twj Posté(e) le 3 décembre 2011 Partager Posté(e) le 3 décembre 2011 Bonjour, En supposant que le VIH est le responsable du SIDA. Pourquoi de nos jours, on peut vivre avec le SIDA (enfin avec le VIH) pendant des dizaines d'années "sans symptômes" alors que dans les années 80 les gens semblaient mourir rapidement ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cheminot Posté(e) le 3 décembre 2011 Partager Posté(e) le 3 décembre 2011 AZT, quand tu me tiens!!! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
twj Posté(e) le 4 décembre 2011 Auteur Partager Posté(e) le 4 décembre 2011 (modifié) mais au début, on ne donnais pas tout de suite de l'AZT chez les gens il me semble !!! si on avait rien donné aux gens, leur corps aurait ils pu survivre ? ou bien, on peut carrément affirmer que c'est la science qui a tué les premières personnes diagnostiquées ? ces affirmations sont gravissimes. pourquoi n'en parles t-on pas plus que ça ? Pourquoi wikipédia, à l'heure d'aujourd'hui, dit juste que les premiers médicaments n'étaient pas très efficaces en parlant de l'AZT, alors qu'ils ont tués ? est ce une certitude pour l'AZT, où sont les preuves qu'il s'agit bien de ce médicament qu'on donnait aux gens, et les preuves de la causalité meurtrière. si ces preuves existent, pourquoi qu'il n'y a pas de procès des familles ? Modifié le 4 décembre 2011 par twj Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aixur Posté(e) le 4 décembre 2011 Partager Posté(e) le 4 décembre 2011 Au début, on donnait quand même de l'Interleukine 2 et de l'interféron. En plus, on donnait des antibiotiques en masse, et évidemment, de la morphine. De quoi tuer déjà assez facilement une personne en bonne santé. Par ailleurs, la population de gens concernés par le sida à l'époque était différente de celle qu'il y a eu après. Là, il s'agissait essentiellement de drogués au dernier degré (qu'ils soient homo "hard fêtards" ou purement drogués). Donc, les mecs traités étaient déjà des loques humaines quand ils commençaient à se faire traiter. Donc, avec des personnes aussi mal en point, les traitements pré-AZT étaient largement assez dangereux pour tuer en masse. Vu la population en question, beaucoup n'auraient de toute façon pas survécu, vu ce qu'il infligeaient à leur corps avec la drogue (et ce que leur infligeaient les médecins en les bourrant régulièrement d'antibiotiques). Par contre, bien sûr, s'ils avaient arrêté de se droguer et qu'ils n'avaient pas subis de traitements anti-sida, la plupart auraient survécu. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jardinier Posté(e) le 4 décembre 2011 Partager Posté(e) le 4 décembre 2011 (modifié) Par ailleurs, la population de gens concernés par le sida à l'époque était différente de celle qu'il y a eu après. Là, il s'agissait essentiellement de drogués au dernier degré (qu'ils soient homo "hard fêtards" ou purement drogués). Donc, les mecs traités étaient déjà des loques humaines quand ils commençaient à se faire traiter. Peut-être, même assez sûrement. Dès l'élection de Reagan en 1980, son épouse Nancy avait annoncé que pour sa part elle comptait se consacrer à un programme "humanitaire" de lutte contre la drogue... lequel s'est traduit entre autres par une quasi guerre ouverte contre les drogués et les homos via des mesures médico-sanitaires profondément équivoques. Mais entre 1980 et 1984-85, au niveau du NIH et du CDC, il s'agissait surtout de mettre en exploitation la technologie de comptage des CD4 et de constituer un faisceau de symptômes, notamment à partir de fichiers d'homos ayant participé aux expérimentations du vaccin contre l'hépatite B et/ou s'étant fait soigner dans des STD Clinics ou des centres de soins communautaires gay, en vue d'établir une nosographie susceptible de confirmer la thèse du sida à titre "d'avancée de l'immunologie". Il faudrait donc voir précisément dans quelle mesure une causalité avait pu être établie, par exemple, entre le sarkome de kaposi et la consommation de cocaïne et d'héroïne. De plus, les critères tournaient aussi autour des cas de personnes atteintes de leucémies ou leucémies-like, de cancers de la peau ou autres, d'hépatites B et C, parfois sans doute de traces de syphilis inactivées, et surtout, le plus concrètement et le plus déterminant, de lymphadénopathies, qui grâce à Luc Montagnier, Willy Rosenbaum et quelques autres, ont donné lieu à la création de toute la chaîne de cultures cellulaires aboutissant de manière frauduleuse à l'affirmation propagandiste de la thèse du vih en tant que Vérité révélée. Modifié le 4 décembre 2011 par Jardinier Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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