rebayima Posté(e) le 18 août 2013 Partager Posté(e) le 18 août 2013 il se passe des choses que la presse ignore, exprès ? http://www.thecitizen.co.tz/News/-/1840392/1923208/-/efrensz/-/index.html Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rebayima Posté(e) le 18 août 2013 Auteur Partager Posté(e) le 18 août 2013 et aussi, http://chpir.org/wp-content/uploads/2012/11/LoliondoPosterIAS2012_07-13b_KS.pdf Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jibrail Posté(e) le 20 août 2013 Partager Posté(e) le 20 août 2013 Imaginer que la majeure partie de la presse comprenne quelque chose au marigot du sida en Afrique... Je pense que tout simplement ça la dépasse. Pour ma part, je ne suis pas étonné qu'il y ait un abandon notable des trithérapies par les patients africains, tels que décrit dans l'article en Tanzanie, et pour plusieurs "bonnes" raisons. La première, qu'on a abondamment commenté ici, c'est que comme le sida "africain" est très vraisemblablement bien différent du sida "occidental" (mode de transmission, proportion élevée de femmes, type de maladies opportunistes, importance de la tuberculose, etc..), il est probable que les ARV élaborés et dont l'efficacité a d'abord été testé sur des patients homosexuels masculins d'origine européenne, il n'est pas étonnant que cela fonctionne différemment et pas forcément aussi "bien" (avec plein de guillemets) que chez des femmes africaines vivant dans un contexte radicalement différent. Beaucoup de repenseurs, mais aussi une partie des orthodoxes l'ont bien décrit. Et ce d'autant plus que comme en témoigne par exemple l'étude ci-dessous, dans l'exemple de la Tanzanie, les séropositifs, après avoir "bénéficié" durant des années de monothérapies à l'AZT proscrites depuis des lustres dans les pays du nord, ont eu la "chance" de recevoir à partir de 2007 des multithérapies contenant très souvent cette cochonnerie de Stavudine, dont on connaissait déjà depuis longtemps les effets particulièrement indésirables, ou encore d'autres à base de Nevirapine, et au mieux d'Efavirenz... http://www.jiasociety.org/index.php/jias/article/view/18397 Bref dans ce contexte, que de nombreux séropositifs de Tanzanie soient allés chercher d'autres solutions ne devrait pas étonner les "experts" du VIH. C'est même un réflexe rationnel au vu de la qualité des remèdes (AZT, Stavudine...) qu'on leur a massivement proposé. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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