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SIDA : l'horreur !


aixur
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Je sais qu'il y a déjà un sujet sur le SIDA. Mais, je me permets de poster ce message sur un sujet séparé, tellement cette information est choquante et monstrueuse :

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Ce qui suit représente une part importante d’un article plus détaillé : « La maison construite par le SIDA » du journaliste Liam Scheff.

Cet article évoque la maltraitance pharmacologique exercée dans un home d’enfants de NIC. C’est une histoire très sujette à controverse, et pourtant elle se fonde uniquement sur des faits et sur un bon reportage. J’espère que vous la trouverez aussi intéressante et choquante que moi quand je l’ai découverte.

Je cherche une revue imprimée pour publier l’article complet. Si vous dirigez ou travaillez dans un journal honnête et de bonne qualité, qui a un lectorat d’une importance raisonnable et un site web actif et de bonne qualité, merci de me contacter : liamscheff@yahoo.com (France : information@sidasante.com)

La maison construite par le SIDA (extraits)

Liam Scheff

Introduction

Sur les Washington Heights de New York, il y a un bâtiment de 4 étages appelé Incarnation Children’s Center (ICC). Cette bâtisse, qui était auparavant un couvent, est maintenant un centre d’accueil pour des enfants qui ont été enlevés à leurs familles par l’Agency for Child Services (agence d’aide à l’enfance). Ces enfants sont noirs, hispaniques, et pauvres. Dans la plupart des cas, leurs parents ont des antécédents de toxicomanie. Lorsqu’ils sont placés dans l’ICC, les enfants sont enrôlés dans une étude sur les médicaments financée par le NICHD (l’Institut National des Allergies et des Pathologies Infectieuses, une division du NIH), en collaboration avec les plus grandes laboratoires pharmaceutiques du monde, GlaxoSmithKline, Pfizer, Genetech, Chiron/Biocine, et d’autres.

Les produits administrés aux enfants sont toxiques. On sait qu’ils provoquent des mutations génétiques, des insuffisances organiques, la destruction de la moelle osseuse, des déformations physiques, des lésions cérébrales et des pathologies cutanées mortelles. Si les enfants refusent de les prendre, on les maintient et on les leur donne de force. Si les enfants continuent à résister, on les envoie au Columbia Presbyterian Hospital, et un chirurgien pratique une gastrostomie (on leur place un tube qui traverse la paroi abdominale et va jusque dans leur estomac). Ensuite, les médicaments sont injectés directement dans leur tube digestif.

En 2003, 2 enfants âgés de 6 et 12 ans ont eu de sévères convulsions liées à la toxicité des médicaments. L’enfant de 6 ans est devenu aveugle. Les 2 enfants sont décédés peu de temps après. Un autre enfant de 14 ans est décédé récemment. Un enfant de 8 ans a subi 2 chirurgies plastiques pour enlever 2 volumineuses tumeurs graisseuses situées dans son dos.

Ce n’est pas de la science fiction. C’est de la recherche sur le SIDA. Les enfants admis à l’ICC sont nés de mères séropositives pour le VIH, ou sont eux-mêmes séropositifs. Cependant, il n’a été expliqué ni aux parents, ni aux enfants, que les tests de dépistage du VIH sont totalement inadaptés (1, 2). Le test du VIH réagit de façon croisée dans près de 70 circonstances dont certaines sont fréquentes, ce qui donne un résultat faussement positif. Ces circonstances incluent les rhumes, l’herpès, l’hépatite, la tuberculose, la toxicomanie, les vaccination, et, ce qui est encore plus inquiétant, une grossesse récemment terminée ou en cours (3, 4, 5). Cette inadéquation des tests est double, parce que les facteurs qui font qu’un test est faussement positif chez une femme enceinte pourront être transmis à l’enfant, qui sera lui aussi diagnostiqué à tort comme positif.

La plupart d’entre nous n’ont jamais entendu dire cela auparavant. C’est indiscutablement l’un des plus grands secrets de la médecine. Toutefois, la très mauvaise fiabilité des tests de dépistage du VIH est un fait bien connu des chercheurs, mais les chercheurs ne le disent pas aux médecins, et ils ne le disent certainement pas aux enfants admis à l’ICC, qui servent de cobayes pour la prochaine génération de médicaments contre le SIDA. L’ICC est gérée par le Prebyterian Hospital de l’Université de Columbia, en relation avec Catholic Home Charities, par le biais de l’Archidiocèse de New York.

Sean et Dana Newberg sont 2 des enfants admis à l’ICC. Leur mère était toxicomane, et elle était incapable de s’occuper correctement d’eux ; ils ont donc été placés, jusqu’à ce que leur grand-tante Mona les adopte. Mona Newberg est enseignante à New York, et elle a un doctorat en matière d’éducation. Elle a adopté les enfants alors que Sean avait 3 ans et Mona 6 ans. Elle avait déjà pris en charge leur frère aîné, qui n’a jamais été testé pour le VIH, n’a jamais reçu de médicaments contre le SIDA. Il est maintenant adulte, en bonne santé, et il travaille dans la Marine.

Leur mère consommait de l’héroïne et du crack depuis son adolescence. Elle a subi un test de dépistage du VIH dans les années 80, et a été décrétée séropositive. « Elle avait eu 3 enfants avant Sean et Dana », dit Mona. « Personne ne nous a dit que le test pouvait être faussement positif en cas de toxicomanie, sans parler de la grossesse. Ce n’est pas un test fiable. »

Suite aux résultats du test, les médecins du Columbia Presbyterian ont placé Sean sous monothérapie par AZT alors qu’il était âgé de 5 mois. La prescription d’une monothérapie par AZT est actuellement considérée comme une faute médicale, car ce produit peut provoquer des maladies potentiellement mortelles, comme par exemple une anémie mortelle.

Sean a été en réanimation à 2 reprises suite à la prise d’un médicament contre le SIDA, la névirapine. Dana a été mise sous traitement contre le SIDA en 2002, alors qu’elle n’était pas malade. Depuis qu’elle a commencé à prendre ces médicaments, Dana a développé un cancer.

Les 2 enfants ont été placés à l’ICC et y ont été gardés contre leur gré et contre la volonté de Mona pour une seule raison : Mona avait remis en question l’innocuité des médicament contre le SIDA, AZT, Névirapine et Kaletra, et avait arrêté de les donner aux enfants quant elle avait constaté que cela les rendait malades. Pendant l’été et l’automne 2003, j’ai été voir Mona, Sean, Dana, et l’ICC. J’ai parlé à Mona de son expérience et de sa décision.

Liam Scheff : Qu’est-ce qui vous a amené à vous poser des questions sur l’innocuité du traitement ?

Mona Newberg : Lorsque Sean est arrivé chez moi à l’âge de 3 ans, il était un légume. Il n’avait jamais mangé d’aliments solides. Il avait une sonde nasogastrique (un tuyau qui allait jusque dans son estomac en passant par son nez). Les médicaments contre le SIDA modifient la perception du goût. L’AZT, particulièrement, le fait d’une telle façon que les enfants ne perçoivent plus le goût des aliments et ne mangent plus. Les infirmières donnaient à Sean de l’AZT, du Bactrim, et 6 boites de Pédiasure par jour avec cette sonde, qu’il a gardé dans son estomac pendant plus de 2 ans. Personne ne s’est jamais préoccupé de la lui changer.

Quand Sean est arrivé chez moi, j’ai continué à lui donner les médicaments pendant encore environ 5 mois. Mais à chaque prise il devenait plus faible. Alors je me suis dit, c’est quand même curieux, tous ces produits sont supposés lui permettre d’être en meilleure santé, alors pourquoi va-t-il de plus en plus mal ?

[Mona a alors décidé d’arrêter de donner à Sean ces médicaments, et a constaté que sa santé s’améliorait lentement mais constamment. L’agence de protection de l’enfance n’a pas approuvé sa décision de refuser de donner de l’AZT à Sean, même si ce produit le rendait malade, et l’a inscrite à la consultation d’un médecin de Beth Israel.]

Mona : Une personne de l’agence de protection de l’enfance est venue chez moi, et m’a dit qu’elle devait inscrire l’enfant chez un médecin spécialisé dans les maladies infectieuses, le Dr Howard, au Beth Israel. J’emmenais Sean et Dana chez un médecin spécialisé en médecine naturelle, et ils étaient alors tous les deux forts et en bonne santé. J’ai donc répondu qu’ils avaient un médecin. On m’a répondu : « Il n’est pas bien du tout, vous devez aller voir le Dr Howard maintenant. »

Howard a été un désastre pour les enfants. Il a ignoré la seule chose préoccupante chez Sean à ce moment, ses problèmes pulmonaires, et a insisté pour qu’il reçoive un nouveau médicament contre le VIH. Il a dit : « C’est un nouveau médicament miracle. Il vient juste d’être commercialisé. Je vous garantis que si vous le donnez à Sean, vous aller constater un miracle. »

LS : Quel était ce médicament miraculeux ?

Mona : La névirapine. Howard a prescrit de la névirapine à Sean. La santé de Sean s’est immédiatement détériorée. Il est devenu plus malade, ses poumons se sont congestionnés, il a perdu du poids, ses joues ont fondu, il a commencé à avoir des problèmes hépatiques et spléniques (au niveau du foie et de la rate). 6 mois après le début du traitement par névirapine, il a fait une insuffisance organique totale. Il est resté en réanimation pendant 2 semaines à l’Hôpital Beth Israel. Alors, j’ai fait quelques recherches sur la névirapine, et j’ai trouvé qu’elle induisait des insuffisances organiques et le décès. Quand Sean est enfin sorti de réanimation, Howard l’a fait placer dans un autre service ( ? je ne connais pas très bien le système de soin aux USA ; est-ce qu’il était dans un service hospitalier, ou est-ce qu’il avait une hospitalisation au domicile ?). 6 mois plus tôt, il était en bonne santé. Et maintenant, ils me disaient de me préparer à sa mort.

[Mona a réussi à faire sortir Sean de l’hôpital, et à le ramener chez elle. Elle a arrêté de lui donner de la névirapine, et la santé de Sean s’est progressivement améliorée. Elle a ensuite été contactée par une personne de l’agence pour la protection de l’enfance, afin de placer Sean à l’ICC.]

La personne de l’agence pour la protection de l’enfance m’a dit qu’elle pouvait faire admettre Sean à l’ICC jusqu’à ce qu’il soit en meilleure santé. Elle m’a dit que l’ICC était un endroit merveilleux. Elle m’a dit que dans 4 mois il serait en assez bonne santé pour revenir à la maison. L’ICC a arrêté de donner de la névirapine à Sean, et l’a mis sous Viracept, Epivir, Zerit et Bactrim. Sean allait mieux après l’arrêt de la névirapine, mais les nouveaux médicaments l’ont à nouveau rendu malade, juste un peu moins. Il avait du mal à marcher, et ses bras et ses jambes sont devenus encore plus maigres.

J’ai été voir Sean à l’ICC pendant 5 mois. Après, j’ai voulu le ramener à la maison. Ils m’ont dit : « Nous ne recommandons pas le départ de Sean. Vous avez la réputation de ne pas donner les médicaments. »

LS : L’ICC a refusé de laisser sortir Sean ?

Mona : Oui. Ils l’ont gardé pendant un an et demi. J’ai dû faire appel à un avocat pour arriver à le faire sortir.

LS : A quoi ça ressemblait pour Sean, à l’ICC ?

Mona : Il y avait des enfants dans des fauteuils roulants, avec des béquilles, avec des déformations. Il y avait des bébés AZT. Leur tête avait une forme anormale, avec les yeux très espacés et enfoncés. Les médicaments provoquent d’importants problèmes de développement. De nombreux enfants avaient des malformations, des membres grêles, des ventres distendus. Beaucoup avaient des troubles d’apprentissage de la lecture. Les enfants admis à l’ICC sont traités en permanence avec toutes sortes de médicaments. Lorsque les enfants refusent de les prendre, les infirmières les maintiennent et les leur donnent de force. Sean voulait de toutes ses forces partir de cet endroit.

Pendant mes visites, j’ai constaté que de nombreux enfants de l’ICC avaient un tuyau qui pendait sous leur maillot de corps, et je me demandais ce que c’était. Alors un jour, j’ai vu une infirmière arriver avec tout un chariot de médicaments et de seringues, et je l’ai regardé injecter les médicaments dans le tuyau qui sortait de l’estomac des enfants. Je n’arrivais pas à le croire. J’ai pensé, mon Dieu, qu’est-ce qui se passe ici ?

Tous les enfants qui avaient un tuyau placé dans leur estomac recevaient les médicaments par ce tube, depuis les enfants de 3 ans jusqu’aux adolescents. Cela m’a horrifié. Je ne pouvais pas comprendre pourquoi. Quand je l’ai compris, j’ai pensé que sûrement cela devait être illégal. Cela ne pourrait certainement pas être fait légalement.

J’ai parlé des questions que je me posais à la personne de la protection de l’enfance qui suivait Sean. Je lui ai dit : « Est-ce que vous savez ce qu’ils font à ces enfants là dedans ? Ca me rappelle les nazis en Allemagne. » Il m’a répondu : « Ils font des choses merveilleuses pour ces enfants. » J’ai appelé à Albany, la capitale de l’état, et j’ai parlé à [nom de la personne supprimé] de l’Institut du SIDA du Département d’Etat de la Santé. Il m’a répondu : « Que voulez-vous qu’on fasse si ces jeunes enfants refusent de prendre les médicaments ? Comment pouvons-nous sauver leur sauver la vie si nous ne leur faisons pas cette opération ? »

LS : Qui effectue cette opération ?

Mona : Les enfants sont envoyés au Columbia Presbyterian pour l’opération. Elle est faite par leurs chirurgiens.

[Mona décrit les enfants qui sont décédés à l’ICC. Deux enfants âgés de 6 et 12 ans, ont eu de sévères convulsions iatrogènes. L’un est devenu aveugle, et tous les deux sont décédés peu après. Amir, 9 ans, a eu plusieurs opérations pour enlever des tumeurs graisseuses apparues sur son dos et ses épaules. Ce type de tumeurs (lipodystrophie) est un des effets secondaires de certains médicaments contre le SIDA, les inhibiteurs des protéases. « Les enfants de l’ICC qui n’avaient pas de gastrostomie étaient nettement en meilleure santé et vivaient nettement plus longtemps que les enfants qui en avaient une », dit Mona].

LS : L’ICC participe à un programme national d’études sur le SIDA. Avez-vous jamais signé un formulaire autorisant l’entrée de l’enfant dans une étude pharmacologique ?

Mona : Non, jamais. Mais la personne de la protection de l’enfance a signé à ma place, quand je n’ai pas voulu donner les médicaments à Sean. Quand j’ai dit « Non », cette personne a pris le formulaire et a dit « Je vais le signer, ce n’est pas nécessaire que vous le fassiez. » Ils changent constamment le traitement, et ne me demandant jamais si je suis d’accord.

Actuellement, la plupart des enfants sont sous Kaletra. Ce produit a été approuvé en un temps record. Il a commencé à être utilisé avant même la fin des tests. Mais ils savaient une chose au sujet du Kaletra. Il provoque des cancers. C’est marqué sur la notice, ce produit induisait des cancers en expérimentation animale.

Je me suis battue pendant un an pour ramener Sean à la maison. L’ICC voulait le mettre dans un centre d’accueil où une personne serait payée pour lui donner les médicaments tous les jours. J’ai trouvé un avocat, et nous avons finalement réussi à sortir Sean de là. Mon avocat a réussi à mettre la main sur le dossier médical de Sean à l’ICC. Il m’a dit : « Sean a été torturé dans cet endroit. Il a été torturé. »

Médicaments utilisés dans les études conduites à l’ICC, au Columbia Prebyterian, et dans des centaines de services de pédiatrie spécialisés dans le SIDA partout dans le pays :

Médicament

Laboratoire pharmaceutique

Toxicité connue (notice d’utilisation du laboratoire)

Effet thérapeutique reconnu (notice du laboratoire)

Rétrovir (AZT)

GlaxoSmithKline

Le Rétrovir a été associé à une toxicité hématologique (toxique pour le sang) : neutropénie *, anémie sévère.

La prise prolongée de Rétrovir peut induire une myopathie (destruction musculaire).

Ont été rapportés la survenue d’une acidose lactique et d’une hépatomégalie sévère (maladie du foie), des stéatoses (dégénérescence graisseuse), mortelles dans certains cas, suite à l’utilisation des analogues de nucléosides (Rétrovir, Epivir, Zerit) seuls ou en combinaison...

Le Rétrovir ne permet pas la guérison de l’infection par le VIH.

Les effets à long terme du Rétrovir sont inconnus à l’heure actuelle.

Les effets à long terme de l’exposition in utero de l’enfant au Rétrovir son inconnus ; il y a un risque de cancer.

Epivir (ETC, Lamivudine)

GlaxoSmithKline

(voir ci-dessus)

Les parents ou les personnes qui s’occupent de l’enfant doivent savoir que ce dernier doit être suivi pour recherche de l’apparition d’une pancréatite.

L’Epivir ne permet pas de guérir l’infection par le VIH.

Les patients doivent être avertis du fait que les effets secondaires à long terme de l’Epivir sont inconnus à l’heure actuelle.

Zerit (Stavudine)

Bristol-Meyers-Squibb

(voir ci-dessus)

Des cas d’acidose lactique mortelle ont été rapportés chez des femmes enceintes qui prenaient de la didanosine et de la stavudine en même temps que d’autres antirétroviraux

Le Zerit ne permet pas de guérir l’infection par le VIH.

Il existe peu de données sur l’utilisation au long cours du Zerit.

Viramine (Névirapine)

Boeringer-Ingelheim

Les patients doivent être informés de la possibilité de survenue de troubles hépatiques ou cutanés sévères liés à la prise de Viramine, qui sont potentiellement mortels.

Des cas graves, potentiellement mortel, qui se sont avérés mortels dans certains cas, d’hépatotoxicité (toxicité pour le foie), avec nécrose hépatique (destruction du foie) et insuffisance hépatique, ont été rapportés chez des patients traités par Viramine.

Ont aussi été rapportés des troubles cutanés graves, potentiellement mortels, ayant induit des décès, tels qu’un syndrome de Stevens-Jonhson, ou un syndrome de Lyell (destruction de la peau)

Le Viramine ne permet pas de guérir l’infection par le VIH

Ritonavir (Norvir)

Laboratoires Abbott

Redistribution / accumulation de graisse, incluant une obésité centrale, une surcharge graisseuse dorsocervicale (bosse de bison), un amaigrissement des membres, une augmentation de volume des seins, troubles lipidiques, augmentation importante du taux de cholestérol et des triglycérides totaux.

Norvir ne permet pas de guérir l’infection par le VIH

Kaletra

Laboratoires Abbott

Voir ci-dessus

Les études du pouvoir carcinogène chez les animaux n’ont pas été terminées.

Chez les souris mâles... il existe une augmentation dose-dépendante de l’incidence à la fois des adénomes et des carcinomes (cancers) hépatiques.

Le Kaletra ne permet pas de guérir l’infection par le VIH.

Les effets secondaires à long terme du Kaletra sont inconnus à l’heure actuelle.

* (NB : la neutropénie est la baisse du taux des polynucléaires neutrophiles, pas une anémie)

Photo d’un enfant souffrant de syndrome de Stevens-Jonhson, une éruption cutanée papuleuse ou bulleuse potentiellement mortelle. C’est l’un des effets secondaires connus de la névirapine, un antirétroviral. La névirapine est l’un des principaux médicaments utilisé en Afrique.

Huit des 200 études actuellement conduites au sein de l’ICC et du Columbia Presbyterian (des 800 études nationales) :

-The Effect of Anti-HIV Treatment on Body Characteristics of HIV-Infected Children

Conditions: HIV Infections; HIV Wasting Syndrome; Lipodystrophy

Sponsors: NIAID and NICHD

Impact du traitement contre le VIH sur les caractéristiques physiques des enfants contaminés par le VIH. Conditions : infection par le VIH ; syndrome de dépérissement lié au VIH ; lipodystrophie.

Financement : NIAID et NICHD

-The Effects of Anti-HIV Therapy on the Immune System of HIV-Positive Children

Sponsors: NIAID and NICHD

Impact du traitement contre le VIH sur le système immunitaire des enfants séropositifs pour le VIH

Financement : NIAID et NICHD

-Comparison of Stavudine Used Alone or in Combination with Didanosine in HIV-Infected Children

Sponsor: NIAID

Comparaison entre un traitement par Stavudine seule ou en combinaison avec la Didanosine chez des enfants contaminés par le VIH

Financement : NIAID

-HIV Levels in Cerebrospinal Fluid and Brain Function in Patients Receiving Anti-HIV Drugs

Sponsors: NIAID, NINDS (Nat. Inst. Neurological Disorders and Strokes), NARC (Neurologic AIDS Reseach Consortium)

Taux de VIH dans le liquide cérébrospinal et fonction cérébrale chez des patients recevant des médicaments contre le VIH

Financement : NIAID, NINDS, NARC

-A Study of Lopinavir/Ritonavir in Infants with HIV

Sponsors: NIAD, NICHD

Etude sur l’utilisation de Lopinavir / Ritonavir chez des enfants contaminés par le VIH

Financement : NIAID, NICHD

-A Study to Compare Different Drugs Used to Prevent Serious Bacterial Infections in HIV-Positive Children

Sponsors: NIAID, Pfizer, Glaxo

Etude comparative de différents traitements pour la prévention des infections bactériennes sévères chez des enfants séropositifs pour le VIH

Financement : NIAID, Pfizer, Glaxo

-The Safety and Effectiveness of Valacyclovir HCI in the Treatment of Herpes Simplex or Varicella/Zoster Infections in HIV-1 Infected Children

Sponsors: NIAID, Glaxo

Innocuité et efficacité du chlorhydrate de valacyclovir pour le traitement de l’Herpès simplex ou des infections à virus varicelle / zona chez des enfants contaminés par le VIH-1

Financement : NIAID, Glaxo

-The Safety and Effectiveness of Treating Advanced AIDS Patients between the Ages 4 and 22 with Seven Drugs, Some at Higher than Usual Doses

Sponsor: NIAID, NICHD

Innocuité et efficacité du traitement des patients de 4 à 22 ans présentant un SIDA avancé avec 7 produits, certains donnés à une posologie plus élevé que la normale

Financement : NIAID et NICHD

Les médecins de l’ICC

Pour confirmer les dires de Mona, j’ai parlé avec le Dr [nom dissimulé jusqu’à publication], directeur médical de l’ICC. Je lui ai posé des questions sur les médicaments contre le SIDA, les études cliniques, et les gastrostomies chez les enfants qui ne pouvaient pas ou ne voulaient pas prendre les médicaments. Le Dr [ ] m’a dit que la plus grande difficulté qu’ils rencontraient chez les enfants admis à l’ICC n’était pas la maladie, mais le respect du traitement médical. Elle m’a aussi confirmé qu’il y avait « des tas et des tas d’études effectuées sur les enfants ».

LS : Que fait l’ICC ?

ICC’s Medical Director : L’ICC s’occupe d’enfants dont le cas est médicalement complexe mais qui ne présentent pas de maladie aiguë, et dont le suivi médical pose davantage de problème que la moyenne. Nous avons de plus en plus d’enfants qui nous sont adressés ces dernières années à cause de difficultés à respecter leur traitement médical. Nous avons une bonne quantité d’enfants dont l’infection par le VIH pourrait être bien contrôlée, mais dont les familles ont des difficultés à respecter le traitement médical de l’enfant.

Ce que nous demandons aux familles et aux patients en terme de respect du traitement, c’est quelque chose comme 100% : tous les médicaments, tout le temps, qu’ils aient ou non les médicaments sous la main, que les médicaments les rendent malades ou pas, et même s’ils présentent une autre maladie en même temps.

L’ICC est affiliée au Columbia Presbyterian. Nous collaborons avec environ 6 hôpitaux new-yorkais (le Columbia Presbyterian, l’hôpital Harlem, l’hôpital de New-York, le St Luke/Roosevelt, le King’s Coutry Brooklyn et le SUNY). Des enfants nous sont adressés par des consultations externes de la ville, des cinq comtés, et de Westchester le long de l’île. La plupart de ces consultations sont situées dans des centres médicaux.

LS : Est-ce que l’ICC participe a des études cliniques sur des médicaments ?

ICC MD : La plupart des consultations qui nous adressent leurs patients participent à des études cliniques sur des médicaments. Les enfants qui participent à une étude sur des médicaments bénéficient d’un suivi, de tests, et reçoivent gratuitement le médicament expérimental pendant la durée de leur suivi par la consultation, et nous poursuivons ce traitement ici.

LS : Quand j’ai fait une recherche dans la base de données gouvernementale sur les études cliniques, j’ai trouvé des tas et des tas d’études effectuées sur des enfants.

ICC MD : Il y a des tas et des tas d’études effectuées sur des enfants.

LS : Je sais que les médicaments sont difficiles à prendre et ont des effets secondaires. Comment arrivez-vous à les faire prendre à un enfant ?

ICC MD : Un des problèmes rencontrés avec les enfants est qu’ils ne peuvent pas avaler de gros comprimés. De nombreux produits se présentent sous la formes de comprimés assez gros pour un cheval, et il faut prendre beaucoup de comprimés. Les présentations liquides ou en poudres n’ont pas un goût très agréable. Elles laissent pendant longtemps dans la bouche un goût amer. Nous les mélangeons avec un sirop au chocolat. Certains enfants arrivent à les prendre de cette façon, d’autres pas. Dans certains cas, c’est mieux d’administrer les médicaments par gastrostomie.

LS : C’est un tuyau qui passe par le nez ou qu’on met directement dans l’estomac ?

ICC MG : On le met directement dans l’estomac. Ce qu’on passe par le nez, c’est une sonde de gavage naso-gastrique. C’est correct pour des traitements de courte durée. Il faut la changer de narine toutes les semaines pour abaisser le risque d’infection des sinus. Chaque fois qu’on donne un médicament ou des suppléments par cette sonde, il faut faire attention que cela va bien dans l’estomac et pas dans les poumons, parce que la sonde peut s’être déplacée.

LS : Qu’est-ce qu’une gastrostromie ?

ICC MD : C’est un tuyau qu’on rentre dans l’estomac par une petite ouverture à travers la paroi abdominale et celle de l’estomac.

LS : Et comment placez-vous ce tuyau ?

ICC MD : C’est un chirurgien qui le place. C’est fait en salle d’opération, sous anesthésie. Le chirurgien place un endoscope (une caméra de fibres optiques qu’on descend dans l’estomac par l’œsophage), qui lui permettra de bien voir l’intérieur de l’estomac. Ensuite, il pose le tuyau.

LS : Il fait une ouverture dans l’abdomen ?

ICC MD : Oui, c’est tout à fait ça. Il découpe la peau, ouvre la paroi abdominale, puis celle de l’estomac. Il fait un petit trou, de 6 à 7 millimètres. Il faudra plusieurs semaines pour que cela cicatrise correctement, alors ça fera un peu mal. Un petit tuyau est placé par cette ouverture. De l’extérieur, vous pouvez placer sur ce tube une seringue ou un tuyau d’alimentation. L’ouverture extérieure du tuyau peut être fermée quand elle n’est pas utilisée (avec un bouchon en plastique), cela dépasse de moins de 10 cm hors de l’estomac. Dans certains cas, on les appelle des boutons.

A l’intérieur de l’estomac, il y a un appareil appelé ballon, qui permet au tuyau de rester en place ; il est rempli avec de l’eau de façon à avoir une taille qui empêche l’extrémité interne du tuyau de sortir par l’ouverture abdominale.

LS : Quand estime-t-on que cette pratique chirurgicale est nécessaire ou utile ?

ICC MD : Lorsque les autres interventions pour obtenir que l’enfant prenne les médicaments par la bouche ont échoué.

Image : Tuyau de gastrostomie ou PEG (gastrostomie percutanée sous endoscopie). Chirurgie de gastrostomie.

Dans sa brochure de présentation, l’ICC se qualifie de « sanctuaire de l’amour, une résidence où on est soigné comme à la maison... »

Conclusion

Le traitement des patients admis à l’ICC actuellement viole tous les standards pour les expérimentations médicales édictés par la législation internationale après la Seconde Guerre Mondiale.

Les enfants admis à l’ICC sont utilisés pour des expérimentations sur des médicaments sans que cela soit porté à leur connaissance.

Ces expérimentations sont menées sans le consentement des parents ou des tuteurs des enfants.

Les expériences ne sont ni nécessaires, ni dépourvues de danger.

On sait que les médicaments utilisés peuvent induire des handicaps et des décès.

Les enfants qui refusent les médicaments se les voient donner de force, ou sont altérés chirurgicalement.

Est-ce que ce comportement est acceptable ? Ou avons-nous besoin d’un autre Nuremberg pour nous remettre en mémoire les règles de la civilisation ?

L’expérience de Mona et de Sean n’est pas isolée. De nombreux patients dans tous les USA et dans le monde entier vivent une situation similaire, et sont rendus malades par l’utilisation irrationnelle de médicaments dangereux dans le seul objectif de faire des profits financiers. Les mères informées qui essayent de protéger leurs enfants vis-à-vis de thérapies potentiellement mortelles sont décrétées renégates, et courent le risque de voir leurs enfants leur être enlevés par des agences d’état qui collaborent avec (et souvent sont financées par) les laboratoires qui fabriquent et vendent les médicaments.

Si nous voulons que cela cesse, c’est à nous tous, citoyens, scientifiques, acteurs de santé, activistes, mères, pères et membres des familles, de porter ces faits à l’attention du grand public, afin de protéger les droits de ces enfants, et de rappeler à l’establishment médical le principe sacré : « Primum non nocere », D’abord, ne pas nuire.

NB : L’article complet contient l’interview d’une infirmière qui a travaillé à l’ICC, et qui a constaté que les enfants n’arrivaient à aller mieux que lorsque le traitement médicamenteux était arrêté. Il y a davantage d’informations sur Sean et sur sa sœur Dana, qui a aussi été admise à l’ICC, ainsi qu’une analyse critique des tests de dépistage du VIH.

Liam Scheff, 2003

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C'est ce qui attend tout le monde si le pouvoir politique continue à passer tranquillement dans les mains des "docteurs" en médecine, biologie, et en pharmacie.

Je crois qu'il faut absolument porter le débat politique dans ce domaine, celui de la santé publique, car c'est par là que nous serons "orwellisés".

Le clivage gauche - droite est bien entendu obsolète, c'est d'ailleurs la cause du désintéressement du peuple français pour la politique, car il sent confusément que ces deux positions politiques sont "bonnet blanc et blanc bonnet", comme l'a dit le candidat communiste à l'élection présidentielle de 1969.

Car en fait, la gauche ne combat pas le capitalisme pharmaceutique, apeurée qu'elle est elle aussi par les "menaces" sanitaires qui apparaissent. Je doute même que la LCR le fasse, pas plus d'ailleurs que le FN.

Et il n'y a pas que le problème de la santé, qui est certes le plus important, car c'est un bon biais pour asservir les consciences.

Mais la pollution qui rejoint d'ailleurs la santé est un enjeu capital, de même d'ailleurs que la gestion des transports et de l'énergie qui en découle.

Modifié par Cheminot
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  • 2 months later...

Pour les anglicistes, voici la suite de l'affaire, don les proportions vont grandissantes. Ce qui joue en défaveur des "expérimentateurs", c'est leur silence persistant.

Drug Tests on Foster Kids Spark Scandal in NYC

Wednesday, March 10, 2004

By Wendy McElroy

Were HIV-positive infants and children in the Manhattan foster care system used as guinea pigs in medical experiments? That question is at the heart of a potential scandal that could propel child welfare systems in North America toward greater transparency and accountability.

On Feb. 29, The New York Post exposed the problem in three articles by Douglas Montero The first, "AIDS Tots Used as 'Guinea Pigs,'" claimed that about 50 children had been used in 13 medical experiments, some involving high doses of AIDS medications, at Manhattans Incarnation Children's Center . The Post later revised the number to 100 in the light of data released on March 1 by New York Citys Administration for Children's Services, following a review of their files.

The second article, "I Took Girls Out of Hell and City Stole Them Back,"was the story of Jacqueline Hoerger, a pediatric nurse and foster mother to two girls from ICC, where she had worked from 1989 to 1993. Social workers took the girls from Hoerger because she refused to administer AIDS medications that she learned were "highly toxic and mostly untested in children."

At ICC, Hoerger says she witnessed experimental treatment "on HIV-infected children, some as young as three months."

In the third piece, an op-ed entitled "Defenseless Kids Guardian Agency Wont Come Clean," Montero posed his questions for the ACS: For example, "how many children were involved?" And, to whom could the children "call for relief if researchers prodded too hard, hurt them, made them cry or made them sick?"

In other words, what authority supervised the treatment of children who had no parent or foster parent to render consent?

The ACS assigned the children to the studies, but the agency lacks the medical expertise to evaluate whether the application of an experimental treatment is appropriate or abusive. Moreover, according to Anat Jacobson, a spokeswoman for the Public Advocate's Office that serves as a watchdog to the ACS, her agency had no knowledge of the experimental treatments.

Jacobson expressed concern that the ACS might have "just unilaterally signed up these kids."

The ACS could answer Montero's questions, but instead, it seems to be invoking privacy concerns in order to remain silent. When questions involve aggregate numbers and protocol, however, there is no privacy issue. And there are well-established methods for discussing medical studies that preserve the anonymity of subjects.

In the presence of official silence, the facts alleged gain credibility. What are they? A good place to begin is with the ICC which is run by the Archdiocese of New Yorks Catholic Charities and was opened in 1989 to provide residential and outpatient medical care for HIV-infected children. The ICC has conducted dozens of experimental medical studies, most of which were funded by federal grants or — more controversially — by pharmaceutical companies.

One of the ICCs experimental studies, sponsored by the National Institutes of Health, was entitled "HIV Wasting Syndrome." Its purpose was "to see how beginning or changing anti-HIV medications affects the body composition... of HIV-infected children."

No one could fault researchers for administering appropriate drugs to sick children and monitoring the results, especially when the children might not otherwise receive treatment. But questions immediately arise concerning studies that purportedly tested the "safety," "tolerance" and "toxicity" of AIDS drugs. Or one that tested the reaction of HIV-positive children, ages six to seven months, to the injection of two doses of measles vaccine. The ICC used to offer descriptions of such experiments on its web site <http://www.icc-pedsaids.org/>, which became abruptly inoperative in the wake of the Posts investigation. Without data, how can the validity be judged?

News of the experiments is already fueling outrage. "They are torturing these kids, and it is nothing short of murder," Michael Ellner of Health Education AIDS Liaison declared of the experiments that ended in 2002.

Biochemist Dr. David Rasnick, an expert in AIDS medication, reviewed the AIDS drugs administered to the children and concluded that alone, or in combination as they often were administered, the drugs had "acute toxicity which could be fatal."

ACS must be forthcoming. Silence or bureaucratic answers arent going to work this time. Driven by criticism by officials such as New York City Councilman Bill DiBlasio, the New York Health Department is beginning to investigate.

Moreover, the "scandal" has hit the international press. A headline in last weeks Japan Today announced, "HIV-infected kids in New York used as 'guinea pigs.'" Newspapers in France <http://www.survivreausida.net/article5922.html> and the U.K. <http://news.scotsman.com/latest.cfm?id=2595031> echoed the accusation. Too many eyes are watching.

It is usually parents who look out for children — comfort their tears, shield them from abuse, and make wrenching decisions about their welfare. Who comforted and protected the parent-less, HIV-positive infants and children at ICC? I hope there were hospital staff who held each sick child in their arms and wanted nothing more than to heal the pain.

But data has disappeared. Archdiocese spokesman Joseph Zwilling reportedly told journalists that he did not know why the experiments stopped in 2002 or whether any of the children had died. Nicholas Scoppetta, who headed ACS during the experiments and has since left the agency to become New York City's current fire commissioner, will not comment.

Hopes are not enough. For once, a child welfare system must have the courage and decency to open itself to public scrutiny.

Wendy McElroy is the editor of ifeminists.com and a research fellow for The Independent Institute in Oakland, Calif. She is the author and editor of many books and articles, including the new book, "Liberty for Women: Freedom and Feminism in the 21st Century" (Ivan R. Dee/Independent Institute, 2002). She lives with her husband in Canada.

Respond to the Writer <mailto:mac@ifeminists.net?cc=views@foxnews.com>

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Cela fait un moment que je travaille avec Liam Scheff et une traductrice anon. pour cet article et une trilogie précédente de LS.

www.sidasante.com/journal/maison.htm

www.sidasante.com/journal/scheff1.htm

C'est $idasanté qui est la source française "officielle" et www.altheal.org la source anglaise.

Depuis peu un journaliste du New York Post a "volé" cette info sans créditer LS, mais les autorités sanitaires NY ont ensuite entamé une investigation sur les activités du ICC.

Le site Internet du "Incarnation Childrens Center" a depuis tout fermé sauf la page d'accueil, et Liam Scheff est en pourparleurs avec des cinéastes pour en faire une documentaire!

Liam communique très bien en Français et appréciera surement des messages sur son E-mail <liamscheff@yahoo.com>. C'est un bel être qui a évolué par un changement d'alimentation et de conscience.

Tout de bon icon_ange.gif

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Invité jahvolant

Tout ça me fait penser qu un chanteur français (serge lama,mais je me trompe peut étre,bien que ça ne soit pas vieux,j étais assez distrait) qui était dans un orphelinat a dit qu on faisait des piqures(plus d une par semaine) aux enfants ,et selon lui c etait de l experimentation.

Vous allez me dire :quelles sont les retombées de ces déclarations brulantes sur une chaine hertzienne?

nib rien pas un pet de mouche puni.gif

Si quelqu un a les réferences de l émission...

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Très bien que les agissements de ces ordures soient exposées au grand jour dans la presse. Apparemment, ces misérables commencent à trembler. Tant mieux. J'espère que ça conduira le plus vite possible à la fermeture de cet abominable centre de torture.

Je vais écrire un mot d'encouragement à Liam Scheff. Il faut encourager ce genre de bonne volonté.

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  • 1 year later...

La BBC, Canal+, et enfin l'ARD allemande (ce mercredi 10/08) ont passé un documentaire basé sur le travail de Liam Scheff. Je n'ai pas pu enregistrer Canal+, n'ayant pas de décodeur. Mais j'ai la version allemande. Celle-ci contient d'ailleurs une interview de Christine Maggiore, exclue de la version canal+.

Si des germanophones veulent le cd en mpg, qu'il m'écrivent en MP ou sur ma BAL

Modifié par Cheminot
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