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forum sidasante

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Posté(e)

Cela, il faut le demander aux médecins.

Cependant, on peut remarquer que pratiquement toutes ces maladies sont des "moisissures" (mycobactéries, cryptococcidies, etc...) (voir le travail de ^pierre^ sur un topic voisin)

Posté(e) (modifié)

Bonjour,

Apparemment on observerait une perte de soufre dans les urines des personnes atteintes du Sida (comme chez les autistes, et d'autres! ).

Est ce que voir un rapport entre ce phénoméne et les caractéristiques des maladies opportunistes procéderait d'un raisonnement trop simpliste?

Je n'ai pas pu trouver le travail de Pierre!

Amicalement,

Modifié par sicnarfa
Posté(e)

cette perte de soufre (sous forme de sulfate) est le signe manifeste de l'oxydation de la cystéine par les divers agents oxydants dont on parle sur le topic principal de ce forum sur le sida. En fait, le stress oxydatif (et non le vih) est à l'origine de cette perte de soufre, ce qui empêchera les cellules immunitaires de survivre (apoptose par excès d'oxydants nitrés), formant un terrain favorable aux mycoses et à toutes les espèces vivantes qui se développent sur des cellules mortes.

Posté(e)

Bonjour,

Dans la mesure ou tous le monde est exposé aux agents oxydants et que trés peu d'entre nous developpe un Sida ,on peut il me semble ,raisonnablement penser , que si ces agents oxydants sont nécessaires , ils ne sont pas suffissant pour tous expliquer.

Qu'est ce qui fait la différence?

-Le terrain?

-Les circonstances?

-Des synergies particuliéres?

-La formation de molécules particuliéres qui pourraient agir comme une sorte de catalyseur [(ni vu, ni connu )-(patience et longueur de temps)]

Dans ce dernier cas ces molécules pourrait dans certaines circonstances se transmettre d'un individu à un autre comme un phénoméne infectieux.

Amicalement,

Posté(e)

bonjour,

j'ai déjà exposé ici ce qu'il m'apparaît, à la lecture de diverses et nombreuses publications.

certes, nous sommes tous exposés aux oxydants (ROS en particulier), et heureusement, sinon le métabolisme ne fonctionnerait pas.

Mais les oxydants dont je parle (et surtout dont parle le groupe de Perth, Heirich Kremer et Stefan Lanka), ce sont les oxydants comportant une liaison entre un azote et un atome plus électronégatif que le carbone : N-N, N=N, N=O, N-O et N-Cl

Apparemment, ces composés ne sont pas gérés correctement par les enzymes oxydorductrices du métabolisme et conduisent au final à une détérioration persistante du système rédox qui fait partie intégrante du système immunitaire.

"Ni vu ni connu" dites-vous! On trouve en réalité un nombre incalulable de publications qui montrent cette détérioration sous l'effet des oxydants azotés mal contrôlés. En particulier, il s'agirait de tous les "médicaments" qui contiennent ces groupements : bactrim, nitrofurantoïne, métronidazole, chloramphénicol, AZT, des drogues (en particulier les poppers). Touts ces substances sont connues pour favoriser la leucopénie, c'est-à-dire une diminution des cellules imunitaires.

En ce qui concerne la transmission, comme nous l'avons maintes fois dit ici, en dehors de la relation sexuelle anale réceptive, les probabilités de transmission par acte sont si faibles (1 pour 2000 environ) que l'on peut se demander s'il ne s'agit pas là d'autre chse que d'une transmission sexuelle, qui n'a été déduite par les officiels que parce qu'il fallait bien trouver une raison à la séropositivité qui cadre avec la théorie actuelle.

Concernant le ou la récipiendaire de la sodomie, j'ai déjà indiqué dans un autre topic que des études publiées montrent que le sperme, par lui-même, peut favoriser momentanément la leucopénie (baisse des CD4) dans ces cas-là, et que, momentanément, il y a une possibilité de positivation des tests, qui je le rappelle, ne sont pas des tests noir/blanc, mais des tests à limite.

Posté(e)

[Concernant le ou la récipiendaire de la sodomie, j'ai déjà indiqué dans un autre topic que des études publiées montrent que le sperme, par lui-même, peut favoriser momentanément la leucopénie ]

Bonjour,

Est il possible d'avoir plus de précisions sur ce sujet?

Amicalement,

Posté(e)

Voilà la référence :

Lien

BIOLOGY OF REPRODUCTION 52, 1209-1214 (1995)

Immunosuppressive Effect Induced by Intraperitoneal and Rectal Administration of Boar Seminal Immunosuppressive Factor

JAROMR DOSTAL, LEOPOLD VESELSKY, JOSEF DRAHORAD, and VERA JONAKOVA

Institute of Animal Physiology and Genetics, Academy of Sciences of the Czech Republic, 277 21 Libichov, Czech Republic

Institute of Molecular Genetics,4 Academy of Sciences of the Czech Republic, 166 37 Prague, Czech Republic

ABSTRACT

The immunosuppressive component was isolated from boar seminal vesicle secretion and administered i.p. or rectally to male mice. By means of the immunofluorescent method, the seminal immunosuppressive component was found on the membranes of 50-70% of white blood cells of treated mice the first day after i.p. and the third day after rectal administration. The immunosuppressive component was observed on the membranes of 10-20% of white cells even at the 17th day after treatment. Intraperitoneal or rectal administration of the immunosuppressive component led to a decrease in the white cell concentration in blood of treated mice. These findings indicate that rectal deposition of semen may compromise some aspects of the immune system and may be an important cofactor in the development of viral or bacterial infections among homosexual men.

Posté(e)

[Mais les oxydants dont je parle (et surtout dont parle le groupe de Perth, Heirich Kremer et Stefan Lanka), ce sont les oxydants comportant une liaison entre un azote et un atome plus électronégatif que le carbone : N-N, N=N, N=O, N-O et N-Cl]

Bonjour,

Il me semble que les substances contenant ces composés sont d'un usage "relativement" répandu.

Comme toutes les personnes qui les utilisent (ou les ont utilisées) ne font pas un Sida ,il y a peut être autre chose à prendre en compte....à moins bien sur que le Sida n'existe pas !

Amicalement,

Posté(e) (modifié)

Sauf votre respect, je pense que votre affirmation est erronée.

Ces substances servent :

- de drogues (poppers qui sont des nitrites,...)

- de médicaments (dérivés nitrés, isoxazoles, azotures,...)

D'une part il semble y avoir un facteur lié à la répétition de la prise, ce qui est cohérent avec le fait que la séropositivité apparaît graduellement, passant d'une valeur de 30 à 50% de l'index chez les personnes considérées comme séronégatives, à des valeurs supérieures à 100% de l'index (jusqu'à 2000% parfois) chez les personnes considérées comme séropositives.

Cette évolution graduelle est plutôt la marque d'un empoisonnement chimique que celle d'un virus qui prolofère brutalement.

Par ailleurs, certaines de ces substances ont un effet "virus-like" prouvé. Il en est ainsi du chloramphénicol (dérivé nitré), qui provoque la leucopénie, et qui peut provoquer la mort des mois après le traitement.

A propos du chloramphénicol, on a montré que les effets leucopéniants sont directement liés au groupe nitro, car le thiamphénicol, où le groupe nitro est remplacé par un groupe méthylsulfone, ne présente pas ces propriétés leucopéniantes.

Modifié par Cheminot
Posté(e)

Bonjour,

Je parlais des médicaments , car il semble que les drogués ne soient pas les seuls concernés par le Sida.

Il me semble qu'en même qu'il existe un certain nombre de médicaments qui contiennent les composés en question!

Il est bien sur compréhensible dans le cas ou votre hypothése serait valide que le "facteur lié à la répétition de la prise"soit déterminant.

Cependant peut on dire que les individus qui n'ont jamais étaient en contact avec ces composés soient à l'abri d'un Sida...ce qui serait un élément de preuve intéressant?

Amicalement,

Posté(e)

Oui, c'est effectivement cela qu'il faudrait vérifier (il y a par ailleurs le facteur de coagulation VIII qui est par lui-même oxydant).

En fait, tout va dépendre de ce que va chercher l'interrogateur.

Dans l'état actuel des choses, personne n'ira demander quel drogue, quel traitement chacun a pu utiliser. On va demander s'il y a eu relations sexuelles, car on est persuadé qu'il s'agit d'une maladie transmissible.

Je me demande par exemple si les 6 cas de séropositivité retrouvés chez les clients d'un dentiste homosexuel (séropositif à cause sans doute de l'utilisation de poppers,...) ne sont pas dus en fait à l'utilisation abusive de Flagyl (métronidazole, dérivé nitré), ce qui a entraîné de la part des médecins la prescription d'AZT à haute dose, qui a provoqué l'inverse de l'effet souhaité, c'est-à-dire par exemple la mort de Kimberley Bergallis.

Par ailleurs, il est remarquable qu'en région parisienne, seules quelques prostituées droguées soient devenues séropositives, que les épouses des hémophiles ne sont pas devenues séropositives malgré des relations sexuelles normales, ...

cordialement

Invité rock-en-rock
Posté(e)

Cheminot ... j'ai une question technique pour toi (pardon de la redite éventuelle et de ma mauvaise formulation).

Lorsqu'on analyse les bandes de WB, on quantifie des présences de P et d'AG particulières ... Il a été déjà expliqué ici le mécanisme ...

On m'a expliqué que tel avec un meccano, ces P et ces AG étaient les pièces spécifiques du "puzzle VIH" ... et qu'il n'est pas utile d'avoir l'ensemble du puzzle pour se faire une idée précise.

Peu scientifique, je me suis dit : " Ok, ça paraît logique".

Ensuite, j'ai lu que la présence d'un ou deux P ou AG particulières n'était pas suffisante pour arriver à cette conviction ... là, je me suis mis à douter ... de la spécificité absolue de ces pièces sans même lire le site de Mark. Une logique "paysanne" en quelque sorte.

Cette logique est-elle idiote ?

Alors dans l'hypothèse où on détecte trois ou quatre présences simultanées de ces P et de AG que faut-il comprendre ?

Que le test est trop peu sensible ?

ou

Que la bête n'est pas encore tout à fait construite ?

Cette deuxième question me paraît très bizarre et en entraîne une troisième.

Le "bébé" VIH ne serait-il pas complet au départ ? Se perfectionnerait-il au fil des ans ?

Quant à ces pièces détachés, as-tu une espèce de tableau de concordance qui identifierait des présences sur d'autres maladies ?

Amitiés ...

Posté(e)

[Je me demande par exemple si les 6 cas de séropositivité retrouvés chez les clients d'un dentiste homosexuel (séropositif à cause sans doute de l'utilisation de poppers,...) ne sont pas dus en fait à l'utilisation abusive de Flagyl (métronidazole, dérivé nitré), ce qui a entraîné de la part des médecins la prescription d'AZT à haute dose, qui a provoqué l'inverse de l'effet souhaité, c'est-à-dire par exemple la mort de Kimberley Bergallis.]

Intéressante cette histoire de dentiste!

Comme il n'y a pas que les dentistes homosexuels qui utilisent le flagyl....Si je suis votre raisonnement en admettant qu'il n'y ai pas eu contamination des clients...Cela implique que si l'on faisait l'expérience de tester tous les clients d'un dentiste séronégatif utilisant le flagyl on devrait trouver un nombre équivalant de clients séropositifs.

Cela n'est pas une expérience trés compliqué , ni trés onéreuse.

Est ce que je dis une bétise?

Ceci dit les dentistes utilisent au moins une autre substance dont la toxicité complexe et loin d'être comprise par la communauté scientifique.

Amicalement,

Posté(e)

certes, et le comportement du mercure est loin d'être élucidé!

Posté(e) (modifié)

Bonjour,

Bien que cela puisse paraitre être un autre débat , pourrais-je avoir votre avis sur la question suivante?

Selon l'approche "dissidente" existe t-il des points de comparaison entre le Sida et la maladie de Kreutzfeld Jacob?

Que penser de la contamination par le prion?

Amicalement,

Modifié par sicnarfa
Posté(e) (modifié)

Je ne crois pas que les dissidents aient étudié la maladie de Kreutzfeld Jacob.

Cela dit, pour le prion, mon opinion, c'est que c'est un truc tout aussi bidon que le VIH. D'ailleurs, il y a un agriculteur anglais, Mark Purdey, qui a remis en cause le prion comme cause de la maladie de la vache folle. Selon lui, c'est le phosmet, un insecticide mis le long de la colonne vertébrale des vaches qui est à l'origine de tout ça. De façon plus générale, ça serait lié à un déséquilibre en cuivre (un excès si je me souviens bien). Ainsi, il a remarqué que sur certains terrains riche en certaines substances qui entrainent un déséquilibre en cuivre dans l'organisme, les herbivores développaient également des maladies du genre "vache folle".

Modifié par aixur
Posté(e)

La similitude essentielle entre les explications officielles concernant ces deux pathologies, est que l'on cherche désespérément à les mettre au compte d'une entité exogène pathogénétique, soit un virus ou un "prion". Et on veut éviter au maximum l'explication environnementale, car celle-ci remettrait en cause l'économie mondiale.

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