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maladies infectieuses ou intoxication?


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Sida, hépatite C, ESB :

maladies infectieuses ou intoxications ?

Par Dr Claus Köhnlein

Traduit de l'anglais par Dr Marc Deru

A en croire la presse générale et médicale, le monde d'aujourd'hui est sans arrêt menacé de nouvelles grandes épidémies : sida, hépatite C, encéphalite spongiforme bovine (ESB), etc. Ces nouveaux fléaux diffèrent cependant des grandes épidémies du passé : le nombre de victimes est relativement petit.

Alors que les anciennes épidémies décimaient des villes, le nombre de personnes atteintes par les nouvelles maladies est très faible. En ce qui concerne le sida, deux mille "nouvelles infections" (séropositivité) par an et six cents décès (en Allemagne). L'hépatite C n'a pas conduit à une augmentation significative des cas de cirrhose du foie. Quant à l'ESB, nous n'avons encore, dans notre pays, aucun cas clinique, ce qui n'empêche pas la presse de parler de crise et d'épidémie depuis des semaines.

L'apparence épidémique de ces maladies provient uniquement de l'usage à grande échelle de tests fondés sur des marqueurs moléculaires. De nos jours, la biologie moléculaire est capable de détecter les plus infimes quantités d'ADN ou d'ARN par le test PCR (Polymerase Chain Reaction) et est capable aussi de produire des anticorps contre eux. Quant à la relation qu'on établit entre ces molécules isolées chez l'homme ou l'animal et la présence de signes cliniques, ce n'est que simple hypothèse. Ce fait est parfaitement illustré dans le cas de l'ESB : il existe, selon les tests, une épidémie alors qu'aucun cas clinique de vache folle n'a été reconnu (en Allemagne).

C'est l'absence fréquente de symptômes cliniques qui donna naissance à l'hypothèse de périodes de latence très longues, pouvant aller, dans le cas de l'ESB, jusqu'à cinquante-cinq ans entre l'infection par le "prion de l'ESB" et le développement de la maladie de Creuzfeld-Jakob...

Mais commençons par le premier de ces grands fléaux nouveaux, le sida.

Sida

Le sida apparut au début des années 1980 à San Francisco exclusivement chez des homosexuels masculins jeunes (trente ans) qui développaient des pneumonies à Pneumocystis carini (PPC) parfois mortelles. Mais dans les premiers cas publiés par le Dr Gottlieb, il s'agissait d'homosexuels usagers de drogues lourdes (cocaïne, amphétamines, nitrite d'amyle).

Le nitrite d'amyIe est une drogue utilisée exclusivement dans le milieu homosexuel masculin, la plupart du temps par inhalation. Les recherches sur animaux et sur culture de lymphocytes ont démontré que les nitrites sont immunotoxiques, cytotoxiques et cancérigènes (source : NIDA, National Institute of Drug Abuse).

Le nouveau syndrome reçut d'abord le nom de GRID (Gay Related Immune-Deficiency) et fut attribué au début, par les scientifiques, au mode de vie particulier de certains milieux homosexuels qui cumulaient de nombreux excès ("fast-track lifestyle"). En 1984, la secrétaire d'Etat américaine à la Santé déclara, lors d'une conférence de presse, qu'un chercheur américain avait découvert un rétrovirus qui était probablement la cause du sida. Le lendemain, tous les journaux écrivirent qu'un chercheur américain avait découvert la cause du sida, oubliant le mot "probable"... Depuis lors, toutes les recherches scientifiques et thérapeutiques se sont exclusivement fondées sur cette hypothèse virale. Autrement dit, depuis dix-huit ans, on se pose la question de savoir comment le VIH cause le sida, sans plus se poser la question première si le VIH cause le sida.

Des années plus tard, Kary Mullis, Prix Nobel de chimie en 1993 pour son invention de la PCR (polymerase Chain Reaction), eut besoin d'une référence justifiant "le fait bien connu" que le VIH est la cause du sida. Il venait d'écrire : "Le VIH est la cause probable du sida" et se rendit compte qu'il lui fallait étayer cette phrase par une référence scientifique. Il n'en trouva aucune. Il se renseigna alors auprès d'un virologiste qui lui répondit que sur cette question il n'avait pas besoin d'une publication car "tout le monde sait bien que le VIH est la cause du sida...". Kary Mullis n'était pas de cet avis et estimait qu'une découverte si importante devait avoir été publiée quelque part. Il chercha mais il se rendit compte rapidement qu'une telle publication n'existait pas. Et chaque fois qu'il posait la question, il était invariablement renvoyé à la conférence de presse de 1984...

Un jour, il eut l'occasion de parler à Luc Montagnier (Institut Pasteur de Paris), le découvreur du prétendu virus, au cours d'une rencontre à San Diego. Lui, au moins, aurait la réponse à sa question ! Montagnier lui répondit : "Pourquoi ne citez-vous pas le rapport du CDC (Centers for Disease Control) ?" Mullis répliqua : "Ce rapport ne dit pas si le VIH est, oui ou non, la cause du sida." "C'est exact, reconnut Montagnier, mais peut-être pourriez-vous citer l'étude sur le SIV (Simian Immunodeficiency Virus) qui est très semblable au VIH." Cette étude non plus ne pouvait pas convaincre Mullis car les singes développent des maladies différentes ; de plus, il ne s'agissait pas du même virus ; et, enfin, cette étude n'avait été publiée que quelques mois auparavant. Ce qu'il voulait c'était la publication originale qui démontrerait de quelle manière le VIH causait le sida. Devant cette insistance, Montagnier cessa de répondre et s'éloigna pour saluer un groupe de personnes à l'autre bout de la salle...

Je fis la même expérience, en Afrique du Sud en 2000, à la commission consultative sur le sida réunie par le président Mbeki. Trente-trois scientifiques venant des quatre coins du monde avaient été invités pour faire la lumière sur le problème du sida dans leur pays. Vingt-deux scientifiques adhéraient à l'hypothèse virale, onze (dont j'étais - NDLR : le Dr Claus Köhnlein) étaient dissidents. Ces derniers émettent des doutes sur l'hypothèse virale et attribuent plutôt le sida en Afrique à l'augmentation de la misère ; quant au sida dans les pays développés, il est attribué à l'usage de drogues et surtout à la thérapie antivirale par l'AZT.

Je demandai donc à Montagnier ce qui lui donnait la conviction que le sida était causé par un virus. Il répondit qu'avec le temps un traitement efficace semblait avoir été mis au point et que ce fait était une preuve suffisante que le VIH était la cause du sida. Autrement dit, les virologues n'ont pas d'arguments virologiques justifiant leur théorie virale ; ils font appel aux praticiens qui confirment complaisamment : "le sida est évidemment une maladie virale puisqu'il réagit au traitement antiviral".

Or ce "traitement efficace" est prescrit par les médecins aux séropositifs, uniquement sur base de marqueurs indirects (surrogate markers) tels que la baisse des CD4 et la dite charge virale mesurée par PCR et dont Kary Mullis lui-même dit qu' "il est absurde de se focaliser sur quelque chose qui n'est détectable que par PCR et qui est proche de zéro : zéro reste toujours zéro, même amplifié."

Ces traitements "efficaces" doivent être pris la vie durant et on juge de leur "efficacité" en se basant non pas sur les symptômes cliniques (le plus souvent absents puisque la plupart des séropositifs traités sont au départ asymptomatiques) mais sur ces mêmes marqueurs indirects...

En Afrique, à la commission consultative, il apparut avec évidence que la dose initialement utilisée d'AZT, 1 500 mg (en 1987) était bien trop élevée. A cette dose, la situation des patients s'aggravait au lieu de s'améliorer. Mais à l'époque la forte mortalité des patients traités n'étonnait pas parce qu'on s'attendait généralement à une mort rapide des malades du sida.

Le problème de la thérapie antivirale était, et est toujours, qu'elle est extrêmement immunosuppressive. L'AZT fut mis au point dans les années 1960 spécifiquement comme chimiothérapie anticancéreuse, mais ne fut pas utilisé à cause de sa grande toxicité. Quelques études avaient cependant été réalisées de sorte que le produit a pu être utilisé dans les années 1980. Une étude AZT/placebo fut alors entreprise en 1987 mais fut interrompue après quatre mois parce qu'il semblait que les patients du groupe unité bénéficiaient du traitement. Ces résultats furent publiés dans le New England Journal of Medicine (NEJM), et, dès lors dans le monde entier, les malades du sida et les simples séropositifs furent traités avec 1 500 mg d'AZT par jour. La raison de l'interruption prématurée de l'étude avait été la terrible pression des groupes d'activistes qui attendaient un traitement avec impatience. Mais peu après les chiffres de mortalité s'élevèrent jusqu'à atteindre 80 à 90 % après quatre ans de thérapie à l'AZT.

On finit par s'interroger sur cet énorme taux de mortalité et par diminuer les doses d'AZT autour de 1990 ; il était évident que la moelle osseuse ne pouvait pas supporter la chimiothérapie. Pourtant le traitement antiviral fut, et est toujours, considéré comme devant durer la vie entière. Ce n'est que tout récemment (Nature, Lancet, 2000) qu'on envisagea des interruptions thérapeutiques car les nouveaux antiviraux (inhibiteurs de protéases) occasionnaient beaucoup d'effets secondaires.

Comme, depuis lors, la mortalité a nettement diminué, on dit partout (comme Montagnier) que les nouvelles thérapies sont efficaces. En réalité, il faudrait simplement dire que ces thérapies sont moins toxiques, et donc moins mortelles, parce que les doses sont plus réduites.

Petit à petit, une attitude plus critique vis-à-vis des thérapies se manifesta parmi les patients eux-mêmes : ils avaient été témoins du désastre de l'AZT. Et de nombreuses publications critiques furent faites sur le problème de l'AZT. Malgré tout, la diminution de mortalité est toujours attribuée à un meilleur traitement et est mise en parallèle avec l'augmentation de l'usage des inhibiteurs de protéases (Palella et al., NEJM). Ce qu'il faudrait pourtant remarquer c'est que le déclin de mortalité avait commencé avant l'introduction des inhibiteurs de protéases, dès 1990-1991, quand les thérapeutes comprirent que la moelle osseuse des patients ne supportaient pas 1 500 mg d'AZT par jour et qu'ils commencèrent à diminuer les doses.

Cela n'empêche qu'en 1990 toute une génération de patients avaient été traitée avec des doses immunosuppressives fatales. Cette catastrophe de l'AZT a conforté la croyance indéracinable que le sida est causé par le VIH, car l'énorme mortalité a toujours été attribuée à la virulence extrême du "VIH" plutôt qu'à la toxicité du traitement.

Qui plus est, les termes "VIH" et "sida" sont devenus presque des synonymes. Les statistiques et prévisions épidémiologiques se fondent sur la présomption que sida = séropositivité VIH : pour les pays qui montrent une explosion de séropositivité on prédit une épidémie catastrophique de sida... Pour le président d'Afrique du Sud, Thabo Mbeki, la discordance entre le discours des médias occidentaux (prédisant une rapide dépopulation) et ce qu'on peut réellement observer dans son pays était frappante. En conséquence, il refusa de suivre les directives (américaines) concernant le sida et convoqua une commission d'experts devant examiner si, oui ou non, le VIH était la cause du sida.

Deux faits l'ont particulièrement interpellé : d'une part, les effets toxiques de l'AZT et l'abondante littérature à son sujet et, d'autre part, une publication de Max Essex dans le Journal of Infections Diseases, qui décrit la réaction croisée manifeste entre les antigènes du test VIH et les anticorps développés chez les tuberculeux et les lépreux. Ce qui veut dire qu'il est rigoureusement impossible de savoir si un patient souffre de tuberculose parce qu'il est VIH-positif ou s'il est VIH-positif parce qu'il est tuberculeux.

Il existe une autre difficulté avec l'épidémiologie du sida. Actuellement, environ trente affections, toutes connues depuis longtemps, sont rebaptisées "sida" si le test est positif. Il ne s'agit donc pas d'un accroissement de maladies mais simplement d'un changement de nom, d'une redéfinition. C'est ainsi qu'un tuberculeux sera considéré aujourd'hui comme avant le sida s'il est séropositif ; de même qu'une femme avec un cancer du col utérin ou un patient développant un lymphome seront diagnostiqués "sida" s'ils sont séropositifs .

L'hypothèse virale du sida et les reportages alarmants des médias (douze articles de couverture rien que pour le magazine allemand Der Spiegel) sont la cause d'une catastrophe médicale majeure et d'une véritable tragédie sur le plan humain. Cette hypothèse a entraîné d'innombrables gens dans la peur et le désespoir, les menant au suicide ou à la mort iatrogène (par intoxication médicamenteuse), et cela continue.

La fin de ce cauchemar est peut-être en vue si le président Mbeki réussit à bannir les tests VIH et les médications antivirales dans son pays et à combattre efficacement la tuberculose et la pauvreté, deux fléaux qui sont liés. La tuberculose a toujours été un bon indicateur de la misère sociale (voir, par exemple, la fréquence de tuberculose en Allemagne après les deux guerres mondiales ; Statistisches Bundesamt Wiesbaden). Mais actuellement, depuis l'introduction des tests VIH, un tuberculeux séropositif est un cas de sida et traité comme tel. En Inde, j'ai vu des malades atteints de tuberculose qui vendaient leurs biens et leur maison afin de pouvoir se payer un traitement antiviral (AZT) venant de l'Occident.

Hépatite C

Avec l'hépatite C, nous avons à faire à un phénomène semblable sauf que, dans ce cas, les conséquences iatrogènes ne sont pas aussi dramatiques que dans l'hypothèse virale du sida. Pour l'hépatite C, on ne doit s'attendre comme traitement qu'à une cure temporaire d'interféron et de Ribavirine, traitement également accompagné de nombreux effets secondaires tout en étant, comme nous allons le voir, tout à fait inutile.

Le laboratoire où est née l'hépatite C (en 1987) est le laboratoire de biochimie Chiron Corp., qui gagne maintenant des millions de dollars en vendant ses tests pour l'hépatite C. A l'époque, ils injectèrent à des chimpanzés du sang de patient atteint d'hépatite non A - non B. Aucun de ces animaux ne développa d'hépatite. Simplement, vers le quatorzième jour après l'injection, il y eut une élévation temporaire des transaminases. Les animaux furent sacrifiés et les tissus hépatiques examinés. On n'y trouva pas de virus. Terriblement déçus, les chercheurs voulurent à tout prix trouver une trace, si minime soit-elle, d'un virus. Ils trouvèrent un petit fragment de gène qui semblait ne pas appartenir au code génétique du tissu et ils l'amplifièrent par la méthode PCR. Ils présumèrent que ce fragment d'ARN étranger devait être l'information génétique d'un virus inconnu jusqu'alors... Après quoi, et malgré que le tissu hépatique n'en contienne que des traces à peine décelables, ils réussirent à faire un anticorps contre ce fragment.

Cet anticorps nous valut aussitôt une épidémie d'hépatites, car les tests (dont l'usage explosa littéralement) mirent en évidence des séropositifs pour le "virus de l'hépatite C" (VHC) : ces patients sont maintenant déclarés porteurs d'un virus qui, après une période de latence pouvant atteindre trente ans, peut déclencher une cirrhose du foie. La plupart de ces patients VHC positifs sont pourtant tout à fait asymptomatiques. Certains ont un taux de transaminases quelque peu élevé, mais les réels problèmes hépatiques concernent quasi exclusivement les toxicomanes et les alcooliques. Environ 80 % des toxicomanes sont VHC positifs. On doit évidemment se poser la question : est-ce un virus qui endommage le foie, ou bien l'alcool ou les drogues ? Une période de latence de trente ans peut parfaitement s'expliquer par les effets retardés de l'alcool et des drogues.

Pendant deux ou trois ans, les journaux titraient : "Hépatite C, danger sous-estimé", "Virus de l'hépatite C, un tueur silencieux", "Hépatite C, le nouveau fléau", etc. Nous lisons plus couramment de nos jours : "Les dangers de l'hépatite C n'ont-ils pas été surestimés ?". Le Pr Manns, de Hanovre, qui faisait des prévisions catastrophiques au début, déclare maintenant que, compte tenu des études réalisées et des estimations coût/bénéfice, le traitement de l'hépatite C peut être considéré comme contre-indiqué.

Ce nouveau point de vue s'appuie sur notamment ceci : l'an dernier, Seef et al. ont publié dans Annals of Internal Medecine une grande étude portant sur des Gls dont on possédait du sérum congelé quarante-cinq ans plus tôt ; l'analyse des cas a montré qu'il n'existait pratiquement aucune différence de pathologie hépatique entre les VHC positifs et les VHC négatifs.

Ceci permet de dire que le risque de cirrhose tardive chez un VHC positif a été très largement surestimé. Et il apparaît, dès lors, bien plus plausible que les substances toxiques pour le foie telles que l'alcool et les drogues, qu'on appelle des "cofacteurs", sont en réalité les facteurs essentiels.

Il s'ensuit qu'un test VHC positif n'a manifestement aucune signification. Et, de même, administrer un traitement antiviral à des patients VHC positifs n'a aucun sens.

Bien plus, le traitement médical des maladies du foie a été considéré comme un paradoxe depuis des dizaines d'années par les grands hépatologues : en effet, alors que le foie est l'organe principal qui métabolise les toxines, pratiquement tous les médicaments endommagent le foie d'une manière ou d'une autre.

Un chercheur allemand et son équipe ont pu trouver les séquences appelées VHC dans l'ADN de personnes VHC négatives saines. On peut imaginer que ces séquences sont produites par les cellules hépatiques détériorées par des toxiques comme l'alcool ou des drogues, et que la positivité VHC est donc d'origine endogène. Cette hypothèse expliquerait la forte corrélation qu'il y a entre positivité VHC et alcool/drogues.

Dans ce cas de l'hépatite C, de même que pour l'hépatite G, on peut espérer que la science va rectifier le tir, faute de preuve de l'hypothèse virale. Les cirrhoses du foie chez les VHC positifs se développent quasi exclusivement chez les alcooliques et les toxicomanes ; on ne trouve pratiquement jamais de cirrhose de la cinquantaine chez les VHC positifs qui n'ont pas intoxiqué leur foie avec l'alcool ou des drogues.

Les publications médicales et les grands médias présentent l'hépatite C comme un fléau à caractère épidémique. Récemment, à Itzehoe, on a prétendu qu'un chirurgien VHC positif avait infecté plusieurs de ses patients. Cependant, il ne faut pas oublier que la prévalence des anticorps VHC est relativement élevée dans la population : probablement 2 % de VHC positif, c'est-à-dire quarante cas sur deux mille personnes, et cela suffit (une fois qu'on identifie positivité VHC à infection) pour parler d'une "infection épidémique".

ESB (encéphalite spongiforme bovine)

La psychose épidémique a atteint un sommet avec l'hystérie ESB : nous n'avons dans notre pays (NDLR : Allemagne) aucun cas de maladie et pourtant ,dans tous les journaux, on nous rebat les oreilles avec la "crise ESB" ou le "fléau ESB"...

Ici aussi c'est l'explosion de la pratique des tests qui en est l'origine (tests ESB mis au point et commercialisés par la firme suisse Prionics). Ici aussi un cas testé positif est assimilé à un cas de la maladie. A cette atmosphère de catastrophe s'ajoute la panique résultant de l'idée hypothétique que la maladie de la vache folle peut se transmettre à l'homme par la consommation de la viande et se traduire par une nouvelle variante de la maladie de Creutzfeld-Jakob (nv MCJ). Les médias soufflent alors sur le feu et attisent la psychose de l'épidémie en montrant à la TV de supposées victimes de la maladie (alors que seule l'autopsie permet de faire un diagnostic...).

Bien que toutes les données épidémiologiques actuelles contredisent ce passage de l'animal à l'homme, c'est la panique ambiante qui entraîne les scientifiques et les politiciens à prendre des mesures de sécurité totalement excessives : l'abattage massif de bovins.

Si nous voulons comprendre cet affolement, il faut nous reporter à quelques années plus tôt et nous intéresser aux travaux de Carleton Gajdusek. Gajdusek fit, dans les années 1970, une étude sur les Papous de Nouvelle-Guinée : une sorte de démence, appelée Kuru, y régnait surtout dans la population féminine. On observa qu'elle était endémique dans deux tribus entre lesquelles se faisaient fréquemment des mariages consanguins. Les encéphalites spongiformes dont fait partie cette démence et qu'on dit transmissibles, la maladie de Creutzfeld-Jakob (MCJ), l'insomnie familiale et le syndrome de Gerstmann-Straüssler-Scheinker apparaissent sporadiquement et semblent d'origine génétique (autosomique dominante). Ces maladies entraînent la mort dans les cinq ans. Elles sont extrêmement rares (fréquence de un sur un million) mais, à l'intérieur d'une famille, la fréquence est de un sur cinquante, ce qui est un bon argument en faveur d'une cause génétique. Pourtant Gajdusek reçut le Prix Nobel en 1976 pour ses travaux sur les "virus lents" et la transmissibilité de ces encéphalopathies spongiformes.

Or, au vu des expériences qu'il fit pour tenter de prouver ce caractère contagieux, on peut s'étonner que la communauté scientifique de l'époque ait accepté ces publications comme preuve. Ni l'ingestion ni l'injection de tissu cérébral infecté n'affectèrent les chimpanzés du laboratoire. Seule une expérience assez particulière occasionna des symptômes neurologiques chez ces chimpanzés : il s'agissait d'une inoculation intracérébrale. C'est là-dessus que se fonde l'affirmation que ces maladies sont transmissibles ! On voit mal que ces expériences constituent des preuves de l'hypothèse "cannibalisme" de Gajdusek : selon lui la maladie se transmettrait par la consommation de cerveaux infectés. Détail fâcheux, Gajdusek est le seul témoin vivant de cannibalisme chez les Papous de Nouvelle-Guinée ; une équipe d'anthropologues s'est penchée sur la question et a trouvé des histoires de cannibalisme mais aucun cas authentique. Ceci dit, si les histoires de Gajdusek ne sont pas vraies, elles ont été joliment bien inventées...

Malgré l'absurdité de donner des expériences d'inoculation intracérébrale comme preuve d'une transmission orale, cette idée de transmission orale s'est bien implantée au point que nous avons peur de manger de la viande de boeuf. Pourtant, si nous interprétons correctement les expériences de Gajdusek, nous ne devrions avoir peur que si nous faisions des trous dans notre crâne et que nous y inoculions du cerveau infecté de vache folle...

C'est aussi en vertu de l'hypothèse "cannibalisme" que l'on a fondé l'opinion que la maladie a été déclenchée par l'alimentation du bétail avec des farines animales infectées. Cette hypothèse est universellement acceptée malgré que l'épidémiologie de l'ESB ne la confirme pas du tout : la Grande-Bretagne a exporté de très grandes quantités de farines animales au Moyen-Orient, en Afrique du Sud et même aux Etats-Unis ; dans aucun de ses pays l'ESB n'est apparue. Presque tous les cas d'ESB surviennent en Grande-Bretagne (99 %), en Suisse et en Irlande du Nord.

L'hypothèse "intoxication" est, dans le cas de l'ESB aussi, une explication plus plausible. En 1985, en Grande-Bretagne, une loi a été promulguée obligeant les fermiers d'appliquer du Phosmet sur l'encolure de leurs vaches. Phosmet est un organophosphoré utilisé comme insecticide contre une mouche parasite (warblefly). (NDLR : C'est ce qu'on appelle en France le Varon.) Cette substance n'a été utilisée à forte concentration qu'en Grande-Bretagne, en Irlande du Nord et en Suisse. Mark Purdey, un fermier britannique, remarqua que ses vaches élevées en bio ne développaient pas d'ESB : elles recevaient des farines animales mais n'avaient jamais été traitées avec des organophosphorés.

Le gouvernement britannique connaît ces coïncidences entre ESB et usage d'organophosphorés, et la loi fut abrogée au début des années 1990 à cause d'une probable relation de cause à effet : les organophosphorés peuvent, en effet, changer la structure hélicoïdale des protéines. Après cette abrogation, les cas d'ESB diminuèrent à partir de 1993. Le comité d'enquête britannique sur l'ESB admet que les organophosphorés sont sans doute un cofacteur pour l'ESB. Les toxicologues savent que l'intoxication chronique aux organophosphorés mènent aux "symptômes cliniques de polynévrites, avec tuméfaction et fragmentation des axones périphériques et centraux, aboutissant à leur démyélinisation" (Lüllmann., KuschinsId : Lehrbuch der Toxicologie).

Le comité d'enquête refuse cependant de considérer les organophosphorés comme la seule cause (1). Une question d'ailleurs se pose : pourquoi toutes les vaches traitées au Phosmet ne font-elles pas une ESB ? A cela il faut répondre : d'une part, l'effet toxique dépend de la dose et, d'autre part, si la dose est la même pour toutes les vaches, l'effet toxique pour le système nerveux central (SNC) dépend aussi de la distance de diffusion entre le point d'application et le SNC.

Les observations des fermiers britanniques illustrent ce fait : les vaches laitières maigres sont nettement plus réceptives à l'ESB que les grosses vaches engraissées pour la viande. Pour comprendre cela, il suffit d'imaginer la distance que la toxine appliquée sur l'encolure doit parcourir avant d'atteindre le SNC : chez les vaches grasses, elle doit traverser un épais tissu graisseux sous-cutané ; et les organophosphorés étant lipophiles sont absorbés par ce tissu graisseux.

Conclusion

Si un produit toxique peut accélérer le déclenchement d'une maladie (comme l'alcool qui contribue aux maladies de foie), il est aussi possible qu'il en soit la seule cause.

Dans le cas de l'ESB, si le Phosmet était reconnu comme étant la cause, le gouvernement britannique et le fabricant seraient poursuivis et exposés à des frais d'indemnisation qui se chiffreraient par milliards. Ce que ni l'un ni l'autre ne souhaitent, ils préfèrent donc noyer l'évidence dans un brouillard de prions.

Il est facile de prouver ou, au contraire, infirmer une hypothèse "intoxication". Des études toxicologiques et épidémiologiques suffisent pour vérifier l'hypothèse.

Pour le sida, une telle hypothèse conduira, par exemple, à dire ceci : tous les patients, qui meurent jeunes de sida en Occident, ont consommé pendant longtemps des drogues "récréatives" (recreational drugs) ou antivirales, et, inversement, le nombre de gens n'ayant consommé ni drogues ni antiviraux et mourant jeunes de sida est insignifiant.

Pour l'hépatite C, on dira de même : le nombre de gens n'ayant consommé ni drogues ni alcool et mourant vers la cinquantaine de cirrhose du foie due à l'hépatite C est insignifiante.

Et pour l'ESB également : seules des vaches traitées aux organophosphorés développent une ESB ; inversement, si un nombre significatif de vaches non traitées font une ESB ce serait une preuve que l'hypothèse "intoxication" est fausse.

Les arguments épidémiologiques et toxicologiques que nous avons développé plus haut suggèrent, tant pour le sida que pour l'hépatite C et l'ESB, qu'une intoxication chronique est la cause réelle de ces maladies.

Pourquoi ces hypothèses plausibles ne sont-elles pas prises en considération et étudiées davantage ?

La réponse à cette question pourrait être le sujet de tout un livre qui aurait pour titre : "Conflits d'intérêts".

L'hypothèse "infection" permet de gagner des milliards de dollars par :

1. Le commerce des tests aux anticorps : ces tests sont vendus par millions et il y a toujours de nouveaux échantillons de sang à tester.

2. Le commerce des médicaments : dans ce domaine, les multithérapies antivirales pour le sida sont au "top niveau" en ce qui concerne les bénéfices pour l'industrie pharmaceutique.

3. Les vaccinations possibles. Ici, cependant, les concepts immunologiques eux-mêmes créent un problème fondamental. En effet, pour le sida par exemple, on nous a dit : celui qui a des anticorps antiVIH (le séropositif) va mourir, et celui qui n'en a pas (le séronégatif) survivra.

Combien de séronégatifs souhaiteraient être vaccinés afin d'acquérir des anticorps antiVIH et devenir séropositifs ?

Par contre, avec l'hypothèse "intoxication", il n'y a aucune perspective de profit. Le simple message : éviter de vous empoisonner et vous ne serez pas malade, ne rapporte en effet pas beaucoup d'argent... D'autre part, une telle hypothèse est en conflit direct avec la production de produits toxiques (tels que drogues, alcool, médicament antiviraux Phosmet) qui sont source de très beaux profits.

Ce conflit d'intérêts est insoluble. Un virologue qui gagne des millions de dollars grâce aux brevets sur les tests VlH ou VHC (Montagnier, Simon, Wain-Hobsen, Robin Weiss, Robert Gallo) prendra-t-il le risque de jeter ne fut-ce qu'un coup d'il dans une direction si menaçante pour ses profits ? Un médecin qui, de bonne foi et avec dévouement, traite depuis des années ses patients diagnostiqués "sida" ou "hépatite C" comme des infectés par un virus, va-t-il envisager une autre hypothèse ? C'est peu probable. D'autant plus que les changements positifs des marqueurs indirects de maladies (CD4, etc.) lui donnent l'impression d'être sur la bonne voie.

Partout dans le monde, des enfants sont traités selon l'hypothèse "infection virale". Un enfant séropositif sans symptôme clinique, en bonne santé, reçoit un traitement antiviral afin de "retarder le déclenchement de la maladie". Par la suite, toute affection apparaissant au cours du traitement sera attribué à la "maladie de base" (VIH-sida) ou interprété comme un échec thérapeutique dû à la résistance développé par le virus. Autrement dit cet enfant n'a aucune chance d'en sortir.

J'ai personnellement pu constater, lors d'une étude au Canada pour laquelle j'étais expert en AZT, comment des enfants en bonne santé furent retirés de leur mère, séropositive depuis quinze ans : elle avait la liberté de refuser le traitement antiviral pour elle-même mais pas pour ses enfants.

En Angleterre, un tribunal fit un jugement semblable. Un couple séropositif refusa que leur nouveau-né soit testé. Le juge décida qu'il devait l'être et, qu'en cas de test positif, il devait être immédiatement traité.

Les résultats d'étude montrant les effets de l'usage de l'AZT chez des femmes enceintes n'ouvrent même pas les yeux à leurs auteurs. Ces résultats montrent que le risque d'une progression rapide de la maladie est cinq à six fois plus élevé chez les enfants traités par l'AZT pendant la grossesse que chez les enfants dont la mère n'a pas été traitée (J. of AIDS, 2000).

Au moins, nos efforts en Afrique du Sud à la commission consultative semblent avoir quelque peu impressionné les Américains car, il y a quelques semaines, le NIAID (National Institute for Allergic and Infectious Diseases) annonça une grande étude multicentrique incluant un groupe de patients ne recevant pas de traitement antiviral. Enfin, après treize ans de traitements agressifs à long terme, un tournant à 180° : une étude avec un réel contrôle placebo, avec prise en compte des résultats cliniques, et ce pendant quatre ans. Une telle étude a toujours été jusqu'à présent jugée superflue.

Mon souhait est que, par cet exposé, j'aie pu semer quelques doutes dans vos esprits, et j'espère que ce pourra être le point de départ d'un débat plus large.

1. Probablement avec raison. Les farines animales elles-mêmes sont sans doute également en cause. Non pas par le fait d'une prétendue protéine infectieuse mais par les innombrables résidus toxiques qui s'y trouvent. Et aussi par le simple fait que l'usage intensif de telles farines très riches en protéines n'est pas conforme aux besoins nutritifs d'animaux végétariens, avec, en conséquence, déséquilibre alimentaire (excès de protéines, carences en divers éléments minéraux et vitaminiques), perturbations digestives et métaboliques et fragilisation de toutes les fonctions organiques, y compris du système nerveux. Et ces tares se transmettent et s'aggravent forcément de générations en générations (NDT).

Claus Köhnlein est médecin praticien à Kiel, spécialisé en oncologie et sida, il est conseiller clinique de International Forum for Accessible Science (IFAS) et membre de la commission consultative sur le sida du président Mbeki en Afrique du Sud.

Ce texte fut d'abord présenté oralement lors d'une table ronde médicale à Kiel (Allemagne) et fut, par la suite, publié en anglais dans Continuum, Vol. 6, n° 3, été-automne 2001.

Titre anglais : "AIDS, Hepatitis C, BSE : Infections or Intoxications Diseases ?". Traduit de l'anglais par Dr Marc Deru.

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slt

Pour l'hépatite C, on ne doit s'attendre comme traitement qu'à une cure temporaire d'interféron et de Ribavirine, traitement également accompagné de nombreux effets secondaires tout en étant, comme nous allons le voir, tout à fait inutile.

je vois que tu detiens la verité

va dire ca au malade

je te souhaite pas d'avoir l'hepathite c

quand on ne sait pas de quoi on parle on se tait

alors avant de nous faire passer un copier-coller pour une verité on verifie

triste imbecile

je crois que tu ne connais pas l'interferon

trouvé par isac dans les années 60

prix nobel pour ses recherches

il s'est apercu que sous l'action d'un virus les cellules secretent une mollecule (appelé interferon ) pour lutter contre le virus

c'est une reaction naturelle de l'organisme

ils ont mi plus de 50 ans pour le reproduire en labo

quand a la ribavirine c'est un inhibiteur

la cirrhose ou le cancer ont s'en fou il est bien trop tard

mais tout les sequelles telle que asthenie fatigue chronique

nausées vertiges problemes sanguins pancreatique de digestion etc.....

le foi est un organe essentiel du corps humain

lorsqu'un organe est malade il emet une vibration negative

qui entraine avec le temps tout l'organisme dans la maladie

qu'es que tu leur donnerais a tes patients

professeur moi meme

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Invité lateteatoto

Moi je trouves ces textes plutôt intéressants et je les soupçonnerais même de dire pas mal de vérités 4-spamafote.gif

Relis bien ce qui est écrit, Exos, rien ne remet en question le vécu parfois très difficile de personnes déclarées positives au vhc.

Le foie est en effet un organe et un filtre essentiel.

Ce qui est questionné ici c'est ce qui l'abime ou le rend malade ?

Est-ce vraiment un virus, encore un, que l'on n'a jamais vu?

Modifié par lateteatoto
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(lateteatoto @ Lundi 26 Septembre 2005, 10:24)

Moi je trouves ces textes plutôt intéressants et je les soupçonnerais même de dire pas mal de vérités 4-spamafote.gif

Relis bien ce qui est écrit, Exos, rien ne remet en question le vécu parfois très difficile de personnes déclarées positives au vhc.

Le foie est en effet un organe et un filtre essentiel.

Ce qui est questionné ici c'est ce qui l'abime ou le rend malade ?

Est-ce vraiment un virus, encore un, que l'on n'a jamais vu?

slt

en tout cas

toi tu l'as jamais vu

moi je le sens le virus

et crois moi l'interferon et la ribavirine je les sens aussi

a vrai dire je sens tout meme mes chakras tourner

c'est lourd parfois de ressentir les choses si profondement

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moi perso, je conseillerais d arreter l alcool et de manger tous les jours des fruits et legumes reconnus pour aider le foie....genre endives, radis noir..du soufre, du selenium....irais voir une homeopathe ......eviterais des susbtances connues pour defoncer le foie ( doliprane inclus et surtout )..continuerais à surveiller le taux des transaminases......et attendre !....bref c est pas les infos qui manque sur le net .

enfin je connais un sero au vih et à l hepatite c ancien toxico.

bon il prends une tri therapie, dangeureuse pour le foie...........en plus de celle ci ses toubibs lui ont proposés le traitement anti- HVC....il a pris durant............5 jours.........deja le fait de se piquer lui meme ça l a refroidi ( et c est un pro medoc ).......donc cela fait maintenant 5 ans qu il a arrete cela.........ses transas sont toujours elevées moderement ( effets secondaires de la tri therapie)....lui meme ne sait pas du tout ce qu est une transaminase........il s en fout completement.........et il va bien !........il continue de fumer mais ne bois plus d alcool mais prends des tas de medocs reconnus pour esquinter le foie.........bien ma foie, il va bien ! et il est serop pour ces deux virus depuis les années 80 et prends une tri depuis 7 ans !.

je vous invite à ce sujet à lire l article sur ardisson du tele 7 jours.......

un cancer du foie ne se declare pas en 10 ans.............il peut se declarer a 70 ans meme !

dans l immediat ou est le benefice risque d un traitement dont on en connait encore moins les effets secondaires que l hepatite elle meme !!!!

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franchement oui j en ai beaucoup d autres comme celle la !

si tu sais pas faire la difference entre hepatite et cancer hepatique soit disant due au vhc ....mea culpa !...avoir ou faire une hepatite ne veut pas dire que l on a ou que l on va faire un cancer de foie ! cest comme le vih et le sida......c est pas parce que tu es sero que tu vas avoir le sida, de meme que tu peux avoir le sida sans etre seropo......pour le vhc c est la meme chose.

voilà, j avais fais un long message mais je prefere pas le laisser s afficher....chacun fait ce qu il veut......tu as un clavier et un ecran : sers toi en et fais ce que tu as envies pour que tu te sentes bien............le danger dans tout cela c est le doute......soit tu y adheres, soit tu rejettes le tout mais d etre en les deux c est pas sain .

ici causes de certaines on recherche les vraies maladies dites virales et c est tout......pourquoi ?

car à ce jour les virus sont un mythe et personne n a pu clairement demonter leur existence reelle, sauf pour ebola......pour celui là, on sait qu' une fois attrapé tu en as pour dix minutes à vivre.......du moins en se basant sur les VRAIES DONNEES de la science et jusqu a preuve du contraire !.

mais libre à toi de croire ce que tu veux !!! l important est que tu sois bien informé afin de ne pas de transformer en mouton !......puis sinon que fais tu ici ?......serais tu dans le doute ??

ce qui m a fait reagir c est que tu as ecrit :

moi je le sens le virus...

l interferon aussi!!...

lol !! des deux, le quel *sens* tu le plus ???

tu en as beaucoup des comme celle la ???.

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"car à ce jour les virus sont un mythe et personne n a pu clairement demonter leur existence reelle, sauf pour ebola......pour celui là, on sait qu' une fois attrapé tu en as pour dix minutes à vivre.......du moins en se basant sur les VRAIES DONNEES de la science et jusqu a preuve du contraire !." Amusant ! En plus tu te contredis dans ta phrase. En quoi selon toi mourir en 2 jours serait la preuve d'une infection virale ?!!!!!

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Non, Ebola aussi, c'est des conneries. Les africains morts ont du l'être après un empoisonnement massif à une substance chimique causant des hémorragies. Faudrait voir quelle substance naturelle présente dans l'eau peut causer ce genre de truc. Ou alors, ils ont pris des médicaments causant des hémorragies (c'est pas ça qui manque).

Tiens, par exemple, des médecins ont rapporté que le Chloramphenicol tuait les enfants par hémorragie :

En Europe et aux USA l'utilisation du Chloramphenicol pour les enfants a été retiré de la circulation en 1970. Les effets secondaires tels que l'aplasie passagère de la moelle osseuse, l'aplasie irréversible de la moelle osseuse, ou encore l'anémie isolée sont connus. Nous avons vu perdre leur sang et mourir des centaines d'enfants à Kantha Bopha des suites de cette complication médicale survenue dans des cliniques extérieures : il n'existe pas de traitement contre cette complication.

Modifié par aixur
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(Terry @ Lundi 26 Septembre 2005, 21:36)

franchement oui j en ai beaucoup d autres comme celle la !

si tu sais pas faire la difference entre hepatite et cancer hepatique soit disant due au vhc ....mea culpa !...avoir ou faire une hepatite ne veut pas dire que l on a ou que l on va faire un cancer de foie ! cest comme le vih et le sida......c est pas parce que tu es sero que tu vas avoir le sida, de meme que tu peux avoir le sida sans etre seropo......pour le vhc c est la meme chose.

voilà, j avais fais un long message mais je prefere pas le laisser s afficher....chacun fait ce qu il veut......tu as un clavier et un ecran : sers toi en et fais ce que tu as envies pour que tu te sentes bien............le danger dans tout cela c est le doute......soit tu y adheres, soit tu rejettes le tout mais d etre en les deux c est pas sain .

ici causes de certaines on recherche les vraies maladies dites virales et c est tout......pourquoi ?

car à ce jour les virus sont un mythe et personne n a pu clairement demonter leur existence reelle, sauf pour ebola......pour celui là, on sait qu' une fois attrapé tu en as pour dix minutes à vivre.......du moins en se basant sur les VRAIES DONNEES de la science et jusqu a preuve du contraire !.

mais libre à toi de croire ce que tu veux !!! l important est que tu sois bien informé afin de ne pas de transformer en mouton !......puis sinon que fais tu ici ?......serais tu dans le doute ??

ce qui m a fait reagir c est que tu as ecrit :

moi je le sens le virus...

l interferon aussi!!...

lol !! des deux, le quel *sens* tu le plus ???

tu en as beaucoup des comme celle la ???.

c'est ta logique

tu crois que

tu penses que

c'est l'esprit ton esprit qui pense comme ca

t'es concerné personnellement dans ton corps ?

tu vis avec la maladie tu la ressents au plus profond de toi ?

mais tu es la pour dire ce qu'il faut faire et pas faire

tu es la pour dire etc...............

tu me fais une demonstration de sujet que tu ne connais meme pas comme si tu avais besoin de m'apprendre quelque-chose ( pourquoi pas mais pas comme ca)

sache que l'hepathite a des symptomes et qu'elle evolue ou pas vers un la cirrhose ou vers le cancer

tu peux rester toute ta vie en surveillant ton hygiene de vie uniquement avec le virus

mais alors la

la maladie la fatigue chronique la circulation du sang l'asthenie etc..

qu'es que tu preconises

monsieur le proffesseur terry ca va las

je vois pas ce qu'on a faire les moutons ici

surtout pourquoi je me transformerais en mouton ?

ca c'est ton esprit et ton imaginaire

commence deja part les soigner

avant de donner des lecons et avertissements aux autres

cela peut-etre dangereux pour toi

la loi de causalité a des effets redoutable

tu es a la limite dangereux puis que tu empecherais quelqu'un de se soigner

uniquement sur tes croyances fausses

quand au mythe (virus virtuel ?)

le jour ou je l'ai recu

je suis rester couché pendant plus d'un mois

quand au travail de ce virus virtuel

cela fait 25 ans que je mesure pleinement son travail sournoi contre mon organisme

mais il arrive un jour ou

tu ne peus pas faire autrement que de le prendre

question de vie ou de mort

dessine -moi un mouton ...............

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Source :

http://www.beat-richner.ch/Publications/ri..._chlorampF.html

de plus, on peut lire le guide des soins en afrique du sud, et on constate que le chloramphénicol est recommandé pour de nombreuses infections (ainsi d'ailleurs que le bactrim et le métronidazole) :

http://www.hst.org.za/uploads/files/edlpaed.pdf

Modifié par Cheminot
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Invité vincesurfeur

quand au mythe (virus virtuel ?)

le jour ou je l'ai recu

je suis rester couché pendant plus d'un mois

quand au travail de ce virus virtuel

cela fait 25 ans que je mesure pleinement son travail sournoi contre mon organisme

mais il arrive un jour ou

tu ne peus pas faire autrement que de le prendre

question de vie ou de mort

dessine -moi un mouton ...............

plutot que de continuer a te detruire la santé, va donc chercher la chercher cette colere qui fait de ton corps un "nid a virus".

je l'ai eu l'hepatite C, un don de sang effectué a l'armée l'a revelé et c'est la raison qui fait que mon sang n'a pas ete utilisé.

seulement voila, les analyses supplémentaires ont aussi révélés que mon corps avait fait son travail et c'est lui qui a supprimé l'hépatite de mon corps. pas ru besoin de médicament.

un traitement homéopathique de fond aura raison des sequelles sur les plans energetiques 3 ans apres.

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mais pour ebola par ex comment expliquer si c'est par cotamination eau ou médicament des problèmes ponctuels type hémorragies apparaissent sur une durée courte , dans des endroits isolés et que ça ne touchent pas toute l'Afrique et qui cessent dès la mise en place de mesures telles gants masques etc.....

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NICO c est pas moi qui me contredit mais la science , elle meme !......merci à aixur pour ta precision....honnetement je n avais pas fait le rapprochement entre ebola et l'antibio, pourquoi pas, ce serait pas la première fois que l on sers de virus comme leurre.....exos, desolé mais je ne conseille à personne de ne pas se soigner ou de se soigner !...je suis peu etre fou mais pas à ce point......je ne donne pas d avertissements.....et ne suis pas dangeureux quand je souhaite que nous soyons tous correctement informés....c est plus tot l esprit et l imaginaire de CERTAINS scientifiques/professeurs qu il faudrait soigner!.....en ce qui te concerne, je te le redis, sans agressivité et avec toute sincerite : fais ce qu il te plait afin que tu sois bien dans ta peau.

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Ben tu dis quand même "les virus n'existe pas mais Ebola si ????!!!!!!"

Le problème n'est pas n'est pas pour moi de faire ce qu'il me plait etc.... c'est de savoir si les affirmations des uns et des autres sont vraies et se faire sa propre opinion en posant des questions et en discutant.

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(vincesurfeur @ Mardi 27 Septembre 2005, 08:45)
quand au mythe (virus virtuel ?)

le jour ou je l'ai recu

je suis rester couché pendant plus d'un mois

quand au travail de ce virus virtuel

cela fait 25 ans que je mesure pleinement son travail sournoi contre mon organisme

mais il arrive un jour ou

tu ne peus pas faire autrement que de le prendre

question de vie ou de mort

dessine -moi un mouton ...............

plutot que de continuer a te detruire la santé, va donc chercher la chercher cette colere qui fait de ton corps un "nid a virus".

je l'ai eu l'hepatite C, un don de sang effectué a l'armée l'a revelé et c'est la raison qui fait que mon sang n'a pas ete utilisé.

seulement voila, les analyses supplémentaires ont aussi révélés que mon corps avait fait son travail et c'est lui qui a supprimé l'hépatite de mon corps. pas ru besoin de médicament.

un traitement homéopathique de fond aura raison des sequelles sur les plans energetiques 3 ans apres.

Dans le monde réel, ceux qui cherchent le remède le plus semblable à leur hépatite sont les plus vernis, car ils utilisent la seule méthode capable de faire disparaîre rapidement et les désordres biochimiques, et la fatigue liée à la maladie.

Quand je vois quelqu'un souffrir d'une hépatite, et que la faculté, comme d'ab, peine à la soigner, mon sang ne fait qu'un tour, et je lui propose le remède le plus semblable, ce qui fait tout disparaître en un mois.

C'est souvent le phosphore, parfois la grande chélidoine, de temps en temsp le venin de crotale, mais l'important, c'est que la démarche de recherche du remède le plus semblable conduit à la guérison clinique. Pour le guérison réelle - c'est-à-dire qu'il ne reste plus aucune trace de l'hépatite dans les diverses substances chimiques présentes dans le foie (ARN, ADN, que sais-je encore), je suis plus dubitatif. Mais sur 30 ans, on voit que cela tient, dans la mesure où on n'esquinte pas son foie avec les substances volatiles bien connues en France et qui font une partie de sa richesse.

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(Nico111 @ Mardi 27 Septembre 2005, 10:33)

Ben tu dis quand même "les virus n'existe pas mais Ebola si ????!!!!!!"

Le problème n'est pas n'est pas pour moi de faire ce qu'il me plait etc.... c'est de savoir si les affirmations des uns et des autres sont vraies et se faire sa propre opinion en posant des questions et en discutant.

en étudiant un peu tout cela, j'ai tendance à penser que certains ARN, mutés pas les substances chimiques, peuvent générer des protéines toxiques, ces ARN étant transmissibles, car rien ne les détruit rapidement dans l'environnement. Si le système immunitaire fonctionne mal, ces ARN et les protéines associées (que la machinerie moléculaire synthétise obligatoirement en présence des codons de cet ARN muté) ne sont pas éliminés par les cellules destructrices, alors leur toxicité peut s'exprimer.

Tout est d'abord, à mon avis, un problème d'hygiène de vie et de soins adéquats lors des maladies transitoires que chacun subit. Et pour moi, c'est la recherche du remède le plus semblable qui seule peut permettre des soins corrects.

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Nico et Didier, en étudiant un gros pavé de biochimie, je suis tombé sur la biosynthèse des ribonucléotides et des désoxyribonucléotides dont ont besoin les cellules pour transcrire et traduire le code génétique.

Eh bien, Irwin Rose a montré que les seconds sont obtenus à partir des premiers par réduction avec, tenez-vous bien, les thiols d'une protéine (la ribonucleotide réductase).

On peut donc aussi comprendre la présence d'ARN libre (et non d'ADN) dans les lymphocytes T comme résultant d'une déficience en thiols de cette protéine, déficience provoquée par le stress oxydatif qu'ont subi les personnes qui sont séropositives voire malades.

(puisqu'il y a déficience en glutathion, il doit aussi y avoir déficience générale en thiols, non?)

Cela permettrait de comprendre pourquoi ce qu'on a trouvé chez ces personnes est "virus" à ARN et non à ADN...Qu'en pensez-vous?

Modifié par Cheminot
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Voyons, tu me dis que c'est pour cela qu'on trouve un virus à ARN et pas ADN (mais au fond l'un ou l'autre peu importe si on ne croit pas que ce virus existe non ?) mais en fait il existe les formes intégrées de ce virus sous forme d'ADN dans le génome des personnes infectées (de une à plus de 10 copies). Ensuite c'est cet ADN qui sert à la synthèse d'ARN et de nouveaux virus.

Stress oxydatif donc plus de desoxi nucléotides donc plus de rétrotranscription de l'arn du virus en ADN ok mais l'abscence de ces nucléotides est fatale à la cellule qui va mourir très rapidement. De plus comment expliquer que ce stress ne touche que les T4 alors ? On devrait retrouver ces ARN dans tous les types cellulaires.

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