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Et entre ces 3 mois qui séparent le test positif et le négatif, tu as pris des risques?

Tu as raison, c'est pour ça que j'hésite beaucoup à refaire ce test. Mais en même temps, c'est un vrai test anonyme, je ne peux pas être fiché, et je me suis assez renseigné sur la dissidence pour encaisser le coup et refuser tout traitement. Et mon partenaire aimerait être rassuré aussi.

Je vous dirais ce que lui diront le docteur, si l'infection est ancienne, la charge virale etc....

Il vient de voir des vidéos du dr Duesberg, ça l'a pas mal troublé, donc je pense qu'il fera gaffe si le docteur le conseille de commencer une tri.

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Bonjour, de retour

Je vis à Hong Kong depuis maintenant 1 ans et demi, et ma vie sexuelle ne s'est pas calmée, au contraire. Les préservatifs ne sont pas très populaires ici, et je soigne ma deuxième Ghonorée avec injection de peniciline (100 fois plus rapide et efficace que le Vibramycin, au passage et sans la peau qui pèle, le docteur m'en a donné pour une semaine pour compléter l'injection, mais je me demande si c'est nécessaire).

Pour la doxicycline (Vibramycin), c'est peut-être soit en cas de résistance de la gonorrhée aux pénicillines (normalement une injection intramusculaire unique suffit, c'est ce qu'on m'avait prescrit dans les années 90 en France pour la même cause), soit pour traiter dans le même temps des chlamydiae contre lesquelles les pénicillines ne sont pas efficaces. Les symptômes des chlamydiae sont largement masquées par ceux des gonorrhées, et ne peuvent être détectées que par une mise en culture coûteuse, et qui ne semble pas fiable à 100%. Dans le doute, j'ai l'impression que le protocole aujourd'hui, un peu partout, est de traiter les deux simultanément par toute la gamme des antibios.

Je ne prend aucune drogue, ni poppers, mais à Hong Kong, certains gars prennent du "ice" et m'en font fumer parfois, mais après je suis obligé de prendre du viagra.

L'ice, si c'est bien du crystal meth (soit de la méthamphétamine), contribue probablement, à lui seul ou en lien avec d'autres facteurs (poppers, exposition anale au sperme) à te rendre positif au test dit "VIH". La méthamphétamine est un puissant oxydant, qui génère une production de peroxynitrites qui ravagent les cellules neuronales (voir par exemple cette publication) - et Cheminot a montré ici combien l'exposition aux peroxynitrites est commun à tous les groupes à risques et joue un rôle dans l'établissement d'une immunodéficience. Les "experts" du VIH accréditent la corrélation entre séropositivité et utilisation de méthamphétamine, mais comme cela ne cadre pas avec l'hypothèse du rétrovirus transmissible par voie sanguine (comme c'est la plupart du temps inhalé), ils se contentent de dire que la désinhibition provoquée par la drogue favorise un comportement à risque (ce qui n'est pas faux en soi mais masque l'essentiel).

Et ce qui devait arriver arriva, hier un gars me contacte en panique et me dis qu'il vient d'être testé positif. Normalement, je ne devrais pas être celui qui l'a infecté car il a fait sa prise de sang 2 semaines après le rapport (protégé en plus) , et si je me suis bien renseigné, les anticorps apparaissent au test en général 4 semaines plus tard, à moins qu'ils lui aient testé directement sa charge virale. Lui même ne pense pas que ça vient de moi, il pense que ça date de son séjour à Barcelone, où il m'assure qu'il s'y est toujours protégé.

On attend son rendez-vous mardi prochain pour savoir ce que le docteur va lui dire, je crois qu'il peuvent déjà lui donner sa charge virale et quand il a été infecté.

Je lui ai proposé de se renseigner sur les dissidents, mais je sais pas où sont les bons équivalents en anglais, je suis tombé sur des trucs louches. Il a que 21 ans j'ai pas envie de faire de la mauvaise retape, je me sens déjà assez coupable.

(...)

Bien sûr je n'ai pas oublié toute notre conversation sur ce sujet, j'ai un doute sur le lien entre le rapport sexuel et le résultat du test, mais je me mets à la place du garçon qui n'y connait rien et qui est complètement endoctriné.

A 21 ans c'est sûr que c'est pas facile à gérer. Faire le test en commun peut être une bonne chose, ne serait-ce que pour exclure ta "responsabilité" au sens orthodoxe. Voir éventuellement le détail de son test si c'est bien un Western Blot (s'il y a eu un délai de deux semaines, c'est probable)... En anglais, la plupart des sites américains sont partiellement au moins sous influence "Duesberg", accréditant l'existence du VIH et avec parfois pas mal de contradictions. D'autres sont maintenant un peu anciens (Virusmyth) ou pas très accessibles (le site du Perth Group). Le film "House of Numbers", même s'il n'évite pas complètement ces écueils, est sûrement le plus accessible pour aborder la question.
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En anglais, la plupart des sites américains sont partiellement au moins sous influence "Duesberg", accréditant l'existence du VIH et avec parfois pas mal de contradictions.

Peut-être. Mais une fois de plus, Duesberg est un important cancérologue qui a surtout insisté sur le fait que le dit vih ne peut nullement avoir les effets et le mode d'altération du système immunitaire que lui attribue l'orthodoxie. A tel point d'ailleurs que quand il parle de l'identification du virus en lieu et place de l'isolation - il en reconnait pleinement la non isolation -, on peut se demander quelles sont dans ses propos la part de l'ironie et celle, disons, de la stratégie de communication plus ou moins habile et judicieuse. Certes, cela brouille les pistes, mais faire une fixation de style scholastique sur le différend entre Duesberg et le Perth Group revient à jeter le bébé avec l'eau du bain, et à occulter à quel point Duesberg a été le pionnier sinon le fondateur de la dissidence, au moins dès 1987, et à quel point il a fait oeuvre de salubrité publique face à une politique de santé publique engagée sur une désastreuse et consternante fausse piste. Sans lui, les monothérapies à l'AZT auraient probablement pu durer quelques années de plus, alors que pourtant même un Dr. Leibowitch, dès 1989, avait informé la communauté scientifique qu'au minimum elles n'étaient absolument d'aucune efficience en dehors de leur éphémère effet immédiat. S'il te plaît, Jibrail, ne me fais plus perdre mon temps à polémiquer là-dessus.

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seuldansmatete,

Ici : http://www.sidasante.com/forum/index.php?/topic/17495-ma-presentation-doutesolitudeglutahion/ , tu nous écrivais :

Découverte HIV+ il y a bientôt 5 ans. Début difficile, tristesse et solitude. Puis, j'ai fini par accepter. Mode de vie "normal", sport, bonne alimentation, arrête du tabac aussitôt... check au laboratoire tous les 3 mois. CV tournait autours de 50/60 000 et CD4 autours de 400.

Puis aujourd'hui, tu nous écris :

j ai fais des tests tout les 3 mois pendant 4 ans, tous négatif.. jusqu'au dernier ! lol

si je n'avais fais aucun test, 5 ans plus tard, aucun symtomes, je ne l'aurai pas su, et je pense que mes 5 dernieres années auraient eté bien différentes

A mediter

Je ne te comprends plus !!! Tu veux dire que avais eu un test positif il y a 5 ans, suivi de tests réguliers tous négatifs pendant les 4 années suivantes ? Quoi d'autre ?

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Jardinier, il doit y avoir un malentendu, si j'ai bien compris Seuldansmatete s'est fait testé négatif tous les 3 mois pendant 4 ans jusqu'à finir positif il y a 5 ans

Jibrail, c'est étrange ce que tu dis, le doctor a simplement regardé et a dit que c'est une gonohrée, je lui ai parlé de la chlamydia et il m'a dit de pas m'inquiéter car l'injection qu'il me fait tue tout même la syphilis ( je pense que je l'avais aussi, il n'y en a presque pas en France mais beaucoup en Asie apparemment) J'ai bien regardé il a mis deux produits différents dans la seringue. Si je voix les symptomes de la chlamédia, alors je prendrai ses Vibramycin, car j'ai un très mauvais souvenir de ces médocs, et en plus ils ont été inefficaces.

Tu as raison, c'est bien le crystal meth. C'est très populaire à Hong Kong. J'ai décidé de refuser la prochaine fois qu'on me tend la pipe, mais en même temps l'histoire m'a suffisamment calmé pour arrêter ce genre de plans. Ca donne effectivement un espèce d'état euphorique qui rend bêtement bavard, mais complètement impuissant, et la descente rend dépressif une bonne journée. De plus on voit que les gens qui en prennent régulièrement on des grosses plaques sur la peau ou le visage, et parfois la peau toute seiche ou cartonneuse.

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Pour la gonorrhée (et autres MST), je pense qu'il s'agit soit de calculs urinaires, soit d'irritation du gland. Ça dépend des symptômes.

Les antibiotiques semblent marcher parce qu'ils aident en fait à réduire l'inflammation de la verge et donc à laisser passer le calcul.

Et puis aussi, les calculs urinaires disparaissent la plupart du temps tous seuls. Donc, lorsqu'on prend l'antibiotique, le calcul est déjà en train de s'éliminer. On crédite ensuite à tort l'antibiotique du succès.

Dans la mesure où une MST peut servir de base au médecin pour dire qu'un séropositif est en train de passer au stade sida, c'est un truc à savoir.

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Je ne suis pas vraiment d'accord, ces MST sont très anciennes, et le moyen de les guérir datant des années 40 qui est le plus efficace n'a pas changé depuis. Je remarque cependant qu'en France, il est très difficile de se faire faire une piqure de penniciline il préfèrent nous donner des pilules.

Dans les années 40 je pense pas que cette dérive de lobbys pharmaceutiques qui inventent des maladies pour dégager un max de cash sur la santé des gens existait déjà.

Et pour avoir expérimenté personnellement ces maladies, je peux t'assurer que ça existe vraiment, les symptômes sont vraiment spécifiques ( pas seulement douleurs mais aussi et surtout écoulement et odeurs ) et sont survenus après des rapports douteux.

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Ah, mais je ne parle pas forcément de conspiration, mais plutôt d'erreur (même si, aux USA par exemple, des types comme les Rockefeller avaient mis la main sur la médecine dès les années 20).

Rien de plus facile que de croire qu'une irritation ou un calcul urinaire est une MST. Donc, dans le cadre de la théorie microbienne, l'erreur était possible.

Alors, oui les symptômes existent, mais simplement, la cause n'est pas celle qui est officiellement indiquée (des microbes).

Parce qu'il n'y a aucune raison que quelqu'un ressente une douleur lorsqu'il urine. Par contre, un caillou se trouvant dans le conduit urinaire explique très bien ce genre de chose.

Et ça peut tout à fait expliquer les écoulements aussi. L'inflammation que ça provoque peut entrainer la formation de pus. Dans ce cas, bien sûr, ça pourra être considéré officiellement comme une MST. Mais ça ne veut pas dire que c'est une MST. Et puis, même officiellement, un écoulement n'est pas limité aux MST. On peut faire un diagnostic de prostatite aussi. Donc, même officiellement, l'écoulement n'est pas spécifique uniquement à la gonorrhée ou d'autres MST.

Parfois, il n'y aura pas d'écoulement. Mais dans ce cas, on parlera d'autres types de MST, ou alors de simple infection urinaire, ou même justement, de calcul urinaire.

(D'ailleurs, cette histoire de prostatite me fait modifier mon appréciation de la situation. Je dirais qu'en plus d'un calcul urinaire, tu as dû avoir un calcul prostatique. Ça expliquerait un peu mieux les écoulements, mais surtout les odeurs.)

Même chose pour le fait que ça survienne après des rapports douteux. Le diagnostic est orienté en partie en fonction de ça. Si ça survient en dehors de rapports douteux, on parlera d'une autre maladie. Mais si tu as souvent des rapports sexuels, tu en auras toujours un suffisamment récent pour qu'on puisse te diagnostiquer une MST. Dans la mesure où une MST peut rester silencieuse, on dira que ton partenaire était infecté sans le savoir. Donc, dans ce cas, pratiquement à tous les coups le diagnostic de MST est crédible.

Et puis, pourquoi une MST infecterait juste le conduit urinaire et pas l'ensemble de la verge ? Pourquoi l'ensemble de celle-ci ne deviendrait pas enflammé lui aussi ? Alors qu'avec l'explication du calcul urinaire, là, c'est beaucoup plus logique. Il y a inflammation uniquement du conduit urinaire parce qu'il y seulement un caillou. Et donc, l'inflammation et la douleur sont seulement locales.

Quant aux odeurs, concernant la gonorrhée ça n'est mentionné que pour les femmes. Par contre, les prostatites peuvent entrainer des écoulements avec des mauvaises odeurs.

Bref, je serais toi, je ferais attention à mon alimentation. Parce que si tu as eu 2 fois le problème, ça veut dire que tu dois avoir tendance à avoir des calculs rénaux. Il faudrait voir aussi si tout ça n'est pas arrivé alors que tu avais pris du viagra récemment. Ça aurait pu favoriser l'apparition du problème.

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Il a fait un test dans un laboratoire assez pointu vu qu'il a du attendre 2 semaines pour les résultat.

A Hong Kong, il y a aussi des tests rapides, anonymes pour de vrai, pas comme en France, mais les centre sont spécialisés soit pour gay soit pour hétéro. J'y ai déjà fait un test négatif il y a 8 mois où ils mettent une goutte de sang sur un papier et si la couleur change c'est positif. Le gars qui fait ça, bien sûr n'y connait rien.

Je lui ai proposé qu'on fasse un test dans un centre comme ça pour voir si le résultat est le même et je me testerai aussi par la même occasion. J'ai bien fait? Mais je préfère attendre car j'ai eu mon injection de peniciline hier et je me demande si ça peut influer sur le test.

J'étais passé à côté de ça. En quoi les tests anonymes français ne sont pas anonymes ?

Sinon, pour l'injection de pénicilline, c'est clair que ça peut positiver le test. Ne surtout pas se faire tester juste après une injection d'antibiotiques. Il faut attendre au minimum un mois et demi.

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Jibrail, c'est étrange ce que tu dis, le doctor a simplement regardé et a dit que c'est une gonohrée, je lui ai parlé de la chlamydia et il m'a dit de pas m'inquiéter car l'injection qu'il me fait tue tout même la syphilis ( je pense que je l'avais aussi, il n'y en a presque pas en France mais beaucoup en Asie apparemment) J'ai bien regardé il a mis deux produits différents dans la seringue. Si je voix les symptomes de la chlamédia, alors je prendrai ses Vibramycin, car j'ai un très mauvais souvenir de ces médocs, et en plus ils ont été inefficaces.

Je me suis emmêlé les pinceaux, j'avais eu une injection de ceftriaxone (Rocephine), qui n'est pas de la classe des pénicilline (c'est une céphalosporine). Cette page de la CDC américaine contient pas mal d'infos intéressantes; les recommandations officielles là-bas (comme en France) sont également un double traitement associant ceftriaxone intramusculaire contre la gonorrhée plus doxycycline (7 jours) ou azithromycine (dose unique) contre les chlamydiae; le double traitement étant supposé également limiter la progression de résistances dans les souches de gonorrhées. Par contre la pénicilline est bien efficace contre la syphillis, peut-être ton injection comprenait pénicilline + ceftriaxone. Les fréquences et les résistances ne sont pas forcément les mêmes en Asie, aux Etats-Unis et en Europe, c'est aussi vrai.

Comme toi, je n'ai aussi pas beaucoup de doute sur l'origine bactérienne de la gonorrhée et sa transmission sexuelle, au vu aussi de ma propre expérience : déclenchement rapide des symptômes après le rapport, symptômes caractéristiques (du genre désagréables), guérison quasi-immédiate après traitement par antibiotique.

CDC, Sexually Transmitted Diseases Treatment Guidelines, 2010, p46

Dual Therapy for Gonococcal and Chlamydial Infections Patients infected with N. gonorrhoeae frequently are coinfected with C. trachomatis; this finding has led to the recom-mendation that patients treated for gonococcal infection also be treated routinely with a regimen that is effective against uncomplicated genital C. trachomatis infection (294). Because most gonococci in the United States are susceptible to doxycy-cline and azithromycin, routine cotreatment might also hinder the development of antimicrobial-resistant N. gonorrhoeae. Limited data suggest that dual treatment with azithromycin might enhance treatment efficacy for pharyngeal infection when using oral cephalosporins (295,296).

Uncomplicated Gonococcal Infections of the Cervix, Urethra, and Rectum

Recommended Regimens See Updated Recommendations

Ceftriaxone 250 mg IM in a single dose OR, IF NOT AN OPTION Cefixime 400 mg orally in a single dose OR Single-dose injectible cephalosporinregimens

PLUS

Azithromycin 1g orally in a single dose OR Doxycycline 100 mg orally twice a day for 7 days

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Aixur, voilà ce Jibrail nous dit :

... je n'ai aussi pas beaucoup de doute sur l'origine bactérienne de la gonorrhée et sa transmission sexuelle, au vu aussi de ma propre expérience : déclenchement rapide des symptômes après le rapport, symptômes caractéristiques (du genre désagréables), guérison quasi-immédiate après traitement par antibiotique.

Et je confirme ce qu'il dit.

La gonorrhée, c'est l'autre nom de la blennoragie, ou encore chaude-pisse, ou chtouile (https://www.google.fr/search?q=gonorrh%C3%A9e+bl%C3%A9noragie&rlz=1C1FDUM_enFR473FR566&oq=gonorrh%C3%A9e+bl%C3%A9noragie&aqs=chrome..69i57j0l3.6604j0j7&sourceid=chrome&es_sm=122&ie=UTF-8) et quand on en a une, on ne peut pas s'y tromper : douleur plus ou moins légère de l'urètre, écoulements transparents et visqueux en continu, apparition 24 à 48 heures après un rapport sexuel par pénétration active ou passive, résorption assurée en 3 à 5 jours traditionnellement avec... du bactrim de préférence à d'autres antibiotiques. (Le fameux bactrim dont les gays américains auraient abusé au point de l'utiliser systématiquement "en prévention" dans des établissements partouzaires où il était en vente à l'entrée).

Modifié par Jardinier
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@Jardinier,

Le problème, c'est justement la douleur. Il n'y a aucune raison qu'un microbe entraine une telle douleur. Même s'il y avait irritation du conduit urinaire, le passage de l'urine donnerait simplement une légère impression de chaud. Si tu urines sur une plaie ouverte, ça n'entrainera pas une douleur intense, comme il peut y en avoir lors d'une chaude pisse. Par contre, le déplacement d'un calcul urinaire peut faire extrêmement mal.

Ensuite, il n'y a pas de raison que l'infection se limite au conduit urinaire. Si infection il y avait, elle devrait entrainer une inflammation de l'ensemble du sexe. Alors qu'avec un caillou, là, c'est parfaitement logique que ça se limite à cet endroit.

Et puis, l'écoulement s'explique beaucoup mieux avec l'irritation que cause un caillou dans le conduit urinaire et à proximité de la prostate qu'avec un microbe.

Enfin, comment l'antibiotique ferait pour guérir l'infection, puisque le microbe se trouve en partie à l'extérieur du corps ? Le conduit urinaire n'est pas accessible à l'antibiotique. Donc, il ne devrait pas y avoir guérison. Par contre, si le calcul a tendance à partir tout seul, ou que l'évacuation est aidée par la prise d'antibiotiques (effet anti-inflammatoire), là aussi, ça s'explique beaucoup mieux.

Quant la "résorption assurée", ça n'est pas si vrai que ça. Ici, on apprend que "Parfois, les symptômes persistent pendant un certain temps après le traitement." Bien sûr, ils accusent un autre microbe (le chlamydia). Mais là aussi, ça s'explique plus simplement par le fait que le caillou est tout simplement resté dans le conduit urinaire.

Les conneries de la médecine ne se limitent pas au seul sida. C'est très dangereux de penser le contraire, même sans être séropositif. Bien sûr, si on est séropo, là, la médecine risque de vous rattraper très rapidement. Mais même si on ne l'est pas, ça reste très dangereux, parce que, même si c'est plus tard, la médecine vous mettra le grappin dessus avec des diagnostics de diabète, de cancer, de pneumonie, d'ulcère, d'hépatite, etc... Et là, aïe aïe aïe...

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La gonorrhée, c'est l'autre nom de la blennoragie, ou encore chaude-pisse, ou chtouile (https://www.google.fr/search?q=gonorrh%C3%A9e+bl%C3%A9noragie&rlz=1C1FDUM_enFR473FR566&oq=gonorrh%C3%A9e+bl%C3%A9noragie&aqs=chrome..69i57j0l3.6604j0j7&sourceid=chrome&es_sm=122&ie=UTF-8) et quand on en a une, on ne peut pas s'y tromper : douleur plus ou moins légère de l'urètre, écoulements transparents et visqueux

Je fais juste une rectification: pour la gonorrhée,, les écoulements sont blanchâtres ou jaunâtres (surtout le matin)

C'est pour la Chlamydia que les écoulement sont transparents, la douleur ressemble plus à une sensation de brûlure surtout au début, alors que pour la gonnorrhée, c'est comme si le pénis était écrasé (très très désagréable).

Aixur, il y a des années, je me rappelais que les tests étaient vraiment anonymes, mais récemment, on m'a demandé mon numéro de téléphone et le nom de mon médecin traitant, et je parle même pas du questionnaire stupide, c'est pour ça que j'ai fui au laboratoire, là-bas aussi on a réclamé le nom d'un médecin traitant mais j'ai pu négocier.

A Hong Kong, on doit juste vite fait remplir un questionnaire, pour le détail rigolo, ils y demandent si j'ai fait un séjour à Shenzen, la ville chinoise juste à côté. Je me demande comment ça peut influencer le test, mais je vois plus ça comme un clin d'oeil anti-chinois que les hong kongais aiment placer un peu partout.

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Ah oui, donc ça change tout, si les tests ne sont plus vraiment anonymes.

Maintenant, impossible de refaire les tests anonymement si on a été testé positif. Donc, pas possible de passer la note de gueule.

Si on s'est fait avoir une fois, plus de retour en arrière possible.

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Alors le gars est revenu de son rendez-vous chez l'infirmière, comme je le craignais, ils ont dit qu'il est HIV+ mais ne lui ont donné aucune preuves aucun papier, aucune précisions, je lui ai pourtant dit d'être exigeant.

J'essaie de recoller les pièces avec le peu d'info qu'il m'a donné. Il lui ont fait un test "antibody", j'imagine que c'est le test Elisa, devant lui avec le papier, il y a deux semaines. C'était négatif après le temps d'attente nécessaire, puis après avoir discuté 2 minutes avec l'infirmière, ça a dépassé la barre, le test est donc positif mais vraiment très très faible. Puis il lui ont fait deux grosses prise de sang, il est venu chercher les résultats aujourd'hui.

D'après ce que j'ai compris, l'infirmière a juste dit qu'il n'a pas d'autres maladies (hépatite c...) mais qu'il doit faire une nouvelle prise de sang dans deux semaines pour connaitre sa charge virale et savoir de quel traitement il aura besoin en début Juin.

Il n'est donc pas plus avancé, et va se retrouver dans un état de stress énorme pour boucler son année d'étude. Donc j'imagine que:

-Ils ont fait un western bolt, mais c'est tombé négatif et ils ne veulent pas lui dire et veulent un autre test de confirmation.

-Le western bolt est positif, mais alors dans ce cas, ils devraient être en mesure de donner sa charge virale et quand il a été infecté, non?

-Il ont pas fait le western bolt, ils ont juste checké les autres maladies, mais ça me parait bizarre, le hiv c'est sensé être la première chose qu'il regardent, après un Elisa surtout qu'ils lui ont fait deux prises de sang.

-Ils ont paumé son dossier et n'osent pas le dire.

Alors pourquoi l'infirmière lui a dit "c'est confirmé" , si il n'a eu qu'un test Elisa. Tout ça est très louche.

Autre détail intéressant, c'est un centre pour étudiant qui envoie les test dans un autre labo. C'est pour toute sexualité ils lui ont demandé si il était gay et il a dit oui. Normalement l'homosexualité n'est pas un problème chez les hong kongais, mais on sait jamais.

L'infirmière n'y connait, elle lui a dit des trucs comme quoi il aurait été infecté par fellation.

Il est jeune et sous le choc, donc très influençable, il ne s'est pas méfier une seconde alors que je lui ai bien dit de demander un max de précision à l'infirmière, bien qu'il ne soit pas plus avancé, il est revenu en pleur en étant persuadé d'avoir le sida et qu'il était prêt à prendre un traitement, je lui parle 5 minutes et il vire de mon côté direct. De plus il a pas l'air de se renseigner comme il faut, il regarde des trucs d'américains limite extrêmes.

Je lui ai dit de se calmer de ne pas trop y penser et de se faire un test anonyme dans le centre pour gays. Mais de ne surtout prendre aucun traitement pour l'instant. On lui a filé le contact d'un séropo, mais qui fait partie d'une association sur le Sida, j'imagine que c'est une très mauvaise idée de recevoir des conseils d'un type qui reçoit de l'argent en faisant la promotion du dépistage.

Que faire?

Est-ce que vous êtes calés en anglais? Je pense que vous savez mieux que moi quoi lui conseiller. Il peux vous poser des questions sur le forum. Je pense que c'est l'endroit le plus sérieux pour parler de ça ici, toute langues confondues.

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  • 5 weeks later...

Jardinier, il doit y avoir un malentendu, si j'ai bien compris Seuldansmatete s'est fait testé négatif tous les 3 mois pendant 4 ans jusqu'à finir positif il y a 5 ans

Jibrail, c'est étrange ce que tu dis, le doctor a simplement regardé et a dit que c'est une gonohrée, je lui ai parlé de la chlamydia et il m'a dit de pas m'inquiéter car l'injection qu'il me fait tue tout même la syphilis ( je pense que je l'avais aussi, il n'y en a presque pas en France mais beaucoup en Asie apparemment) J'ai bien regardé il a mis deux produits différents dans la seringue. Si je voix les symptomes de la chlamédia, alors je prendrai ses Vibramycin, car j'ai un très mauvais souvenir de ces médocs, et en plus ils ont été inefficaces.

Tu as raison, c'est bien le crystal meth. C'est très populaire à Hong Kong. J'ai décidé de refuser la prochaine fois qu'on me tend la pipe, mais en même temps l'histoire m'a suffisamment calmé pour arrêter ce genre de plans. Ca donne effectivement un espèce d'état euphorique qui rend bêtement bavard, mais complètement impuissant, et la descente rend dépressif une bonne journée. De plus on voit que les gens qui en prennent régulièrement on des grosses plaques sur la peau ou le visage, et parfois la peau toute seiche ou cartonneuse.

Desole, je ne repond que maintenant je n'avais pas recu la notice de reponse

Oui, je parlais de pendant 4 ans, AVANT ma contamination, qui elle, date de y'a 5 ans, ca fait donc 9/10 ans.

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