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Sida: peut-être un espoir de vaccin thérapeutique


Invité ZeH
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http://www.chu-toulouse.fr/pharmaco_p/BIP2002N03.htm

LES STATINES PEUVENT-ELLES ENTRAINER DES POLYNEUROPATHIES ?

(A. Dagué)

Quelques observations et une étude pharmaco-épidémiologique ont mis en évidence une relation entre l'utilisation des statines et la survenue de neuropathies.

Afin d'estimer le risque relatif des polyneuropathies chez les patients traités par statines, une équipe danoise a mené une étude cas-témoins de 1994 à 1998 sur la population du comté de Funen (Gaist et al. Neurology, 2002 ; 58 : 1333-7). 166 cas de polyneuropathies ont été retenus et classés en trois groupes en fonction des critères diagnostiques et l'exclusion d'autres étiologies potentielles: les neuropathies "vraisemblables" (35), "probables" (54) et "possibles"(77). Pour chaque cas, les auteurs ont sélectionnés 25 témoins de manière aléatoire dans la population source et les ont appariés selon l'âge, le genre et la durée du traitement.

Pour l'ensemble des cas, le rapport de cotes (RC) est de 3,7 avec un intervalle de confiance à 95% (IC) de 1,8 à 7,6. Le RC est de 14,2 (5,3-38) lorsquon inclue uniquement les cas "vraisemblables" (où toutes les autres étiologies de neuropathies ont été écartées). Pour les patients traités par statines depuis au moins deux ans, le RC chez les cas vraisemblables est de 26,4 (7,8-89,4) contre 6.6 (2,6-16,5) chez tous les cas.

Ainsi, une exposition au long cours par les statines peut augmenter de manière significative le risque de survenue de polyneuropathies.

et les La cérivastatine semble avoir été retirée du commerce à cause des troubles musculaires dont les rhabdomyolyses qu'elle a provoqués chez quelques malades.

Ces bizarre car le vioxx, La cérivastatine, sont retirés du marché et les antiretrovirales que sont toxiques ne le sont pas ,,,,,pourquoi donc ??

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Invité rock-en-rock

Ces bizarre car le vioxx, La cérivastatine, sont retirés du marché et les antiretrovirales que sont toxiques ne le sont pas ,,,,,pourquoi donc ??

Parce qu'il n'existe rien d'autre pour soutenir le discours ...

... et de toutes les façons, le message est passé dans le grand public que nous sommes foutus ... d'une façon ou d'une autre ... alors un peu plus un peu moins ...

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La médecine traditionnelle une espoir pour les africains

http://www.essentialdrugs.org/emed/archive...09/msg00024.php

l'immunothérapie comme traitement du sida

à Ouagadougou le tradipraticien Siaka Sy suggère l'immunothérapie comme traitement du sida, le tradipraticien cite le "Beta Glucan", extrait d'une levure connue depuis 1940 et dont les propriétés médicinales ont été confirmées par des laboratoires américains d'universités comme Harvard Medical School et Standford University.

Aussi propose-t-il de mettre en place des médicaments à base d'extraits de

plantes scientifiquement validés et qui ont des propriétés

immunostimulantes, afin de doter l'organisme humain de capacités de

reconstitution des cellules.

Pour lui, la solution africaine contre la pandémie du SIDA consiste à

utiliser les résultats de ces recherches scientifiques et médicales qui

sont du domaine public. N'exigeant pas de brevet, M Sy met à la disposition

des malades des traitements dont le coût de certains n'excède pas 60 dollars

US par an. "Le traitement serait sans effets secondaires contrairement aux

antiretroviraux actuellement en cours", souligne-t-il.

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Invité rock-en-rock

Comme je l'ai déjà dit, j'étais à Ouaga il y a trois semaines : la matracage à la télé pour le dépistage dépasse l'entendement ... alors que l'homme de la rue s'en tape ...

A-t-on besoin d'expliquer longuement désormais aux Indonésiens qu'il convient d'être prudent à l'arrivé d'une grosse vague ? A-t-on besoin de leur expliquer que reconstruire leurs maisons sur la colline serait mieux que sur la plage ?

Faut-il faire des spots télé de "sensibilisation" ?

Ca n'étonne personne que les africains n'aient pas la bestiole au coeur de leurs préoccupations ?

Ca n'étonne personne que lorsqu'on montre à la télé un africain responsable causer de la bestiole, il soit systématiquement salarié par les ONG et autres ?

Comment voyez-vous l'afrique ? ... avec des villages où se meurent des gens décharnés ? ... des rues de villes jonchées de cadavres au milieu d'éléphants et de lions affamés ? des cimetières surchargés ? des cons qui pleurent sans cesse tout en étant ivres de reconnaissance pour des blancs en 4*4 payés par MSF ?

Alors sur place, je peux quand vous dire que ce n'est pas comme cela ... pardon d'être iconoclaste ...

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rock rock....l Afrique est un continent pas très riche et la dénutrition est un fléau qui cause le sida, les médicaments étant chers pour les acquérir et se soigner de tuberculose et autres maladies opportuniste, les plantes médicinales sont le moyen le plus accessible pour y parvenir et aussi se nourrir.

Il y a des articles intéressantes sur la médecine traditionnelle chinoise.

http://www.china.org.cn/french/43.htm

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Invité rock-en-rock

La dénutrition ... tu veux dire sans doute les enfants tout maigres ou avec des gros ventres et des mouches qui tournent tout autour et qu'on te montre à la télé ?

Tu évoques cela dans les pays en crise (guerres civiles) ou dans les campagnes plus paisibles (il y en a) ? ... dans les villes bordéliques (là OK) ou dans ces mêmes campagnes ?

Où vois-tu cela au juste ? ... dans les camps du Darfour ? en Ethiopie ? en Somalie ? ... dans la sécheresse du Sahara ? Crois-tu qu'ils soient si cons que cela que pour vivre au milieu du Sahara ? ...

Mal nutrition ? ... admettons ... carence en vitamine A oui pourquoi pas ... et nous ? on n'est si bien nourri que cela ?

C'est sûr qui si tu n'as pas de fric dans un pays comme la France, tu risques vite de crever de faim, l'hiver surtout ... mais dans un pays exotique ? ... crois-tu qu'il soit si compliqué que ça de faire pousser un bananier ? ... ou un manguier ... ou même un papayier (ça, c'est pour Luc) ...

Elever un mouton ou un poulet ne demande pas un grand savoir pédagogique ...

Il y a des années où la pluie ne tombe pas beaucoup (comme cette année d'ailleurs) ... c'est sûr que pour exporter, ça fait juste ...

En revanche, l'hygiène Ok, ce n'est pas ça ... l'accès à l'eau non plus ...

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L'autre problème des pays en voie de développement, c'est l'utilisation de "médicaments" pratiquement interdits en Europe et aux EU (chloramphénicol et d'autres), et la surutilisation, pour cause d"helminthiases (des vers), de substances peu utilisées ici (métronidazole...)

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Invité crepator4

Bon appremment ya un vaccin encours qui a foiré au info d'aujourdh'ui...

http://www.lefigaro.fr/sciences/20050203.FIG0387.html

>>>

VIH L'apparition, aux États-Unis, d'une maladie neurologique chez un volontaire ayant reçu une molécule également évaluée en France a entraîné l'arrêt des tests

Un essai de vaccin contre le sida suspendu par précaution

C'est un coup dur pour l'Agence nationale de recherches sur le sida (ANRS) – et, bien au-delà, pour toutes les personnes porteuses du VIH : un mois après le lancement d'un appel visant à recruter 132 volontaires afin de tester un vaccin expérimental contre ce virus, l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a très discrètement fait suspendre, le 24 décembre dernier, l'essai clinique ANRS VAC 18. Une décision prise dans l'urgence après la confirmation, quelques jours plus tôt, d'un cas de complication neurologique sérieuse au sein d'un essai actuellement en cours aux Etats-Unis.

Cyrille Louis

[03 février 2005]

La nouvelle de l'interruption de cet essai intervient au plus mauvais moment pour les chercheurs français qui, ostensiblement soutenus par les ministres Philippe Douste-Blazy et François d'Aubert, ont annoncé à l'automne le lancement du premier essai européen de phase 2 pour un candidat vaccin préventif contre le sida. Objectif : évaluer la qualité de la réponse immunitaire cellulaire déclenchée par des lipopeptides (molécules qui ont la faculté de bien pénétrer les cellules) sur lesquels l'ANRS planche depuis une quinzaine d'années. A cet effet, l'agence a récemment annoncé par voie de presse (nos éditions du 16 novembre 2004) le recrutement de sujets âgés de 21 à 50 ans, séronégatifs, en bonne santé et prêts à s'abstenir temporairement de toute pratique sexuelle à risque. Dans la foulée, un premier groupe de 21 personnes a reçu deux injections vaccinales.

Le protocole semblait donc bien engagé jusqu'au coup de tonnerre du 21 décembre dernier. Ce jour-là, le directeur de l'ANRS, Michel Kazatchkine, apprend que la Food and Drug Administration – le gendarme américain du médicament – a demandé l'arrêt d'un essai vaccinal mené outre-Atlantique. Parmi les 70 patients inclus, un homme d'une quarantaine d'années qui a reçu ses injections quatre mois plus tôt vient en effet d'être hospitalisé pour une myélite inexpliquée – inflammation de la moelle épinière qui entraîne des difficultés à marcher et, dans les cas graves, une forme de paralysie. Or la molécule administrée à ce volontaire s'avère être la même que celle testée dans le cadre d'ANRS VAC 18 même si, pour l'heure, aucun lien entre le produit et la maladie n'a pu être démontré.

Aussitôt, l'ANRS prévient l'Afssaps qui, en retour, recommande la suspension immédiate de l'essai français – ainsi que l'arrêt provisoire des injections de VAC 16, un autre lipopeptide testé sur quinze volontaires dans le cadre d'un essai de phase 1. «Sans céder à la panique, nous avons senti qu'il convenait d'effectuer une pose pour faire subir un examen clinique et, en cas de doute, neurologique à tous les sujets traités», justifie a posteriori Chantal Belorgey, responsable des essais cliniques à l'Afssaps.

Aussitôt mise en place, cette «procédure de vigilance accrue» a permis de s'assurer qu'aucun volontaire n'a pour l'heure développé de signe clinique inquiétant. Forte de ce résultat, l'Afssaps a d'ailleurs tout récemment autorisé la reprise de l'essai ANRS VAC 16, très différent du protocole américain. «Par contre, dans l'attente de la réunion d'experts qui doit se tenir le 7 février, nous avons décidé de maintenir la suspension de VAC 18, complète Chantal Belorgey. En effet, la complication observée dans l'essai coordonné par les instituts nationaux de santé américains (NIH) reste pour l'heure inexpliquée – même si les investigateurs cherchent encore une cause infectieuse, fréquemment associée aux cas de myélite.»

Cette mise entre parenthèses d'un essai «phare» embarrasse tout particulièrement l'ANRS (lire ci-contre), qui souhaiterait pouvoir diffuser au plus vite un message clair et si possible rassurant à l'intention des volontaires. Jusqu'à présent, aucun des 15 essais cliniques menés par l'ANRS grâce à son réseau de 250 volontaires n'a entraîné de complications notables. «Seuls deux effets indésirables ophtalmiques ont été recensés respectivement en 1996 et 1997 mais, après expertise, il est apparu qu'ils n'étaient selon toute vraisemblance pas imputables au lipopeptide injecté», explique-t-on à l'agence.

Autre élément important, l'agence s'apprête à faire valoir que le sujet américain chez qui la complication est survenue n'aurait, en France, pas pu être inclus dans l'essai VAC 18 du seul fait qu'il a déjà participé à l'expérimentation d'un médicament antirétroviral. Un argument qui rassurera sans doute les sujets inclus dans l'expérimentation française même si, sur le fond, il ne dissipe pas l'inquiétude suscitée par ce nouveau coup dur, dans un champ de recherche marqué par de fréquentes désillusions.

Le témoignage de Michel, volontaire

[03 février 2005]

Pour Michel Meyer, la nouvelle est tombée fin décembre. «Les gens de l'Agence nationale de recherche sur le sida (ANRS) m'ont simplement passé un coup de fil pour m'annoncer la suspension du test, explique ce chef d'entreprise du Mans (Sarthe). Dans la foulée, j'ai été convoqué d'urgence à Cochin (à Paris) pour des examens approfondis, doublés d'une rencontre avec un psychologue. J'ai alors compris qu'il y avait un petit caillou dans la salade et cela m'a un peu secoué.» Père de trois enfants, âgé de 53 ans, Michel raconte avoir pris conscience des ravages de la maladie il y a plusieurs années, alors qu'il était visiteur de prison : «J'ai accompagné un détenu malade jusqu'à sa mort. Cela m'a vraiment marqué.» Du coup, lorsqu'il a appris, en lisant les petites annonces d'un quotidien, que l'ANRS cherchait des volontaires sains pour tester les composants d'un vaccin, il s'est immédiatement porté candidat. «Au terme de tests psychologiques répétés, destinés à tester ma motivation, je me suis rendu en septembre 2004 à l'hôpital Cochin pour une première injection. Trois jours après, j'ai procédé ainsi que l'on m'avait demandé à quelques contrôles : températures, symptômes inhabituels.»

Quoique surpris par l'interruption de l'essai, Michel se dit aujourd'hui «serein» et confiant dans la façon dont l'ANRS gère cet événement imprévu. «Peut-être auraient-ils pu me fournir plus d'informations par courrier, mais j'imagine que la situation n'est pas simple pour eux.»

<<<

Modifié par crepator4
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  • 4 weeks later...

A priori les stocks de talédomide doivent être épuisés ... on a du bol ...

Rock-en-Rock,

Lis-tu dans les entrailles de capitaine ?

Avais-tu une prémonition en écrivant cela ?

On n'a pas de bol, enfin plus exactement je n'ai pas de bol...

Les stocks de Thalidomide ne sont pas épuisés...

Soufrant d'aphtose sévère, permanente, mon praticien hospitalier et prescripteur habituel,

m'en a proposé une "petite cure" il y a quelques années...

Vu mon état, j'aurais tout accepté... et j'ai dit... oui...

Youpi allons-y pour ces jolis comprimés...

Certes, un petit peu difficile à obtenir... papiers, dossier, faire venir de je ne sais où, etc...

Pendant quelques mois, ô joie, ô bonheur ! plus d'ulcérations, plus de douleurs, une bouche normale.

Puis petit à petit, retour à la case départ.

Plus aucun effet "positif et soulageant".

Arrêt de cette prescription.

Aujourd'hui, le temps ayant passé, que me reste t-il de cette "cure de Thalidomide" ?

Toujours une aphtose qui va et vient.

En revanche, j'ai six orteils, qui eux ne sont pas revenus...

Deux liens basiques parmis d'autres, pour ceux qui souhaite en savoir plus sur ce produit et ces indications actuelles.

http://www.biam2.org/www1/Sub4839.html

http://www.oncoprof.net/Generale2000/g11_A...s/g11_at10.html

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Invité rock-en-rock

Si tu vas traîner près des marchés des villes du Vietnam ou du Cambodge, tu verras des gosses qui ont de drôles de têtes ... tu demanderas à leurs mamans ce que les bons docteurs leur ont prescrit ... en plus des défeuillants ...

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  • 4 weeks later...
Invité Libertie

Mardi 22 Mars 2005 Rechercher un article :

Les essais de vaccin préventif suspendus

Depuis la veille de Noël, l´Agence nationale de recherches sur le sida (ANRS) et l´Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS) n´ont guère eu d´autres choix que de communiquer largement.

Un essai vaccinal américain utilisant le même produit que le Vac-18 - l´essai français - venait d´être suspendu, après qu´un cas de myélite ait été détecté parmi les 174 volontaires sains américains. Par précaution, il a donc été très vite décidé d´interrompre les essais du Vac-18 en France, mais aussi du Vac-16. En effet, ce dernier contenant un lipopeptide de la même classe, il ne fallait pas exclure un risque similaire.

Néanmoins, rapporte aujourd´hui Jean-Hugues Trouvin de l´AFSSAPS, « chaque jour qui passait, c´était compromettre le développement de l´essai ».

Alors, courant janvier, armés d´éléments rassurants, on permet de relancer l´essai Vac-16. Peine perdue, puisque le 7 février, une large réunion d´experts considère que l´examen rassurant ne l´est pas assez pour convaincre de l´absence de risque, même si aucun trouble neurologique ou ophtalmologique n´a été enregistré au cours des essais français. S´il ne cache pas sa déception, le Pr. Michel Kazatchkine, directeur de l´ANRS, dit souscrire « au principe de précaution maximale de l´AFSSAPS ».

L´agence de sécurité sanitaire affirme quant à elle que cette « décision n´est absolument pas à considérer comme une remise en cause de l´ANRS » ni d´ailleurs comme une remise en cause de la stratégie des lipopeptides. Simplement, insiste le Dr. Trouvin, « la sécurité des personnes prime sur l´avancée scientifique ».

A tel point que cette décision pourrait bien revenir à tirer un trait définitif sur l´essai Vac-18, anticipe Michel Kazatchkine puisque sa durée de péremption est faible. « Personnellement, je considère que l´on arrête Vac-18 », déclare-t-il carrément, glissant cependant qu´il aimerait qu´un neurologue indépendant aille expertiser le cas de myélite aux Etats-Unis. Quoi qu´il en soit, cette affaire porte un coup au calendrier envisagé jusqu´alors, l´ANRS ayant estimé qu´elle pourrait, à partir de 2008, utiliser les lipopeptides en phase III. De l´avis de l´agence, le retard pourrait être d´une année.

[-

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Invité rock-en-rock

Vitosi,

Je trouve cet article très intéressant.

J'en extrais une phrase seulement et je voudrais que quelqu'un d'averti puisse la commenter car elle me paraît fondamentale :

Le tétanos, déclaré comme maladie très grave : la maladie nimmunise pas, donc le vaccin non plus.

Est-ce exact ? ... si oui, effectivement, le dispositif vaccinal en général me semble encore davantage sujet à caution ... puisque remis en cause dans son fondement même.

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Il y a dans ce texte beaucoup de choses intéressantes .

Moi je retiendrais ceci:

Guérir cest guérir de la peur, avoir une nouvelle façon dêtre. Ne pas projeter le mal en soi sur le monde, en combattant des ennemis extérieurs. Nous devons prendre conscience que la santé est subversive car elle nous rend difficile à manipuler. Il faut revendiquer le droit dêtre autonome.

L'humanité ne doit pas ce construire sur le modéle de la ruche.

Rien ne se fera tant que l'individu acceptera de n'être considéré que comme un élément du systéme...un pion , un bulletin de vote , un consommateur , un chiffre dans les statistiques .

Deux hommes , milles hommes , cent milliards d'hommes , ne valent pas plus qu'un seul homme , parce que l'homme n'est pas une marchandise , parce que l'homme n'a pas de prix ....et simplement parce que , cent milliard de fois quelquechose qui n'a pas de prix çà n'est pas plus grand , qu'une fois quelquechose qui n'à pas de prix.

L'individu doit retrouver le respect de lui même , et exiger d'être respecté .

Mais pour en arriver là il doit vaincre ses peurs...ce n'est qu'à ce prix qu'il peut espérer devenir libres et sortir de l'infantilisme.

A mon avis , il n'y a rien dans le monde qui ait assez de valeur pour que je puisse envisager de l'échanger contre ma liberté ....excepté bien sur mes enfants.

Le monde ne peut se changer que de l'intérieur , car contrairement aux apparences cet intérieur marque les limites de notre pouvoir.

Mais l'homme étant un microcosme de l'univers , tout changement dans l'univers l'affecte , et toute évolution en lui même , a un retentissement sur l'univers tout entier.

On peut être enclin à penser que l'impact d'une telle évolution individuelle a un effet dérisoire sur

l'immensité cosmique , mais je me demande ce qu'en pense les adeptes de l'homéopathie.

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Invité rock-en-rock

L'humanité ne doit pas ce construire sur le modéle de la ruche.

C'est aussi mon avis Sic ... mais les reines veillent au grain ... et les "ouvrières" doivent rester à leur place ... selon les monarchistes susvisés.

La malheur, c'est que, comme dans la ruche, les ouvrières acceptent les diktats ... au nom du principe que c'est toujours aussi bien que si c'était pire ... une résignation insupportable ...

Sans rapport avec ce qui précède, je viens d'entendre que notre abeille elyzéenne en chef, venait d'interdire à une chaîne de télé la diffusion d'une émission sur l'Europe ... où l'intervenant était le Président de la commission de l'UE ...

On descend vraiment très, très bas ... et après, on donne des leçons à qui mieux, mieux ... ! Incroyable !

Quand les intérêts particuliers des reines risquent d'être touchés, on n'hésite plus à la dépense ! ...

Rien que pour cela, je voterais "non" à cette farce ...

Tout le reste est traité ainsi ... quelle connerie !

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