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The Perth Group/Rethinking AIDS Group


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J'espère ne pas me tromper mais :

Le Perth Group ne croit pas en l'existence du vih. Par contre, depuis quelques années, il pense que les tests vih indiquent une forte possibilité d'évolution vers la maladie dite sida, et que les trithérapies peuvent éventuellement aider.

Le Rethinking AIDS Group croit à l'existence du vih, mais pense qu'il n'est pas pathogène. Je ne crois pas qu'ils croient que les tests vih indiquent le risque d'évoluer vers le sida. Et si je me souviens bien, ils restent assez critiques sur les trithérapies.

Donc, on peut dire que le Rethinking AIDS Group n'a pas tellement changé dans se façon de voir les choses. Par contre, le Perth Group, lui a évolué. Personnellement, je dirais en mal, puisque je trouve qu'ils ont complètement affadi leur position. Finalement, ils défendent plus ou moins la même chose que l'orthodoxie, mais sans le vih.

Personnellement, ma position, c'est : il n'y a pas de vih, logiquement il n'y a donc pas de sida, les tests n'indiquent rien d'autre qu'une concentration plus importante que la normale de particules dans le sang. Et les maladies trouvées par les médecins sont soient inventés, soit complètements exagérées à partir de symptômes relativement bénins. Et si un séropositif ne prend pas de substances esquintant l'organisme (drogues ou médicaments allopathique ou non), il peut vivre jusqu'à 90 ans sans problème.

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ce que j'ai compris, c'est qu'une substance qui rentre dans notre corps crée une réponse immunitaire avec création d'anticorps détectés par le test.

ces anticorps ne seraient pas spécifiques au VIH (cf liste de christine Johnson).

Donc ma 1ere impression est identique à la tienne.

Ce n'est pas clair pour moi les positions de chacun. Je vais reprendre ma copie.

Merci Aixur

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Rethinking Aids: pas de position tranchée mais plutôt un groupe de réflexion

On these and other matters, RA members hold a great range of views. RA takes no official position on such questions, seeking only to encourage critical appraisal and research aimed at bringing better understanding.

Some members believe that no such entity as “HIV” exists; others believe that it may exist but has never been proven to; others accept that HIV exists but that it is not harmful. Some who accept that HIV exists mean that there are exogenous virions capable of infecting cells; others believe that it exists only in the same sense as human endogenous retroviruses do, namely, potentially in the form of “pro-viruses” in what used to be called “junk” (non-gene) DNA.

Some members consider a positive “HIV” test to be completely meaningless. Others believe that under some circumstances it may indicate that there exists a health challenge whose diagnosis should be specifically sought.

Traduction sommaire:

En ceux-ci et ceux-là matières, RA des membres tiennent une grande(super) gamme de vues. RA ne prend aucune position officielle sur de telles questions, cherchant seulement pour encourager l'évaluation critique et la recherche a visé à apporter mieux la compréhension.

Quelques membres croient qu'aucune telle entité que "le VIH" n'existe; d'autres croient qu'il peut exister, mais n'a jamais été prouvé à ; d'autres acceptent ce VIH existe, mais que ce n'est pas nuisible(nocif). Certains qui acceptent ce VIH existent moyens que sont là exogènes virions capables d'infecter des cellules; d'autres croient qu'il existe seulement dans le même sens que retroviruses endogène humain fait, à savoir, potentiellement en forme "de pro-virus" dans ce qui a eu l'habitude d'être appelé "le rebut" (le non-gène) l'ADN.

Quelques membres envisagent un essai "de VIH" positif d'être complètement vides de sens. D'autres croient que dans quelques circonstances il peut indiquer qu'existe là un défi de santé dont le diagnostic devrait être spécifiquement cherché.

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Bonjour Cerise,

Concernant Rethinking Aids, il faut souligner que ce groupe, même s'il se définit comme "groupe de réflexion" pluraliste, est depuis longtemps sous l'influence de Peter Duesberg et de sa théorie sur le virus "passager" et inoffensif que serait selon lui le VIH; et que les membres qui remettaient clairement en cause cette théorie ont été invités à quitter le groupe, ou sont partis, et même parfois combattus et remis en cause, par Rethinking Aids et son actuel directeur, David Crowe.

S'il fallait résumer en deux mots, Duesberg pense que le VIH existe, qu'il a été isolé, mais qu'il est inoffensif. C'est sa théorie du "virus passager". Pour le Perth Group, il n'a jamais été prouvé l'existence du VIH.

A partir de là, cependant, tout diverge :

- La signification des tests de séropositivté : insignifiante chez Duesberg, signifiante, au moins dans les groupes dits "à risques", chez le PG.

- Les causes potentielles de la séropositivité et celles des maladies dites "opportunistes" définissant le sida.

- Les mesures de prévention à mettre en oeuvre.

- Les thérapies envisageables.

- Etc...

Je te renvoie sur ce message où je résumais les théories et je mettais en lien deux papiers anciens mais séminaux (et en français) pour se familiariser avec les théories du Perth Group.

Sur le même fil, qui traite de cette question Perth Group / Duesberg, mais reste un peu difficile à suivre, je souligne et reproduit ci-dessous la synthèse lumineuse de Cheminot sur la signification des tests de séropositivité.

[pour une meilleure compréhension : la p24 est une protéine supposément constitutive du supposé "VIH", et dont la recherche peut contribuer à rendre positif le résultat du test dit "VIH"].

Je crois que la source de tout ce flou réside dans la mise au point des tests dits de séropositivité. Ils ont été créés dans la hâte, par Gallo, qui voulait absolument laisser son nom dans l'histoire. Ce gars-là est à la source de tous les ennuis. Au lieu de rechercher toutes les corrélations existant entre cette baisse des T4 et les pratiques ou les fréquentations des uns et des autres (je parle ici essentiellement de l'utilisation de substances dangereuses), il s'est focalisé sur une cause virale, ce qui reste d'ailleurs le dada des "maîtres du monde".

Tout le reste s'est enchaîné, grâce aux médias toujours à la recherche de sensation, et grâce à la peur qui prend aux tripes dès qu'on parle de maladie incurable. Actuellement, les choses changent, mais la pression sur les gens demeure très forte.

Y a-t-il conspiration? Je crois plutôt qu'il y a un manque de professionnalisme chez pas mal de monde dans le domaine de la santé, le plus professionnel de tous me semblant être Luc Montagnier, le seul qui sache remettre en question ses convictions à la lecture des faits.

[...]

Il faudrait renommer le sida, pour effacer ce sigle, mais la déficience immunitaire existe bel et bien, et est corrélée avec l'augmentation de la P24, n'en déplaise à Peter Duesberg. Il faut tout de même, là encore, se rendre à l'évidence.

Oui, les positions de PG, de Jibrail et la mienne sont proches de celle de l'orthodoxie, mais sans le VIH. Mais attention, cela signifie que la maladie n'atteint pas tout le monde au moindre contact sexuel (ce que 30 ans d'expérience nous montrent bel et bien). Cela veut dire aussi que tout le monde porte les prémisses de cette immunodéficience, bien contrôlée par les réducteurs cellulaires, et que les tests doivent être considérés comme ceux du cholestérol, à savoir une zone de normalité des taux, et une zone où la personne se trouve en danger, avec tout ce que ces tests ont de personnel, à savoir que la limite de dangerosité est différente selon les personnes, comme c'est le cas pour les tests du cholestérol.

Cela veut dire aussi qu'il faut chercher dans plusieurs directions pour comprendre cette séropositivité, et que les procès intentés actuellement aux séropositifs sont iniques (essentiellement à cause de la bêtise). Ensuite, que le taux de P24 peut régresser...

Enfin, les médocs ont une efficacité. La personne dont je parlais plus haut a demandé à son médecin les médocs qui me semblaient les meilleurs réducteurs, et ça a marché! Pourquoi d'autres réducteurs ne marchent-ils pas aussi bien? Eh bien parce que seuls les analogues des nucléosides, grâce à leur cycle purique ou pyrimidique, sont capables (avec les inhibiteurs de protéases), de rentrer dans la cellule. D'autres réducteurs sont moins facilement assimilables par cette cellule, et donc moins efficaces, même si leur capacité réductrice est la même.

Modifié par Jibrail
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