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Sida et Polio


Invité ZeH

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Le mythe de l'origine du sida liée à un vaccin polio contaminé réfuté

La théorie qui attribue l'apparition du sida à un vaccin polio oral contaminé, utilisé dans les années 50 en Afrique, dans l'ancien Congo Belge, est "réfutée" par une équipe internationale conduite par un biologiste de l'évolution américain, "preuve directe" à l'appui. Leur recherche paraît dans la revue scientifique britannique Nature datée de jeudi.

Selon cette théorie, persistante malgré de solides arguments allant à son encontre, relèvent les chercheurs, la transmission du sida à l'homme résulterait d'une contamination de ce vaccin par du virus du sida du singe (VIS). Michael Worobey, biologiste de l'évolution à l'université d'Arizona, est retourné sur place en 2003 en République Démocratique du Congo (RDC), dans la région de Kisangani, Stanleyville à l'époque. Les chercheurs ont ainsi découvert un nouveau variant du virus du sida du singe - le VIScpzRDC1 (en Anglais SIVcpzDRC1) - parmi les chimpanzés de cette région.

La nouvelle souche de VIS n'est pas l'une de celles dont est issu le VIH-1, le virus responsable de la pandémie du sida humaine, affirment les chercheurs, après analyse génétique. "Cette découverte apporte une preuve directe que ces chimpanzés (de la région en cause) ne sont pas la source de la pandémie de sida humaine" et "réfute la théorie du vaccin" polio contaminé, écrivent-ils.

Pour défendre leur point de vue, les chercheurs s'appuient en tout cas sur le fait qu'ils n'ont pas trouvé dans les 97 prélèvements de selles de chimpanzés recueillis de virus apparenté à celui du sida humain .

BARRIÈRE D'ESPÈCE

Deux journalistes américains, Tom Curtis (1992, magazine Rolling Stone) et Edgard Hooper (1999, livre The River), ont mis en cause le vaccin anti-polio de l'Américain Hilary Koprowski administré de 1957 à 1960 à un million de personnes, en grande partie dans l'ex-Zaïre (RDC).

Hooper a développé une théorie reliant cette campagne de vaccination expérimentale et l'apparition du sida, arguant que des tissus de chimpanzés, potentiellement contaminés, auraient servi à fabriquer cette ancienne version de vaccin oral. Les scientifiques sont d'accord sur un point : le virus du sida humain (VIH) a pour ancêtre un virus de l'immunodéficience simienne (VIS) du chimpanzé. Mais reste à déterminer quand et comment ce virus de singe a franchi la barrière d'espèce pour passer à l'homme. Selon l'étude, le nouveau virus du chimpanzé appartient à une branche différente de l'arbre généalogique ("phylogénétique") des virus de chimpanzé apparentés au VIH.

S'appuyant sur leur découverte et les analyses antérieures d'échantillons du vaccin de l'époque montrant l'absence de VIS, de VIH ou d'ADN de chimpanzé, les chercheurs estiment que l'hypothèse reliant le sida à ce vaccin contre la poliomyélite "devrait être abandonnée". M.Worobey a poursuivi cette recherche en mémoire d'un confrère britannique renommé, Bill Hamilton, mort de paludisme en 2000 au retour de la première expédition. Worobey désire maintenant "étudier cette zone géographique, prélever plus d'échantillons, comprendre comment le virus simien se maintient et se transmet parmi les chimpanzés et comprendre pourquoi il (sa version humaine) est si pathogène pour l'Homme mais pas pour le chimpanzé". Ce travail est co-signé par d'autres chercheurs zaïrois, britanniques et américains.

Avec AFP

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L'hypothèse parait séduisante certes

Cependant

Selon cette théorie, persistante malgré de solides arguments allant à son encontre, relèvent les chercheurs, la transmission du sida à l'homme résulterait d'une contamination de ce vaccin par du virus du sida du singe (VIS). Michael Worobey, biologiste de l'évolution à l'université d'Arizona, est retourné sur place en 2003 en République Démocratique du Congo (RDC), dans la région de Kisangani, Stanleyville à l'époque. Les chercheurs ont ainsi découvert un nouveau variant du virus du sida du singe - le VIScpzRDC1 (en Anglais SIVcpzDRC1) - parmi les chimpanzés de cette région.

La nouvelle souche de VIS n'est pas l'une de celles dont est issu le VIH-1, le virus responsable de la pandémie du sida humaine, affirment les chercheurs, après analyse génétique. "Cette découverte apporte une preuve directe que ces chimpanzés (de la région en cause) ne sont pas la source de la pandémie de sida humaine" et "réfute la théorie du vaccin" polio contaminé, écrivent-ils.

Comment peut on dire qu'une souche virale, résultant d'une mutation pourrait avoir crée un virus avant même d'exister?

Le problème, qui rend ce débat, périphérique pour le moins, voire futile, c'est que le "virus du $ida" n'a toujours pas été identifié.

A travers ce débat, on occupe les gogo et rien n'avance vraiment

4-bisou.gif Merci ZeH

Nowar

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Comment peut on dire qu'une souche virale, résultant d'une mutation pourrait avoir crée un virus avant même d'exister?

Le problème, qui rend ce débat, périphérique pour le moins, voire futile, c'est que le "virus du $ida" n'a toujours pas été identifié.

A travers ce débat, on occupe les gogo et rien n'avance vraiment

4-bisou.gif Merci ZeH

Nowar

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A voir par les gogos uniquement, les autres ont mieux à faire et n'ont de toute façon pas la télévision, instrument du grand satan... icon_biggrin.gif

Les origines du Sida

Date de diffusion : 23 avril 2004 - 22H50 "France2"

Documentaire. Réalisé par Peter Chappell et Catherine Peix. D'après Stéphane Horel et Peter Chappell. Musique de Frédéric Lagnau. Produit par MFP. Coproduit par Les Productions Galafilm, Les Films de la Passerelle, Pathé Archives et Produce +.

Un documentaire exceptionnel

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Sida : 26 millions de morts, 40 millions de personnes contaminées. L'épidémie la plus dévastatrice de l'histoire ravage notre planète depuis plus de 20 ans et pourtant son origine reste encore un mystère.

Cependant la communauté scientifique est unanime : le virus du sida est né en Afrique et son ancêtre direct est présent chez les chimpanzés.

Reste une énigme : comment le virus est-il passé de l'animal à l'homme ?

De nombreuses théories ont été avancées et réfutées... Aujourd'hui, seules deux hypothèses subsistent. La première suggère qu'en 1931, selon les calculs de la généticienne américaine Bette Korber, le virus du chimpanzé aurait contaminé un être humain qui consommait l'animal. Mais alors que les Africains mangent du singe depuis la nuit des temps, pourquoi cette transmission soudaine ?

La seconde suggère que le virus du sida serait le produit accidentel d'un vaccin oral contre la polio administré à un million d'Africains dans l'ex-Congo belge de 1957 à 1960 aux endroits mêmes où, une décennie plus tard, on détecte les premiers cas de sida dans le monde.

Face à cette dernière théorie qui dérange, le petit univers de la grande Science est partagé entre l'examen de conscience et la dénégation : difficile d'admettre que la médecine ait pu, en combattant une maladie, créer un fléau bien pire encore. Ressuscitant les souvenirs des témoins, exhumant des archives inédites et suivant une incroyable quête de la vérité, ce film plonge le spectateur dans l'histoire d'une controverse scientifique sans précédent.

Les arguments de la controverse

« C'est chez le chimpanzé que l'on trouve le précurseur immédiat du VIH. Tout le monde est d'accord là dessus. On peut discuter sur la question du quand, du pourquoi, du comment, mais tout le monde s'entend sur le chimpanzé. Quand ?

Je pense que l'on peut dire qu'il y a unanimité sur le XXe siècle. Où ? Pour les humains, l'épicentre se situe clairement au nord-est du Zaïre et en Ouganda. C'est de là qu'est partie l'épidémie ». (Simon Wain Hobson, virologue,

responsable du laboratoire de rétrovirologie moléculaire

à l'Institut Pasteur).

Reste donc à élucider la question du comment... Comment le VIH a-t-il pu se transmettre du chimpanzé à l'homme ? Théories et objections.

Deux possibilités de contact entre le singe et l'homme restent plausibles :

Le sang : un chasseur blessé se contamine avec le sang d'un chimpanzé qu'il vient de chasser.

C'est la théorie du transfertnaturel, émise par Béatrice Hahn en 1999, qui est aujourd'hui largement acceptée par la communauté scientifique.

La vaccination : Les vaccins contre la polio sont fabriqués à partir de reins de singes. Celui du Dr Koprowski aurait été fabriqué à partir de reins de chimpanzés et a été administré à un million d'Africains au Congo belge à la fin des années 50.

Face à cette seconde théorie qui dérange, la communauté scientifique énonce plusieurs objections :

Le sida serait apparu chez l'homme en 1930, avec une marge d'erreur de plus ou moins 20 ans (calcul de Bette Korber au laboratoire national de Los Alamos aux Etats-Unis en 1999).

- Mais depuis, d'autres travaux scientifiques remettent en cause le mode de calcul et la capacité même à calculer mathématiquement la date d'apparition du sida chez l'homme.

Les analyses des échantillons du vaccin anti-polio sont négatives. Suite à la conférence sur les origines du sida à la Royal Society de Londres, des échantillons du vaccin ont été testés.

Les résultats publiés au printemps 2001 dans les revues scientifiques Science et Nature, montrent qu'ils ne contiennent ni VIS, ni VIH, ni cellules de chimpanzés.

- Mais selon Robin Weiss, co-organisateur de la conférence, les échantillons testés ne sont pas ceux qui ont été utilisés au Congo belge à la fin des années 50.

Suite à leurs études, Martine Peeters puis Béatrice Hahn affirment que les chimpanzés porteurs de l'ancêtre du VIH viennent du Gabon.

- Mais aucune étude n'a été réalisée dans l'ancienne zone de capture des chimpanzés du Camp Lindi, au Congo, en raison de la situation politique du pays. Et les échantillons ramenés par Bill Hamilton étaient trop minces pour pouvoir donner des résultats fiables. De plus, la première trace du VIH et les premiers cas de sida sont apparus au Congo et non pas au Gabon.

Le virus n'aurait pas pu survivre dans le vaccin anti-polio puisqu'il aurait été tué dans le processus de fabrication.

- Mais on sait que des virus simiens, comme le SV40, ont survécu dans les vaccins anti-polio et ont ainsi été transmis aux hommes. Pourquoi pas le VIH ?

Hilary Koprowski et ses collaborateurs affirment que des reins de chimpanzés n'ont jamais été utilisés pour fabriquer son vaccin anti-polio.

- Mais il n'existe aucun document officiel, aucune note de laboratoire permettant de l'affirmer. Hilary Koprowski aurait « perdu » toutes ses notes lors d'un déménagement.

Le vaccin

Le vaccin contre la polio est le premier vaccin à être fabriqué à partir de reins de singes. Comment le fabrique-t-on ? Quels sont les différents types de vaccins anti-polio ?

Pour faire un vaccin, on commence par faire une culture à partir de reins de singes puis il faut :

- Prélever un morceau de tissu rénal et le diviser avec une

paire de ciseaux.

- Laisser reposer cette suspension pour faire une monocouche de cellules.

- Ajouter le virus de la polio.

- Prélever ensuite le liquide de ces cultures.

- Filtrer pour enlever le reste des cellules.

On obtient alors une suspension de virus. Soit on l'inactive avec du formol, soit on l'affaiblit par des passages successifs dans des cultures de cellules.

Il existe deux types de vaccins :

1) Le vaccin inactivé et injecté de Jonas Salk. Il contient des particules de virus de la polio qui ont été tuées dans du

formol.

L'immunité qu'il confère est temporaire et nécessite trois injections successives. Pour fabriquer son vaccin, Jonas Salk utilise des reins de macaques Rhésus.

2) Les vaccins vivants atténués de Albert Sabin et de Hilary Koprowski.

Ils contiennent des particules de virus de la polio qui sont vivantes, mais affaiblies au cours d'un long processus où l'on passe le virus dans des cultures de cellules, jusqu'à ce que sa capacité à déclencher la maladie disparaisse. Ce vaccin est administré par la bouche et est efficace dès la première prise.

Les notes de laboratoires d'Albert Sabin attestent qu'il utilisait des reins de macaques Rhésus ou de macaques synomolgus.

Hilary Koprowski a « perdu » toute documentation permettant

de prouver l'espèce de singe qu'il a utilisée. Il nie avoir utilisé des chimpanzés.

La course au vaccin

Dans les années 50, les Etats-Unis sont en guerre contre la polio, ce fléau qui attaque les enfants. C'est le début d'une course au vaccin entre les plus grands scientifiques : Jonas Salk, Albert Sabin et Hilary Koprowski. Chronologie.

27 février 1950 : Hilary Koprowski est le premier à tester son prototype de vaccin oral, à base de virus vivant atténué, sur un enfant américain de Letchworth village.

12 avril 1955 : Le vaccin de Jonas Salk est homologué. C'est un vaccin qui utilise un virus inactivé, autrement dit « tué » et qui nécessite trois injections. Une campagne de vaccination de masse suit cette homologation aux Etats- Unis. 90 millions d'Américains seront vaccinés.

23 avril 1955 : Drame autour de la vaccination antipoliomyélite : 260 enfants ayant reçu le vaccin Salk tombent malades, onze d'entre eux meurent.

Des lots de vaccins provenant des laboratoires Cutter (en Californie) étaient défectueux : ils contenaient encore du virus vivant.

Mai 1955-1960 : Ce drame relance la course au vaccin entre

Albert Sabin, au Children's Hospital Research Foundation

(Cincinnati), et Hilary Koprowski, d'abord au Laboratoire Lederle (Pearl River, État de New York) puis au Wistar Institute de Philadelphie.

1958-1959 : Albert Sabin teste son vaccin oral, à base de virus vivant atténué, sur 6 millions d'enfants en URSS.

1957-1960 : Hilary Koprowski teste son vaccin expérimental

« CHAT » sur 1 million d'Africains du Congo belge.

Novembre 1958 : Albert Sabin analyse le vaccin « CHAT » de Hilary Koprowski et découvre qu'il est instable et contaminé par un virus inconnu.

Novembre 1958 : L'OMS désapprouve dans une lettre confidentielle les campagnes de vaccinations de masse menées par Hilary Koprowski au Congo belge.

Printemps 1960 : Le vaccin oral d'Albert Sabin est homologué et utilisé dans le monde entier pour les campagnes de vaccinations de masse.

Durant l'été 1955, Hilary Koprowski et Ghislain Courtois, virologue et directeur du laboratoire médical de Stanleyville (Congo belge), se rencontrent lors d'un colloque au Kenya et décident de créer un camp d'élevage de chimpanzés pour faire officiellement des recherches sur l'hépatite et la polio. Chronologie.

Hilary Koprowski et le Congo belge

1er mai 1956 : Le projet aboutit : ouverture du Camp Lindi, situé en retrait de Stanleyville. Ghislain Courtois en est le directeur.

Janvier 1957 : Plus de 200 chimpanzés sont déjà arrivés au Camp Lindi.

Février 1957 : Ghislain Courtois reçoit Hilary Koprowski pour la première fois au Camp Lindi. Ils immortalisent cette visite par une photo « officielle » devant la pancarte du camp.

Mars 1957 : Premières vaccinations de 4228 personnes avec le vaccin oral expérimental « CHAT » de Hilary Koprowski à Stanleyville.

1er mai 1957 : Hilary Koprowski quitte les laboratoires Lederle à Pearl River dans l'État de New York (Etats-Unis) avec son vaccin oral expérimental « CHAT ».

Il devient directeur du Wistar Institute à Philadelphie.

1er octobre 1957 : Inauguration en présence de Hilary Koprowski, Ghislain Courtois et toute l'équipe des médecins belges du nouveau laboratoire médical de Stanleyville (Congo belge). Ce laboratoire est immense et possède la technologie de pointe de l'époque.

26 décembre 1957 : Deux ans et demi après l'ouverture du camp, Gilbert Rollais, le chasseur officiel du camp et son équipe de Pygmées ramènent le 401e chimpanzé au Camp Lindi.

1er février 1958 : Fritz Deinhardt, spécialiste en cultures de tissus au Children's Hospital de Philadelphie arrive à Stanleyville pour, officiellement, faire des recherches

sur l'hépatite.

Du 24 février au 10 avril 1958 : En l'espace de six semaines, 215 504 personnes sont vaccinées avec le vaccin « CHAT 10A11 » dans la vallée de la Ruzizi, frontière entre le Congo

belge, le Rwanda et le Burundi.

Novembre 1958 : L'OMS désapprouve les campagnes de vaccinations de masse menées par Hilary Koprowski au Congo belge.

1959 : Dans le cadre de leurs recherches, Joseph Vandepitte et Arno Motulsky font le tour du Congo belge et collectent 2000 échantillons de sang humain. En 1985, le chercheur André Nahmias découvrira que l'un de ces échantillons est positif au VIH...

Juin 1960 : Indépendance du Congo belge. La situation politique entraîne la fermeture du Camp Lindi dans lequel il reste 50 chimpanzés. Au total, un million de personnes ont reçu le vaccin expérimental

Science sans conscience ? Quelques propos extraits du film

« A mon avis, on aurait dû arrêter d'utiliser des reins de

singes dans la production de virus dès 1960. Nous avons pourtant continué. Ce sont les industries pharmaceutiques qui prennent ces décisions... Ce qui me met vraiment hors de moi, c'est que nous avons la possibilité de fabriquer un vaccin anti-polio à base de protéines de synthèse, nous n'en faisons rien ! »

Dr Cecil Fox

« Il me semblait que les gens devaient se faire une idée par eux-mêmes, examiner sur pièces et prendre une décision. Ce sont les théories qui font progresser la science, elles font avancer les choses... »

Tom Curtis

« Hilary Koprowski est allé au Congo et il a pris des gens

victimes de l'expansion coloniale. Il s'est servi d'eux. Je ne crois pas que quiconque, à l'époque, se soit soucié de l'aspect éthique de la question. »

Dr Cecil Fox

« Largement plus de 400 chimpanzés ont été amenés au camp de Lindi en moins de deux ans, entre 1956 et 1958. Aucun de ces chimpanzés n'a survécu. On peut se poser la question :

pourquoi ont- ils été tués ? »

Edward Hooper

« C'est là l'hypothèse (la théorie du vaccin anti-polio)

la plus haïe du monde médical. Il y a de grandes résistances à publier quoi que ce soit ainsi qu'à vérifier les pièces à convictions disponibles. »

Bill Hamilton

« A cet égard, la science n'est pas démocratique. En science, vous avez votre théorie et moi mon hypothèse. Si je peux détruire votre théorie, je le fais et votre théorie n'existe plus. »

Simon Wain Hobson

« L'impossibilité de découvrir la vérité, de mener un débat public et d'étudier ce qui est arrivé font que la science médicale continue, sans réelle mise en garde, d'aller au devant de désastres équivalents, sinon bien pires. »

Lettre de Bill Hamilton à la Royal Society

« C'est évident que le chimpanzé est intervenu dans la

composition du vaccin anti-polio... C'était avant tout un but

scientifique pour lequel on les employait. J'ai parlé assez comme ça... J'ai parlé trop, même... »

Pierre Doupagne

« On nous appelait, on y allait... C'était un vaccin important !

Personne n'avait le droit de refuser ... C'était une obligation très difficile, très dure ! »

Villageoise

« Si quelqu'un n'avait pas reçu le vaccin, il y avait les chefs, eux, savaient dans quelles maisons les trouver... Personne n'est allé en prison, mais c'était un ordre d'avoir le vaccin. »

Villageois

« Les tests du Congo belge sont l'exemple parfait que de telles expérimentations à grande échelle n'auraient jamais dû

avoir lieu ».

Lettre de l'OMS suite aux vaccinations de la Ruzizi.

CONTRE COURANT

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Je suis épatée qu'une émission pareil passe sur une chaine nationale... bon d'accord à 23h et quelques.... icon_eek.gif

Pour ma part, je pense que les vaccins joue un role dans l'apparition des symptomes du SIDA, bien sur pas à cause du virus de la polio, qui a tué bien plus rapidement que le SIDA, mais à cause d'un ou de plusieurs produits utilisés pour la fabrication du ou des vaccins. Soit en fragilisant le terrain soit en enclenchant un processus dans le "système immunitaire"... Donc pour moi, la recherche du coté de cette histoire de ce centre d'étude colonialiste qui s'est servi des africains comme de cobayes de laboratoire est interessante. Il faut quand meme savoir, qu'aujourd'hui encore l'Afrique est le continent où se déroulent le plus d'essais de vaccins ou de médicaments... Ca n'a pas vraiment changé.

En tous cas, je pense que ce reportage ne va pas faire plaisir à ceux qui ont la chance de ne pas etre cité dans ce reportage mais qui l'aurait mérité. Koprowsky n'était pas tout seul la bas icon_smile.gif

Diamant

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Comme je l'avais déjà écrit dans un autre forum : les vaccins sont de véritables détonateurs de maladies.

Je viens de voir et d'enregistrer ce documentaire de Contre Courant, il dure exactement 98 minutes avec la présentation et commentaires de fin d'émission.

Bravo à France2 pour ce courage, mais comme il est passé vendredi à 22h50, heure à laquelle la plupart des bipèdes à oeillères sont couchés ou occupés à regarder ou faire autre chose...

Je n'ai pas le bouquin du Professeur Léonard G. Horowitz "La Guerre des Virus". Pour ceux qui l'ont lu, aurait-il eu sa place dans le documentaire ci-dessus ?

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Diamant

Je suis épatée qu'une émission pareil passe sur une chaine nationale.

Moi aussi, d'autant plus que l'état vient d'intervenir dans la stratégie économique de 'lun des plus gros vaccinateurs européens.

Nous avons donc en même temps la confirmation qu'en 1959, il existait au moins un cas de SIDA dans notre monde, à moins que le test ne soit pas viable.

Cela tendrait à confirmer également l'origine multifactoreille du SIDA.

Nowar

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Moarfff... ca n'a pas plu à tout le monde ce reportage !

Le film de la discorde

En programmant le documentaire intitulé Les origines du sida, lors du dixième Sidaction, France 2 a lâché une bombe. En raison de l'horaire de diffusion - 22 h 50 un vendredi soir -, celle-ci ne devait pas blesser un très grand nombre de téléspectateurs. Pourtant, ils étaient 1,1 millions devant leur poste. Et l'émission a réussi à créer la polémique.

Le documentaire, qui s'appuie sur la thèse d'Edward Hooper, défend l'idée que le VIH a pu être transmis du singe à l'homme par la faute d'une campagne de vaccination massive contre la poliomyélite menée au Congo belge dans les années 50.

Les réactions qu'il suscite sont très variées. Jusqu'aux plus radicales. Pour certains, c'est la preuve que les vaccinations sont nocives et qu'elles sont encouragées par les lobbies pharmaceutiques.

Une rengaine qu'on retrouve sur un site de défense des animaux : "La communauté scientifique fait bloc face à cette dernière théorie (celle de Hooper) et la réfute, faisant passer ses intérêts avant la recherche de la vérité et nous plonge ainsi dans une controverse sans précédent".

Si on s'en tient à ce que nous dit le site Overdrive audiovisuel, qui suit l'actualité de la télévision et de la radio, le documentaire diffusé par France 2 a été "salué par la presse, de Télérama à Télé Poche". Télérama a en effet parlé d'"une enquête fouillée et captivante, à la crédibilité troublante" mais les médias sont loin d'avoir été unanimes.

Le Monde a sévèrement critiqué le film et Libération plus encore : "A vouloir à tout prix ne retenir que cette hypothèse, ce documentaire endosse la thèse boiteuse du complot. Un gâchis. Mais un gâchis volontaire car la direction des documentaires de France 2 a manifestement tordu l'enquête dans ce sens. De nombreuses interviews d'experts sont ainsi passées à la trappe pour ne pas 'perturber', dit-on, le téléspectateur. Drôle de leçon de transparence, en ce jour de Sidaction."

France 2, qui reconnaît avoir supprimé plusieurs témoignages mais conteste l'interprétation du journal, a demandé un droit de réponse.

Pour l'association AIDES, France 2 a indubitablement "dérapé" en diffusant ce film. Sur son site, on peut lire : "Il est (...) très surprenant et scandaleux de voir une chaîne publique française diffuser ce type de documentaire sans pour autant donner la parole à l'ensemble des spécialistes qui en dénoncent le contenu ! L'engagement des principales chaînes de télévision française dans le Sidaction ne doit pas se faire au détriment de la pertinence des informations diffusées."

Le Conseil national du sida s'est lui aussi élevé contre l'initiative de France 2. Il "regrette vivement la programmation de tels sujets qui desservent le travail et l'engagement de centaines de chercheurs et de médecins au service de la connaissance et de la lutte contre la maladie depuis plus de vingt ans. Ces programmations paraissent d'autant plus inopportunes qu'elles sont susceptibles de faire naître de fausses croyances au sein de la population, et de brouiller ainsi les messages de prévention et de solidarité diffusés au cours de ce Sidaction."

Selon L'Humanité, l'équipe du documentaire elle-même jugeait peu opportun de diffuser ce film polémique en plein Sidaction.

La cérémonie réclamait plus de sérénité et de consensus.

http://www.france5.fr/asi/006052/33/110925.cfm

Le Sidaction érigé en "jour de gloire national"... Il est interdit de critiquer ou d'émettre une opinion qui n'ait pas l'aval des "tenants officiels du sida", ceux, qui, sans le sida, retomberaient surement dans l'anonymat....

Je me demande qui servent rééllement ces associations... en dehors d'elles memes...

Je n'ai toujours pas vu ce docu, et je vais désormais le chercher pour le visionner icon_smile.gif

Merci france5 de continuer à faire de la pub de façon aussi détourner icon_biggrin.gif

Diamant

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Invité lavienrose

Le CNS regrette la diffusion d’informations controversées

jeudi 22 avril 2004.

A l’occasion du Sidaction 2004, le Conseil national du sida se félicite de la forte mobilisation de l’ensemble des grandes chaînes de télévision, publiques et privées. Pour autant, il s’étonne de la diffusion sur France 2, vendredi 23 avril, d’un documentaire sur les origines du sida dont le contenu erroné a été à plusieurs reprises critiqué par l’ensemble de la communauté scientifique. En effet, ce documentaire laisse penser que l’épidémie de VIH/sida aurait pour origine un vaccin contre la polio, utilisé au Congo en 1958. Pour cela, il s’appuie sur des hypothèses douteuses qui ont depuis été infirmées par des recherches dont les résultats ont été publiés par de grandes revues scientifiques.

Par ailleurs, ces journées ne devraient pas donner lieu à la promotion de thérapeutiques non évaluées, comme cela est envisagé sur Canal Plus, même si cette promotion est assurée par des personnalités de renom.

Aussi, le Conseil national du sida regrette vivement la programmation de tels sujets qui desservent le travail et l’engagement de centaines de chercheurs et de médecins, au service de la connaissance et de la lutte contre la maladie depuis plus de vingt ans. Ces programmations paraissent d’autant plus inopportunes qu’elles sont susceptibles de faire naître de fausses croyances au sein de la population, et de brouiller ainsi les messages de prévention et de solidarité diffusés au cours de ce Sidaction.

Contact presse :

  Marie-Hélène Balique 01 40 56 68 50, CNS-CONSEIL@sante.gouv.fr

comme quoi.....

Modifié par lavienrose
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En gros la liberté d'expression ainsi que le libre choix thérapeutique et la liberté d'information sont fermement condamnés.

Le patient à toute forme de liberté sauf celle de s'informer de façon critique.

Quel grand couturier fera défiler ses mannequins avec des oeilleres, pour être dans l'air du temps?

Nowar

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Invité nng nng

Le sida serait apparu chez l'homme en 1930, avec une marge d'erreur de plus ou moins 20 ans (calcul de Bette Korber au laboratoire national de Los Alamos aux Etats-Unis en 1999).

ça me fait penser à 1984, de George Orwell...

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Invité lavienrose

Quand au mythe "vaccin anti-polio===>sida":

Médecine-SIDA: Origine du sida : des chercheurs tordent le cou une théorie controversée.

Agence France-Presse - avril 25, 2001

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PARIS, 25 avr (AFP) - Des équipes indépendantes de chercheurs tordent le cou à la théorie controversée selon laquelle la pandémie du sida aurait pour origine un vaccin oral contre la poliomyélite utilisé à la fin des années 50 en Afrique, notamment au Zaïre.

Leurs travaux paraissent simultanément dans les revues britannique Nature et américaine Science.

L'hypothèse controversée d'une transmission du virus du SIDA à l'homme par le biais ce vaccin anti-polio a été promue en 1999 par un journaliste britannique, Edward Hooper, dans un livre ("The River: A Journey Back to the Source of HIV and AIDS", éditions Penguin, Londres).

Le vaccin oral américain était supposé contenir des particules de reins de chimpanzé contaminées par le virus de singe "SIV" (virus de l'immunodéficience simienne), proche parent du virus du SIDA le plus répandu sur la planète (VIH 1).

La campagne de vaccination, menée de 1957 à 1960, a concerné près d'un million de personnes, essentiellement au Zaïre. Elle avait été lancée par un institut américain, le Wistar Institute de Philadelphie (Pennsylvanie).

Mais en fait, selon les chercheurs, l'homme était porteur de la souche virale à l'origine de la pandémie bien avant le lancement de cette campagne de vaccination.

Les chercheurs ont analysé des lots du vaccin oral anti-polio de l'époque sans retrouver le moindre élément en faveur de cette théorie, réfutant ainsi un lien quelconque entre le vaccin polio et le SIDA.

Nature, datée de jeudi, publie des analyses du vaccin conduites respectivement par Simon Wain-Hobson de l'Institut Pasteur (Paris) et par des chercheurs britanniques (National Institute for Biological Standards and Control).

La réfutation est complétée d'une étude sur l'arbre généalogique et les origines de la forme la plus répondue virus du sida (souche VIH 1 du groupe M) réalisée par Edward Holmes du département de zoologie de l'université d'Oxford (Royaume-Uni) avec Martine Peeters de l'Institut de recherche pour le développement (IRD, ex-ORSTOM, laboratoire de rétrovirologie, Montpellier, France).

Les chercheurs de l'IRD avaient montré l'extrême diversité des souches virales en République Démocratique du Congo (RDC, ex-Zaïre) plaidant en faveur d'une origine centrafricaine du VIH 1 dans une étude parue dans le Journal of Virology.

L'analyse approfondie de ces données dans Nature confirme que le virus était présent de longue date dans cette région d'Afrique centrale, qui serait le berceau de l'épidémie.

Les scientifiques de l'IRD estiment que le groupe M est apparu vers 1930 (travaux parus cette année dans le mensuel américain FASEB). La transmission du virus de singe à l'homme est beaucoup plus ancienne, selon eux.

Dans Science, daté de vendredi, des chercheurs allemands de Leipzig (Hendrik Poinar et Svante Paabo, Institut Max Planck pour l'anthropologie évolutive) enfoncent le dernier clou après une analyse poussée d'échantillons historiques de vaccins américains : aucune trace de cellules de chimpanzés dans les vaccins administrés en 1958 et 1959 dans l'ex-Congo belge.

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  • 4 mois après...

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4-spamafote.gif Je viens de voir un reportage ,contre courant "l'origine du sida" qui explique comment le virus du sida a été transmis du chimpanzé à l'homme en fabriquant le vaccin de la polio à partir de rein de chimpanzé dans les années 55-60!

Pour ceus qui sont interressé par ce reportage le télécharger sur émule en tapant les mot clés :origine sida.

Un livre écrit par Edward Hooper " The river" expose cette hypothèse dont voici une présentation:

Les premières campagnes de vaccination contre la poliomyélite pourraient être à l'origine de la propagation du VIH et de l'épidémie de sida

PARIS, 25 avril 2000 (Cybersciences)

Malgré les percées spectaculaires dans le traitement du sida, l'origine de l'épidémie demeure encore un mystère. Le VIH semble être le descendant direct d'un VIS - virus d'immunodéficience simienne - porté par les chimpanzés africains. Mais comment le virus s'est-il transmis du singe à l'homme ? Dans son livre The River, A Journey to the Source of HIV and AIDS (La Rivière : retour aux sources du VIH et du sida), le britannique Edward Hooper expose une surprenante théorie. Il soutient que l'épidémie de sida est le résultat d'interventions médicales en Afrique durant les années 50, plus spécifiquement l'administration de plus de un million de doses d'un vaccin oral expérimental contre la poliomyélite. Certains lots de ce vaccin auraient été fabriqués à l'aide de cultures cellulaires provenant de reins de singes, possiblement contaminés par le VIS.

Ancien journaliste de la BBC, Edward Hooper n'est pas l'auteur de cette audacieuse théorie, déjà énoncée en 1992 par une poignée de scientifiques. Dix années de recherche, pendant lesquelles il a réalisé plus de 600 interviews à travers le monde et analysé plus de 4 000 textes, l'ont cependant conduit aux mêmes conclusions que ces scientifiques. Il décide alors de livrer le contenu de ses recherches en publiant un livre rédigé comme une véritable enquête policière.

Sans omettre aucun détail, Edward Hooper décrit l'histoire des premiers cas de sida en Amérique et en Europe. Il explore aussi les nombreuses hypothèses portant sur l'origine de l'épidémie, dont celle, encore nébuleuse mais généralement acceptée, du transfert naturel du virus par la rencontre entre chimpanzés et humains, principalement à cause de la chasse et de la garde d'animaux de compagnie. L'auteur a même retracé des données inédites, à partir desquelles il a constaté que les cartes de localisation des premières vaccinations contre la polio étaient étonnamment similaires à celles de l'émergence des premières traces du VIH (le plus ancien exemplaire du VIH connu à ce jour a été recueilli chez un Africain de Léopoldville en 1959). Fait troublant, tous les cas connus de VIH recensés en Afrique avant 1981 sont apparus à l'intérieur d'un rayon de 160 kilomètres des villes ayant fait l'objet des premières campagnes de vaccination antipolio, entre 1957 et 1960.

En présentant ces faits dans un imposant ouvrage de plus de 1 000 pages, Hooper touche une corde sensible du monde scientifique et soulève l'épineuse question de l'éthique dans la recherche. En effet, Hilary Koprowski, le médecin responsable des premiers essais de vaccination, était à l'époque en compétition et en conflit avec Albert Sabin et Jonas Salk, qui avaient mis au point des vaccins contre la polio. Il reste très peu de traces de la recherche menée dans les camps de vaccination mais, dans cette course au virus, il est possible que, malgré de nobles intentions, l'attrait du prestige et de la fortune ait pu mener à de graves négligences aux implications énormes.

Bien qu'on ait trouvé des traces d'un virus simien - le SV40 - dans les vaccins oraux de polio fabriqués à cette époque, on n'y a pas encore relevé la présence du VIH. Un exemplaire de ce vaccin est conservé depuis 40 ans dans un réfrigérateur de l'institut Wistar à Philadelphie. Il pourrait être un argument décisif en faveur de la théorie d'Edward Hooper.

The River, A Journey to the Source of HIV and AIDS, par Edward Hooper. London : Little, Brown and Company, 1999. 1 070 pages.

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Mon cher DaK'az

il est toujours plus simple de faire porter la faute à un individu qui aurait mal expérimenté, puis à u virus, qu'à son propre comportement et au comportement de la collectivité, principalement par rapport à l'utilisation sans discernement de toutes sortes de substances chimiques artificielles (qui comportent des liaisons qu'on trouve pas dans la nature) et bien sûr, oxydantes pour la plupart.

Donc, même la théorie du virus propagé par les vaccins est à revoir. Et si ce n'était pas tout simplement le vaccin qui posait problème parce qu'il contenait des substances oxydantes. Dans le reportage, on ne parle pas de ce qu'on a fait "subir" à la préparation.

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le bouquin d'Horowitz est assez difficile à se procurer de plus il est assez cher : 44 euros 90 mais bon plus de 600 pages , un vrai roman on ne s'ennuie pas une seconde

et ensuite à la fin de lalongue lecture qui vous terrasse de doutes vous en avez pour toute une vie à recouper les infos et leur source pour vérifier leur véracité , un bouquin qui tient bien en haleine et que devrait lire cheminot nos spécialiste en chimie !!

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Le Monde Daté du 5 septembre article page 5

"Campagne d'éradication de la polio au Nigéria"

en substance je résume d'après le pouvoir nigérian il y a risque de la plus grande épidémie

que l'histoire de pays est connu (actuellement 476 cas) , on préconise dans cette région de vacciner 80 millions de personne !!! (pays voisins compris) , les autorité locales du nord refusent en déclarant que ces vaccins ne sont pas fiables et nocifs pour la santé.

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