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forum sidasante

Presentation et premieres questions.


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Bonjour a tous. Je suis un garcon, la quarantaine, je suis agriculteur travaillant de facon raisonnée, sans herbicide et avec peu de traitements, et ce, sans le revendiquer, donc sans aucun proffit "supplementaire". Le proffit ne me derange pas, tant que le respect des autres est privilégié. Il me semblait coherent de commencer ma presentation de cette maniere, car cela ne me choque pas qu'un scientifique gagne des milliards, bien au contraire si il est utile, par contre si il fait mourir des gens, et ce, en dehors d'erreurs medicales, mais tout en etant conscient, la ca devient tres problematique ...

Bref, si je me trouve sur votre forum, c'est parce que le virus vih m'a toujours effrayé, nottament par son incoherence ... J'ai toujours trouvé qu'il y avait des "trous" dans cette "histoire" de sida et d'hiv. Donc de fil en aiguille je me retrouve ici, en ayant ces dernieres semaine regardé pas mal de reportages, lu, commandé des bouquins, je prends des notes, je classe les idees par auteur etc, et j'avoue que je trouve de plus en plus que l'histoire originale du hiv est bancale, contrairement aux idées des dissidents. On peut dire je trouve que meme pour les septiques, que vos (nos ...) idées tiennent plutot la route et meritent au moins qu'on s'y interesse.

J'ai quelques questions et points a eclaircir si vous le permettez je le fais ici, mais n'hesitez pas de me rediriger si vous preferez que je les pose sur des sous forums plus adaptés ... Il est possible de trouver les reponses sur la page d'acceuil de votre site mais parfois, chez les dissidents, certaines idées semblent diverger, et cela est bien-sur normal.

1/ pouvons-nous dire que le vih existe, mais que ce n'est pas du tout ce que l'on veut nous faire croire, ou n'existe-t-il carrement pas, d'apres vous ?

2/ la seropositivité est reconnue, mais pour les dissidents, peut etre expliquée par une liste non exhaustive de 70 elements, certains d'entre eux etant des maladies ou virus graves. La seropositivité n'est-elle donc pas, de ce fait, dans certain cas, transmissible, et ce sexuellement ?

3/ Doit-on faire un test hiv de temps en temps, en sachant que dans le cas d'un resultat positif, il ne faudra pas prendre toutes ces drogues, et ainsi chercher d'ou vient la seropositivité; ou doit-on bannir ce test ?

4/ Plus de 5millions de test elisa cette annee en france, 3500 hetero (38/100) 2400 homo (40/100) 85 usagers de drogues (1/100) resencés et edités sur sida.org. Que pensez-vous de ces chiffres ?

Je vous remercie.

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1/ le vih existe, c'est son histoire et la façon de le gérer qui pose problème : le monde cherche plutôt un intérêt économique et non une préservation de la santé humaine,

2/transmissibilité possible oui : mais 1 rapport sexuel/10000 ! à vérifier, se documenter

3/ et 4/ sans opinion,

les guérisons publiées concernent la moelle osseuse, et pas le sexe etc.... allez savoir pourquoi depuis 5 ans ou meê avant, la fameuse industrie pharma a les outils mais ne développe rien dans le sens de la guérison? par contre les publications, les dépôts de brevets pour les molécules qui grossisent les capitaux des actionnaires sans guérir ou atténuer la maladie ; eh bien googlez, vous en aurez plein!! ainsi va la vie

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Merci pour votre reponse, mais en fait, le vih c est quoi ? Ca existe, biensur, puisque'on en parle , donc dans l'absolu cela existe... Mais c'est le fait, si j'ai bien compris d'etre teste positif a un test correspondant a 70 choses capables de le faire virer positif ...

Des avis pour ma question 3/ ? Car, si veritablement on peut passer positif sans avoir fait ce que l'on nous a toujours dit, c est a dire en gros avaoir des rapports non proteges, et que suite a cela on risque de nous tuer a coup d azt ... Alors a quoi bon faire ce test ...

Il est visiblement deja arrive que certaines personnes soient positif, et quelques annees plus tard negatif, ce qui parrait logique si l on suit les theses des dissidents (fiabilite des test, et surtout 70 causes differentes ...). Croyez vous que cela est courant, avez vous des temoignages a ce propos ?

Et enfin, pourquoi les scientifiques dissidents ne voudraient pas, comme les autres des profits uniquement, par la vente de bouquins , etc ... Je trouve vraiment, encore une fois cette these de dissidence tres interssente, et sans trop de failles a priori (peu de temps que je m'y interesse, peu d avis de biologistes et de medecins, hors forum), mais comment faire confiance et etre sur ...

merci a tous .

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Bonjour Vituri,

Je n'ai actuellement pas assez de temps pour répondre précisément à tes questions, mais pour se familiariser avec les thèses alternatives au VIH dans l'explication du sida, je trouve personnellement que cette interview d'Eleni Eleopulos, cet article de Valendar Turner (tous deux du Perth Group) ou encore cet article du journaliste Neville Hodgkinson, tous présents sur le site, forment une très bonne entrée matière (même s'ils sont tous assez anciens), et ont l'immense avantage d'avoir été traduits en français (merci aux traducteurs).

Cependant, il faut bien préciser qu'il y a plusieurs théories alternatives qui divergent sur la nature et l'existence du VIH ainsi que sur la signification des tests dits VIH, et qu'il n'y a donc pas de réponse univoque à tes questions (il faudrait revenir dessus plus longuement).

Modifié par Jibrail
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Bonjour Vituri et bienvenue,

sur la nature et l'existence du VIH, il me semble qu'on peut résumer les positions des dissidents en deux ou trois catégories :

- pour Duesberg, le VIH est considéré comme un virus passager, sans effet pathogène ;

- pour le Perth Group, l'isolation et la purification du VIH n'a jamais été effectuée selon les méthodes habituelles de la virologie, les "preuves" de son existence n'en sont pas. D'ailleurs, ce qu'on appelle VIH sont souvent des "clones de VIH" qui seraient basés sur des cultures virales complexes. Qui plus est, il apparaît pas mal de "protéines spécifiques" du VIH ne le sont pas du tout, puisqu'elles seraient présentes dans nombre de cellules humaines (comme l'actine et la myosine). Ajoutons qu'au départ, l'équipe de Gallo pensait qu'il s'agissait d'un oncovirus et non d'un lentivirus comme cela est accepté aujourd'hui par le mainstream. Le groupe de Perth tente donc de trouver des financements pour "ré-isoler" le VIH, afin de montrer qu'il n'existe pas. En l'occurrence, si on suit le groupe de Perth ou des gens comme Etienne de Harven, la nature de ce qui a été considéré commme le VIH est au choix des débris cellulaires, ou bien des rétrovirus endogènes (ce qui est assez différent des rétrovirus exogènes).

Sur les possibilités des dissidents de vivre des profits des bouquins et de tes craintes sur leur sincérité : franchement, quand on voit comme certains se sont faits trainés dans la boue (par exemple Duesberg) et à quel point cela peut être néfaste pour sa propre carrière de défendre un point de vue opposé au "consensus" mainstream, je vois mal ce qu'ils auraient à gagner dans une stratégie visant à publier des bouquins, sachant que ça ne rapporte pas grand chose en général aux auteurs (moi même il m'arrive de publier des ouvrages et je peux vous assurer que dans la majorité des cas, on n'en vit pas). Globalement, ce n'est certainement pas dans l'intérêt économique et "carriériste" qu'il faut chercher l'incitation des dissidents (même s'il y a des petites guerres intestines et de petites jalousies parfois)... Je peux en témoigner en tant qu'économiste dissident, c'est pas avec des positions iconoclastes qu'on gagne de l'argent. Cela ne veut pas dire qu'on doive tout avaler de ce que disent les dissidents (même si pour ma part, je suis assez convaincu par leurs arguments), la meilleure chose à faire est de lire, réfléchir, critiquer. C'est la pensée qui reste notre meilleure arme pour cheminer vers la vérité...

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MERCI a vous tous pour vos reponses.

Jibrail, je vais de suite allez voir ces articles et interview, il y a des chances que j'en ai deja vu une partie, car cela fait peu de temps que je m'interesse vraiment de "pres" a ce sujet, mais j'avoue etre assez pris. Ce que j'aimerais, c'est trouver des reelles confrontations entre les deux camps, ce qui parrait deja plus rare ... Il faut dire, encore une fois que les theories des dissidents tiennent vraiment la route, j'ai l impression, les autres ont peut etre la trouille, qui sait... Tu pourrais me dire alors, pourquoi poses tu ces questions, si tu as vu et lu deja plusieurs choses ... C'est justement parce que j'ai envi d'avoir des avis, et d'en debattre, et j'espere que tu auras bientot du temps pour revenir la dessus plus longuement. Je te dirais si oui ou non j'avais vu ces articles et ce que j'en ai pensé.

Econoclaste, je suis tout a fait d'accord avec ton raisonnement, cela me semble juste, et je te remercie pour ta synthese des differentes categories, c'est a peu pres ce que j'avais cru comprendre. Encore une fois, il me semble normal qu'il y ai certaines divergences dans une facon de penser commune.

Bonne fin d'année, ou bon début .

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Bonjour, je viens de lire la premiere interview, tres interessente, et qui répond, d'une maniere a la question que desormais je me pose le plus, le test de seropositivité, est-t-il utile d'une maniere ou d'une autre ...

Le professeur, dans cet article rappelle plusieurs fois que le virus hiv n'a jamais ete isolé, mais dit qu'etre positif lorsque l'on fait parti de groupe a risque peut malgre tout etre inquietant ...

Je me suis aussi baladé un peu plus profondément dans votre forum, et ce, sans protection :) , pour essayer de trouver des elements a ce propos. J'ai cru comprendre que certaines personnes positives redevenaient negatives par la suite, ce qui apres tout n'a rien d'etonnant si l'on accepte les theories dissidentes ...

Donc voici un test, donc l'efficacité n'a jamais ete demontree, mais qui selon des professeurs dissidents, pourrait etre inquietant dans sa positivité selon certains criteres, et qui, a la fois en cas de positivité, entrainerait la prise de drogues tuant les "malades" qui en fait pour la plupart ne montre aucun signe de maladie ... Test qui peut virer positif a cause de 70 raisons, et qui lorsqu'il n'est pas fait de maniere anonyme a l'air d'etre un peu a la tete du client, pour ce qui en resulte... Je me souviens d'ailleurs lors de mon dernier test, le biologiste, sans connaitre ma vie me disant :" je ne m'inquiete pas, vu votre age, milieu social, en plus vous etes hetero alors ... " .

Je ne sais pas si un sujet la dessus a deja ete debattu sur votre forum, je vais chercher, si vous avez des liens je suis preneur, j'aimerai bien vos avis, a la question : faut-il se soumettre a ce test, si oui, a la suite de quel "évenement". Quels sont les risques de s'y soumettre , ou de ne pas s'y soumettre .

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Vituri,

Merci pour ce message :

Je me souviens d'ailleurs lors de mon dernier test, le biologiste, sans connaitre ma vie me disant :" je ne m'inquiete pas, vu votre age, milieu social, en plus vous êtes hétéro alors ... "

Pour ma part, c'est tout à fait le genre de témoignage qui m'intéresse et me paraît capital.

Je n'ai pas le temps dans l'immédiat de te faire mes réponses à tes questions numérotées, idéalement ce pourrait être assez long. Mais dès que possible, je vais te répondre un peu plus longuement.

Jibrail, bravo pour nous rappeler l'existence et les écrits de Neville Hodgkinson, un ancien journaliste scientifique du Times qui a publié un livre dont il est absolument scandaleux qu'il n'ait encore jamais été traduit en français.

Meilleurs voeux à tous !

Modifié par Jardinier
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Je ne sais pas si un sujet la dessus a deja ete debattu sur votre forum, je vais chercher, si vous avez des liens je suis preneur, j'aimerai bien vos avis, a la question : faut-il se soumettre a ce test, si oui, a la suite de quel "évenement". Quels sont les risques de s'y soumettre , ou de ne pas s'y soumettre .

De mémoire, ce message de Cheminot est l'un des plus clairs sur ce sujet, car il résume bien toutes les contradictions du test.

En effet le test est peu spécifique (certaines pathologies qui n'ont rien à voir avec le sida peuvent le rendre positif), peu précis (ils ne dit rien sur la gravité de l'état de santé), arbitraire (le fameux cut/off : un seuil a été défini arbitrairement car à bas bruit tout le monde serait positif).... mais de nombreux examens médicaux (et en premier lieu la fièvre, pour reprendre un exemple souvent cité) ne le sont pas davantage. Et comme nombre d'entre eux, il faudrait prendre en compte les variabilités propres à chaque personne.

D'autre part, la signification me semble bien différente selon les groupes.

Chez les groupes à risques des pays développés, essentiellement les homosexuels et les personnes consommant des drogues dures ou de synthèse, dans les pays développés, il y a une certaine corrélation avec l'apparition ultérieure de maladies liées au sida, et le test peut être ainsi révélateur d'une dégradation de l'état de santé. L'ennui, c'est qu'il n'est pas suffisant en lui-même, et que d'autres examens seraient à mener en parallèle, voire à inventer car la recherche n'a pas chercher à les perfectionner pour une pratique clinique ordinaire (ce qui est moins vrai dans la recherche médicale fondamentale, où bien d'autres marqueurs du système immunitaire sont utilisés).

Chez les autres groupes à risques, essentiellement les personnes issues d'Afrique Subsaharienne, d'Asie du Sud, d'Amérique Latine ou des Caraïbes, je serai a priori bien plus réservé, car les manifestations du sida sont bien différentes, et notamment les maladies opportunistes ne sont pas les mêmes (la tuberculose est bien plus fréquente que les pneumonies à pneumocystoses par exemple). En plus, le test à une fâcheuse tendance à cibler les personnes d'ascendance africaine (5x plus aux US par exemple), pour des raisons qui restent à approfondir.

En dehors des groupes à risque, le test à encore moins de signification, comme le montre les taux que tu as rappelé dans ton premier mail (moins de 1 pour mille pour les hétéros, et encore moins si on exclut les personnes issues des pays du Sud). A ce niveau là, c'est plus du "bruit de fond" statistique qu'autre chose, et difficile d'en tirer en lui-même quelque chose de bien définitif.

Comme tu le vois, et comme tu le pressentais (dans la mesure où tu t'interrogeais) il n'y a à mon avis pas de réponse simple et claire...

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Bonsoir, merci pour vos reposonses .

J ai posé plusieurs questions par mail a un scientifique que vous connaissez tous, j'ai rapidement recu des reponses precises . Je n'ai pas mis le nom du scientifique, je me doute que ca ne lui poserait pas de probleme, mais je ne lui ai pas demande l autorisation pour cela. J'imagine qu'il ne m'en voudra pas dnas la mesure ou son nom n'est pas donné et que de toute facon, il ne s'est jamais caché de dire les meme choses dans les interviews.

questions:

if you have a little bit of time, i ve a few questions :

1/a lot of reasons seem to be able to make turn an hiv test positive, like 70 reasons i read. In these reasons, there are some illness and virus, so why what is called hiv could'nt be sexually transmited ?

2/Is it usefull to make hiv test sometimes, by knowing that if it turns positive, we ll have to find which "problem" we have and not fall into the aids machine, or is it a test to bannish ?

3/ will you be affaid to be or to have a friend positive on this test, or do you really think that's it's possible to be positive without problem, and is it possible to be positive one day and negative a year after, in the same country with the same test ?

I imagine that you have better than to answer to me, i ll understant if you give me links, or if you answer very quickly. I ll follow your works, because since i m affraid aof hiv, i feel that there s someting strange on this "story" ...

reponses:

1. "HIV" is gene activation of our own genes (mostly on chromosome 6) by stimulation from inside or outside (like autoimmune reactions or allergy or even pregnancy)!

This is why no virus is transmitted, but reactions to substances (for instance molecules from sperm proteins) can occur. This is NO disease! But may be protection makes

sense! The "HIV-genes" are necessary to create difference in our immune system in response to an ever changing environnement. The variety of genes in hereditary. Sometimes

we even get genes (RNA, DNA) by ingestion from food, even from plants. This is normal evolution!

2. Banish all "HIV-tests". They have power over your system of beliefs and increase fear, anger and fright!

3. Don´t take a test and do not ask a person about a test result. The test can vary in time (same test, same country) because our immune system has to adapt to our performance.

Live a healthy life, which includes most your spirituality and happiness as well as nurture.

Get in contact with your inner feelings, which means your body tells you what you feel and if you are ill.

Try to get self-esteem and trust in life! Forget HIV and AIDS! There are diseases but none with this name. The immune system is reacting since millions of years!

We just know more about our reactions, which are adaptions to life!

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This is NO disease!

Je ne sais pas quel est le "scientifique" qui t'a répondu ça (bien que j'ai ma petite idée), mais je ne suis pas sûr qu'il ait jamais rencontré de séropositifs malades.

C'est dommage, car sur ce forum comme sur le forum anglophone (Questioning Aids), il y a nombre de témoignages qui montrent bien sans ambiguité qu'il y a des malades, qui tout en restant sceptique face aux incohérences de la théorie rétrovirale, cherchent à savoir ce qui leurs arrivent, s'ils peuvent ou non transmettre (ou non) quelque chose et comment se soigner... toutes choses qui n'ont guère l'air d'intéresser ton correspondant.

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J'ai quelques questions et points a eclaircir si vous le permettez je le fais ici, mais n'hesitez pas de me rediriger si vous preferez que je les pose sur des sous forums plus adaptés ... Il est possible de trouver les reponses sur la page d'acceuil de votre site mais parfois, chez les dissidents, certaines idées semblent diverger, et cela est bien-sur normal.

1/ pouvons-nous dire que le vih existe, mais que ce n'est pas du tout ce que l'on veut nous faire croire, ou n'existe-t-il carrement pas, d'apres vous ?

2/ la seropositivité est reconnue, mais pour les dissidents, peut etre expliquée par une liste non exhaustive de 70 elements, certains d'entre eux etant des maladies ou virus graves. La seropositivité n'est-elle donc pas, de ce fait, dans certain cas, transmissible, et ce sexuellement ?

3/ Doit-on faire un test hiv de temps en temps, en sachant que dans le cas d'un resultat positif, il ne faudra pas prendre toutes ces drogues, et ainsi chercher d'ou vient la seropositivité; ou doit-on bannir ce test ?

4/ Plus de 5millions de test elisa cette annee en france, 3500 hetero (38/100) 2400 homo (40/100) 85 usagers de drogues (1/100) resencés et edités sur sida.org. Que pensez-vous de ces chiffres ?

Je vous remercie.

Alors

1) Je pense qu'il n'existe pas, puisque l'isolement du vih n'a jamais été fait correctement. Et d'une façon générale, c'est impossible d'isoler un virus correctement, puisque les particules soi-disant virales sont indistinguables de simples débris cellulaires au microscope électronique. Et par ailleurs, les tests d'anticorps réagissent en fait à la quantité de particules présentes (quelles qu'elles soient). Donc, eux non plus ne peuvent pas distinguer un virus d'un simple débris cellulaire.

2) Bonne observation. Mais déjà, la plupart des ces maladies ne sont pas des MST. Donc, dans beaucoup de cas, il n'y a pas de raison que la séropositivité soit transmise sexuellement.

Et puis, si on va dans le sens de votre raisonnement, puisque le rhume peut positiver un test, alors, la séropositivité devrait être transmise de façon aérienne, et d'une façon générale, par toutes les voies par lesquelles les différentes maladies positivant un test se transmettent.

Je pense personnellement qu'il n'y a pas de maladie microbienne. Pour moi, tous les problèmes de santé sont d'ordre physico-chimique. Donc, le problème soulevé ici ne se pose pas. Toutes les fois qu'il y a séropositivité, c'est surtout parce que la personne a absorbé des substances entrainant une positivité, et qu'elle appartient à une catégorie à risque, ce qui fait que le médecin va avoir tendance à considérer qu'un test indéterminé est positif.

3) Il faut bannir ces tests bien sûr. Mais bon, il faut surtout en finir avec la théorie microbienne du sida. Parce que si on supprime les tests sans supprimer la théorie officielle du sida, ça ne servira pas à grand chose.

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En vrac et rapidement :

- Pour la question 4 de Vituri, celle-ci induit un saut de formulation et de raisonnement auquel il faut à mon avis apporter un correctif : côté dissidence comme côté orthodoxie, ce n'est en aucun cas la séropositivité en soi qui est transmissible (sauf par contamination psychologique liée à l'incitation au dépistage), mais bien les divers facteurs susceptibles de l'occasionner, facteurs réels et/ou prétendus à l'analyse approfondie desquels les dissidents alertés par des scientifiques minoritaires en sont venus à soutenir et développer une démarche de remise en cause de la thèse du virus. De toute façon, il y a là aussi un glissement de formulation hautement symptomatique dans l'usage courant, puisqu'en fait de virus, ce qui est revendiqué par la très large fraction de la communauté scientifique systématiquement complice/instrument de la réthorique propagandiste, le véritable objet discursif est un RETROVIRUS, et en aucun cas un simple virus.

- Pour la question 3, doit-on ou non effectuer le test ? quand ? pourquoi ? Mon opinion est beaucoup plus proche de celle d'Aixur que de celle de Jibrail. Personnellement, pour ce qui est de la période allant de 1984 (année d'apparition des tests) à 1995 (apparition des trithérapies et baisse considérable du dosage de l'AZT), et aussi du reste pour la période ultérieure jusqu'à ce jour, je suis certain à 200 % que je ne dois d'être encore en vie, ainsi que mon état de santé satisfaisant actuel, qu'à mon choix initial, sur lequel je ne suis jamais revenu, de ne jamais, absolument jamais, sous quelque prétexte que ce soit, me soumettre à un test du sida.

- Pour les 3 liens insérés ci-dessus par Jibrail (ITV d'Eleni Eleopoulos, articles de Valendar Turner et Neville Hodgkinson), ils me permettent d'éprouver directement une fois de plus ce que j'ai déjà noté et fait remarquer à plusieurs reprises, à savoir que même pour un francophone lisant l'anglais sans effort fût-ce un anglais passablement spécialisé et abordant des sujets d'une grande complexité, la langue étrangère fait écran et atténue fatalement l'acuité de la réception et de la compréhension du message (et encore plus avec la langue orale des vidéos et documents sonores) - ce pour ne rien dire du bien plus grand nombre de personnes qui ne lisent ni n'entendent l'anglais en question sans effort, sinon pas dutout. C'est je pense un des gands facteurs explicatifs de la marginalisation des dissidents scientifiques et, de manière plus générale, d'un tragique manque à saisir toute la portée de certaines publications anglo-saxonnes, avec pour résultat que faute de traductions, et aussi de diffusions de celles-ci au-delà de l'internet, toutes ces informations plus ou moins sensibles, toutes ces explications et prises de position argumentées, n'ont pu dans un pays comme la France constituer plus qu'un très vague bruit de fond charitablement maintenu à ce stade par la communauté médico-scientifique et son infanterie du côté du "travail social", ainsi bien sûr que par les pouvoirs publics, la presse et les médias.

- Je viens de lire les paragraphes de l'article de Val Turner concernant le rôle et les positions de Peter Duesberg. Dans l'ensemble, son exposé me semble clair, pondéré et équilibré. Toutefois, je ferais 2 critiques portant, l'une sur l'appelation générique employée à propos de Duesberg, qui est qualifié de "virologue", alors qu'en fait il me semble être plutôt cancérologue. Mon autre critique porterait sur un défaut d'accord grammatical dans la traduction :

"Eleopulos a rappelé qu'il est démontré depuis longtemps que les conditions oxydantes telles que celles prévalant chez les malades du SIDA et dans leurs cellules mises en culture
génère
des rétrovirus internes (endogènes) dans les cellules dont l'ADN n'avait auparavant subi aucune contamination de l'extérieur (12, 14, 15, 71, 72).
"

>> Il faut bien sûr lire "génèrent", au pluriel.

- Quant à l'article d'Hodgkinson traduit en français, je le trouve non seulement fourmillant d'informations inédites, mais tout à fait saisissant et bouleversant par sa qualité de raisonnement et d'analyse, ainsi que par la sorte de panorama que de ce fait il brosse - qu'il s'agisse de ce à quoi ce grand journaliste a été confronté personnellement en termes de censures, ou de la vue d'ensemble qui se dégage de ses investigations telles qu'il les rapporte.

Pour ceux à qui j'ai soumis certains aspects des choses en privé, j'ajouterais que je suis très intrigué par un passage de l'article de Hodgkinson concernant Robert Gallo :

"Robert Gallo, chercheur du gouvernement américain à la tête de l'équipe responsable de cette apparente percée décisive, confirma lors de cette conférence de presse que, pour lui, il était clair que c'était un nouveau rétrovirus qui provoquait le SIDA,[3] probablement le même que celui découvert par l'équipe de Luc Montagnier à l'Institut Pasteur (Paris), et qu'un test sanguin fiable "pouvant rapidement sauver des vies humaines" avait été mis au point. [4]
Gallo déclara aux journalistes que le test sanguin avait pu être mis au point "
parce que le problème de la production en masse avait été résolu
".

A tort ou à raison, cela me renvoie pour ma part à toutes les questions angoissantes que je me pose concernant d'une part le rôle de l'USAMRIID et du Colonel David Huxsol de 1977 à 1987, d'autre part toutes les zones d'ombre du Special Cancer Virus Program et de sa genèse du milieu des années 1960 (sinon bien avant) à la fin des années 1970. (Voir aussi l'émission TV de Tristan Mendès-France dans la rubrique vidéos du forum)

Modifié par Jardinier
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Bonjour,

Pour la question n°1, je pense que le mieux est de considérer les propos du co découvreur officiel du "virus du SIDA" qui dit ceci :

"notre système immunitaire se débarrassera du virus en quelques semaines si vous avez un bon système immunitaire"

...Et d'en faire son interprétation personnelle selon son intelligence.

Pour la question n°3, je vais tacher de faire court : il faut privilégier une vie saine, de janvier à décembre, et laisser les hopitaux, ses médécins et leurs procédures commerciales aux malades !

Les tests du VIH ne sont absolument pas fiables et spécifiques aux raisons pour lesquelles les gens sollicitent ces tests, aussi, leur utilité me parait limitée pour l'utilisation qu'on en fait !

D'une manière générale, il faut douter de tout, jusqu'à avoir la certitude de ce qu'on nous dis et voit ! dans un sens, comme dans l'autre !

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Mais c'est quoi une vie saine ? Alimentation sport sommeil , d accord. Mais si on parle de sexe ? Ne pas avoir de rapports ? Ne pas avoir de rapports protégés ? La facilité pour SOS sida C est de dire protégez vous pour tout. Pour une pénétration on peut comprendre, hiv ou pas car y a d autre choses ne serait ce que la grosses se pour les septiques des virus, mais qui coupe un carré de latex pour un cunnilingus ? on risque quoi en pratiquant un cunni à par se faire arracher quelques cheveux ? Désolé de sortir un peu du sujet, mais vos avis m intéressent sur des choses concrètes comme celle ci.

Je ne vois pas l interet d emmener la psychose ds le sexe, ce n est pas ça pour moi la vrai prévention.

Désolé si ce post est mal écrit j utilIse mon téléphone étant en vacances.

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de maniere plus correcte et precise, ma question serait : quels virus "sexuels" existent et de quelle maniere sont ils transmissibles ? Le preservatif est il necessaire, et dans quelles conditions, precisément dans la pratique du sexe "oral". J entre un peu par des questions comme ces dernieres dans un debat moins philosophiques, mais il faut avouer que ces dernieres semaines de lecture remettent pas mal de chose en question.

Y a t il dans cette "histoire" d hiv en plus du cote business, une diabolisation du sexe ?

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Mais c'est quoi une vie saine ? Alimentation sport sommeil , d accord. Mais si on parle de sexe ? Ne pas avoir de rapports ? Ne pas avoir de rapports protégés ? La facilité pour SOS sida C est de dire protégez vous pour tout. Pour une pénétration on peut comprendre, hiv ou pas car y a d autre choses ne serait ce que la grosses se pour les septiques des virus, mais qui coupe un carré de latex pour un cunnilingus ? on risque quoi en pratiquant un cunni à par se faire arracher quelques cheveux ? Désolé de sortir un peu du sujet, mais vos avis m intéressent sur des choses concrètes comme celle ci.

Je ne vois pas l interet d emmener la psychose ds le sexe, ce n est pas ça pour moi la vrai prévention.

Désolé si ce post est mal écrit j utilIse mon téléphone étant en vacances.

Chez les dissidents du genre théoriciens du vih, le sexe n'est généralement pas inclus dans le problème de la vie saine. A part pour certains concernant la sodomie (et encore, c'est l'excès que ceux-ci pointent du doigt, pas tellement l'acte en lui-même). C'est essentiellement le fait de ne pas prendre de drogues, de tabac, d'alcool en excès, etc.., qui constitue le fait d'avoir une vie saine. Et on peut y inclure tous les conseils qu'on peut trouver dans les magazines de santé (manger équilibré, des fruits et des légumes, faire du sport mais pas trop, bien dormir, etc...).

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Salut à tous.

Nouveau venu ici, et pour votre respect, une présentation paraît bienvenue.

Je suis Stéphan né à marseille en 60, dit "positif" depuis 85. Ma visite sur ce site est consécutive à la lecture des dossiers sur Nexus magazine, à l'échange de mails d'avec le Dr De Harven et à ma curiosité.

Les témoignages d'autres personnes impliquées par le sujet, patients, traitants et autres concernés, peuvent peut-être m'aider à arrêter les thérapies induites par le sida car je crains d'être confronté à une dégénéréscence comme cela m'est déjà arrivé.

Toxicos à la mari de 13 à 18 ans, puis à l'héro shootée de 18 à 24 ans, je suis resté asymptomatique jusqu'à l'âge de 40 ans.

Cependant, à 39 ans, mon toubib équipé de son nouvel outil de mesure de charge virale et d'une panoplie de médocs plus large qui contournaient les résistances, profite d'une période de vague à l'âme dans ma vie pour me convaincre d'ingurgiter une bi-thérapie préventive. Vu l'importance du nombre de décès de patients traités à l'AZT, j'avais toujours fui les produits pharmaceutiques et là, sans autre raison qu'une déshérence passagère, sans soucis de santé, j'ai gobé épivir rétrovir durant 8 mois sans que ma charge virale ne retombe et toujours sans le moindre trouble physique. Je décidais donc de stopper le traitement avec l'accord du médecin qui n'y voyait pas d'objection et ne me prévint pas d'éventuels troubles qu'un sevrage bloc pouvait entraîner.

Résultat, si le sida m'avait laissé tranquille durant 15 ans, m'avait autorisé d'être père d'un enfant séronégatif avec une fille que je n'ai jamais contaminéé en 10 ans de rapports non protégés, épivir et rétrovir associés me terrassèrent.

6 mois aprés l'arrêt du traitement, j'étais devenu un légume obligé de prendre une quadri-thérapie (viramune viracept videx zerit)aprés quatre mois d'hospitalisation durant lesquels je n'avais que régréssé physiquement: voir, parler, marcher, lire, écrire comme manger ou me torcher seul m'était devenu impossible. Avec 18 kilos de moins, je n'en avais plus pour longtemps. Quand déconfis, aprés 4 mois sous le feux des exams; les toubibs débarquèrent résultats de l'irm en main pour me dire que le virus m'avait grillé une partie de la cervelle et que seuls les thérapies pouvaient stopper l'encéphalite dont je souffrais, je rentrais chez moi, et en un mois et demi j'étais de nouveau opérationel filant à 130 en moto fort de 11 kilos sups !?!

Depuis, je crains d'arrêter ces cachets alors qu'en 12 ans de prise, j'ai perdu 70% de ma masse musculaire et que j'ai le visage émacié au point de faire pitié ou peur.

Alors je vais lire ce site plus en profondeur pour savoir si mon cas s'est déjà présenté et vous pourrez peut-être me guider et m'aider dans mes choix.

Par exemple, ayant pris la décision de tenter d'arrêter, je me demande si la réduction progressive des doses peut se faire en espaçant le temps entre les prises plutôt qu'en divisant les cachets ce qui réclame une précision difficile à réaliser.

Y a-t-il quelqu'un qui aurait déjà tenté l'expérience ?

J'espère avoir l'opportunité d'échanger sur ce site dans un climat respectueux, de confiance et y découvrir des gens apaisants.

Par la suite j'espère que mon témoignage contribuera au défi qui consiste à prévenir de la faiblesses de certains Hommes afin qu'ils soient soignés avant de prendre part à des décisions pour les peuples et n'oeuvrent en politique.

A tous salut et, bontoujours.

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Bonjour Sourdon,

Merci pour ton témoignage et bravo pour avoir réussi à juguler très tôt ton addiction à l'héro, puis avoir résisté à tous ces traitements. Ce sont de sacrées épreuves.

Sur les espacements thérapeutiques, effectivement il y a déjà eu des discussions, et notamment sur ce fil.

Il y a eu des témoignages pour dire que l'arrêt brutal des médicaments est effectivement déconseillé parce que générant ensuite des effets indésirables... mais ton expérience est le plus extrême de ce que j'ai pu lire.

Un autre lien orthodoxe, si jamais tu veux avoir un peu de billes pour en parler peut-être avec ton médecin (certains sont semblent-il relativement ouverts à cette idée).

Pour bien comprendre, est-ce que tu prends toujours ces quatres molécules (viramune, viracept, videx, zerit), ou est-ce que tu prends un autre traitement maintenant ?

Parce que videx (didanosine) et zerit (stavudine) sont aujourd'hui normalement bannies de toute multithérapie compte tenu de leurs effets secondaires reconnus y compris par l'orthodoxie ; viramune (névirapine) ne vaut pas beaucoup mieux.

A te lire

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