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Nouvelle répression d'une figure dissidente aux US


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Ceux qui ont vu House of Numbers se souviennent sans doute du témoignage de Steve & Cheryl Nagel, ce couple d'américains qui avaient adopté un bébé en Roumanie, et dont le test VIH s'est révélé positif. Suite au traitement à l'AZT, la jeune Lindsay a vu sa situation empirer; les médecins lui donnaient quelques mois à peine. Les parents avaient alors contacté Duesberg, qui leur avait indiqué d'arrêter tout de suite le médicament. A la suite de quoi les symptômes liés à l'AZT ont disparu rapidement, et elle s'est ensuite rétablie.

Lindsay a aujourd'hui la vingtaine, elle est devenue elle-même mère courant décembre, et c'est là que ses ennuis ont (re)commencé, à lire le blog de Celia Farber. Car bien qu'ayant été "transparente" sur sa séropositivité (supposée - elle annonce ne pas avoir refait le test depuis son enfance), et n'ayant pas pris de traitement durant sa grossesse, apparemment sans que cela pose problème aux soignants qui la suivaient, elle a eu la désagréable surprise de voir débarquer, une dizaine de minutes après l'accouchement, un médecin spécialiste des maladies infectieuses, un avocat et un travailleur social, qui ont imposé la prise d'ARV au bébé, le 2ème et le 3ème jour. Le bébé avait certes au départ du méconium dans les poumons - mais cela n'a aucun lien direct et automatique avec le "VIH". La situation s'est améliorée car Lindsay a pu allaiter ensuite à partir du 6ème jour.

Mi-janvier, environ un mois après la naissance, alors qu'ils avaient reporté un rendez-vous avec un des médecins pour avoir un avis alternatif, ils ont été convoqué par les services de protection de l'enfance qui ont emmené le bébé, et qui serait désormais et depuis cette date à l'hôpital, nourri par tube, "bénéficiant" d'une multithérapie complète (AZT, lamivudine, lopinavir, ritonavir), et en préventif, de paracétamol, du Fluconazole plus du Bactrim. Bien sûr, une telle combinaison sur un enfant de moins de 3 mois, même si on ne sait rien de son dossier médical (si tant est qu'il y en ait un) est une absurdité, ou plutôt, une monstruosité. En toute logique, l'état du bébé empirerait rapidement.

C'est un triste et brutal rappel à l'ordre pour tous les dissidents qui s'exposent publiquement.

La famille a mis un place un site : http://saverico.com/

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Lorsque l'on lit toute l'histoire dans le blog de célia Farber c'est déchirant à tel point ils s'acharnent en dépit du bon sens.

si l'on fait preuve d'impartialité on est forcé de constaté que ce bébé était en pleine santé jusqu'à ce qu'on décide de lui administré toute ces drogues dont surtout AZT et qu'en plus on le coupe de l'allaitement maternel.

Quelle Honte et ignominie!!!!!!!

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Si la famille Nagel en était d'accord et si suffisamment de gens avaient le courage et le dévouement de s'y investir, cela donnerait presque envie de lancer une grande pétition internationale via une plate-forme comme Avaaz ou autre. Mais bien sûr, le terrain est tellement miné !.. En même temps, les autorités du County de Mower ont peut-être fait une gaffe de trop, voire La gaffe de trop, parce que quoi qu'ils fassent du bébé, ils ne peuvent absolument rien contre le fait que Lindsey est la seule survivante de 12 enfants en bas âge qui avaient été mis sous AZT en même temps qu'elle.

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Les choses risquent de ne pas s'arranger, car pendant ce temps-là, l'orthodoxie réunie à Atlanta croit avoir "guéri" un bébé en lui administrant des ARV à un bébé dès sa 30ème heure de vie.

Les anticorps liés au supposé au VIH ont disparu, ce qui n'est pas nouveau car l'orthodoxie a depuis longtemps reconnu la fréquente séroreversion des enfants en bas âge suite à la disparition des anticorps maternels.

Ce qui serait nouveau, dans ce qui figure dans l'abstract, c'est d'avoir détecté la "preuve" d'une contamination au VIH par la mère, en utilisant des techniques tournant essentiellement autour de mesure de charge virale et de détection d'ADN proviral dans le sang, ce qui laisse songeur vu les problèmes méthodologiques posés par ce tests à la spécificité limitée. L'état de santé de l'enfant n'est pas précisé. En l'absence de détails, impossible d'en dire bien plus.

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Jibrail,

De même que l'abstract que tu sites, le communiqué de Sciences et Avenir relayé par le Nouvel Obs en date de ce 4 mars mériterait des commentaires détaillés sur les infos et précisions apportées. Comme tu le remarques, les méthodes de détection au niveau de la mère et de l'enfant sembleraient quelque peu inhabituelles :

"Results: Maternal infection with wild type subtype B HIV was verified. The mother and infant shared HLA haplotypes. Infant infection was confirmed by positive HIV DNA and RNA testing on 2 separate blood samples obtained on the 2nd day of life. 3 additional plasma viral load tests (days of life 7, 12, and 20) were positive before reaching undetectable levels at age 29 days. Plasma HIV RNA remained undetectable (<20 copies/mL) on 16 different measurements obtained between 1 through 26 months of age despite ART discontinuation at age 18 months. Using ultrasensitive methods, a single copy of HIV RNA was detected in plasma at age 24 months and 37 copies HIV DNA/million peripheral blood mononuclear cells (PBMC) enriched for monocytes were detected. Replication-competent virus was not detected following co-culture of 22 million purified resting CD4+ T cells. At age 26 months HIV DNA was detected at 4 copies/million PBMC but with no 2-LTR circles. Plasma viral load, PBMC DNA, and HIV-specific antibodies remained undetectable with standard clinical assays, confirming a state of functional HIV cure."

Parmi les détails détails fournis par Sciences et Avenir, on peut lire :

Le bébé a bénéficié de ce traitement durant les 18 premiers mois de sa vie puis, le traitement aurait été interrompu pour des raisons « non médicales ». « La mère a cessé d’amener l’enfant à l’hôpital pour des raisons inconnues » explique un journaliste

[...]

"CHARGE VIRALE". Dans la plupart des cas, l’arrêt du traitement conduit à une remontée rapide de la quantité de virus présents dans le sang (la « charge virale »). Et le patient doit alors reprendre d’urgence le traitement antirétroviral. Mais à la surprise des médecins, lorsque la mère rapporte sont enfant à l’hôpital dix mois plus tard, les tests montrent que la quantité de virus est restée sous le seuil de détectabilité des tests. Seules des analyses ADN permettent de montrer que le virus est encore présent dans l’organisme du bébé.

« C’est le premier cas bien documenté d’une guérison fonctionnelle d’un enfant atteint du VIH clament alors les médecins dans un résumé de la publication qu’ils comptent présenter ce soir aux scientifiques durant la conférence (CROI).

Et aussi :

... si ces résultats sont une première en ce qui concerne un enfant, d’autres études ont déjà rapporté des cas semblables sur des adultes. Une étude présentée en juillet 2012 à la conférence internationale sur le sida à Washington avait indiqué qu’une quinzaine de patients en France de la cohorte dite de Visconti, infectés avec le VIH et mis aussitôt (dans les 8 à 10 semaines) sous antirétroviraux pendant près de trois ans, continuaient à contrôler leur infection six ans après sans traitement.

D'ores et déjà, on constate une ambiguité de taille sur le sens général du message : d'un côté, il est certain que ce qui est mis en avant, ce sont les vertus des traitements ARV précoces ; mais d'un autre côté, ce qui est nouveau, c'est l'annonce, avec certes des réserves mais quand même, de la possibilité d'une stabilisation à long terme (ie. ni chute des CD 4 (?) ni remontée de la "charge virale") sans ARV à l'issue des traitements temporaires.

Bizarre, bizarre, c'est toujours la carotte et le bâton, mais les inflexions changent ; ça rappellerait presque le passage de l'AZTà doses de cheval aux trithérapies... Que va devenir le marché des ARV à vie ?

Modifié par Jardinier
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Si je me trompes corriger moi mais j'ai le sentiment que depuis les déclarations de montagnier disant entre autre qu'avec un bon système immunitaire on peut se débarrasser du vih en quelques semaines, il y a une volonté de se débarrasser de 30 ans de mensonges sans perdre le face!

Alors tout d'un coup des progrès sont fait et l'on découvre des guérisons!

Encore une fois ce n'est que mon ressenti personnel et pardon si je me trompes!

L'avenir nous le dira!

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Si je me trompes corriger moi mais j'ai le sentiment que depuis les déclarations de montagnier disant entre autre qu'avec un bon système immunitaire on peut se débarrasser du vih en quelques semaines, il y a une volonté de se débarrasser de 30 ans de mensonges sans perdre le face!

Alors tout d'un coup des progrès sont fait et l'on découvre des guérisons!

Une large partie de l'orthodoxie reste prudente face à la nouvelle, car à l'exact diapason de la déclaration de Montagnier, une "guérison" du sida n'a aucun sens du point de vue orthodoxe.

En effet, le principe du rétrovirus, c'est qu'il s'insère dans le génome de la cellule-cible; et une fois qu'il y est inséré, il est bien impossible de l'en déloger.

D'après eux, les ARV ne feraient guère que prévenir de nouvelles cellules d'être infectées, en empêchant le rétrovirus de se dupliquer (les NRTI), de s'assembler (les antiprotéases), ou encore en l'empêchant de pénetrer et d'infecter la cellules (les anti-intégrases). Mais en aucun cas de détruire sélectivement les cellules infectées dans lequel le génome serait modifié - car la grande difficulté serait de les distinguer de celles qui ne le sont pas.

Dans le cas de l'enfant supposé "guéri", ils font le grand écart en indiquant que le virus n'a pu s'installer dans les supposés "réservoirs" dans lesquels il serait ensuite difficile de le déloger. En quelque sorte, il y aurait suffisamment peu de cellules infectées pour que le VIH puisse se répliquer suffisamment pour devenir infectieux. Ce qui de mon point de vue n'a guère de sens, s'il on considère la très faible quantité de VIH qui théoriquement pourrait suffire à provoquer une infection, lors d'un rapport sexuel par exemple.

Régulièrement, l'orthodoxie a besoin de coups de projecteurs médiatiques sur de supposées "avancées" révolutionnaires, pour confirmer qu'il est utile de diriger des immenses sommes d'argent public et privé dans le recherche sur le VIH, et d'autant plus lorsque cela fait l'apologie de l'utilisation immodérée de médicaments - les labos savent être reconnaissants dans ces cas-là. De l'autre, une partie des gardiens du temple orthodoxe, dont ils savent pertinemment que les fondations sont fragiles, indiquent leurs "réserves" pour dire combien ces supposées "avancées" ne sont pas compatibles avec la théorie orthodoxe du VIH. Ce qui conduit au spectacle absurde que l'on peut observer ces jours-ci, où un jour l'enfant est "guéri", où le lendemain il est en "rémission", où le surlendemain cette percée est "illusoire" et "non reproductible" - bref, ce n'est plus une percée ni une avancée, ce n'est plus qu'un non-événement de plus.

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les arv empêchent de nouvelles contaminations cellulaires, possible.

puisqu'on arrête de pas crier leur efficacité, pour quoi y a t il présences de cellules malades même avec un succès thérapeutique sous arv ?

donc l'infection "naît" de quelque part = moelle osseuse etc... pour moi, les cellules naissent de la moelle osseuse avec cette mal conception qui les rend inopérationelles : les présentatrices d'antigène ne le font plus, les macrophages ne phagent plus....

par exemplet, le gcmaf active les macrophages qui remplissent leur fonctions ensuite. donc il faudrait pour chaque type de cellules, un facteur du genre gcmaf pour les macrophages.

observez : dans le sida, ce ne sont pas que les lymphocytes (t4 et autres de la lignée hématopoeitique) qui sont touchés, mais aussi les autres lignées : neuronales, osseuses!

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et j'espère qu'il y aura d'autres mères séropositives dont les enfants ont négativé qui parleront à cette pauvre mère que l'orthodoxie utilise comme une avancée de recherche ou un miracle pourquoi pas !

ce qui arrive à son bébé est dèjà connu des milliers de mères et de couples (avec ou sans arv!)

allez savoir, fouiller, creuser et mettre à nu le vrai objectif d'un tel article!!

c'est comme l'autre équipe française qui a publié il y a 1 ou 2 ans, la découverte d'un nouveau vih, proche de la souche camerounaise mais avec possible contamination au togo!!!une nouvelle souche plus virulente évidemment, etc....alors qu'il n y a pas 2 vih identiques! les individus testent positifs, avec pcr , mais l'étude profonde du génome de chaque vih montre des différences d'un individ à un autre!

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Apparemment les parents (John Martinez et Lindsay Nagel) ont pu récupérer leur bébé (Rico) hier.

Mais un juge devra déterminer d'ici un mois s'il peut être fait confiance aux parents pour le suivi médical du bébé - en clair leur capacité à filer tous les traitements au bébé....

Quant à la confusion la plus totale régnant sur l'enfant "guéri" du VIH, les anglophones liront avec intérêt cet article d'ABC,

Ils ont quand même donné à ce bébé une double dose de Névirapine, un des médicaments dont les effets secondaires peuvent être les plus toxiques, sous prétexte que la séropositivité de la mère n'a été découverte qu'à l'accouchement, et que la mère n'a donc pas pris de traitement préventif durant sa grossesse. Avec une double dose de névirapine, il y a de quoi - statistiquement à coup sûr - tuer ou amocher à coup sûr de nombreux enfants si ce traitement devient la norme. Mais c'est sûr qu'à ce moment-là, et bien plus discrètement, ils n'hésiteront pas à mettre ça sur le dos du VIH.

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Oui c'est sur que les médicaments qui l'avait eu été très toxiques.

Lorsqu'ils ont ont parlés au journal télévisé ils ont dit être étonnés qu'il est si bien supporté la tri.

Alors si même eux sont étonnés!!!

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Bonsoir a tous.

Je ne m'etais pas connecté depuis un moment je viens juste de voir le reportage, c'est juste horrible. Je suis choqué d'enormement de choses se passant chez les humains, mais je ne me souviens pas avoir ete aussi triste suite a une histoire ... Comment on ne peut au moins douter de ce que l'on nous impose comme verité en écoutant ceci ... Je veux bien que les gens soient des moutons mais bon ...

Il y a quelque chose a faire pour aider ?

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Le retour de Rico dans sa famille est confirmé et commenté par ABC News, qui a publié un film accssible par une vidéo sur cett page :

http://kstp.com/news/stories/s2957536.shtml

Le retour du bébé chez ses parents est conditionné à deux contrôles par jour des services de santé pour s'assurer que le traitement ARV est bien suivi. Une décison de justice sera prise à l'issue d'une audience au tribunal les 1 et 2 avril pour décider si la garde de l'enfant est pleinement restituée aux parents ou non.

L'article d'ABC News comporte aussi l'info suivante : "En dépit de la bonne santé de Lindsey, les documents de justice indiquent que "son diagnostic actuel suggère qu'elle a atteint le stade du sida."

Le long article d'ABC cité par Jibrail à propos de l'affaire du bébé du Mississipi qui est devenu "indétectable" 10 mois après interruption d'un traitement ARV de 18 mois comporte en effet des infos contradictoires faisant état d'une certaine confusion dans les milieux médico-scientifiques. Notamment, dans un paragraphe intitulé : "Une journée avec le Hiv en Amérique", le journaliste cite un pédiâtre de Houston selon lequel "sans mesures natales préventives, les bébés ont 20 à 25 % de naître infectés par le Vih de leur mère." Le rédacteur de l'article ajoute : "En d'autres termes, les bébés nés de mère positive au Hiv et ne recevant pas de drogues pour la réduction de la transmissionprénatale, en moyenne, ont 70 à 75 % de chances de naïtre exempts de Hiv."

Bref, le bras de force continue.

Dans une interview, Steve Nagel a déclaré : "Il existe deux groupes dans le monde du HIV, celui de ceux qui sont morts, et celui de ceux qui ont prétendument été sauvés par les traitements. Auquel des deux groupes Lindsey appartient-elle ?"

Modifié par Jardinier
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On aimerait que cette histoire ne soit qu'un cauchemar comme on aimerait qu'il en soit autant des 30 dernières années d'invention du VIH, mais hélas pour nous, et pour Rico, Lindsey et sa famille, l'horreur est bien réelle. Ce n'est rien d'autre que le contrôle social le plus pernicieux qu'il soit, qui sous couvert de "protection de l'enfant", ne fait que distribuer la mort et le malheur en tablette. Révoltant. L'aveuglement sur le SIDA continue d'engendrer tragédies sur tragédies. Je viens de lire sur OMJS la description que Baker fait d'une orthodoxe du SIDA lors de la projection de House of Numbers où il lui demande de lui expliquer si elle était bien d'accord pour reconnaître que Lindsey est bien vivante en la lui présentant, ça fait froid dans le dos un tel aveuglement et une telle hystérie. http://www.omsj.org/human-rights/rico-nagel-4mar2013

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Econoclaste, juste un petit correctif : la page de l'OMSJ reproduit un communiqué et un témoignage de Celia Farber sur son site, The Truth Barrier.

Sur le site créé par Cheryl Nagel, Saverico.com, une correspondante a inséré un lien vers une pétition de séropositifs et de sympatisants qui me semble intéressante. Elle est destinée au Parlement européen et comporte une description de son objet en 11 points. Elle me paraît très pertinente, car elle se réfère par des liens à des communications scientifiques avec l'aval du National Instiute of Health américain sur des questions clé, aux points 6 (sur la PCR), 10 (sur les bases scientifiques de la déclaration choc de Montagnier) et 11 (sur la mortalité depuis l'introduction des ARV) :

http://www.thepetitionsite.com/263/201/306/petition-hiv-aids/?fb_ac

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Evidemment comme toujours je suis plus que réservé... parce que le 1, le 2, le 3 et le 11 concernent les ARV, et que cela reste du discours monolithique de base anti-ARV, sans nuance, qui ne sera pas entendu par tous ceux, qui, séropo ou médecin, ont vu leur état ou l'état de leur patient s'améliorer grâce aux ARV.

Et cela signifie aussi qu'ils sont incapables de faire le distingo entre l'AZT, la stavudine et la lamivudine, pour quiconque s'intéresse de près au VIH/sida et croit , c'est un aveu d'ignorance et une bonne raison pour le lecteur non averti de jeter le truc à la poubelle sans lire plus loin - bref une occasion gâchée de plus.

Certains autres points sont plus ou moins bien fichus, mais fondamentalement on ne peut pas - et ce ne sont pas les seuls - d'un côté dénoncer la corruption et l'aveuglement de l'orthodoxie médicale, et de l'autre, appuyer son argumentation sur un article de la revue Blood, en décrivant cette dernière comme "prestigieuse", alors qu'il ne s'agit en fait que de l'expression ultime, la plus filtrée, l'essence de cette même orthodoxie.

Il faudrait choisir son camp, ou alors faire dans la nuance; j'ai l'impression que c'est encore trop compliqué.

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