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forum sidasante

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Bonjour je m'appelle William j'ai 41 ans .

Je vous lis depuis quelques année déjà.

J'ai posé une fois la questions à mon ancien généraliste ce qu'il

Pensé de la thèse dissidente il m'a répondu je pense comme eux

J'ai était très surpris du coup je me suis lancé dans les sujet du forum.

J'ai changer de médecin traitant à mon grand d'espoir cause de déménagement

Je suis homosexuel en couple nous avons toujours des rapport protégé

Car il nous arrive des extra quelque fois mes toujours ensemble .

A chaque rdv avec mon nouveau médecin ,qui sait que je suis homosexuel me propose sans arrêt ce test hiv que je refuse tout le temps .

De nature angoisses je vais le consulté pour mon étant anxieux

je lui et dit si je continue à stressé comme ça je vais me declancher une zona.

il me répond c'est pour ça qu'il faut que vous fassiez une sérologie vih!!

Car zona à votre âge c'est un signe de sida !!!

Quand pensé vous ?moi je vais changer de médecin Car je me sens harceler sous prétexte que suis homosexuel je doit être hiv+ !!!!

Merci pour vos réponses

cordialement

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Bonsoir, non le zona n'est pas spécifique. Ne stress pas car plus tu stress plus tu va te déclencher un zona, faire un test pas fiable pour détecter un virus fantôme ? A quoi bon du moment que tu te sent bien dans ton corps et dans ta tête.

Continue la protection elle est importante pour multiple raisons.

Courage

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Tu sembles être dans un vrai rapport de force stressant avec ton médecin actuel. Je crois bien que le mieux serait de changer de médecin, et de ne pas parler au nouveau de ta vie privée et de ton homosexualité, de façon à ne pas induire chez lui des associations indues entre ton état de santé et la sidologie.

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Bonjour,

Le zona n'est certes pas spécifique au VIH, loin de là, c'est une affection fréquente et souvent bénigne, même s'il y a dans certains cas des complications graves.

Il reste que s'il récidive fréquemment, est sévère et se traite difficilement, en particulier chez l'adulte de moins de 50 ans, ce n'est pas un signe de bonne santé générale; et on le trouve nettement plus souvent (et plus sévèrement) chez ceux qui ont un test positif au VIH, mais aussi pour d'autres patients souffrant de maladies auto-immunes comme le lupus ou la sclérose en plaques.

Guillermo, je n'ai pas compris si tu craignais de développer un zona ou si tu en avais déjà fait ?

Et je rejoins tout-à-fait Jardinier sur ton rapport avec ton médecin, s'il y a des tentatives de manipulation émotionnelle ou d'instauration d'un rapport de force, on n'est plus dans un rapport de confiance patient/soignant.

Modifié par Jibrail
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Bonsoir

Merci de vos réponses

En faite j'avais consulté pour un problème lié à l'anxiété jetait sous antidépresseurs que j'ai aretter, du coup comme étant très anxieux j'ai un poul qui monte très vite au repos et au moindre effort ,j'ai vu un cardiologue qui n'a révélé aucune anomalie ni tachycardie ni autre ,rapport de force donc avec ce medcin à qui j'ai demander si se stress permanent pouvais me declancher un zona c'est la qui m'a dit même depuis le début de notre relation patient medcin vu vos problèmes si vous declancher un zona c'est du au vih donc faut faire un dépistage vu que vous êtes dans une population à risque !!!en gros je suis gay je suis hiv +

Donc je change de medcin traitant

Merci de vos message

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Re bonsoir, je suis de l'avis de jibrail et jardinier.

Pour ta fatigue je pense que c'est normal due au sevrage.. Ça passera rapidement même si je ne suis pas un expert je serais aussi curieux de savoir ce qu'en pensent les autres mais ça me parrait plausible.

Bonne soirée a vous .

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Guillermo84, en fait tu me semble en très bonne santé, pourquoi allez-voir des médecins, ils chercheront forcément quelque chose qui ne va pas et au final, indirectement par ton intermédaire, il te créeront une vrai maladie (zona par exemple). L'anxiété, la dépression ne sont que des états d'âmes, les médocs ne feront que masquer le pb, car le vrai pb c'est toi, fais du sport, vélo, piscine, marche à pieds (évidemment pas d'abus d'alcool, pas de drogue ni cigarette) et arrête de broyer du noir, et finalement tu verras que la vie est "un long fleuve tranquille" où l'on n'est pas obligé de tomber malade.

Je ne fréquente quasiment plus les toubibs et je le vis très bien.

Tout de bon !

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Seroplex 10mg et xanas

Le Xanax fait partie de la famille des benzodiazépines, ce sont des molécules puissantes qui sont bien connues pour créer des dépendances et des troubles sérieux de sevrage lorsqu'on les arrête - il faut toujours les arrêter progressivement, et elles ne doivent être utilisés que sur une courte durée. Les troubles du rythme cardiaque sont typiques des effets de sevrage des benzodiazépines. Je ne sais pas si tes médecins t'ont sensibilité à ces aspects.

Un jour il y a quelques années je m'étais bloqué le dos, rien de grave mais les muscles du haut étaient contractés, au début je n'arrivais même plus à tourner le cou, même si ça n'a pas duré. Mon généraliste m'avait prescrit un benzodiazépine, le tétrazépam, pour relaxer les muscles. J'en ai pris une première pilule le soir, pas de problème, j'en prends une seconde le lendemain matin, un samedi, je me souviens être sorti en ville peu après, puis avoir commencé à planer, à être pris d'une fatigue intense, je me suis dirigé vers un parc tout près, je me suis allongé pendant une heure, impossible de repartir, totalement HS... Depuis j'ai appris qu'il avait été retiré du marché, car il provoquait un nombre anormalement élevé d'effets secondaires gravissimes (syndromes de Lyell et Steven-Johnson), et tout ça pour découvrir qu'en fait il était en général assez superflu - en particulier dans mon cas bénin - comme l'indique désormais l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament elle-même :

Dans l’attente des résultats de cette réévaluation, l’ANSM rappelle que le traitement par décontracturant musculaire est un traitement symptomatique et qu’il existe des alternatives thérapeutiques au tétrazépam dont des prises en charge non médicamenteuses. Quand les spécialités à base de tétrazépam doivent être utilisées, l’ANSM recommande de limiter leur durée d’utilisation au strict minimum.

Bref, tout ça pour dire que même sans cracher sur ce type de médoc (le zolpidem ponctuellement à demi-dose m'a permis plusieurs fois d'interrompre avec soulagement des suites de jour sans sommeil), ce sont des molécules puissantes, potentiellement dangereuses, qui nécessitent si on les prend un suivi rigoureux du soignant... et sûrement pas des leçons de morale d'un médecin qui projette sur toi ses propres craintes et fantasmes par rapport à l'homosexualité et au sida...

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  • 3 weeks later...

Salut à tous.

Guillermo 84, did 23 l'exprime bien et comme lui, à mon sens, une des premières conditions pour éviter le stress est de se tenir loin des gens auxquels notre faiblesse et notre naïveté profitent.

Nos troubles doivent être pérennisés pour justifier la place de la médecine et de tout ce qui s'y rattache, dans nos sociétés.

Le pouvoir d'ordonner matin midi et soir est d'une puissance redoutable et n'a d'équivalent que la violence parmi les outils de contrôle et de soumission.

La santé est naturelle et la maladie découle apparemment des "mauvaises habitudes de vie" faites d'excès en tous genre dont nous acceptons d'être victimes lorsque l'estime de nous-même est faible.

Là, nous sommes récupérés et confinés dans un rôle d'assistés ne trouvant d'autre moyen pour exister que de se victimiser pour attendrir notre monde. Mais l'univers n'est pas tendre...

C'est souvent une image de soi dévalorisante qui nous conduit à de mauvais réflexes de vie et, tout le système médical se fonde sur ce mal être, que nos sociétés cultivent, pour rassurer les couards du moment au pouvoir qui croient ainsi être protégés par un système dont ils sont pourtant aussi les jouets et les proies.

Il nous faut des poèmes, des blagues et des chansons dont les refrains seraient : " Loin des toubibs, ta santé va, d'aller chez le docteur, tu en meurs !" Hormis la chirurgie réparatrice, notre système de santé est une esbroufe qui se résume à utiliser la population comme cobaye et à occuper les professionnels vivant grâce à la mauvaise foi d'un univers malsain que seule la tromperie entretien.

La quasi totalité des remèdes deviennent obsolètes et, avec le temps, se révèlent plus nocifs que bénéfiques pour les malades ainsi entretenues.

A part comme poison, rares seront les traitements de nos labos actuels qui traverseront les âges aussi bien que les remèdes dits de "grand-mère".

Nous vivons une purge, un écrémage effectué par certains d'entre-nous détenant le pouvoir d'opérer un tri des populations selon leur "philosophie": stérilisations physique et psychique insensiblement prodiguées aux populations ignorantes des effets des ogm pesticides et autres vaccins.

La bonne santé va de soi naturellement.

Le corps sait comment aller bien. Nos troubles sont d'un autre ordre et, loin de vouloir les corriger, les entretenir voire les accentuer est l'ordre du jour des dirigeants. L'humain n'est plus une denrée rare mais un sujet encombrant.

Les seules mains secourables se trouvent aux bouts de nos propres manches. Partout ailleurs le déclin est à l'oeuvre et la prospérité violemment combattue.

Dans le documentaire "La puissance de l'esprit pour guérir le corps", un scientifique soutient que la bonne santé de l'humain repose en premier lieu sur trois croyances:

1- une bonne confiance en soi;2- la confiance en les autres et enfin 3-, le sentiment que nous faisons partie d'un monde qui va en s'arrangeant.

Hors, il est clair que la découverte de la puissance de ses sentiments, ainsi que leur entretien et leur culture, ont été bannis de nos enseignements, et sont

remplacés par l'école de la défiance, de l'égoïsme, où nos esprits sont nourris de peurs, de doutes et de culpabilité paralysants.

Pourtant, l'aventure de la vie reste exaltante, les possibilités d'actions demeurent infinies et notre potentiel est intact, au rendez-vous fixé par la Nature, nous sommes présents et prêts pour savourer la suite en continuant à parfaire notre amour propre et donc, le respect du vivant.

Les pleutres s'éliminent d'eux-mêmes et l'idée selon laquelle la terre reviendra aux "doux" (sous-entendu aux vrais puissants) me paraît logique, naturelle et incontournable.

La peur, souvent garante de la survie, s'apprivoise avec rapidité et, si elle contraint à la défiance encore la majorité d'entre-nous qui ne peuvent faire autrement que de s'avilir en nuisant à soi et aux autres, elle sera bientôt une émotion contrôlée, transformable en outil d'adaptation mieux affûté et ajusté qu'il ne l'est aujourd'hui.

Le sphénoïde continu à accentuer sa courbure et, associé à l'environnement favorable dont nous dote la Nature, nous sommes prêts pour les défis futurs, avec l'envie d'ouvrager à bon escient, avec la raison pour guide.

Paradoxal que nous en soyons arrivés à considérer l'oeuvre de la Nature comme un miracle subjuguant à la beauté infinie, d'une perfection hallucinante, tout en tempérant cette vision enthousiasmante lorsqu'il s'agit d'inclure l'humain à cet univers magnifique.

L'enseignement que nous nous dispensons sous-tend que la Nature est parfaite sauf l'humain !?!

Elle se serait planté juste au moment de nous concevoir...!?!

Et c'est l'humain qui le dit, enfin, certains d'entre-eux qui ont compris le profit qu'ils pouvaient tirer de semblables honteux, culpabilisants, perdus, cherchant des signes ou/et un guide qui donnera espoir.

Santé... pas plus. Toujours debout sans tri ni infection mais, accompagné de la certitude d'être le seul a pouvoir utiliser mon potentiel.

C'est une responsabilité aussi terrifiante qu'enthousiasmante et, comme le risque et la souffrance sont preuves de vie aux mêmes titres que le respect et l'amour, j'ose les chemins de traverse et me plaît à tenter la difficulté.

Imaginons que dans le futur, immortels, nous ayons atteint le stade où éprouver des émotions fortes ne se fait plus en train-fantôme ou en grand 8, par le biais du théâtre ou du cinéma mais, seraient remplacés par un "tour" de manège consistant à se glisser dans la peau d'un humain, dans un environnement dans lequel nous sommes à tour de rôle acteurs, spectateurs, scénaristes ou réalisateurs, pouvant ou non influer sur l'histoire humaine qui se déroule sur terre.

L'effet ne vaudrait qu'en perdant la conscience de ce que nous sommes vraiment durant l'expérience (comme lorsque nous rêvons) et, selon si la séance nous plaît ou pas, avoir le pouvoir de la quitter avant la fin ( se suicider) pour changer de film et aller visiter un autre univers virtuel, ou décider de la revoir en y renaissant à nouveau (comme quand aujourd'hui nous allons voir plusieurs fois voir le même film, là, nous nous réincarnerions) et en s'y adaptant mieux à chaque séance qui durerait 2 heures en paraissant 100 ans.

La vie sur terre et la condition humaine font peut-être parties des nombreuses distractions que nous avons imaginées pour rompre la "monotonie" d'une vie sans fin dont nous sommes déjà dotés.

Éprouver la peur de mourir avec les émotions d'un humain ignorant son destin ... quelle intrigue, quel suspense, quelles émotions, mieux qu'un grand cirque.

Les enjeux de la vie terrestre se résument peut-être à explorer une expérience sans autre obligation que celle de se connaître mieux en diverses circonstances.

Jouir de la vie réclame à priori d'être le plus possible en accord avec soi ou, plutôt avec le double en nous qui souvent nous fourvoie et nous fait avoir une attitude différente que celle préconisée par notre raison.

Tout serait donc permis et autorisé mais les plus grands plaisirs naîtraient d'intentions fondées sur la beauté d'être et de l'exprimer.

Des délires sans fin plus fantastiques les uns que les autres sont capables de naître au cœur de nos pensées auxquels nos actes peuvent donner vie.

Seules les entreprises humaines qui ne sont pas tentées essuient 100 % d'échecs. Pendant des millénaires nous avons survécus grâce à bien des choses indispensables et, la médecine qui l'a permis nous a été livré avec notre corps capable de se rendre malade comme de survivre dans des conditions extrêmes par notre seule volonté. J'aime raffermir en moi cette certitude car elle m'aide à m'apaiser et à m'accomplir bien que le chemin paraisse n'avoir pas de fin.

A tous salut et bontoujours.

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@Jibrail : Ton expérience de prise du tétrazépam/myolastan le matin n'est pas étonnante, elle t'aura permis d'avoir pleinement conscience de ses effets : c'était un produit qui favorisait à partir du système nerveux central la détente neuro-musculaire et le sommeil. Par rapport au zolpidem/stilnox, le "truc" était que celui-ci, contrairement à l'immovanne qui a un effet plus prolongé, n'a qu'une action légère d'endormissement limitée à une demi heure ; donc, dans pas mal de cas, il fallait l'associer avec le myolastan pour obtenir une durée de sommeil satisfaisante, et cela fonctionnait si bien que c'était accoutumant. En remplacement, on peut associer 1 demi comprimé d'immovanne avec une gélule de valériane - ou le double (1 comprimé + 2 gellules) au début en cas de sevrage du tétrazépam+zolpidem, mais ensuite seulement très occasionnellement, surtout pas de manière prolongée. (Immovanne et valériane respectivement sont aussi accoutumants, et sans doute a fortiori ensemble, mais moins que d'autres drogues comme le système zolpidem+tétrzépam. D'après ce que j'ai pu comprendre, 2 gelules de valériane au lieu d'une, ce serait beaucoup, voire trop, et sans l'efficacité de l'association avec 1 demi immovanne.)

@steph1960 : Oui, merci pour ta longue communication, c'est de la véritable philo. Plus on reste à distance de la médecine et plus on gère de manière intelligente et autonome son vécu psycho-somatique et existentiel, mieux on se porte. La culture freudienne et en sciences humaines en général, plus le parti pris de développer systématiquement son esprit critique sans perdre de vue le rôle absolument fondamental - et cultivable - de l'équilibre psycho-somatique, peuvent éviter bien des aliénations et catastrophes, tant personnelles que collectives.

Modifié par Jardinier
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