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forum sidasante

Que pensez vous des travaux du Docteur Hamer ??


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bonjour a tous , j'ai regardé pas mal de reportages sur ce fameux docteur Hamer , et je trouve que l'approche qu'il a des maladies , sont pour ma part , très très sérieuse ...

ses travaux sont dénigré au possible , alors que je pense qu'il a trouvé la solution en terme d'approche et de guérison de la maladie ... et pas que du cancer ....

le plus déconcertant c'est que personne ne prend la peine d'évaluer et de tester ces études pourquoi donc ?

une Université en europe de l'est je ne me souvient plus laquelle , a présenté des cas de malade a mr Hamer

7 il me semble choisie au hasard et 100% des cas correspondait avec les travaux du Docteur Hamer

Cette même Université a confirmé la véracité des ses travaux pour 100% des cas présenté la Video est sur youtube ...

je suis choqué devant un tel silence , venant de la part du milieu médical

mais je suis choqué aussi que NOUS le peuple , ne bougeons pas un petit doigt ...

devant une telle situation , nous devrions tous être dans la rue a se bouger le cul ...

excusez moi du terme , mais c'est la vérité ...

Comme pour cette Escroquerie de VIH , c'est au peuple de faire quelque chose

si on attend toute les personnes du milieu médical ou autre pour faire bouger les choses

on en a encore pour un bout de temps ... !

plus de 30 ans pour le VIH , et des millions de morts ...

Nous sommes bien partis pour refaire une peine de 30 ans ...

( Merci justement a vous tous , curieux , concerné par la maladie , personnel du milieu médical , chercheur bref , tous ceux qui recherche constamment la vérité ... car il y'en a et il en faut )

Le combat ne fait que commencer !

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j'ai oublié de vous parlé , du Docteur Hamer et ses positions sur le VIH , je préfère que vous alliez lire ses dires plutôt que je vous retranscrive peut être avec erreur certaines infos ...

il parle d'allergie au SMEGMA ...

http://www.germanique-nouvelle-medecine.com/index.php?option=com_content&task=view&id=99&Itemid=74

et ici

http://infoalternative.over-blog.fr/article-le-sida-vu-par-le-docteur-g-hamer-suite-et-fin-60288367.html

qu'en pensez vous ????

bonne lecture

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Bonjour Dorade,

Pour ma part, je n'ai pas une opinion définitivement arrêtée sur les travaux et les conceptions médico-scientifiques du Docteur Hamer. Et je n'ai pas le temps de lire plus qu'en diagonale les textes auxquels tes 2 liens donnent accès.

Pour ce qui est du cancer, il semble que Hamer ait connu quelques échecs patents, tels que développement spectaculaire en taille de tumeurs, faute de soins classiques, ce qui invalidait au moins en partie ses thèses sur la question. En d'autres termes, il se peut ou non que des tumeurs cancéreuses puissent régresser et se résorber "naturellement" ; il se peut ou non aussi que certaines affections et certains symptômes soient diagnostiqués à tort comme des cancers... Je sais que certains des cas d'échec de son approche thérapeutique ont donné lieu à des poursuites judiciaires à l'encontre de Hamer, plus ou moins pour exercice illégal de la médecine je crois. A un moment (vers 2008-2009, ou 2010), il était poursuivi en Espagne, si je me souviens bien, et il s'était réfugié en Norvège, d'où il diffusait via le net des élucubrations assez paranoïaques à consonnances passablement antisémites.

Mon idée est donc que si tant est qu'il y ait une part probable de validité dans certains de ses prémices et développements, pratiques et scriptuaires, c'est un personnage qui pour le moins a de plus en plus dérapé au fil du temps.

Sur le sida, apparemment, il reprend dans l'optique qui lui est propre l'essentiel de ce qui est connu par ailleurs grâce à la dissidence. Sur la page de ton deuxième lien, a priori on a l'impression qu'il établit une relation intéressante entre l'approche dominante/institutionnelle, la réalité clinique et la dimension psycho-somatique//psycho-sociale du "sida". Mais je dirais : "Attention quand même..." Il écrit par exemple :

Quand le mythe s'efface pour faire place à la simple observation de chaque cas de sida, il n'y a plus de grandes interrogations sur cette nouvelle maladie; une maladie si étrange qu'elle échappe toujours davantage à l"'intelligence" de la science. On peut ainsi comprendre qu'un séropositif continue à se porter très bien (et peut importe qu'il le reste ou redevienne séronégatif) tandis qu'un autre meurt après avoir accumulé de multiples pathologies. Ceci en reconstituant l'histoire de leur vécu et des suites cérébrales et organiques.

En se contentant d'une lecture hâtive, l'ensemble semblerait assez sensé dans une perspective de prise en compte des processus psycho-somatiques. Mais dans la dernière phrase, que je souligne, je vois pour ma part une grosse confusion par redondance, au niveau de la formulation, entre (suites) "cérébrales", qui se réfère en réalité à l'anatomie et à l'approche médico-scientifique du cerveau en tant qu'organe fonctionnel, et (suites) "organiques". En clair, je présume qu'il veut sans doute dire qu'il y a des suites mentales, disons, et d'autres "organiques", les deux étant intimement liées en termes de causes et d'effets. Mais il ne le dit pas, et sa formulation atteste vraisemblablement... d'une certaine confusion mentale du rédacteur/auteur lui-même. A moins qu'il ne s'agisse d'une carence/trahison dans le travail d'un traducteur ?

Au paragraphe pécédent, il est écrit :

Notre approche se fonde sur une autre corrélation : celle entre la vie psychique d'un individu, son cerveau et ses manifestations organiques.

D'une part, il est reconnu que la méthode recourt à des corrélations plus qu'à une démarche hypothético-déductive rigoureuse. D'autre part, une telle formulation donne à penser que l'on ne peut aborder le principe des liens bi-univoques entre "la vie psychique" et ses "manifestations organiques" sans passer par une médiation de type plus ou moins opérationnelle au niveau du cerveau. Par la bande, ce qui est ainsi postulé ne revient-il pas à prôner de la manière la plus douteuse un ralliement sans condition aux canons des neurosciences et aux méfaits de leurs prétentions hégémoniques dans les domaines de la médecine et des sciences sociales et humaines ? A moins qu'en creux il y ait à lire là une critique féroce de certains "examens" avec des moyens technoscientifiques dédiés, ainsi que de l'usage et des effets de divers psychotropes et autres anxyolithiques sur la base de classifications dantesques des "troubles mentaux" ? Hélas, j'en doute beaucoup.

Bien à toi, Jardinier

Modifié par Jardinier
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Salut Jardinier :)

Oui j'ai vaguement vu ces " dérapages " comme tu pourrais les appeler :wink: mais en même temps , quand quelqu'un ne vas pas dans le même sens que ce foutu système

on le voit souvent discrédité par tous les moyens possible ... Alors c'est vrai que si ils mêlent les sionistes a ses histoires ... cela ne vas surtout pas jouer en sa faveurs

Ceci dit pas mal de ses dires sont confirmé par des grand Rabbins , sur entre autre la médecine talmudique qui serait très proche de sa médecine nouvelle...et le fait qu'elle ne doit pas servir aux non-juifs ...

bref ce pauvre Mr Hamer a tous mélangé et ne s'est pas fait que des amis ... ( ne pas confondre sionisme et peuple juif :wink: ) merci

Quand a son emprisonnement , je crois qu'il a purgé une peine de 3 ans a fleury mérogis pour effectivement , exercice illégal de la médecine ,

apres 2 ou 3 échecs...

Mais ce qu'il ne faut pas oublier ce qu'apparemment bon nombres de ses patients ont été guéris , avec témoignages a l'appui et historique médical documentée ...

plus de 1500 il me sembles avec 5 ans âpres toujours 90% de ses personnes en vie ...

ce qui est loin d'être le cas de la chimio ... même si peut être réellement utile pour le cancer , il faut voir les ravage que sa fait...

Pour la petite histoire mon grand oncle , il y'a deux ans , on lui détecte une leucémie foudroyante ... on ne lui donne que 6 mois a vivre ... traitement s'en suivent quand même examen etc. chimioo...

aujourd'hui il souffre d'une tuberculose pulmonaire , il est contagieux et apparemment méconnaissable car ma grande tante ne préfère pas qu'on le voit ... et l'hôpital ou il est soigné ne veut pas le garder

bref une maladie qui n'a rien a voir avec sa leucémie ...

je ne vous fait pas de dessin la chimio a tellement bousiller son système immunitaire qu'aujourd'hui il n'est plus capable de répondre face a tous type d'attaque...

mais je prie pour lui :wink: et Dieu est infiniment grand :wink:

Quand aux méthodes de guérisons je dis pas qu'il guérit tout cancer , ou sinon ce serait vraiment un miracle , mais qu'il a trouvé le mécanisme de ces maladies

qui ont un fond psychologique et j'en suis persuadé ,

il faudrait juste qu'un equipe d'expert scientifique neutre se mettent au boulot et test ses travaux , comme sa nous serons totalement fixé ! c'est pas plus bête que sa !! OUI ou NON point final ...

je pense que le jeux en vaut la chandelle

Messieurs Dames Bonne journée de Soleil a vous :)

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Personnellement, je ne crois pas aux théories de Hamer. Je ne crois pas au tout psychologique. Que ça puisse influencer en partie à un certain niveau, d'accord. Mais que ce soit à l'origine de tous les problèmes (enfin... au moins la plupart), non. Considérer le corps comme une mécanique somme toute relativement simplet et les problèmes de santé comme ayant une origine physico-chimique me semble bien plus fécond.

Concernant les cancers, je pense que s'il a réussi à obtenir de bons résultats, c'est tout simplement parce que 99 % des cancers : soit n'existent pas, soit existent mais vont régresser tout seul, soit ne vont pas grossir plus, soit vont grossir, mais pas suffisamment pour tuer la personne.

Du coup, c'est facile d'obtenir des résultats avec n'importe quelle thérapie alternative puisque dans 99 % des cas, la personne ne serait pas morte. Toute thérapie alternative qui propose l'abandon des traitements officiels marche, puisque ce sont ces traitements officiels qui tuent les patients. A la lumière de cette réflexion, le succès de Hamer concernant le cancer n'a plus rien d'extraordinaire ni de mystérieux. Or, c'est LE succès qui pousse les gens à croire à sa théorie.

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Salut Aixur , Alors pour toi toute tumeur ou cancer est bénin , ou même sont diagnostiquer a tort ? il y'a quand même des symptômes , qui ne trompent pas , quelqu'un qui souffre d'un cancer au poumons , qui ressent le mal ... s'affaiblie ... tousse etc. etc.

tu insinue que si cette personne n'a recours a aucun traitement , il se peut fortement que sa tumeur se résorbe , et disparaissent totalement ??

j'avais deja entendu cela dans quelque recherche , mais je n'y avait prêter que peu d'attention , pourrait tu en dire pluss ??

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Sinon, pour ton grand oncle et sa tuberculose, c'est le parcours qu'on rencontre fréquemment (pas la tuberculose en soi, mais les problèmes pulmonaires).

Les problèmes pulmonaires viennent en réalité la plupart du temps de la prise d'analogues d'opiacés, ou d'un amaigrissement, ou d'une diminution du taux de cortisol.

Or, la chimio fait maigrir. Et généralement, on donne des analogues d'opiacés (morphine bien sûr, mais aussi d'autres substances) pour traiter la douleur ou pour d'autres raison (personne agitée, personne qui n'arrive pas à dormir, etc...). Et les analogues d'opiacés font également maigrir par manque d'appétit.

Du coup, plus ou moins rapidement, la personne se retrouve amaigrie. Or, amaigrissement signifie aussi déshydratation. La déshydratation signifie hypotension. Et l'hypotension entraine que le sang conduit moins vite l'oxygène, ce qui entraine une dépression respiratoire.

Les analogues d'opiacés entrainent également une dépression respiratoire directe par détente musculaire et hypotension.

Donc, au bout d'un moment, la personne commence à avoir des problèmes de dépression respiratoire plus ou moins importants. Et là, au lieu d'accuser les traitements, on invente une maladie microbienne. Dans le cas de ton grand oncle, on parle de tuberculose ; mais les médecins auraient pu évoquer une pneumonie.

J'ai eu la cas d'une connaissance. Cancer de la gorge, puis traitement. La personne a maigrit rapidement. Elle devait prendre aussi des analogues d'opiacés, du coup elle n'avait pas faim. Résultat, au bout de quelques mois, elle entre d'urgence à l’hôpital. Diagnostic de pneumonie. 2 jours plus tard, elle était morte.

La suite logique de cet état de fait est en général la mise à mort de la personne par les médecins via des doses massives de morphine. A cause du cancer et de la maladie pulmonaire, les médecins vont souvent faire un diagnostic de phase terminal. Et là, c'est le permis de tuer pour eux.

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Salut Aixur , Alors pour toi toute tumeur ou cancer est bénin , ou même sont diagnostiquer a tort ? il y'a quand même des symptômes , qui ne trompent pas , quelqu'un qui souffre d'un cancer au poumons , qui ressent le mal ... s'affaiblie ... tousse etc. etc.

tu insinue que si cette personne n'a recours a aucun traitement , il se peut fortement que sa tumeur se résorbe , et disparaissent totalement ??

j'avais deja entendu cela dans quelque recherche , mais je n'y avait prêter que peu d'attention , pourrait tu en dire pluss ??

Non, pas toutes, mais la plupart oui.

Concernant l'exemple d'un cancer des poumons, le problème, c'est qu'il y a plein de causes possibles d'affaiblissement et de toux. Donc, c'est facile de piocher dans ces cas et de plaquer un diagnostic de cancer là-dessus. Donc, les symptômes ne signifient rien. C'est déterminer s'il y a vraiment tumeur, et si celle-ci est bien la cause du problème qui peut signifier quelque chose. Seulement, là, il y a plein de possibilités d'interprétation erronées pour le médecin. Cela dit, très souvent, la personne n'a en réalité aucun symptôme ; et c'est une simple visite de routine qui entraine le diagnostic de cancer du poumon.

Effectivement, quand il y a réellement tumeur, parfois elle peut se résorber (si elle n'est pas grosse évidemment).

Cela dit, très souvent, le diagnostic est tout simplement erroné. Par exemple, souvent, on va se baser sur les ganglions pour inventer une tumeur. Comme les ganglions sont gonflés, on dit qu'ils sont tumoraux. En réalité, la tumeur ce sont les ganglions gonflés. Le problème, c'est que les ganglions peuvent être gonflés pour de multiples raisons, qui n'ont rien à voir avec une tumeur. Comme le système lymphatique est en réalité un système d'égout pour le corps, il suffit qu'il soit encombré pour que les ganglions gonflent. Du coup, quelqu'un qui a des ganglions gonflés, et qui en plus sont un peu enflammés peut se voir donner un diagnostic de cancer. Lors de la biopsie, l'inflammation va être prise comme étant un aspect tumoral des tissus, ce qui va conduire à un diagnostic de tumeur ou de cancer. Il y a donc en réalité des tonnes de cancer qui n'ont en fait aucune réalité, parce qu'on dit que les ganglions sont tumoraux, alors qu'ils ne sont qu'enflammés.

C'est pour ça que plein de tumeurs peuvent régresser. Comme elles ne sont en réalité que de simples ganglions gonflés parce que le système lymphatique est engorgé localement, et que ces ganglions peuvent dégonfler tout aussi facilement, elles peuvent disparaitre au bout de quelques mois ou années. Elle régressent parce qu'il ne s'agissait tout simplement par de tumeurs à la base.

Les ganglions ont cet avantage, pour l'industrie du cancer, qu'il y en a un peu partout dans le corps. Donc, c'est facile d'inventer une théorie comme quoi les ganglions vont devenir tumoraux de proche en proche. Ils ont l'autre avantage de pouvoir gonfler assez facilement, ce qui permet d'obtenir plein de diagnostics de tumeurs. Un troisième avantage, c'est qu'ils sont éloignés d'un ou deux centimètres. Du coup, il est facile d'inventer une tumeur un peu grosse à partir de deux ou trois ganglions gonflés. Avec quatre ganglions gonflés éloignés en moyenne de 1,5 cm, on peut inventer une tumeur de 4,5 cm. Du coup, la personne angoisse complètement en se disant qu'elle a une sphère de 4,5 cm de diamètre, alors que ça n'est absolument pas le cas.

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Gros merci pour ton explication ... au moins ça a le mérite d'y voir clair ...

quel est ton avis sur les séropositif qui ont constamment les ganglions au niveau du cou gonflée ,

pour toi ça pourrait avoir un rapport avec un emcombrement , une inflammation ?

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Oui, clairement.

Ce qu'il faut savoir, c'est que le système lymphatique rejoint le système sanguin justement au niveau du cou. Et vu le nombre de témoignages de ganglions gonflés au niveau du cou, c'est apparemment une zone de perturbation concernant le passage des déchets du système lymphatique.

Peut-être que s'il y a une trop grande différence de pression entre le flux du système sanguin et le flux du système lymphatique, le passage des déchets vers le système sanguin se fait moins facilement. Peut-être aussi que lors de la prise d'analogues d'opiacés, qui sont des relaxants musculaires, le flux lymphatique est ralenti et que ça se voit particulièrement bien au niveau du cou.

Mais bon, quoi qu'il en soit, il est clair qu'il ne s'agit que d'un problème de ralentissement, et/ou d'encombrement, et/ou d'inflammation (un ganglion peut-être gonflé sans être enflammé). Ca ne signifie absolument pas que la personne va avoir une infection, ou un cancer, ou quoi que ce soit de ce genre.

Bon, ça n'indique pas quelque chose de très positif pour l'état du corps, mais la plupart du temps, ça n'indique pas quelque chose de grave. Il y a plein de gens qui ont un ganglion gonflé au niveau du cou pendant des années, sans que ça ne pose aucun problème. Et quand ça indique quelque chose de grave, de toute façon, la personne a bien d'autres symptômes bien plus évidents concernant l'état de santé dégradé.

Mais effectivement, comme pour la médecine officielle, un ganglion gonflé au niveau du cou peut indiquer une infection ou une tumeur, ça permet d'inventer pas mal de maladies quand un sidéen en présente un depuis un certain temps. Cela dit, comme maintenant, il y a les trithérapies, c'est moins le cas. Si le sidéen a un ganglion gonflé, mais un bon niveau de cd4 et une charge virale faible, le médecin ne va pas diagnostiquer d'infection (comme le sidéen pourrait-il avoir une infection, vu que son système immunitaire est en bon état ?). Or, comme les trithérapies permettent d'augmenter le taux de cd4 et de diminuer la charge virale, un tel diagnostic d'infection doit être assez rare de nos jours.

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d'accord donc pour toi un gonflement des ganglions n'est pas spécifique !

et le médecin interprète souvent a sa sauce un diagnostique fait a la gueule du client et a son parcours médical ,alors que ça peut être tout et n'importe quoi ...

y'a t-il des traitements qui permettent de faire dégonfler les ganglions lymphatique ? une sorte de nettoyant ... :s ?

Car certes aujourd'hui peut être avec les tri

qui comme tu dit augmente considérablement les T4 et diminue la charge virale , un diagnostique d'infection ne peux pas etre fait sur un sidéen qui a de bon résultats d'analyse ...

mais on diagnostique pas mal la séropositivité sur la présence de ganglions... du moins ont orientent ces cas vers un dépistage du vih ... qui souvent se finit positif

la présence de ganglions dans la durée et sans autre symptômes particuliers je pense fait l'objet d'un dépistage systématique non ?

pour toi il n'a pas sujet a forcement sujet a s'inquiéter ?

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A mon avis, dans une situation normale, le jeûne peut tout à fait faire dégonfler un ganglion. Souvent, le ganglion va être gonflé à cause d'une alimentation trop riche et trop abondante. Après le jeûne, une alimentation moins riche et moins copieuse va éviter le retour du gonflement.

Mais, il doit y avoir des situations où c'est la prise de médicaments qui augmentent la tension (les analogue d'anti-inflammatoires) ou qui entrainent une relaxation musculaire (les analogues d'opiacés) qui causent le problème. Ce qui est vrai aussi pour la consommation de substances du style alcool, tabac, et opiacés divers. Donc, là, il faut avant tout arrêter de prendre ces substances.

Il y a probablement d'autres situations qui conduisent au gonflement. Par exemple, il y a quelques années, une membre de ce forum avait dit que son compagnon avait un ganglion gonflé au niveau du cou. Et celui-ci était conducteur de camion, il avait une mauvaise alimentation (gros repas de malbouffe comme peuvent en prendre les camionneurs), et fumait. Donc, on peut penser que la situation assise prolongée (qui entraine un flux lymphatique moins optimal), plus le ralentissement du flux lymphatique par la cigarette, plus l'excès de particules à éliminer par le système lymphatique à cause de la malbouffe avait conduit au gonflement du ganglion. Donc, il y a probablement des situations particulières conduisant au gonflement que je ne connais pas.

Et puis, il est peut-être possible que certaines personnes gardent le ganglion gonflé alors qu'il n'y a plus rien. Donc là, on ne pourrait rien faire.

Je ne savais pas qu'on orientait les cas de ganglions gonflés vers un dépistage du vih. Comme quoi, même après 10 ans, on en apprend encore.

Effectivement, du point de vue de l'orthodoxie, c'est logique. Et effectivement, vu qu'un ganglion gonflé indique que les systèmes lymphatiques et sanguin sont encombrés et vu que les tests vih ne mesurent en réalité que le taux global de particules dans le sang, ça peut être une cause de positivité.

la présence de ganglions dans la durée et sans autre symptômes particuliers je pense fait l'objet d'un dépistage systématique non ?

pour toi il n'a pas sujet a forcement sujet a s'inquiéter ?

Si la personne est considérée à risque pour le vih, oui, ça doit faire l'objet d'un dépistage systématique je pense.

Sinon, ça peut tellement pouvoir vouloir dire un peu tout et n'importe quoi qu'effectivement, il n'y a pas sujet à s'inquiéter. Mais bon, comme c'est un indicateur d'un éventuel engorgement du système lymphatique, ça permet de se dire qu'on n'a pas un corps qui est dans un état de santé optimal. En fait, c'est un indicateur de santé un peu comme la tension sanguine, ou la présence régulière de céphalées, ou un endommagement des dents plus rapide que la normale, etc... Sous réserve, bien sûr, qu'il n'y ait pas possibilité qu'un personne garde le ganglion gonflé pendant des années, même une fois le problème d'engorgement du système lymphatique résolu. Si c'est le cas, alors, sur une échelle de 0 à 100, la signification du gonflement peut aller justement de 0 à 100.

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Dorade, Aixur,

Je viens de lire la page de Sidasanté correspondant au dernier lien inséré par toi, Dorade, reproduisant une communication sur le "sida" de Hamer. Autrefois, en 2008-2009, j'avais lu une autre présentation par lui de la théorie du Dr. Hamer, où il parlait de son "conflit biologique" comme cause des maladies, mais si je me souviens sans se référer comme il le fait ensuite à une/des zones du cerveau à partir desquelles son processus des 2 phases des maladies se détermine et se développe. Il aurait donc élaboré peu à peu une approche essentiellement neurobiologique, axée sur les processus cérébraux en un sens littéral et organique, à ceci près qu'il adhère chemin faisant, au niveau de son discours descriptif en tout cas, au(x) modèle(s) réductionniste(s) reposant sur les technosciences et la/les théories de l'information en la matière : "Le moment à partir duquel les microbes peuvent agir ne dépend pas, comme nous l'avons cru de façon erronée jusqu'à ce jour, de facteurs externes mais plutôt d'un processus déterminé par l'ordinateur qu'est notre cerveau."

En d'autres termes : si on traduit "choc" et "conflit biologique" issus d'un grave conflit relationnel par "processus psycho-somatique", on retombe en réalité sur des choses bien connues, étayées avec pertinence depuis longtemps à partir de la théorie freudienne de l'inconscient, et sur des phénomènes dont la réalité n'est pas à mettre en doute. Et ce sans avoir à recourir le moins du monde à l'obsession des foyers de ceci ou de cela dans le cerveau propres à la neurobiologie (... et au cognitivisme, cette hydre d'inspiration comportementale et social-darwiniste). Donc, tu fais bien de conclure, Dorade, que le malheureux Dr. Hamer a vraiment tout mélangé.

Pour répondre à présent plus précisément à Aixur, je pense que les causes des maladies sont bien sûr autant physiologiques, voire (bio)physiques, et/ou même bio-physico-chimiques, que psycho-somatiques. Quand un moustique me pique le dessus de la main et que j'ai un gros bouton avec une forte démangeaison plusieurs jours durant, la cause stricto sensu de ce qui m'affecte n'est certes ni psychologique (mentale), ni d'origine à la fois exclusivement "interne" à mon organisme et liée en priorité à des processus neuronaux "contrôlés" par mon cerveau, mais bel et bien à peu près purement biophysique et somatique. Ensuite, il y a cependant la maladie comme expression (secondaire et/ou parallèle, voire comme point de départ d'autres conflits) de conflits relationnels de personne à personne et/ou entre la personne et des groupes interférents, donc comme l'expression de conflits mettant en jeu l'ordre symbolique, à la fois commun au sujet et au groupe, et singulier en tant que spécifique du sujet et de son histoire. Il s'agit là bien évidemment de conflits, voire de traumas pour les points de départ, se développant et produisant diverses conséquences plus ou moins dans la durée, avec des étapes diverses et variées, et avec tout ce qu'ils peuvent impliquer de plus ou moins perturbateur et/ou de retour à l'éqilibre dans la matérialité et dans l'imaginaire du vécu du sujet, dont bien sûr à certains moments l'apparition et/ou la guérison de pathologies, avec ou non le secours de moyens relevant de la médecine allopathique ou autre. Ainsi, comment mieux caractériser et comprendre cette dimension là et cette forme là des maladies, qu'en commençant par leur reconnaître pour partie au moins une origine en réalité psycho-somatique, et non simplement somatique ?

Modifié par Jardinier
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Honnêtement, je ne pense pas qu'il faille s'attarder très longtemps sur le cas du Dr Hamer. C'est de la pure idéologie, extrêmement simpliste, qui ne repose sur aucune base concrète, sérieuse et un temps soit peu vérifiable.

On peut être sceptique sur l'origine rétrovirale du sida, avec des questionnements très précis sur l'isolation du virus, sur la nature des tests, de la charge virale, du comptage des Cd4, de l'épidiémologie, etc... Mais pour autant, ce n'est pas parce qu'une théorie alternative prend le contrepied de la théorie officielle qu'elle est intéressante ni même de bonne foi. Elle peut même être - et souvent - encore bien plus fausse et plus nuisible que la théorie officielle, qui elle a le mérite de publier ses résultats, et d'être ainsi discutable et vérifiable (cf l'étude Padian), là où d'autres se contentent d'anecdotes que personne ne peut vérifier .

Mais avec Hamer, on atteint des sommets. Déjà, le personnage est sinistre, ses références à la médecine juive, qui sont toujours en ligne sur son site, suffit déjà pour ma part à le ranger parmi les mutilés de du cerveau (surtout qu'il en rajoute avec sa nouvelle médecine "germanique" écrit en caractère gothique, il n'y a plus qu'à se demander dans quel tiroir il range son brassard à croix gammée). Ensuite, il s'est obstiné à continuer à ne pas simplement développer des théories, ce qui est le droit de tout le monde, mais aussi à continuer à prétendre soigner des gens alors qu'il avait fait l'objet d'interdiction d'exercice de la médecine (ce pourquoi il a été condamné à de la prison ferme). C'est pas la modestie qui l'étouffe.

Mais bon, on peut regarder le fond aussi. Le lien que tu as mis sur sur l'allergie au smegma, il faut quand même s'accrocher pour garder son calme et ne pas sombrer dans le fou rire. Il y a déjà une confusion permanente entre HIV et sida - on connaît bien la différence ici. L'allergie provoque-t-elle un test positif, ou bien les maladies définissant le sida? Puis cette histoire d'allergie au smegma ne tient pas une seconde, tant au niveau biologique qu'en terme épidémiologique. Les enfants hémophiles dont le test VIH était positif ont-ils soufferts d'une allergie au smegma sans avoir connu la moindre relation sexuelle ? Et si oui, pourquoi eux et pas tous les autres ? Et s'il y avait allergie, pourquoi les tests positifs au VIH ne seraient pas distribués aléatoirement dans la population, comme les autres allergies, et non concentrés sur une poignée de groupes dit à risque comme c'est le cas aujourd'hui (les homosexuels masculins concentrent toujours plus de la moitié des tests positifs) ?

Il y a cette perle : les circoncis ne pourront jamais être positifs au test VIH.... alors qu'il y en a des dizaines de milliers qui le sont, et notamment dès l'origine de l'épidémie, aux US, là où traditionnellement la circoncision est particulièrement répandue !

En revanche, les circoncis ne pourront jamais être positifs HIV car ils ne connaissent pas l’odeur typique du smegma tant qu’ils ont des rapports entre eux. (De la même manière qu’une personne qui ne connaît pas le foin ne peut pas non plus avoir d’allergie au foin. Car le pénis d’un circoncis ne produit plus de smegma).


Pour ma part, Hamer est juste un charlot dont l'unique fonction est de contribuer à disqualifier toute approche alternative. C'est dire combien ses idées sont néfastes.

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Dorade, Aixur,

Pour répondre à présent plus précisément à Aixur, je pense que les causes des maladies sont bien sûr autant physiologiques, voire (bio)physiques, et/ou même bio-physico-chimiques, que psycho-somatiques. Quand un moustique me pique le dessus de la main et que j'ai un gros bouton avec une forte démangeaison plusieurs jours durant, la cause stricto sensu de ce qui m'affecte n'est certes ni psychologique (mentale), ni d'origine à la fois exclusivement "interne" à mon organisme et liée en priorité à des processus neuronaux "contrôlés" par mon cerveau, mais bel et bien à peu près purement biophysique et somatique. Ensuite, il y a cependant la maladie comme expression (secondaire et/ou parallèle, voire comme point de départ d'autres conflits) de conflits relationnels de personne à personne et/ou entre la personne et des groupes interférents, donc comme l'expression de conflits mettant en jeu l'ordre symbolique, à la fois commun au sujet et au groupe, et singulier en tant que spécifique du sujet et de son histoire. Il s'agit là bien évidemment de conflits, voire de traumas pour les points de départ, se développant et produisant diverses conséquences plus ou moins dans la durée, avec des étapes diverses et variées, et avec tout ce qu'ils peuvent impliquer de plus ou moins perturbateur et/ou de retour à l'éqilibre dans la matérialité et dans l'imaginaire du vécu du sujet, dont bien sûr à certains moments l'apparition et/ou la guérison de pathologies, avec ou non le secours de moyens relevant de la médecine allopathique ou autre. Ainsi, comment mieux caractériser et comprendre cette dimension là et cette forme là des maladies, qu'en commençant par leur reconnaître pour partie au moins une origine en réalité psycho-somatique, et non simplement somatique ?

Oui, c'est sûr que l'état psychologique est important et qu'un état dépressif ou de stress peut mener à des désordre physiologiques. A mon avis, ça se concrétise surtout via le taux de cortisol. Mais, quand même, le corps est capable de tenir le choc. Il va être affecté, mais il ne va pas s'effondrer. Enfin..., la plupart du temps. Le corps a tout de même une importante autonomie par rapport au mental. Et c'est bien, parce que sinon, tout choc psychologique un peu important pourrait nous affaiblir de façon exagérée.

Ce qu'il faut voir aussi c'est que probablement quelque chose comme 90 % des gens compensent un état de dépression ou de stress par la prise d'excitants ou de calmants. Et ça, ça affecte très clairement la santé. Donc, avant d'aller incriminer directement le psychologique concernant l'état de santé physiologique, il faudrait aller voir de ce coté là. Par exemple, quand quelqu'un qui prend des analogues d'opiacés pour traiter sa dépression se retrouve à avoir des problèmes de dépression respiratoire ou d'hallucinations, c'est plutôt du coté des médicaments qu'il faut aller voir le responsable que du coté de la dépression. Évidemment, traiter la dépression va aussi aider à supprimer l'usage d'analogues d'opiacés et donc a faire disparaitre les problèmes respiratoires (sauf que la personne sera devenue accroc à ces substance entre-temps, mais bon, c'est un autre problème). Mais concernant le mal pulmonaire lui-même, ou les hallucinations, etc..., la cause est clairement à aller chercher du coté du médicament avant d'incriminer la dépression.

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Nous sommes d'accord sur la question du psycho-somatique, Aixur. Je faisais implicitement allusion à ce que tu développes dans ton second paragraphe ci-dessus en mentionnant des causes "bio-physico-chimiques" des maladies. Les causes bio-chimiques peuvent être accidentelles... ou iatrogéniques, c'est-à-dire causées par les composants chimiques de certains médicaments et par leurs effets "indésirables". Mais comme tu le redis très bien toi-même, la prise de tels médicaments peut souvent avoir un rapport avec des évènements du vécu qui affectent à la fois le psychisme et le soma, voire le soma via ce qui se passe dans le psychisme et sur le plan du rapport du sujet à l'ordre symbolique. Un des grands problèmes est sans doute que beaucoup trop de médecins et de psychothérapeutes prescrivent des médicaments de types divers, analogues d'opiacés, psychotropes, anxiolytiques..., et laissent les gens se débrouiller à peu près tout seuls face à la complexité des causes psychiques de leurs problèmes. La médecine est un art, mais outre qu'ils appliquent aussi les principes d'une science réductionniste pour le meilleur et pour le pire, ils sont en réalité dans une logique à la fois sécuritaire et marchande : protéger le sujet de lui-même et en protéger les autres, et faire tourner au mieux l'industrie pharmaceutique... ainsi que les intérêts du corps médical et de la sécurité sociale. Quant aux psychanalystes, ils ne sont peut-être pas toujours aussi disposés que possible et nécessaire à faire partager leur savoir de façon à ce que les gens acquièrent une culture psychanalytique susceptible de renforcer leur autonomie intellectuelle, sociale, psycho-somatique, etc...

Pour ce qui est du sida, on voit bien en en envisageant tous les aspects sous l'angle dissident, comme nous le faisons ici, qu'il s'agit d'une forme particulièrement exacerbée et scandaleuse des problèmes quasiment socio-politiques que j'analyse à ma façon juste ci-dessus. C'est un véritable "rapt d'Hygea", comme l'a écrit le dissident Jesus Garcia Blanca, et aussi dans une large mesure un rapt de l'Eros et de l'Agapé.

Modifié par Jardinier
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