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Malade quatre mois après avoir été contamin&eacut


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Malade quatre mois après avoir été contaminé par le VIH

Un homme contaminé par le VIH à la suite de rapports homosexuels non protégés avec de multiples partenaires est tombé malade du sida seulement quatre mois plus tard et ce, malgré un traitement combinant les différents antirétroviraux disponibles. Ce cas de sida, à la fois fulgurant et multirésistant, a été révélé vendredi par les services sanitaires de la mairie de New York, dans un contexte d'extrême inquiétude face à une résurgence des conduites à risques, dans la métropole américaine comme dans la plupart des pays développés. Il tombe à point nommé pour rappeler que les succès enregistrés par les thérapies anti-VIH ne sauraient être le prétexte à un abandon de la prévention. Au contraire. Ces traitements au long cours favorisent l'émergence de souches multirésistantes à un rythme plus rapide que l'innovation pharmaceutique. Mais l'apparition d'un virus qui serait, de surcroît, fulgurant rendrait cette course thérapeutique encore plus infernale.

Libération.fr

«L'hypothèse d'un nouveau virus du sida est prématurée»

Gianfranco Pancino, directeur de recherches à l'Inserm, revient sur l'apparition d'un cas atypique, ultrarésistant et fulgurant, révélée vendredi à New York.

Par Corinne BENSIMON

Le cas annoncé à New York d'une personne contaminée par le sida et présentant, malgré tous les traitements, un développement ultrarapide de la maladie, préfigure-t-il un tournant dramatique de la pandémie ? Gianfranco Pancino, directeur de recherches à l'Inserm, étudie depuis vingt ans, à l'Institut Pasteur, les défenses naturelles contre les virus, notamment celui du sida. Il analyse les probabilités d'un tel scénario-catastrophe.

Le cas présenté à New York vous paraît-il inquiétant ?

Pour l'instant, nous n'avons pas assez d'éléments sur ce cas isolé pour nous prononcer. On ne sait pas, notamment, si cet homme ­ qui prenait au moins une drogue ­ n'avait pas une immunité déficiente. L'héroïne, par exemple, a tendance à faire chuter les défenses immunitaires. Il serait donc tout à fait prématuré de dire que nous avons affaire à un nouveau virus. Toutefois, il est légitime de s'inquiéter. Car ce cas a quelque chose d'étonnant : il est à la fois résistant à pratiquement tous les médicaments et extrêmement fulgurant.

En quoi cela est-il surprenant ?

Aucun de ces caractères, pris isolément, n'a rien d'exceptionnel. On sait en effet qu'environ 5 à 10 % des personnes contaminées développent la maladie en un temps assez court. On sait aussi que les traitements échouent dans environ 20 % des cas. Mais c'est la première fois qu'on constate à la fois une multirésistance et un développement rapide de la maladie. Toutefois, on ne peut pas dire aujourd'hui si cela est dû au virus. Il semble plus probable que cette évolution n'ait rien à voir avec la souche virale.

Comment peut-on expliquer ce cas ?

Les échecs thérapeutiques ont le plus souvent deux causes. Ou bien ils sont dûs au fait que le système immunitaire du malade reste faible malgré la baisse du nombre de particules virales consécutive au traitement : on constate notamment que, pour une raison mystérieuse, le nombre de lymphocytes CD4 reste bas. Ou bien, le sujet présente une vulnérabilité naturelle au virus. En effet, de même que l'on a découvert des gènes de résistance au virus VIH, on sait que certains types de gènes favorisent la progression du virus. Cependant, on ne peut pas exclure que, dans le cas new-yorkais, ce soit le profil du virus et non pas le profil du patient qui soit en cause. Il est possible que cet homme ait été contaminé par un virus muté, devenu multirésistant et virulent. On connaît, chez le singe, des virus d'immunodéficience à développement très rapide. Il n'est donc pas impossible qu'un tel virus apparaisse chez l'homme. Mais c'est là l'hypothèse qui me semble la moins probable.

Pourquoi un tel scepticisme ?

La multirésistance aux drogues antivirales et la virulence sont deux caractères considérés comme contradictoires. Un virus résistant aux médicaments est un virus qui leur a échappé parce qu'il a acquis certaines mutations génétiques. Celles-ci sont plus nombreuses si les molécules thérapeutiques sont multiples. Or, on a pu vérifier par des expériences in vitro que l'accumulation de mutations a tendance à ralentir la capacité de réplication du virus. Un virus «sauvage», sélectionné uniquement par le système immunitaire de son hôte, est bien adapté à cet hôte. Mais un virus qui doit en plus échapper à des médicaments se développe a priori moins vite.

Comment pourra-t-on faire la lumière sur les causes de ce cas atypique ?

On ne peut pas savoir, en analysant les gènes du virus, s'il s'agit d'une souche particulièrement virulente, car on ne connaît pas de gènes déterminant une hypervirulence. On peut néanmoins mener une enquête sur ce virus. C'est ce qu'a entrepris, à juste titre, l'équipe de chercheurs qui travaille avec la mairie de New York. Elle tente de retrouver les personnes qui ont eu des relations sexuelles avec cet homme. L'objectif est de savoir s'il y a eu d'autres cas similaires, non repérés par les services de santé. Cet homme semble avoir développé un sida quatre mois à peine après sa contamination. Supposons que le virus recèle l'explication de ce développement express. En tout état de cause, quatre mois, c'est trop court, vraisemblablement, pour qu'il se soit transformé en virus fulgurant. Il est plus probable que cet homme a hérité d'un virus déjà muté. Si on arrive à trouver plusieurs cas, alors on pourra mieux établir son profil et déterminer si on assiste vraiment à l'émergence d'une nouvelle souche redoutable.

Les antirétroviraux favorisent-ils l'émergence d'un tel virus ?

Ces thérapies sont longues. Elles ont pour effet bénéfique de réduire la charge virale chez les personnes contaminées et de faire reculer la maladie. Mais en contrepartie, elles ont, logiquement, tendance à sélectionner les virus multirésistants. Les bactéries suivent la même évolution face aux antibiotiques. Il est donc très important, d'une part, de suivre correctement les traitements afin de diminuer au maximum la charge virale, et d'autre part, de ne pas relâcher les incitations à la prévention et à l'usage des préservatifs. Cependant, les antirétroviraux ne favorisent pas l'apparition de souches à réplication rapide. Au contraire, ils ont tendance à rendre les virus moins performants. Au point qu'on a pu rêver que, sous l'effet des traitements, le virus finisse par s'atténuer jusqu'à disparaître. Toutefois, quelques centaines de milliers de cas seulement sont traités, alors qu'il y a dans le monde des millions de personnes contaminées. Les deux caractères ­ virulence et multirésistance ­ ont donc une faible probabilité d'être cumulés par une même souche. Néanmoins, ce qui est faiblement probable reste toujours possible...

Libération.fr

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Et pourtant, les choses deviennent évidentes quand on lit la publication suivante :

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.f...t_uids=15234256

où ils indiquent :

Brain Res. 2004 Jul 30;1016(1):90-5. Related Articles, Links 

 

Effect of antioxidant N-acetyl-L-cysteine on behavioral changes and neurotoxicity in rats after administration of methamphetamine.

Fukami G, Hashimoto K, Koike K, Okamura N, Shimizu E, Iyo M.

Department of Psychiatry, Chiba University, Graduate School of Medicine, 1-8-1 Inohana, Chuo, Chiba 260-8670, Japan.

Several lines of evidence suggest that oxidative stress may play a role in the behavioral changes and neurotoxicity in rats after administration of methamphetamine (MAP). N-acetyl-L-cysteine (NAC) is a precursor of glutathione, and it also exerts as an antioxidant. In this study, we investigated the effects of NAC on the behavioral changes (hyperlocomotion and development of sensitization) and neurotoxicity in male Wistar rats after administration of MAP. Pretreatment with NAC (30, 100 or 300 mg/kg, i.p.) attenuated significantly hyperlocomotion in rats induced by a single administration of MAP (2 mg/kg, i.p.), in a dose-dependent manner. Furthermore, pretreatment with NAC (100 mg/kg, i.p., 15 min before MAP injection, once daily for 5 consecutive days) blocked significantly the development of behavioral sensitization in rats after repeated administration of MAP (2 mg/kg, once daily for 5 consecutive days), whereas the behaviors in rats after repeated administration of NAC plus saline groups were not different from those of control (vehicle plus saline) groups. One week after administration of MAP (7.5 mg/kg x 4, 2-h intervals), levels of dopamine (DA) in rat striatum were significantly decreased as compared with control groups. Pretreatment with NAC (1, 3, 10 or 30 mg/kg, i.p., 30 min before each MAP injection) attenuated significantly the MAP-induced reduction of DA in rat striatum, in a dose-dependent manner. These results suggest that NAC could prevent the behavioral changes (acute hyperlocomotion and development of behavioral sensitization) in rats and neurotoxicity in rat striatum after administration of MAP, and that NAC would be a useful drug for treatment of several symptoms associated with MAP abuse.

On constate que le NAC (précurseur de glutathion) atténue de manière significative (c'est-à-dire énormément) les effets du crystal meth. De là à dire que le crystal meth est un précurseur d'oxydant azoté, il n'y a qu'un pas très facile à franchir pour tout chimiste.

Modifié par Cheminot
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German,

Un cas monté en épingle par un média et la panique reprend. Si dans ce cas, les pratiques empoisonnantes de lintéressé semblent en cause, lempoisonnement des médias, quant à lui continue.

Oui, en fait le $IDA, cest surtout une histoire de manipulation de masse! Et sous cet aspect, cest plutôt bien foutu! puni.gif

Regardez comment, une fois de plus, linformation est manipulée et vous manipule! Pourquoi toute cette manipulation??

A+,

Le "chameau" qui a la bosse du $IDA!

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http://www.nida.nih.gov/Infofax/Methamphetamine-Sp.html

Au niveau physique la metamfetamine provoque une augmentation de la pression artérielle et cardiaquedilatation des pupielles , élévation du sucre sanguin, manque de sommeil et appétit, irritation gastro-intestinale et parfois diarrhée. En hautes doses provoque en outre, transpiration, tremblement d'extrémités inférieures et mains, nez et bouche seches , ainsi que les modifications respiratoires et dans la fréquence cardiaque beaucoup plus remarquables.

À long terme les organes les plus touchés sont le foie et les reins ; malnutrition, épuisement, dommages cardiovasculaires et une neurotoxique précédée par méfiance, sensation de d'être observé et conduites repetitivas;aunque n'est encore pas pleinement vérifiée, il peut aussi y avoir détérioration neuronale. Une lésion spécifique en rapport avec l'utilisation chronique de metamfetamine est l'arteritis necrosante qui peut affecter nombreuses petites artères et produire de l'insuffisance rénale ou de l'hémorragie cérébrale dans des cas mortels.

http://www.cetpa.org/popup_metanfetamina.asp

Les recherches faites dans des animaux qui datent depuis plus de 20 années montrent que les hautes doses de metanfetamine endommagent les terminaisons cellulaires des neurones. Les neurones qu'ils contiennent dopamina et serotonina ne meurent pas après l'utilisation de metanfetamina, mais les terminaisons nerveux ("terminaux") sont découpés et une nouvelle croissance paraît être limité.

En fait cest la cause du sida

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Bonjour à tous....

Les articles que j'ai lu en espagnol et en anglais mettent l'accent sur la consommation de métamphétamine pour expliquer la résistance à la trithérapie de ce soi-disant nouveau sida.... Interaction croisée...

L'intéressant dans l'affaire, c'est la métamphétamine... qui se donne à nos petits quant ils sont trop "actifs".... ou ADHD... Mais plutôt que de reconnaître ses effets secondaires, hors de tout contexte pathologique, ce qui obligerait le système thérapeutique à revoir sa copie, il vaut mieux brandir le spectre d'un nouveau virus mortifère....

Voici ce que j'ai écris à ce sujet (voir page web)

Parmi les différents médicaments psychostimulants qui sutilisent "normalement" pour traiter la ADHD, on trouve:

* D. L - amphétamine (Adderal (une combinaison damphétamines et de dextroamphétamine), Benzédrine, Bifetamine).

* Métamphétamine (Desoxyn).

* D - amphétamine ou dextroamphétamine (Dexedrine)

* Méthylphénidate (Ritalíne, Métadate, Concerta, qui se libère plus lentement que le simple méthylphénidate).

* La Pemoline ou Cylert, qui n'appartient pas à la famille des amphétamines.

On classifie les psychostimulants en: cocaïne, hallucinogènes d'origine naturelle et synthétique, amphétamines et métamphétamines. Tout d'abord, il faut insister que ce qui sépare un médicament d'une drogue, mis à part sa pureté et sa voie d'administration, est la dose absorbée. Malgré cette distinction, les Big Pharma ne peuvent ignorer qu'ils vendent, bien que ce soit par voie indirecte, des principes actifs de substances chimiques addictives.

... Dans un cadre socio-historique, les amphétamines furent détournées de la voie thérapeutique pour être offertes aux troupes durant la seconde guerre mondiale. Les états-majors les distribuèrent pour alléger la fatigue des soldats, prolonger leur état de vigilance et surtout, pour enrayer les épidémies de dépression. Des doses généreuses d'amphétamines formaient partie du barda de l'infanterie allemande des Blitzkriegs et des soldats de la Luftwaffe. Pour pouvoir aller s'écraser sans ciller contre l'ennemi, les kamikazes japonais étaient "littéralement embaumés à la métamphétamine". Après la guerre, beaucoup de japonais continuèrent à la consommer sous forme injectable. En Angleterre, la majeure partie des doses disponibles de métamphétamine fut mise à disponibilité des troupes de Montgomery et des forces aériennes, à tel point que les manchettes d'un journal londonien firent la Une en 1941 avec ce titre: "la méthédrine gagne la bataille de Londres." La quantité de dérivés amphétaminiques qui fut fournie aux soldats américains, détachés en Angleterre, se compta en 180 millions de comprimés et, en 1942, il se vendit autour de 65 millions de doses à Stockholm et à Gotenborg (Suède).

Après la guerre, la vente continua à coups de slogans prometteurs: "deux comprimés sont plus efficaces qu'un mois de congé." ...(...)... "La Simpatine Lefa (années 70) supprime la sensation de fatigue, la dépression et la léthargie. Elle augmente l'optimisme et les capacités intellectuelles, en stimulant l'intelligence grâce à son action sur le cortex cérébral. En outre, elle augmente le rendement physique, faisant que son usage soit largement répandu chez les étudiants, les sportifs, les militaires et, en général, chez toutes les personnes qui doivent réaliser ponctuellement des efforts supérieurs a la normale...(...)... Son emploi rend beaucoup plus facile l'abstinence chez l'alcoolique et combat efficacement la consommation immodérée des hypnotiques." En 1950, pour son sa seule consommation interne, les Etats-Unis produirent 1000 tonnes d'amphétamines, soit 80 doses par personne, enfants inclus. A la même époque, les amphétamines se "consommèrent", de plus en plus, par voie intraveineuse.

Des personnages fameux prirent régulièrement de la métamphétamine injectable: Adolf Hitler pour alléger ses douleurs - John F. Kennedy contre sa douleur chronique du dos. - ou encore des sportifs.11 La champion du monde, le fameux cycliste T. Simpson mourut en 1967 après avoir pris de la métamphétamine. Connue comme le "speed" (entre autres), elle inclut dans la saga de ses consommateurs célèbres Charlie Parker, Judy Garland, Johnny Cash, Elvis Presley, etc... En 1972, plus de 100 spécialités pharmaceutiques contenaient des amphétamines et quasi 12% des prescriptions médicales faisaient appel à elles.

Quant à l'usage thérapeutique des amphétamines, outre qu'elles étaient prescrites pour soigner des troubles très divers, leur prestige était si grand que la psychiatrie l'introduisit dans sa pharmacopée, via intraveineuse, dans le traitement de l'hystérie, ce qui provoquait le salutaire "shock amphétaminique". Peu après, l'on se rendit compte que de telles doses provoquaient des lésions cérébrales irréversibles ou des psychoses paranoïdes. Mais plus que ces observations cliniques, ce fut leur consommation à échelle mondiale comme "drogue récréative" et "aide précieuse dans les études" qui mit fin à cet état de fait lorsque les morts par overdose se multiplièrent de façon alarmante.

En 1971, le Controlled Substancie Act définit le cadre légal et les règles qui assujettissaient les amphétamines au contrôle international, bien qu'elles n'étaient pas encore considérées comme des substances dangereuses, sinon comme des "psychotropes", dénomination qui remplaça celle de "stupéfiants". Leur monopole et leur vente furent donc régulés et chaque partie impliquée et signataire se compromit à: "limiter à des fins scientifiques et médicales, par des moyens que chacun jugerait appropriés, la fabrication, l'exportation, la distribution, les stocks, le commerce, l'utilisation et la possession de ces substances." Aujourd'hui, les psychostimulants appartiennent à la liste connue comme liste II. Bien que la cocaïne soit une substance analogue aux amphétamines, elle fut cependant classifiée comme narcotique et resta dans cette classification. L'Administration Fédérale de Réglementation des Drogues (FDA) classifie le méthylphénidate (et les dérivés amphétaminiques ) comme une drogue qui répond à une légitimité médicale, mais qui possède néanmoins un très haut risque de drogodépendance et qui appartient a la même classification que la morphine. Ces classifications sont régulièrement mises à jour.

... Et après, on s'étonne que de plus en plus d'enfants naissent malades....

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  • 1 month later...
Invité rock-en-rock

On reparle encore de ce cas "foudroyant" à New York ...

Ca agace un peu les "chercheurs" français ... on leur vole un peu le haut de l'affiche ... alors, ils disent qu'ils ont aussi cela en magasin ...

Pourquoi cette mise en exergue médiatique ?

Plusieurs explications sont possibles ...

a) la simple relation de la vérité brute ... pourquoi pas mais on n'est peu habitué à cela ...

b) l'étanchement de la soif de reconnaissance de quelques blouses blanches ... c'est plus probable ...

c) le deuxième argument + la course aux subventions ... là, c'est très probable ...

En dénominteur commun, la volonté "politique" de garder le grand public en haleine ... les survivants à long terme font un peu chier le monde ... alors pour maintenir la pression, il est nécessaire que personne ne puisse se dire : " Bof, on a le temps ... "

Ce cas "foudroyant" a l'immense avantage de contrer ces "mauvaises" réactions ...

Pas mal ... bien joué ... en terme de communication ...

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J'ai lu aussi dans la presse la découverte, il ya deux semaines, de HTLV 3 et HTLV 4. Quelques jours après le super VIH.

Et d'ou sont les chercheurs à votre avis: l'universite de Baltimore. Et qui on trouve la bas ? la bande à Gallot ...

Lui aussi veux peux être revenir dans les médias ? Ou a t-il besoin de budget ?

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Invité rock-en-rock

Pour les brevets ne t'inquiète pas Ben ...

Rien à craindre après 2013 ... tout est prévu ... on "améliore" (en ajoutant un P quelque chose), on reconditionne et on réemballe le tout ... et c'est reparti pour 20 ans à se faire des couilles en or ...

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Invité rock-en-rock

Tout bon produit (tel un test) doit être suivi d'une démarche "après vente" ... d'ailleurs, je pense que les tests sont un produit d'appel qui pourrait être gratuit ... Ah ils le sont ? ...

Le test est à la médecine ce que l'imprimante jet d'encre est à l'informatique ...

... On rentabilise l'investissement sur les cartouches ... icon_biggrin.gif

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J'ai lu aussi dans la presse la découverte, il ya deux semaines, de HTLV 3 et HTLV 4. Quelques jours après le super VIH.

Et d'ou sont les chercheurs à votre avis: l'universite de Baltimore. Et qui on trouve la bas ? la bande à Gallot ...

Lui aussi veux peux être revenir dans les médias ? Ou a t-il besoin de budget ?

bizarre, ne trouvez-vous pas :

on parle aujourd'hui d'HTLV3, alors que c'est le nom donné par Gallo au vih actuel. Ils s'amusent comme des gamins à se f... du monde.

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Le coté savoureux de l'affaire, si l'on peut utiliser cette expression dans une telle arnaque, réside dans l'absence d'analyse du monde scientifique ou journaliste scientifique qui ne devrait pas en principe présenter une telle myopie ainsi qu'une telle dégénérescence mémorielle

Je me demande, sans souhaiter l'insulter ce que pourrait nous en dire pikpikandre que je n'ai plus lu depuis longtemps

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Invité rock-en-rock

Nous pouvons parler même de "pornographie mémorielle" ...

Non ? ... il ne faut pas ? ... bon alors je me tais ... 4-ptdrasrpt.gif

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