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forum sidasante

à Brume


aixur
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Bon, je vais continuer la conversation dans ce topic pour éviter la dispersion dans l'autre (ici).

Aixur,

j'aimerais bien que tu revois ta propre pensée à la hausse, disons que tu la remettes à jour, car je crois que tu touches quelque chose avec le cortisol, mais que t'es trop focalisé dessus, et du coup c'est incompréhensible pour le commun des mortels.

Je tombe régulièrement sur des choses qui invoquent entre-autres le cortisol et qui me font penser à tes écrits,

, par exemple,

donc je pense que "il y a un truc", que tu devrais développer.

Par contre, quitte à en arriver au clash qui me virerait du forum, quand tu expédies des "cas" comme nuls et non avenants, puisqu'ils ne se situent/adoptent pas ton point de vue, comme tu l'as fais à plusieurs reprises, je ne suis pas d'accord. Je ne suis pas d'accord tout court, mais en plus je ne suis pas d'accord parce que je pense que tu tiens un truc (juste 1) avec ce cortisol, mais que tu ne le détailles pas. Tu le fais sur ton blog (que j'ai découvert par hasard), mais là aussi, tu n'as qu'une paire de lunettes pour l'ensemble des problèmes de santé. Ca ne peut pas aller, non ?

Et pourtant, tu en sais plus que la plupart des autres, sur le cortisol, et je ne sais pas exactement quel rôle joue le cortisol, mais c'est clair qu'il joue un rôle dans le "sida" aussi (1, peut-être plusieurs, mais pour commencer 1 role).

Tu te le dois de reformuler, je pense.

Hier j'ai vu sur le "profil"(facebook) de Karri, que sa fille a repris le profil (deuxième reprise du profil de Karri après son décès, ce que je trouve en soi gênant, voire gerbant, bien que compréhensible), ce que je trouve déjà en soi un problème. Mais passons. Et puis oui, la fille de Karri a évidemment des choses lourdes et douloureuses à dire. J'en ai eu les larmes aux yeux, mais ça n'empêche pas que la manière de poser le problème est faussée.

On le sait tous (j'en suis certaine que tout le monde sait ça on fond de soi), et je veux sortir de ce truc de politesse/fausses pistes.

Je comprends de ta part que t'en es fatigué de re-assener les mêmes opinions sur des cas particuliers. Mais tu crois vraiment que le cortisol explique tout ? Au point de dire que ceux qui (à bout d'avoir testé sur leur corps les idées dissidentes, il faut bien le préciser, car moi je ne suis pas seropo, et toi non plus pour autant que je sache) ont repris des arv's "n'avaient qu'a" ? Tu sais bien que ce n'est pas aussi simple.

Pour ma part en tout cas j'en suis las du consensus dissident, qui ne vaut guère mieux, au bout du compte, que le consensus orthodoxe. La vérité est ailleurs, on ne la tient toujours pas - mais au moins les dissidents cherchent, c'est pourquoi je continue à me considérer dissidente dans ce contexte. Je continue à chercher, tous les jours. Mais les faux raisonnements, j'en raz de par dessus la tronche. Vraiment, c'est la pire des services qu'on peut rendre à la "dissidence". Je vais même aussi loin que de dire que, hormis quelques exceptions, les arv's peuvent sauver (oui, s a u v e r) des personnes (comme beaucoup de dissidents savent et heureusement pratiquent), en attendant que nous autres on aura compris le truc qu'on n'a toujours pas compris dans le "hiv/sida" et proposerons d'autres approches, remis au jour d'aujourd'hui (et pour autant j'en suis certaine que le cortisol jouera un rôle important dans la "vue d'ensemble à venir", j'en suis certaine aussi que le "vih/sida" ne se résumera jamais au seul cortisol.

Amen.

Ben, j'ai fait un gros article sur le cortisol et le sida dans sidasante (section médicaments). J'ai développé cette théorie aussi sur mon blog dans de nombreux articles. Je ne peux pas faire tellement plus.

Par ailleurs, vu que la base est assez simple, je rappelle les fondements de ma théorie régulièrement. Donc, là encore, difficile de faire plus.

Concernant le fait que j'ai une unique interprétation pour l'ensemble des problèmes de santé, je suis désolé, mais non. La théorie du cortisol est très féconde, et le cortisol est un élément de régulation majeur du corps. Donc, forcément, ça s'applique à de très nombreux problèmes. Et du coup, il est normal que j'ai écrit de nombreux articles sur le sujet.

Mais c'est loin d'être mon unique interprétation pour tout. Je parles des antibiotiques, et des autres médicaments qui ont un effet désagrégateur de cellules. Je parle de la morphine. Mon interprétation du cancer recourt relativement peu au problème du cortisol. Pour la vache folle, je reprends les théories de Mark Purdey. Je parle aussi de l'excès de protéines. Etc, etc... Bref, même si le cortisol est un élément central de mon analyse, je ne me limite pas à lui.

Par ailleurs, je sais reconnaitre quand ma théorie est insuffisante. Quand je ne connaissais encore que le problème des antibiotiques, il y avait plein de problèmes que je reconnaissais ne pas pouvoir être expliqués via ce problème.

Concernant le cortisol et le diabète, je me suis par exemple limité à la remise en cause du seul diabète de type II parce que de ce que je voyais du type I, j'avais l'impression que ma théorie avait des insuffisances le concernant. Donc non, je ne suis pas un excité qui applique ses théories aveuglément à tout ce qui se présente.

Et concernant, le sida, évidemment que je parle régulièrement du problème du cortisol, parce que c'est là aussi un élément majeur du problème (même encore plus qu'ailleurs). Les médicaments du sida augmentent tous le taux de cortisol et tout leur effet positif vient de là. Donc, forcément, dès qu'on me parle d'une personne qui a vu son état amélioré par les arv, je m'oriente automatiquement vers le problème du cortisol. Et avant tout prise d'arv, donc avant tout lien clair et net avec le problème du cortisol, comme de très nombreux états maladifs sont liés au problème du cortisol, forcément, je donne souvent un diagnostic incluant le problème.

L'adresse de mon article sur le cortisol sur sidasante :

http://www.sidasante.com/azt/tritherapie_e...orticoides.html

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Merci pour les précisions, Aixur.

Ca ne me fait pas vraiment changer d'avis, pourtant. Je pense qu'il y a des éléments valables, mais que les conclusions vont beaucoup trop loin, sans de solides et explicites preuves à la base. Donc à mes yeux ça affaiblit même les points qui pourraient être valides dans l'ensemble. Mais tu l'appelles une théorie, donc soit, une théorie, pourquoi pas.

Je suis incapable de formuler tout ce qui m'est passé par la tête en lisant ton article, mais quelques points :

- il y a un rôle majeur attribué au sang différemment "dilué" dans le centre du corps (le tronc/les parties vitales) et les membres. J'ai du mal à suivre ça comme argument clé, étant donné que le sang circule à une vitesse grand V, même s'il peut y avoir des différences selon la dilatation des artères, la pression sanguine, l'afflux à partir de et vers les petits vaisseaux, la perméabilité des vaisseaux (sous influence de médicaments ou de l'état de santé général), mais je pense qu'au final les propriétés du sang sont valables pour le corps dans son ensemble, sans différences notoires entre tronc/membres. Il pourrait y avoir un tel type de différence 'tronc/membres" pour le système lymphatique (et les tissus interstitiels), ça oui.

Mais écrit tel quel, pour moi, ça invalide tout argument basé sur les prises de sang dans le bras.

- les tests cd4 (§ 3,3) ne mesurerait que les particules de la taille de cd4, sans aucune spécificité. Pour autant je ne sais pas ce qui est finalement mesuré par les tests cd4, il semblerait qu'il y ait bien plus de mesuré que la taille : cytométrie et un exemple au pif.

- (§ 5) "Même si on arrête la trithérapie d'un coup, il semble que les effets physiologiques négatifs ne durent que 3 ou 4 mois (c'est ce qui s'est passé pour un dissident de AidsMyth Exposed) et qu'après, *tout rentre plus ou moins dans l'ordre (y compris bien sur le taux de cd4 et la charge virale)*.

Ce qui est entre *-* n'est tout simplement pas vrai, hélas. Mais par commodité on ne peut pas/plus faire comme si.

- (§ 3,2) "...et la possible toux sèche par exemple, vont être interprétés comme une pneumonie, ou une tuberculose." On peut avoir beaucoup de critiques sur le monde médical - et je ne suis pas la dernière à en avoir beaucoup -, mais de là à dire qu'ils ne font que "interpréter", c'est intenable comme argumentation.

- l'étude que tu indiques comme exemple de "certaines anti-protéases ont un effet anti-inflammatoire" est très intéressante, surtout parce qu'elle semble dire accessoirement que la salive contient naturellement un anti-protéase. (Mais il faut que je la relise de près, pas sûr que j'ai tout pigé au premier coup.)

- Ce que tu dis dans ta réponse, que le cortisol est impliqué dans beaucoup de maladies/états de santé et qu'on le retrouve un peu partout, ça oui, je le crois aussi, mais pour moi il n'y a par contre rien de "clair et net" (c'est mon problème, d'accord). (Certainement il faut voir ça aussi en lien avec ce que dit Cheminot - un post que je regarderai plus en détail plus tard, d'ailleurs).

Voilà pour maintenant...

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- il y a un rôle majeur attribué au sang différemment "dilué" dans le centre du corps (le tronc/les parties vitales) et les membres. J'ai du mal à suivre ça comme argument clé, étant donné que le sang circule à une vitesse grand V, même s'il peut y avoir des différences selon la dilatation des artères, la pression sanguine, l'afflux à partir de et vers les petits vaisseaux, la perméabilité des vaisseaux (sous influence de médicaments ou de l'état de santé général), mais je pense qu'au final les propriétés du sang sont valables pour le corps dans son ensemble, sans différences notoires entre tronc/membres. Il pourrait y avoir un tel type de différence 'tronc/membres" pour le système lymphatique (et les tissus interstitiels), ça oui.

Mais écrit tel quel, pour moi, ça invalide tout argument basé sur les prises de sang dans le bras.

En fait, ça c'était au tout début de ma théorie sur le taux de cortisol. Depuis, j'ai changé d'idée sur le sujet. Je pense plutôt qu'il y a vasoconstriction ou vasodilatation générale.

- (§ 3,2) "...et la possible toux sèche par exemple, vont être interprétés comme une pneumonie, ou une tuberculose." On peut avoir beaucoup de critiques sur le monde médical - et je ne suis pas la dernière à en avoir beaucoup -, mais de là à dire qu'ils ne font que "interpréter", c'est intenable comme argumentation.

Je ne vois pas du tout ce que ça a d'intenable. Les symptômes sont les mêmes. Bien sûr, on peut trouver des bacilles de la tuberculose dans les crachats (vu que ce sont de simples bactéries qui se développent quand il y a des déchets cellulaires). Donc, il n'y a aucune raison que les médecins ne fassent pas ce diagnostic. Sauf qu'ils ne feraient pas le même diagnostic chez une personne séronégative. Ils diraient simplement que c'est une bronchite ou quelque chose comme ça. Ils n'iraient bien sûr pas chercher la présence de bacilles de la tuberculose. C'est en ça qu'ils interprètent. Et l'interprétation est à la tête du client.

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- (§ 5) "Même si on arrête la trithérapie d'un coup, il semble que les effets physiologiques négatifs ne durent que 3 ou 4 mois (c'est ce qui s'est passé pour un dissident de AidsMyth Exposed) et qu'après, *tout rentre plus ou moins dans l'ordre (y compris bien sur le taux de cd4 et la charge virale)*.

Ce qui est entre *-* n'est tout simplement pas vrai, hélas. Mais par commodité on ne peut pas/plus faire comme si.

Ben, j'aimerais avoir des exemples dans ce cas.

Cela dit, il doit y avoir plein de cas qui ne sont pas purs du tout. La personne qui se sent mal va souvent prendre des médicaments qui augmentent le taux de cortisol. Elle va ensuite les arrêter. Et pouf, on est reparti pour 2 mois de plus de symptômes de faible taux de cortisol. Prenons une personne qui arrête d'un coup les arvs. Elle souffre pendant 2 mois. Décide de prendre un médicament contre telle ou telle douleur pendant 1 mois. Ca va mieux pendant 1 mois. Mais, ça rajoute 2 mois de faible taux de cortisol. Du coup, paf, on allonge le truc à 5 mois. Et bien sûr, ça peut se reproduire. Donc, la phase d'atterrissage apparaitra comme beaucoup plus longue que 4 mois à cause de ça.

Et puis, je n'exclus pas que certaines personnes qui on pris des arvs pendant 10 ans et qui les arrêtent d'un coup aient tendance pendant un certain temps à faire un peu le yoyo même au délà de la périodes des 4 mois. Genre la personne a une rechute au bout d'un an pendant 1 mois. Mais vu les témoignages glanés ça et là, ça a l'air d'être très rare. Je ne considère pas qu'une personne qui a un problème au bout de 2 ans entre dans cette catégorie.

Il me semble que les exemples ne manquent pas, notamment de celle qui probablement est la référence de virusmyth. Mais effectivement, chaque cas est différent et il y a beaucoup d'éléments qui interviennent, donc aucun cas n'est "pur". Toute discussion à ce sujet pourrait s'arrêter là...

Sinon,

Emery (que n'avait jamais pris des médocs) a bien posté ses résultats cd4 et charge virale sur pas mal d'années, on voyait, hormis quelques yoyo's, une tendance indéniable de baisse de cd4 et hausse de charge virale. (Je n'ai d'ailleurs jamais compris comment ça pouvait être posté comme une sorte de preuve que tout allait bien, car ça collait d'emblée avec le pronostic orthodoxe - on sait tous qu'ils ont toujours fait état d'un temps de latence d'une moyenne de 10 années. Mon ami, par exemple, 1 année avant d'être malade, aurait pu dire que : vous voyais bien : séropo, pas de médocs, mais je me porte comme un charme.)

En tout cas, même sans jamais avoir pris des médicaments, on ne peut vraiment pas dire que pour Emery "...tout rentre plus ou moins dans l'ordre (y compris bien sur le taux de cd4 et la charge virale)."

Karri ? Pas vraiment un bon exemple non plus. Même s'il y a certainement eu d'autres conditions de santé au départ et tout le long de son triste parcours.

Bruno Berthelot - sauf erreur de ma part, je crois bien qu'il est décédé.

Enfin, on va pas jouer à ce jeu là. Par contre si tu connais des cas des personnes dont les "nombres" se sont améliorés après arrêt d'une tri ?

Puis y il a aussi des personnes qui ont arrêté d'un coup et qui se portent bien pour l'instant, parfois après de nombreuses années, et pour certain(e)s sans période transitoire de problèmes de santé aggravés - mais ceux/celles dont j'ai connaissance, ne se sont plus jamais fait tester après, donc pas moyen de savoir comment leurs "nombres" se portent.

(Au passage soit dit que je ne vais pas en conclure que de ne pas se faire tester soit en soi le remède miracle - que ça puisse contribuer pour certains/certaines à plus de tranquillité d'esprit, et par là avoir une incidence sur la santé, ça d'accord, mais pas au point d'être décisif.)

Avec une énorme maîtrise de soi (qui doit en quelque sorte être naturelle - car on ne peut pas vraiment la forcer si on ne l'a pas - je crois), notamment au niveau psychologique, et d'autre part une alimentation et hygiène de vie exemplaires, je pense que certains/certaines peuvent effectivement faire des miracles. Mais d'autres, non. On peut reprendre ces cas sans doute en expliquant les choses par la réduction du stress oxidatif et/ou par des variations du taux de cortisol. Et que les deux jouent un rôle, oui. Mais à quel(s) stade(s) du "processus" ? Pour moi ni les peroxinitrites ni le cortisol ne couvrent la totalité du problème. Ca vient peut-être du fait que (bien que je garde mes doutes) j'ai tendance à croire qu'il y a quelque chose qui peut se transmettre. Si on part du point du vue que tout le problème est un problème interne, de la personne, et qu'il n'y a pas de élément extérieur transmissible (et donc "acquisible") on voit tout dans une autre perspective.

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Pour moi ni les peroxinitrites ni le cortisol ne couvrent la totalité du problème. Ca vient peut-être du fait que (bien que je garde mes doutes) j'ai tendance à croire qu'il y a quelque chose qui peut se transmettre. Si on part du point du vue que tout le problème est un problème interne, de la personne, et qu'il n'y a pas de élément extérieur transmissible (et donc "acquisible") on voit tout dans une autre perspective

Je partage tes doutes et ta réserve concernant cette « simplification définitive » du stress oxydatif ou du cortisol. Le stress oxydatif n’étant ( et c’est pas rien ! ) qu’un effet de l’action des péroxynitrites sur les cellules , il décrit les effets, et ce qui se passe sur un plan purement chimique, mais c’est insuffisant , pour moi, du moins

Je reste obsédé ( mais je me soigne) par le monde des causes, là se trouve la solution, mais le manque d’ouverture d’esprit, ainsi que la satisfaction des chercheurs empêchent une recherche plus approfondie

Peut-on parler encore de science sur un sujet qui fait aussi peu l’unanimité ?

Comment choisir entre :

- Un virus inoffensif ou passager …Perth Group et le stress oxydant

- Un virus inexistant …Duesberg

- Un virus dont on peut se débarrasser si on a un bon système immunitaire (inoffensif ?)…Montagnier

- Un virus hautement pathogène …Orthodoxie

- Un rétrovirus endogène (H’erv) …De Harven

Franchement aucun ne semble avoir raison dans son coin, par contre chacun paraît détenir une part de vérité, mais qu’est-ce qui pourrait bien les réconcilier ?

Montagnier pour revenir à lui, a bien réussi en filtrant des bactéries et virus ou mycoplasmes à obtenir une solution qui ne contenait plus aucune structure vivante, ni ADN. Pourtant ces mycoplasmes bactéries et virus réapparaissent spontanément ( entre 8 et 21jours) dans cette solution, quel magicien ce Montagnier !!!

De plus on montre que la solution émet des signaux électromagnétiques dès qu'on la dilue et il pense qu’une information génétique puisse être transmise de l’ADN à quelque chose qui existe dans l’eau ?

Il ne faut donc pas s’étonner que la recherche ait donné si peu d’écho à cette « trouvaille » sulfureuse, car elle peut déstabiliser le système, donc partir en Chine est une sage décision et un bon présage pour l’aboutissement de ses travaux, en tout cas je le pense, car les occidentaux sont trop matérialistes.

On a donc une piste supplémentaire, qui est l'eau et j'en remets une couche sur le LCR, ...qui est de l'eau à 99%

Modifié par Jerman
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D'accord pour les chiffres de cd4 et de charge virale. Mais pour moi, quand je parle de bonne santé, je parle de ce qui se passe physiologiquement. Or, la plupart de ces gens allaient parfaitement bien avant d'être considérés comme malades et de mourir. Leurs chiffres étaient supposés mauvais. Mais au niveau physique, ils disaient qu'ils pétaient le feu. C'est la seule chose que je considère. Or, la phase où ils avaient la pêche avait duré pendant des années. La plupart du temps, ce n'est que tout d'un coup que les choses ont commencé à aller moins bien. Alors que si les chiffres avaient à voir avec l'état de santé, ils auraient du être malade très régulièrement avant de mourir d'une infection.

Or, ce qu'il y a, c'est qu'une baisse de forme peut toujours survenir sur un intervalle de plusieurs années. C'est le cas chez n'importe quelle personne normale. Seulement, alors que chez une personne séronégative, on lui diagnostiquerait une maladie bénigne, chez un séropositif, et a fortiori chez un séropositif ayant des chiffres bas, on va lui diagnostiquer des maladies graves : pneumonie, tuberculose, kaposi pulmonaire, toxoplasmose, virus divers. Et du coup, la personne va se voir infliger un traitement de cheval et va mourir rapidement.

Surtout qu'il faut voir que si on considère la personne comme étant en phase terminale, on va lui prescrire de la morphine. Or la morphine tue en provoquant une hypotension mortelle. Ca se fait sur plusieurs semaines ou mois bien sur. On peut aussi lui couper l'alimentation (puisque vu qu'elle est en phase terminale, on considère que ça ne sert plus à rien de la nourrir). Dans ces conditions, la personne peut mourir assez rapidement. Or, un sidéen ayant des mauvais chiffres depuis des années et à qui on vient de diagnostiquer une maladie grave peut être considéré assez rapidement comme étant en phase terminale.

Enfin bref, hormis les chiffres, ces gens étaient pour la plupart en parfaite santé au niveau physiologique. Ils n'ont eu des effets négatifs à l'arrêt de la trithérapie que pendant quelques mois, et après, ils allaient bien. Donc non, ces gens là n'ont pas dépéris pendant des années après l'arrêt des arv. Enfin..., pas au niveau physiologique. Ce qui est le critère principal à considérer pour moi.

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Bonjour Brume, Aixur

Là , je te rejoins point par point Aixur

Enfin bref, hormis les chiffres, ces gens étaient pour la plupart en parfaite santé au niveau physiologique. Ils n'ont eu des effets négatifs à l'arrêt de la trithérapie que pendant quelques mois, et après, ils allaient bien. Donc non, ces gens là n'ont pas dépéris pendant des années après l'arrêt des arv. Enfin..., pas au niveau physiologique. Ce qui est le critère principal à considérer pour moi.

C'est bien vrai, et je rappelle qu'elle a arrêté ses tri en 2002, en ayant par contre aucun effet négatif, avec en prime une excellente forme... jusqu'à ces AIT, mais faut-il paniquer pour autant et penser que c'est la fin !

Je mets donc tout ça sur le compte de la chance, de sa solidité malgré tout, de son moral, de son hygiène de vie, et de sa joie intérieure

Elle ne reprendra jamais d'arv, fusse le dernier cri, c'est son choix et je le respecte oh combien, car elle a trop souffert pendant 8 ans à prendre ses 40 cachetons par jour.

Mais malgré tout , je ne me fais aucune illusion pour ceux qui ont testé l'azt, la stavudine et cie, car certains dommages sur l'adn ou la moelle osseuse sont irréparables

Alors inch'allah !

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Bonjour à tous,

juste un témoignage n'ayant pas vos niveaux de connaissances.

Après 7ans de tri et bientôt 7ans d'arrêt (brusque), mon dernier bilan date de mars dernier.

235cd4 et 130 000 copies de charge virale. je me porte comme tout être normal avec quelques allergies saisonniers.

je ne prends rien en particulier.

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(wow, je découvre 16 nouveaux posts, quelle activité !)

Aixur, Jerman,

Je suis d'accord que de mauvais nombres n'indiquent pas forcément une mauvaise santé, du moins pas sur le moment. Et il va de soi que d'être entre les mains du monde médical après un diagnostic de séropo pose beaucoup de problèmes quant au droit et la nécessité de bénéficier d'une approche "impartiale", et ça peut avoir des conséquences désastreuses (aussi par "sur-médication sauvage").

Des AIT's ne semblent pas a priori liés au hiv. Quoi qu'il en soit, désolée d'apprendre que ton amie à eu ces problèmes et j'espère pour elle et pour toi qu'il n'y aura pas de nouveaux incidents de ce type.

Nagon,

grand merci pour ton témoignage "chiffré".

Et en ce qui me concerne, je n'ai pas le dixième de connaissances qu'il faudrait... C'est juste, comme Jerman le dit aussi (à peu près), devenu un genre d'obsession de savoir ce qui est réellement derrière tout ça, donc je lis, et lis et lis, mais ne retiens pas tout, hélas, et ne sans pas vraiment plus avancé qu'au départ : ça reste un grand mystère.

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Dernièrement mon amie a fait 2 AIT (accident ischémique transitoire) . Le neurologue prenant connaissance de son dossier a demandé tous les examens classiques, toxo, Pneumo, crypto, CMV ect ... tous négatifs. Mais il m'a dit en aparté qu'elle était non pas en phase terminale, mais dans le "tunnel" et qu'il comptait sur moi pour la convaincre de reprendre ses ARV, bref.

Elle n'a pas voulu rester à l'hosto et est rentrée à la maison pour des soins bichonnés à domicile, kiné pour la réeduc et soins d'infirmière. Elle a des séquelles au niveau de la mémoire immédiate, 2 escarres, se remet lentement et prend simplement 1 kardégic/jour pour éviter les récidives.

Il est possible que les AIT soient purement accidentels. Mais il est possible aussi que ce soit du à un taux élevé de cortisol. Parce qu'un taux élevé de cortisol entraine une vasoconstriction. Du coup, comme le bas des jambes est souvent moins bien irrigué, des caillots peuvent s'y créer. Et ensuite, ils peuvent s'en détacher, aller se coincer ailleurs et provoquer des crises cardiaques, des avc, des ait, ou des embolies pulmonaires.

Donc, la question est : a-t-elle pris ou prend-elle des médicaments autres que les arv ? Et a-t-elle pris ou prend-elle des médecines douces comme des huiles essentielles ? Prend-elle la pilule ou des hormones ?

C'est important, parce que si le problème vient de la prise de substances augmentant le taux de cortisol, et que la consommation n'est pas arrêtée, le problème risque de revenir.

Une autre question : ou se situent ses esquarres ? Parce que si on ne lui a pas donné de médicaments du style opiacé, ça n'est pas très normal qu'elle en ait. Donc, ça pourrait signifier qu'elle a un problème vasculaire à l'endroit des esquarres.

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Brume,

Merci pour ton soutien

Aixur

Non elle ne prend rien pour l'instant , à part nos petits produits naturels, ni pillule ni hormone, puisque ménaupausée, plus d'arv depuis 9 ans, mais à tout de même un petit souci vasculaire qui semble être dans son bagage génétique, donc je ne suis pas surpris puisqu'elle a déjà fait méningite et encéphalite et un coma de 12 jours dont elle s'est entièrement remise, il y a longtemps.

Quant aux escarres, ils sont dus (surtout celui du sacrum) à son hémiplégie temporaire qui l'a clouée au lit, à sa minceur naturelle et son appétit de moineau habituel

C'est ce qui à fait dire aux médecins en voyant sa cachexie, qu'elle était dans le tunnel icon_rolleyes.gif

Y sont vraiment fort en psychologie ces médecins, quand y faut fourguer des arv

C'est là où l'on constate que les pressions du corps médical sont énormes lorsque qu'un proche est à terre et que l'on est touché aussi, mais la vie continue, quoiqu'il arrive ! icon_biggrin.gif

Tant que les violons de la médecine seront désaccordés , et qu'il n'y a personne pour donner le La, nous préférerons ( mon amie et moi) jouer notre partition en donnant libre cours à notre intuition.

Et comme le dit Cheminot dans un autre post, il faut chercher au niveau de l'atome et je rajouterai à l'énergie subtile qui maintient cet atome en mouvement et séparé des autres, mais c'est autre une histoire

Bonne soirée et faites de beaux rêves

Modifié par Jerman
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Aixur

Non elle ne prend rien pour l'instant , à part nos petits produits naturels,

Et quels produits naturels prend-elle ?

Je pose cette question, parce que j'ai pu constater que certains produits présentés comme entièrement naturels et inoffensifs ont en fait une action augmentant le taux de cortisol.

Or, c'est important. Parce que si jamais il s'avère qu'elle prend des produits qui augmentent le taux de cortisol, alors le problème vient probablement de là. Et surtout, ça veut dire que ça risque de recommencer. D'où la nécessité de bien chercher si au quotidien, elle prend un produit de ce genre.

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Et bien , je l'ai déjà mentionné à plusieurs reprises, mais vu l'étendue des topic(s), il est difficile de rassembler le tout sur un seul thème, donc :

Capsules d'ail justement pour la circulation et combattre l'oxydation

Spiruline pour vit E etc...

Argent colloidal pour traiter les petites éruptions d'herpès, qui je le rappelle, joint à de l'argent colloidal stoppe immédiatement les bourgeonnements de ces derniers (en tout cas pour elle)

Extrait de pépins de pamplemousse depuis peu, mais après ses AIT

Echinacéa

Aloe vera en gellules

1 efferalgan de temps en temps (pour soulager les maux de tête) et au maximum 4/mois

Rien qui puisse à mon avis augmenter le taux de cortisol icon_confus.gif

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Si, dans ta liste, je vois cinq éléments le faisant :

Les capsules d'ail

La spiruline

L'echinacéa

L'aloé vera

L'extrait de pépins de pamplemousse

Ce qui pourrait expliquer qu'elle n'ait pas eu de phase d'effet en retour quand elle a arrêté de prendre les arv.

Ca pourrait expliquer aussi ses chiffres bas. Tout dépend de la dose de produits absorbée. Si elle est suffisamment élevé, on obtient un effet de désagrégtion des cellules. Du coup, il y a moins de grosse particules dans le sang et plus de petites. Or, le test de cd4 mesure en fait la quantité de grosses particules quel qu'elles soient. Et la charge virale mesure la quantité de petites particules, là encore sans spécificité. Donc, avec une dose suffisamment élevée de ce genre de produits, le taux de cd4 va être bas et la charge virale élevée.

Et du coup, concernant ses AIT, il se pourrait qu'il s'agisse en fait d'une hémorragie. En effet, si on arrive à la dose où il y a désagrégation des particules, ça se met à attaquer les vaisseaux sanguins, ce qui peut provoquer une AIT.

Ou alors, il peut y avoir eu variation dans le dosage. Et du coup, il se peut qu'à un moment où le dosage était plus faible, et où l'effet de type taux de cortisol élevé prédominait, il y ait eu formation de caillots. Et ensuite, les caillots se seraient détachées à d'autres occasions.

Mais vu la quantité de produits, je pencherais désormais plutôt vers l'hémorragie et pas le caillot.

Du coup, à mon avis, tant qu'elle prendra ces produits, elle risquera d'avoir de nouveaux AIT. Et si elle prend du kardégic en même temps, alors là, le risque est encore plus grand.

Le problème, c'est que tout dépend de savoir si le problème vient d'un caillot où d'une hémorragie. Si le problème vient d'une hémorragie, prendre ces produits plus le kardégic, voir même le kardégic tout seul est dangereux. Si c'est un caillot, je conseille de ne prendre que le kardégic et d'arrêter les autres produits.

Mais bon, je pense maintenant que ça vient plutôt d'une hémorragie.

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- les tests cd4 (§ 3,3) ne mesurerait que les particules de la taille de cd4, sans aucune spécificité. Pour autant je ne sais pas ce qui est finalement mesuré par les tests cd4, il semblerait qu'il y ait bien plus de mesuré que la taille : cytométrie  et un exemple au pif.

Les CD4 sont mesurés à l'aide d'une réaction d'un anticorps monoclonal anti-CD4, associé à un réactif fluorescent. Donc cela mesure tout ce qui réagit avec l'anticorps, indépendamment, je pense, de la taille - cela semble plutôt la longueur d'onde spectrométrique (=> la couleur) qui est mesuré.

J'en profite pour publier un court extrait d'un vieil article beaucoup plus long du Perth Group qui donne un éclairage particulier sur le comptage des CD4, traduit artisanalement par mes soins.

Genetica 95: 5-24, 1995

A CRITICAL ANALYSIS OF THE HIV-T4-CELL-AIDS HYPOTHESIS

Eleni Papadopulos-Eleopulos1, Valendar F.Turner2, John M. Papadimitriou3, David Causer1, Bruce Hedland-Thomas1, & Barry Page1

1: Department of Medical Physics, 2: Department of Emergency Medicine, Royal Perth Hospital, Perth, Western Australia; 3: Department of Pathology, University of Western Australia.

[…]

En utilisant les anticorps monoclonaux (MCA) pour la numération des lymphocytes exprimant les récepteurs CD4 et CD8 dans des cultures infectées par le VIH et stimulées par des mitogènes, il a été montré que dans les cultures préparées de telle façon que la majorité (>95%) des lymphocytes soient des cellules T4 purifiées, il y a une disparition progressive des cellules exprimant CD4. Cette observation a été interprétée par Gallo et d’autres comme quoi « HTLV-III a un effet cytopathique sur les cellules OKT4+ »(Fischer et al., 1985). Cependant, selon Klatzmann, Montagnier et d’autres chercheurs français, « ce phénomène pourrait ne pas être relié à un effet cytopathique » du VIH mais est « probablement dû à une modulation des molécules T4 à la membrane cellulaire ou à un obstacle stérique au site de liaison à l’anticorps » (Klatzmann et al., 1984a et Klatzmann et al., 1984b). Autrement dit, la diminution des cellules T4 n’est pas due à la destruction des cellules mais à une diminution des anticorps monoclonaux se liant à leur surface. Néanmoins, cette donnée avait été interprétée comme un preuve de l’infection et de l’élimination sélective des T4 par le VIH, et en association avec le fait que « nous ne connaissions pas d’agents, à l’exception d’une famille de rétrovirus T-lymphotropique humain, que nous avions découvert trois ans plus tôt et dénommé HTLV, qui démontrait un tel tropisme pour une sous-population de lymphocytes », cela a été présenté comme un des deux arguments en soutien à l’hypothèse rétrovirale du sida (Gallo et al., 1985). (L’autre argument était basé dans les perceptions que le sida était une nouvelle maladie et que l’épidiémologie était cohérent avec une cause infectieuse).

Cependant :

(a) Les cultures/co-cultures de VIH sont stimulées avec des agents oxdyants tels que la phytohémagglutinine (PHA), la Concanavaline-A (ConA), des radiations, PMA, polybrene et IL-2 ;

(b) Ces agents, à une concentration relativement basse, peuvent induire une diminution dans les cellules exprimant CD4, en l’absence de VIH (Acres et al., 1986; Hoxie et al., 1986; Zagury et al., 1986; Scharff et al., 1988), sans tuer de cellules T4.

© En 1986, Zagury, Gallo  et leurs associés (Zagury et al., 1986) ont préparé des cultures de cellules T (qui contenaient 34% de cellules CD4+) de donneurs normaux. Les cultures sont été stimulées avec de la PHA et furent (i) « infectées par du VIH », (ii) laissées non infectées. Les cultures de contrôle n’étaient ni stimulée ni infectées. Après deux jours, la proportion de cellules CD4+ dans les cellules stimulées-non infectées et dans les cellules stimulées-infectées étaient respectivement de 28% et 30%, tandis qu’à 6 jours le nombre était de 10% et 3%. Les contrôles ne varièrent pas significativement.

En conséquence, le VIH n’est pas nécessaire pour la disparition des cellules exprimant CD4, telles que mesurées par l’utilisation d’anticorps monoclonaux dans des cultures « infectées par le VIH » et  stimulées. Les stimulants peuvent induire l’effet en l’absence de « VIH ». De plus, la diminution des cellules T4 pourrait ne pas être due à la destruction des cellules T4 mais à la diminution des cellules se liant à l’anticorps monoclonal.

[…]

Acres, R. B., Conlon, P. J., Mochizuki, D. Y. & Gallis, B., 1986. Rapid Phosphorylation and Modulation of the T4 Antigen on Cloned Helper T Cells Induced by Phorbol Myristate Acetate or Antigen. J. Biol. Chem. 261:16210-16214.

Fisher, A. G., Collati, E., Ratner, L., Gallo, R. C. & Wong-Staal, F., 1985. A molecular clone of HTLV-III with biological activity. Nature 316:262-265.

Hoxie, J. A., Mathews, D. M., Callahan, K. J., Cassel, D. L. & Cooper, R. A., 1986. Transient Modulation and Internalization of T4 Antigen Induced by Phorbol Esters. J. Immunol. 137:1194-1201.

Klatzmann, D., et al., 1984a. Selective Tropism of Lymphadenopathy Associated Virus (LAV) for Helper-Inducer T Lymphocytes. Science 225:59-63.

Klatzmann, D., et al., 1984b. T-lymphocytes T4 molecule behaves as the receptor for human retrovirus LAV. Nature 312:767-768.

Scharff, O., Foder, B., Thastrup, O., Hofmann, B., Moller, J., Ryder, L. P., Jacobson, K. D., Langhoff, E., Dickmeiss, E., Christensen, S. B., Skinhoj, P. & Svejaard, A., 1988. Effect of thapsigargin on cytoplasmic Ca2+ and proliferation of human lymphocytes in relation to AIDS. Biochim. Biophysica. Acta. 972:257-264.

Zagury, D., Bernard, J., Leonard, R., Cheynier, R., Feldman, M., Sarin, P. S. & Gallo, R. C., 1986. Long-Term Cultures of HTLV-III-Infected T Cells: A Model of Cytopathology of T-Cell Depletion in AIDS. Science 231:850-853.

Par là, le Perth Group n'indique pas que la mesure des CD4 ne signifie rien, mais que les agents oxydants et mitogènes pourraient être aussi bien la cause de la chute de CD4 que le supposé VIH. Et donc, en ce sens, être une "indication" d'une exposition à des agents oxydants et mitogènes.

Le reste de l'article évoque les liens incertains entre niveau de CD4 et apparition de pathologies mais c'est trop dense pour que je puisse le résumer ici en quelques lignes.

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Les CD4 sont mesurés à l'aide d'une réaction d'un anticorps monoclonal anti-CD4, associé à un réactif fluorescent. Donc cela mesure tout ce qui réagit avec l'anticorps, indépendamment, je pense, de la taille - cela semble plutôt la longueur d'onde spectrométrique (=> la couleur) qui est mesuré.

Sauf qu'après, on fait la numération avec un appareil de cytométrie de flux qui utilise un laser. Cet appareil est capable de mesurer la taille des particules. Donc, on tient compte aussi de la taille.

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