illusion Posté(e) le 29 novembre 2012 Partager Posté(e) le 29 novembre 2012 ci dessous la video comprise dans les bonus du film house of numbers. la video traite des problèmes de l'isolement du vih vu pr le groupe de Perth face aux orthodoxes Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jibrail Posté(e) le 29 novembre 2012 Partager Posté(e) le 29 novembre 2012 Bravo Illusion pour ton immense travail... qui nous permet d'accéder au formidable travail de Brett Leung pour rendre plus incarnée et plus accessible cette austère question de l'isolation du VIH. Cela ne peut guère que renforcer notre sceptiscime devant les contradictions de nos éminents experts et Prix Nobel ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rico Posté(e) le 2 décembre 2012 Partager Posté(e) le 2 décembre 2012 jme pose une question, si le virus n'existe pas , comment est-il possible que certains d'entre nous se retouvent avec un système immunitaire défaillant au bout de quelques années même en utilisant des compléments antioxydants et autres....? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
illusion Posté(e) le 3 décembre 2012 Auteur Partager Posté(e) le 3 décembre 2012 il est tres difficile d'avoir un avis la dessus...il faut deja savoir que les dissidents celebres décédés ont été sous tri pendant un labs de temps. La seconde explication est celle du Perth Group...un test positif révele la présence d'anticorps dirigés contre nos propres protéines cellulaires qui se retrouvent dans le sang. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rebayima Posté(e) le 3 décembre 2012 Partager Posté(e) le 3 décembre 2012 et ces proteines viennent des arn du vih, alors que les arn normaux qu'on a tous produiront des protéines normales nécessaires au bon fonctionnement du corps de là, j'ai toujours le sentiment qu'une modification génétique (ou épigénétique) est à l'origine du sida. ou sans se prendre la tête à maniper en labo, des recombinaisons d'adn viraux animaux (bovine leukemia, visna etc...) Hugues Steven : "... the viral DNA becomes part of the host genome. The infected cells, and all their progeny will carry the inserted viral sequence......" So, it is there is futility of attempting to eliminate a genetic sequence in th host DNA by toxic drugs (haart)....." these drugs harm the body. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
twj Posté(e) le 4 janvier 2013 Partager Posté(e) le 4 janvier 2013 jme pose une question, si le virus n'existe pas , comment est-il possible que certains d'entre nous se retouvent avec un système immunitaire défaillant au bout de quelques années même en utilisant des compléments antioxydants et autres....? C'est l'hygiène de vie qu'il faut remettre en question ! ceci est facile à dire, mais peut être très compliqué à corriger en pratique. Les compléments antioxydants ne peuvent pas tout contrer. Si le stresse oxydatif est trop important, le corps s'épuise et le système immunitaire finit par s'affaiblir. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jardinier Posté(e) le 7 janvier 2013 Partager Posté(e) le 7 janvier 2013 (modifié) Pour ma part, compte tenu de mon expérience et de ses résultats toutes proportions gardées assez positifs en termes d'état de santé, rétrospectivement, "l'hygiène de vie" tiendrait surtout à l'élaboration subjective d'une certaine idée de la réalité et des enjeux du potentiel psycho-somatique du sujet. Dans mon cas, c'est lié à l'acquisition régulière et progressive sur le très long terme d'une culture personnelle s'appuyant beaucoup, mais pas exclusivement, sur des grilles théoriques freudo-marxistes, et en même temps à l'approfonissement et à la mise en acte d'une culture et d'une philosophie entre autres résolument antistaliniennes et dénuées autant que faire se peut de tout dogmatisme comme de tout anti-intellectualisme, ainsi que de tout enferment dans des conceptions identitaires et fascisantes de la culture, du politique et du social. Par ailleurs, je pense que les gays sont allés beaucoup trop loin dans certains processus de dissociation du sexuel et de l'affectif allant de pair avec une regrettable dévalorisation de fait de la relation interpersonnelle à deux ou plus collectivement et, à titre de retour plus ou moins bien compris du refoulé, allant de pair avec une certaine survalorisation de la relation interpersonnelle ne reposant pratiquement plus que sur une sorte d'adéquation de circonstance entre la rareté et la valeur. Le grand paradoxe est peut-être qu'une société majoritairement hétérosexuelle et acquise à un certain social-libéralisme a eu tendance à produire, via le sida, une vision très ambigüe de la population homosexuelle devenue à la fois danger majeur et emblême du groupe en tant que victimaire, vision en réalité justifiant, sous couvert d'intentions compassionnelles sincères ou prétendues mais dans l'ensemble d'une hypocrisie sans nom, la mise en place et la pérennisation de dispositifs de contrôle tendant, dans les faits, à réactualiser tous les processsus de ghettoïsation et tous les fantasmes d'éradication de "moeurs" traditionnellemnt considérées comme "contre nature". Ainsi, les gays ont aussi pas mal de circonstances atténuantes à leurs erreurs, puisqu'ils étaient confrontés simultanément, et à leurs prises de conscience d'une diabolisation millénaire de leur sexualité, et, parallèlement à une approche socio-politique intéressée de leur présence et de leurs façons d'être impliquant chemin faisant leur médicalisation mortifère à outrance avec un alibi médico-scientifique, à une marchandisation sans scrupules, via l'acceptation sous conditions de leur droit à la satisfaction de leurs pusions sexuelles à titre de besoin vital, de leurs plus légitimes aspirations en termes d'humanisme, de droits de l'homme et de libertés. Bref, ils auront été, et seront sans doute encore longtemps, des dindons de la farce, et non des moindres, des tristes jeux de cache-cache entre l'Etat et le marché, entre l'étatisme et l'ultralibéralisme, entre le sexisme et l'antisexisme, entre l'intégrisme religieux et le possible dévoiement de l'athéisme en néo-fascisme ou néo-stalinisme, entre le scientisme et son revers l'obscurantisme, et ainsi de suite... Modifié le 7 janvier 2013 par Jardinier Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
amedeo Posté(e) le 8 janvier 2013 Partager Posté(e) le 8 janvier 2013 que veux tu dire par les "gays sont allés beaucoup trop loin dans certains processus de dissociation du sexuel et de l affectif" ? ne penses tu pas que les "hétérosexuels " qui partouzent ou utilisent des prostituées n'ont pas le meme comportement? les gays aujourd hui veulent le pouvoir et le reconnaissance apres tant d'années de répression et d'obscurantisme.... voir l'émission passée dernièrement sur LCP www.lcp.fr/emissions/docs-ad-hoc/vod/142549-homopoliticus Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jardinier Posté(e) le 8 janvier 2013 Partager Posté(e) le 8 janvier 2013 que veux tu dire par les "gays sont allés beaucoup trop loin dans certains processus de dissociation du sexuel et de l affectif" ? Ce serait trop long de tout expliquer, c'est un peu un sentiment, et l'idée que la société a eu toutes sortes de résistances à accepter le lien de couple chez les gays, et tout ce qui faisait socialité entre les gays et permettait leur apport spécifique à la culture en général, etc. Et puis avec l'histoire du sida et de ses grands rituels médiatiques, on s'est retrouvé bien souvent avec un profond traumatisme très gravement occulté en termes de ses véritables causes et de ses véritables effets, et avec un monde associatif gay plus ou moins encadré par Aides et autres assos de lutte contre le sida... et de "prévention" plus ou moins indifféremment de la maladie et de ce qui pouvait y conduire, le résultat étant que finalement beaucoup de gays ont répondu parfois par une survalorisation des pratiques transgressives, et dans l'ensemble ont surtout fini par avoir peur à juste titre de ce que la société et, le plus triste, peur les uns des autres, peur du couple, peur des rencontres sans lendemain, peur de sortir des sentiers battus et des schémas de pseudo-affirmation de soi imposés par la culture médiatique des établissements gays et autres oscillant entre le porno et la mode, ceci aboutissant à une américanisation/acculturation aussi violente que décervelante - avec décibels assourdissants, langage des clips vidéos, encouragement de la frime et du jeu sur les apparences, et tutti quanti. Dire que les gays veulent "le pouvoir et la reconnaissance", je me demande un peu si ce n'est pas une interprétation de journalistes qui au fond ne veut pas dire grand chose. Pour quelq'un comme moi qui a été jeune dans les années 70 et qui a vu une évolution plutôt positive jusqu'en 81-82 en termes de véritable émancipation des homosexuels, j'ai beaucoup de mal à m'y retrouver dans le monde gay d'aujourd'hui, face auquel j'éprouve souvent un mélange d'indifférence, de colère, d'incompréhension, et en même temps bien sûr une indestructible sympathie malgré tout... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
amedeo Posté(e) le 9 janvier 2013 Partager Posté(e) le 9 janvier 2013 oui, bien sur je comprends ton analyse , mais je trouve que le film qui est passé sur LCP homopoliticus explique bien le cheminement depuis les années 80 . et chacun ressent différemment les choses.. ."encouragement de la frime et du jeu sur les apparences" ok bien sur mais cela n'est pas spécifique aux gays , il suffit de regarder les émissions de téléréalité ou certains clips "hétérophiles"..... Les gays aujourd'hui sont influents en politique notamment à travers les rézos sociaux et c'est une avancée importante à mon sens... Bonne année à tous Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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