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Pourquoi en France par exemple les gens d'Act up qui sont quand même là entre autres pour soutenir les malades rejettent systématiquement toutes thèses différentes de l'officiel? Sinon par curiosité, j'aimerai savoir si certains d'entres vous sont médecins, scientifiques dans un domaine précis...?

Tu as raison de poser la question des associations homos comme Act-Up qui sont absolument cruciales. En fait, il y a eu un enchaînement assez déterminant au début des années 80.

Avant les publications de Gallo et Montagnier, au tout début des années 80, il y avait un débat scientifique très fort entre les tenants d'une hypothèse infectieuse (de type virale) et ceux d'une hypothèse liée aux "modes de vie" ("l'épuisement immunitaire"), qui mettait en cause l'impact de la promiscuité sexuelle et de l'usage des drogues. Ce débat s'est répercuté dans les associations homosexuelles, bien qu'une majorité de celles-ci se positionnaient a priori plutôt contre cette seconde hypothèse : remettre en cause par exemple la liberté sexuelle conquise dans les années 60 et 70 par le biais du SIDA était vu comme une instrumentalisation des milieux conservateurs qui pouvaient ainsi prendre leur revanche (ce n'était pas sans raison, on se situait, aux Etats-Unis, dans le contexte de l'arrivée de Reagan au pouvoir, du trauma de la défaite du Viet-Nam attribuée justement à ces contestataires, et d'une sévère crise économique). L'hypothèse infectieuse, à l'inverse, ne portait pas un tel contenu politique. Mais il n'y avait pas pour autant unanimité d'un côté ou de l'autre.

Les publications de Gallo et Montagnier, en 1983 et 1984, le soi-disant modèle animal (sur les chimpanzés), la découverte de cas de SIDA chez des transfusés et des hémophiles vont amener progressivement la majorité des milieux scientifiques vers l'hypothèse infectieuse, même si c'est loin d'être immédiat, s'il n'y a pas unanimité, et s'il faut attendre bien deux ans, 1986, pour que le plus gros des voix contestataires se taisent (faute de mieux, d'une hypothèse alternative plus structurée, aussi). Logiquement, les associations homosexuelles vont suivre ce tournant dans la foulée. On ne connait pas encore bien non plus, sur le moment, toutes les controverses concernant Gallo.

Le dernier acte vient avec les publications de Duesberg dans Cancer Resarch et Science, en 1987/1988, qui rouvre complètement le débat en réinscrivant de façon plus précise et plus scientifique l'hypothèse liée "au mode de vie". Mais cela vient trop tard (l'orthodoxie s'est déjà trop engagée dans l'autre voie), Duesberg reste trop isolé (malgré K. Mullis et quelques autres), parfois trop imprécis, et ses affinités parfois conservatrices (notamment certaines déclarations sur l'homosexualité) l'ont coupé des malades, qui était déjà "a priori" plus favorable à l'hypothèse infectieuse. Et surtout les découvertes déterminantes qui auraient permis de préciser l'hypothèse de Duesberg sur le rôle de l'oxyde nitrique, sur le fonctionnement du système immunitaire (sur l'équilibre Th1/Th2, sur les cytokines) ont été mises en évidence plus tardivement, par la recherche fondamentale, au cours des années 90.

Mais dès 1988, on entre dans la période de nombreux séropositifs, "soignés" au Bactrim puis à l'AZT, commençaient à décéder massivement. L'urgence d'avoir accès à des traitements thérapeutiques devenait secondaire sur les controverses scientifiques. La plupart des malades était dans une situation infernale : entre prendre de l'AZT ou non, entre crever pour donner raison à Duesberg ou crever pour donner raison à Gallo... Si j'avais dû me poser la question à l'époque, je doute que j'aurais refusé l'AZT...

Act-Up s'est construit à la fin des années 80, sur la base de cette urgence, sur la base d'offrir des accès aux soins les plus larges et les plus rapides possibles. Act-Up a défié l'industrie pharmarceutique, l'establishment des milieux médicaux et de la santé publique, mais sur la forme, en leur demandant d'être plus rapides, plus compétents, plus efficaces. Mais ils ne sont jamais allés jusqu'à remettre en cause leur fond scientifique, parce que cela aurait été complètement contradictoire avec leurs attentes en matière de traitements, et cela aurait totalement démoralisés les malades (qui hélas ne se sont pas portés mieux pour autant). Du coup, ils se sont transformés malgré eux en alliés objectifs des labos, en leur permettant de leur faciliter le travail : procédures de mises sur le marché accélérées, aides massives, etc... sous la pression des assoc' de malades! Puis un des grands combats d'Act-Up, c'était d'éviter que les séropositifs soient oubliés et abandonnés ou marginalisés (le fameux slogan Silence=Mort), et cette position, qui était parfaitement justifiée (lors de l'impasse thérapeutique de 1990-1995, c'était un souhait largement partagé par bon nombre d'autorités scientifiques et politiques), était aussi complètement contradictoire avec un questionnement sur la cause virale (remettre en cause le rétrovirus serait revenu à remettre en cause l'urgence thérapeutique)... c'est une vraie tragédie faustienne.

A partir de 1995, de l'introduction du 3TC, toute la question de la cause du SIDA n'est plus d'actualité. Pourtant, ce n'est pas parce qu'elle a été résolue correctement et définitivement, c'est parce qu'il y a eu cet enchaînement tragique durant les années 80, qui n'a fait que poser un couvercle sur les braises du débat initial. D'ailleurs, s'il y a recrudescence des pratiques dites à risques chez les homos en ce moment, c'est bien parce qu'il y a un écart grandissant entre la perception de la réalité du risque, par ceux qui sont les premiers concernés, et les incohérences de la théorie officielle. Et c'est bien pour cette raison que c'est Act-Up, totalement engagée dans l'orthodoxie pour les bonnes et les mauvaises raisons décrites ci-dessus, qui mène le combat le plus acharné contre le relâchement des pratiques dites "à risque", et qu'elle a remise en cause sans le questionner l'avis des médecins suisses (à la différence d'autres assoc' plus récentes).

Plusieurs ouvrages permettent de bien se remettre dans le bain de l'époque :

- Le livre de Steven Epstein sur l'Histoire du sida, côté américain.

- Le récit de Didier Lestrade, fondateur d'Act-Up (Act-Up, une histoire), côté français. Pour faire échos aux propos de Cheminot, la défense par D. Lestrade des drogues récréatives, des années plus tard, est sans ambiguité.

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Et ce n'est pas fini voici par "l' express" une course acharnée des labos au dépend parfois de notre santé.

Il y a une quinzaine d'années j'ai fais le premier vaccin contre l'hépathite C, je me suis retrouvé malade à en creuver pendant plusieurs jours. Depuis plus de vaccin, encore moins contre la grippe.

Lisez plutôt

http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/...cle_482905.html

Intéressant. Il y a quelques années, sur Doctissimo, on nous disait que les labos ne faisaient pas de fric sur les vaccins. Ils étaient limite à nous faire passer ça pour de la philanthropie.

Apparemment, non seulement c'est rentable au prix de base. Mais en plus, les compagnies pharmaceutiques ont semble-t-il augmenté les prix des nouveaux vaccins pour faire des profits hallucinants dessus.

Moi aussi, mon expérience des vaccins a été très moyenne. Il y a longtemps, je me suis fait vacciner 3 années de suite contre la grippe. Non seulement ce sont les années où j'ai eu les rhumes les plus carabinés de toutes ces années là (à peu près 10 ans avant et 10 ans après), mais en plus, j'ai eu des courbatures dans la zone d'injection de plus en plus longtemps à chaque fois. La dernière fois, ça m'a duré presque trois semaines de courbatures.

Pourtant, à l'époque, j'avais entièrement confiance en la médecine. Mais l'expérience a été si négative à chaque fois que j'ai laissé tomber.

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Heinrich Kremer a fait assez fort en ce qui concerne le monoxyde d'azote, mais son discours manque de rigueur quant aux groupements fonctionnels réels qui interviennent dans chaque molécule qu'il incrimine.

Très peu d'entre eux ont étudié les effets des peroxynitrites.

Le Groupe de Perth a de bonnes critiques concernant l'isolation, les tests - par exemple il faut lire ce texte qui est un modèle du genre - mais il ne comprend pas le problème de la thérapeutique. Et surtout, je trouve que lors du procès Parenzee, ils n'ont pas posé les bonnes questions aux témoins.

C'est juste, et c'est dans doute lié au fait que le groupe de Perth soit constitué plutôt de chercheurs - donc moins porté sur les aspects thérapeutiques, et que Heinrich Kremer ait été d'abord un clinicien (qui a suivi de nombreux patients mais plutôt, à ma connaissance, dans les années 80, en tout cas avant l'introduction de HAART). L'ouvrage d'Heinrich Kremer, qui vient enfin d'être traduit en anglais, reste cependant pour moi l'ouvrage "dissident" le plus abouti, en particulier sur l'importance qu'il porte aux phénomènes purement chimiques, malgré ses inévitables imperfections, et son esquive des effets positifs des multithérapies.

C'est d'ailleurs pour cela que certains dissidents américains - pas tous, heureusement - n'acceptent pas ma démarche, car ils suivent de manière assez aveugle, je dois le dire, les hypothèses initiales de Peter Duesberg, qui prétendait que le VIH n'a rien à voir avec le sida. Cependant, je le rejoint entièrement quand il parle des causes chimiques du sida, et je vais même plus loin que lui.

Est-ce que tu as cependant réussi à convaincre des dissidents des Etats-Unis ou d'ailleurs sur ton hypothèse portant sur les capacités réductrices du 3TC et du FTC ?

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Cela dit, les dissidents anglo-saxons (les seuls que je connaissent en dehors de la dissidence française) comprennent quand même que les médicaments tuent moins maintenant. Et ils comprennent aussi plus ou moins que c'est parce que les doses ont été diminuées. Donc, ils ne sont quand même pas complètement à l'ouest.

Mais c'est vrai que c'est un peu flou chez eux. Ils ont tendance à penser également que les médicaments sont quand même restés assez mortels à court terme. Mais c'est compréhensible. Déjà, sur les notices des médicaments, pas mal d'effets secondaires ont l'air graves. Et en plus, ces effets secondaires graves se manifestent parfois si la dose est trop élevée. Ce qui est rare maintenant vu qu'on a diminué les doses par rapport au début des trithérapie, vers 1997. Mais ça arrivait au début. Et ça doit arriver encore quelques rares fois maintenant. Donc, la situation elle-même n'est pas complètement claire. On peut passer, en fonction des doses, de médicaments peu dangereux à des médicaments très dangereux. Mais bon, ils ont quand même tendance à manquer de lucidité et à penser que les médicaments sont plus dangereux à court et moyen terme qu'ils ne le sont réellement. Et ils n'ont pas tellement cherché à analyser le problème plus loin que ça.

Donc, en fait, en ce moment, il y a trois positions dissidentes sur le sujet des médicaments, 1 anglo-saxonne et 2 françaises :

1) celle des anglo-saxons (déjà analysée)

2) celle de Cheminot, qui pense que le problème est essentiellement un problème de stress oxydatif et qui pense que c'est le 3TC l'explication de la faible dangerosité des nouveaux traitements. Selon lui, le 3TC est en fait un anti-oxydant qui annule l'effet oxydant des autres médicaments. Et concernant l'AZT, il pense lui aussi que le fait que les doses aient été diminuées au début des années 90 a beaucoup joué dans la diminution de la mortalité.

3) la mienne. Je pense que les médicaments en question sont comme des antibiotiques faiblement dosés qui ont du coup un effet de type cortisone. Et tout se joue sur des transferts d'eau dans les différentes partie du corps (beaucoup d'eau dans le tronc et peu d'eau dans les membres lors de la prise de ces médicaments, et l'inverse lorsqu'on arrête soudainement de les prendre). Donc, pour moi, les anti-protéases, les inhibiteurs non nucléosidiques de transcriptase inverse sont de simples antibiotiques et pas du tout des médicaments high-tech. Je pense moi aussi que s'ils tuent moins qu'avant, c'est tout simplement parce que la dose de produit actif est bien inférieure à celle de la période AZT. Et du coup, on peut expliquer la présence de possibles effets secondaires graves. Il suffit effectivement d'augmenter suffisamment la dose pour que ces effets apparaissent. Ce qui arrive rarement maintenant, mais arrivait relativement souvent au début. Donc, les doses sont actuellement assez faibles pour qu'il n'y ait qu'un effet de type cortisone qui se manifeste.

Evidemment, je pense que mon explication est la meilleure. La où je pense qu'elle est plus convaincante, c'est qu'elle explique très bien les effets secondaires des trithérapies (ce sont exactement les mêmes que ceux de la prise de cortisone). Et elle explique aussi très bien les effets physiologiques et psychologiques lors d'un arrêt brutal (ce sont, là aussi, exactement les mêmes que ceux qui se manifestent lors d'un arrêt brutal de cortisone). Par ailleurs, j'avais prédit que le taux de cd4 pouvait monter et la charge virale baisser avec n'importe quel produit ayant le même effet que la cortisone : aspirine, anti-inflammatoires non stéroïdiens, certaines huiles essentielles et produits à base de plante. Et ça s'est vérifié.

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Je vais repréciser mon point de vue et montrer à partir de quelles données je le mets en avant.

Je pars d'une expérience toute récente, qui m'a confirmé dans cette opinion, et a confirmé du même coup les propos de Heinrich Kremer, du groupe de Perth, et même ceux de Peter Duesberg.

Cette expérience a été montée par Stefano Aquaro et montre que la suppression des peroxynitrites d'une culture d'un clone du supposé VIH supprime la protéine P24, qui est le marqueur principal - officiellement - de la présence du VIH.

On peut en tirer deux conclusions logiques :

1. Le VIH n'existe que si la quantité de peroxynitrites n'est pas nulle.

2. Tout ce qui crée des peroxynitrites est potentiellement responsable de l'augmentation du taux de P24

On peut en conclure aussi que le VIH, s'il existe, est chimiquement dépendant.

Ce qui est sûr, c'est que les tests dits du "VIH" sont chimiquement dépendants de la quantité de peroxynitrites. Le groupe de Perth et a égalemennt montré que les tests étaient étalonnés à partir de serums de malades du sida, et montrent donc une dégradation de la santé qui va dans le sens de l'apparition des maladies opportunistes qui forment le principal diagnostic de la maladie appelée sida.

On en déduit donc que le taux de peroxynitrites cellulaire va influencer le développement du sida.

Comment peut-on relier peroxynitrites et mort cellulaire (des lymphocytes T en particulier)? Les peroxynitrites et l'acide peroxynitreux correspondant sont de puissants agents nitrants, qui vont transformer la tyrosine (acide aminé phénolique) membranaire en nitrotyrosine. Il a été montré que l'augmentation du taux de nitrotyrosine membranaire était à l'origine de la destruction de cette membrane cellulaire, et donc de la mort de cette cellule.

On constate donc qu'il n'est pas du tout nécessaire de proposer la réplication d'un quelconque virus à l'intérieur d'une cellule pour comprendre que cette cellule puisse mourir lorsque le taux de P24 est élevé : puisque celui-ci est associé à un taux élevé de peroxynitrites capables de tuer la cellule, la corrélation est évidente.

Le processus de destruction (suicide) cellulaire est également un processus naturel - il faut bien se débarasser des cellules abimées ou cancéreuses - qui se déroule grâce à un très grand nombre de protéines agissant en cascade. Cette suite de réactions déclenche au bout du compte une quantité adéquate de peroxynitrites. C'est pour cela que chacun d'entre nous possède un taux non nul de P24, et que les tests sont des tests à limite.

Simplement, c'est l'augmentation naturelle ou artificielle de ce taux de peroxynitrite qui va faire, à un moment donné, passer le cut'off du test lors du dosage de l'antigène P24 - ou bien des anticorps.

Le dernier tableau de ce tryptique (test - apoptose - particules infectieuses), les particules infectieuses précisément, représentent selon moi le vecteur naturel de cette apoptose, et leur quantité est normalement régulée par le métabolisme. C'est ainsi qu'on a pu rencontrer de telles particules dans le placenta de personnes dites "séronégatives". Ce sont les travaux de Huber et al qui m'ont mis sur cette piste.

Par analogie avec cette publication, je formule l'hypothèse que, lorsque des peroxynitrites provenant d'une source extérieure atteignent les cellules immuntaires, cette cellule va mourir en libérant des particules infectieuses et pourtant endogènes, qui vont détruire d'autres cellules immunitaires, particules emportant tout le matériel enzymatique pour reformer des peroxynitrites destructeurs de cellules. Il y aurait donc un effet boule de neige lorsque ces peroxynitrites sont en quantité anormalement élevée.

Au final, quelles sont les conditions ou les substances capables de provoquer l'apparition excessive de ces peroxynitrites : eh bien, tous les donneurs de monoxyde d'azote, dont j'ai maintes fois parlé ici, ce qui englobe en fait les substances chimiques décrites comme responsables du sida par Peter Duesberg, David Rasnick et Klaus Köhnlein. Et puis aussi beaucoup de maladies infectieuses, comme la grippe, puisqu'on montre qu'il y a surproduction de NO dans ce cas-là. C'est d'ailleurs le cas également dans le paludisme...

Mais généralement, cet excès de synthèse de NO, et donc de peroxynitrites, est géré par le couple Glutathion peroxydase - Glutathion. Il suffit cependant que ce couple soit débordé pour que le taux de NO, qui régule normalement l'apoptose, crève le plafond, se transforme en peroxynitrites et devinne léthal.

L'AZT est aussi un donneur de NO, et, comme tous les donneurs de NO, régule la mort cellulaire tant que le couple GPx/Glutathion fonctionne. Et, à mon avis, c'est ce qu'on dû constater Fischl et al. au début de leur expérimentation de l'AZT. Mais en gens pressés qu'ils sont, ils n'ont pas suffisamment attendu pour que l'AZT, qui entre temps a consommé lentement la réserve de glutathion (Reardon et al.) devienne une source importante de peroxynitrite, et donc de léthalité.

En fait, si l'on regarde bien tout ce que je viens d'écrire, on constate que ce qui fait diminuer les "marqueurs virologiques" (P24 en particulier), c'est tout ce qui élimine les peroxynitrites. Il est donc normal que ces marqueurs, sur lesquels se base la communauté médicale pour diagnostiquer le "sida", soit amoindris par l'utilisation de sustances réductrices, capables de piéger les peroxynitrites.

Au nombre de celles-ci, on trouve pas mal de composés soufrés (3TC), ou phosphorés (ténofovir) ou aromatiques activés (lopinavir, nvirapine, etc...).

Cependant, si ces substances ont un impact virologique, elles sont malgré tout très toxiques. Le 3TC est dsna doute le moins dangereux, le ténofovir par contre, comme je l'ai indiqué ici, est un proche parent du roundup.

Effectivement, la mortalité actuelle des séropositifs semble être de plus en plus provoquée par la toxicité des médicaments.

NB : on constatera que cette démonstration ne fait pas appel au mécanisme habituellement reconnu aux médicaments antisida. C'est que ce mécanisme ne permet pas de tout expliquer. Et malheureusement, les dissidents eux-mêmes en sont resté là.

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