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l'étude de padian ...


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Bonjour a tous , j'aurais aimé faire part d'une chose qui m'a un peu chagriné concernant l'étude de Padian et les dire , de notre cher ami

le professeur De Harven ...

Dans une video ou il parle justement de cette étude par rapport a la possibilité de transmission par voie sexuelle

il dit a la personne en face de lui " D'après cette fameuse étude , aucune contamination ne fut recensé dans les couples serodiscordants "

Dans une seconde video , qui est Voir le sida autrement il me semble , il nous reparle de cette étude en nous disant que seulement 1 personne avait été infecté ....

j'ai été rechercher cette étude sur internet et j'ai trouvé cela :

je vous met d'abord la source http://www.pistes.fr/transcriptases/1_66.htm

Malgré plusieurs études semblant révéler un taux de transmission beaucoup plus important de l'homme vers la femme, il faut considérer les possibilités de transmission du VIH dans le sens femme-homme comme non-négligeables

L'étude de 379 sujets ne présentant aucun facteur de risque d'infection par le HIV autre que des contacts hétérosexuels avec un patient séropositif (cas index) a amené Padian et al. à comparer la transmission homme-femme et femme-homme du VIH.

Parmi les 72 partenaires hommes inclus, 1 seul (1%) a été contaminé par sa partenaire séropositive alors que 61 sur 307 (soit 20%) partenaires femmes ont été contaminées par leurs partenaires hommes. L'auteur conclut que le risque de transmission homme-femme est beaucoup plus important que le risque de transmission femme-homme (odds ratio = 17,5) (intervalle de confiance à 90% : 3,5-353).

La comparaison de deux groupes (ici les couples avec cas index masculin et les couples avec cas index féminin) n'est possible que si ces deux groupes sont comparables en ce qui concerne l'existence de facteurs pouvant modifier le risque de transmission. Or des études antérieures ont montré que des facteurs tels que le stade d'évolution de l'infection HIV chez le cas index et la fréquence d'utilisation des préservatifs ont une influence importante sur le risque de transmission hétérosexuelle du HIV.

En ce qui concerne les préservatifs, il est à noter que plus de la moitié des couples de l'étude les utilisent, sans qu'aucun détail ne soit fourni sur la fréquence d'utilisation. Si l'utilisation a été systématique lors de tous les rapports depuis le début de la relation, le risque de transmission devient nul et l'inclusion de tels couples dans l'analyse est injustifiée. Par ailleurs, si la fréquence d'utilisation des préservatifs est différente dans les deux groupes de couples, la comparaison des risques de transmission devient impossible

Certes ! seul un sujet de sexe masculin a été contaminé , mais le nombre de femmes reste énorme ! 61 sur 307 .... puis il y'a cette phrase ... "

En ce qui concerne les préservatifs, il est à noter que plus de la moitié des couples de l'étude les utilisent, sans qu'aucun détail ne soit fourni sur la fréquence d'utilisation. Si l'utilisation a été systématique lors de tous les rapports depuis le début de la relation, le risque de transmission devient nul et l'inclusion de tels couples dans l'analyse est injustifiée "

Que doit on croire ? Qui doit on croire ? Ce que je n'apprécie pas , c'est que le Docteur de Harven dit rouge un jours , bleu de lendemain , ou alors tout simplement il n'a même pas connaissance des chiffres exacte de cette étude .... Or il relais des informations qui sont quand même capitale sans nous dire la vérité ... ce qui me fait fortement penser aux médecins de l'orthodoxie qui relaient des information d'autre médecins etc. qui n'ont jamais pris la peine d'en vérifié la véracité ...

Peut etre que c'est moi qui ait mal compris l'étude , ou que je soit tombé dans mes recherches sur une étude non exacte ... mais je vous laisse juger de vous même...

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Bonjour,

L'original de l'étude est disponible ici en anglais.

L'étude analysait les séroconversions au sein de couples hétérosexuels sérodiscordants

Il y a deux volets dans l'étude :

- Un volet "transversal" ("cross-sectionnal") : soit un étude à un instant "T". C'est ce volet où on été mesuré des séroconversions importante côté féminin (68) et faible côté masculin (2). Mais il n'y avait pas de suivi dans ce volet. En gros on avait un couple, avec un des partenaires positifs au départ, et l'autre partenaire a alors été testé. Mais on ne savait pas s'il était déjà positif auparavant. Donc les résultats permettent simplement de prendre une photo à un instant, mais pas de retracer le film de la séroconversion. Padian indique que ce volet de l'étude a un caractère "rétrospectif : la transmission a lieu avant le recrutement dans l'étude".

- Un volet "prospectif" où les couples sont suivi régulièrement durant 10 ans. Dans cette étude, on est assuré que l'un des partenaires est négatif au départ, et l'autre positif, et des tests ont été régulièrement menés durant 10 ans. Les résultats sont donc bien plus intéressants. Et c'est dans ce volet de l'étude qu'il n'y a eu aucune séroconversion, en dépit d'un usage des préservatifs par les couples sérodiscordants décroissant avec le temps.

Ci-dessous, le commentaire du Perth Group sur l'étude (issue de cette page).

Unquestionably, Padian’s study, which began in 1985, is the longest, largest, best designed and executed study ever conducted in heterosexuals. At the 1988 Amsterdam International AIDS Conference, Padian described her study as follows: “Objective. To examine the efficiency of heterosexual transmission of HIV [emphasis ours] and associated risk factors. Methods: We enrolled the opposite sex partners of individuals infected with HIV or diagnosed with AIDS or ARC throughout California. Participants were interviewed about their sexual practices and medical history; Laboratory tests for HIV and other co-factors were conducted, as were physical examinations…Results:…in multivariate analysis, only the practice of anal intercourse (p-.003) and non-white race (p-.013) were significantly associated with infection…We have also enrolled male partners of infected women. In spite of reported unprotected sexual intercourse (median number of sexual contacts = 399) none of the twenty male partners were infected”.60 See also Padian Endnote.

As was the case in the European study, the Padian study was divided into two parts: cross-sectional and prospective. The first findings from the cross-sectional study were published in 1987, in a paper entitled: “Male-to-Female Transmission of Human Immunodeficiency Virus”: “Ninety-seven female sexual partners of 93 men infected with human immunodeficiency virus were studied…23% of the women were infected…Anal intercourse significantly discriminated between seronegative and seropositive women…The number of sexual contacts (whether vaginal, anal or oral, was significantly associated with infection…whereas general sexual activity (as measured by number of sexual partners [median 2,5 for seropositive; 4 for seronegative women] and number of sexually transmitted diseases) was not associated with HIV infection”.61

In 1991 Padian et al published yet another paper describing their findings from the cross-sectional part of their study, this time entitled “Female-to-Male Transmission of Human Immunodeficiency Virus”.62 They pointed out that “since 1985, we have been conducting a study of the heterosexual transmission of AIDS”, but by 1991 of 72 infected women, only the partner of one of them was found positive. However, for a number of reasons they could not say with certainty that the man was infected by his female partner…We cannot be absolutely certain that we correctly classified this case as female-to-male transmission…Of course, because we are relying on risk histories, the same caveats apply to classification of male-to-female cases of transmission as well”. By 1997 Padian and her colleagues described one more case of female-to-male transmission about which they were equally uncertain. Trying to explain the differences between their findings and that of others, who claimed high rates of female-to-male transmissions, they wrote: “studies may not have been adequately controlled for other confounding non-sexual routes of transmission such as risks associated with intravenous drug use. At first blush, cases that appear attributed to heterosexual transmission may, after in depth interviewing, actually be linked to other sources of risk”.58

In 1997 in a paper entitled “Heterosexual Transmission of Human Immunodeficiency Virus (HIV) in Northern California: Results from a Ten-year Study”, Padian and her colleagues published their findings in the prospective study. Describing this part of the study Padian and her colleagues wrote: “We followed 175 HIV-discordant couples over time for a total of approximately 282 couple-years of follow-up…The longest duration of follow-up was 12 visits (6 years). Table 3 summarises behaviour change over time, comparing behaviours of the entry visit with those reported at the last follow-up visit”.

“TABLE 3. Risk behavior at baseline and most recent (final) follow-up

visit among 175 human immunodeficiency virus (HIV)-discordant couples

recruited in Northern California from 1985 to 1996 (n = 175 couples with

a total of 3,384 couple-months of follow-up)

image001.gif


Baseline Final

image001.gif Visit (%) follow-up visit (%)

Abstention 0 14.5*

Consistent condom use 32.2 74*

Any anal intercourse 37.9 8.1*

image001.gif * p < 0.0005 (by McNemar’s test for matched pairs).”

Despite an extraordinary effort educating her study subjects in safe sexual practices, Padian and her colleagues were not entirely successful, as can be seen from their Table 3. Furthermore, “approximately 97% of behaviour changes was reported between baseline and the first follow-up visit”. Yet, they “observed no seroconversion”, that is, no uninfected individual developing positive antibody test. Discussing the lack of sexual transmission, Padian and her associates wrote: “Nevertheless, the absence of seroincident infection over the course of the study cannot be entirely attributed to significant behaviour change. No transmission occurred among the 25% of couples who did not use condoms consistently at their last follow-up nor among the 47 couples who intermittently practiced unsafe sex during the entire duration of follow-up”.58 Hence Padian’s data prove “HIV” is not transmitted to the active partner.

Padian consistently refuses to accept the “evidence-based science” conclusion of her own studies. She has even felt (or was) compelled to defend her “proof” of heterosexual transmission at AIDSTruth. Padian wants everyone to accept that, because she later decided to label her study as “behavioral interventions” to prevent HIV transmission, it is iniquitous to use her data to question proof of HIV transmission. Hence the title of her paper, Heterosexual transmission of human immunodeficiency virus (HIV) in Northern California: results from a ten-year study, remains a mystery. Why didn’t Padian choose a title reflecting what she later purported was its true nature? The fact is that in Padian’s study there were discordant heterosexual couples who continued to practise unsafe sex who nonetheless did not seroconvert to HIV. However, no scientist can claim the zero transmission rate observed in any couple was due to the success of “behavioral interventions” when, at the beginning of the study, approximately 70% of the couples were not practising safe sex, as were 26% at the completion, despite the many and constant “behavioral interventions”. Who or what was behind Padian’s emotional riposte in AIDSTruth: “Any attempt to refer to this or other of our publications and studies to bolster the fallacy that HIV is not transmitted heterosexually or homosexually is a gross misrepresentation of the facts and a travesty of the research that I have been involved in for more than a decade”? The evidence shows that it is Padian who is unwilling to face up to her own data. Bergman argues “The virus doesn’t care what you call it”. Even if “HIV” were a virus, whether a virus can “care” is a moot point. Be that as it may, a virus cannot “know” if it is participating in a study of “behavioral interventions” or transmission. Padian’s repackaging of her study illustrates her unwillingness to accept she was conducting an experiment in sexual transmission of “HIV” whether she likes it or not. And this study did not have any seroconversions. It is significant that in her AIDSTruth commentary Padian did not cite any of her own research as proof of heterosexual transmission. As with de Vincenzi, when it comes to citing proof of heterosexual transmission, Padian cites “everyone else”. Yet “everyone else” cites de Vincenzi and Padian.
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Merci je n'avait pas connaissance de ces deux études bien différente ...

je trouve assez élevé le nombre de femmes infectées dans la première étude ...

même si on suppose que le VIH n'est pas transmissible par voie sexuelle , dans cette première étude

il aurait fallu que sur 307 couples : 61 demoiselles seropositive rencontrent 61 hommes seropositif également si je comprend bien ... sans que l'un ou l'autre ne connaisse sa sérologie ?

ca fait un couple sur 5 et ça me parait beaucoup , si un couple sur 5 en France ou aux états unis était séropositif je pense que ça se saurait ... non ?

alors ou j'ai mal compris ! ou mal interpreté la premiere étude ....

peut etre les deux , :) en tout cas merci de l'info Jibrail et de la rapidité de ta réponse :wink:

salutation ....

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Je reprends avec un peu plus de temps ce soir en essayant d'avoir les idées claires.

L'objectif principal pour Padian et al. de ces études, c'était notamment de pouvoir identifier les facteurs de risques favorisant la transmission du supposé VIH au sein de couples hétérosexuels, en comparant les couples où il y a eu séroconversion, avec ceux où elle n'a pas eu lieu.

The fundamental design was to compare couples where transmission had occurred with those who remained discordant for HIV infections.


Il faut se remettre dans le contexte : les études démarrent en 1986, deux ans après les papiers de Gallo et la "reconnaissance" officielle du VIH, la mise au point des tests. L'épidémie porte alors essentiellement sur les homosexuels masculins, les toxicomanes, les hémophiles. Il s'agit d'explorer les modes de "contamination" hétérosexuelle qui sont statistiquement faibles, mais qui préoccupe les autorités de santé publiques, de peur d'un développement exponentiel du sida comparable à celle observée chez les homosexuels. Et il y a urgence. Il n'est alors pas clair comme aujourd'hui, que dans les pays développés au moins, cela ne se produira pas.

Il y a deux façons d'explorer les caractéristiques de ces contaminations par voie hétérosexuelle, qui correspond aux deux volets de l'étude.

Au niveau de la méthode, le meilleur moyen est sans conteste la méthode "prospective", correspondant au 2ème volet. Le principe est le suivant : on recrute des couples sérodiscordants à partir de tests réalisés sur les deux partenaires. Ceux qui présentent d'autres facteurs de risques identifiés (consommation de drogue dure notamment) sont évacués de l'étude afin de ne pas fausser les résultats. Ensuite, on suit, on interviewe (notamment pour évaluer la fréquence des relations, leur nature et l'usage de préservatifs, et l'état de santé général) et on teste régulièrement les partenaires (ici durant 10 ans) afin de constater ou non une séroconversion du partenaire négatif. En suivant un grand nombre de couples, cela permet d'évaluer statistiquement avec une certaine précision à quel moment et dans quelles conditions il y a séroconversion, et si c'est corrélé ou non à certains facteurs. Parmi ceux étudiés par Padian, on trouve notamment l'âge des partenaires, la pratique du sexe anal, la présence de saignements après le rapport, la fréquence des rapports ou la survenue d'autres maladies sexuellement transmissibles...

Sur le papier, c'est incontestablement la meilleure méthode, la plus fiable à condition d'être rigoureux dans les modalités de recrutement, de suivi et de contrôle des couples testés (le détail de la méthodologie ne figure cependant pas dans l'article en libre-accès, il n'est disponible que sur un article publié précédemment dont l'accès est payant). Dans la pratique, elle a le redoutable inconvénient d'être longue, et de nécessiter de recruter des couples très nombreux : il faut en effet que le couple ne se sépare pas, qu'il accepte de poursuivre l'étude durant une longue période, etc... Bref, c'est complexe et coûteux. Mais les résultats sont sans équivoque : sur les 175 couples recrutés continuellement entre 1990 et 1996, le plus long suivi étant de 6 ans avec un total de 282 couples-années, aucune séroconversion n'a été constatée. Et ce alors que 47 des couples suivis n'utilisaient pas systématiquement le préservatif, et qu'un quart des couples ne l'utilisait plus dans les six mois précédent le dernier examen.

We followed 175 HIV-discordant couples over time, for a total of approximately 282 couple-years of follow-up (table3). Because of deaths as well as the break-up of couples, attrition was severe : only 175 couples are represented in table 3.The longest duration of follow-up was 12 visits (6 years). We observed no seroconversions after entry into the study.


Mais pour pallier à l'urgence évoquée plus haut, pour avoir des résultats plus nombreux et plus tôt, même si moins fiables, une analye "tranversale" avait été réalisée en parallèle, dont certains ont été publiés bien plus tôt. La méthode est complètement différente : il s'agit de recruter ici des couples dont on sait que l'un des partenaires est positif, et de tester l'autre partenaire, dont la sérologie n'est pas forcément connue, même auparavant (l'étude démarre en 1986). Les mêmes informations (sur l'âge, la santé, les pratiques..) sont recueillies, mais cela ne concerne pas le suivi dans la durée. Du coup on a certes des résultats sur les couples où les deux partenaires sont positifs, et ceux où l'autre partenaire est resté négatif. Mais pour ceux où le partenaire est positif, on ne sait pas où, quand et comment la séroconversion a eu lieu, car on ne sait pas de quand elle date. La fiabilité est donc bien plus limitée, car l'étude se fonde sur de nombreux aspects d'ordre déclaratifs sur l'histoire de chaque couple... Ceci indique pourquoi Padian et alli parle du caractère "rétrospectif" de l'analyse transversale, qui ne mesure que le passé.

Ainsi, quand il est indiqué dans le volet "transversal" que 68 femmes sur 360 femmes partenaires d'un homme séropositif sont "infectées", il ne faut pas en déduire littéralement que ces 68 femmes ont été infectées par leur partenaire. Il faut simplement lire que sur 360 femmes dont la sérologie n'est pas connu et dont le partenaire masculin est séropositif, 68 femmes sont aussi séropositives, et 292 ne le sont pas, au moment où le test est réalisé. On ne sait pas dire quand et comment ces 68 femmes sont devenues séropositives, on peut juste le présumer d'après les éléments qu'elles ont déclaré sur leur histoire sexuelle ou avec les drogues, et qui par nature ne peuvent être controlé (comment vérifier l'absence de pratique homosexuelle chez les hommes ou l'absence d'injection de drogue chez des femmes il y a 5 ou 10 ans ? Par contre, une transfusion survenue dans le passé peut se retrouver plus facilement).

Ensuite, l'étude transversale compare statistiquement les différents facteurs entre ces deux catégories de couples, afin d'identifier si les facteurs sont associés à l'une ou l'autre catégorie de couples, . Mais cela se construit donc sur une base scientifique dont les fondations sont limitées, car portant pour beaucoup sur des données déclaratives non contrôlées... C'est pour cela que la valeur scientifique de l'étude prospective est bien supérieure, même si tout ne peut pas être contrôlé non plus.

Les scientifiques connaissent bien ces limites méthodologiques, les articles scientifiques sont remplis de conditionnel, de "pourrait", de réserves diverses et variées, d'appels à approfondir et à confirmer. Ces limites disparaissent régulièrement dans certains résumés et quasi-systématiquement dans les articles de presse...

Mais dans le cas présent, la rédaction de l'article est également ambigue car si on regarde les résultats au pied de la lettre, ils sont relativement contradictoires entre les deux volets. D'un côté il y a eu des séroconversions supposées (analyse transversale), de l'autre côté zéro séroconversion (analyse prospective). La seule conclusion de l'étude aurait été de pointer cette contradiction, c'est à dire : aucun résultat clair, et d'appeler à recommencer de façon encore plus rigoureuse, plus longue, pour en avoir le coeur plus net. Bref : approfondir davantage, confirmer ou infirmer, parce qu'on ne pouvait rien en conclure, si ce n'est que la contamination par voie hétérosexuelle reste à démontrer, tout comme les facteurs de risques.

Sauf qu'en 1996, c'est déjà et depuis longtemps rigoureusement impossible d'écrire ça. Comme pirouette, l'article organiser une certaine confusion dans sa rédaction entre les deux volets, et se concentrent sur les résultats les moins fiables, ceux de l'analyse transversale, pourtant invalidés dans une certaine mesure par l'analyse prospective.

On n'est pas obligé de trouver ça sérieux et responsable.

Modifié par Jibrail
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je ne comprend pas du tout ...

on a deux études qui sont complètement incohérente au niveau des résultats , et personne ne vas chercher plus loin ?!

j'ai l'impression que la machine ne s'arrêtera jamais et surtout que personne ne veux l'arrêter , comment un médecin , un spécialiste des maladies infectieuse , un chercheur dans le milieu et j'en passe ,

peuvent devant de tel études , rester de marbre et ne pas voir le problème ??? c'est impossible !!

Je n'ai meme pas le brevet des collèges alors pourquoi Moi je me pose des questions et pas eux ??

Vous savez cette histoire me fait penser a la guerre de 39-45 , même si je n'y était pas et heureusement pour moi :wink:

ou on nous dit que hitler a fait tuer des millions de juifs ,

mais si personne n'avait conduit les trains qui emmenait les déporté vers les camps

et que personne ne les battait pour qu'il travaillent jusqu'à en mourir et etc. etc.

hitler n'aurait rien fait tout seul ...

on a le même cas devant cette histoire de VIH/Sida avec un virus imaginaire et une dépression immunitaire réel ...

nos spécialiste ou les personnes dans le milieu médical croient bien faire je pense mais si tout le monde continue comme sa personne ne pourra s'en sortir indemne , c'est toute une chaine qu'il faut briser ...

et Comme l'a dit Monsieur Einstein : il est plus difficile de briser une croyance , qu'un atome ....

Merci Jibrail pour tes explications ...

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