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forum sidasante

Nouveau venu, réaction et questions


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Bonjour tous !

Je suis nouveau ici.

Je me suis "passionné" depuis de nombreuses années pour cette question du vih/sida, bien que n'en étant pas atteint moi-même. Bien qu'il y ait manifestement de nombreuses zones d'ombre, des incohérences et des étrangetés, il me semble néanmoins qu'il est à peine croyable de nier l'implication de quelque chose sexuellement transmissible (virus ou autre) qui génère la séropositivité. Je m'explique :

> En effet, comment expliquer les cas, innombrables, de gens qui étaient séronégatifs, qui ont eu 1 relation sexuelle non-protégée, ont un épisode infectieux type "seroconversion" quelques jours à quelques semaines après et se retrouvent séropositifs ? Qui m'explique cela ??

> Donc ensuite je veux bien entendre, comme le dit Montagnier, qu'une immunité en bon état peut se débarrasser du virus en quelques semaines. Je veux bien entendre qu'un "co-facteur" type NO soit indispensable pour que ce virus procède à la destruction immunitaire X années plus tard et fasse passer la personne au stade "sida déclaré". Mais nier qu'il se passe bien quelque chose sexuellement qui donne la séropositivité, me semble un peu fort.

> De plus, 2 partenaires séronégatifs (fidèles évidemment), ne deviennent PAS séropositifs. Peu importe s'ils se droguent, utilisent du poppers ou je ne sais trop quoi, qui certes défoncera peut etre le système immunitaire, mais ne confèrera pas la séropositivité. ! Il y a donc bien quelque chose de contaminant. Raison pour laquelle l'hypothèse d'un vih endogène, miroir d'un stres oxydatif ou autre, me parait peu probable. Ou alors nous aurions des cas innombrables de couples fidèles, séroneg, qui deviennent, l'un ou l'autre, spontanément séropo... Jamais vu ça jusqu'à présent.

> En ce qui concerne les homos, le nombre de "séropos" plus élevé que chez les "hétéros", a une cause évidente : le sperme dans le rectum. La paroi de ce dernier étant largement plus perméable que celle du vagin, le facteur contaminant se transmet donc largement plus facilement.

Si quelqu'un a envie de réagir, donner son avis, m'indiquer si ce que je dis ci-dessus est faux et pourquoi, c'est volontiers...

Ensuite j'ai quelques interrogations, et j'aimerais bien que quelqu'un qui sait, y réponde :

- Supposons il y a bien un VIH contaminant qui génère la séropositivité. Supposons Montagnier ait raison et qu'on puisse s'en débarrasser avec un bon système immunitaire. Alors redevient-on "négatif" ? Ou les anticorps produits, qui génèrent la séropositivité, vont rester là définitivement et le test sortira positif pour toujours sans pour autant avoir toujours le virus dans le sang ??

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Bonsoir à toi et bienvenue,

Tu excuseras le caractère lapidaire de mes réponses, mais ces questions ont déjà fait l'objet de nombreuses discussions dans les archives. Je sais qu'elles sont difficile à lire, dispersées dans des dizaines de fils... mais c'est la vie des forums.

> En effet, comment expliquer les cas, innombrables, de gens qui étaient séronégatifs, qui ont eu 1 relation sexuelle non-protégée, ont un épisode infectieux type "seroconversion" quelques jours à quelques semaines après et se retrouvent séropositifs ? Qui m'explique cela ??

Ces cas sont peut-être innombrables, mais tout autant le sont les cas de personnes qui restent séronégatives après un épisode infectieux, et ceux qui étaient déjà séropositifs mais n'ont fait le test qu'après l'infection. Seul un suivi régulier d'une cohorte sur de longues années permettrait de se faire une idée. Si tu as des sources précises, je suis preneur. Je te renvoie à cette discussion sur ce fil récent, avec des liens sur d'autres messages plus anciens du forum. Pour ma part, comme Wallypat en son temps, et même l'orthodoxie le confirme aujourd'hui à demi-mot, c'est plutôt la persistance d'un état inflammatoire qui provoque la séropositivité plutôt que l'inverse; c'est dans ce cadre inversé qu'il me paraît intéressant de replacer les primo-infections.

> Donc ensuite je veux bien entendre, comme le dit Montagnier, qu'une immunité en bon état peut se débarrasser du virus en quelques semaines. Je veux bien entendre qu'un "co-facteur" type NO soit indispensable pour que ce virus procède à la destruction immunitaire X années plus tard et fasse passer la personne au stade "sida déclaré". Mais nier qu'il se passe bien quelque chose sexuellement qui donne la séropositivité, me semble un peu fort.

Ce point ne fait pas consensus dans ce forum comme chez les dissidents. Je suis personnellement de l'avis du Perth Group que le lien avec la sexualité existe, mais limitée à la réception anale fréquente et répétée du sperme (non comme porteur d'un supposé rétrovirus mais en tant que substance oxydante), et à l'utilisation de drogues récréatives en lien avec les rapports sexuels (amphétamines diverses et poppers notamment).

> De plus, 2 partenaires séronégatifs (fidèles évidemment), ne deviennent PAS séropositifs. Peu importe s'ils se droguent, utilisent du poppers ou je ne sais trop quoi, qui certes défoncera peut etre le système immunitaire, mais ne confèrera pas la séropositivité. ! Il y a donc bien quelque chose de contaminant. Raison pour laquelle l'hypothèse d'un vih endogène, miroir d'un stres oxydatif ou autre, me parait peu probable. Ou alors nous aurions des cas innombrables de couples fidèles, séroneg, qui deviennent, l'un ou l'autre, spontanément séropo... Jamais vu ça jusqu'à présent.

Quelle source as-tu, à part tes yeux et tes oreilles ? Seule une poignée d'étude prospective suivant une cohorte sur plusieurs années existent, et je ne connais pas d'étude ayant suivi des couples dont les deux membres à l'origine étaient séronégatifs (du moins dans les pays développés). Mais je serai ravi d'avoir des infos si tu en as. Les couples sérodiscordants hétéros comme homos, sont nombreux, comme le montrent des témoignages sur nombres de forum - et pas seulement celui-ci. Comme on ne peut jamais dater le moment d'apparition de la séropositivité, cette question est impossible à trancher sans étude prospective.
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Oui je me doute bien que ce sont des questions qui ont été posées plusieurs fois au cours des 30 dernières années, mais bon, ça permet de refaire le point, permettre aux nouveaux arrivants comme moi d'avoir quelques précisions, et de se faire idée, sur des points où ils se questionnent.

Merci d'avoir pris le temps de répondre et donné ton avis.

Les personnes restant seronégatives après un épisode infectieux, à mon sens cela signifie 2 choses : soit que cet épisode est totalement indépendant de la relation sexuelle, soit que l'organisme a éliminé le truc vite fait, et non pas que l'infection sexuelle n'a pas eue lieu... Cependant, sur ce point précis, à moi de te demander tes sources concernant des gens qui ont eu un épisode infectieux suite à une relation non protégée, et qui n'ont pas été infectées. Ce ne serait de toute façon pas la preuve que ce n'est pas sexuellement transmissible ou que le vih n'existe pas. Tout au plus que la personne ne l'a pas contracté.

Pour la suite de mes questions, ça ne répond pas malheureusement à mes interrogations. Ce n'est pas la reception anale fréquente et répétée du sperme qui confère la séropositivité. Je peux te confirmer qu'une seule suffit. J'ai le cas d'un ami, qui était SUR et CERTAIN séronégatif car il se dépiste SOUVENT depuis longtemps. Il a eu 1 seule relation non protégée en tant que receptif homosexuel, et il l'a choppé. Quinzaine de jours plus tard, épisode infectieux, il s'est douté... il a attendu les délais pour se faire dépister et il a été diagnostiqué séropo. Il est retourné voir le mec avec qui il a baisé, et ce mec a confirmé qu'il était séropo... Donc ce seul exemple montre bien, qu'il y a quelque chose qui est passé de l'un à l'autre. Jusqu'à preuve du contraire, et je le répète, si tu le fais avec un séroneg, tu ne deviendras pas séropositif, et même si tu le fais de nombreuses fois. Dans le cas contraire, c'est à toi de me montrer les études qui prouvent que j'ai tord. Les témoignages comme ça sont légions, en revanche, je n'ai jamais entendu quelqu'un qui était SERONEG, qui a une relation avec un SERONEG, et se tape ensuite un épisode infectieux et se retrouve dans la foulée seropo !

Si d'autres veulent bien donner leur avis sur mon post de départ ce serait cool. Notamment parmi ceux qui s'y connaissent le mieux.

Modifié par MTE
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D'abord, bienvenu sur le forum.

Ensuite, pour répondre aux questions :

Ben justement, vu la transmissibilité très faible du vih par voies sexuelles, c'est assez étonnant que des gens se fassent contaminer dès le premier rapport. Mais bon, bien sûr, il est possible qu'il y ait quelques cas comme ça, même en restant dans la théorie officielle. Mais ça reste forcément rare. Il ne s'agit pas de cas "innombrables", enfin, en tout cas pas en pourcentage. Dans l'écrasante majorité des cas, il faut apparemment beaucoup de relations sexuelles pour être contaminé.

Et du coté dissident, ça s'explique très facilement. Les résultats des tests sont faits en partie à la tête du client. Donc, si la personne vit une vie un peu dissolue, le médecin aura tendance à considérer plus facilement qu'un test indéterminé est positif et qu'un test négatif est indéterminé. Ça devait être d'autant plus le cas lors de la période d'hystérie sur le sida. Et aussi quand les médecins ne connaissaient pas les taux de contamination par acte.

Par ailleurs, dans la catégorie des trucs plus matériels, comme les tests réagissent à la prise d'antibiotiques, de drogues, et aussi quand une personne est malade, il suffit que le conjoint soit dans une de ces catégories pour que le test ait des risques de réagir positif. Donc, on peut tout à fait se retrouver avec quelques personnes qui se retrouvent positives après seulement quelques relations sexuelles.

Le problème de ton genre d'opinion, c'est qu'elle se base sur l'idée que le test est infaillible et donc, que s'il est positif, ça ne peut venir que d'une transmission sexuelle. Sauf que les tests ne sont pas fiables.

Concernant les deux partenaires qui prennent des drogues ou autre sans positiver le test, ben, dans leur esprit et dans celui du médecin, il n'y a pas de raison qu'ils se fassent tester s'ils n'ont pas de comportements à risque. Idem pour deux partenaires, si l'un des deux est positif mais que l'autre se protège (ce qui est le cas dans 99 % des couples de ce genre). Et même s'ils se font tester, ils ne vont pas forcément positiver. Ce n'est pas parce que les drogues, antibiotiques, maladies et autres éléments peuvent positiver un test que ça le fait tout le temps. D'autant plus que le taux de réaction des test a du être abaissé au fur et à mesure des années. Et il était déjà assez bas à la base. Donc, même au début, tous les drogués, consommateurs d'antibiotiques, etc..., ne positivaient pas tous les tests.

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Pour la suite de mes questions, ça ne répond pas malheureusement à mes interrogations. Ce n'est pas la reception anale fréquente et répétée du sperme qui confère la séropositivité. Je peux te confirmer qu'une seule suffit. J'ai le cas d'un ami, qui était SUR et CERTAIN séronégatif car il se dépiste SOUVENT depuis longtemps. Il a eu 1 seule relation non protégée en tant que receptif homosexuel, et il l'a choppé. Quinzaine de jours plus tard, épisode infectieux, il s'est douté... il a attendu les délais pour se faire dépister et il a été diagnostiqué séropo. Il est retourné voir le mec avec qui il a baisé, et ce mec a confirmé qu'il était séropo... Donc ce seul exemple montre bien, qu'il y a quelque chose qui est passé de l'un à l'autre. Jusqu'à preuve du contraire, et je le répète, si tu le fais avec un séroneg, tu ne deviendras pas séropositif, et même si tu le fais de nombreuses fois. Dans le cas contraire, c'est à toi de me montrer les études qui prouvent que j'ai tord. Les témoignages comme ça sont légions, en revanche, je n'ai jamais entendu quelqu'un qui était SERONEG, qui a une relation avec un SERONEG, et se tape ensuite un épisode infectieux et se retrouve dans la foulée seropo !

Si d'autres veulent bien donner leur avis sur mon post de départ ce serait cool. Notamment parmi ceux qui s'y connaissent le mieux.

Donc, il y a très probablement le biais des antibiotiques ou d'un autre traitement dans le cas dont tu parles ici. Ton ami a eu des manifestations physiques d'un problème de santé. Il est certainement allé voir un médecin. Celui-ci a du le traiter avec des médicaments, probablement des antibiotiques. Et ENSUITE, il s'est fait dépister. Sauf qu'entretemps, il avait pris des médicaments qui peuvent positiver le test (et qui l'ont très certainement fait).

Mais quelqu'un qui ne connait pas le truc va penser que c'est forcément quelque chose de transmissible sexuellement qui est à l'origine de la positivité.

Effectivement, c'est logique. Sauf qu'il y a un truc qui biaise l'ensemble du raisonnement. Entre le moment où il a eu la relation sexuelle à risque et le moment où il s'est fait tester, il s'est passé quelque chose de pas du tout anodin : il a pris des médicaments.

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Aixur :

> La transmissibilité faible ?? Moi je la trouve relativement élevée. Faible car y'a statisquement peu de séropos. Et que dans la relation hétéro, la paroi vaginale est moins perméable que dans la relation anale fréquente chez les homos. Là, où on trouve le plus de contamination.

Ne te méprends pas, je n'attaque personne ici. Je suis le premier à considérer depuis longtemps que y'a des choses pas claires dans cette théorie vih>sida. Mais y'a aussi des points qui me parraissent difficilement contestables. Quand je vois des cas comme celui du pote que j'ai cité... je lui réponds quoi ?? Qu'il délire ? Que c'est le hasard qu'après avoir été sodomisé sans capote, il soit devenu séropo alors que l'autre mec l'était déjà, et que lui se faisait dépister depuis des années très régulièrement, n'était pas séropo, et n'avait pas eu de relation non protégées depuis très longtemps ?? C'est un mec de 24 ans, qui à part fumer un peu, ne se drogue pas, a une vie tout à fait normale.

Et des cas comme ça, y'en a plein. Allez discuter avec des gays séropos, et vous verrez. Certains peuvent utiliser des poppers, des machins etc, mais parmi les séropos y'en a aussi plein qui ont eu, une vie normale, et ont été contaminés selon le parcours que je décris dans le témoignagne.

C'est quand même génant...

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Pour la suite de mes questions, ça ne répond pas malheureusement à mes interrogations. Ce n'est pas la reception anale fréquente et répétée du sperme qui confère la séropositivité. Je peux te confirmer qu'une seule suffit. J'ai le cas d'un ami, qui était SUR et CERTAIN séronégatif car il se dépiste SOUVENT depuis longtemps. Il a eu 1 seule relation non protégée en tant que receptif homosexuel, et il l'a choppé. Quinzaine de jours plus tard, épisode infectieux, il s'est douté... il a attendu les délais pour se faire dépister et il a été diagnostiqué séropo. Il est retourné voir le mec avec qui il a baisé, et ce mec a confirmé qu'il était séropo... Donc ce seul exemple montre bien, qu'il y a quelque chose qui est passé de l'un à l'autre. Jusqu'à preuve du contraire, et je le répète, si tu le fais avec un séroneg, tu ne deviendras pas séropositif, et même si tu le fais de nombreuses fois. Dans le cas contraire, c'est à toi de me montrer les études qui prouvent que j'ai tord. Les témoignages comme ça sont légions, en revanche, je n'ai jamais entendu quelqu'un qui était SERONEG, qui a une relation avec un SERONEG, et se tape ensuite un épisode infectieux et se retrouve dans la foulée seropo !

Si d'autres veulent bien donner leur avis sur mon post de départ ce serait cool. Notamment parmi ceux qui s'y connaissent le mieux.

Donc, il y a très probablement le biais des antibiotiques ou d'un autre traitement dans le cas dont tu parles ici. Ton ami a eu des manifestations physique d'un problème de santé. Il est certainement allé voir un médecin. Celui-ci a du le traiter avec des médicaments, probablement des antibiotiques. Et ENSUITE, il s'est fait dépister. Sauf qu'entretemps, il avait pris des médicaments qui peuvent positiver le test (et qui l'ont très certainement fait).

Mais quelqu'un qui ne connait pas le truc va penser que c'est forcément quelque chose de transmissible sexuellement qui est à l'origine de la positivité. Effectivement, c'est logique. Sauf qu'il y a un truc qui biaise l'ensemble du raisonnement. Entre le moment où il a eu la relation sexuelle à risque et le moment où il s'est fait tester, il s'est passé quelque chose de pas du tout anodin : il a pris des médicaments.

Alors là non, je suis absolument formel. Je m'interesse à ces questions depuis des années, donc je peux vous dire que quand il m'a annoncé ça, étant un ami proche, je l'ai questionné sur le parcours et très précisement comment ça c'est passé. Il a eu un épisode infectieux avec diarrhées, fièvre etc. Il a pris des médocs de base, tout seul, genre smecta, paracétamol etc etc. Il n'est allé voir le doc que bien plus tard pour lui demander un test. Là je suis formel là dessus.

Mais dans ta logique, supposons il aurait pris un antibio et il sort positif au test ensuite... Ca signifierait qu'il peut en faire un autre, et être négatif à présent ??

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Bien plus tard, c'est quand exactement ? Et même s'il avait arrêté les médoc, ça peut positiver un test pendant encore un ou deux mois après l'arrêt je pense. Et il faudrait voir s'il n'avait pas pris encore autre chose peu de temps avant le test.

Sinon, dans ma logique, oui, on peut tout à fait redevenir séronégatif. C'est parce que quasiment personne n'a essayé de repasser des tests de façon anonyme qu'on n'a quasiment aucun résultat à ce niveau-là parmi les dissidents. Enfin, il y en a deux qui ont essayé : un est redevenu négatif et un autre était encore positif. Mais, je pense qu'avec quelques dizaines ou centaines de cas, on en verrait beaucoup redevenir négatifs (s'ils ont arrêté les médoc depuis un certain temps évidemment, et qu'il n'en ont pas pris pendant 15 ans).

Edit : et sinon, le paracétamol, ça peut tout à fait positiver un test.

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Je n'ai pas la date précise de sa visite au medecin ensuite, mais dans les 15 jours à 3 semaines après. et ce dernier lui a fait l'ordo pour qu'il aille faire le test dans les délais minimum pour que ce soit censé fonctionner.

Ceci dit, j'y reviens encore : comment lui expliquer que c'est le hasard qu'il soit devenu séropo, après la seule relation sans capote eue depuis très longtemps et avec un mec qui comme par hasard, s'avère séropo aussi... C'est un peu fort je trouve comme coincidence.

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Je ne me suis pas tapé l'intégralité des posts pour savoir si la question a été évoquée, mais au final, ne serait-ce pas Montagnier qui aurait raison ??

C'est à dire qu'un organisme en bonne santé peut se débarrasser du VIH, et que pour que ce dernier commence la phase de destruction immunitaire, il faille un co-facteur ???

Ca expliquerait tout non ?? notamment le fait que certains déclarés positifs, se portent comme un charme, justement car le virus a été éliminé...

Non ??

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Les personnes restant seronégatives après un épisode infectieux, à mon sens cela signifie 2 choses : soit que cet épisode est totalement indépendant de la relation sexuelle, soit que l'organisme a éliminé le truc vite fait, et non pas que l'infection sexuelle n'a pas eue lieu... Cependant, sur ce point précis, à moi de te demander tes sources concernant des gens qui ont eu un épisode infectieux suite à une relation non protégée, et qui n'ont pas été infectées. Ce ne serait de toute façon pas la preuve que ce n'est pas sexuellement transmissible ou que le vih n'existe pas. Tout au plus que la personne ne l'a pas contracté.

Je vais être clair, parce que ça me soule les mecs qui arrivent dans un forum, on ne sait pas qui c'est, ils arrivent en ayant tout compris alors qu'ils n'ont rien lu, ça commence à me souler. Si je demande les sources de tes affirmations, et que ta seule réponse est de retourner la question de mes sources sans en donner aucune, c'est bon, je dois dire que j'aime autant dialoguer avec le mur de ma cuisine. Ciao mec.
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Déjà tu baisses d'un ton pauvre con. Je n'ai agressé personne ici, alors tu parles autrement. Je peux te dire que des trucs j'en ai lus, et ce n'est pas parec que j'ai pas forcément le même avis que toi, que je suis plus con. J'ai tout autant le droit que toi de te demander les sources de ce que tu affirmes.

Modifié par MTE
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Je n'ai pas la date précise de sa visite au medecin ensuite, mais dans les 15 jours à 3 semaines après. et ce dernier lui a fait l'ordo pour qu'il aille faire le test dans les délais minimum pour que ce soit censé fonctionner.

Ceci dit, j'y reviens encore : comment lui expliquer que c'est le hasard qu'il soit devenu séropo, après la seule relation sans capote eue depuis très longtemps et avec un mec qui comme par hasard, s'avère séropo aussi... C'est un peu fort je trouve comme coincidence.

Ben voilà, on est dans la zone de temps où il pouvait encore positiver à cause des médicaments.

Et effectivement, des gens dans cette situation, il y en a un certain nombre. La séquence est du même genre :

1) Le gars a une relation non protégée

2) Le gars stresse et somatise

3) A cause du stress, il se sent malade physiquement

3b) Parfois, il est malade simplement par hasard. Sur le nombre de personnes ayant des relations non protégées, forcément, ça arrive un certain nombre de fois

4) Il va voir le médecin

5) Celui-ci lui prescrit des médicaments qui peuvent positiver le test ; et en même temps, il lui fait une ordonnance pour aller se faire tester.

6) Le gars prend les médocs. Ils rendent alors possible le test positif

7) Le gars se fait tester alors qu'il est encore sous médicament, ou peu de temps après. Il est positif à cause des médicaments.

Que son partenaire ait été séropositif, c'est le hasard apparemment. Mais la séropositivité de ton ami, elle, elle est clairement due à l'absorption de médicaments qui positivent le test. Ici, il n'y a pas de hasard.

En tout cas, le partenaire est un beau salaud d'avoir eu une relation sexuelle alors qu'il se savait contaminé.

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Pour avoir parlé avec lui, je ne pense qu'il ait été stressé. Il n'a pas commencé sa vie sexuelle hier, et visiblement il a fait confiance au mec. Donc il a eu le doute quand il a eu les symptomes, pas avant.

Moi je continue de trouver ce genre de coincidences troublantes... Qui me fait dire qu'il y a bien quelque chose qui se transmet...

Cela dit oui, il serait interessant que les gens repassent des tests après, sans avoir commencé les médicamentations de trithérapies etc, pour voir si ça sort toujours positif.

Modifié par MTE
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Pour avoir parlé avec lui, je ne pense qu'il ait été stressé. Il n'a pas commencé sa vie sexuelle hier, et visiblement il a fait confiance au mec. Donc il a eu le doute quand il a eu les symptomes, pas avant.

Moi je continue de trouver ce genre de coincidences troublantes... Qui me fait dire qu'il y a bien quelque chose qui se transmet...

Cela dit oui, il serait interessant que les gens repassent des tests après, sans avoir commencé les médicamentations de trithérapies etc, pour voir si ça sort toujours positif.

Bon ben dans ce cas, il appartenait à la catégorie 3b décrite ci-dessus.

Concernant le partenaire, que celui-ci ait été positif, est un hasard peu fréquent. Mais selon le type de milieu gay auquel il appartenait, le fait qu'il soit parisien ou pas, qu'il soit immigré ou pas, etc..., la probabilité d'être positif pouvait être suffisamment élevée pour que le hasard d'être positif ne soit pas si extraordinaire que ça. On parle quand même d'une communauté encore relativement touchée par le sida. Un moine trapiste hétéro qui n'a pas vu une femme depuis 30 ans et qui est séropositif, c'est étonnant. Un gay parisien immigré fréquentant les backrooms du marais, sans être fréquent, ça l'est tout de même déjà plus. Et ça l'est peut-être suffisamment pour que sa séropositivité ne soit pas si incroyable.

Et puis, il s'agit d'un seul cas.

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Il ne vient pas du marais. C'est un jeune gars plutot correct, qui n'a eu que très rarement des relations non protégées. Et qui a une vie sexuelle je dirais "standard". Ce n'est pas le cliché du pédé du marais qui se fait sodomiser sans capote dans les backrooms.

Bref, quoi qu'il en soit, j'entends bien ce que tu dis...

Aurais tu une idée AIXUR, sur la question que j'ai posée à la fin de mon premier post ?? Rappel :- Supposons il y a bien un VIH contaminant qui génère la séropositivité. Supposons Montagnier ait raison et qu'on puisse s'en débarrasser avec un bon système immunitaire. Alors redevient-on "négatif" ? Ou les anticorps produits, qui génèrent la séropositivité, vont rester là définitivement et le test sortira positif pour toujours sans pour autant avoir toujours le virus dans le sang ??

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> De plus, 2 partenaires séronégatifs (fidèles évidemment), ne deviennent PAS séropositifs. Peu importe s'ils se droguent, utilisent du poppers ou je ne sais trop quoi, qui certes défoncera peut etre le système immunitaire, mais ne confèrera pas la séropositivité. ! Il y a donc bien quelque chose de contaminant. Raison pour laquelle l'hypothèse d'un vih endogène, miroir d'un stres oxydatif ou autre, me parait peu probable. Ou alors nous aurions des cas innombrables de couples fidèles, séroneg, qui deviennent, l'un ou l'autre, spontanément séropo... Jamais vu ça jusqu'à présent.

Moi pour le coup j'ai déjà vu : une jeune femme africaine, qui venait accoucher d'un nouveau né, a été détectée positive ainsi que le nouveau né. Mais le mari, son seul amant d'après elle puisqu'elle était vierge avant, était séronégatif. Pas de consommation de drogue. Interprétation du corps médical : "peut être qu'elle aurait été contaminée à cause d'une blessure ou d'une transfusion sanguine". Du grand n'importe quoi mais probablement moins rare qu'on le croit, car on ne fait aucune recherche systématique sur le sujet et qu'on va chercher à classer son cas dans une "cause" compatible avec la théorie VIH-SIDA. Et comment va-t-on interpréter le cas d'un couple de drogués, séropo ensemble? Qu'ils se sont transmis le VIH ou qu'ils étaient séronégatifs avant et que le fait de se mettre à consommer des drogues à haute dose les a rendus séropo?

Ensuite, comme le rappelle Aixur, encore faut-il que les tests soient fiables. Ton pote a peut être chopé une infection sexuellement transmissible qui positive le test sans qu'il s'agisse pour autant du VIH ou une merde quelconque. Rappelons que l'étude de Christine Johnson montrait que de nombreuses infections très classiques pouvaient rendre un test positif.

Pour ce qui est d'un risque de transmission anal-réceptif, le risque de séroconversion est de 50 sur 10000, soit 0,5%, ce qui n'est pas nul. Donc dans d'assez rares cas, statistiquement, ça arrive, et que c'est explicable par la théorie du groupe Perth ou qu'on peut avoir chopé tout à fait une infection autre qu'un virus que personne n'a su isoler correctement mais qui rend le test tout de même positif.

Sur ta question sur les anticorps, je ne suis pas spécialiste, mais sachant qu'une infection de rougeole par exemple assure une immunité à vie, c'est que vraisemblablement, si on fait le test sur quelqu'un qui a eu la rougeole, on devrait trouver les anticorps contre cette rougeole. Arrêtez moi si je dis une bêtise... Donc on pourrait avoir la même chose pour le supposé VIH.

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> De plus, 2 partenaires séronégatifs (fidèles évidemment), ne deviennent PAS séropositifs. Peu importe s'ils se droguent, utilisent du poppers ou je ne sais trop quoi, qui certes défoncera peut etre le système immunitaire, mais ne confèrera pas la séropositivité. ! Il y a donc bien quelque chose de contaminant. Raison pour laquelle l'hypothèse d'un vih endogène, miroir d'un stres oxydatif ou autre, me parait peu probable. Ou alors nous aurions des cas innombrables de couples fidèles, séroneg, qui deviennent, l'un ou l'autre, spontanément séropo... Jamais vu ça jusqu'à présent.

Moi pour le coup j'ai déjà vu : une jeune femme africaine, qui venait accoucher d'un nouveau né, a été détectée positive ainsi que le nouveau né. Mais le mari, son seul amant d'après elle puisqu'elle était vierge avant, était séronégatif. Pas de consommation de drogue. Interprétation du corps médical : "peut être qu'elle aurait été contaminée à cause d'une blessure ou d'une transfusion sanguine". Du grand n'importe quoi mais probablement moins rare qu'on le croit, car on ne fait aucune recherche systématique sur le sujet et qu'on va chercher à classer son cas dans une "cause" compatible avec la théorie VIH-SIDA. Et comment va-t-on interpréter le cas d'un couple de drogués, séropo ensemble? Qu'ils se sont transmis le VIH ou qu'ils étaient séronégatifs avant et que le fait de se mettre à consommer des drogues à haute dose les a rendus séropo?

Ensuite, comme le rappelle Aixur, encore faut-il que les tests soient fiables. Ton pote a peut être chopé une infection sexuellement transmissible qui positive le test sans qu'il s'agisse pour autant du VIH ou une merde quelconque. Rappelons que l'étude de Christine Johnson montrait que de nombreuses infections très classiques pouvaient rendre un test positif.

Pour ce qui est d'un risque de transmission anal-réceptif, le risque de séroconversion est de 50 sur 10000, soit 0,5%, ce qui n'est pas nul. Donc dans d'assez rares cas, statistiquement, ça arrive, et que c'est explicable par la théorie du groupe Perth ou qu'on peut avoir chopé tout à fait une infection autre qu'un virus que personne n'a su isoler correctement mais qui rend le test tout de même positif.

Sur ta question sur les anticorps, je ne suis pas spécialiste, mais sachant qu'une infection de rougeole par exemple assure une immunité à vie, c'est que vraisemblablement, si on fait le test sur quelqu'un qui a eu la rougeole, on devrait trouver les anticorps contre cette rougeole. Arrêtez moi si je dis une bêtise... Donc on pourrait avoir la même chose pour le supposé VIH.

Concernant les anticorps je pense comme toi, mais je voulais une confirmation.

Pour tes exemples précédents, je suis d'accord avec toi, mais le soucis de la "femme africaine" que tu cites, c'est que c'est totalement invérifiable. Est-ce qu'elle a dit vrai concernant le fait qu'elle était vierge avant ? Est-ce qu'elle n'a pas été sodomisé comme c'est souvent "coutume" pour niquer sans que la femme perde sa virginité. Est-ce qu'elle n'était pas séropo de naissance, et ne l'aurait pas transmis à son "mari"... Voilà c'est totalement invérifiable. On peut faire toutes les suppositions de la terre. Après, il est évident que les tests sont reconnus peu fiables en afrique car ça réagit à tout et 'nimporte quoi. Mais tout ça reste de la supposition.

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