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Condamner pour avoir transmis le vih


Centurion
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bonsoir

un article dans la tribune de Genève du jour

http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/Medecin-tance-pour-un-test-VIH-a-l-insu-de-son-patient/story/31912844

la conclusion c'est que le médecin se fait tapoter sur les doigts et que se pose la question si la protection de la société ne devrait pas primer sur celle de l'individu..et aller jusqu'à.généraliser les test hiv lors de bilan de santé

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Attention, c'est le médecin condamné par la justice qui déclare pour se justifier que le test du sida devrait faire partie des bilans de santé. Le reste de l'analyse sur la page de la TdG montre en revanche une responsabilité dans l'affaire de la part de la Commission de surveillance des professionnels de la santé et des droits des patients :

"les juges [qui] invitent la Commission de surveillance des professionnels de la santé et des droits des patients (CSP) à statuer sur une sanction (à l'encontre du médecin condamné)."

La condamnation porte sur un test de dépistage à l'insu par un généraliste "zélé", sur une personne parallèlement engagée dans un procès de divorce. Le médecin avait contacté la CSP, qui lui avait donné son autorisation pour informer de la séropositivité, toujours à l'insu du patient, l'épouse de celui-ci.

Modifié par Jardinier
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  • 4 months later...

A propos de Charlie Sheen (http://www.20minutes.fr/people/1732423-20151117-video-charlie-sheen-revele-seropositivite), le journaliste et dissident Terry Michaël déclare via la page FaceBook d'Ingrid Farber :

Engulfed by the Charlie Sheen insanity. SO MUCH to clarify, correct. With "pod" glasses, not addressing fallacies of the HIV test etc, one can at least say: Either:

A. All the people who are in prisons around the world for having unprotected sex after testing HIV antibody positive should either be let out, OR:

B. Charlie Sheen should go IN (to prison)

But not: THEY (minorities, mostly, without fame or money usually) stay in prison and HE stays out here, being a human commercial for Truvada.

IF it is a CRIME (as OMSJ so vigilantly fought against in its time) to BE HIV positive and sexual, without giving proven consent at all times, then why, because he pushes their agenda, ("I am undetectable...") is he immune?

(He certainly was not on Truvada when his status converted.)

My choice of course is to let all accused and imprisoned "sex felons" out immediately and throw the criminals of the HIV industry who created a false "deadly weapon" into the newly vacant cells.

Terry Michael.

Bon, T. Michaël ne précise pas que Sheen a déclaré avoir été victime de chantage et avoir fait sa déclaration télévisée pour y couper court. En cela il a peut-être tort. Mais pour autant son point de vue révolté et son raisonnement sur la justice à deux vitesses et sa sévérité envers les minorités ont leur pertinence : Pour mémoire, la sentence d'emprisonnement quasi à vie pour Michaël Johnson alias "Mandingo" par un jury du Missouri avait été confirmée au terme d'une mise en délibéré.

Sur sa page FaceBook, T. Michaël se réfère à un site web américain qui semble parler en bande annonce de "maladie autoimmune" à propos de Sheen (sur le post intitulé "MORE INSANITY TO FUEL THE HIV-AIDS INDU$TRY").

Modifié par Jardinier
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  • 3 months later...

En Suisse (alémanique), deux cas de pénalisation de transmission (hétérosexuelle) du supposé VIH en 2016, mais dont les circonstances sont particulièrement surprenantes.

Dans le premier cas (article en allemand), les deux partenaires admettent avoir eu des relations protégées systématiquement, à l'exception des relations orales, et sans éjaculation... la CDC américaine n'a jamais quantifié le risque oral que tous jugent théoriquement non nul mais infinitésimal. Peu importe visiblement que le prévenu, qui se savait séropositif, ait affirmé lui en avoir parlé très tôt, qu'ils soient resté 4 ans ensemble, que sa nouvelle femme confirme que le prévenu lui en avait à elle parlé très tôt, et qu'elle soit mère de 3 enfants (de lui) séronégatifs : il sera condamné, bien qu'à une peine modeste en comparaison d'autres pays (un an avec sursis et 40.000 francs de dommages).

Dans le second cas, à Genève, un époux est accusé d'avoir transmis le supposé VIH à sa compagne; et s'ils avaient des relations non protégées, d'une part lui avait une charge virale très basse (le niveau n'est pas précisé mais on le suppose indétectable ou presque), qui faisait qu'il n'aurait pas dû prendre de médicaments "avant 4 ans", et d'autre part il prenait garde à "ne pas éjaculer" en elle. Là aussi le prévenu a été condamné, à une peine relativement modeste (2 ans avec sursis et 40.000 francs de dommages).

Dans le premier cas comme le second, pour qui est familier des documents scientifiques de l'orthodoxie, cela n'aurait jamais dû arriver : il n'a jamais été possible de mettre en évidence le moindre début de preuve de transmission du VIH par des rapports bucco-sexuels, surtout sans éjaculation; de même la "transmission" par pénétration vaginale sans éjaculation en cas de virémie indétectable. C'est d'ailleurs toute la philosophie du "traitement comme prévention", d'ailleurs initiée par les médecins suisses : qui a une charge indétectable ne "contamine" pas, l'objectif est donc que tous les séropositifs se traitent afin de ne plus pouvoir contaminer. C'est aussi pour cette raison qu'en Suisse la transmission du VIH semble aussi moins pénalisée qu'ailleurs. L'article précise par ailleurs qu'aucune recherche (phylo)génétique n'a été mise en oeuvre pour déterminer que les supposés génomes des supposés VIH des partenaires étaient proche l'un de l'autre, considérant le caractère peu conventionnel des circonstances supposées de transmission.

A noter que le premier prévenu était libérien; le second turc; celles des femmes "contaminées" n'est pas précisé mais toutes deux en ont fait un traumatisme. Les deux hommes, à leur façon, ont en tout cas appliqués à la lettre la philosophie de "réduction des risques" vantés aujourd'hui partout. Cela leur a sans doute permis de n'écoper que de peines faibles, mais ne les a pas protégé de la présomption de culpabilité.

Mais dans de telles circonstances, que juge-t-on vraiment, de quelle "transmission" parle-t-on ? S'agit-il du VIH, ou d'autres choses, ou d'un mauvais concours de circonstances ?

Et surtout que mesurent vraiment ces tests ? Ces foutus tests.

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