aixur Posté(e) le 6 janvier 2004 Posté(e) le 6 janvier 2004 Je sais qu'il y a déjà un sujet sur le SIDA. Mais, je me permets de poster ce message sur un sujet séparé, tellement cette information est choquante et monstrueuse : ------------------- Ce qui suit représente une part importante dun article plus détaillé : « La maison construite par le SIDA » du journaliste Liam Scheff. Cet article évoque la maltraitance pharmacologique exercée dans un home denfants de NIC. Cest une histoire très sujette à controverse, et pourtant elle se fonde uniquement sur des faits et sur un bon reportage. Jespère que vous la trouverez aussi intéressante et choquante que moi quand je lai découverte. Je cherche une revue imprimée pour publier larticle complet. Si vous dirigez ou travaillez dans un journal honnête et de bonne qualité, qui a un lectorat dune importance raisonnable et un site web actif et de bonne qualité, merci de me contacter : liamscheff@yahoo.com (France : information@sidasante.com) La maison construite par le SIDA (extraits) Liam Scheff Introduction Sur les Washington Heights de New York, il y a un bâtiment de 4 étages appelé Incarnation Childrens Center (ICC). Cette bâtisse, qui était auparavant un couvent, est maintenant un centre daccueil pour des enfants qui ont été enlevés à leurs familles par lAgency for Child Services (agence daide à lenfance). Ces enfants sont noirs, hispaniques, et pauvres. Dans la plupart des cas, leurs parents ont des antécédents de toxicomanie. Lorsquils sont placés dans lICC, les enfants sont enrôlés dans une étude sur les médicaments financée par le NICHD (lInstitut National des Allergies et des Pathologies Infectieuses, une division du NIH), en collaboration avec les plus grandes laboratoires pharmaceutiques du monde, GlaxoSmithKline, Pfizer, Genetech, Chiron/Biocine, et dautres. Les produits administrés aux enfants sont toxiques. On sait quils provoquent des mutations génétiques, des insuffisances organiques, la destruction de la moelle osseuse, des déformations physiques, des lésions cérébrales et des pathologies cutanées mortelles. Si les enfants refusent de les prendre, on les maintient et on les leur donne de force. Si les enfants continuent à résister, on les envoie au Columbia Presbyterian Hospital, et un chirurgien pratique une gastrostomie (on leur place un tube qui traverse la paroi abdominale et va jusque dans leur estomac). Ensuite, les médicaments sont injectés directement dans leur tube digestif. En 2003, 2 enfants âgés de 6 et 12 ans ont eu de sévères convulsions liées à la toxicité des médicaments. Lenfant de 6 ans est devenu aveugle. Les 2 enfants sont décédés peu de temps après. Un autre enfant de 14 ans est décédé récemment. Un enfant de 8 ans a subi 2 chirurgies plastiques pour enlever 2 volumineuses tumeurs graisseuses situées dans son dos. Ce nest pas de la science fiction. Cest de la recherche sur le SIDA. Les enfants admis à lICC sont nés de mères séropositives pour le VIH, ou sont eux-mêmes séropositifs. Cependant, il na été expliqué ni aux parents, ni aux enfants, que les tests de dépistage du VIH sont totalement inadaptés (1, 2). Le test du VIH réagit de façon croisée dans près de 70 circonstances dont certaines sont fréquentes, ce qui donne un résultat faussement positif. Ces circonstances incluent les rhumes, lherpès, lhépatite, la tuberculose, la toxicomanie, les vaccination, et, ce qui est encore plus inquiétant, une grossesse récemment terminée ou en cours (3, 4, 5). Cette inadéquation des tests est double, parce que les facteurs qui font quun test est faussement positif chez une femme enceinte pourront être transmis à lenfant, qui sera lui aussi diagnostiqué à tort comme positif. La plupart dentre nous nont jamais entendu dire cela auparavant. Cest indiscutablement lun des plus grands secrets de la médecine. Toutefois, la très mauvaise fiabilité des tests de dépistage du VIH est un fait bien connu des chercheurs, mais les chercheurs ne le disent pas aux médecins, et ils ne le disent certainement pas aux enfants admis à lICC, qui servent de cobayes pour la prochaine génération de médicaments contre le SIDA. LICC est gérée par le Prebyterian Hospital de lUniversité de Columbia, en relation avec Catholic Home Charities, par le biais de lArchidiocèse de New York. Sean et Dana Newberg sont 2 des enfants admis à lICC. Leur mère était toxicomane, et elle était incapable de soccuper correctement deux ; ils ont donc été placés, jusquà ce que leur grand-tante Mona les adopte. Mona Newberg est enseignante à New York, et elle a un doctorat en matière déducation. Elle a adopté les enfants alors que Sean avait 3 ans et Mona 6 ans. Elle avait déjà pris en charge leur frère aîné, qui na jamais été testé pour le VIH, na jamais reçu de médicaments contre le SIDA. Il est maintenant adulte, en bonne santé, et il travaille dans la Marine. Leur mère consommait de lhéroïne et du crack depuis son adolescence. Elle a subi un test de dépistage du VIH dans les années 80, et a été décrétée séropositive. « Elle avait eu 3 enfants avant Sean et Dana », dit Mona. « Personne ne nous a dit que le test pouvait être faussement positif en cas de toxicomanie, sans parler de la grossesse. Ce nest pas un test fiable. » Suite aux résultats du test, les médecins du Columbia Presbyterian ont placé Sean sous monothérapie par AZT alors quil était âgé de 5 mois. La prescription dune monothérapie par AZT est actuellement considérée comme une faute médicale, car ce produit peut provoquer des maladies potentiellement mortelles, comme par exemple une anémie mortelle. Sean a été en réanimation à 2 reprises suite à la prise dun médicament contre le SIDA, la névirapine. Dana a été mise sous traitement contre le SIDA en 2002, alors quelle nétait pas malade. Depuis quelle a commencé à prendre ces médicaments, Dana a développé un cancer. Les 2 enfants ont été placés à lICC et y ont été gardés contre leur gré et contre la volonté de Mona pour une seule raison : Mona avait remis en question linnocuité des médicament contre le SIDA, AZT, Névirapine et Kaletra, et avait arrêté de les donner aux enfants quant elle avait constaté que cela les rendait malades. Pendant lété et lautomne 2003, jai été voir Mona, Sean, Dana, et lICC. Jai parlé à Mona de son expérience et de sa décision. Liam Scheff : Quest-ce qui vous a amené à vous poser des questions sur linnocuité du traitement ? Mona Newberg : Lorsque Sean est arrivé chez moi à lâge de 3 ans, il était un légume. Il navait jamais mangé daliments solides. Il avait une sonde nasogastrique (un tuyau qui allait jusque dans son estomac en passant par son nez). Les médicaments contre le SIDA modifient la perception du goût. LAZT, particulièrement, le fait dune telle façon que les enfants ne perçoivent plus le goût des aliments et ne mangent plus. Les infirmières donnaient à Sean de lAZT, du Bactrim, et 6 boites de Pédiasure par jour avec cette sonde, quil a gardé dans son estomac pendant plus de 2 ans. Personne ne sest jamais préoccupé de la lui changer. Quand Sean est arrivé chez moi, jai continué à lui donner les médicaments pendant encore environ 5 mois. Mais à chaque prise il devenait plus faible. Alors je me suis dit, cest quand même curieux, tous ces produits sont supposés lui permettre dêtre en meilleure santé, alors pourquoi va-t-il de plus en plus mal ? [Mona a alors décidé darrêter de donner à Sean ces médicaments, et a constaté que sa santé saméliorait lentement mais constamment. Lagence de protection de lenfance na pas approuvé sa décision de refuser de donner de lAZT à Sean, même si ce produit le rendait malade, et la inscrite à la consultation dun médecin de Beth Israel.] Mona : Une personne de lagence de protection de lenfance est venue chez moi, et ma dit quelle devait inscrire lenfant chez un médecin spécialisé dans les maladies infectieuses, le Dr Howard, au Beth Israel. Jemmenais Sean et Dana chez un médecin spécialisé en médecine naturelle, et ils étaient alors tous les deux forts et en bonne santé. Jai donc répondu quils avaient un médecin. On ma répondu : « Il nest pas bien du tout, vous devez aller voir le Dr Howard maintenant. » Howard a été un désastre pour les enfants. Il a ignoré la seule chose préoccupante chez Sean à ce moment, ses problèmes pulmonaires, et a insisté pour quil reçoive un nouveau médicament contre le VIH. Il a dit : « Cest un nouveau médicament miracle. Il vient juste dêtre commercialisé. Je vous garantis que si vous le donnez à Sean, vous aller constater un miracle. » LS : Quel était ce médicament miraculeux ? Mona : La névirapine. Howard a prescrit de la névirapine à Sean. La santé de Sean sest immédiatement détériorée. Il est devenu plus malade, ses poumons se sont congestionnés, il a perdu du poids, ses joues ont fondu, il a commencé à avoir des problèmes hépatiques et spléniques (au niveau du foie et de la rate). 6 mois après le début du traitement par névirapine, il a fait une insuffisance organique totale. Il est resté en réanimation pendant 2 semaines à lHôpital Beth Israel. Alors, jai fait quelques recherches sur la névirapine, et jai trouvé quelle induisait des insuffisances organiques et le décès. Quand Sean est enfin sorti de réanimation, Howard la fait placer dans un autre service ( ? je ne connais pas très bien le système de soin aux USA ; est-ce quil était dans un service hospitalier, ou est-ce quil avait une hospitalisation au domicile ?). 6 mois plus tôt, il était en bonne santé. Et maintenant, ils me disaient de me préparer à sa mort. [Mona a réussi à faire sortir Sean de lhôpital, et à le ramener chez elle. Elle a arrêté de lui donner de la névirapine, et la santé de Sean sest progressivement améliorée. Elle a ensuite été contactée par une personne de lagence pour la protection de lenfance, afin de placer Sean à lICC.] La personne de lagence pour la protection de lenfance ma dit quelle pouvait faire admettre Sean à lICC jusquà ce quil soit en meilleure santé. Elle ma dit que lICC était un endroit merveilleux. Elle ma dit que dans 4 mois il serait en assez bonne santé pour revenir à la maison. LICC a arrêté de donner de la névirapine à Sean, et la mis sous Viracept, Epivir, Zerit et Bactrim. Sean allait mieux après larrêt de la névirapine, mais les nouveaux médicaments lont à nouveau rendu malade, juste un peu moins. Il avait du mal à marcher, et ses bras et ses jambes sont devenus encore plus maigres. Jai été voir Sean à lICC pendant 5 mois. Après, jai voulu le ramener à la maison. Ils mont dit : « Nous ne recommandons pas le départ de Sean. Vous avez la réputation de ne pas donner les médicaments. » LS : LICC a refusé de laisser sortir Sean ? Mona : Oui. Ils lont gardé pendant un an et demi. Jai dû faire appel à un avocat pour arriver à le faire sortir. LS : A quoi ça ressemblait pour Sean, à lICC ? Mona : Il y avait des enfants dans des fauteuils roulants, avec des béquilles, avec des déformations. Il y avait des bébés AZT. Leur tête avait une forme anormale, avec les yeux très espacés et enfoncés. Les médicaments provoquent dimportants problèmes de développement. De nombreux enfants avaient des malformations, des membres grêles, des ventres distendus. Beaucoup avaient des troubles dapprentissage de la lecture. Les enfants admis à lICC sont traités en permanence avec toutes sortes de médicaments. Lorsque les enfants refusent de les prendre, les infirmières les maintiennent et les leur donnent de force. Sean voulait de toutes ses forces partir de cet endroit. Pendant mes visites, jai constaté que de nombreux enfants de lICC avaient un tuyau qui pendait sous leur maillot de corps, et je me demandais ce que cétait. Alors un jour, jai vu une infirmière arriver avec tout un chariot de médicaments et de seringues, et je lai regardé injecter les médicaments dans le tuyau qui sortait de lestomac des enfants. Je narrivais pas à le croire. Jai pensé, mon Dieu, quest-ce qui se passe ici ? Tous les enfants qui avaient un tuyau placé dans leur estomac recevaient les médicaments par ce tube, depuis les enfants de 3 ans jusquaux adolescents. Cela ma horrifié. Je ne pouvais pas comprendre pourquoi. Quand je lai compris, jai pensé que sûrement cela devait être illégal. Cela ne pourrait certainement pas être fait légalement. Jai parlé des questions que je me posais à la personne de la protection de lenfance qui suivait Sean. Je lui ai dit : « Est-ce que vous savez ce quils font à ces enfants là dedans ? Ca me rappelle les nazis en Allemagne. » Il ma répondu : « Ils font des choses merveilleuses pour ces enfants. » Jai appelé à Albany, la capitale de létat, et jai parlé à [nom de la personne supprimé] de lInstitut du SIDA du Département dEtat de la Santé. Il ma répondu : « Que voulez-vous quon fasse si ces jeunes enfants refusent de prendre les médicaments ? Comment pouvons-nous sauver leur sauver la vie si nous ne leur faisons pas cette opération ? » LS : Qui effectue cette opération ? Mona : Les enfants sont envoyés au Columbia Presbyterian pour lopération. Elle est faite par leurs chirurgiens. [Mona décrit les enfants qui sont décédés à lICC. Deux enfants âgés de 6 et 12 ans, ont eu de sévères convulsions iatrogènes. Lun est devenu aveugle, et tous les deux sont décédés peu après. Amir, 9 ans, a eu plusieurs opérations pour enlever des tumeurs graisseuses apparues sur son dos et ses épaules. Ce type de tumeurs (lipodystrophie) est un des effets secondaires de certains médicaments contre le SIDA, les inhibiteurs des protéases. « Les enfants de lICC qui navaient pas de gastrostomie étaient nettement en meilleure santé et vivaient nettement plus longtemps que les enfants qui en avaient une », dit Mona]. LS : LICC participe à un programme national détudes sur le SIDA. Avez-vous jamais signé un formulaire autorisant lentrée de lenfant dans une étude pharmacologique ? Mona : Non, jamais. Mais la personne de la protection de lenfance a signé à ma place, quand je nai pas voulu donner les médicaments à Sean. Quand jai dit « Non », cette personne a pris le formulaire et a dit « Je vais le signer, ce nest pas nécessaire que vous le fassiez. » Ils changent constamment le traitement, et ne me demandant jamais si je suis daccord. Actuellement, la plupart des enfants sont sous Kaletra. Ce produit a été approuvé en un temps record. Il a commencé à être utilisé avant même la fin des tests. Mais ils savaient une chose au sujet du Kaletra. Il provoque des cancers. Cest marqué sur la notice, ce produit induisait des cancers en expérimentation animale. Je me suis battue pendant un an pour ramener Sean à la maison. LICC voulait le mettre dans un centre daccueil où une personne serait payée pour lui donner les médicaments tous les jours. Jai trouvé un avocat, et nous avons finalement réussi à sortir Sean de là. Mon avocat a réussi à mettre la main sur le dossier médical de Sean à lICC. Il ma dit : « Sean a été torturé dans cet endroit. Il a été torturé. » Médicaments utilisés dans les études conduites à lICC, au Columbia Prebyterian, et dans des centaines de services de pédiatrie spécialisés dans le SIDA partout dans le pays : Médicament Laboratoire pharmaceutique Toxicité connue (notice dutilisation du laboratoire) Effet thérapeutique reconnu (notice du laboratoire) Rétrovir (AZT) GlaxoSmithKline Le Rétrovir a été associé à une toxicité hématologique (toxique pour le sang) : neutropénie *, anémie sévère. La prise prolongée de Rétrovir peut induire une myopathie (destruction musculaire). Ont été rapportés la survenue dune acidose lactique et dune hépatomégalie sévère (maladie du foie), des stéatoses (dégénérescence graisseuse), mortelles dans certains cas, suite à lutilisation des analogues de nucléosides (Rétrovir, Epivir, Zerit) seuls ou en combinaison... Le Rétrovir ne permet pas la guérison de linfection par le VIH. Les effets à long terme du Rétrovir sont inconnus à lheure actuelle. Les effets à long terme de lexposition in utero de lenfant au Rétrovir son inconnus ; il y a un risque de cancer. Epivir (ETC, Lamivudine) GlaxoSmithKline (voir ci-dessus) Les parents ou les personnes qui soccupent de lenfant doivent savoir que ce dernier doit être suivi pour recherche de lapparition dune pancréatite. LEpivir ne permet pas de guérir linfection par le VIH. Les patients doivent être avertis du fait que les effets secondaires à long terme de lEpivir sont inconnus à lheure actuelle. Zerit (Stavudine) Bristol-Meyers-Squibb (voir ci-dessus) Des cas dacidose lactique mortelle ont été rapportés chez des femmes enceintes qui prenaient de la didanosine et de la stavudine en même temps que dautres antirétroviraux Le Zerit ne permet pas de guérir linfection par le VIH. Il existe peu de données sur lutilisation au long cours du Zerit. Viramine (Névirapine) Boeringer-Ingelheim Les patients doivent être informés de la possibilité de survenue de troubles hépatiques ou cutanés sévères liés à la prise de Viramine, qui sont potentiellement mortels. Des cas graves, potentiellement mortel, qui se sont avérés mortels dans certains cas, dhépatotoxicité (toxicité pour le foie), avec nécrose hépatique (destruction du foie) et insuffisance hépatique, ont été rapportés chez des patients traités par Viramine. Ont aussi été rapportés des troubles cutanés graves, potentiellement mortels, ayant induit des décès, tels quun syndrome de Stevens-Jonhson, ou un syndrome de Lyell (destruction de la peau) Le Viramine ne permet pas de guérir linfection par le VIH Ritonavir (Norvir) Laboratoires Abbott Redistribution / accumulation de graisse, incluant une obésité centrale, une surcharge graisseuse dorsocervicale (bosse de bison), un amaigrissement des membres, une augmentation de volume des seins, troubles lipidiques, augmentation importante du taux de cholestérol et des triglycérides totaux. Norvir ne permet pas de guérir linfection par le VIH Kaletra Laboratoires Abbott Voir ci-dessus Les études du pouvoir carcinogène chez les animaux nont pas été terminées. Chez les souris mâles... il existe une augmentation dose-dépendante de lincidence à la fois des adénomes et des carcinomes (cancers) hépatiques. Le Kaletra ne permet pas de guérir linfection par le VIH. Les effets secondaires à long terme du Kaletra sont inconnus à lheure actuelle. * (NB : la neutropénie est la baisse du taux des polynucléaires neutrophiles, pas une anémie) Photo dun enfant souffrant de syndrome de Stevens-Jonhson, une éruption cutanée papuleuse ou bulleuse potentiellement mortelle. Cest lun des effets secondaires connus de la névirapine, un antirétroviral. La névirapine est lun des principaux médicaments utilisé en Afrique. Huit des 200 études actuellement conduites au sein de lICC et du Columbia Presbyterian (des 800 études nationales) : -The Effect of Anti-HIV Treatment on Body Characteristics of HIV-Infected Children Conditions: HIV Infections; HIV Wasting Syndrome; Lipodystrophy Sponsors: NIAID and NICHD Impact du traitement contre le VIH sur les caractéristiques physiques des enfants contaminés par le VIH. Conditions : infection par le VIH ; syndrome de dépérissement lié au VIH ; lipodystrophie. Financement : NIAID et NICHD -The Effects of Anti-HIV Therapy on the Immune System of HIV-Positive Children Sponsors: NIAID and NICHD Impact du traitement contre le VIH sur le système immunitaire des enfants séropositifs pour le VIH Financement : NIAID et NICHD -Comparison of Stavudine Used Alone or in Combination with Didanosine in HIV-Infected Children Sponsor: NIAID Comparaison entre un traitement par Stavudine seule ou en combinaison avec la Didanosine chez des enfants contaminés par le VIH Financement : NIAID -HIV Levels in Cerebrospinal Fluid and Brain Function in Patients Receiving Anti-HIV Drugs Sponsors: NIAID, NINDS (Nat. Inst. Neurological Disorders and Strokes), NARC (Neurologic AIDS Reseach Consortium) Taux de VIH dans le liquide cérébrospinal et fonction cérébrale chez des patients recevant des médicaments contre le VIH Financement : NIAID, NINDS, NARC -A Study of Lopinavir/Ritonavir in Infants with HIV Sponsors: NIAD, NICHD Etude sur lutilisation de Lopinavir / Ritonavir chez des enfants contaminés par le VIH Financement : NIAID, NICHD -A Study to Compare Different Drugs Used to Prevent Serious Bacterial Infections in HIV-Positive Children Sponsors: NIAID, Pfizer, Glaxo Etude comparative de différents traitements pour la prévention des infections bactériennes sévères chez des enfants séropositifs pour le VIH Financement : NIAID, Pfizer, Glaxo -The Safety and Effectiveness of Valacyclovir HCI in the Treatment of Herpes Simplex or Varicella/Zoster Infections in HIV-1 Infected Children Sponsors: NIAID, Glaxo Innocuité et efficacité du chlorhydrate de valacyclovir pour le traitement de lHerpès simplex ou des infections à virus varicelle / zona chez des enfants contaminés par le VIH-1 Financement : NIAID, Glaxo -The Safety and Effectiveness of Treating Advanced AIDS Patients between the Ages 4 and 22 with Seven Drugs, Some at Higher than Usual Doses Sponsor: NIAID, NICHD Innocuité et efficacité du traitement des patients de 4 à 22 ans présentant un SIDA avancé avec 7 produits, certains donnés à une posologie plus élevé que la normale Financement : NIAID et NICHD Les médecins de lICC Pour confirmer les dires de Mona, jai parlé avec le Dr [nom dissimulé jusquà publication], directeur médical de lICC. Je lui ai posé des questions sur les médicaments contre le SIDA, les études cliniques, et les gastrostomies chez les enfants qui ne pouvaient pas ou ne voulaient pas prendre les médicaments. Le Dr [ ] ma dit que la plus grande difficulté quils rencontraient chez les enfants admis à lICC nétait pas la maladie, mais le respect du traitement médical. Elle ma aussi confirmé quil y avait « des tas et des tas détudes effectuées sur les enfants ». LS : Que fait lICC ? ICCs Medical Director : LICC soccupe denfants dont le cas est médicalement complexe mais qui ne présentent pas de maladie aiguë, et dont le suivi médical pose davantage de problème que la moyenne. Nous avons de plus en plus denfants qui nous sont adressés ces dernières années à cause de difficultés à respecter leur traitement médical. Nous avons une bonne quantité denfants dont linfection par le VIH pourrait être bien contrôlée, mais dont les familles ont des difficultés à respecter le traitement médical de lenfant. Ce que nous demandons aux familles et aux patients en terme de respect du traitement, cest quelque chose comme 100% : tous les médicaments, tout le temps, quils aient ou non les médicaments sous la main, que les médicaments les rendent malades ou pas, et même sils présentent une autre maladie en même temps. LICC est affiliée au Columbia Presbyterian. Nous collaborons avec environ 6 hôpitaux new-yorkais (le Columbia Presbyterian, lhôpital Harlem, lhôpital de New-York, le St Luke/Roosevelt, le Kings Coutry Brooklyn et le SUNY). Des enfants nous sont adressés par des consultations externes de la ville, des cinq comtés, et de Westchester le long de lîle. La plupart de ces consultations sont situées dans des centres médicaux. LS : Est-ce que lICC participe a des études cliniques sur des médicaments ? ICC MD : La plupart des consultations qui nous adressent leurs patients participent à des études cliniques sur des médicaments. Les enfants qui participent à une étude sur des médicaments bénéficient dun suivi, de tests, et reçoivent gratuitement le médicament expérimental pendant la durée de leur suivi par la consultation, et nous poursuivons ce traitement ici. LS : Quand jai fait une recherche dans la base de données gouvernementale sur les études cliniques, jai trouvé des tas et des tas détudes effectuées sur des enfants. ICC MD : Il y a des tas et des tas détudes effectuées sur des enfants. LS : Je sais que les médicaments sont difficiles à prendre et ont des effets secondaires. Comment arrivez-vous à les faire prendre à un enfant ? ICC MD : Un des problèmes rencontrés avec les enfants est quils ne peuvent pas avaler de gros comprimés. De nombreux produits se présentent sous la formes de comprimés assez gros pour un cheval, et il faut prendre beaucoup de comprimés. Les présentations liquides ou en poudres nont pas un goût très agréable. Elles laissent pendant longtemps dans la bouche un goût amer. Nous les mélangeons avec un sirop au chocolat. Certains enfants arrivent à les prendre de cette façon, dautres pas. Dans certains cas, cest mieux dadministrer les médicaments par gastrostomie. LS : Cest un tuyau qui passe par le nez ou quon met directement dans lestomac ? ICC MG : On le met directement dans lestomac. Ce quon passe par le nez, cest une sonde de gavage naso-gastrique. Cest correct pour des traitements de courte durée. Il faut la changer de narine toutes les semaines pour abaisser le risque dinfection des sinus. Chaque fois quon donne un médicament ou des suppléments par cette sonde, il faut faire attention que cela va bien dans lestomac et pas dans les poumons, parce que la sonde peut sêtre déplacée. LS : Quest-ce quune gastrostromie ? ICC MD : Cest un tuyau quon rentre dans lestomac par une petite ouverture à travers la paroi abdominale et celle de lestomac. LS : Et comment placez-vous ce tuyau ? ICC MD : Cest un chirurgien qui le place. Cest fait en salle dopération, sous anesthésie. Le chirurgien place un endoscope (une caméra de fibres optiques quon descend dans lestomac par lsophage), qui lui permettra de bien voir lintérieur de lestomac. Ensuite, il pose le tuyau. LS : Il fait une ouverture dans labdomen ? ICC MD : Oui, cest tout à fait ça. Il découpe la peau, ouvre la paroi abdominale, puis celle de lestomac. Il fait un petit trou, de 6 à 7 millimètres. Il faudra plusieurs semaines pour que cela cicatrise correctement, alors ça fera un peu mal. Un petit tuyau est placé par cette ouverture. De lextérieur, vous pouvez placer sur ce tube une seringue ou un tuyau dalimentation. Louverture extérieure du tuyau peut être fermée quand elle nest pas utilisée (avec un bouchon en plastique), cela dépasse de moins de 10 cm hors de lestomac. Dans certains cas, on les appelle des boutons. A lintérieur de lestomac, il y a un appareil appelé ballon, qui permet au tuyau de rester en place ; il est rempli avec de leau de façon à avoir une taille qui empêche lextrémité interne du tuyau de sortir par louverture abdominale. LS : Quand estime-t-on que cette pratique chirurgicale est nécessaire ou utile ? ICC MD : Lorsque les autres interventions pour obtenir que lenfant prenne les médicaments par la bouche ont échoué. Image : Tuyau de gastrostomie ou PEG (gastrostomie percutanée sous endoscopie). Chirurgie de gastrostomie. Dans sa brochure de présentation, lICC se qualifie de « sanctuaire de lamour, une résidence où on est soigné comme à la maison... » Conclusion Le traitement des patients admis à lICC actuellement viole tous les standards pour les expérimentations médicales édictés par la législation internationale après la Seconde Guerre Mondiale. Les enfants admis à lICC sont utilisés pour des expérimentations sur des médicaments sans que cela soit porté à leur connaissance. Ces expérimentations sont menées sans le consentement des parents ou des tuteurs des enfants. Les expériences ne sont ni nécessaires, ni dépourvues de danger. On sait que les médicaments utilisés peuvent induire des handicaps et des décès. Les enfants qui refusent les médicaments se les voient donner de force, ou sont altérés chirurgicalement. Est-ce que ce comportement est acceptable ? Ou avons-nous besoin dun autre Nuremberg pour nous remettre en mémoire les règles de la civilisation ? Lexpérience de Mona et de Sean nest pas isolée. De nombreux patients dans tous les USA et dans le monde entier vivent une situation similaire, et sont rendus malades par lutilisation irrationnelle de médicaments dangereux dans le seul objectif de faire des profits financiers. Les mères informées qui essayent de protéger leurs enfants vis-à-vis de thérapies potentiellement mortelles sont décrétées renégates, et courent le risque de voir leurs enfants leur être enlevés par des agences détat qui collaborent avec (et souvent sont financées par) les laboratoires qui fabriquent et vendent les médicaments. Si nous voulons que cela cesse, cest à nous tous, citoyens, scientifiques, acteurs de santé, activistes, mères, pères et membres des familles, de porter ces faits à lattention du grand public, afin de protéger les droits de ces enfants, et de rappeler à lestablishment médical le principe sacré : « Primum non nocere », Dabord, ne pas nuire. NB : Larticle complet contient linterview dune infirmière qui a travaillé à lICC, et qui a constaté que les enfants narrivaient à aller mieux que lorsque le traitement médicamenteux était arrêté. Il y a davantage dinformations sur Sean et sur sa sur Dana, qui a aussi été admise à lICC, ainsi quune analyse critique des tests de dépistage du VIH. Liam Scheff, 2003 Citer
Cheminot Posté(e) le 6 janvier 2004 Posté(e) le 6 janvier 2004 (modifié) C'est ce qui attend tout le monde si le pouvoir politique continue à passer tranquillement dans les mains des "docteurs" en médecine, biologie, et en pharmacie. Je crois qu'il faut absolument porter le débat politique dans ce domaine, celui de la santé publique, car c'est par là que nous serons "orwellisés". Le clivage gauche - droite est bien entendu obsolète, c'est d'ailleurs la cause du désintéressement du peuple français pour la politique, car il sent confusément que ces deux positions politiques sont "bonnet blanc et blanc bonnet", comme l'a dit le candidat communiste à l'élection présidentielle de 1969. Car en fait, la gauche ne combat pas le capitalisme pharmaceutique, apeurée qu'elle est elle aussi par les "menaces" sanitaires qui apparaissent. Je doute même que la LCR le fasse, pas plus d'ailleurs que le FN. Et il n'y a pas que le problème de la santé, qui est certes le plus important, car c'est un bon biais pour asservir les consciences. Mais la pollution qui rejoint d'ailleurs la santé est un enjeu capital, de même d'ailleurs que la gestion des transports et de l'énergie qui en découle. Modifié le 6 janvier 2004 par Cheminot Citer
Nowar Posté(e) le 7 janvier 2004 Posté(e) le 7 janvier 2004 Salut Leur nouveau slogan est "la santé par dessus tout" et son sous titre est "à nous les bénefs" Nowar Citer
Cheminot Posté(e) le 10 mars 2004 Posté(e) le 10 mars 2004 Pour les anglicistes, voici la suite de l'affaire, don les proportions vont grandissantes. Ce qui joue en défaveur des "expérimentateurs", c'est leur silence persistant. Drug Tests on Foster Kids Spark Scandal in NYC Wednesday, March 10, 2004 By Wendy McElroy Were HIV-positive infants and children in the Manhattan foster care system used as guinea pigs in medical experiments? That question is at the heart of a potential scandal that could propel child welfare systems in North America toward greater transparency and accountability. On Feb. 29, The New York Post exposed the problem in three articles by Douglas Montero The first, "AIDS Tots Used as 'Guinea Pigs,'" claimed that about 50 children had been used in 13 medical experiments, some involving high doses of AIDS medications, at Manhattans Incarnation Children's Center . The Post later revised the number to 100 in the light of data released on March 1 by New York Citys Administration for Children's Services, following a review of their files. The second article, "I Took Girls Out of Hell and City Stole Them Back,"was the story of Jacqueline Hoerger, a pediatric nurse and foster mother to two girls from ICC, where she had worked from 1989 to 1993. Social workers took the girls from Hoerger because she refused to administer AIDS medications that she learned were "highly toxic and mostly untested in children." At ICC, Hoerger says she witnessed experimental treatment "on HIV-infected children, some as young as three months." In the third piece, an op-ed entitled "Defenseless Kids Guardian Agency Wont Come Clean," Montero posed his questions for the ACS: For example, "how many children were involved?" And, to whom could the children "call for relief if researchers prodded too hard, hurt them, made them cry or made them sick?" In other words, what authority supervised the treatment of children who had no parent or foster parent to render consent? The ACS assigned the children to the studies, but the agency lacks the medical expertise to evaluate whether the application of an experimental treatment is appropriate or abusive. Moreover, according to Anat Jacobson, a spokeswoman for the Public Advocate's Office that serves as a watchdog to the ACS, her agency had no knowledge of the experimental treatments. Jacobson expressed concern that the ACS might have "just unilaterally signed up these kids." The ACS could answer Montero's questions, but instead, it seems to be invoking privacy concerns in order to remain silent. When questions involve aggregate numbers and protocol, however, there is no privacy issue. And there are well-established methods for discussing medical studies that preserve the anonymity of subjects. In the presence of official silence, the facts alleged gain credibility. What are they? A good place to begin is with the ICC which is run by the Archdiocese of New Yorks Catholic Charities and was opened in 1989 to provide residential and outpatient medical care for HIV-infected children. The ICC has conducted dozens of experimental medical studies, most of which were funded by federal grants or — more controversially — by pharmaceutical companies. One of the ICCs experimental studies, sponsored by the National Institutes of Health, was entitled "HIV Wasting Syndrome." Its purpose was "to see how beginning or changing anti-HIV medications affects the body composition... of HIV-infected children." No one could fault researchers for administering appropriate drugs to sick children and monitoring the results, especially when the children might not otherwise receive treatment. But questions immediately arise concerning studies that purportedly tested the "safety," "tolerance" and "toxicity" of AIDS drugs. Or one that tested the reaction of HIV-positive children, ages six to seven months, to the injection of two doses of measles vaccine. The ICC used to offer descriptions of such experiments on its web site <http://www.icc-pedsaids.org/>, which became abruptly inoperative in the wake of the Posts investigation. Without data, how can the validity be judged? News of the experiments is already fueling outrage. "They are torturing these kids, and it is nothing short of murder," Michael Ellner of Health Education AIDS Liaison declared of the experiments that ended in 2002. Biochemist Dr. David Rasnick, an expert in AIDS medication, reviewed the AIDS drugs administered to the children and concluded that alone, or in combination as they often were administered, the drugs had "acute toxicity which could be fatal." ACS must be forthcoming. Silence or bureaucratic answers arent going to work this time. Driven by criticism by officials such as New York City Councilman Bill DiBlasio, the New York Health Department is beginning to investigate. Moreover, the "scandal" has hit the international press. A headline in last weeks Japan Today announced, "HIV-infected kids in New York used as 'guinea pigs.'" Newspapers in France <http://www.survivreausida.net/article5922.html> and the U.K. <http://news.scotsman.com/latest.cfm?id=2595031> echoed the accusation. Too many eyes are watching. It is usually parents who look out for children — comfort their tears, shield them from abuse, and make wrenching decisions about their welfare. Who comforted and protected the parent-less, HIV-positive infants and children at ICC? I hope there were hospital staff who held each sick child in their arms and wanted nothing more than to heal the pain. But data has disappeared. Archdiocese spokesman Joseph Zwilling reportedly told journalists that he did not know why the experiments stopped in 2002 or whether any of the children had died. Nicholas Scoppetta, who headed ACS during the experiments and has since left the agency to become New York City's current fire commissioner, will not comment. Hopes are not enough. For once, a child welfare system must have the courage and decency to open itself to public scrutiny. Wendy McElroy is the editor of ifeminists.com and a research fellow for The Independent Institute in Oakland, Calif. She is the author and editor of many books and articles, including the new book, "Liberty for Women: Freedom and Feminism in the 21st Century" (Ivan R. Dee/Independent Institute, 2002). She lives with her husband in Canada. Respond to the Writer <mailto:mac@ifeminists.net?cc=views@foxnews.com> Citer
mark Posté(e) le 10 mars 2004 Posté(e) le 10 mars 2004 Cela fait un moment que je travaille avec Liam Scheff et une traductrice anon. pour cet article et une trilogie précédente de LS. www.sidasante.com/journal/maison.htm www.sidasante.com/journal/scheff1.htm C'est $idasanté qui est la source française "officielle" et www.altheal.org la source anglaise. Depuis peu un journaliste du New York Post a "volé" cette info sans créditer LS, mais les autorités sanitaires NY ont ensuite entamé une investigation sur les activités du ICC. Le site Internet du "Incarnation Childrens Center" a depuis tout fermé sauf la page d'accueil, et Liam Scheff est en pourparleurs avec des cinéastes pour en faire une documentaire! Liam communique très bien en Français et appréciera surement des messages sur son E-mail <liamscheff@yahoo.com>. C'est un bel être qui a évolué par un changement d'alimentation et de conscience. Tout de bon Citer
Invité jahvolant Posté(e) le 10 mars 2004 Posté(e) le 10 mars 2004 Tout ça me fait penser qu un chanteur français (serge lama,mais je me trompe peut étre,bien que ça ne soit pas vieux,j étais assez distrait) qui était dans un orphelinat a dit qu on faisait des piqures(plus d une par semaine) aux enfants ,et selon lui c etait de l experimentation. Vous allez me dire :quelles sont les retombées de ces déclarations brulantes sur une chaine hertzienne? nib rien pas un pet de mouche Si quelqu un a les réferences de l émission... Citer
aixur Posté(e) le 10 mars 2004 Auteur Posté(e) le 10 mars 2004 Très bien que les agissements de ces ordures soient exposées au grand jour dans la presse. Apparemment, ces misérables commencent à trembler. Tant mieux. J'espère que ça conduira le plus vite possible à la fermeture de cet abominable centre de torture. Je vais écrire un mot d'encouragement à Liam Scheff. Il faut encourager ce genre de bonne volonté. Citer
Cheminot Posté(e) le 12 août 2005 Posté(e) le 12 août 2005 (modifié) La BBC, Canal+, et enfin l'ARD allemande (ce mercredi 10/08) ont passé un documentaire basé sur le travail de Liam Scheff. Je n'ai pas pu enregistrer Canal+, n'ayant pas de décodeur. Mais j'ai la version allemande. Celle-ci contient d'ailleurs une interview de Christine Maggiore, exclue de la version canal+. Si des germanophones veulent le cd en mpg, qu'il m'écrivent en MP ou sur ma BAL Modifié le 12 août 2005 par Cheminot Citer
kierkegaard Posté(e) le 12 août 2005 Posté(e) le 12 août 2005 Il faut demander des comptes à Canal + , la soit disante chaine ou Karl Zéro balance tout , déballe à tout va , il censure Christine Maggiore je suis pour qu'on signe une pétition et qu'on l'envoie à canal Citer
pierrot Posté(e) le 13 août 2005 Posté(e) le 13 août 2005 en fait, si on y réfléchit bien, prendre des trithérapies ou bien d'autres médicaments, c'est être d'accord avec tout ça, c'est même leur donner des sous pour qu'ils continuent...la révolte passe par le boycott! Citer
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