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C.92-Eradication du virus HIV, le traitement du Dr Prakash


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Bonjour tout le monde,

Certains me connaissent un peu suite à mon témoignage cette même année en février.

Voici ce qui est venu à mon oreille de la part de mon beau frère qui en à parler avec ces collegues à pasteur...

Effarant de lire des choses comme ca... Je suppose que les medecins et chercheurs suivant sont joignable

ainsi que le president de l'association "positifs" le DR Adrien Caprani.

Bonne lecteure ( façon de parler préparer le sac à vomis)

C.92-Eradication du virus HIV, le traitement du Dr Prakash

Information parue dans le mensuel "Vous et votre santé"de Juin 2014 N°25 (www.vousetvotre sante.fr)

A l’occasion du trentième anniversaire du VIH en Mai 2013 à l’Institut Pasteur, l’association “Positifs”, que je préside, a rencontré le Dr G. K. Prakask. Il s’était déplacé d’Inde avec, dans sa besace, des résultats révolutionnaires en matière de guérison du sida. Les échanges que nous avons eus nous ont convaincus du sérieux et de l’intérêt majeur de sa découverte.

Mais il n’a pas été entendu par l’Institut Pasteur. Il n’a pas eu l’autorisation de présenter sa découverte qui pourrait sauver des vies. Il est vrai que l’annonce de ses travaux aurait éclipsé les découvreurs du VIH, organisateurs de cette manifestation. L’information a donc été portée à la connaissance des participants dans les couloirs de Pasteur.

Heureusement, le Dr Prakash a pu faire connaître son traitement à la dernière conférence de l’International Aids Society (IAS) de Kuala Lumpur1. Son traitement associe 9 plantes de la médecine traditionnelle indienne connues pour leurs propriétés antivirales et/ou immunostimulantes et des nanoparticules d’argent, d’étain et autres composés minéraux. Il a permis de guérir plus de 10 patients, une trentaine d’autres est en cours de traitement à ce jour.

A l’occasion de la communication que j’avais faite en mai dernier devant le groupe Stratégies thérapeutiques de l’ANRS2, présidé par Catherine Katlama, où j’ai décrit les modalités d’un protocole efficace, non toxique et de faible coût3, j’ai informé ce groupe des résultats remarquables obtenus par le Dr Prakash, en demandant au groupe Stratégies thérapeutiques de l’ANRS une évaluation des travaux de Prakash afin d’apporter la confir­mation des résultats qu’il a obtenus. J’ai fait de même par courrier avec J. F. Delfraissy, directeur de l’ANRS, courrier resté sans réponse. J’ai le sentiment que cette information a été volontairement étouffée par l’ANRS, alors qu’elle aurait dû vérifier l’exactitude des découvertes du Dr Prakash en urgence. J’ai par ailleurs alerté Françoise Barre-Sinoussi et me suis retrouve une fois de plus devant le mur du conformisme et de l’orthodoxie. Il est clair que l’approche thérapeutique de Prakask n’est pas conforme à nos critères occidentaux, même s’il s’agit de médecine traditionnelle revisitée avec des techniques d’avant-garde, pour laquelle la médecine occidentale est en échec. En trente ans, aucun résultat significatif sur l’éradication du virus n’a été obtenu malgré les moyens financiers considérables utilisés.

A ce jour, un seul patient a été guéri en occident – à Berlin – avec un traitement officiel extrêmement lourd. Surmédiatisé, aucune tentative de reproduction de ce cas n’a réussi.

Devant cette omerta, correspondant à la défense des intérêts d’un monde qui vit et qui n’existe financièrement que par le sida, j’ai pensé informer des scientifiques, au-dessus de tout soupçon pour obtenir une confirmation des résultats de Prakask, à savoir nos deux prix Nobel : Françoise Barre Sinoussi et Luc Montagnier. Françoise Barre Sinoussi a éludé ma demande d’un essai de confirmation et s’est défilée en utilisant un argument pitoyable : les travaux de Prakask ne sont pas publiés dans les grandes revues internationales. Or, elle sait très bien que les grandes revues médicales sont contrôlées par les lobbys pharmaceutiques et que les comités de lecture des revues qui évaluent les publica­tions qui leur sont soumises travaillent sur les mêmes sujets. Ils ne souhaitent pas être doublés par des concurrents et perdre leur sujet de recherche.

Quant à Luc Montagnier, son assis­tant René Olivier lui a transmis mon dossier il y a neuf mois. On attend toujours un retour !

Je pensais qu’il existait suffisamment de scientifiques honnêtes pour rompre le mur du silence ; mais je me suis rendu à l’évidence, que seule la médiatisation et la pression des asso­ciations pouvaient peut-être imposer aux instances officielles de la santé la validation des travaux de Prakash. Malheureusement, les principales associations de lutte contre le sida, et plus étonnant encore, Médiapart, le donneur de leçons, que j’ai informé n’ont donné suite à mes informations sur l’éradication du virus. Ce comportement criminel peut s’expliquer par le conditionnement par les lobbys pharmaceutiques et le monde de la recherche médicale, qu’il est IMPOSSIBLE, avec les voies officielles de guérir le Sida à court terme. Pour les associations, il s‘agit en plus de leur survie si les résultats de Prakash étaient confirmés. Pour ma part, je suis prêt à utiliser le traitement de Prakash. Il coûte 3 000 €. C’est peu pour une guérison, quand on sait qu’un trimestre de traitement en France revient à 3 000 €. En comparaison, le traitement du Dr Prakash représente moins des deux centièmes du traitement officiel utilise actuellement et administre aux malades à vie avec des molécules toxiques, même si je pense que toute guérison avec le traitement Prakash sera considérée par les officiels du sida comme une guérison spontanée.

Aujourd’hui, je souhaiterais faire connaître les résultats de Prakash pour convaincre nos autorités de réaliser un essai d’un coût dérisoire et sans aucun risque pour le patient. Il est urgent de rompre le mur du silence pour limiter une hécatombe mondiale qui n’a que trop duré.

Dr Adrien CAPRANI, Président de Positifs, directeur de recherche honoraire au CNRS, membre de l’IAS et de l’EACS

  1. 1-Metal nanoparticles reduce intracellular HIV-1 replication and stimulate growth of HIV-1 infected PMBC. 7e Conférence de l’International Aids Society (IAS) sur le VIH, le traitement et la prevention - Kuala Lumpur ( 30 juin au 3 juillet 2013)
  2. 2-Agence de recherche ANRS (France Recherche Nord & Sud Sida-HIV Hepatites).
  3. 3-<www.positifs.org/en/publications/ our-publications/198-c82-protocole-therapeu-tique-de-l-positifs-remplacement-par-un-traitement-peu-toxique-impliquant.html>

Publications de Prakash

<www.hivcure.in/publications/Analogy%20 of%20CD4%20and%20CD8%20cells.pdf>

<www.hivcure.in/publications/Status%20 of%20proviral%20DNA.pdf>

Un traitement contre le sida découvert par l’équipe indienne du Dr Prakash

Le traitement “mmp (metal- mine-ral-phytotherapy)” présenté lors de la 7e Conférence de l’International Aids Society (IAS) sur le VIH qui s’est tenue à Kuala Lumpur du 30 juin au 3 juillet 2013, sur la prévention et les traitements du VIH est très prometteur. Il s’agit d’un traitement original découvert par l’équipe indienne du Dr Prakash. Il associe 9 plantes de la médecine traditionnelle indienne connues pour leurs propriétés antivirales et/ou immunostimulantes et des nanoparticules d’argent, d’étain, de fer et autres composes minéraux. Les résultats cliniques ont été publiés1. Je juge personnellement ces résultats fiables.

Actuellement plus de 30 patients asymptomatiques suivent le protocole mis au point par l’équipe du Dr Prakash. Ils tendraient à confirmer les résultats.

La charge virale passe de 54 000 à T=0 à l’indétectabilité à 30 mois et se maintient sans traitement pendant plus d’un an. Les CD4 passent de 360 à T=0 à 810 à 30 mois et à 990 à 42 mois (sans traitement du 30e au 42e mois). Le rapport CD4/CD8 passe de 0,43 à T=0 à 0,75 à 30 mois et à 0, 85 à 42 mois. L’ADN proviral (PBMC et ganglions lymphatiques) disparaît à 30 mois et reste indétectable à 42 mois en l’absence de traitement. Hémogramme, fonction rénale et hépatique normaux pendant toute la durée du suivi. Pas d’IO et de tumeurs. D’après Prakash, il y a 3 mécanismes d’action synergiques :

1. C’est une DIS-intégrase du VIH-1, c’est-à-dire qu’il enlève le VIH-1 intégré dans l’ADN ; en clair, il élimine le VIH-1. Il fait le contraire de l’intégrase du VIH-1. C’est donc, conceptuellement, une véritable révolution, car jusqu’à maintenant il n’y a aucun médicament capable d’enlever le VIH-1 une fois qu’il est intégré. Le mmp stimule des gènes, et cette stimulation conduit à la coupure et à l’enlèvement de l’ADN étranger de la cellule. “DIS-integrase: HIV-1 is dormant in our body; my molecule stimulates the action of disintegrase and eliminates the foreign integrated DNA.” Le mmp est utilisable dans le cancer.

2. Il a une action immunologique.

3. Il est antiviral (théoriquement, n’importe quel virus intégré autre que le VIH-1 peut être enlevé, par exemple : le HPV, le poliomavirus, etc.).

Positifs a obtenu également les courbes de CD4 et de charge virale à partir des tableaux de résultats publies2.

La guérison tant espérée du sida pourrait devenir une réalité par une voie originale d’éradication du HIV

Dr Adrien CAPRANI

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PS: Je pense qu'il serait intéressant de contacter le dr CAPRANI celui ci laisse penser qu'il est fatigué de traiter les patients de cette manière.

Ca pourrait etre interessant d'avoir son point de vue sur ce site ainsi que les résultats dont il parle à la fin de l'article.

"positifs a obtenu également les courbes de CD4 et de charge virale à partir des tableaux de résultats publies2.

La guérison tant espérée du sida pourrait devenir une réalité par une voie originale d’éradication du HIV "

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N'importe quel traitement de type anti-inflammatoire marche. Voir mon article (et celui-là) sur sidasante. Donc, le traitement en question est à tous les coups un traitement de ce type. Celui-là marche et il y en a d'autres de ce genre qui marchent et qui marcheront.

Par ailleurs, en réalité, vu que les tests de cd4 doivent être traficotés à la baisse, ça n'est pas bon d'avoir un taux de cd4 élevé. Ni une charge virale basse d'ailleurs. Parce que ça implique une surconcentration du sang. Et ça, à terme, c'est dangereux.

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Ah d'accord. J'avais zappé le passage où il parlait d'une période de 30 mois sans médicaments. Il faut dire qu'il y a eu tellement de remèdes de type anti-inflammatoires de proposés...

Bon, s'il dit qu'il n'y a pas retour à une charge virale positive pendant un an après l'arrêt du traitement, et que le taux de cd4 est resté à 990, le type ment. Son étude est certainement bidon.

La seule façon d'avoir ce genre de résultats, c'est avec des anti-inflammatoires, et quand on arrête de les prendre, la concentration du sang diminue et du coup, le taux de cd4 aussi. Et la charge virale augmente parce que les cellules relarguent leur déchets (dont l'adn qu'elles contiennent). C'est d'ailleurs ce qui permet à l'industrie pharmaceutique d'obliger les séropositifs à prendre leur traitement ad vitam eternam.

La motivation pour cette arnaque doit certainement être financière, puisque le traitement coute 3.000 euros.

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J'ai un peu regardé ces publications de ce Dr Prakash, mais bon... A titre d'information (pas de jugement), il a juste publié trois articles dans des revues indiennes qui ne sont pas référencées dans les bases de données médicales classiques (Medline) et qui ne sont probablement pas très regardantes.

Dans sa première publication, le cocktail de plantes qu'il propose est relativement basique, les composés actifs des plantes qu'il met en exergue sont tout ce qu'il y a de plus classiques et qui sont pour la plupart des anti-oxydants : limonène des agrumes, eugénol du clou de girofle, béta-sitostérol des noix et de pas mal de graines, piperine du poivre, curcumine, vitamine C. Rien de révolutionnaire à ce stade... Il annonce de bons résultats en terme de CD4 et de rapport CD4/CD8, sur une trentaine de patients en Inde ou à Madagascar; mais le sida dans ces pays ne se manifestent aussi pas du tout de la même façon qu'en Europe ou en Amérique du Nord; la malnutrition est plus fréquente et la prise d'anti-oxydants peut avoir plus d'effets (en Europe je pense que très peu de gens sont véritablement carencés). Pour autant, dans ce papier, il ne prétend pas avoir guéri qui que ce soit.

Je vous passe le second papier faute de temps.

Par contre, dans un exposé dans un quelconque congrès du VIH, il indique, dans un travail expérimental de laboratoire, avoir éradiqué le supposé VIH dans des cellules infectées (in vitro) en les traitant par des nano-particules métalliques. L'exposé est très succinct, mais c'est là que les choses se corsent pour moi : il utilise des nanoparticules métalliques, à base d'argent, de zinc et de sélénium. Si je ne me prononce pas sur les deux derniers, les nano-particules d'argent sont regardées avec précaution par beaucoup: même l'Union Européenne s'interroge sur sa toxicité. Les nano-particules d'argent (même si celles du Dr Prakash ne sont peut-être pas exactement les mêmes ) sont censées depuis longtemps avoir une action antimicrobienne, de la même façon que l'argent colloïdal - mais cette action antibiotique est directement lié au caractère oxydant de ces particules à l'intérieur des cellules... que ce soit celle de la bactérie ou celle de l'hôte (du patient)... Je ne sais pas non plus comment les nano-particules métalliques arrivent à différencier les cellules infectées par le VIH des cellules non infectées (il ne le précise pas)... mais en tout cas en terme de thérapie c'est juste le principe exactement inverse de son traitement à base de plantes antioxydantes.

Ce qui est plus intéressant malheureusement dans tout ça, c'est la réaction de ce docteur de Positifs, qui est semble-t-il un orthodoxe de longue date (en tout cas je n'ai pas v qu'il ait fait de la publicité pour la dissidence). Après des années de carrière, il semble prêt à défendre contre tout ce nouveau traitement "miracle", qui je pense n'a ni queue ni tête (on peut certes essayer d'en savoir davantage), alors que des dissidents de longue date tentent depuis des années et avec des travaux beaucoup plus sérieux et élaborés de trouver des pistes pour savoir ce qui se cache vraiment derrière le "VIH". Je trouve ça, euh, étonnant.... pour rester poli... il faudrait peut être lui demander effectivement pourquoi...

Modifié par Jibrail
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