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Grossesse et séropositivité


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Bonjour à Jibrail,

Je viens de lire ton message.

En effet, je vais suivre le conseil de survivor et mardi, je dois me présenter dans un labo privé pour effectuer les tests. Avant de répondre à la dernière partie de ton intervention, où puis obtenir de la documentation sur le fonctionnement des tests HIV ?

Quant à mon profil, je ne présente aucun risque, je n'ai jamais consommé de drogues, ni dures, ni douces, je ne fume pas, ne boit pas, et j'ai épousé le premier homme de ma vie il y a 6 ans. J'ai travaillé dans une pizzeria pendant 5 ans et je n'ai jamais été en contact avec du sang.

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Bonjour Stephanie, alors j'ai retrouver l'article en question qui etait en fait sur la page d'acceuil de ce site ( dans la rubrique CD4 ) donc je me permet de te copier le texte pour t'eviter de chercher partout , meme si je t'encourage a lire les autres articles sur la page d'acceuil . Bonne journee a toi.

" Les CD4 sanguins sont sensés être un marqueur très important de l'immunité, l'indice que le corps est protégé par le système immunitaire ou non. C'est vraiment le chiffre que les séropositifs ont en tête -avec la charge virale-, le chiffre qui leur cause abimes d'angoisses ou sérénité. Selon la théorie officielle, le taux normal se situe entre 500 et 1600 CD4. Donc, si on tombe en dessous de 50, voir même 100, c'est la mort assurée par la multiplication de maladies bactériennes ou virales. Car on est alors à moins de 10 % du taux permettant de se défendre contre les microbes pathogènes. Comme les microbes et les virus pathogènes sont partout, et que même certains sont déjà dans le corps, impossible d'y échapper. En moins d'une semaine, on doit être mort.

Or, ce chiffre ne signifie rien. Tout simplement parce que ce qu'on mesure sont les CD4 (ou T4) sanguins. Et les CD4 sanguins ne représentent que 2 % de la quantité totale des CD4. Le reste se situe dans les tissus des ganglions. Or, les CD4 sanguins peuvent migrer vers les ganglions pour des tas de raisons : un stress, un effort physique, etc... Ce qui entraine qu'on peut passer de 500 a 100 CD4 le jour où on passse le test sanguin alors qu'en fait, les 400 manquant, sont toujours dans le corps, mais ont simplement migré vers les ganglions. Et un test fait un autre jour pourrait donner un résultat de 600 CD4. Les médecins utilisent donc un indicateur qui ne veut absolument rien dire.

Donc, quelqu'un peut avoir par exemple moins de 50 CD4 pendant des années et n'attraper aucune maladie microbienne pendant des années. C'est d'ailleurs ce qui ressort des données fournies par quelques dissidents, voir, involontairement par des opposants aux dissidents. Ils ont eu des CD4 a moins de 50. Et ils étaient en parfaite santé. "

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C'est tout simplement énorme !

Je suis partagée entre une immense colère et une immense joie. Comprendre que l'on nous a toujours menti et sur quasiment tous nos fondements de vie...

Bienvenue à une nouvelle génération, avec une forme de conscience active... Ne prenons pas peurs si nos enfants font le contraire de ce que l'on attend, car je pense qu'ils créent de manière involontaire une nouvelle société, même si il faut avant tout déblayer !

Merci à tous d'être là, et d'apprendre à vous faire confiance dans vos choix intuitifs ou conseillés.

Je souhaite qu'un jour, même si je ne serais plus de ce monde, l'humanité va complètement se modifier et ce pouvoir mondial enfin se renverser...

Bonne route dans nos chemins de vie !

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Je viens de lire ton message.

En effet, je vais suivre le conseil de survivor et mardi, je dois me présenter dans un labo privé pour effectuer les tests. Avant de répondre à la dernière partie de ton intervention, où puis obtenir de la documentation sur le fonctionnement des tests HIV ?

De mon point de vue il y a plusieurs articles traduits en français sur le site qui me semblent intéressants à lire même s'ils deviennent rapidement assez techniques; il y a notamment un article de Neville Hodgkinson, l'article "le Yin et le Yang du VIH", ainsi que les interviews des deux principaux membres du Perth Group, Eleni Eleopulos et Valendar Turner. Cette dernière interview est plus spécifiquement tournée sur la question des tests, mais il est bien d'avoir une vue un peu plus large de tous les éléments pour bien comprendre ce qui se joue au niveau des tests.

Tout ça est assez dense, si jamais tu es plus à l'aise en espagnol, certains textes sont aussi disponibles en espagnol sur cette page.

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- concernant les tests, aucun n est en mesure de détecter une quelconque infection a vih et c est noté dans les notices des tests.

- le placenta est connu pour generer des retrovirus endogènes ce qui peut donc positiver le test.

- la legislation en france et je pense que c est la meme en belgique n'est pas en ta faveur. Plusieurs femmes ayant refusé la trithérapie se sont vues privées de leurs droits parentaux comme barbara seebald en allemagne qui a participé a ce film.

- tu as plusieurs choix : soit accepter les medicaments, et la tu peux peut etre negocier sur les molecules et ne prendre que celles dont on a un peu plus de recul, soit te lancer dans une bataille juridique mais qui risque d'etre eprouvante et stressante pour faire valoir tes droits. Tu peux contacter l'association santé solidarité basée sur nantes, je sais qu'ils ont un service juridique avec avocats. http://www.sante-solidarite.com/

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bonjour stephanie,

ton histoire n'a eue cesse de me travailler tout le week end et je pense qu'on va pouvoir regler ton probleme au moins en partie...

d'apres tes indications tu es "une sainte femme", pas de drogue, fidele et aucun comportement a risque on est bien d'accord, ensuite tu dis etre sure de ton epoux, donc c'est la dessus qu'on va s'appuyer !

stephanie, tu vas accompagner ton mari dans un labo privé, vous allez faire ensemble un test de depistage ANONYME, tu vas bien evidement informer ton mari de tout ce qui se passe....

logiquement ton mari doit ressortir negatif de ce test, je dis bien normalement, et la nous aurons la preuve que ton histoire est une supercherie et que tu es une fausse positive, tu n'as donc aucune raison de prendre une tri !

Concernant l'immunité, pas tout le monde est monté de la meme maniere...., il est vrai que d'apres les normes standardisées tu es bien en deça d'une immunité dite normale....un autre parametre dont il faut tenir compte c'est que tu es enceinte et donc l'immunité est perturbée !

ensuite qui nous dit que d'origine t'es pas mal foutue ??? un defaut de fabrication qui ne rentre pass dans les normes tout simplement ! lol! mais si toi tu sent bien parce que ton immunité fonctionne comme ca il n'y a pas lieu de s'inquieter.

les T4 ne sont pas les seuls a constituer le systeme immunitaire...

il y a aussi les NK natural killers...

verifier le taux de glutathion...

rien que dans ta formcule sanguine de base leucocytaire a savoir les globules blancs les rouges....

comment est ta VS ? indique t'elle un signe d'infection quelconque ?

dans ta formule sanguine y a t'il des etoiles partout indiquant forcement une neutropenie, trombopenie.....tout en penny quoi tant et si bien que tu deviens une penny stock !!!!! lol!

pour conclure si ni l'un ni l'autre n'avez jamais mis votre vie en danger, que de surcroit ton mari ressort negatif....ne t'inquiete plus d'avoir le sida.

toutefois il va falloir chercher le bon medecin capable de poser un reel diagnostic et verifier que cette faiblesse immunitaire ne cache pas autre chose....

tiens nous au courant stephanie. merci

Modifié par survivor83
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bonjour stephanie,

ton histoire n'a eue cesse de me travailler tout le week end et je pense qu'on va pouvoir regler ton probleme au moins en partie...

d'apres tes indications tu es "une sainte femme", pas de drogue, fidele et aucun comportement a risque on est bien d'accord, ensuite tu dis etre sure de ton epoux, donc c'est la dessus qu'on va s'appuyer !

stephanie, tu vas accompagner ton mari dans un labo privé, vous allez faire ensemble un test de depistage ANONYME, tu vas bien evidement informer ton mari de tout ce qui se passe....

logiquement ton mari doit ressortir negatif de ce test, je dis bien normalement, et la nous aurons la preuve que ton histoire est une supercherie et que tu es une fausse positive, tu n'as donc aucune raison de prendre une tri !

Concernant l'immunité, pas tout le monde est monté de la meme maniere...., il est vrai que d'apres les normes standardisées tu es bien en deça d'une immunité dite normale....un autre parametre dont il faut tenir compte c'est que tu es enceinte et donc l'immunité est perturbée !

ensuite qui nous dit que d'origine t'es pas mal foutue ??? un defaut de fabrication qui ne rentre pass dans les normes tout simplement ! lol! mais si toi tu sent bien parce que ton immunité fonctionne comme ca il n'y a pas lieu de s'inquieter.

les T4 ne sont pas les seuls a constituer le systeme immunitaire...

il y a aussi les NK natural killers...

verifier le taux de glutathion...

rien que dans ta formcule sanguine de base leucocytaire a savoir les globules blancs les rouges....

comment est ta VS ? indique t'elle un signe d'infection quelconque ?

dans ta formule sanguine y a t'il des etoiles partout indiquant forcement une neutropenie, trombopenie.....tout en penny quoi tant et si bien que tu deviens une penny stock !!!!! lol!

pour conclure si ni l'un ni l'autre n'avez jamais mis votre vie en danger, que de surcroit ton mari ressort negatif....ne t'inquiete plus d'avoir le sida.

toutefois il va falloir chercher le bon medecin capable de poser un reel diagnostic et verifier que cette faiblesse immunitaire ne cache pas autre chose....

tiens nous au courant stephanie. merci

Bonjour à tous,

Survivor, je peux te scanner mes bilans sanguins en message privé ? Pour l'instant je recherche un médecin qui puisse me comprendre et respecter mes inquiétudes, vu que je suis en Belgique, mes recherches vont être longues...

Quant aux médicaments, il est hors de question pour moi de les prendre. Je devais subir un examen aujourd'hui, je ne m'y suis pas présentée. Je dois revoir le spécialiste le 10 juin et je compte bien m'y rendre pour réclamer mon dossier médical ainsi que l'ensemble des examens.

bonne journée à toi et à tous, encore merci d'être là

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A mon tour de dire merci à Aixur pour avoir inséré ci-dessus le lien vers la compilation :

Pour le pourcentage de cd4 présents dans le sang, je viens de mettre des références dans sur la page de compilation concernant les cd4. Même si on peut trouver des références par ailleurs sur Internet, ça manquait. http://www.sidasante...compilation.htm

Sur cette page, on trouve un lien vers un dossier en anglais, The alchemy of flow citometry - http://www.omsj.org/corruption/the-alchemy-of-flow-cytometry

C'est un dossier très intéressant, auquel à mon avis on n'a pas toujours prêté assez d'attention, car il montre que, de même que le principe et l'usage des tests, les technologies de comptage des CD4 posent de nombreux problèmes de fiabilité (outre le fait que la localisation des CD4 en soi fasse problème). En résumé, il n'y a pas de réel contrôle au niveau légal et des autorités sanitaires de la standardisation des technologies utilisée en raison de divers conflits d'intérêt. conséquence, en pratique, la variabilité des résultats fournis est très importante. A tel point qu'à plusieurs reprises des technologies mises en circulation par divers fabricants ont dû être retirées par les autorités fournissant des agréments. Voici la partie du dossier qui évoque tous ces aspects. Comme disait la chanson, "Traducteurs, traduisez"....

FLOW CYTOMETRY

A careful reading of the medical and scientific journals establishes little correlation between CD4 cells and HIV. In one report, NIAID Director Anthony Fauci explained:

Although most studies necessarily focus on HIV infection of peripheral-blood mononuclear cells, the lymphocytes that are in the peripheral blood at any given time represent only about 2 percent of the total lymphocyte pool, most of which is in the lymphoid organs. Hence, in certain pathologic processes involving lymphoic cells, the peripheral blood may not accurately reflect the status of disease. Specific immune responses are generated predominantly in lymphoid organs rather than in the peripheral blood
.”

By analogy, the absence of policemen at a city park does not necessarily mean that the park is unsafe. The park may be safer than a disturbance where policemen are found in larger numbers. While the overall numbers of policemen won’t change in a city, their deployment depends upon when and where they are needed.

Several years later, Fauci added:

“…
the primary mechanisms of CD4+T cell depletion in vivo remain unclear; there is no direct evidence that HIV is cytopathic in vivo, despite the fact that cytopathicity can be readily demonstrated in the artificial milieu of culture
.”

Some researchers have identified numerous subsets of CD4 cells, while others have found that low T-cell numbers are routinely found among life insurance applicants and African populations. Others have found viral load and flow cytometry equally dubious.

The aggregate CD4+T cell count is measured by a process known as flow cytometry – a measurement of characteristics of single cells suspended in a flowing saline stream moving through a beam of light. Many scientific procedures involve obtaining measurements as average values for the whole population, which differs from flow cytometric analysis measurements that are made on individual particles within the suspension.

Additionally, several parameters can be measured on tens of thousands of individual cells within a few minutes: relative size, relative granularity or internal complexity, and relative fluorescence intensity. Any suspended particle or cell from 0.2-150 micrometers in size is suitable for analysis. The noted characteristics are determined using an optical-to-electronic coupling system that records how the cell or particle scatters incident laser light and emits fluorescence.

However, flow cytometry has numerous intrinsically fatal shortcomings:

  • While the observed cell stream is three dimensional, the scatter pattern that is generated on computer print-out of the cellular density stream is measured in two dimensions.
  • The ability to identify live individual cells of a particular type from dead cells, clumps of cells and debris by a process known as gating is limited by the training and expertise of the observer-technician.
  • There are no established standards for the technology of operators. Procedures vary between each technician and lab.
  • All FDA-approved flow cytometry devices are based upon “predicate devices” technologies that were marketed before May 28, 1976.
  • Researchers claim that the distinguishing characteristics of live individual cells from dead cells and debris can be accurately preserved following paraformaldehyde fixation (which kills all of the cells).

A flow cytometer is comprised of three main systems: fluidics, optics and electronics.

1. The fluidics system transports particles in a stream to the laser beam for interrogation.

2. The optics system consists of lasers to illuminate the particles in the sample stream and optical filters to direct the resulting light signals to the appropriate detectors.

3. The electronics system converts the detected light signals into electronic signals that can be processed by a computer. For some instruments equipped with a sorting feature, the electronics system is also capable of initiating sorting decisions to charge and deflect particles.

Flow cytometry evolved from the development of several fields: microscopy; dye chemistry; electronics; and computers. It was the fusion and advances of these diverse technologies that allowed for the evolution of flow cytometry.

Modern flow cytometry started at the Los Alamos National Laboratories in New Mexico and entered the marketplace by the mid-1970s. After scientists alleged in 1984 that HIV was killing CD4+T cells, researchers developed an advancement they called immunophenotyping.

Immunophenotyping is the analysis of heterogeneous populations of cells for the purpose of identifying the presence and proportions of the various populations of interest. Antibodies are used to identify cells by detecting specific antigens expressed by these cells, which are known as markers. These markers are usually functional membrane proteins involved in cell communication, adhesion, or metabolism. Immunophenotyping using flow cytometry has become the method of choice in identifying and sorting cells within complex populations and is used extensively in the diagnosis and management of AIDS. However, as noted above, the CD4+T cell population is not uniform and the nature of the Th1/Th2 shift has more to do with the development of AID than the aggregate decline of these cells.

FROM RESEARCH TO JUNK SCIENCE

In 1972, Congress established the Office of Technology Assessment (OTA) to serve the legislative branch as an independent source of information and analysis about complex scientific and technical issues. OTA construed health technology broadly, including “all elements of medical practice that are knowledge-based, including hardware (equipment and facilities) and software (knowledge skills)… the set of techniques, drugs, equipment, and procedures used by health care professionals in delivering medical care to individuals and the systems within which such care is delivered.”

By 1978, the OTA produced a shattering report on the state of scientific medicine, Assessing the Efficacy and Safety of Medical Technologies. The report stated:

Evidence indicates that many technologies are not adequately assessed before they enjoy widespread use… Many technologies which have been used extensively have later been shown to be of limited usefulness”…and ” … only 10 to 20 percent of all procedures currently used in medical practice have been shown to be efficacious by controlled trial.”

The report implied that 80% to 90% of all routinely-performed procedures are unproven – a conclusion that implicates the technology of flow cytometry that uses immunophenotyping to identify antigen markers on various cell populations.

The U.S. News and World Report issue of 23 November 1987 raised further questions about HIV tests:

With public health officials and politicians thrashing out who should be tested for HIV, the accuracy of the test itself has been ignored. A study last month by the Congressional Office of Technology Assessment found that HIV tests can be very inaccurate indeed. For groups at very low risk – people who do not use IV drugs or have sex with gay or bisexual men – 9 in 10 positive findings are called false positives, indicating infection where none exists
.”

OTA’s warning continues to be ignored by the medical and scientific communities and the politicians, agencies and regulators that enable them.

In 1996, Congress disbanded the OTA, leading to the systematic deregulation of the various medical technology industries. The U.S. Supreme Court sealed the fate of future scientific transparency by ruling in favor or corporate interests in the Citizens United v. Federal Election Commission (2010).

The OTA’s demise closed a low-budget item that gave Americans too much information to make informed choices. It paved the way for the establishment of a medical and scientific knowledge monopoly that is now permeated by corruption and fraud (junk science).

As a result, the “AIDS industry” continues to use unproven technologies like flow cytometry to diagnose, alarm, and treat healthy people with toxic and expensive drugs that are designed to make them sick (see video).

Fundamental issues regarding the limitations of flow cytometry technology and the propriety of its use in the diagnosis of acquired immune deficiency have never been addressed:

  • Proof that an exogenous virus uniquely attacks CD4+T cells and is cytopathic (see above discussion). Further, the relationship of the Th1/Th2 balance shift in the CD4+T cell population has been ignored.
  • Reproducibility – samples drawn concurrently from one subject should deliver the same results in every machine and laboratory that receives those specimens.

Police officers have successfully used gas chromatography (GC) in the enforcement of drunk driving laws for many years. When properly operated, a functional and calibrated BreathalyserTM not only measures blood alcohol levels in breath samples accurately (sensitivity), but they can reliably differentiate between subjects that have – and have not – consumed alcohol (specificity).

Police officers also use RADAR to enforce basic speed laws. But like GC, officers do not rely upon RADAR devices to enforce laws. Instead, officers rely upon their training and expertise to estimate intoxication and velocities. Once they develop articulable facts that indicate impairment or an unsafe speed, they use GC and RADAR to confirm what their training, expertise and observations initially tell them.

Unlike GC and RADAR, flow cytometry manufacturers compensate for their inaccuracies by inventing proprietary algorithms to report spurious and unreliable cell counts. There is no reliable method for counting standardization for products and operators, and the substantial deviations in technical competency and quality control of test samples between labs render these tests wholly unreliable. Clinicians simply order blood draws and presume that lab results are accurate and meaningful. Clinicians who receive kickbacks from labs and drug companies have little incentive to question results of their asymptomatic patients.

This protocol is akin to policemen who stop 35 mph motorists because their RADAR device captured a 90mph reading. But while police agencies would train or terminate such derelict employees, this practice – when applied to biological testing and flow cytometry – is considered the “medical standard of care.”

Flow cytometry employs two techniques to count cells:

  • Dual Platform Systems – One component determines cell concentrations, while the second determines the relative number of CD4 and CD8 cells. Unless these two components count a common parameter, dual platform systems cannot accurately correlate the results.
  • Single Platform SystemsThese platforms are especially designed to count the absolute numbers of antibody-labeled cells. These devices are equipped with multiple sample loader, programming facility and computer support, which removes the need for using two different machine to determine the concentration of CD4 and CD8 cells.

The variability of results when comparisons are made between these two counting systems has been shown to be as high as 56%.

  • StandardizationHHS, CDC, NIH and FDA have failed to produce meaningful guidelines for quality control, quality assurance or quality of test reagents.

Flow cytometric immunophenotyping is a relatively new technology that is highly complex, involves multiple components and procedures, and has numerous points for measurement vulnerability. As the technology moved from research laboratories to clinical laboratories, the need for standardization increased. In response to that need, guidelines addressing aspects of the CD4+T lymphocyte testing process – in particular, quality control, quality assurance, and consistency of reagents for immunophenotyping of lymphocytes were developed. (National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID)/AIDS Clinical Trial Group: Guidelines for hematologic and low cytometric analysis of ACTG specimens, 1992).

To assure the accuracy and reliability of CD4+T cell test results obtained within individual laboratories and to attempt to assure comparability of results between laboratories, the CDC established a list of standard methods for performing the test, as well as guidelines for quality control and quality assurance. The CDC’s recommendations for flow cytometry apply to laboratory safety, specimen collection, specimen transport, maintenance of specimen integrity, specimen processing, flow cytometer quality control, sample analyses, data analysis, data storage, data reporting and quality assurance.

As can be seen, there are multiple steps in this process, any of which that if violated can lead to a substantial alteration in the test results:

1. Blood collection: The type of vial, the time of day and the temperature at which the specimen is handled can all have an effect on test results. CD4+T cell counts are known to be higher in the afternoon than in the morning – a result of the response to the diurnal variation in steroid production from the adrenal gland.

2. Specimen transport: Was the specimen maintained at room temperature? If the specimen is too hot or too cold, cellular destruction might occur. This can be a major problem for transporting of the specimen outside of the collection facility.

3. Specimen Integrity: When the specimen was received, was it too hot or too cold? Was the blood hemolyzed or frozen? Are there visible clots? Has the specimen been received > 72 hours after collection? If so, the specimen must be rejected.

4. Specimen processing: The test should be run within 48 hours, but no later than 72 hours after drawing the blood. Procedures that must be followed:

5. Gently rocking blood for 5 minutes to ensure uniform sample

6. Pipetting accurate blood volumes; vortex sample tubes to mix the blood and reagents and break up cell aggregates

7. Quality and type of reagent used

8. Incubating tubes in dark during staining procedure

9. A lyse/no wash method which requires following manufacture directions (each manufactures has a different set of directions and a different counting algorithm)

10. An immediate capping and storing all stained samples in the dark under refrigeration until flow cytometric analysis is performed.

11. It is advised that the specimens be stored no more than 24 hours unless the laboratory can demonstrate that scatter and fluorescence patterns do not change for specimens stored for longer periods.

12. Machine calibration: Variations in absolute lymphocyte counts obtained by different automated cell counters exposes another problem. A review of four widely used automated counters indicate that analytic variability in the absolute lymphocyte counts due primarily to method variability, is significant and larger than the variability typically observed on inter-laboratory trials of relative CD4+T cell counts. These method biases cannot easily be reduced by calibration, since the cell classification algorithms are built in features of the various counters.

As can be seen, the process of flow cytometry using immunophenotyping requires not only a sophisticated level of technical skill, but a chain of delivery and processing events that is probably difficult to replicate from lab to lab, but also to substantiate. One study found errors of 18% and 35% of absolute CD4+T cell count, while another study found the inter-laboratory variability so significant that it led to conflicting treatment recommendations.

PRODUCT RECALLS

Since 2004, the FDA has issued 66 recalls of flow cytometry products, devices, components and computer software.

Examples:

COMPANY: BD Biosciences

PRODUCT: FACSDiva Software

REASON: When data file containing one or no fluorescence (SIC) parameters is exported, the software will automatically apply compensation to this file and all subsequently exported files.

UNITS: 1074, US and worldwide distribution

COMPANY: Quantimetrix Synovialscopics

PRODUCT: Synovial Fluid Control

REASON: This recall was initiated due to efficacy concerns with the stabilized erythrocytes, leukocytes and lymphocytes contained in this product group

UNITS: 24,937 Nationwide distribution

COMPANY: Cytosol Opthalmics

PRODUCT: ShellGell Sodium Hyaluronate 0.8mL syringe, 12 mg/ml.

REASON: Product sterility may be compromised due to incomplete heat seals in the cannula pouches that are included with the viscoelastic syringe.

UNITS: 3,720 California and North Carolina

COMPANY: Beckman Coulter, Inc.

PRODUCT: Cyto-Stat/Coulter Cone B6-RD

REASON: Diminished expression on B-cell population when drawn in EDTA tubes, which may lead to inaccurate interpretation of phenotype results

UNITS: 1053 Nationwide and Canada

The FDA has issued numerous warning letters to PointCare Technologies, a leading developer and producer of flow cytometry products. In its latest warning letter dated 14 June 2011, the FDA cited PointCare’s repeated and unresolved problems with their testing equipment, reagents and manufacturing facilities:

“…
two of these three lots
failed the specifications
for osmolality and optical density (OD)…
devices are adulterated
… their manufacture, packing, storage, or installation are
not in conformity
with the Current Good Manufacturing Practice (CGMP) requirements…
did not perform adequate stability studies
after changing the packaging of
CD4NOW
Gold Reagent to determine an accurate shelf-life for the product… functional performance of the gold pack was
not acceptable
failed to provide scientific justification
for performing gold functional testing on only one vial per lot…
Failure
to establish, maintain, and implement a corrective and preventative action procedure… due to an AC charging
cable/adapter bursting into flames
while service personnel charged the unit…
Failure to have quality audits
conducted by an individual that does not have direct responsibility over the matters being audited
…”
(emphasis added)

THE MARKETING OF JUNK SCIENCE

Of the 66 aforementioned recalls and warning letters, FDA complaints were issued for failures that typically result in low CD4 counts. For agencies that need low counts to claim high HIV infection rates e.g. revenues (and for clinicians who accept kickbacks and bribes from companies like Bristol-Myers Squibb [bMS] and Gilead Sciences), flow cytometry helps clinicians justify the unnecessary delivery of toxic HAART therapies to healthy patients.

Flow cytometry is especially helpful in places like Africa, where mining companies routinely dump toxins and heavy metals into waterways.

One company is Kilembe Mines Limited, which is trying to sell an operation that has polluted the environment and water supplies of southwestern Uganda since 1956. Because foreign investors are reluctant to assume liability that comes with the purchase of toxic waste dumps, clinics and medical devices that blame pollution-caused ailments on HIV offer significant advantages to prospective investors.

According to this report, the Uganda Catholic Medical Bureau (UCMB) has distributed drugs in this area for 30 years.

In an effort to “scale up access to antiretroviral therapy…” UCMB advised that “treatment procedures and the monitoring of clients are simplified so that lower cadres of health workers can be trained to carry out some of the simpler functions… (of HIV testing, diagnosis and treatment).”

Gloria Kakuru of the Baylor University’s International Pediatric AIDS Initiative (BIPAI) explains how PointCare Now helps these “clinicians” diagnose HIV in the area surrounding the Kilembe mines – claiming that the device is superior because it justifies earlier initiation of HAART medication in adults and children:

BAPAI.jpg

These inflated misdiagnoses are then used by agencies like UNAIDS, the World Health Organization (WHO) and drug companies like Bristol-Myers Squibb (BMS), GlaxoSmithKline, Merck (and others) to push deadly HIV drugs – usually attaxpayer expense.

Although labs continue to use PointCare Now and its CD4 Gold reagents, the recent FDA warning letters do not appear on the PointCare website or in any of these marketing materials – nor is there any evidence that PointCare, clinical laboratories or advertisers made any attempt to contact patients who are misdiagnosed by the faulty equipment and protocols, poisoned by HAART medications or criminally convicted for having sex.

RELIABILITY

Dr. Marion Joppe describes “The Research Process” this way:

“The extent to which results are consistent over time and an accurate representation of the total population under study is referred to as
reliability
. In other words, if the results of a study can be reproduced under a similar methodology, then the research instrument is considered to be reliable.”

Theoretically, reliable tests should deliver the same results no matter how many times it is applied to random members of the same target groups.

Because of the failure to conduct population studies that would have helped researchers understand CD4+ variability with age, sex, race, time of day or health status; along with the lack of standardization, the reliability of the HIV test results of the absolute CD4+ T cell value by flow cytometry is, at best, wholly unreliable.

While caution must be exercised in the interpretation of unreliable results, this has not been emphasized by the CDC. White blood cell counts can vary substantially from day to day and may account for shifts of as much as 50 to 150 in normal adults, although the degree of this change may be less in individuals with lower CD4 counts. Also substantial variability exists from laboratory to laboratory; those that do not perform cell count procedures frequently – or do not have quality assurance programs – can be expected to produce inaccurate test results. Compounding this problem, an extended delay of more than 48 hours between the time of sampling and actual specimen processing will result in inaccurate values. Therefore, if a laboratory does not perform the test on a daily basis, or if, for example, blood is drawn on Friday and processed on Monday, the test results may be inaccurate. Another common source of inaccuracy is refrigeration of the blood sample.

Because caution conflicts with their ongoing social marketing campaigns, the CDC ignores the known science of CD4+T cell subsets, the Th1/Th2 dual strategy of the immune system, the function of nitric oxide in cell mediated immunity and the possibility for reversal of this immune imbalance with inexpensive nutracuticals, antioxidants and detoxification.

During the two years of its involvement in HIV-related criminal cases and its review of medical and laboratory records, OMSJ has found no evidence that US laboratory facilities exercise caution in the use of flow cytometry equipment or have met any of the CDC’s recommended standards. Instead, laboratories shroud their operations in secrecy, which is only exposed when laboratories like Quest Diagnostics pay $241 million in fines for fraud and kickbacks or $302 million for illegally marketing misbranded diagnostic equipment.

Given these findings, there is no credible evidence that HIV is responsible for the decrease in CD4+T cells in acquired immune deficiency or that a decrease in CD4+T cells is a unique finding in people who are HIV+: Nor is there any credible evidence that the current usage of flow cytometry technology is justified as a diagnostic therapeutic tool in the current HIV/AIDS paradigm. Unfortunately, it is unlikely that clinicians will abandon these voodoo technologies anytime soon.

Voir aussi ce lien fourni sur la même page : http://www.omsj.org/corruption/gotzsche16mar - Il présente un livre paru en 2013, titre en français : "Médecine mortelle et crime organisé". C'est une étude concernant l'Europe et les USA, qui a été signalée par la très officielle revue The lancet...

Modifié par Jardinier
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Bonsoir à tous,

Merci Jardinier pour ta publication qui est d'une importance majeure. Grâce à vous tous, je me fais une idée de plus en plus précise et mes soupçons n'étaient pas le fruit de mon imagination et de mon ignorance (c'est ce que me dit mon mari :x ). Selon lui, les médecins ont étudiés et savent de quoi ils parlent. Étudier oui, sans aucun doute mais où est donc passé le bon sens ? Proposer un traitement lourd assorti de deux ordonnances dont une pour des antibiotiques en prévision d'une pneumonie que j'aurai probablement attrapée si j'avais suivi le traitement et dont l'autre, des vitamines pour prévenir des malformations de mon bébé. C'est absolument insensé !

Je sais à présent que mon taux de CD4 ne signifie pas tout car je vous rappelle que le médecin m'a dit que mon système immunitaire était HS, quand j'apprends qu'ils ne forment que 2% du système immunitaire que le mode de dosage est plus que discutable (sanguin), je me sens vraiment trahie.

Au fait, je me remets du fameux rhume qui était censé m'achever.

J'ai fait une petite recherche sur les test qui ont été pratiqués sur moi et j'ai trouvé :

Test COBAS® AmpliPrep/COBAS® TaqMan® HIV-1, v2.0

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prod_cobas_HIV_v2_150px.jpg

Le test COBAS® AmpliPrep/COBAS® TaqMan® HIV v2.0 est un test par PCR in vitro en temps réel de quantification de l'ARN du HIV dans le plasma, utilisant la plate-forme automatisée COBAS® AmpliPrep/COBAS® TaqMan® 48. Le CAP/CTM HIV-1 v2.0 détecte les groupes HIV-1 M et O et est basé sur une approche double cible pour la détection du virus HIV-1 à mutation rapide. Le concept de ce test n'utilise dès lors pas de cibles médicamenteuses afin de garantir une détection et une quantification correctes.

tube EDTA (bouchon mauve) 10mL Conditions de collecte, traitement, conservation et transport

Les échantillons sont transportés à température ambiante. Dès réception, ils sont centrifugés et le sérum ou le plasma est récolté. Il peut être stocké à -20°C avant analyse.

Volume minimal à prélever chez le patient 10 mL de sang Analytique Méthode et appareil

Immunoblot sur bandelettes réalisé sur AUTO-LIA (Innogenetics)

Kit

INNO-LIA HIV 1-2 Score (INNOGENETICS)

Post-analytique Expression du Résultat

Un score de 0 à 4 est attribué aux différents antigène testé en fonction de la réactivité des anticorps testés

Délais (sauf le week-end) 1 jour (min) - 7 jours (max) Fréquence de réalisation de l'analyse 1 fois par jour Nomenclature INAMI Intérêt scientifique Intérêt médical et scientifique
L’INNO-LIA HIV 1-2 Score est un immunoblot sur bandelette permettant la confirmation de la présence d’anticorps dirigés contre le virus d’immuno-déficience humaine de type 1 (HIV-1), incluant le groupe 0, et de type 2 (HIV-2) dans le sérum et le plasma humain.
Il est utilisé comme test de confirmation. Cette méthode est basée sur la détection de plusieurs épitopes: chaque épitope correspondant à une bande qui, selon que l’échantillon contient ou non les anticorps spécifiques correspondants, sera plus ou moins intensément colorée.

Mais je n'ai rien trouvé pour Siemens HIV-1 Genotyping kit, du moins, en français.

Normalement les fabricants doivent mettre des genres de notice d'utilisation non ?

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Stéphanie, d'abord des commentaires sur le Test Cobas que tu nous présentes ci-dessus :

- On peut lire ceci : "Le concept de ce test n'utilise dès lors pas de cibles médicamenteuses afin de garantir une détection et une quantification correctes." C'est une précision qui semble apporter une garantie, mais qu'est-ce que ça veut dire ? Auta

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Stéphanie,

Désolé, je viens de passer un temps fou à te répondre, et voilà ci-dessus ce qu'il en reste suite à une fausse manoeuvre de ma part.

En résumé, le procédé de PCR Cobas détecte la charge virale entre 40 000 et 100 000 copies.

Le procédé Siemens, lui, la détecte à partir de 1000 copies.

A partir de là, il faudrait voir ce qui se pratique chez les gens qui réalisent et délivrent les tests, puis chez ceux qui les prescrivent et statuent ensuite en termes de pronostic à partir de ceux -ci : Soit il y a universellement un protocole selon lequel la charge virale sous 40 000 copies est indétectable... soit non, et à partir de là on peut se demander ce qui peut se passer d'une officine à une autre, d'un hôpital à un autre, d'un pays à un autre, etc.

Dans ton cas, du point de vue des critères de Cobas, avec 56 000 copies, tu n'en aurais en somme que 16 000 en trop, ce qui est peut-être un peu mince. Mais du point de vue de Siemens, en supposant qu'il n'y ait pas de critère-seuil à partir de 40 000 copies et que le critère de base soit 1000 copies, c'est très différent.

- On trouve ici une notice en français publiée par Roche-Canada pour le procédé Cobas dont tu nous a mis les images ci-dessus :

http://www.rochecanada.com/portal/fr/virology_testing

On peut y lire en particulier :

" Le test peut servir à évaluer le pronostic du patient en mesurant le du taux initial d'ARN du VIH-1, ou à faire un suivi des effets du traitement antirétroviral en mesurant la variation du taux d'ARN du VIH-1 dans le plasma recueilli sur EDTA au cours du traitement.

"Le test COBAS® AmpliPrep/COBAS® TaqMan® HIV-1 ne doit pas servir comme test de dépistage du VIH-1 dans le sang ou les produits sanguins, ni comme test diagnostique pour confirmer la présence d'une infection par le VIH-1."

En plus, je trouve particulièrement spécieuse la mention dans le texte que tu as cité concernant les caractéristiques du produit : "Le concept de ce test n'utilise dès lors pas de cibles médicamenteuses afin de garantir une détection et une quantification correctes." Si on y réfléchit un tout petit peu, ça n'a strictement aucun sens, c'est même, indirectement, compte tenu de la nature et du fonctionnement des tests de dépistage et autres, tout le contraire d'une garantie de fiabilité.

Je t'expliquais beaucoup plus longuement les conclusions à tirer de tout ça, mais je n'ai plus le temps de tout reprendre.

- Pour le procédé de Siemens , il y a une étude très poussée en anglais, publiée sur le site du Journal of Clinical Microbiology, qui fait état d'un taux très élevé d'échec pour ce procédé. Le procédé est utilisé dans beaucoup de pays africains comme test de résistance aux médicaments (ARV sans doute), et la conclusion de l'étude est assez affolante à tous égards :

http://jcm.asm.org/content/49/4/1635.full

Conclusion : "The ViroSeq HIV-1 genotyping system was optimized for use on subtype B strains (3) and is currently widely commercialized and used in African settings where non-B HIV-1 strains predominate. The present observations in Cameroon, a country where almost all cocirculating strains are non-B HIV-1 variants, showed the impact of non-B HIV-1 genetic divergence on the performance of this assay. Because of the high failure rate of some primers, repeated tests are more frequent, and that affects the overall assay cost and delay of result delivery. In addition, having a validated “in-house” method or alternative primers designed on the basis of the local HIV genetic diversity as backup solutions is nearly mandatory to overcome sequencing failures by the ViroSeq assay. This report stresses the need for biological assays that perform robustly on non-B HIV-1 strains, which represent up to 90% of HIV-1 variants circulating worldwide."

En français : "Le système de génotypage ViroSeq HIV-1 a été optimisé pour l'utilisation sur les sous-ensembles de souches B, et il est couremment et largement commercialisé et utilisé dans des contextes africains où les souches non-B HIV-1 prédominent. [...] Ce rapport tenait à insister sur le besoin de tests biologiques solidement performants sur des souches non-B HiV-1, qui représentent plus de 90 % des variantes du HIV-1 en circulation à travers le monde."

Voilà, Stéphanie, raisons de plus je pense pour douter et refaire des examens ailleurs, avec d'autres soignants, si comme on peut le comprendre tu en éprouves le besoin.

Courage à toi, amitiés,

Modifié par Jardinier
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Bonsoir Jardinier et mille fois merci pour tout le temps que tu consacres à m'aider. Sois-tu bénis !

En réalité, je vais encore compliquer l'affaire. J'ai fait une faute de frappe. Selon mes examens, ma charge virale est de 560000 copies et non 56000. C'est tout de même effarant de savoir qu'une telle technique soit utilisée pour fournir un diagnostic sans appel alors qu'à l'origine si j'ai bien compris, dans le cas du HIV, la technique est caduque, je ne comprends plus.

Et le médecin lui, il ne se pose jamais de questions ? Pourquoi s'en remet-il aveuglément sans investiguer d'autres pistes. Par exemple, dans mon cas, à aucun moment on a pensé que ma grossesse pouvait être à l'origine de ma baisse d'immunité, ni les épisodes de rhumes en janvier, février et mars, ni même la possibilité que je sois née avec un système immunitaire différent des standards !

Et la charge virale au fond, elle veut dire quoi dans mon cas, moi qui suis en bonne santé et je vais le répéter mais, je viens de me remettre d'un rhume et d'une toux qui étaient censés m'achever.

Ai-je le droit de croire qu'on a voulu me donner un traitement pour une maladie que je ne risquais jamais d'attraper vu mon mode de vie et qu'on aurait alors administré à moi et à mon bébé, des drogues dont en plus, pour au moins une des trois, on ne dispose pas assez de recul ou d'études pour estimer la nocivité des effets sur une grossesse. C'est absolument révoltant !

"Ne vous inquiétez pas, ces médicaments n'auront aucun effet négatif sur votre bébé, ils permettront d'endormir le virus et d'empêcher qu'il ne contamine votre enfant !" C'est ce qu'on m'a affirmé sans vergogne.

Modifié par stéphanie
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ma pauvre stephanie....tu te demandes pourquoi ?? les prejugés !! eue egard a tes origines.. a ta couleur de peau a la tete du client et va savoir encore quoi d'autre !

je sais c'est lamentable mais ton cas est loin d'etre isolé....regarde l'histoire de vie h pour la plus recente....

Stephanie peux tu nous indiquer le statut serologique de ton mari ? merci

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Stéphanie,

Désolé, je viens de passer un temps fou à te répondre, et voilà ci-dessus ce qu'il en reste suite à une fausse manoeuvre de ma part.

En résumé, le procédé de PCR Cobas détecte la charge virale entre 40 000 et 100 000 copies.

Le procédé Siemens, lui, la détecte à partir de 1000 copies.

Il y a erreur. J'ai vérifié sur le site que tu as mis en lien pour le test COBAS. En fait c'est 40 à 10 millions de copie, pas 40.000 et 100.000.

Je cite la référence :

"Quantification de l'ARN du VIH-1 pour des charges virales allant de 40 à 10 000 000 copies/mL (certification CE-IVD)"

Ça change tout.

Le Test COBAS correspond donc tout à fait à la fourchette de détection classique du VIH (de 50 à 10 millions de copies).

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