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forum sidasante

APPEL GENERAL A LA VIGILANCE


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Bonjour à tous,

bonjour aixur,

voici ce sur quoi je suis tombé, je le met ici en lien, puis je le mettrai dans un 2 eme message in extenso.

Aixur, je voudrai avoir ton sentiment personnel avec l'aide de tous les "experts" de notre comunauté afin d'attirer la vigilance de chacun...

http://www.happy-capital.com/biosantech/

Sans aucune paranoia de ma part cette equipe pretend etre une equipe de chercheurs benevoles mais certainement pas desinteressée !

elle ne demande juste que 80 millions d'euros pour financer sa start up qui si j'ai bien tout compris deviendra une big pharma de plusieurs milliards de dollars en vendant son vaccin a prix a geometrie variable en fonction des pays riches ou pauvres....mais tout ca benevolement bien sur !

Est il possible de rappeler ici le danger des vaccins ? on est en droit de se poser la question de pourquoi cette molecule n'est elle pas synthetisée sous forme de cachets ? de plus dans ce magnifique projet ON NE PARLE PAS DE GUERISON MAIS DE PAUSE THERAPEUTIQUE !

à quoi bon passer par un vaccin alors qu'il est possible de le faire sois meme en changeant son alimentation, en prenant des complements alimentaires specifiques et en faisant un sevrage de moindre medication ? sois disant au nom du confort des malades.....

DEPUIS QUAND SE SOUCIE T ON DE NOTRE CONFORT ?

SOYEZ VIGILANTS !

je peux comprendre que beaucoup d'entres vous par desespoir pourraient succomber a l'appel des sirenes....nous faire croire que les vaccins therapeutiques seraient sans effets secondaires est une abberation !

n'oubliez pas non plus le discours de montagnier sur les vaccins therapeutiques voir les vaccins tout court ! je serai plus enclin à le croire lui que ces fameux chercheurs benevoles à 80M€ !

Ne prenez pas pour argent comptant tout ce que l'on vous raconte et je ne pretend pas non plus detenir la verité !

Mais reflechissez et soyez vigilants, je vous adresse ce message à tous parce que je suis inquiet pour nous tous.

Amicalement.

Modifié par survivor83
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Bravo Survivor ! J'avais vu la page du Figaro et un message via FaceBook concernant cette start up la semaine dernière et pensais en parler en réponse à ton avant-dernière info. Mais tant de choses à faire en même temps !..

Dans un ordre d'idées plus général et historique, les anglicistes pourront jeter un coup d'oeil ici : Peter Dale Scott: Transnationalised Repression - Parafascism and the U.S - https://deeppoliticsforum.com/forums/showthread.php?9241-Peter-Dale-Scott-Transnationalised-Repression-Parafascism-and-the-U.S

Et sur ceci :

AIDS is a tragedy in two parts. The first act was created by the foreign policy decisions of the state apparatus and its historical connection to the international criminal underworld. The second act was written by the pharmaceutical industry itself. The pharmaceutical industry developed several drugs designed intentionally to suppress the immune system as well as others that had the same effect because of a similar chemical configuration. Several of these drugs were released to the mass market and were used extensively and inappropriately by an underground sector of the homosexual community who were simultaneously experimenting with psychotropics and narcotics that were illegally imported and released into the general population by the clandestine agencies of the U.S. government in league with international organized crime syndicates through foreign policy initiatives.

After years of use and abuse of these environmental toxins, some of the young men began to show up in Emergency Rooms during the late 1970s and early 1980s in New York, Los Angeles, and San Francisco. Instead of using the new environmentally created mass poisoning as a clarion call to awaken the medical community to the public health threat of environmental toxins, it was used as another marketing opportunity to identify a phantom virus and create a broader market to sell more of the same kind of toxic drugs that were so harmful.

Meanwhile, on the African continent, there was a mad race for the continuing theft of her resources. Civil strife and social disruptions were created to facilitate this process. With the fall of the minority white apartheid government of South Africa, thousands of black gold and diamond miners who had sustained lung injuries because of substandard mining conditions now had the possibility of having their day in court. The mining industry led by the DeBeers Anglo-American Corporation and other extractive industries were in a panic. Reimbursing the millions of injured black workers who had developed asbestosis and silicosis and subsequently tuberculosis from unsafe mining conditions would create an enormous unfunded expense. From a financial warrior point of view, profits, which transcend human life, had to be protected. With the fall of the Botha government, pulmonary tuberculosis suddenly became an AIDS defining disease.

AIDS was created to cover both of these health crises—the toxic poisoning of young people in the West and the industrial poisoning and social disruption in Africa. It was pure insanity, but it worked. People began to die because they were toxic from a chronic onslaught of environmental oxidative stressors. Because allopathic8 physicians are trained in recognizing and treating the infectious problems of the 19th century, the 20th century problem of systemic toxicity was misdiagnosed. What compounded the problem was an error of tragic proportions. As a result of misdiagnosis, the patients were then given more drugs with a similar chemical profile to those that were already poisoning them. The CDC in their infinite wisdom and eye for improving drug sales in service to big Pharma, then seized upon the excess deaths to publicize the lethality of a never isolated virus. It has been a high crime against humanity. A central player in this drama has been the British pharmaceutical concern Burroughs Wellcome.

http://www.nancybanksmd.com/index.php?option=com_content&view=article&id=50&Itemid=60&limitstart=2

Amitiés à tous

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Merci jardinier, afin que nul ne l'ignore je vais tenter d'integrer le texte ici car les liens finissent par disparaitre mais pas les ecrits....je pense reussir a mettre tout ou partie:

Le vaccin contre le Sida développé par des experts bénévoles En bref

BIOSANTECH a pour but de développer un vaccin thérapeutique (soigner après l’infection) efficace sur tous les variants du virus du SIDA.

À ce jour, environ 40 millions de personnes sont infectées par le VIH avec une croissance de 10% et 1 million de décès par an. Le seul traitement disponible actuellement contre sida est le traitement par antiviraux, communément appelé trithérapie. En début d’année 2013, Il existait 5 projets concurrents dans le monde. Parmi les 600 vaccins candidats, la plupart des essais cliniques n’ont pas dépassés la phase I.

BIOSANTECH, possède à ce jour le seul vaccin thérapeutique au monde à avoir été autorisé à passer en phase II sur IV nécessaire à sa commercialisation.

Le projet est soutenu par une équipe solide, dont le Professeur CHERMANN co-découvreur du virus du SIDA. Des patients infectés par le SIDA ont débuté les premiers essais en Avril 2013.

Biosantech a besoin de vous, aujourd’hui, pour financer l’avancée de ce vaccin.

L’entreprise

BIOSANTECH, créée en avril 2011 par Roger et Corinne TREGER est une entreprise innovante basée à Sophia Antipolis Valbonne en région Provence-Alpes Cote d’Azur. Inscrite près le Registre du Commerce et des Sociétés du Tribunal de Commerce de GRASSE, sous le numéro 531 662 716.

Management et organisation

Mme Corinne TREGER, a repris la Présidence depuis le décès de son mari, a eu un cursus universitaire d’études médicales et a eu l’expérience de la direction d’un service dans la société INTERCHEMICAL de référencement de matière première pharmaceutique.

Professeur Jean-Claude CHERMANN, Phd. rétrovirologue, co-découvreur du VIH.

Mr Michel Paul CORREA, chargé des communications et des relations avec le laboratoire assurant le suivi des critères d’évaluation du vaccin et avec la SATT Sud est.

Docteur Sabine BERNARDINI, PHD, ancienne interne auprès des hôpitaux, experte du suivi et du développement de la mise en place des essais cliniques, représentant BIOSANTECH auprès des Institutions comme l’AP/HM, l’ANSM et le CRO.

LE PROGRAMME DE RECHERCHE BIOSANTECH
  • La protéine « TAT »

La question à présent est de comprendre pourquoi uniquement une minorité de patient développe déjà une réponse anti-Tat efficace, permettant donc de devenir non-progresseur.

  • Premiers résultats

Une publication montre que lors d’essais : 7 macaques ont été immunisés avec « Tat Oyi » et ensuite infectés par le SHIV un an après le début de l’immunisation.

La neutralisation de la protéine « Tat extracellulaire » permettrait de restaurer l’immunité cellulaire et l’élimination des cellules infectées par le VIH-1. Pour des patients vaccinés, elle pourrait permettre de maintenir une virémie de 50 copies/ml sans l’aide d’antiviraux.

Le virus du VIH dans le monde

sida-dans-le-monde-2013.png?zoom=1.5&res

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Depuis l’apparition du SIDA, il y a environ une trentaine d’année, de très nombreux essais cliniques ont tenté de remédier à cette terrible maladie. En début d’année 2013, Il existait 5 projets concurrents dans le monde.

Avant le vaccin, à partir de la Tat Oyi de BIOSANTECH, aucun laboratoire n’avait pu être autorisé à passer en phase II, à savoir prouver l’efficacité du vaccin sur des patients infectés par le SIDA.

Plusieurs vaccins ciblant « Tat » ont été en développement clinique dont les trois principaux sont celui de SANOFI Pasteur (Tat toxoïde), de GlaxoSmithKline (Protéine de fusion Tat-Nef) et le consortium AVIP de Barbara Ensoli en Italie. Dans les trois cas, il s’agit d’un même variant Tat de 86 résidus, dont le variant HXB2 86 (ou Bru) serait inefficace en Afrique où sont 80% des personnes infectées par le VIH-1.

Les essais cliniques

  • Phase I : (réalisée avec succès)

Les essais cliniques autorisés le 25 janvier 2013 sur 48 patients séropositifs ont eu lieu le 10 Avril au Centre d’Investigation Clinique de l’Hôpital de la Conception à Marseille, selon le protocole dont le numéro d’autorisation d’essais clinique est 2012-000374-36.

Le médecin investigateur des essais cliniques a autorisé BIOSANTECH à passer directement en phase II.b pour valider l’efficacité du vaccin selon les normes d’ONU SIDA sur 80 patients.

La phase I est un succès total puisqu’à ce jour, AUCUN EFFET INDESIRABLE n’a été observé et une seule réaction immunitaire anti-Tat a été constatée. Cela leur a permis d’arrêter le traitement antirétroviral.

  • Phase II (En cours)
    • Phase II.a

Celle-ci a commencé le 2 septembre 2013 avec l’arrêt du traitement antiviral pour le premier patient pendant 2 mois. L’objectif de la phase II.a est de déterminer quelle dose sera la plus efficace sur les 48 patients vaccinés.

    • Phase II.b

80 patients divisés en 2 groupes (vaccin/placebo) ont été fait pour vérifier que sur un plus grand nombre de patients, l’absence d’effets indésirables et la production d’anticorps anti-Tat et une virémie indétectable après 2 mois d’arrêt de trithérapie.

Fin Février 2014, BIOSANTECH disposera de résultats sur l’efficacité du vaccin quant au maintien de la charge virale et du taux de CD4 pour les patients inclus dans notre essai.

  • Phase III ou « étude pivot » : Etude comparative d’efficacité
  • Phase IV : Phase Autorisation de Mise sur le Marché (AMM).

Potentiel commercial

La vaccination est la seule approche envisageable contre le SIDA au niveau mondial. Il y a une quarantaine d’années, l’OMS a démontré qu’avec seulement deux ou trois injections d’un vaccin efficace, on pouvait éradiquer une maladie virale comme la variole en une dizaine d’années.

Deux possibilités sont envisageables :

  • Reconnaissance par ONU SIDA du vaccin comme unique vaccin thérapeutique contre le SIDA avec une autorisation de commercialisation au vu de la demande des malades, comme cela a était le cas pour l’AZT.
  • Moins de 30% de stabilité de virémie par groupe de concentration des doses injectées on fera valider la « Tat Oyi » comme trithérapie sans effets secondaires et dont la prise apportera un confort de vie quotidien aux patients qui auront accès a ce traitement. Dans ce cas, on devra faire une phase III multicentrique dont le cout est d’environ 80 millions d’euros.

L’éventualité de pouvoir faire de la « Tat Oyi » un antirétroviral sans effets secondaires et apportant un confort de vie non négligeable au regard des traitements déjà existants permet de diminuer considérablement la prise de risques par les investisseurs qui rentreront dans le projet.

La fabrication

Dans un premier temps, la fabrication sera alors effective grâce au rachat d’un laboratoire, donnant ainsi à BIOSANTECH toutes les autorisations administratives nécessaires à la commercialisation d’un produit pharmaceutique. Biosantech équipera alors les locaux du matériel spécifique à la production de la synthèse de la protéine « Tat vaccinale ».

La phase I est un succès total puisqu’à ce jour, AUCUN EFFET INDESIRABLE n’a été observé et une seule réaction immunitaire anti-Tat a été constatée. Cela leur a permis d’arrêter le traitement antirétroviral.

  • Phase II (En cours)
    • Phase II.a

Celle-ci a commencé le 2 septembre 2013 avec l’arrêt du traitement antiviral pour le premier patient pendant 2 mois. L’objectif de la phase II.a est de déterminer quelle dose sera la plus efficace sur les 48 patients vaccinés.

    • Phase II.b

80 patients divisés en 2 groupes (vaccin/placebo) ont été fait pour vérifier que sur un plus grand nombre de patients, l’absence d’effets indésirables et la production d’anticorps anti-Tat et une virémie indétectable après 2 mois d’arrêt de trithérapie.

Fin Février 2014, BIOSANTECH disposera de résultats sur l’efficacité du vaccin quant au maintien de la charge virale et du taux de CD4 pour les patients inclus dans notre essai.

  • Phase III ou « étude pivot » : Etude comparative d’efficacité
  • Phase IV : Phase Autorisation de Mise sur le Marché (AMM).

Potentiel commercial

La vaccination est la seule approche envisageable contre le SIDA au niveau mondial. Il y a une quarantaine d’années, l’OMS a démontré qu’avec seulement deux ou trois injections d’un vaccin efficace, on pouvait éradiquer une maladie virale comme la variole en une dizaine d’années.

Deux possibilités sont envisageables :

  • Reconnaissance par ONU SIDA du vaccin comme unique vaccin thérapeutique contre le SIDA avec une autorisation de commercialisation au vu de la demande des malades, comme cela a était le cas pour l’AZT.
  • Moins de 30% de stabilité de virémie par groupe de concentration des doses injectées on fera valider la « Tat Oyi » comme trithérapie sans effets secondaires et dont la prise apportera un confort de vie quotidien aux patients qui auront accès a ce traitement. Dans ce cas, on devra faire une phase III multicentrique dont le cout est d’environ 80 millions d’euros.

L’éventualité de pouvoir faire de la « Tat Oyi » un antirétroviral sans effets secondaires et apportant un confort de vie non négligeable au regard des traitements déjà existants permet de diminuer considérablement la prise de risques par les investisseurs qui rentreront dans le projet.

La fabrication

Dans un premier temps, la fabrication sera alors effective grâce au rachat d’un laboratoire, donnant ainsi à BIOSANTECH toutes les autorisations administratives nécessaires à la commercialisation d’un produit pharmaceutique. Biosantech équipera alors les locaux du matériel spécifique à la production de la synthèse de la protéine « Tat vaccinale ».

Après avoir produit les doses du vaccin avec le label du laboratoire racheté pour entamer des campagnes de vaccination, BIOSANTECH travaillera également en partenariat ou sous-traitance si nécessaire en fonction de la position géographique du pays concerné, le vaccin ayant vocation d‘être distribué au niveau mondial.

En procédant de cette façon BIOSANTECH se préserve de commercialisation non maitrisée, car le processus industriel restera. Les différentes étapes de la fabrication de la molécule vaccinale seront localisées sur plusieurs sites.

La commercialisation

Après autorisation de mise sur le marché par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament, BIOSANTECH pourra commencer la phase de commercialisation.

Parallèlement à cela, les autorisations permettant la commercialisation du vaccin à travers le monde seront également demandées pour l’Europe, l’Asie, les Etats-Unis…

Le prix des licences de distribution sera fixé en fonction du prix du vaccin déterminé pour chaque pays dans lequel il sera distribué.

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Ainsi, la politique commerciale de BIOSANTECH pour son vaccin sera faite autour d’un prix de vaccin défini selon le PIB du pays. Les pays dits « riches » payeront un prix supérieur à celui des pays dits « pauvres ».

Si le vaccin à partir de la « Tat Oyi » est reconnu officiellement vaccin thérapeutique contre le Sida par Onusida, fin 2015, la Société BIOSANTECH s’attachera à préparer la commercialisation du vaccin, pour répondre à la demande internationale, toujours plus pressante.

La distribution

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L’opération

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Modifié par survivor83
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Difficile de savoir de quoi il retourne.

Bon, bien sûr, c'est une arnaque. Puisqu'il n'y a pas de virus VIH, il ne peut pas y avoir de vaccin.

Mais, après ça, tout dépend de ce que veux faire l'orthodoxie médicale. Ils peuvent introduire à tout moment un vaccin et dire qu'il est efficace (tout le temps ou seulement pendant un certain temps comme ici, sur X % de vacciné ou 100 % d'entre eux, etc...).

Comme on n'est pas dans les petits papiers de l'orthodoxie, impossible de savoir si le vaccin présenté ici est celui qui va être finalement introduit sur le marché, ou s'il va rejoindre les oubliettes avec les autres qui l'ont précédé.

Mais il est possible qu'ils décident finalement d'introduire un vaccin et d'en finir avec l'affaire "VIH". Dans ce cas, on aurait eu une première étape consistant à affoler au maximum la population en achevant des drogués déjà en très mauvaise santé avec l'AZT à haute dose. Puis, on aurait eu une deuxième étape avec les trithérapies, permettant d'engranger des bénéfice élevés sur un temps beaucoup plus long et avec une population de séropositif beaucoup plus importante qu'au début. Puis, on aurait une troisième phase avec un vaccin touchant encore beaucoup plus de monde, et moins cher, mais peut-être finalement plus profitable.

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Je repond aux inquietude de survivor.

En effet avant de t'en reparler sur ton post perso j'avais déjà les tenants "positifs" et les aboutissants probablement "negatif".

Sans parler de toute la fanfare qui est fait autour de biosantech ces dernieres semaines je me suis assuré aupres de la chef de service avec laquelle nous communiquons ( en face à face ) d'en connaitre la véracité.

Elle n'est pas forcement favorable aux thritérapie donc aux antirétroviraux et elle m'expliquait donc que le vaccin etait donc curatif au mieux et permettrais des fenetres thérapeutiques au moins bien. Elle a insisté sur le fait que biosantech marchait sur des oeufs et se sentait obligé de ne pas envoyer un message qui pourrait nuir à la politique de " prevention".

Il ne s'agirait pas d'un vaccin à prétention de traiter le " virus " du vih ( oui cette chef de service est formidable car elle a le courage de remettre en question la cause virale de syndrome ( comme elle l'appel) La bonne nouvelle dans ce vaccin c'est qu'il reussirait à préserver le systeme immunitaire

et lui indiquant les cellules infecté à detruire et donc vider les pseudos réservoirs rempli de "virus' latent...

Ce vaccin prêt depuis 2006 ( scandaleux) n'attaquerait donc pas un hypothetique virus " vih" mais permettrais au systeme immunitaire de se defendre en lui indiquant ou il faut agir.cela parait plutot enfantin dit comme ca ... En même temps le sujet est il aussi complexe qu'on le dit .... La dissidence n'emet elle pas des doutes quand à la pseudo intelligence de ce " virus " ?

Comme l'indiquait cette chef de service " cela prend la bonne direction " pour moi avoir autant preparéla sortie de ce vaccin et faire autant de bruit autour. harvard et certains ancien compagnon de luc montagnier auraient apporter leur contribution au projet et se jeterais dessus (part de gateau je suppose).

La prudence est de mise c'est CLAIR mais cette cdservice plus du coté de la dissidence semble sous entendre qu'il n'aurait pas été tester sur l'homme pour la premiere fois et qu'ils seraient deja au clair des resulstats positifs. Le problème " madame industrie pharmaceutique ne souhaite pas laisser faire et aucun des organismes sidaction compris n'a accepter d'investir. Sachant qu onusida etant donné la demande et l'attente mondial des malades à decider qu'ils acceleraient le processus d'autorisation de mise sur le marché. Alors oui c'est vrai j'ai pensé à l'azt immédiatement cela me rappelait cette histoire ... Mais le chercheur en charge de l'equipe de biosantech a deja eu pas mal d'ennui avec ces confreres et serait plutot d'apres ce que j'ai compris du coté de la théorie de montagnier d'ou le fait de vouloir par son vaccin traiter la facon dont le systeme immunitaire se fatigue donc la conséquence plutot que la cause pretendant que celle ci ne peut etre que salvatrice travaux validés par harvard en l'occurence.

La course aux vaccin selon elle à commencé et cela fait depuis bien avancer la parution des derniers article dans les journaux qu'elle en parle d'apres elle biosantech ( une pme ) aurait pris de cours tt le monde et deviner quoi ? notre cher robbert Gallo accourut en italie ou un vaccin dirigé contre la protéines P17 est passé egalement en phase II.

Voila ce qu'elle a dit et comment elle me l'a dit " OH BEN Oh lala les seropo en ont marre des tritherapies devastatrice ? Certains medecins et responsable sont dos au mur et craignent des procés pour foutre en l'air la santé de leur patient en pleine forme. Soyons clair je suis a 100% en accord avec le fait de traiter un seropositif en stade sida ou suivi regulierement et qui aurait contracté une "maladie opportuniste" Mais lorsque j'entend qu'on doivent traiter tout le monde primo infection compris basé sur une etude dites visconti, etudes datant de plus de 10ans dont on a aucune information précise et dont les dernieres tentative ont demontré qu'il n'en etait rien. Traiter un jeune homme de 20ans a coup de chimiotherapie alors qu'il est en pleine forme je ne ferais cela ni à mon fils ni à mon pire enemi. C'es tout simplement scandaleux. Voila pourquoi madame je preconise un suivi je suis ouverte à tout ce qui pourrait vous tracasser mais je ne vous donnerais pas de chimio pour moi la folie destructrice du vih ne tiens plus debout et arrive à terme ce vaccin j'y crois et si vous devez etre traiter vous le ferez selon les conditions d'inoculation du vaccin celui devant sans aucun doute etre inoculer pour de meilleur chance de reussite apres un traitement antiviral de quelques mois."

Voila rien je ne rajoute rien de plus à ce qu'elle nous à dit.

Tout ce que je sais c'est qu'il pourrait permettre une fenetre thérapeutique au moins bien des cas mais que celui ci aurait déja fait ses preuves.

J'espere de tout coeur que cela reussisse pour cette jeune femme et pour vous tous mais vu les difficultés auquelles cette PME et ces chercheurs ont été confronté depuis des années et l'interet soudain mediatique et journalistique la phase I et 2a donnant apperement de bons resultats tout le monde veut sa part du gateau... Ils se tourneraient un reportage depuis le debut de la phase I au coté des patients. Bref voila pourquoi la chef de service pense qu'il s'agirait au mieux de la fin de cette epidemie au moins bien d'un nouveua traitement au effet secondaire nuls permettant aux seropositif de retrouver une vie normale.

Alors par prudence c'est evident vous n'entendrez pas d'annonce du genre " le vaccin est curatif ou thérapeutique" le chercheur erwan loret ( ranger du coté de montagnier ) le disait lui meme lors d'une intervieuw accorder lors de la phase I de son vaccin. Lorsque la phase 2B sera terminé et que je l'espere les resultats seront les meilleurs je denoncerais les "grandes associations" qui ont refusés de nous aider.

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Bonjour aixur,

je continue de penser que tout ca pue tres fort......mais bon....aujourd'hui mis en alerte apres libre a chacun de rester vigilant.

VIE H, aussi sympa que sois ta chef de service, ils sont tous manipulés par les labos qui leur font croire ce qu'ils veulent....

heureusement de temps en temps certains tout medecins qu'ils sont ont un cerveau et des fois finissent par reflechir voir se rebeller.....mais il aura fallut faire quoi pour leur faire prendre conscience de leurs erreurs ?

ce vaccin servirait juste a une pause therapeutique ???? a quoi bon...les malades n'attendent pas d'avoir une nouvelle epee de damocles au dessus de leur tete, ils attendent d'etre LIBRES ! ce labo comme les autres n'est ni plus ni moins qu'un autre esclavagiste qui veut garder sous sa coupe ses portefeuilles sur pattes dissimulé derriere des noms prestigieux comme chermann et bla bla bla sauf que lui a du beneficier de tres gros appuis politiques pour en etre arrivé la !

mais il y a du bon dans tout ca ! LA COURSE AU FRIC ET PEUT ETRE LA FIN DE NOTRE CALVAIRE !

voulant tous revendiquer d'avoir trouvé le traitement miracle, la gloire oblige, a present ils vont etre obliges de se bouger le cul pour nous tirer de la.....prions pour ca ! amen !

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Ben en fait meme si je comprends ton septicisme survivor et crois moi je te dis ca respectueusement vu le courage dont tu fais preuve depuis des annees, il ne s agit pas d un labo mais d une pme et les financements privés au depart ont mis 8ans à debouler ! Encore une fois le protocole est en cours ils ne peuvent pas / n ont pas le droit de crier victoire au depend de la prevention. AU DEPEND DES 150 000 SEROPOSITIFS aussi je l admets... tout ce que montagnier craint c est que la gloire qui fut la sienne un jour ne lui soit retirer d entre ses mains. Soyons optimiste.

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Si les prédictions des dissidents sont corrects, il y a fort à parier que ce nouveau vaccin finissent dans la poubelle déjà bien remplie des "percées" et "avancées" de l'histoire du sida, et celle déjà également bien fournie des vaccins qui ne marchent pas (le communiqué rappelle bien qu'il y en a déjà eu 600 !).

Il faut recadrer un peu le projet.

Regardons les protagonistes : à gauche, pour le "PME", Corinne Tréger, parfois connue aussi comme Corinne Tréger-Muselier, issu d'une importante famille marseillaise au même titre que son frère Renaud Muselier (médecin, responsable UMP et candidat malheureux à JC Gaudin à la Mairie de Marseille)... ça pour l'aspect "Petit Poucet" contre "gros labo".

A droite, Jean-Claude Chermann, rétrovirologue (soupir) à l'Institut Pasteur, co-découvreur (pour nos malheurs) du "VIH" avec Montagnier et Barré-Sinoussi (il était le chef de service de cette dernière), néanmoins malheureux exclu du Nobel, éphémère député suppléant de Bernard Tapie, et qui s'est distingué il y a quelques années par la tolérance qui est étudiée. En gros ils ont conclu avec succès que leur projet de vaccin était bien toléré et n'était pas toxique. Comme ils le disent, "aucun effet indésirable n'a été constaté" selon leurs critères. Tant mieux, mais est-ce le "vaccin" est efficace ? A ce stade, on ne le sait pas car ce n'est déterminé qu'au niveau de la phase III ! Est-ce que ces résultats sont publiés ? Non bien sûr, on peut regarder pour en être sûr le site des autorités de santé américaines qui recense tous les essais, il n'y a aucun résultat publié à ce jour de ces essais de phase I. Joie de la propriété privée des bailleurs de fonds qui financent les essais cliniques.

La seule chose qui peut-être notée, c'est que selon eux, "une seule réaction immunitaire anti-TAT" a été observée sur les 48 patients de la phase I de l'essai. Or même en admettant comme eux que le "VIH" existe comme rétrovirus infectieux, et que la protéine TAT est une protéine du "VIH", c'est bien ce résultat qui est attendu selon eux comme preuve de réussite du "vaccin" : développer une immunité "anti-TAT" qui permettrait de stopper la réplication du rétrovirus. Mais avec "une seule réaction immunitaire anti-TAT" sur 48, ça ne laisse pas augurer d'une formidable efficacité... Il n'y a donc pas aujourd'hui de quoi faire des gros titres et de se rouler par terre !

Et pour cause ! Comme on en avait déjà parlé sur ce fil, le plus probable est que cette protéine TAT ne soit qu'un artefact de laboratoire, et dont la composition varie tellement qu'on se demande comment elle conserve ses propriétés biologiques infectieuses... mais bon le pire dans tout ça est qu'il est possible qu'il trouve quelque chose d'efficace par erreur, sans le savoir, mais je n'y mettrai pas ma main à couper !

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  • 2 weeks later...

Loin de moi l'idée d'une quelconque propagande politique, mais en ouvrant mon enveloppe des bulletins de vote pour dimanche aux europeennes je suis tombé sur ceci....sur le site de l'upr un parti que je ne connaissais pas....puis sur cette video et de tout le bien que pense le president d'honneur du fn de gens atteint de notre mal.

ca fait froid dans le dos ! au secoouurrrsss !

si vous comptez voter....soyez vigilants !

http://www.dailymotion.com/video/x1bmbjh_le-role-secret-du-front-national_news

Modifié par survivor83
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  • 1 year later...

Et ça y est on reparle du fameux candidat vaccin de Biosantech à base de la fameuse et chimérique "TAT Oyi"... Une indiscrétion (une fuite savamment organisée) dans la Provence (l'essai se déroule à Marseille) et ça y est une poignée de médias reparle d'espoirs de "guérison", rien que ça !!

Comment en sont-ils si sûr ? L'article de la Provence est un modèle du genre, avec un chercheur, Erwann Loret, qui, "contre vents et marées", "s'astreint au silence" (encore heureux d'un essai clinique contrôlé!!!).... avec au milieu cette perle : "Les résultats des essais cliniques du vaccin expérimenté depuis 2013 à Marseille vont très prochainement être publiés. D'après nos informations, ils sont très prometteurs." Waouh... C'est à dire ? Le virus serait indétectable chez 9 patients, trois... mois après la fin du traitement. Pas vraiment de quoi pavoiser pour qui est familier des multiples "percées" et "avancées" dans le domaine du VIH/sida.

Donc si ces résultats seront "très prochainement publiés", c'est que rien n'a encore été publié. Rien ? Et non, car suivant le modèle du bon docteur Gallo, Biosantech a fait une conférence de presse le 16 mars dernier... avant la publication des résultats, qui seraient prévus "très prochainement" dans la revue Retrovirology. Petit problème nous explique l'Usine Nouvelle (qui avait déjà massacré Biosantech il y a quelques mois) : l'éditeur de l'article pour la revue Retrovirology, Mark Wainberg, serait furieux et aurait demandé à Loret des explications "sur le tapage médiatique autour des résultats communiqués par la société et qui ne correspondent pas à ce qu'il a lu dans le manuscrit". En clair, des résultats communiqués qui sont donc "bidon".

Le directeur de l'Agence Nationale de Recherche contre le Sida (ANRS), Jean-François Delfraissy, est ainsi obligé de monter au créneau pour dénoncer les annonces prématurées de son collègue, tellement c'est gros, alors qu'il était parfois moins prudent sur des "percées" parfois aussi très discutables (il avait par exemple encensé le gel vaginal microbicide qui a fait les grandes heures de la conférence mondiale de Vienne en 2010 avant de sombrer dans l'oubli pour cause d'inefficacité).

Quant au directeur de la revue Retrovirology, Monsef Benkirane, toujours dans l'Usine Nouvelle, il n'y va pas non plus avec le dos de la cuillère : "Dans le milieu scientifique, tout le monde sait que ce qu'annoncent Biosantech et Erwann Loret n'est pas vrai", argue Monsef Benkirane. A tel point que c'est devenu une plaisanterie... "Je suis actuellement au Canada, dès la sortie des résultats d'Erwann Loret, mes confrères ont ironisé en me demandant : 'alors ça y est, il paraît que vous avez trouvé le vaccin en France'. Or ils sont très loin d'avoir trouvé quoi que ce soit. Tout cela décrédibilise terriblement les gens qui essayent vraiment de trouver comment guérir le Sida au niveau mondial.(...) Selon moi, il y a deux explications : une tentative pour lever des fonds et la personnalité même d'Erwann Loret qui est à l'affût de la moindre occasion pour avoir un peu de reconnaissance"

Je dois dire que je ne suis pas mécontent quand l'orthodoxie arrive aux mêmes conclusions que moi concernant Biosantech (voir le haut du fil - on pouvait se douter depuis longtemps que ce n'était pas très sérieux). Mais là, c'est un peu comme si elle se tirait une balle dans le pied. Dénoncer les fausses "avancées", les communications bidon pour "lever des fonds", les personnalités en folle quête de "reconnaissance"... N'est-ce pas exactement ce qui empoisonne la recherche sur le VIH/sida depuis l'origine et a conduit à tous les fantasmes, tous les excès depuis maintenant 3 décennies, en particulier quand on pense à Gallo qui en constitue le modèle - le fondement - incontesté ?

Mais bon, il est bien plus facile de se payer "la personnalité" de Loret plutôt que celle de Gallo ou encore de tout le système corrompu qui s'est construit dessus....

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  • 2 weeks later...

Bonjour Jibrail,

Attention à vos informations...

Les résultats de la phase 2A des essais de biosantech sont disponibles sur le site de la revue RETROVIROLOGY depuis début avril...donc pas si bidons que ça...

Je ne pense pas que Monsef Benkarine soit le directeur de RETROVIROLOGY sinon la publication n 'existerait pas...n'est-il pas plutôt un employé de l'ANRS tout comme DELFRAISSY

Attendons l'avis d'experts qui ne sont pas dans la course au vaccin et qui ne se tirent pas dans les pattes...

La licence Biosantech a été achetée au CNRS...il n'est pas impossible que les pontes de la recherche française ne voient pas d'un bon oeil les travaux d'une petite structure qui a développé ses tests à un coût sans semble-til sans mesure avec les sommes d'autres essais qui n ont eux abouti à rien du tout...

Je ne suis pas qualifié pour juger les résultats publiés...mais il n'y a pas encore semble-t-il plusieurs lectures de ces résultats

A suivre

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Voici le communiqué en question

Communiqué de presse Service Communication & Culture AP-HM

Essai clinique vaccin thérapeutique contre le VIH :

les résultats publiés dans la revue scientifique américaine Retrovirology

L’étude menée au Centre d'investigation Clinique à l’hôpital de la Conception (AP-HM) avait pour principaux objectifs d’évaluer la tolérance et la capacité d'un candidat vaccin (Tat Oyi) à contrôler la charge virale de patients séropositifs pour le VIH, à l'arrêt du traitement par trithérapie. Sa licence exclusive de développement a été concédée par le CNRS à la société Biosantech basée à Sophia Antipolis (France).

L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) a autorisé en janvier 2013 la société BIOSANTECH à promouvoir un essai clinique de phase I/II qui s’est déroulé au Centre d’Investigation Clinique (CHU Conception à Marseille) dont le Dr Isabelle Ravaux (AP-HM) est l'investigateur principal de l’étude.

Après le recueil de leur consentement éclairé, 46 volontaires infectés par le VIH-1 depuis plus d’une dizaine d’années et sous trithérapie ont suivi un protocole de 12 mois (M). Le premier patient a été inclus dans l’étude en mars 2013 et le dernier patient est sorti de l’étude en décembre 2014. Le protocole consistait à faire trois injections à un mois d’intervalle de M0 à M2, et ensuite d’arrêter la trithérapie de M5 à M7 avec un suivi clinique et biologique jusqu'à M12 afin d’évaluer une dose optimale du vaccin.

Les volontaires ont été divisés de manière aléatoire en quatre groupes de 12 personnes. Un premier groupe a eu trois injections ne contenant pas Tat Oyi (groupe Placebo), un deuxième groupe a eu trois injections contenant 11 μg de Tat Oyi, un troisième groupe a eu trois injections contenant 33 μg de Tat Oyi et le quatrième groupe a eu trois injections contenant 99 μg de Tat Oyi, et cela en double aveugle : ni le médecin, ni le patient ne connaissait la dose injectée, seul le pharmacien de l'étude clinique le savait.

Il y a eu deux sorties d'étude prématurées : l'une pour une charge virale VIH positive avant la vaccination, l'autre pour une tuberculose pulmonaire diagnostiquée au début du protocole empêchant sa poursuite, ce qui permet d'analyser 46 patients ayant réalisé l'étude complète sur 12 mois.

Sécurité

Les résultats sur la sécurité du produit sont bons, puisqu'ils montrent que sur les cinq hospitalisations observées chez les 46 volontaires entre mars 2013 et décembre 2014 (21 mois), il serait possible d’attribuer cet événement à la vaccination dans un seul cas. Il s’agit d’une récidive d'algie faciale transitoire de six heures, observée 11 mois après la vaccination.

Recherche de dose optimale

Sur une durée d'observation de 12 mois, Le candidat-vaccin Tat Oyi en association avec la trithérapie montre sur un petit groupe de patients qu'il est un candidat potentiel pour des essais thérapeutiques de plus grande ampleur dont l'objectif serait de déterminer son efficacité. La dose de 33 μg de Tat Oyi q a donné la meilleure efficacité dans le contrôle du rebond virémique à M6 après arrêt de la trithérapie à M5. La dose de 33 μg a également empêché l’augmentation des cellules infectées évaluée par l'ADN VIH dans les cellules sanguines, après arrêt de la trithérapie. Il a été possible d’établir une corrélation entre la présence des anticorps anti Tat et le contrôle du rebond virémique.

La conclusion de cette étude dont Biosantech est promoteur met en valeur pour la première fois in vivo le rôle que jouerait de la protéine Tat extracellulaire dans la protection et l’activation des cellules infectées par le VIH-1. Le vaccin Tat Oyi en association avec la trithérapie pourrait être une approche thérapeutique efficace contre les cellules infectées par le VIH-1 nécessitant des essais thérapeutiques de plus grande ampleur.

L’intégralité de cette étude est disponible en ligne sur le site de la revue scientifique américaine Retrovirology.

https://retrovirology.biomedcentral.com/

A vous de vous faire votre opinion

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Bonjour Alexandre,

Comme indiqué plus haut, la plupart des sources et commentaires des acteurs concernés proviennent des articles cités de La Provence et surtout de l'Usine Nouvelle. S'il y a des rectifications à faire, il sera plus efficace de le faire directement auprès de cette dernière revue.

Par ailleurs Monsef Benkirane figure bien parmi les éditeurs associés de la revue Retrovirology comme en témoigne ce lien.

Et un des auteurs du papier, le Dr Isabelle Ravaux, semble s'être brouillé avec Loret d'après le Quotidien du Médecin. Sans doute un hasard de plus, le hasard étant un concept particulièrement prisé, il faut bien dire, dans le monde du VIH/sida...

Pour finir sur le fond : en reprenant le fil un peu plus haut, on retrouvera une brève description des différentes phases d'études d'un nouveau traitement. Comme le précise le communiqué de presse que tu cites dans le dernier message, il s'agit d'un essai de phase I/II. Bref et tant qu'on est pas dans un essai de phase III, on n'a que des résultats préliminaires sur une possible efficacité du traitement, qui n'a rien à voir avec un essai sur plusieurs centaines et non plusieurs dizaines de patients, et si possible contre placebo. Pour l'instant on en est encore loin, aussi les propos de M. Loret concernant un gain de "70 ans de trithérapie" relève de l'anticipation.

Mais ce que j'ai décris ne concerne pas seulement ou pas spécialement Biosantech : c'est le produit pervers de la "course au vaccin", pour reprendre tes mots, qui oblige à mobiliser de gros capitaux pour mener les essais cliniques de phase III, qui seuls détermineront une possible mise sur le marché, ce qui pousse à multiplier les effets d'annonce pour convaincre d'éventuels investisseurs de tenter le jackpot (ou de boire le bouillon, selon le cas). Mais ça, c'est propre au modèle de la recherche pharmaceutique privée, faut pas se tromper d'ennemi.

Et quand on trouve comme une majorité d'entre nous ici qu'on peut se poser des questions sur la réalité du VIH et de la protéine TAT (relire le fil et les liens cités), tout ça prend une dimension malgré tout assez comique.

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Bonjour,

Vous avez donc raison pour Benkirane et cela met en lumière un paradoxe !

En effet, Le professeur Wainberg se déplace en octobre 2015 pour soutenir la conférence de presse Biosantech et publie dans sa revue RETROVIROLOGY les résultats des essais et un autre acteur de RETROVIROLOGY, Le professeur Benkarine "déglingue" Erwan Loret à l'origine des travaux...

"on pouvait se douter depuis longtemps que ce n'était pas très sérieux"...là je trouve que c'est un peu rapide comme conclusion...

Pour l'instant il y a eu beaucoup de débats sur la com de BIOSANTECH et pas encore sur le fond des résultats qui ne sont certes publics que depuis le 01 avril 2016

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  • 3 weeks later...

Il y a surtout beaucoup de bruit pour rien et ça fait des années que ca dure.... Du bruit pour une énième tentative désespérée de levée de fonds ?

Loin s'en faut.... D'après les dernières nouvelles que j'ai pu en avoir PIPOLAND....

Ben l'avenir nous le dira!

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