatite C ont ceci de commun d'avoir été exposés durablement à des sources importantes de toxicité : drogues (récréationnelles), alcool, abus de médicaments (il y a des centaines et des centaines de médicaments qui peuvent à la longue causer des dommages au foie et, ce faisant, induire l'apparition de protéines et de matériel génétique prétendument attribués au virus de l'hépatite C), exposition à des pesticides, etc...

Un exemple flagrant est celui des égyptiens. En effet, environ 24% de la population égyptienne sont déclarés porteurs du virus de l'hépatite C. Or, il se fait que des études ont constaté que la plupart de ceux-ci avaient reçu antérieurement un traitement contre une maladie endémique causé par le "schistosomiasis" (je ne connais pas la traduction anglaise), qui comportait 10 à 12 injections d'un certain médicament chimique (qui a donc causé des dommages au foie et, partant, l'apparition du prétendu virus de l'hépatite C).

8] Des thérapies alternatives ont donné des résultats spectaculaires (= disparition des cirrhoses) chez des personnes atteintes de formes ultimes de cirrhose, à tel point qu'elles étaient en attente d'une transplantation de foie :

a) Doses massives de vitamines C.

b) Prise de trois compléments alimentaires : sylimarine + sélénium + acide alpha lipoïque.

Voilà.

Difficile de croire encore en l'existence du virus de l'hépatite C ! Je dirais même plus : impossible d'y croire encore !

Modifié par wallypat
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