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Bonjour MTE,




> En effet, comment expliquer les cas, innombrables, de gens qui étaient séronégatifs, qui ont eu 1 relation sexuelle non-protégée, ont un épisode infectieux type "seroconversion" quelques jours à quelques semaines après et se retrouvent séropositifs ? Qui m'explique cela ??


Concevez toujours l'idée qu'être séropositif ne signifie pas être séropositif au vih.

Quant à être séropositif au vih, après tout, ce n'est qu'un test ; pour cette première remarque, un test doit être refait, encore et encore, car il ne prouve rien, s'il n'est effectué

qu'une seule fois. Surtout lors d'un rapport sexuel non protégé, en vérité, car justement, il est très facile d'être séropositif, de manière général, et non pas qu'au vih.
Ce qui implique alors une séropositivité probable au vih, aussi.

Expliquer cela est difficile, car le tout est abstrait. Parfois les explications mènent à des conclusions établies trop rapidement, nous privant d'un champ de vision qui

pourrait faire la part des choses.

Il est alors préférable de ne pas chercher d'explication, pour ne pas tirer de conclusion. Ce n'est pas être paresseux, ou mal penser ainsi.
Ne pas penser évite de mal penser, et quelque raisonnement dont on peut oublier beaucoup d'éléments.





> Donc ensuite je veux bien entendre, comme le dit Montagnier, qu'une immunité en bon état peut se débarrasser du virus en quelques semaines. Je veux bien entendre qu'un "co-facteur" type NO soit indispensable pour que ce virus procède à la destruction immunitaire X années plus tard et fasse passer la personne au stade "sida déclaré". Mais nier qu'il se passe bien quelque chose sexuellement qui donne la séropositivité, me semble un peu fort.

> De plus, 2 partenaires séronégatifs (fidèles évidemment), ne deviennent PAS séropositifs. Peu importe s'ils se droguent, utilisent du poppers ou je ne sais trop quoi, qui certes défoncera peut etre le système immunitaire, mais ne confèrera pas la séropositivité. ! Il y a donc bien quelque chose de contaminant. Raison pour laquelle l'hypothèse d'un vih endogène, miroir d'un stres oxydatif ou autre, me parait peu probable. Ou alors nous aurions des cas innombrables de couples fidèles, séroneg, qui deviennent, l'un ou l'autre, spontanément séropo... Jamais vu ça jusqu'à présent.



Il y a peut-être une incompréhension dans ce qu'est la séropositivité.

D'ailleurs, c'est aussi ce conflit actuel entre l'orthodoxie et la dissidence.

Probablement que l'utilisation de drogues ne confèrent pas la séropositivité, mais tenez compte du contexte de cette utilisation:

-le type de drogue
-la fréquence de l'utilisation
-la durée de cette fréquence.

De fait, ces facteurs jouent un rôle certain, qu'il ne faut point oublier, mettre de côté, ou négliger.

Cela à des conséquences sur les conclusions que vous pouvez tirer, lorsque vous dîtes qu'il y a "bien quelque chose de contaminant".
Vous avez pu passer sous ellipse ces facteurs, ou d'autres, qui permettent certains raccourcis.

Tout comme penser qu'il ne peut y avoir que les drogues, entraînant soit une séropositivité, soit un état immuno-dépressif.

La séropositivité n'exprime pas un état immuno-dépressif (appelé grossièrement SIDA)
Je pousserai jusqu'à dire qu'elle n'exprime rien, concrètement, et qu'il faudrait s'en moquer. Ce n'est pas ce qui importe.

L'état immuno-dépressif doit faire parler, s'il est observé. Après tout, il n'y a que cela qui est important, à mon sens uniquement.


Quant aux autres facteurs, je soumets l'idée qu'une mauvaise nutrition peut être une cause apparente de SIDA.
Ou encore une émotion négative (tristesse, colère, peur) menant à une dépression.

Mais là encore, le contexte doit être étudié ; les facteurs dont je parlais ci-dessus, de même.




- Supposons il y a bien un VIH contaminant qui génère la séropositivité. Supposons Montagnier ait raison et qu'on puisse s'en débarrasser avec un bon système immunitaire. Alors redevient-on "négatif" ? Ou les anticorps produits, qui génèrent la séropositivité, vont rester là définitivement et le test sortira positif pour toujours sans pour autant avoir toujours le virus dans le sang ??


C'est le même problème: qu'est-ce qu'être séropositif ?

Voilà la vrai question. :)

Et si on s'en moquait ? Si nous nous passions de la séropositivité ? Cela vous rendrait-il plus ou moins malade, ou en bonne santé, que

vous l'êtes déjà ?

Faîtes-vous plus confiance.
Votre corps a en lui un grand pouvoir de guérison ; misez sur lui.

Ce que vous voyez à la surface de votre corps, sert de repère, en ce qui concerne votre santé. La langue en dit beaucoup, par exemple.

Ce qui compte est ceci, sur le moment présent: vous sentez-vous malade ou non ?

Étudiez bien votre peau, sa couleur ; vos ongles, etc...


Il faut apprendre à se connaître.
Il faut apprendre aussi de son alimentation.

On entend bien qu'il faut manger des fruits et des légumes, chaque jour.
On entend que trop rarement qu'il vous faut les manger crus, la plupart du temps.
Et ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres.



Le problème étant que, ceux qui sont dans les labos, ne sont plus réellement proches de la nature, directement.


On oublie beaucoup ainsi ; et on oublie fatalement l'essentiel.

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Il ne vient pas du marais. C'est un jeune gars plutot correct, qui n'a eu que très rarement des relations non protégées. Et qui a une vie sexuelle je dirais "standard". Ce n'est pas le cliché du pédé du marais qui se fait sodomiser sans capote dans les backrooms.

Bref, quoi qu'il en soit, j'entends bien ce que tu dis...

Je parlais de son partenaire en fait.

Aurais tu une idée AIXUR, sur la question que j'ai posée à la fin de mon premier post ?? Rappel :- Supposons il y a bien un VIH contaminant qui génère la séropositivité. Supposons Montagnier ait raison et qu'on puisse s'en débarrasser avec un bon système immunitaire. Alors redevient-on "négatif" ? Ou les anticorps produits, qui génèrent la séropositivité, vont rester là définitivement et le test sortira positif pour toujours sans pour autant avoir toujours le virus dans le sang

Je ne crois pas au vih. Mais bon, je vais me prêter à l'exercice. Difficile de répondre à la question, puisque d'après la théorie officielle, selon les cas, les anticorps peuvent rester activés pendant des dizaines d'années, ou alors juste quelques mois. Donc, si ça se passait bien comme le dit Montagnier, on ne pourrait le savoir que si les anticorps se désactivaient relativement rapidement (quelques années). S'il fallait des dizaines d'années, le phénomène resterait caché pendant très longtemps.

Ma théorie est différente. Selon moi, il n'y a pas de vih et pas de système immunitaire. En fait, les tests réagissent plus ou moins en fonction de 1) la quantité de particules présentes dans le sang, 2) la réactivité du sang, qui est plus ou moins importante selon le type de groupe sanguin et peut-être le taux de certains sels minéraux (et peut-être aussi de l'acidité du sang, à voir).

Donc, plus il y a de débris cellulaires, plus le sang risque de réagir positif. D'où le fait que la prise d'antibiotiques ou d'autres médicaments désagrégeant les cellules fasse réagir positif le test vih. Comme ces substances désagrègent les cellules et les débris, il y a multiplication des particules présentes dans le sang et il y a donc une probabilité de réaction avec les particules du test bien supérieure. En fait, en grande partie, le test vih est un test estimant la concentration du sang.

D'où le fait qu'effectivement, une personne puisse redevenir négative assez facilement. Le problème du groupe sanguin peut éventuellement continuer à jouer. Mais normalement, il est insuffisant tout seul pour positiver le test.

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Aixur,

Ton idée concernant le fait qu'il n'y ait pas de système immunitaire est intéressante.


Je suis d'accord avec tout ce que tu soulèves, concernant la séropositivité au vih.



Si je suis ton idée, elle vient mettre une brique à ce que je peux penser, depuis un temps:

L'esprit guérit tout.

Quand le corps est malade, l'esprit est malade.
Quand l'esprit est malade, le corps peut l'être.

Si l'esprit est en bonne santé, le corps l'est aussi.

Cependant, si nous alimentons mal le corps, s'il est soumis à une importante toxicité dû à

quelque élément qui nous sont totalement étrangers, alors le corps n'est pas malade, en ce sens.

Il est encrassé, et peut s'endommager, causant alors de sérieux troubles internes.



Cela serait aussi simple que ça, mais je ne veux rien déduire de ce raisonnement.


Modifié par Erudit
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@Erudit,

Personnellement, je suis plus matérialiste. Je pense que l'organisme est un système mécanico-physico-chimique, complexe, mais stable et robuste. Et ce système fonctionne bien sous des conditions normales. Les problèmes du corps sont d'ordre mécanique ou physique ou chimique (ou les deux ou les trois en même temps bien sûr). Et la plupart du temps, la cause des pépins de santé n'a rien de mystérieux. Ca vient soit de l'absorption de substances nocives ou inadéquates pour le corps, de la fatigue, du manque d'exercice physique, d'un excès d'exercice physique, du stress (donc, effectivement, là, le mental a une influence sur le physique) et de quelques autres causes de ce genre.

Donc, en supprimant la cause du problème, la santé doit se rétablir. Sauf si l'organisme a été endommagé pendant trop longtemps. Mais il a tout de même une bonne capacité d’autoréparation.

Et quelqu'un qui est en bonne santé n'a pas de raison de tomber malade s'il a une bonne alimentation et une vie saine. Evidemment, avec l'âge, des petits pépins physiques peuvent apparaitre. Mais on devrait pouvoir vivre plus longtemps qu'actuellement. Je pense que la médecine supprime environ 15 ans de vie en moyenne.

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La medecine occidentale reste quand même une medecine exceptionnelle en ce qui concerne la chirurgie, l'urgence, la réanimation etc. Je suis en revanche beaucoup plus réservé sur tous les medicaments chimiques qu'elle prescrit...

Mais si on va chercher par là, à moins d'avoir une consommation industrielle de médicaments sur la durée, je pense pas que les méfaits soient plus importants que la merde qu'on bouffe toute la journée. Nos bouffes sont pleines à craquer de pesticides et de produits chimiques en tout genre. Ce qu'on respire aussi, et l'air plein à craquer des produits de la combustion des hydrocarbures etc

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Aixur,

Je vois très bien là où vous voulez en venir.

Je conçois très bien l'idée matérialiste que vous pouvez avoir de la chose ; et sur ce point, je pense comme vous.

En ce qui concerne les éléments toxiques, au sein du corps (cerveau compris), de même.



Quand je parlais de l'esprit, c'est une image plus matérialiste que spirituelle... Quoique...

Peut-être que je n'emploie pas correctement les bons mots, pour m'expliquer, il est vrai.

Je ne sais pas, en vérité, comment définir cela.


Il s'agit de l'état de santé de l'esprit.
Ce que je veux dire, c'est que le cerveau peut surchauffer, être fatigué ; être encrassé, ou endommagé.
Mais l'esprit, à travers les passions, peut être malade.


C'est difficile à expliquer ; je ne sais pas si je me fais bien comprendre.


Qui plus est, je pense que tout le corps est concerné, mais que le pouvoir réparateur de notre corps, concernant

une maladie, est au sein de notre esprit.

Si on parle d'endommagement, il est dirigé par le corps lui-même, localement.
Exemple: une blessure à la surface de la peau, par exemple ; le corps est endommagé.

Mais une maladie du corps peut être expliqué par un esprit passionné.

Ainsi, si l'esprit va mieux, le corps peut aller mieux.



Je pense cela, mais quelque chose bloque, dans mon raisonnement.


J'envisage ici l'idée que le mental génère ou non la maladie, au sein de notre corps,

donc physiquement.

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MTE,

Oui, pour votre petit dernier paragraphe.


Concernant notre médecine occidentale, il faudrait se plonger dans la médecine chinoise ; vous verrez,

c'est extrêmement passionnant.


Pour cette médecine, notre peau, ce que l'on voit à la surface du corps, cela sert de carte de santé.
Notre bouche y compris.

Ensuite, c'est une question de pouls ; il y en a beaucoup, plus de 70.


Et toutes les connaissances partent de là, pour guérir le corps.


Puis, il y a l'utilisation de plantes, à côté de ça.


C'est complexe, car en réalité, d'une grande précision.


Je conçois la chirurgie comme utile, seulement pour de gros chocs, donc des accidents.


Concernant le reste, il serait plus raisonnable d'envisager d'autres voies, afin de se soigner, d'abord.

Et ces voies peuvent, aujourd'hui, nous être totalement cachées, si nous ne faisons pas le nécessaire,

pour trouver nous-mêmes les réponses.

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MTE

dans mon cas, test positif en 2004, pas de traitement

celà fait 3 ans que nous avons des rapport non protégés avec mon mari.( je précise qu'il a su pour mon test avant le premier rapport)..il a fait un test par curiosité il y a un peu plus d'un mois: négatif (j'ai dj rencontré une personne dans le même cas après plus de 10 ans de rapport non protégés)

Pour moi, une explication est à trouver dans le sens des maladies, ce qu'elle vient nous apprendre ( voir la métamédecine par exemple)

autre chose, je me défini jamais comme séropositive, mais comme ayant eu un test positif...je trouve important de ne pas s'identifier à ce résultat ( c'est valable pour tout d'ailleurs)

bonne soirée

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La medecine occidentale reste quand même une medecine exceptionnelle en ce qui concerne la chirurgie, l'urgence, la réanimation etc. Je suis en revanche beaucoup plus réservé sur tous les medicaments chimiques qu'elle prescrit...

Mais si on va chercher par là, à moins d'avoir une consommation industrielle de médicaments sur la durée, je pense pas que les méfaits soient plus importants que la merde qu'on bouffe toute la journée. Nos bouffes sont pleines à craquer de pesticides et de produits chimiques en tout genre. Ce qu'on respire aussi, et l'air plein à craquer des produits de la combustion des hydrocarbures etc

Oui, la chirurgie, la médecine d'urgence et la réanimation, c'est très bien. Je suis tout à fait d'accord avec ça. Je dirais que ça fait gagner 5 ans d'espérance de vie.

Seulement, la partie négative de la médecine fait perdre dans les 20 ans d'espérance de vie. D'où les 15 ans de mon estimation globale.

Le problème, ce sont tous les diagnostics erronés et les traitements qui s'ensuivent. Et aussi la prise de médicaments pour des maladies chroniques qui finissent par directement tuer le patient ou aboutir à des diagnostics de maladie mortelle ou d'état terminal.

Par exemple, dans la partie diagnostics erronés, on peut penser que la plupart des tumeurs n'auraient en réalité pas conduit du tout à la mort. Si les gens meurent, c'est à cause d'une part de la chimio, mais encore plus à cause de la morphine donnée pour atténuer les douleurs ou quand on estime la personne en fin de vie. Il suffit de voir le nombre énorme de gens qui étaient en bonne santé; qui ne ressentaient absolument aucune gène lors de la découverte de la tumeur, dont le traitement a soi-disant fait régresser celle-ci de 20 ou 30 %, et qui meurent malgré tout. Il est clair que seul le traitement peut les avoir tués.

Le diagnostic d'état terminal est également un facteur de mort énorme. La plupart du temps, les gens pourraient survivre encore de longues années. Mais à cause du diagnostic d'état terminal, les médecins tuent les patients en leur donnant de la morphine à hautes doses, et aussi en supprimant l'alimentation et éventuellement l'hydratation.

Comme exemple de diagnostic erroné, cette fois sur une maladie chronique, on a aussi le diabète de type II. Il s'agit surtout d'un problème lié à l'alimentation et souvent à la prise de médicaments. Donc, rien à voir avec une maladie chronique, c'est à dire avec un phénomène naturel. Seulement, ensuite, le traitement du diabète esquinte petit à petit le corps. Et la personne finit par mourir, soit directement à cause du traitement, soit parce qu'on a établit un diagnostic de phase terminale suite à un pépin physique provoqué par le traitement.

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Par exemple, dans la partie diagnostics erronés, on peut penser que la plupart des tumeurs n'auraient en réalité pas conduit du tout à la mort. Si les gens meurent, c'est à cause d'une part de la chimio, mais encore plus à cause de la morphine donnée pour atténuer les douleurs ou quand on estime la personne en fin de vie. Il suffit de voir le nombre énorme de gens qui étaient en bonne santé; qui ne ressentaient absolument aucune gène lors de la découverte de la tumeur, dont le traitement a soi-disant fait régresser celle-ci de 20 ou 30 %, et qui meurent malgré tout. Il est clair que seul le traitement peut les avoir tués.

Oui, ça très probablement juste. D'ailleurs, y'a une étude officielle qui l'avait reconnu concernant la prostate. Il était question de remettre en cause le dépistage systématique à partir d'un certain age pour le cancer de la prostate, car de très nombreux cas en avaient, mais ne se developpait jamais..

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MTE

dans mon cas, test positif en 2004, pas de traitement

celà fait 3 ans que nous avons des rapport non protégés avec mon mari.( je précise qu'il a su pour mon test avant le premier rapport)..il a fait un test par curiosité il y a un peu plus d'un mois: négatif (j'ai dj rencontré une personne dans le même cas après plus de 10 ans de rapport non protégés)

Pour moi, une explication est à trouver dans le sens des maladies, ce qu'elle vient nous apprendre ( voir la métamédecine par exemple)

autre chose, je me défini jamais comme séropositive, mais comme ayant eu un test positif...je trouve important de ne pas s'identifier à ce résultat ( c'est valable pour tout d'ailleurs)

bonne soirée

Merci pour ton témoignage interessant. Mais à vrai dire, même si on s'en tient à la théorie officielle vih/sida, je ne suis pas tellement surpris de cela. Pourquoi ? Tout simplement car il n'est pas évident de transmettre de Femme à Homme, et je crois avoir compris que tu es une femme ??

Effectivement, ce n'est pas l'homme qui reçoit le sperme dans la relation hétéro... Et si tes sécrétions vaginales sont potentiellement contaminantes, il faut encore qu'il ait des petites lésions au niveau du pénis, ce qui n'est pas systématique non plus., ou que la quantité de virus ne penetre pas en assez grande quantité (argument souvent employé par l'orthodoxie et pas forcément stupide en soi). Surtout pour ceux qui sont circoncis, ou le gland devient plus "resistant". Je ne sais pas si c'est le cas de ton conjoint.

Donc probablement que sur le lot d'hétéros il doit y avoir pas mal dans le cas de toi et ton mari, et même comme je le répète si la théorie officielle était vraie.

Cela montrerait simplement que comme "prévu", le mode de contamination le plus "facile" reste la sodomie passive, où là la paroi étant particulièrement perméable, vu que c'est son role, la contamination est facile, d'où le nombre d'homos contaminés. Ce qui est là aussi est assez logique, si on admet vih>sida de la manière officielle.

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Quoi qu'il en soit pour ma part, j'essaye de voir les choses de manière pragmatiques et avec les moyens de vérifications qui sont à ma disposition, c'est à dire comme pour la plupart d'entre vous : peu de moyens. Entendre les témoignages, lire les études, écouter ceux qui disent les uns et les autres, orthodoxie et dissidence.

Et je n'arrive toujours pas, (si tant est que ce soit possible un jour), à trancher...

D'un coté je constate des choses, comme le témoignage de mon pote dont j'ai parlé plus haut, et qui me font dire, malgré les tergiversations un peu "exagérées" que j'ai pu lire ici, que la théorie officielle et vraie, et qu'il a bien été contaminé par ce rapport. Il allait se faire tester très régulièrement, a toujours été négatif. Et suite à un rare rapport receptif non protégé, il a eu un épisode infectieux, et a eu une séro conversion comme l'indique la théorie officielle. J'ai un peu du mal à avaler les arguments qu'on me donne, du style c'est à cause d'un "paracétamol"... Bref...

Et d'un autre coté, je suis bien obligé de constater qu'il y a de nombreuses failles, incohérences, aberrations dans la théorie officielle. Aberrations qui ont certainement conduit un gars comme Montagnier à en arriver à dire que le VIH peut s'éliminer avec un organisme en bonne santé, ou qu'il faut des co-facteurs, car il constate bien que le vih seul ne détruit pas les cd4.. etc etc...

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Non je t'assure que je suis ouvert d'esprit, et seule la recherche de la vérité m'interesse. Comme je vous dis j'essaye de prendre en compte ce qui me semble cohérent, et ce qui ne me le semble pas. Et effectivement, il me semble que dans la théorie officielle il y a des choses cohérentes, et d'autres beaucoup moins explicables et beaucoup plus étranges.

Dès lors je donne aussi mon avis, et c'est également dans mes objectifs de voir ce que les uns et les autres peuvent répondre face aux arguments officiels.

Donc dans pour votre témoignage, ça ne me parait pas totalement incompatible avec la théorie officielle, mais interessant néanmoins.

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