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conférence dissidente en france!!!


illusion

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Mon problème est que je ne comprends pas l'anglais parlé. Une retranscription de son discours, cela serait compréhensible, mais je ne comprends que l'allemand parlé.

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  • 2 mois après...

Donc le lien : http://ummafrapp.de/...cs_and_AIDS.pdf

Et copie du pdf pour ceux qui ne pourraient pas afficher le pdf (donc ça fait un peu double emploi, lien et pdf, regardez le lien si vous pouvez, le pdf perd la mise en page ici et les "hot links") :

Study Group AIDS therapy c/o Felix de Fries

Eglistr. 7 CH-8004 Zürich

Tel. 0041 44 401 34 24

Email: felix.defries@sunrise.ch

Les recommandations thérapeutiques de Felix de Fries (et de son groupe) sont désormais disponibles en français, ce qui n'est pas un luxe vu la complexité du sujet (mais s'il y a quelques petites fautes, s'agissant d'un document traduit).

Mais à mon sens, vu le catalogue de minéraux, suppléments et acides aminés conseillés, le plus souvent à des quantités astronomiques (par exemple 3 à 8 g de N-AcétylCystéine par jour, là où la plupart des gélules ou comprimés comprennent aux maximum 0,6g - encore s'agit-il d'un composé relativement peu cher), il me paraît impossible de se passer d'un avis médical plus ciblé et plus personnalisé pour faire le tri dans ces recommandations.

Felix de Fries est à Zürich en Suisse, mais il faut lui demander en direct car je crois qu'il a des contacts chez des médecins français.

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  • 1 mois après...

La Déclaration consécutive au Colloque du Pont du Gard est accessible ici, telle que relayée par le blog Zerhubarbe :

http://rhubarbe.net/...la-declaration/

Et ici sous pdf, un peu plus détaillée mais en anglais :

http://rhubarbe.net/...aration-pdf.pdf

A propos de la version en français de la communication de Félix de Fries sur les causes et traitements de la séropositivité et du sida que Jibrail signale ci-dessus ( http://www.ummafrapp...de_thérapie.pdf ), il y figure un avertissement à prendre en compte avant tout :

La thérapie doit être appropriée aux symptômes et aux maladies individuelles, sous une surveillance médicale expérimentée.
Modifié par Jardinier
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L'idéal serait de leur balancer des pcr charge virale détectable comme ils disent (sup à 50 copies), mais provenant des serums sérongatifs au vih!!!!

ou de rappeler l'existance des immuno déficients avec fameux cd4 inf à 200, avec infections qu'ils qualifient d'opportunistes ; alors que séronégatifs au vih!!!!

mais qui va financer ?

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  • 9 mois après...

bonjour

pour info, une réponse d'un thérapeuthe alternatif à la déclaration de Vers Pont du Gard...ainsi que le lien d'un forum où sa réponse est détaillée

bonne journée

Hello,

I want to draw attention to my critical commentary about the Pont-Du-Gard-Declaration and the article written by Barnes/Engelbrecht "Stricken Heroine Rethinkers Died from Toxic Drugs, Not AIDS".

http://www.helferzelle.de/wil/viewtopic.php?t=1821

About myself: I'm living with HIV for 27 years, the first 18 years without ART. I was an HIV/Aids dissident for 15 years and always lived healthy. The only reason why I'm still alive is that I started the antiviral therapy in the nick of time. I NEVER experienced any side effects!

For 14 years I've been treating patients with HIV as an alternative practitioner. I offer alternative therapy (without HIV drugs) and complementary therapy (in addition to HIV drugs). I wrote 3 professional articles about HIV, which were published in the complementary medical journal CO'MED:

Bales, W.P.: HIV - Mythos oder ernstzunehmende virale Bedrohung?

Teil 1: Zur HIV/Aids-Kritik und ihren lebensgefährlichen Folgen für HIV-Patienten

http://www.helferzelle.de/wil/kb.php?mode=article&k=305

Translation of title:

HIV - Myth or serious viral threat?

Part 1: About the HIV/Aids criticism and its life-theatening implications for HIV-patients

Bales, W.P.: HIV - Chronische Entzündung und Immunaktivierung

Teil 2: Chancen und Grenzen alternativer Therapie bei HIV-Patienten ohne antiretrovirale Therapie (ART)

http://www.helferzelle.de/wil/kb.php?mode=article&k=306

Translation of title:

HIV - Chronical inflammation and immune activation

Part 2: Opportunities and limitations of alternative therapy for HIV-patients without antiretroviral therapy (ART)

Bales, W.P.: HIV - Nutzen und Schaden antiretroviraler Therapie (ART)

Teil 3: Aspekte und Erfahrungen complementärer Therapie bei HIV-Patienten ergänzend zur ART

http://www.helferzelle.de/wil/kb.php?mode=article&k=307

Translation of title:

HIV - Benefits and harm of antiretroviral therapy (ART)

Part 3: Aspects and experiences of complementary therapy for HIV-patients in addition to HIV-drugs.

Yours sincerely

Wilfried Bales

Naturheilpraxis

Wilfried P. Bales

Thielenstr. 29

50825 Köln

Tel. 0221 5504040
www.heilpraxis-bales.de

www.helferzelle.de

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  • 2 semaines après...

Tout-à-fait Jibrail,

C'est d'ailleurs en discutant avec Wilfried Bales que je me suis démarqué de la position de Rethinkingaids et de Peter Duesberg.

Les traitements ARV ne sont pas à rejeter (sauf l'AZT et dans une moindre mesure le ténofovir). Mais cela ne signifie pas que la théorie virale soit exacte.

D'ailleurs, depuis quand l'efficacité d'un traitement signe-t-il la véracité de la théorie qui a conduit à l'utiliser? Le mode de fonctionnement de ces ARV n'a jamais été décortiqué. Seuls les résultats sont connus...

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Bonjour Cheminot, 2-3 remarques :

A propos des raisons possibles de se démarquer des positions de Duesberg : je ne sais pas dans quelle mesure tu as lu intégralement et attentivement ses livres et communications, ni si tu as compris les raisons pour lesquelles j'ai plaidé et plaide en faveur de la mise en oeuvre d'une démarche historiographique conséquente en matière d'histoire du "sida". En tout cas, dès que pour ma part je me suis quelque peu aventuré à lire Duesberg lui-même plutôt que ses interlocuteurs plus ou moins avisés, j'ai pu constater qu'un point clé de son propos, savoir le caractère passager et inoffensif du virus, a largement été repris et commenté par les uns et les autres hors de son contexte discursif. Lequel contexte discursif, pour le meilleur et pour le pire, présente des caractéristiques, disons réthoriques pour faire vite, très particulières, l'un de ses principaux ressorts en étant une sorte de principe d'ironie s'exprimant via un parti pris d'antiphrase. C'est donc un ensemble et un contexte discursifs dont l'intention et la portée critique réelle se sont trouvées largement éludées à loisir dans le cadre de polémiques reposant sur des stratégies argumentatives qui se sont très abusivement autorisé non seulement des propos biaisés, mais un procédé et une véritable entreprise de court-circuitage de toute une logique discursive et de communication. Pour ce qui est de l'épisode AZT, où en serions-nous aujourd'hui si Duesberg n'avait pas le premier tiré la sonnette d'alarme avec autant de force et de courage dès 1987 ? Sans lui, la transition vers les "trithérapies" aurait-elle pu s'amorcer dès 1993, ou seulement beaucoup plus tard, ou... ?

Découlant logiquement de ce qui précède, je ne peux que constater que tu te livres à un bien regrettable raccourci de langage en écrivant sans ambages que "les traitements ARV ne sont pas à rejeter". Il me semble que tu ferais mieux de développer, et que si, comme on le comprend, tu es quelque peu germaniste/germanophone, ce serait bien aussi de nous donner par exemple une idée la plus objective possible du contenu des positions de ton cher spécialiste es Naturheilpraxis Wilfried P. Bales. Cela pourrait éventuellement être utile par exemple à notre ami Sergio/Séroponiçois, qui nous donne aujourd'hui des nouvelles de son interruption de traitement ARV (http://www.sidasante.com/forum/index.php?/topic/17445-merci-pour-ce-forum-enfin-un-lieu-ou-poser-ses-bagages/#entry315213).

Reprenons : "Les traitements ARV ne sont pas à rejeter (sauf l'AZT...)" >> Je veux bien que dans certains cas et situations la reprise à temps de traitements interrompus soit un moindre mal. Mais le grand problème est entre autres me semble-t-il que par définition la composante AZT est pratiquement indissociable des autres composantes des "trithérapies". Ce que tu préconises, en quelque sorte, c'est un détournement utile de ces autres composantes. Je pense que, même si tu l'as déjà un peu fait en d'autres temps, tu devrais au moins tenter à nouveau de t'en expliquer en développant, en précisant et en nuançant le plus possible ton propos.

Bien à toi.

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Je ne souhaite pas rouvrir avec toi un débat qui s'est déjà avéré suffisamment douloureux pour ma part (trop de ton inquisitorial, trop de procès d'intention, trop de mauvaise foi, que tu renouvelles ici à l'égard de Cheminot, de façon insupportable), mais je tiens à rappeler aux lecteurs que déceler "une sorte de principe d'ironie" chez Duesberg relève d'une interprétation qui t'es personnelle et que personne d'autres n'a jamais évoqué à ma connaissance dans des écrits dissidents. Je ne me fatiguerai plus à expliquer comment, d'évidence, les faits et les écrits de Duesberg démontrent l'inverse, c'est à dire une défense consciente et obstinée de cette position jusqu'à ce jour.

Si les mots ont un sens - et sinon cela ne vaut guère la peine de discuter - alors Duesberg revendique toujours l'article qu'il a publié en 1998 dans la revue Genetica car il figure toujours en bonne place sur sur son site, et dont le titre est le suivant : "The AIDS Dilemna : drug diseases blamed on a passenger virus", ce qu'on pourrait traduite en français par : "Le dilemne du SIDA : un virus passager mis en cause pour des maladies causées par des drogues et des médicaments" [le double sens du mot "drug" en anglais].

Chacun pourra juger sur pièces s'il s'agit ou non d'"une sorte de principe d'ironie", et donc, pour aller au bout de ta logique, si Duesberg a publié cet article en 1998 en se fendant la gueule sur le dos de la santé de milions de malades.

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Jibrail, désolé de te ramener au vécu d'une période où nous avons effectivement assez durement polémiqué. Il y a quand même pas mal de temps que je m'efforce à ce que nous puissions dépassionner le débat, c'est-à-dire faire le départ de ce qui peut rester un vrai débat et de ce qui était un faux débat dont la résurgence en l'état ne pourrait que nous faire tous régresser. Tu as quand même fini pour ce qui te concerne par convenir des limites et des inconvénients de la théorie du stress oxydatif, et je ne vois pas raisonnablement que l'on puisse raisonablement revenir sur des positions telles que celles que tu as fini par prendre... et j'avais je crois apporté une contribution à ce débat là tout autre que de nature inquisitoriale, de procés d'intention et de mauvaise foi, quand par exemple j'ai signalé sur le forum l'existence du Traité de nutrition de Cano et alii, et l'importance de certains chapitres de cet ouvrage pour ce dont nous débattions, que ce soit sur l'approche du stress oxydatif, ou sur la triste réalité de l'atrophie du thymus comme conséquence de la malnutrition/dénutrition infantile, etc.

Ceci dit, je m'adressais à Cheminot, j'espère qu'il nous répondra lui aussi, en sorte que tu ne m'aies pas répondu à sa place.

Dans mon propos sur Duesberg ci-dessus, j'ai pris le soin de nuancer, en écrivant par exemple "pour le meilleur et pour le pire" à propos de ce qu'on pourrait aussi appeler son style. Il a tendance, non seulement au principe d'ironie et à l'antiphrase (mais bien sûr, il faudrait sans doute être de formation "littéraire" pour bien comprendre de quoi je parle), mais il a aussi tendance à être elliptique : ses explicitations comportent beaucoup d'implicite au niveau de ses énoncés. Du reste, il ne faut pas trop vite généraliser. L'article que cites et nous invites à (re)lire est extrêmement pédagogique et assez dénué des caractéristiques que je décris. Donc autant pour moi, même si dans d'autres types de communication de Duesberg, les caractéristiques que je décris sont plus fortement à l'oeuvre. Pour la petite histoire, Peter Duesberg est germanophone de naissance et de culture d'origine, et il s'exprime en anglais. C'est en partie sans nul doute ce qui explique qu'il puisse tout autant déranger son auditoire qu'un Vladimir Nabokov, russophone de naissance et de culture d'origine, a pu "déranger" son lectorat américain, notamment par son style, lorsqu'il a commencé à écrire des romans en langue anglaise et à les publier aux USA où il vivait.

Dans l'abstract de l'article auquel tu nous renvoies, Peter Duesberg fournit au passage une sienne définition du VIH, quand il écrit :
"HIV proves to be an ideal surrogate marker for recreational and anti-HIV drug use." Soit en Français : "Le vih s'avère être un marqueur de substitution idéal pour l'usage des drogues récréatives et des drogues anti-HIV."
Ici, le sens est à tous égards, mieux que simplement elliptique, polysémique, ironique et antiphrastique, c'est-à-dire qu'il maintient en connaissance de cause une ambiguité. Mais ambiguité n'est pas équivoque. Dans son contexte, au-delà du simple constat, la formulation de la définition en question ménage une ambiguité à un niveau secondaire : Duesberg veut dire qu'il se trouve que le vih est un marqueur de substition idéal... sans trop préjuger de la question de savoir si il a ou non été conçu comme tel, etc. mais en ouvrant aussi parmi d'autres - et seulement parmi d'autres - cette possibilité interprétative dérangeante. Et je considère que c'est son droit le plus absolu, que les éléments de la situation historique précise à laquelle il se réfère, dont il est partie prenante, et dont il traite, l'y autorisent pleinement, et qu'il fait authentiquement et très hautement oeuvre de salubrité publique en s'exprimant de la manière dont il le fait !

Enfin, dernier point, je ne fais preuve d'aucune mauvaise foi à l'égard de Cheminot. D'une part, il sait aussi bien que moi, sinon bien mieux, que ce n'est pas évident de dissocier les différentes composantes des ARV pour en écarter au besoin les plus nocives afin de pouvoir recourir aux plus vraisemblablement utiles en fonction de ce que requièrent divers cas et situations - c'est d'autant plus complexe d'ailleurs qu'il y a à la fois des enjeux psyco-somatiques et des contraintes socio-médicales, sinon socio-politiques... D'autre part, je pense sincèrement que ce pourrait être très souhaitable pour les lecteurs de ce forum que Cheminot nous expose les grandes lignes des positions de W. P. Bales, qu'il nous explique en quoi celles-ci ont infléchi son appréciation des positions de Duesberg et d'autres figures de la dissidence, et aussi qu'il nous explique le cas échéant en quoi ses positions à lui ont évolué à l'heure actuellepar rapport à il y a 2 ou 3 ans. Et enfin, à la lumière de tout cela, qu'il reprenne la question concrète de l'utilité de certains composants des ARV : lesquels, pourquoi, pour qui, quand, comment ?..

Post scriptum : Jibrail, sur la question du contexte et des propos tirés de leur contexte, tu peux voir aussi ce que je viens d'insérer dans le fil de discussion "Et ça, c'est quoi ?"

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Post-post scriptum : Pour l'instant je n'ai fait que prélever rapidement des échantillons de l'abstract de cet article de Duesberg de 1998 dans Genetica. Il faudrait que je le lise intégralement et attentivement pour apporter quelques compléments de réponse dignes de ce nom.

En attendant, j'ai relevé aussi dans l'abstract : "AIDS patients have antibody against HIV in common only by definition - not by natural coincidence." Ce serait trop long de faire ici une analyse détaillée de tout ce à quoi cela renvoie. Mais on est bien dans le problème de la distance entre le discours scientifique issu de sa pratique et tout ce que peuvent mettre en jeu les différentes étapes intermédiaires entre, d'un côté l'élaboration théorique et la confrontation de celle-ci aux données cliniques, et vice-versa, et d'un autre côté les effets de la communication, essentiellement institutionnelle, qui vont résulter de celle-ci une fois que les divers "experts" et "journalistes scientifiques" auront joué leur rôle spécifique de médiateurs auprés de la classe politique et de la société civile...

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Cheminot, je regrette bien ton silence radio par rapport aux questions que je t'ai posées ci-dessus. Mais enfin, bon, c'est ton droit.

Jibrail, tous,

On peut certes discuter des raisons et non-raisons de la présence du "passenger virus" dans le libellé du titre de l'article de Genetica par Duesberg. J'ajouterai juste que le souvenir qui me reste de la cimmunication où il affirme qu'un virus a été identifié est le suivant : le sens général de son propos tel que je l'avais compris était, en clair, que les chercheurs n'ayant rien pu isoler et s'étant donné toutes les chances de pouvoir identifier ce qu'ils souhaitaient pouvoir identifier a priori, on pouvait affirmer que les conditions d'identification d'un supposé virus avaient été plus que remplies. C'est ce que j'appelle avoir recours à un mode d'expression discursive reposant sur un principe d'ironie.

Pour ce qui est de l'article de Genetica, abstraction faite du problème du titre, et pour qui ne lit pas l'anglais, l'argument en est que, au moins pour ce qui concerne le "sida" des gays et des drogués américains et européens, les véritables données de l'épidémiologie, pour peu qu'elles n'aient pas été interprétées au forceps en amont et en aval de manière déterminée par la théorie du virus, montraient clairement que l'épidémiologie du sida est incompatible avec celle d'une maladie infectieuse. Et l'argument est developpé sur 48 pages, de manière extrêmement approfondie, avec à l'appui un très grand nombre de données et références de communications scientifiques mises dans une perspective historique. Au passage, que ce soit sur la question de l'AZT ou sur d'autres, telles la présentation des effets pathogènes de certaines drogues et toxico-dépendances, l'analyse des contradictions des tenants de la théorie officielle comporte ici et là bien des révélations choc, par exemple sur sur ce que savaient et ne savaient pas les décideurs et les chercheurs à tel ou tel moment de l'histoire du sida. Bref, même si la formulation y est parfois elliptique, entre autres du fait que Duesberg s'exprime en spécialiste d'épidémiologie et de "biomédecine", son article est d'une consistance et d'un portée tout sauf négligeable.

Pour changer de sujet, comme ce fil de discussion porte en principe sur les actualités et la presse, je rappelle ici ce dont j'ai informé dans un autre fil il y a deux jours : Selon les bulletins d'info du matin sur France Culture il y a 4 jours, le plan Bachelot et la réthorique des 30000 "infectés" qui s'ignorent est plus que jamais d'actualité. Les autorités françaises semblent bien avoir donné leur feu vert pour la commercialisation imminente, voire la mise à disposition dans les espaces et lieux dédiés aux "groupes à risques" (?), des autotests de dépistage rapide. Encore de gros ravages en perspective ! Mais il faut bien comprendre comment cela fonctionne : ce n'est guère relayé par l'info grand public, et certes en un sens c'est un moindre mal, mais d'un autre côté cela signifie que ce sont les groupes à risques et les personnes qui ont été le plus ciblées par l'"éducation" ad hoc, et donc les plus crédules, qui vont le plus faire les frais de la chose à leur corps défendant. Avec un tel néo-eugénisme, il n'y a pratiquement pas de limite dans l'odieux !

Mais bien sûr, quand en plus on sait que rien moins que le fils de notre ministre de la santé, un dadais d'un peu plus de vingt ans, vient d'écoper de 3 ans de prison ferme pour avoir extorqué à une de ses voisines 990 Euros et sa carte de crédit, raison de plus de ne plus s'étonner ni se scandaliser de rien...

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Cheminot, je regrette bien ton silence radio par rapport aux questions que je t'ai posées ci-dessus. Mais enfin, bon, c'est ton droit.

Jibrail, tous,

On peut certes discuter des raisons et non-raisons de la présence du "passenger virus" dans le libellé du titre de l'article de Genetica par Duesberg. J'ajouterai juste que le souvenir qui me reste de la cimmunication où il affirme qu'un virus a été identifié est le suivant : le sens général de son propos tel que je l'avais compris était, en clair, que les chercheurs n'ayant rien pu isoler et s'étant donné toutes les chances de pouvoir identifier ce qu'ils souhaitaient pouvoir identifier a priori, on pouvait affirmer que les conditions d'identification d'un supposé virus avaient été plus que remplies. C'est ce que j'appelle avoir recours à un mode d'expression discursive reposant sur un principe d'ironie.

Pour ce qui est de l'article de Genetica, abstraction faite du problème du titre, et pour qui ne lit pas l'anglais, l'argument en est que, au moins pour ce qui concerne le "sida" des gays et des drogués américains et européens, les véritables données de l'épidémiologie, pour peu qu'elles n'aient pas été interprétées au forceps en amont et en aval de manière déterminée par la théorie du virus, montraient clairement que l'épidémiologie du sida est incompatible avec celle d'une maladie infectieuse. Et l'argument est developpé sur 48 pages, de manière extrêmement approfondie, avec à l'appui un très grand nombre de données et références de communications scientifiques mises dans une perspective historique. Au passage, que ce soit sur la question de l'AZT ou sur d'autres, telles la présentation des effets pathogènes de certaines drogues et toxico-dépendances, l'analyse des contradictions des tenants de la théorie officielle comporte ici et là bien des révélations choc, par exemple sur sur ce que savaient et ne savaient pas les décideurs et les chercheurs à tel ou tel moment de l'histoire du sida. Bref, même si la formulation y est parfois elliptique, entre autres du fait que Duesberg s'exprime en spécialiste d'épidémiologie et de "biomédecine", son article est d'une consistance et d'un portée tout sauf négligeable.

Pour changer de sujet, comme ce fil de discussion porte en principe sur les actualités et la presse, je rappelle ici ce dont j'ai informé dans un autre fil il y a deux jours : Selon les bulletins d'info du matin sur France Culture il y a 4 jours, le plan Bachelot et la réthorique des 30000 "infectés" qui s'ignorent est plus que jamais d'actualité. Les autorités françaises semblent bien avoir donné leur feu vert pour la commercialisation imminente, voire la mise à disposition dans les espaces et lieux dédiés aux "groupes à risques" (?), des autotests de dépistage rapide. Encore de gros ravages en perspective ! Mais il faut bien comprendre comment cela fonctionne : ce n'est guère relayé par l'info grand public, et certes en un sens c'est un moindre mal, mais d'un autre côté cela signifie que ce sont les groupes à risques et les personnes qui ont été le plus ciblées par l'"éducation" ad hoc, et donc les plus crédules, qui vont le plus faire les frais de la chose à leur corps défendant. Avec un tel néo-eugénisme, il n'y a pratiquement pas de limite dans l'odieux !

Mais bien sûr, quand en plus on sait que rien moins que le fils de notre ministre de la santé, un dadais d'un peu plus de vingt ans, vient d'écoper de 3 ans de prison ferme pour avoir extorqué à une de ses voisines 990 Euros et sa carte de crédit, raison de plus de ne plus s'étonner ni se scandaliser de rien...

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En juin 2010, en tant que secrétaire nationale du PS pour les affaires sociales et la santé, M. T. a entraîné son parti, sans doute dans une logique assez étrange d'opposition systématique plus ou moins mûrement réfléchie, à entériner le plan sida de Roselyne Bachelot et à suspecter publiquement cette ministre et son gouvernement de manquer de détermination réelle pour la mise en oeuvre de ce plan, lequel dans son principe entendait mettre la médecine libérale en demeure de faire subir le dépistage du "vih" à la totalité de la population française de 15 ans à 70 ans et plus. Dois-je rappeler une fois de plus, à ce sujet, que le plan Bachelot était très probablement en partie dicté par un vaste trafic d'influence de l'entreprise Gilead Science au niveau des institutions européennes ?

Par ailleurs, les parents sont légalement responsables de leurs enfants au minimum jusqu'à leur majorité. Entre autres, ils sont pour partie responsables de leur éducation et des conséquences que celle-ci peut avoir. Quand un fils devient un délinquant 2 ou 3 ans après avoir atteint sa majorité, il y a de quoi se poser des questions sur ce qui s'est joué au niveau des responsabilités parentales et de la vie familiale - a fortiori si tout cela s'est passé dans un milieu social très privilégié où la mère, fille d'un sociologue extrêmement renommé, a par ailleurs de très importantes responsabilités politiques. Pour préciser ma source, l'information a notamment a été publiée par l'hebdomadaire Le Point : "10 sept. 2013 - Le jeune homme a été condamné à trois ans de prison ferme pour extorsion et séquestration. La ministre n'a pas souhaité commenter (...)" Et ausi : "www.lepoint.fr › Société - 3 sept. 2013 - La ministre s'est fait voler sa 407... La police a interrogé son fils qui a fourni des explications embarrassées. L'enquête s'est arrêtée net." - https://www.google.fr/search?q=Le+point+Marisol+touraine&rls=com.microsoft:fr:%7Breferrer:source%3F%7D&ie=UTF-8&oe=UTF-8&sourceid=ie7&rlz=1I7MXGB_frFR509&gws_rd=cr&ei=gctNUqDJIMSu0QXc_4DYDw

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Salut aux les animateurs et à tous les lecteurs curieux qui font de ce site une mine d'informations.

Les pistes levées et explorées ici pour tenter de comprendre les manoeuvres politiques et médicales qui nous ont conduit à croire en un virus mrotel menaçant tout le monde sans jamais l'avoir vu, isolé ou mis en culture, nous donnent accès à une réfléxion d'une pertinence inégalée...

Admirable le travail de recherche accompli par les membrec actifs de ce site et les débats, biens qu'encore scabreux pour mon niveau de culture, me donnent de nouveaux angles de vue sur les précisions et les différences qu'il convient de faire par exemple lorsque je parle de sida et de vih.

Je dois dire que je me plais à ma raconter que notre cerveau est le chef.

Je me persuade du fait que l'expression de mon corps est ce que je me concède, ce que je pense mériter, l'expression de mon désaroi qui me rend, malade, malchanceux et triste, ou, exalté, amoureux et heureux de vivre.

Je tente de me sevrer des médocs ingurgités durant bientôt 14 ans mais au fond, je sais que je vais diviser ou multiplier mes chances de succès selon mon état psychologique.

La maladie, c'est l'incendie, que nous combattons matériellement mais, pour influer sur l'incendiaire, nous, la chimie n'opère pas plus que les analyses, les tests et les statistiques.

Là j'ai pas le temps mais j'y reviendrais et vous conterai l'experience vécue dans une fondation qui prenait en charge les toxicos et autres jeunes en mal de repaires, et infligeait des sevrages blocs dans tous les cas (hormis celui d'alcooliques tenus à un sevrage progressif au risque d'y passer).

Le taux de réussite de réinsertion était tel, que son fondateur fut pressenti pour le nobel jusqu'au moment où les autorités en place n'en comprennent le danger que représentait la formule qui transformait les dits déviants en personnes responsables, sans recours à la force, à la justice, aux psy, aux toubibs, à toute la pharmacopée et cela en auto-suffisance !?!

2 ans plus tard, Lucien Enjelmayer était devenu un gourou à la tête d'une secte... Il avait pourtant mis au point une formule révolutionnaire, qui faisait que les anciens devenaient aidants, qui responsabilisait des personnes qui normalement étaient prévues pour être les clients des ghettos, de nos jolies prisons et de nos hôpitaux si accueillants, et qui allait devenir des concurents voire des adversaires dans des affaires qui tournent mieux quand tous nous gardons notre rôle.

J'y reviendrais je dois filer.

A+ et bontoujours.

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