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interview de marco ruggiero par celia farber


brume de l'abro
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Salut Brume, à mon tour de faire une information :

House of Numbers va être projeté à Londres le 13 mars, au Shortwave Cinema, en présence de Johan Shenton, présidente de RA, auteur de "Posetively False" et qui prépare actuellement un nouveau film documentaire à partir de documents d'archives.

Amitiés à toi et à tous

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projection de House of Numbers à Londres, et pour la France ?

La projection à Londres est organisée par Joan Shenton et l'Immunity Resource Fondation, qui ressemble de loin à une annexe britannique de Rethinking Aids.

Organiser la projection d'un film n'est pas particulièrement compliqué, ni forcément très coûteux, de nombreuses associations le font très régulièrement et de nombreuses salles associatives ou parapubliques sont souvent demandeuses. Il suffirait que la "dissidence" francophone arrive pas à s'organiser un minimum, par exemple en association, pour pouvoir faire exister ce genre d'initiatives; sans cela, ça restera dur dur.

pour ceux/celles qui ne l'auraient pas déjà vu, un interview par Celia Farber de Marco Ruggiero

Oui Brume, une interview intéressante, même si la façon qu'il a de défendre une théorie alternative du virus exogène infectieux à la façon de Montagnier (cf mes précédents commentaires ici) a le don de me laisser aussi perplexe que le GcMAF. Il indique en effet en gros que la positivité au test dit VIH serait le signe d'une "rencontre" avec le supposé VIH, mais la persistance d'une infection "chronique" au VIH serait le signe d'une dysfonction du système immunitaire. Une "infection chronique au VIH" révélerait ainsi une immunodéficience préexistante.

Le Perth Group a d'ailleurs questionné dans ce texte, de façon fondamentale, la position que porte Montagier dans House of Numbers, critique que l'on pourrait porter de la même façon à la position que développe Ruggiero dans son interview. Ci-dessous une traduction maison rapide :

Selon la théorie rétrovirale du sida, des personnes de bonne santé avec un système immunitaire efficace (niveau normal de cellules T4) sont infectés par le VIH, et cette infection cause une déficience immunitaire acquise (bas niveau de cellule T4) qui mène au sida. Cependant, Montagnier affirme que des personnes avec un système immunitaire efficace se débarasse du VIH en quelques semaines. En d'autres mots, seuls les personnes ayant une déficience immunitaire développe ce qui est désigné comme une "infection chronique au VIH". Si les personnes qui sont infectées par le VIH ont déjà une immunité faible, alors quel est le rôle du VIH dans le sida ?

Selon tous les experts du VIH, une fois infectée par un rétrovirus, on le reste pour toujours. C'est parce qu'il y a une transcription inverse de l'ARN rétroviral dans l'ADN, qui est ensuite incorporée dans le génome de l'hôte. Une fois dans l'hôte, elle n'y a aucun moyen pour l'en ôter. C'est pour ça qu'une infection VIH est incurable. Le rétrovirologiste Harold Varmus expliquait en 1998 : "Tenter de débarasser le corps d'un virus dont le génome est incorporé dans le génome de l'hôte pourrait être impossible". Ainsi Montagnier doit expliquer comment "des mesures générales de santé publique", que nous présumons être un accès à une eau propre, à des sanitaires, à une bonne alimentation et à des services médicaux, peuvent être en mesure d'exciser environ 9000 bases spécifiques du génome humain, tout en laissant tout le reste intact.

Si "des mesures générales de santé publique" peuvent enlever ces 9000 bases spécifiques après "quelques semaines", pourquoi pas aussi alors après quelques mois? Ou 12 mois? Ou 12 ans?

Si "des mesures générales de santé publique", qui ne sont pas toxiques, peuvent ôter l'ADN du VIH, pourquoi les docteurs utilisent des médicament antirétroviraux avec toute leur toxicité? Et pourquoi des millions de dollars sont-ils dépensés dans la recherche de vaccins ?

Le Perth Group

26 janvier 2010

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Selon l'extrait de PDF ci-dessous, en introduction d'une nouvelle intéressante pour sa qualité littéraire que j'ai découverte récemment et qu'on peut télécharger sur le site de Jan Spreen, Nightsofamour, il y aurait eu un jour une conférence à Mouans-Sarthoux, que l'auteur relate ainsi :

"Au mois de juin de l’année 2001, j’ai assisté à une conférence très intéressante au

sujet de l’équation vih = sida. Les deux conférenciers les plus importants furent le Dr

Chermann, qui se présente volontiers comme un membre de l’équipe du Prof. Luc

Montagnier des années 1980 et co-découvreur de la partie gauche de l’équation et Dr

De Harven, qui fut entre autre directeur d’un laboratoire de microscopie électronique au

Canada, également dans les années 80 et qui n’est pas du tout d’accord avec le

concept du sida en vogue de nos jours.

Le Dr Chermann était le premier à parler et il nous a raconté beaucoup de choses. Par

exemple, il nous a expliqué que le fameux virus est très difficile à dépister parce qu’il

change constamment et il n’est pas impensable que tous les êtres aient des virus

différents. J’ai vainement essayé d’imaginer les difficultés que l’on doit rencontrer à

tenter de découvrir un nouveau virus dans ces conditions et je me suis dit que l'équipe

de Chermann a dû être composée de chercheurs hors pairs et extrêmement

talentueux.

Mais j’ai réellement commencé à m’intéresser à l’affaire quand le Dr Chermann nous a

donné la raison principale du fait que l’on n’arrive parfois pas à déceler des virus même

chez une personne séropositive. Dans ce cas-là, nous a-t-il dit, les virus se sont retirés

dans une cachette où ils sont indétectables. A quoi il a simplement ajouté : « Ce n’est

pas parce que l’on ne peut pas voir un virus, qu’il n’est pas là ! »

Pendant son discours et après, quand les auditeurs ont commencé à lui poser des

questions, le Dr Chermann m’a donné l’impression qu’il était en mesure de répondre

aisément à n’importe quelle question. Par exemple, il a expliqué que certaines

personnes peuvent vivre avec le vih pendant des décennies, simplement parce qu’elles

ont la chance d’être non réceptives.

Tout de suite après le discours du Dr Chermann la parole fut donnée au Dr de Harven,

qui a commencé à préciser qu’il ne croyait pas réellement en l’existence du virus parce

que personne n’avait jamais été en mesure de l’isoler dans les règles de l’art.

Entendant cela, le Dr Chermann s’est emporté et il a quitté la salle dans une

précipitation remarquable et très remarquée. Bon, c’est vrai, c’était peut-être un peu

exagéré, mais d’un autre côté c’est aussi très compréhensible qu’il se soit laissé aller.

Vous savez, une fois que l’on a dit tout ce que l’on a à dire il est difficile, voire

impossible, de rester calme quand quelqu’un d’autre met les pieds dans le plat au point

où il faut tout recommencer depuis le début. On n’arrive nulle part de cette manière-là.

Une fois que l’on sait quelque chose, ça n’a pas tellement de sens de remettre tout en

question depuis le début. On risque de découvrir qu’on est dans l'erreur depuis le

début, auquel cas tout progrès deviendrait illusoire."

Jan Spreen, extrait de : Amoureux au 21 ème siècle

Amitiés

Modifié par Jardinier
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