aixur Posté(e) le 11 juin 2003 Partager Posté(e) le 11 juin 2003 Résumé du début du débat sur le topic "et si le vih était un canular ?" J'ai écrit : Cheminot, Quand je dis que la bactérie de la syphilis c'est bidon comme le VIH ou les hépatites, ça peut effectivement prêter à confusion. Alors, précisons ; je ne dis pas que la bactérie de la syphilis n'existe pas, je ne dis même pas non plus qu'elle n'est pas exogène. Ce que je pense, c'est qu'elle n'est pas la responsable de la maladie de la syphilis. Et je pense que pour toutes les bactéries soi-disant pathogènes, c'est pareil. Dans cette vision des choses, que la pénicilline empêche la prolifération in vitro de la bactérie, du coup, n'a plus grande importance. La seule chose qui en ai alors, est la question "est-ce que la bactérie de la syphilis donne la syphilis ou pas ?". Tu dis qu'on a pu rendre malade des animaux. J'aimerais connaître le compte-rendu des expériences. Parce qu'on dit que le virus de la grippe est contagieux, et on a des centaines de millions de malades chaque année pour s'en assurer. Or, tu sais bien ce qu'il faut penser de la grippe. Pareil pour le VIH. Après tous ces virus dont la contagiosité et la pathogénicité étaient sensées avoir été vérifiées et revérifiées et rerevérifiées, et qui, en fait n'existaient même pas, je suis désolé, mais, moi, je jette un regard extrêmement suspicieux sur les bactéries également, et encore plus quand elles mettent 20 ans à agir et qu'elles disparaissent avec le niveau de vie (l'utilisation d'antibiotique peut être une explication, mais alors, pourquoi la maladie n'est pas éradiquée, comme on l'a fait pour la variole ?). D'ailleurs, les exemples que tu cites vont plutôt dans mon sens. Tu dis : "Maintenant il faut aussi savoir qu'avant le traitement par la pénicilline, on les soignait avec du mercure, de l'arsenic ou leurs dérivés, de manière totalement anarchique, et on peut se demander si les dernières phases de la maladie n'étaient pas plutôt une maladie iatrogène". Forcément, ça ne devait pas aider du tout. Du coup, effectivement, tous les cas en phase 3 avant la pénicilline sont touchés de suspicion. Tu parles de l'expérience de tes enfants : "En ce qui concerne la rougeole, je peux donner ma propre expérience, car mon fils l'a contractée à la suite d'un effort physique intense (vérification par sérologie), et ses frères et soeurs, qui étaient dans sa promiscuité, ne l'ont pas attrapée du tout. Elle a d'ailleurs duré 2 jours grâce à une thérapeutique bien adaptée. Dans ce cas, la contagiosité dépend-elle de l'état général actuel de chacun ?". Je m'étonne que tu crois encore que certains virus soient des agents pathogènes. En tout cas, ton expérience ne va pas du tout dans le sens d'une maladie contagieuse, puisque aucun de ses frères et soeurs n'ont été atteints. Je ne crois pas non plus que, dans notre famille, la rougeole ou la rubéole, etc... aient été synchronisées. PS : je vais ouvrir un nouveau post. Parce que là, on dérive du sujet initial qu'est le SIDA. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 11 juin 2003 Auteur Partager Posté(e) le 11 juin 2003 Maintenant, si je crois que les bactéries sont innofensives, c'est essentiellement à cause de ces expériences là : C'est un message posté par Quintal sur usenet. EXPERIENCES AVEC LES MICROBES Toutes les tentatives et toutes les expériences réalisées pour produire des maladies spécifiques chez l'homme en introduisant des microbes dans son corps ont échoué. Il n'en est pas de même de certains parasites. On connaît, par exemple, les essais historiques du Dr Waite qui voulait tuer le Colonel Peck. Le Dr Waite nourrit sa victime de chacun des microbes qui produisent soi-disant la maladie. Les cultures de microbes furent faites sur place et parfois importées. Ces cultures comprenaient les microbes des maladies les plus mortelles que l'on connaisse.En dépit de celà, le Colonel Peck ne semblait pas en souffrir le moins du monde. Finalement, le Dr Waite fut obligé d'avoir recours au chloroforme et au coussin pour tuer sa victime. Quand on parle de la guerre des microbes, je suis bien sceptique. Mais il n'en est pas de même de la guerre chimique qui est mortelle. Le docteur Pettenkofer, professeur de bactériologie à l'Université de Vienne, arriva à la conclusion que les microbes ne causent pas la maladie. Un jour qu'il donnait un cours dans le laboratoire bactériologique de l'Université, et à la stupéfaction de ses élèves déroutés, Il prit un verre contenant des millions de microbes de choléra vivants et en avala le contenu entier. Il y avait là dans ce verre, a écrit le Dr Kruif, des millions de bacilles virgules se tortillant, assez pour infecter tout un régiment. Mais Pettenkofer se contenta de dire : "Voyons si j'aurai le choléra !" Mystérieusement, rien n'arriva et le fait que le fou Pettenkofer n'eut pas le choléra reste à ce jour une énigme, sans même un début d'explication. Il va sans dire que pour nous les Hygiénistes, cette énigme n'existe pas. Voyons ensuite les expériences du Dr Thomas Powell qui mourut à l'âge de 80 ans avant la deuxième Grande Guerre Mondiale. On a dit que ce docteur avait pris plus de microbes que tout autre homme. Il lança le défi de produire, fut-ce une seule maladie, en lui inoculant des microbes. Pendant longtemps, plusieurs théoriciens du microbe firent de leur mieux pour faire taire cette voix discordante. On inocula dans son corps des germes de choléra, ceux du bubon de la peste et des microbes de toutes sortes. On mit ces microbes dans toutes les sortes d'aliments qu'il mangea. On badigeonna sa gorge un grand nombre de fois à l'aide de germes de la diphtérie. Mais tous ces efforts restèrent sans résultat. Ils ne réussirent pas une seule fois à produire en lui une seule maladie. Il nous reste à raconter l'histoire la plus passionnante de toutes: "La revue américaine Physical Culture de Bernarr Macfadden, de mai 1919, avait publié un article d'un médecin, le docteur John B. Fraser de Toronto, au Canada, décrivant une série d'expériences réalisées de 1911 à 1918. Le but de ces expériences était de déterminer si les microbes causent oui ou non la maladie. On passa 3 années à s'évertuer à déterminer si le microbe apparaît avant ou après l'attaque de la maladie. Le verdict fut "après l'attaque". Alors d'où vient-il? Puis on commença en 1914 à incorporer les microbes frais et vigoureux aux aliments et aux boissons et à en nourrir des personnes. La première expérience, écrit de Dr Fraser, consiste à boire de l'eau contenant 50.000 microbes de diphtérie. On attendit quelques jours. Aucun signe de la maladie. Et l'on considérait alors le danger passé." "Dans la seconde expérience, on donna à boire du lait contenant 150.000 germes de diphtérie. Là non plus, aucun symptôme de diphtérie n'apparaissait." "Dans la troisième expérience, on badigeonna les amygdales, le voile du palais, sous la langue et dans les narines. Là encore, on ne pouvait pas discerner le moindre signe de la maladie. Et comme ces résultats étaient très concluants, on décida d'expérimenter avec d'autres microbes." "On réalisa alors une série de tests avec les microbes de la pneumonie dont on employa des millions dans l'eau, le lait, le pain, les pommes de terre, la viande, etc. Malgré des efforts persistants, on ne réussit jamais à développer le moindre signe de maladie." "On réalisa ensuite uen autre série d'expériences avec les microbes de la thyphoïde. On prit un soin particulier pour infecter l'eau distillée, du lait cru, du pain, de la viande, du poisson, des pommes de terre,... avec ces millions de microbes les plus virulents que l'on puisse incuber. Les résultats furent complètement négatifs." "C'est alors qu'on entreprit une autre série de tests avec les effrayants microbes de la méningite. Là au moins, on s'attendait à des résultats. Comme on croit que ces microbes se développent principalement dans la muqueuse nasale, on prit un soin particulier pour écouvillonner, avec des millions de microbes, les parois des narines, les sinus turbinés, les amygdales, sous la langue et la paroi postérieure de la gorge. En plus de ces tests, on en fit d'autres avec des aliments et des boissons dans lesquels on introduisit des millions de microbes dans chaque cas. Malgré tout celà, aucune trace de la maladie n'apparut." "Les expériences avec les microbes de la tuberculose furent réalisées autrement. On permit un temps plus long de s'écouler entre les expériences pour permettre aux microbes de se développer, car les observations cliniques ont montré que cette maladie peut rester latente durant des mois. On a attendu donc des mois entiers durant lesquels on observa minutieusement l'apparition du mooindre signe. On employa des millions de microbes dans l'eau, le lait et dans divers aliments. On essaya toutes sortes d'aliments et de boissons. Quoique 5 années entières se soient écoulées depuis le début de l'expérience avec la tuberculose, aucun symptôme de la maladie n'est apparu. Par conséquent, nous pouvons dire en toute certitude que les microbes sont inoffensifs." Mais il en est de même du virus du sida. Poursuivons les expériences. "En plus de ces expériences, on utilisa une combinaison de microbes comme ceux de la thyphoïde avec ceux de la pneumonie, méningite et thyphoïde, pneumonie et diphtérie, etc. Aucune maladie ne s'ensuivit." A quand des expériences similaires avec le virus du sida? Des expériences similaires à celles que l'on vient de relater et réalisées par 7 médecins, durant 2 and et demi, furent publiées dans le très respectable journal médical The London Lancet Medical Journal du Canada (juin 1916). On employa les cultures des microbes de diverses maladies et particulièrement ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la thyphoïde, -dans toutes sortes d'aliments et dans les circonstances les plus favorables. On administra les microbes en doses variant de 50.000 à 1.500.000. Ils ne réussirent pas à produire le moindre signe de maladie. De leur côté, les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island ont entrepris des expériences similaires durant les épidémies de grippe 1918-1919. Le but était de transmettre la maladie aux bien portants. On inocula donc plusieurs groupes de volontaires avec des cultures pures de bacilles de Pfeiffer, avec les sécrétions des passages respiratoires supérieurs e avec du sang pris de "cas typiques de grippe". On badigeonna et on écouvillonna le nez de 30 sujets. Le texte final du rapport officiel se résumait en ces mots : "En aucun cas, l'on n'a pu produire une attaque de grippe.3 "On prit ensuite 10 hommes différents et on les garda 45 minutes à côté de 10 cas récents de grippe. Dix malades toussaient en face de chaque personne saine. Le résultat: "Aucun des 10 volontaires ne développa de symptômes de grippe durant l'expérience." Des expériences similaires furent réalisées à San Francisco et sont relatées dans un autre article. Ici, on donna à un groupe de 10 hommes des cultures émulsionnées du bacille de Pfeiffer. Aucun résultat durant les 7 jours d'observation. On donna ensuite à d'autres groupes d'autres émulsions des sécrétions provenant des voies respiratoires supérieures des malades dans le stade actif de la grippe. On plaça ces émulsions dans le nez à l'aide d'un compte-goutte et d'un vaporisateur. Les résultats ont été décrits dans ces termes : "Dans tous les cas, les résultats furent négatifs, concernant la production de la grippe, La surveillance de tous ces hommes se prolongea durant 7 jours après l'inoculation." D'autre part, on réalisa à Philadelphie au Camp Pike des expériences similaires avec des résultats négatifs. De tels résultats négatifs ne sont nullement favorables à la théorie des microbes en général, ni en particulier, surtout que les muqueuses pulmonaires, intestinales, etc., sont spécialement susceptibles à l'invasion microbienne. Nous dirons plutot que ces résultats prouvent l'erreur de toute la théorie. Tout au moins, ils prouvent que les microbes seuls ne peuvent pas causer la maladie. Le Dr Belbow Bailly écrivant dans le Medical World de Londres en 1928 dit ceci : "Je possède des faits scientifiques établis prouvant qu'il n'existe pas un seul cas où n'importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d'une maladie quelconque." Voilà déjà longtemps que la théorie des microbes a été lancée, puis ce fut celle des virus qui est venue à sa rescousse. Mais il n'existe pas une seule maladie qui soit prouvée définitivement avoir un microbe ou un virus pour origine et pas une qui puisse être guérie selon cette théorie. Même pas le sida. A moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu'ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. En effet, une cause doit être CONSTANTE ET SPECIFIQUE dans son action, sinon ce n'est plus une cause. "Les microbes et les virus sont omniprésents - voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamps ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n'ont jamais eu d'influence spécifique." LES RECHERCHES VALABLES Pour le sida, comme pour toutes les autres maladies, les recherches bactériologiques bactériologiques ne jettent aucune lumière sur les états du corps qui permettent aux microbes et aux virus de croitre, sinon les états qui empèchent leur développement. Aucune recherche n'a jamais levé le voile sur le terrain qui favorise le développement d'un microbe ou d'un virus dans le sida, la grippe, l'hépatite virale etc. Aucune recherche scientifique n'a jamais été faite sur la toxémie qui permet la multiplication des microbes et des virus. Des ébauches sont faites pour déterminer le taux de cholestérol, du sucre dans le sang, etc., mais c'est nettement insuffisant. D'après les Hygiénistes, les virus et les microbes ne se développent que si une toxémie profonde s'installe, un genre d'intoxication provenant d'une nourriture non spécifique l'espèce humaine, malsaine, chimiquée ou par d'autres causes d'empoisonnement (alcool, café, tabas, etc.). La maladie n'est pas causée par le microbe ou le virus, mais par le terrain qui permet au germe ou au virus de se développer. C'est cet état toxémique impur de l'organisme qui rend possible le multiplication des virus et des microbes. C'est ça le virus filtrant tant recherché. Celà provient des vilations des Lois de la Vie. Ce n'est pas l'effet du hasard. Ecoutons ce que dit le célèbre Dr Tilden : "L'état du corps précédant immédiatement l'apparition des virus et des microbes est déterminant pour le développement de l'infection ou de la maladie. En fait, c'est bien le facteur nécessaire sans lequel la maladie ne peut jamais se développer, microbes ou pas microbes, virus ou pas virus. Ces derniers sont aléatoires et secondaires. Il est certes difficile de comprendre pourquoi le corps médical tout entier a perdu la tête pour des punaises en négligeant totalement ces états sous-jacents du métabolisme et de la nutrition qui constituent, quand ils sont viciés, la cause universlle de toute maladie." " Albert Mosséri, "Le Goulag du SIDA", Editions Aquarius Genève 1987 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 13 novembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 13 novembre 2005 Des fois, les idées viennent de façon inatendue. Hier, en étant avec des amis, d'un seul coup, une idée m'est apparue sur cette histoire de pathogénicité des bactéries, liée à la taille comparée des bactéries et des cellules. En fait, les bactéries ne peuvent pas attaquer les cellules. Et ça, tout simplement parce qu'elles sont plus petites, beaucoup plus petites que les cellules. Une cellule, ça fait entre 10 et 100 microns (20 en moyenne). Et une bactérie, seulement dans 2 microns en moyenne. C'est donc entre 5 et 50 fois moins gros qu'une cellule (10 fois en moyenne). Logiquement, les bactéries ne mangent que ce qui est plus petit qu'elles. Elles n'ont pas de grande bouche avec des dents pour attaquer la parois des cellules. Donc, elles ne peuvent bouffer que ce qui passe à travers les minuscules orifices communiquant avec l'extérieur : des sucres, des protéines ou des petits débris cellulaires. En gros, elles gobent ; elles ne cisaillent pas, ne déchiquettent pas, et ne broient pas. Et donc, elles ne peuvent pas manger les cellules. Donc, il faut qu'elles attendent que les cellules aient éclaté en petit morceau pour pouvoir manger. Elles ne peuvent pas les faire éclater elles-mêmes. Et donc, si elles ne peuvent pas manger les cellules, elles ne peuvent pas être pathogènes directement. Il y a bien une façon indirecte de détruire les cellules décrite par la médecine officielle. Le fonctionnement de certaines bactéries engendreraient des enzymes détruisant les cellules Mais, malgré ça, elles ne peuvent pas être pathogènes par la méthode décrit par la médecine officielle. S'il n'y a que quelques bactéries présentes, on voit mal comment, même les quelques rejets nocifs pourraient entrainer une réaction en chaine. Il n'y a qu'une infection massive qui le pourrait. Donc, il ne peut pas y avoir transmission de maladie par simple contact, air, relation sexuelle, etc... D'ailleurs, ce qu'on sait des maladies suposément dues à des bactéries va à l'encontre de cette idée. Si les cellules étaient détruites, il y aurait à chaque fois des gangrènes massives exponentielles. Et les gangrènes partiraient d'un endroit précis ; l'endroit où elles auraient commencé à se multiplier. Ca serait facile de déterminer le point de départ de l'infection. Mais il n'y a rien de tout ça. Cela dit, si les chercheurs s'étaient focalisés sur les enzymes en question, je pense que ça serait assez connu et qu'on aurait des médicament luttant contre les enzymes en question. Donc, si on en n'entend pas parler, c'est qu'en fait, les médecins ne se sont pas vraiment focalisé sur les enzymes. Donc, en fait, ils ne savent pas vraiment comment les bactéries en question agissent (à part celles avec des toxines, et encore...). En partant de ces réflexions, on peut reconstruire un système de fonctionnement des bactérie assez logique et qui va dans le sens de ce que disent certaines personnes dans le monde de la médecine alternative. En fait, les bactéries doivent manger surtout les particules rejetées par les cellules (les déchets du fonctionnement des cellules quoi). Elles seraient surtout coprophages. Mais elles doivent également manger les restes des cellules détruites. Elles seraient donc aussi charognardes. Donc, en temps normal, la quantité de déchets et le nombre de cellules mortes étant limités, le nombre des bactéries présentent est limité. Mais, si l"organisme est agressé, les cellules doivent rejeter pas mal de détritus, et certaines doivent être détruites, ce qui conduit à l'augmentation des bactéries, qui ont beaucoup plus à manger. Donc, leur mutliplication serait causée par un problème dans le fonctionnement du corps. Par contre, effectivement, les bactéries doivent emettre des substances, les toxines, qui, quand elles sont en nombre faible ne causent aucun problème. Mais quand il y a multiplication des bactéries, la quantité de toxine devient suffisamment grande pour causer des problèmes et entrainer des maladies supplémentaires. Le cholera, par exemple, agit uniquement via sa toxine. A mon avis, ce n'est pas l'absorption de bactéries du cholera qui engendrent la maladie du cholera, mais l'absorption de la toxine (cf l'expérience de Pettenkofer, qui a absorbé un verre entier de bactérie sans tomber malade). C'est contre la toxine qu'il faudrait lutter. Donc, pour que les bactéries se multiplient, il faut que, localement, le corps soit malade et qu'il y ait beaucoup de particules rejetées par les cellules et de cellules morte. Donc, une bactérie ne peut pas se développer sur un organisme sain. Ce qui est valable aussi pour les bactéries importées. Une bactérie importée ne peut pas se développer sur un organisme sain. Ce qui, là aussi, va à l'encontre de l'idée de maladie causée par la seule transmission d'une bactérie. C'est vrai que, je me suis focalisé sur les bactéries déjà présentes dans le corps et que certaines bactéries peuvent éventuellement être importées et causer une maladie (via leur toxine bien sur) parce que l'organisme n'est pas sain localement. Mais ça doit représenter un nombre très faible de type de bactéries. A priori, il n'y a que la bactérie du tétanos qui pourrait être dans ce cas (à vérifier). Mais, j'ai lu que la bactérie du tétanos est en fait déjà présente dans les tissus. Ce qui l'élimine en tant que bactérie importée. Bref, on ne voit pas trop quelles bactéries importées pourraient causer des problèmes. En fait, la quasi totalité, si ce n'est la totalité, doit être déjà présente dans l'organisme. Au passage, la bactérie du Tétanos est associée à une destruction des chairs. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nico111 Posté(e) le 13 novembre 2005 Partager Posté(e) le 13 novembre 2005 Donc, une bactérie ne peut pas se développer sur un organisme sain. Ben comprend pas j'ai chopé des conjonctivites alors que j'étais en pleine forme, mon oeil était immunodéprimé ? ou est ce que simplement je me suis gratté l'oeil avec des mains pas très propres (beurk !) et que j'y ai dépose des bactéries qui n' avaient rien à faire là ? Bref Aixur encore un festival, tu noies des réflexions intéressantes et des choses vraies avec du n'importe quoi, dommage. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité psyduck Posté(e) le 13 novembre 2005 Partager Posté(e) le 13 novembre 2005 Bref, ce que je crois de plus en plus, c'est qu'il n'y a pas plus de syphilis que de VIH ou d'hépatite. Et je ne crois plus non plus aux MST en général. A mon avis, on peut avoir des rapports sans préservatif sans risquer quoi que ce soit. bravo, bon conseil . meme si c'était vrais pour la siphylis et le sida, il y a les autre infections comme les champignons. et le "risque " de fécondation. enfin la meilleure solution c'est la fidelité dans le couple. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 14 novembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 14 novembre 2005 (modifié) Ben comprend pas j'ai chopé des conjonctivites alors que j'étais en pleine forme, mon oeil était immunodéprimé ? ou est ce que simplement je me suis gratté l'oeil avec des mains pas très propres (beurk !) et que j'y ai dépose des bactéries qui n' avaient rien à faire là ? Moi, je ne parle pas d'immunodépression. A mon avis, ça n'a rien à voir avec une immunodépression ; ni avec une bactérie qui n'aurait rien à faire là d'ailleurs. Juste une inflammation locale due à une agression chimique ou mécanique ou solaire. D'ailleurs, selon la théorie officielle, si le système immunitaire était parfaitement en forme, la bactérie n'aurait pas du se développer. Ou alors, ce genre d'infection devrait se développer régulièrement (si ça peut se développer malgré un système immunitaire sain). A moins que la bactérie soit très rare et que l'infection n'arrive que rarement. C'est d'ailleurs un des problèmes de la théorie officielle. A partir du moment où on dit qu'il faut que le système immunitaire soit affaibli pour que les infections se développent, il faut expliquer les infections arrivant sur un système immunitaire sain. Et si les infections peuvent arriver avec un système immunitaire sain, on en revient au problème de départ du temps de Pasteur, pourquoi ne se développent-elles pas plus souvent et de façon grave ? Alors qu'avec l'idée du terrain dégradé localement, les choses s'expliquent beaucoup plus facilement et logiquement. Et ne pas confondre terrain dégradé localement et système immunitaire affaibli. Ca n'a rien à voir. Modifié le 14 novembre 2005 par aixur Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 14 novembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 14 novembre 2005 (modifié) meme si c'était vrais pour la siphylis et le sida, il y a les autre infections comme les champignons. et le "risque " de fécondation. Non, les champignons, c'est un problème identique aux bactéries. Ca prospère sur une zone agressée ; donc, dont un certain nombre de cellules ont été détruites (ce qui rend en plus le terrain acide), qui est par ailleurs assez humide. Donc, ce n'est pas transmissible. On peut parfaitement faire l'amour avec un preservatif et développer des champignons, si le frottement a trop agressé le gland ou le vagin. Le risque de fécondation, bon ben... normal quoi. Modifié le 14 novembre 2005 par aixur Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Didier Posté(e) le 14 novembre 2005 Partager Posté(e) le 14 novembre 2005 Je suis toujours un peu embêté avec ces fils. Il y a des tas de réflexions pertinentes, mais noyées dans des erreurs sur ce que dit la "science officielle". Je retiens que la notion de cofacteur est à la mode : Montagnier présente la thèse du cofacteur pour expliquer l'absence de symptomatologie systématique chez les personnes séropositives. Mais il y a d'autres cas récents piochés dans le Quotidien du médecin : - le prion de l'ECB aurait besoin d'un cofacteur viral selon une équipe - le vibrion cholérique (bactérie) étant dans 90% des cas non pathogène, on aurait "découvert" l'existence d'un cofacteur viral qui le rend virulent. Tout ceci sent une tentative de maintenir la notion de facteurs exogènes comme cause des maladies face aux données qui la remette en cause. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nico111 Posté(e) le 14 novembre 2005 Partager Posté(e) le 14 novembre 2005 Vers Nevers, un ado de 19 ans est mort d'une méningite en 16 heures après l'apparition de symptomes ! pour des bactos qui ne sont pathogènes...... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 14 novembre 2005 Partager Posté(e) le 14 novembre 2005 (modifié) oui, Nico, mais quel a été le parcours de cet ado avant sa méningite? était-il vraiment en bonne santé (cad qu'il ne prenait aucun médicament, aucune drogue)? Modifié le 14 novembre 2005 par Cheminot Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nico111 Posté(e) le 14 novembre 2005 Partager Posté(e) le 14 novembre 2005 Un autre a été touché et est mal en point. Apparement ils étaient en pleine forme (mes beau parents habitent tout près). le ménigocoques a été diagnostiqué. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 14 novembre 2005 Auteur Partager Posté(e) le 14 novembre 2005 On ne sait rien du parcours clinique des deux personnes. Avec les éléments qu'on a, ça ne signifie rien. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nico111 Posté(e) le 15 novembre 2005 Partager Posté(e) le 15 novembre 2005 Eheh toujours la même rengaine mais pouvais je attendre autre chose ? non........Allez bye ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité FGC Posté(e) le 17 novembre 2005 Partager Posté(e) le 17 novembre 2005 Louis Pasteur avait dit:"Le microbe n'est rien. Le terrain est tout." Cela signifie que les microbes pathogènes se développent sur un organisme affaibli. Sur un organisme vigoureux ils ne pourront que très difficilement prospérer. Ceci dit cela ne signifie pas que les bactéries ne soient pas pathogènes. Certaines bactéries contrairement à d'autres sont effectivement et indéniablement pathogènes et en particulier si elles se retrouvent sur un terrain fragilisé. Un microbe dont la prolifération provoque une maladie est pathogène , or il existe aussi des bactéries dont la prolifération ne provoquera aucun effet délétère sur l'organisme, et fort heureusement ces dernières sont plus nombreuses que celles capables de provoquer une maladie. Ainsi le fait que le personnel soignant s'occupant de patients tuberculeux par exemple n'attrape pas la tuberculose, ou que dans l'entourage d'un malade ce n'est pas tout le monde qui sera contaminé ne signifie pas que le bacille de Koch est inoffensif et non pathogène mais tout simplement que ce dernier ne pourra se développé qu'en terrain favorable. A+ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Jessica Posté(e) le 17 novembre 2005 Partager Posté(e) le 17 novembre 2005 Je suis persuadée que les bactéries pathogènes sont bel et bien pathogènes Il existe bon nombre de bactéries qui ne sont pas pathogènes, mais pour un individu donné!!Je vous rapelle que nous vivons en symbiose avec bon nombre de ces petites bêtes, dont la plus connue est escherichia coli qui vit dans notre tube digestif!! On la loge et on la nourrit, et en échange elle rentre en compétition avec d'autres bactéries qui sont rentrées dans notre organisme nous permettant ainsi de nous débarrasser de ces nouveaux hôtes qui ne nous veulent pas que du bien!! De ceci, on peut tirer plusieurs choses: _Certaines bactéries ne sont pas toujours virulentes, la symbiose est un phénomène courant et heureusement pour nous que nous disposons d'une flore(vaginale pour certaines, intestinale er pulmonaire pour tous!) _Si d'autres bactéries ont réussies à passer les barrières epithéliales, et tous les stratagèmes que notre organisme a mis en place(dont la flore), on est d'accord que ces petites bêtes sont à l'intérieur, mais rien n'indique qu'elles ne vont pas se faire eliminer par notre système immunitaire rapide et qu'elles vont pouvoir proliferer tranquillement...je suis d'accord que tout dépend du terrain!!Je vous rappelle que l'on est sans cesse en contact avec des microbes, et heureusement pour nous que l'on en subit pas les conséquences à chaque fois, sinon on serait tout le temps malade, et on serait déja mort une vingtaine de fois!! _Maintenant ce n'est pas non plus parceque le système immunitaireimmédiat n'a pas put répondre à cette attaque que l'affaire s'arrête là...La bactérie peut très bien commencer à se multiplier en attendant que la réponse immunitaire spécifique se mette en place; mais une fois que c'est le cas le petit microbe peut très bien se faire éliminer, encore une fois tout dépend du terrain... _Mais une fois que notre système immunitaire est dépacé par les événements, mieux vaut avoir foi en la réincarnation!! Et il est vrai que ça peut prendre du temps avant d'y succomber, parfois plusieurs années... J'espère avoir apporté des lumières sur le sujet et ne pas avoir dit trop de bêtises Je suis bien d'accord avec le fait que l'on est manipulé de tout côté et que la réalité est bien souvent loin de ce qu'elle semble être, mais là faut pas exagérer quand même!! Jessica Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gosseyn Posté(e) le 17 novembre 2005 Partager Posté(e) le 17 novembre 2005 Salut à tous ! FGC, Ceci dit cela ne signifie pas que les bactéries ne soient pas pathogènes. Certaines bactéries contrairement à d'autres sont effectivement et indéniablement pathogènes et en particulier si elles se retrouvent sur un terrain fragilisé. Un microbe dont la prolifération provoque une maladie est pathogène , or il existe aussi des bactéries dont la prolifération ne provoquera aucun effet délétère sur l'organisme, et fort heureusement ces dernières sont plus nombreuses que celles capables de provoquer une maladie. Cela confirme ce qui est dit plus haut : "le terrain est tout" .(Par terrain entendre cervau) Dans le "système ontogénétique des microbes" il y est montré que les microbes n'interviennent qu'en deuxième phase (infection , etc ...) et se répartissent suivant l'origine embryonnaire des tissus (l'ontogenèse). (C'est à dire qu'ils ont une affinité (tropisme) avec le feuillet embryonnaire). Explications et schémas ici : 4ème loi biologique : système ontogénétique des microbes Conclusion, le système immunitaire semble plus être un mécanisme de modulation du travail microbien (sous le controle du cerveau ) qu'autre chose ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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