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forum sidasante

Abandonner la tri-thérapie, Comment s'y prendre ?


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Bonjour

heureux de vous trouver ! Me sentais un peu isolé et j'aurais besoin de compléments d'infos .

C'est pas pour moi, (un peu quand même ! icon_rolleyes.gif ) mais pour lui . 4-bisou.gif

J'ai lu pas mal de dossier sur la dissidence et en suis convaincu . 4-guerrier.gif

Je vous laisse mon témoignage, adressé sur d'autres forum orthodoxe en quête de témoignage et que j'ai la flegme de ré-écrire (excusez moi) pour qu'il soit plus approprié a ce forum, j'y développe des évidences pour vous, mais vous comprendrez tout . reflechi.gif

Voici mon témoignage . icon_biggrin.gif

J'ai malheureusement connu le sida à ses débuts en 83 et je suis depuis, confronté plus ou moins à ce problème . J'y ai perdu mon frère, mon mentor, mes amis et leurs amis....c'était il y a 18 ans .

Aucun n'avaient de symptômes avant la prise de l'AZT, ils avaient fait leurs tests comme recommandé, positifs déclarés, ils prirent L'AZT, puis ils sont tombés malade et ils sont mort . icon_ange.gif

Le seul qui y a réchappé, c'est le seul ami de cette époque qu'il me reste encore, qui refusa de prendre l'AZT, et qui 25 ans après n'a toujours rien développé . 4-bravo.gif

Je vis en couple gay depuis 18 ans . Je dis, pour bien comprendre notre union, qu'on est un « couple du sida », marqué par les décès et l'horreur et cimenté de fait, dans la fidélité . chamaille.gif

Dans les années 2000, on vécu une période de libertinage complice, comme pour aérer le couple, et le sortir de cette chape de plomb qui pesait sur nous depuis notre rencontre en 89 au milieu de ce traumatisme sida/sexe . Mais ayant été « vaccinés », si je peux dire, nos aventures obéissaient à tous les préceptes de sécurité en vigueur, en plus de notre propre attention à tous les détails .

Nous ne prenions théoriquement aucun risque .

Sauf moi ! icon_redface.gif Oui, il m'était arrivé de prendre certains risque et d'outrepasser certaine sécurités, comme quand j'étais plus jeune, de part mon caractère parfois indiscipliné, même à l'époque de mon frère où malgré tout, je continuais parfois à avoir des pratiques à risque .

Je reconnaissais avoir eu de la chance et d'avoir plusieurs fois tenté le diable ! icon_tresfache.gif

Puis de nouveau en janvier 2007, mon compagnon tombe malade, pneumosystose, donc séropositif ! peur.gif

Alors, quand j'appris que mon compagnon était séropo, j'ai tout de suite pensé que cela venait de moi, de part mes pratiques à risque en 2000 et j'ai passé quelques jours pétrifiant a attendre les résultats . icon_cry.gif

ils étaient négatif ! icon_confus.gif 3 mois après, ils étaient toujours négatifs et 1 an après, négatifs . Les médecins estimait, suivant l'état de mon compagnon, sa séropositivité à environ 5 ans . Soit approximativement l'époque de nos aventures extérieures en 2000 et alentour .

Je fis alors un rapide calcul icon_rolleyes.gif pour comprendre que j'avais fais environ 600 fois l'amour avec mon amis, durant ces dernière années, et notamment quelques jours avant son hospitalisation, sans être contaminé, icon_confused.gif étant passif/actif suivant notre humeur . Bien sur, sans protection entre nous .

J'ai eu donc toutes les raisons de commencer à douter de certaines affirmations sur le caractère infectieux et contaminant .

Depuis il prend la tri-thérapie, santé impeccable, rêves un peu agités comme seul effet secondaire, charge virale indétectable, mais c'est CD4 restent aussi bas que son moral depuis 1 an et demi et sa déprime est bien florissante . D'ailleurs son Professeur, connu mondialement, a reconnu qu'il s'attendait à ce qu'il soit régulièrement malade, à la vue de ces CD4 qui plafonnent péniblement à 180 , et reste surpris de le voir sans même un rhume ou un bouton . Reconnaissant, qu'éventuellement, les CD4 n'auraient rien a voir dans cette histoire de sida ! 5-euh.gif

D'ailleurs leur problématique est de savoir combien nous avons de CD4 à l'état normal . Personne ne le sait, c'est pourquoi les planchers 200 CD4 ou 500 CD4 pour déterminer l'état du patient ne veulent plus rien dire, car la moyenne normale varierait entre 700 et 1800 suivant les personnes . On ne peut donc exiger à quelqu'un qui possédait par exemple 700 CD4 de devoir remonter à 500, comme pour une personne qui en avait 1800 . Mais personne ne sait combien il a de CD4 normalement, d'où extrapolation aléatoire

.

Me concernant, le grand professeur qui s'occupe de lui m'a répondu, que mon cas à risque, mais non contaminé, faisait parti des « mystères du sida « .

J'ai adoré le mot : « mystère » ! hum.gifalbator7k.gif

Plus sérieusement, depuis, et avec tous les méchants souvenirs mis de côtés, je m'interroge et enquête sur cette possible grossière erreur . Suivant mon expérience personnelle, et celle d'autres cas similaires, j'ai bien peur qu'il y est effectivement arnaque ou grossière erreur . Je pourrais même dire que j'en suis une preuve vivante, 4-bravo.gif mais il n'y a jamais eu d'études sur nos cas et cela ne semble intriguer personne ! (ou si peu, 25 ans après...!)

D'autant que je ne suis pas un cas isolé . Ce qui prouve que la science ne s'intéresse qu'au maladie et aux choses qui rendraient malade, et jamais aux choses qui protégeraient la bonne santé .

Me reste ma conviction, albator7k.gif dont je vous fait part, suivant mes longues observations et une logique qui ne s'assoit pas sur du conditionnel . L'immuno-dépression, système immunitaire en perdition, qui génère sida, cancer, etc...est liée a la « dépression » de nos société . Au mal de vivre, au non sens de nos vies, au rejet social dont souffrent les minorités, à la peur et au stress constants, à la menace sourde qui pèse sur chacun dans sa lutte social, bref des vies de combat et sans amour où les plus « fragiles » préfèrent s'autodétruire avec leurs « virus » endogènes . Ce qui expliquerait cette maladie « d'amour » entre autre .

A chacun son problème, à chacun sa maladie, et le sida pour rassembler tout le monde dans un même sac, pour cacher les souffrances affective de chacun, loin de leurs réalités gênantes .

De plus cette théorie, rejoindrait les principes philosophiques et spirituels stipulant que le bien être intérieur est nécessaire à la santé physique et que nos sociétés modernes ne s'y prête pas du tout . D'où le développement des yogas et autres pratiques pour compenser nos problèmes existentiels en développement également et parallèle au développement des cancers et sida .

Je comprend que cette théorie est insupportable, puisqu'elle réclamerait de remettre tout notre système en cause, pour espérer se débarrasser des épidémies de cancer, d'allergies, de sida etc ...

Epidémie dont notre système très développé et moderne est censé nous protéger . peur.gif

Je constate simplement des corrélations entre ; mon amis déprimé depuis plusieurs années pour des raisons divers, qui peine à vivre dans cette société sans sentiments, qui ne boit pas, qui ne se drogue pas, et qui fit du libertinage avec des « pincettes », 5-aureole.gif qui peut être a souffert de mes maladresses d'amour, et qui finalement « se rend » malade ; et moi, plein de passions et d'excès, enthousiaste et positif !, plein de foi aussi, croquant la vie icon_cool.gif mais, vivant suivant certain principes spirituels depuis l'age de 18 ans, et où je semble être transparent pour ce sida qui ne veut pas de moi, depuis 20 ans que je lui tend la perche par mes insouciances ! malice.gif

Personnellement, je ne peux plus adhérer à cette logique HIV/SIDA qui paraît sans issues et sans réponses, pendant que les uns meurt encore et les autres survivent péniblement . reflechi.gif

Le problème, c'est que ma conviction ne peut décider à la place de mon ami !

On est comme paralysé, entre l'orthodoxie et la dissidence . icon_rolleyes.gif

Sa déprime l'empêche de faire les démarches de recherches que j'ai engagé, comme ici, et si moi je me fais mon idées, lui, reste enfermé dans le schéma imposer . Il est bien faible psychologiquement et tout ça l'angoisse .

Il m'écoute, et considère ce que je commence à affirmer, je lui fait des dossiers énormes avec tout ce que je trouve sur ce sujet, mais la décision de changer de tactique paraît énorme à prendre . icon_eek.gif

Pourriez vous nous aider ? Comment lui apporter une certitude, une preuve ?

Une rencontre physique ( pour sortir des mots et forums virtuels) avec d'autres qui ont fait le pas, est elle possible ?

Y a t-il des médecins ou similaire, qui accompagnent les « sidéens » dans cette démarche vers l'arrêt de la tri-thérapie ? 1-calin.gif

(traumatisé dans notre jeunesse, le rapport sida/mort est très profond chez nous, et cette annonce de sida fut ENORME pour nous . on travaille sur « le deuil du deuil », et nous reste a trouver une sortie « vers le haut » de cette crise, afin que la vie redevienne merveilleuse .) chamaille.gif

Bien a vous icon_bravo.gif

et Merci . jap.gif

bamboo

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Comment lui apporter une certitude, une preuve ?

Je crains malheureusement que la certitude ne pourra venir que de lui-même, après des mois et des mois de recherche sur le sujet. Et cette "certitude" sera, je pense, d'autant plus difficile à acquérir que les traitements dits "antirétroviraux" peuvent souvent, à court ou même à moyen terme, faire du bien à une personne souffrant de maladies qualifiées de "sida", sans toutefois que leur prétendu caractère anti-"VIH" y soit pour quoi que ce soit.

Y a t-il des médecins ou similaire, qui accompagnent les « sidéens » dans cette démarche vers l'arrêt de la tri-thérapie ? 1-calin.gif

Il semblerait qu'en Allemagne, il y ait quelques praticiens de ce genre. Mais en France ... ?

Ton témoignage est assurément très intéressant. Malheureusement, en France, comme dans de nombreux autres pays, c'est le plus souvent, je crois, le règne de la débrouille pour sortir des sentiers battus. 5-tss.gif

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Le problème, c'est que ma conviction ne peut décider à la place de mon ami !

On est comme paralysé, entre l'orthodoxie et la dissidence . 

Sa déprime l'empêche de faire les démarches de recherches que j'ai engagé, comme ici, et si moi je me fais mon idées, lui, reste enfermé dans le schéma imposer . Il est bien faible psychologiquement et tout ça l'angoisse .

Il m'écoute, et considère ce que je commence à affirmer, je lui fait des dossiers énormes avec tout ce que je trouve sur ce sujet, mais la décision de changer de tactique paraît énorme à prendre .

Voilà une situation que je reconnais.

Par rapport à ça je me dis quand même que, selon le "profil psychologique" de la personne en question, il est plus facile pour celui/celle qui n'a pas été personnellement confronté à un diagnostique seropo ou sida de faire des recherches et de se faire une opinion, c'est à dire, de passer des heures à lire et de s'y intéresser de près.

La façon de mon ami de se protéger c'est de ne rien vouloir savoir (ou le moins possible), donc il avale sa poignée de pillules le soir et essaie de ne pas y penser le reste du temps. Je peux comprendre et veux évidemment respecter cette vision, d'autant plus que je peux m'imaginer que s'il flipperait plus et plongerait plus dans les méandres théoriques du problème, ça pourrait avoir

un effet pervers sur sa santé, en destabilisant sa confiance dans le traitement qu'il suit. Je n'en doute pas que le fait qu'il croit en ce qu'on lui donne, l'aide dans une certaine mesure (et jusqu'à un certain stade) à rester en bonne santé apparente. Tout cela est renforcé par le fait que, comme beaucoup d'autres, il a aussi fait l'expérience d'être presque à l'article de la mort, et d'avoir été "resussité" par la tri.

Je regrette que du coup il ne sait quasiment rien des autres points de vue et, surtout, des choses qu'il peut au moins faire pour aider son corps à supporter la tri (et qu'il ne modifie pas son alimentation quant aux acides gras - sur ce point llà il fait exactement le contraire de ce qu'il faudrait, pour l'instant...). Parfois j'ai l'impression d'être la "trouble tranquillité d'esprit" et qu'en parlant des autres options/visions je ne fais de fait que lui rappeler sa condition de "sidéen" et le destabilise.

Ceci dit, il y a aussi une part de non-dit dans la "répartition de rôles", je crois. Il compte d'une certaine manière, et sans le dire, sur moi pour dénicher d'autres info's/approches. Le tout c'est que je lui propose des choses "clé en mains", sans lui prendre la tête, du genre le paquet de antioxidants qui arrive tout seul par la poste, avec "la notice d'emploi". Dans ce cas là, il est (vraiment) content de les prendre. Je me dis aussi qu'il ne faut peut-être pas vouloir trop de choses à la fois. Y aller petit à petit, et éventuellement aussi un peu en fonction des résulats des tests (même si je reconnais les risques de ça aussi).

J'essaie de me mettre à sa place. Un diagnostique comme le sien, j'en serais moi-même morte de trouille, paralysée, beaucoup plus que lui, et je ne prendrai certainement pas la distance que je peux me "permettre" maintenant. Mais tout ça dépend de la personne - ici il ne manque pas de personnes qui ont ce courage de chercher eux-mêmes.

En tout cas, toi aussi, pour ton ami, si ce n'est déjà fait, tu peux aussi sans doute commencer par proposer concrètement et pratiquement des suppléments de type antioxidant. C'est déjà mieux que rien.

Bon courage et bonne chance pour ton ami et pour toi, en tout cas.

Brume

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Merci bien Wallypat

Bonjour à vous tous.

Merci Brume, j'allais poster et découvre ton message . Tu as raison bien sur ! Merci de ta sagesse . Peut être auras-tu des précisions après m'avoir lu .

Je me doutais que ma position n'avait guère de réponses faciles ....

Je me suis peut etre précipité, j'ai peut etre pas posé la bonne question, c'est peut etre trop personnel entre moi et lui, et finalement seul lui pourra faire le pas et décider .

Autre détail ! Faut comprendre que je me suis épuisé psychologiquement face à lui, je suis fatigué d'éplucher le net dans tous les sens ..............j'ai l'impression de tapé dans l'air..... Seul, sans famille informée, sans association, sans amis passionné par notre histoire (je les comprends!), j'ai pas toujours la force de lire toutes les réponses des autres avant de trouver la mienne .

Je comprend que ça vous est pénible de vous répéter, comme il est épuisant de chercher .... Alors en passant, si vous connaissez des plans pour les accompagnateurs fatigué par des sidéens en perdition, faites moi signe !

C'est en se faisant jeter d'ailleurs qu'on arrive chez vous, vous savez ça ! Merci d'être là et d'avoir conservé votre forum à l'esprit élargit ou se mêlent ce qui est trop spécialisé ailleurs et donc incomplet .)

Que votre attention à la détresse, vous soit une grâce lumineuse .

Je vais développer ce témoignage sur un point qui me paraît très important et qui répondra en partie au post de Agrathor (précédent mon post)

Mon ami, ne sait jamais vraiment remis de la mort inattendue de son père intervenu en 1989 .Son père était son Dieu . Son éducation matérialiste et rationaliste, où la mort est un mystères, l'a bien aidé à rentrer dans une sorte de dépression chronique . En 2003 sa mère décède. Sans rapport mère/fils comme on l'entend, cela paraissait digèrable . On était par ailleurs, aux portes du bonheur matériel comme il est admis dans notre système, et n'avait de ce fait plus trop d'arguments a son mal être de vivre .

Donc, contre toute attente, puisque sa mère n'avait pas une présence importante, il rentra 1 ans après, dans la version hard de sa déprime

chronique, et tout parti en « live » . S'en suivi 3 années très difficile ou je m'épuisa à tous les niveaux pour essayer de le repêcher, jusqu'au jour ou l'évidence s'imposa . Notre unions, nos diffèrences, mes ambitions (entêtement ?) pour son bien être, n'avaient plus lieu d'être et s'avéraient impossible . On était tombé dans l'autodestruction mutuelle, et la suite de notre épanouissement ne s'envisageait plus que séparé pour le bien de chacun .

De part l'antériorité, cela ne pouvait se faire du jour au lendemain. J'étais dans le sentiment d'échec, et fallait gérer ça au mieux pour ne pas se faire encore plus de mal . J'avais conscience que j'avais voulu outrepassé mes capacités et que j'avais fait du mal à vouloir faire du bien. Fin octobre 2006, on se tape un rhume, que je soigne rapidement, lui ne s'en sort pas et traîne ce truc et cette toux pendant des mois . Les projets en cours sont de clore nos affaires à la fin de l'année et d'entamer cette séparation en janvier . Son état ne fait qu'empirer, n'entendant plus mes appels incessants a se faire soigner.

Fin janvier 2007, après 3 semaines de suivi par un médecin débile qui le soigne pour des soi-disant remontés gastriques qui provoqueraient sa toux épuisante, au lieu de partir pour un long voyage vers sa nouvelle vie inconnue comme prévu, il rentre aux urgences, verdâtre, et on diagnostique son sida .

Alors, j'ai pris une « claque dans l'âme », un sentiment effroyable . C'était pour moi évidement l'aboutissement de son mal-être chronique et j'assistais au pire résultat que j'avais toujours craint. Mes recherches sur le net sur des sites de psycho/éso ne faisaient que confirmer ma logique. Et après réflexion, mes proches perdus avaient bien partagé les mêmes symptômes de difficulté à Etre .

Il avait accumulé les dysharmonies, les silences, les incohérances, les mensonges à soi-même, et son esprit suicidaire, autodestructeur était devenu chronique. Je n'avais fait que retarder, rendre chronique, la perte de lui-même . Ma responsabilité était forcément engagé depuis 18

ans, et pour moi, l'épreuve spirituelle fut (est) dantesque .

Plus question de le quitter évidement, et on a laissé le temps a la digestion . Depuis je suis sur le qui vive, sachant intimement que sa

réalité n'a rien a voir avec l'histoire de sida qu'on lui a mis dans la tête et dont on ne comprend toujours pas où et comment il aurait pu s'infecter . Une histoire qui a d'autant mieux accroché que nous en avions déjà souffert 15 ans avant quand les proches tombaient comme des mouches . Alors doucement, j'essaye de reprendre la situation en main dans l'espoir de le sortir de là.

C'est là où j'ai découvert la dissidence et tout leur arguments qu'il me manque . C'est tout frais depuis 15 jours. J'ai déjà posé quelques cartes, mais on est qu'au début de la partie.... Ce qui me paraît bizarre, c'est que j'ai l'impression qu'on incarne, face à face, le dilemme du monde entre vision matérialiste et spiritualiste ! C'est là où j'ai ma chance quand même, car si son état est la suite de sa logique, le mien est aussi celui de la mienne, et ça il ne peut plus l'ignorer ...

Tout ça pour conclure, qu'au delà même des toxines matérielles (drogues/pollution/ les ondes radio/TV/phone dont on ne parle pas non plus, etc ...) qui seraient les facteurs déclenchant, je pense et affirme que l'athéisme, le dénie des spiritualités, le vide des vies interne et la non-reconnaissance de son esprit, organisé par nos sociétés, sont les véritables facteurs communs à toutes les épidémies nouvelles que l'on connaît . Cette relation « pensée matérialistes/maladies », faisant partie des classiques de toutes les éducations spirituelles .

Les actes excessifs (drogue,mauvaise alimentation, stress, etc...) montrer du doigt par la dissidence, ne sont que la résultante de la perte de liens avec soi-même et du fourvoiement dans le non-sens de nos vies, que provoque l'exclusivité d'une pensée matérialiste qui n'a plus le

temps de penser la réalité de la vie . C'est pourquoi, en réponse à Agrathor, et suivant ce que je viens de vous raconter, vous serez d'accord pour qu'on lui confirme que la part psychosomatique dans ce problème de sida, est indéniable et à mon avis, capitale .

En attendant, les anti-oxydants, les vitamines, les papaye etc, c'est moi qui les achètes et qui doit (presque) lui mettre dans la bouche.... Il n'a pas la position d'un « rebel » (bien connu ici . D'ailleurs qu'est-il devenu ?) et je me sent a bout de force psychologiquement là ou j'en

aurais le plus besoin.

D'où mes appels à l'aide.

Je sais qu'elle n'est pas facile à trouver, face à une volonté qui ne nous appartient pas, et qui seule doit faire son chemin . Mais un compte a rebours avec la tri-thérapie à commencé, le temps passe, et j'aimerais éviter le prochain épisode clinique auquels on peut s'attendre. Sans même imaginer que la tri-thérapie puisse avoir des incidences, ce sont aussi nos deux vies qui sont face à un carrefour qui mène à deux style de vie bien distinct.

Si lui reste dans sa logique ( ce qui est probable, la peur de soi étant paralysante) et moi dans la mienne,(ce qui est fort probable aussi, aux vues de ma santé) nos choix sont simple, mais sont de nouveau incompatibles et destructeurs. Alors : Soit, je m'annihile dans son trip, sans gloire et préjudiciable à mon équilibre. Soit je l'incite pour ne pas dire l'obliger, mais ce sera du poker, car sans volonté personnelle de s'en sortir, les autres peuvent toujours tirer, ils ne font que s'épuiser. Soit, je le remet face à lui-même, le laissant seul face à lui, comme dernière arme me restant pour l'obliger à se prendre en main, l'empêchant de se reposer sur la sécurité affective que je représente, mais ce serait aussi du poker .

Dans tous les cas, je suis un peu dans la merde.

Alors si vous avez une idées magique, je suis preneur. Voilà, je cois que ma question est plus précise.

Merci de votre attention précieuse et désolé si j'en trouble certains.

Bien à vous

Bamboo

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C'est clair que t'es dans une situation difficile et épuisante psychologiquement. Je pense que les aspects relationnels en soi ne sont a priori pas vraiment pour ce forum, mais on a sans doute le droit de "vider son sac" de tems en temps... Pour une personne extérieure c'est difficile de se faire une idée de ce que tu vis exactement, mais je reconnais certaines choses (entre autres pour avoir accompagnée jusqu'au bout une amie malade, puis mourante, l'an dernier - sans rapport avec un quelconque "sida" d'ailleurs) et d'autre part je ne suis pas tout à fait d'accord avec certains mots, donc voici en vrac quelques lignes.

Par rapport aux "choix" que tu donnes vers la fin de ton post, il me semble évident que le but de n'importe quelle rélation n'est pas de se "sacrifier", de toute façon ça ne marche pas et l'autre ne nous le demande pas (au fond), ça ne fait que prolonger une situation qui ne devrait pas ou plus être. Et d'autre part on ne peux pas non plus demander/exiger que l'autre s'aligne sur nous, même si on a les meilleures intentions ("pour son bien").

Ton ami prend de la tri, mais d'après ce que je comprends, il n'y a pas de raison pour qu'il ne puisse pas fonctionner "en autonome" (je veux dire, une personne dépendante physiquement d'aide directe, c'est encore une autre histoire, ou les éléments du choix sont différents), donc c'est peut-être le moment pour qu'il se prenne en charge, même si ça semble un peu raide de le dire.

J'ai du mal avec le mot psychosomatique, car c'est souvent utilisé pour suggérer que la personne le fait quasi exprès d'être malade. Ce n'est sans doute pas ce que ni toi ni Agrathor ont voulu dire, mais je n'aime quand-même pas ce mot (c'est une antipathie personnelle, disons). C'est évident et prouvé que l'état mental, émotionnel etc. joue sur notamment le ressort immunitaire, donc sur l'état de santé, la rapidé de récupération etc. Mais dire (ou suggérer, dans le non-dit éventuellement) à un malade par exemple qu'il va mal ParceQue il déprime, c'est doubler la dose de son problème, et ce n'est pas comme ça qu'il va subitement avoir la pêche et la santé, bien au contraire. Donc ce mot "psychosomatique", quoi qu'il recouvre pour les uns et les autres, je préfère personnellement l'éviter (mais c'est très personnel, je l'avoue).

Mais 1, qu'il y ait des actes manqués du genre se casser une jambe au moment où on sent que notre partenaire est sur le point de nous quitter, je ne contredis pas que ça "existe", et d'aller faire un test qu'on aurait pu faire depuis 5 ans, juste à un moment pareille, n'est peut-être pas neutre non plus.

Mais 2, que le diagnostique seropo ou sidéen puisse avoir l'effet d'une condamnation à mort et une dégringolade du système immunitaire associée, je ne le mets pas une seconde en doute.

Puis un autre aspect, s'il y a des éléments psychologiques qui poussent une personne à aller à contresens de sa santé (fumer ou trop bouffer, etc.), ces éléments ne sortent pas du néant, et même ils jouent un rôle, qu'on qualifie souvent de "bénéfice secondaire". Ce sont des béquilles, peut-être vermoulues et traîtres, qui l'aident à supporter autre chose. Donc de juste constater que quelqu'un se fait du tort côté santé et de lui dire ce qu'il devrait faire, ne sert pas à grand chose, voire à rien, ou encore c'est carrément contreproductif. Ce n'est que lui, peut-être avec l'aide d'un psy (si on en trouve un bon... bonjour la recherche...) qui peut y faire quelque chose.

Je ne me sens pas non plus à l'aise avec le mot "spirituel". Je trouve que ça n'a pas beaucoup de sens d'en parler dans ce contexte. Tout au plus on peut dire (à mon humble avis, et dans Ce contexte) que la conviction "spirituelle" de la personne peut avoir une incidence sur sa manière de vivre (par exemple sa manière de se nourrir, choisir pour du bio, etc.), qui à son tour à une influence sur sa santé. Et par ailleurs, il y a autant de convictions "spirituelles" que de personnes dans le monde, donc ça ne me viendrait pas à l'idée de vouloir que quiconque adopte ma vision "spirituelle", et encore moins de lier le fait qu'il/elle ne le fasse pas, à son état de santé.

Ici aussi, je ne doute pas que toi, ou Agrathor, ou d'autres, parlent de spiritualité dans une intention positive, mais sur ce point aussi, j'ai du mal avec le mot (dans ce contexte).

Encore un aspect, on ne doit jamais oublier que même avec la meilleure théorie on ne détient pas la vérité. Ce qu'on croit dur comme fer un jour (par exemple que le soja est très bon pour la santé), peut s'avérer 5 ans plus tard plus que douteux, voire cause de mauvaise santé (excès de consommation de soja, pour rester dans cet exemple). Quand on conseille les autres (et soi-même) on ne devrait jamais perdre de vue que notre conviction n'est qu'un vision, mais n'est pas la vérité.

Vu ces éléments, et dans Ce contexte, je ne pense pas qu'on puisse avoir une autre démarche que de proposer, d'informer, ceux qu'on aime, de sorte à ce qu'ils se mettent à avoir une pensée critique eux-mêmes, et s'ils ne le font pas, eh bien, c'est leur droit aussi. Ils ont peut-être raison pour eux-mêmes, ils ont peut-être plus raison que nous, on ne le saura jamais, ou bien plus tard. Chaqu'un(e) a son libre arbitre dans ce domaine, pour le meilleur et pour le pire. On n'est pas responsable pour les choix de vie des autres (au dela d'un minimum de responsabilité qu'on a toujours mutuellement entre humains, bien entendu), et on n'est pas responsable des conséquences (mon ami n'est pas non plus responsable de mon cancer des poumons, et tout ce que ça implique au niveau soins, que je risque d'avoir un jour ou autre, après 35 ans de clopes, par exemple).

Concrètement, c'est mon "option" par rapport à mon ami, je lui parle (pour autant que possible) de ce qu'il me semble une vision (plus) juste de ce "hiv/sida", j'essaie de l'intéresser à certaines informations (comme par exemple ce film de Gary Null - Aids Inc. -, étant donné qu'il n'aime pas trop lire, car ça ne manque pas de livres au sujet de "la dissidence"), j'ai acheté des produits antioxidants, et je ferai ça pendant un temps, mais pas infiniment. On ne peut pas imposer une telle vision/conviction, et même si je le pouvais, je ne voudrais pas l'imposer. J'espère créer une ouverture dans sa façon de penser, c'est tout. Et vu l'enjeu dans ce contexte, ça peut être très terriblement et sacrément frustrant s'il ne veut pas "entendre raison", mais après tout, c'est son droit et son choix. On peut essayer d'être un catalyseur, mais si la personne ne veut pas, et bien, ça s'arrête là (au bout d'un moment).

Amen icon_wink.gif Désolée, c'est devenu un peu très long, et peut-être totalement à côté de la plaque de ce que tu voulais dire...

brume

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Mille merci Brume pour ton attention .

Tu es vraiment plein de sagesse et ce n'est pas à côté d'une plaque ....

Tu as raison sur de nombreux points, mais reste a définir jusqu'où on attend et espère ?

Sur la psychosomatie, bien sur c'est délicat d'en parler et de culpabiliser le malade, mais si on suppose que des « blocages » psycho non révélés peuvent être à la base d'un comportement négatif pour la santé, nous savons que la prise de conscience de ces blocages, permet de les voir, de leur donner un nom et de pouvoir ainsi agir dessus . Tant que le non-dit reste de mise, l'influence psychosomatique ne peut être jugulée et se renforce .

C'est d'ailleurs le travail des psychologues que de faire sortir c'est blocage internes .

Il y a une vérité évidente, que je n'ai pas inventé, c'est que tout ce qui n'est pas exprimé et caché, se transforme en humeur morbide . D'où les arts-thérapies comme médecine de purge .

Pour la spiritualité, je suis d'accord avec toi, chacun la sienne et rien ne sert d'imposer des vues personnalisée qui ne conviennent pas forcément aux autres, mais force est de constater, que tout adhérence à une quelconque vérité spirituelle, entraîne chacun vers une discipline plus ou moins grande, mais acceptée et qui peut aider à trouver son juste comportement par rapport a soi même .

Elle apporte aussi l'idée qu'on peut faire quelque chose par soi-même et qu'on peut etre responsable de soi .

Ce qui dans un contexte matérialiste n'existe pas, ou les gens se sentent toujours victime et impuissant, se laissant assister dans une passivité sans fond et sans notion de responsabilité .

Le noeud du problème est pour moi ici, arriver a faire accepter un minimum de responsabilité de soi dans ce qui nous arrive . Sans ça, il n'y a aucune prise en charge par soi-même possible .

Je ne cherche pas à lui imposer ma vision spirituelle, mais simplement qu'il en est une, quelqu'elle soit qui pourrait l'aider à se recentrer sur lui .

Pour qu'il rencontre un psy, je lui en est parlé déjà en 2004 quand je l'ai vu commencé à s'effondrer, mais jusqu'à aujourd'hui, toujours rien !

Il fait de temps en temps(une fois par mois en moyenne) des séances de sophrologie, ça lui fait du bien, mais ça s'arrête là, et il n'a jamais repris les exercices à son compte pour le faire tout seul a la maison .

Merci de me déculpabiliser sur une éventuelle prise de congés de lui .

Je vais aller voir ce fameux film, merci bien .

Quand a l'intérêt de cette histoire sur le forum, c'est vrai que ce n'est peut être pas sa place, mais tout me semble tellement interactif, que c'est difficile de savoir s'arrêter ....

Bien à Toi

Bamboo

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Merci Brune de L'Abro et Bamboo, vos témoignages me semblent appropriés dans ce forum et se sont une de partie de la lumière de vos expériences, qui peuvent être nécessaires au cheminement de chacun.

C'est un échange, un partage appréciable.

Abandonner la tri-thérapie est de la responsabilité de chacun, c'est à l'intérieur de soi que la maturité devra se faire, en son temps, à son rythme.C'est de contacter en conscience et de retrouver sa force intérieure et de la manifester, qui me semble être un choix décisif pour retrouver son équilibre en Santé et, son système intérieur de défense.

L'hygiène de vie, avec des principes éclairés ( merci Wally ) vont dans le même sens, là aussi c'est plus facile à dire qu'à faire, ce qui compte c'est l'orientation.

Donc merci de vos échanges et bonne suite à vous,

Yacre.

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Bonjour Bamboo,

Je vois qu'il prenait un médicament au mois de janvier 2007. C'est sur que c'est ça qui a fait positiver le test.

Il faudrait qu'il se refasse tester. Il est bien possible qu'il soit à nouveau négatif. Surtout si sa charge virale est à moins de 10.000.

Cela dit, c'est vrai que s'il s'en remet entièrement aux médecins, et qu'il est dépressif, je ne vois pas trop ce qu'on peut faire pour lui. Il va se laisser dériver sans rien faire. Il faut régler le problème psychologique avant le reste. Mais vu que ça a l'air de durer depuis pas mal de temps, c'est pas évident.

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Oui, c'est sur sidasante. C'est en traduisant le document suivant que j'ai compris le truc (et aussi en ayant compris ce qu'est réellement la PCR. Sinon, je serais passé à coté).

Charges virales faussement positives

Voici l'extrait qui en parle :

Les faux positifs se produisent avec toutes les analyses d'ARN disponibles, y compris la génération de tests la plus nouvelle (Mendoza et autres 1998). Quand ces tests sont faits sur le sérum de personnes considérées VIH-négatives, 3% à 10% d'entre elles ont généralement des charges virales positives, et le taux rapporté le plus élevé de résultats faux positifs est de 60% (HIV surrogate marker coll. group 2000). Bien que la plupart des cas rapportés aient des charges virales fausses de 10.000 ou moins, il y a eu des rapports des charges virales faussement positives montant jusqu'à 100.000 copies par millilitre.

Donc, il y a des gens qui testent négatifs aux test d'anticorps, mais qui sont positifs à la PCR. Mais généralement, c'est avec moins de 10.000 copies.

Pourquoi ? Parce qu'en fait, contrairement ce qu'on nous dit, la PCR ne mesure pas la présence de tel bout d'ARN. Ca ne mesure en fait que la quantité de petites particules (des débris cellulaires). Et les tests d'anticorps aussi mesurent la quantité de petites particules. Bref, il mesurent la même chose. Mais il y a un léger décalage entre le test de charge virale et le test d'anticorps. Le test d'anticorps est négatif quand le test de charge virale est à 10.000 copie. Ils ne sont pas négatifs au même niveau de quantité de petites particules. C'est ce qui fait que quand on a moins de 10.000 copies, on a des très fortes chance de réagir négatif au test d'anticorps.

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Aixur,

Tu penses qu'il est possible de redevenir négatif avec moins de 10 000 copies d'arn viral par ml?

Connais-tu des cas de ce genre?

Si l'on a été testé positivement au test d'anticorps dit "VIH", quelles que soient les raisons qui ont conduit à la production d'anticorps aux protéines dites du VIH, il me semble hélas peu probable de redevenir rapidement négatif, compte-tenu notamment de la mémoire du système immunitaire... les anticorps liés aux vaccinations peuvent demeurer détectables durant des années.

Cela ne veut pas dire pour autant que la personne est en mauvaise santé, ou que sa santé ne s'est pas améliorée. Le test dit VIH ne mesure en effet que le passé (une élévation à un moment donné de la concentration des protéines dites du VIH ayant généré une production d'anticorps), mais ni le présent, ni l'avenir...

Le résultat positif ou non au test d'anticorps du VIH ne peut pas non plus être relié directement à la mesure de la charge virale, haute ou basse. Les deux tests mesurant des choses très différentes : le test dit VIH, la présence d'anticorps apparus sans savoir quand et sans savoir pourquoi; la charge virale, la mesure d'une activité cellulaire spécifique, mais indéterminée (elle mesure davantage le présent que le passé mais on ne sait pas très bien ce qu'elle mesure).

Cela ne doit pas dissuader de refaire le test dit VIH, ce qui peut toujours être utile et ne coûte normalement pas grand chose, même s'il ne faut pas, je pense, en fonder de trop grands espoirs.

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Juste pour dire que je partage entièrement l'avis de "Jibrail". Et d'ailleurs, pour aller dans son sens, fin de l'année passée, soit la dernière fois que j'avais vu le médecin "VIH", il fut (très) surpris de constater que ma soi-disant charge "virale" avait baissé (suite à mon régime à base d'acides gras saturés et très pauvre en acides gras polyinsaturés) d'une façon drastique puisque après 3 à 4 mois, ma charge "virale" avait baissé à +/-700 (je ne connais plus le chiffre exact). Trois à quatre mois auparavant, j'étais encore à +/-40.000-50.000.

En revanche, le nombre de mes anticorps étaient toujours très largement au-dessus de la limite maximale normale, soit comme pour tout séropositif (je n'ai pas encore lu un seul article scientifique ayant pu constater le cas - forcément exceptionnel - d'un séropositif ayant un nombre d'anticorps dans la limite "normale"), en sorte que je n'ai évidemment pas perdu mon temps à refaire le test "VIH". J'espère toutefois que d'ici quelques années, le nombre de mes anticorps aura suffisamment baissé en sorte que le test "VIH" sera redevenu négatif.

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Wallypat,

Ton raisonnement semble logique. Mais il y a un truc qui le rend faux. Le test de cd4 mesure en fait la quantité de particules de la taille des cd4 sans spécificité. Tout ce qui a la taille des cd4 sera inclu dans le résultat. Et les cd4 sont des grosses particules. Bref, ça mesure le taux de grosses particules dans le sang. Tandis que les tests d'anticorps et de charge virale mesurent le taux de petites particules. Or, ces deux taux vont en sens opposé. S'il y a beaucoup de grosses particules, il y aura peu de petites particules, et inversement. Donc si le test de cd4 donne un résultat élevé, ça veut dire à l'inverse que la charge virale sera basse, et surtout, que le test d'anticorps réagira négatif.

Comment ils arrivent à mesurer la taille des particules avec le test de cd4 ? Ils utilisent pour ça un laser qui ne comptabilise que les particules d'une taille relativement grosse. Tandis que pour le test d'anticorps vih, ils ne font pas ça.

S'ils n'utilisaient pas ce laser pour identifier la taille des particules, le test de cd4 mesurerait aussi la taille des petites particules, et on se retrouverait avec une charge virale élevée en même temps qu'un taux de cd4 élevé, ou une charge virale basse et un taux de cd4 bas. Ca la foutrait mal c'est sur.

C'est pour ça que si tu t'étais fait tester lors de ton dernier examens, tu aurais surement réagi négatif.

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Bamboo:

Je vais aller voir ce fameux film, merci bien .

Pour t'éviter de chercher en vain. Ce film (Aids inc.) est en anglais/amércain pour l'instant. On doit pouvoir le regarder 1 fois directement par le web, ici, en cliquant sur le dernier lien sur la partie gauche de la page. Moi je n'ai pas réussi à le voir comme ça (juste un petit bout de 20 ou 30 minutes), donc je l'ai commandé sur le site de Gary Null, dont tu trouveras les coordonnées en recliquant quelques fois sur son nom/le film.

Je l'ai reçu seulement il y a quelques jours. Il est bien, mais il n'y a pas beaucoup plus d'info que dans un livre comme "Sida, supercherie scientifique et arnaque humanitaire". Et ce qui m'a un petit peu déçu (juste un petit peu) c'est qu'il est de 2007, mais que l'info n'est pas si récente que ça. Mais ça reste un film très intéressant. Je trouve qu'il devrait être diffusé par Arte par exemple, mais bon, faut pas rêver.

Je ne sais pas trop quoi dire de plus (ici) que bon courage et bonne chance. Sait-il au moins que c'est difficile pour toi aussi ? Et avez-vous tenté des trucs simples du genre aller prendre l'air ailleur ensemble, à la mer, à la montagne ? Dans les dépression (et même sans, d'ailleurs) il n'y a rien de mieux que de casser ce train-train qui réduit le monde, la vie et les perspectives à 4 murs.

Bonne chance,

brume

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Faudrait peut-être voir un conseiller conjugal. Des fois, ça peut aider à débloquer des situations, à donner des nouvelles pistes, ou des petits trucs simples comme le conseil de Brume de l'Abro d'aller prendre l'air ailleurs.

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Ton raisonnement semble logique. Mais il y a un truc qui le rend faux. Le test de cd4 mesure en fait la quantité de particules de la taille des cd4 sans spécificité. Tout ce qui a la taille des cd4 sera inclu dans le résultat. Et les cd4 sont des grosses particules. Bref, ça mesure le taux de grosses particules dans le sang. Tandis que les tests d'anticorps et de charge virale mesurent le taux de petites particules. Or, ces deux taux vont en sens opposé. S'il y a beaucoup de grosses particules, il y aura peu de petites particules, et inversement. Donc si le test de cd4 donne un résultat élevé, ça veut dire à l'inverse que la charge virale sera basse, et surtout, que le test d'anticorps réagira négatif.

Te serait-il possible de bien vouloir fournir aux lecteurs les références de ne fût-ce qu’un seul article scientifique (et si possible de quelques études confirmatives) appuyant tes dires ?

Car à défaut, malgré le respect que je peux avoir pour toi, il m’est évidemment impossible d’accorder le moindre crédit à ces affirmations.

Pour ma part, je préfère me référer à des années et même pour certains points, à des décennies de pratique et de confirmation scientifiques établies par des centaines voire même des milliers d’articles scientifiques, ce qui fera d’ailleurs ma force lorsque je dois me confronter à un orthodoxe du sida (je m’appuie sur les mêmes outils scientifiques de l’orthodoxe du sida et je ne remets pas tout ou presque en question).

1) Pour ne prendre déjà que l’exemple des tests de T4, j’ai déjà lu à plusieurs reprises que presque tous ces tests ne mesurent déjà pas les T4 et encore moins les particules de la taille des T4 mais bien les anticorps, quelque soit leur taille, se liant aux T4. Et on sait depuis 1975 (expérience de Fauci), et cela a été confirmé à plusieurs reprises, qu’en présence d’agents oxydants, les anticorps spécifiques des T4 changent de récepteurs et se mettent à se lier aux T8 au lieu de T4. Tout cela a non seulement été constaté in vitro mais également in vivo comme chez les séropositifs par exemple, puisqu’à mesure qu’ils avancent dans le stade sida, plus le nombre (apparent) des T4 diminue et le nombre (apparent) des T8 augmente. Quoique ces tests ne sont certainement pas fiables quant à leur prétention à détecter le nombre réel des T4 (et sur ce point, je te rejoins bien, Aixur) vu qu’il s’agit d’un problème d’anticorps changeant de récepteurs en présence d’agents oxydants et se mettant à se lier aux T8 (alors que les T4 n’ont dans les faits peut-être pas diminuer), le rapport T4/T8, fut-il apparent, constitue malgré tout un bon marqueur de l’évolution vers le stade sida car il est un marqueur de l’évolution vers le stade sida. Peu importe que ce test mesurerait des grosses particules ou non (et je me demande même s’il y aurait un quelconque intérêt scientifique à cette mesure), ces tests ont malgré tout montré leur fiabilité prédictive sur ce plan-là.

Ceci étant, la circonstance que les tests T4 ne mesurent réellement pas le nombre de T4 prouve déjà en soi (et sur ce point, je te rejoins également) que la chute – apparente - des T4 n’a pas grand chose à voir avec une évolution vers le stade sida. Comme on l’a déjà vu plusieurs fois, le meilleur marqueur reste la mesure du niveau de glutathion intracellulaire.

2) Concernant la charge « virale » en matière de sida, les dissidents comme le Perth Group ont montré depuis bien longtemps déjà que ces bouts de matériel génétique prétendument attribués au « VIH » constituent pour la plupart des débris de matériel cellulaire (raison pour laquelle on peut en trouver également chez des séronégatifs), particules cellulaires détruits par l’exposition aux agents oxydants (mon régime ayant pour effet direct de réduire de façon drastique l’oxydation dans mon corps, il est d’ailleurs logique que ma charge « virale » ait baissé d’une façon aussi rapide et drastique [ce qui montre accessoirement qu’il n’est pas nécessaire d’utiliser des traitements « antirétroviraux » toxiques à cet effet, et dont c’est d’ailleurs généralement le bien seul effet commun à ceux-ci]). Dès lors que cet ARN provient essentiellement de particules cellulaires qui n’existent plus, je me demande bien comme la technique de la charge « virale » en matière de sida pourrait par inadvertance (ou même toujours) mesurer des particules quelles qu’elles soient, qu’elles soient de petite taille ou même grande taille.

Par ailleurs, je n’irai pas à l’encontre de bientôt vingt années de technique de la PCR, éprouvée par des milliers d’articles scientifiques (comme l’a d’ailleurs souligné en son temps Nico111, dont je regrette d’ailleurs la rareté des interventions), et qui ont tous pour point commun de détecter, non des particules quelles qu’elles soient, mais bien du matériel génétique (ARN ou ADN). En revanche, je ne suis évidemment pas d’accord avec leur interprétation (du moins, en matière de sida) selon laquelle les bouts de matériel génétique détectés par la technique de la PCR seraient du « VIH ».

3) Enfin, concernant les tests d’anticorps « VIH », peu importe que ces tests fonctionneraient en détectant des petites particules (aurais-tu ne fût-ce qu’une seule référence scientifique sur ce point ?), en bientôt 25 ans, ces tests sont, comme l’affirme l’orthodoxie du sida, devenus de plus en plus fiables, non pas bien sûr quant à leur prétention à détecter une infection par le chimérique « VIH » mais bien quant à leur prétention à détecter les personnes (et certainement dans les groupes à risque de sida) ayant une propension à développer ultérieurement, parfois 15 ou 20 ans plus tard (d’ailleurs, c’est incroyable le nombre de témoignages que j’ai lus ces derniers mois sur « AIDSMythExposed » de séropositifs tombant – « enfin » - malades 15 à 20 années après leur diagnostic de maladies rarissimes chez les séronégatifs et donc spécifiques du sida), peu importe que les anticorps réagissant avec les antigènes (et peu importe également l’origine de ceux-ci, ce qui compte, c’est leur fiabilité prédictive) utilisés dans les tests « VIH » seraient éventuellement de petite taille.

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Ben fais le test Wallypat (lorsque tes cd4 sont hauts et ta CV à moins de 10.000 copies). Et tu verras si j'ai raison ou pas.

Forcément, vu le degré de remise en cause que je fait, il y a des éléments que je n'ai pas et qui ne sont référencés nul part. Quand on remet en cause un domaine, on ne peut pas toujours le faire à partir de données déjà existantes. C'est pour ça que dans une théorie nouvelle il y a des prédictions. Et c'est d'ailleurs le fait de prédire avec succès que telle chose va se passer, alors que la théorie actuelle ne l'a pas prévu et donc pas expliqué, qui fait la qualité d'une théorie. Et c'est pour ça qu'avec une théorie nouvelle, il faut de nouvelles expériences. Moi, je prédis que quelqu'un avec une charge virale de moins de 10.000 copie a de fortes chances de tester négatif. Que plusieurs personnes fassent l'expérience, et on verra si j'ai raison ou si j'ai tort.

Mais enfin bon, on a quand même déjà des données (celles que j'ai citées précédemment) sur le fait qu'il y a des gens négatifs au test d'anticorps, et positifs à la charge virale. Mais quand ça arrive, ils ont généralement moins de 10.000 copie. Ce qui veut dire qu'au dessus de 10.000 copies, ce genre de phénomène arrive peu et que le test d'anticorps réagit en général positif. Donc, ça veut dire qu'en dessous de 10.000 copies, il y a de fortes chances de tester négatif. Donc, au moins pour ce problème, on a une étude allant clairement dans le sens de ce que je dis.

---------------

Concernant la PCR, s'il n'y a pas de virus VIH, les chiffres très élevés de charge virale deviennent absurdes. Si ça détecte bien une séquence d'ARN, alors, pour qu'il y ait une explosion pareille de "copies" en l'absence d'un virus, il faudrait une division effrénées des cellules. Ca voudrait dire qu'on serait face à un phénomène de type cancéreux. Il est clair qu'on n'est pas face à un tel phénomène. Donc, il n'y a pas multiplication d'arn. Donc, la charge virale ne devrait pas augmenter.

La seule autre chose qui peut se multiplier comme ça, ce sont les déchets cellulaires (pas à une telle échelle. Mais la PCR va avoir tendance à amplifier la multiplication. Par exemple, une multiplication par 100 des déchets cellulaires va entrainer une multiplication par 100.000 de la charge virale). Et, si la charge virale augmente jusque à des millions de "copies", ça ne peut être que parce qu'elle détecte des déchets cellulaires, c'est à dire des petites particules.

Sans virus, une charge virale de millions de copies est absurde si on reste à l'idée que ça détecte bien un morceau d'arn.

je me demande bien comme la technique de la charge « virale » en matière de sida pourrait par inadvertance (ou même toujours) mesurer des particules quelles qu’elles soient, qu’elles soient de petite taille ou même grande taille.

Ben parce que c'est un processus de polymérisation et que le processus de polymérisation entraine une agrégation des particules. Et à la fin, on mesure la taille des particules obtenues. Donc, pour qu'on ait une particule de taille X (celle qu'on veut avoir) à la fin, il faut qu'il y ait eu agrégation de particules plus petites entre elles. Donc, on part de particules de taille plus petite que celle obtenue à la fin. Et comme la particule obtenue à la fin est très petite, forcément, ce qu'on a agrégé, et donc, ce qu'on comptabilise, ce sont des petites particules.

Si tu veux otbenir une boule de la taille d'une balle de tennis à partir d'une phénomène d'agrégation, tu va utiliser par exemple des balles de ping-pong. Utiliser une ballon de foot ne donnerait pas le résultat escompté. Ce serait trop gros. Et à la fin, quand tu mesurerais la boule en question, tu verrais que c'est trop gros. Et si tu utilisais des balles de tennis directement, ça n'irait pas non plus, parce qu'il y aurait collage de plusieurs balles de tennis entre elle, ce qui donnerait une boule trop grosse à la fin.

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Bilan de ma réduction des traitements sur 1 an :

Depuis avril 2007 la prescription était :

Epivir/Isentress/Norvir/Prezista

à cette date Cd4 :214 et CV: 42135 copies/ml

La prise réel à été de la moitié environ, une prise sur deux, chaque jour.

Résultats :

06/2007 : Cd4 : ? et CV: 136

08/2007 : Cd4 : 440 et CV 60

11/2007 : Cd4 : 500 et CV indetectable

01/2008 : Cd4 : 722 et idem

04/2008 : Cd4 : 724 et idem

En parallèle, prise de complements , vitc 2/j, Nac 2/j, Ac.R.Alpha Lipoïque1/j,Silymarine 1/j Chrysanthellum Americanum/ desmodium 2/j Nergetonic ( Vit B sélénium,zinc...) 1/j et de temps en temps Green Magma 4/j.

De plus je "soigne" mon alimentation, avec pour première devise " Le Gras du Soir, Bonsoir", j'avais lu dans un livre d'adeptes de Kousmine que nos organes, digestifs notamment, ont des phases horaires de fonctionnement, la glande hépatique élimine les toxines dans cette tranche préférencielle de 22 h à 2 h du matin, un repas gras met plus de temps pour la digestion, les graisses surnagent dans l'estomac et sont donc "vidangées" en dernier, et devra (le repas) faire intervenir le foie, via la bile, pour émultionner les graisses, afin que les lipases pancréatiques (enzymes )puissent contribuer à la phase digestion/absorption des lipides.Un dîner avec des graisses fera donc travailler cette glande alors que c'est son moment privilégié pour éliminer les toxines.

Donc le soir j'évite ( il y en reste toujours un peu ) les aliments gras type fromage par exemple, je suis aussi très regardant sur les étiquettes des produits du commerce...je les évite.

Autre principe " Cuisiner c'est Tout Bon ", sans devoir entreprendre des complications culinaires, avec de la simplicité, c'est appréciable aussi pour le goût et l'odeur de cuisiner soi-même. "Bon Pour le Goût, Bon Pour le corps ".

De plus cela me fait travailler la créativité culinaire !

Du BIO si possible, du Label rouge pour le poulet par exemple...et depuis les infos de Wally moins de polyinsaturés, du fromage au lait cru, le midi.

Des cuissons peu agressives, à la vapeur, des crudités de saison..etc

L'alimentation est dans l'assiette , les aliments, et aussi dans notre quotidien avec nos émotions et nos pensées.J'ai encore du chemin à parcourir ! ( Heureusement ! ).

J'allais oublier de vous préciser que je vis à la campagne, avec du bricolage,du vélo et je suis un lève tôt.

Autres précisions sur mon terrain, et mon parcours Santé de puis 18 ans:

06/90 : Zona dans la bouche avec paralysie faciale et perte de l'écoute coté droit.

12/96 : Cryptococcose

07/2002 : Pneumocytose, LEMP

04/2005: Leucoplasie Chevelue

08/2005: Toxoplasmose cérébrale.

Cd4 au plus bas : 20 en 08/2005

CV la plus haute : 734240 en 03/2005.

En invalidité depuis 01/2007, et connaissance d'ONCT, depuis je fais mon expérience de cette vie avec une autre vision, merci à tous dont Wally-Pat, Aixur , Cheminot...

J'ai retrouvé un allant de vivre, mon poids est de 63 kg ( mon poids de forme à été pendant des années 69/70kg) pour 1;76m...les cuisses ont trinqués avec les traitements...

C'est mon expérience, elle vaut pour moi, elle peut inspirer des commentaires, sachez que j'ai toujours le doute et que je le considère maintenant comme compagon de route, c'est peut être lui qui me fait réfléchir, pour trouver plus de lumière sur ma sensibilité immunitaire.

Merci à vous tous.

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Résultats :

06/2007 : Cd4 : ? et CV: 136

08/2007 : Cd4 : 440 et CV 60

11/2007 : Cd4 : 500 et CV indetectable

01/2008 : Cd4 : 722 et       idem

04/2008 : Cd4 : 724 et        idem

Je trouve ces résultats très encourageants (quoiqu'on verrait sans doute plus clair encore si tu avais pu faire une mesure de ton glutathion) !

Peut-être te sera-t-il possible à l'avenir de continuer à réduire progressivement tes traitements "antirétroviraux" ? Mais si tu le fais, je te conseillerais (et peut-être peux-tu déjà le faire dès maintenant) de prendre au moins chaque jour 3 à 4 cuillères à soupe d'huile de noix de coco extra vierge. Et bien sûr, de continuer à réduire le plus possible la consommation d'aliments riches en acides gras polyinsaturés, à commencer par éviter absolument presque toutes les huiles végétales (excepté et dans l'ordre décroissant de préférence l'huile de noix de coco, l'huile de palme et l'huile d'olive, étant entendu que toutes ces trois huiles doivent être extra vierge).

A toi de voir, bien sûr.

Mais bravo encore pour les résultats ! 4-bravo.gif

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Yacre, ton témoignage est très intéressant, et on y lit aussi que t'as du traverser des périodes bien difficiles. Grand merci de l'avoir partagé ici. D'une part ça me touche de le lire, et de m'imaginer le parcours de vie que t'as du avoir ces dernières années, et d'autre part c'est très utile car tu donnes des éléments très précis et concrèts, ce qui permet d'évaluer et d'y confronter sa propre démarche.

D'après tout ce que j'ai pu lire ici, je pense que t'as fait le bon choix, et d'ailleurs les résultats sont là comme encouragement, et sa fait grand plaisir. Bonne continuation.

Et Wallypat, par rapport à cet huile de noix de coco, ou plutôt l'élimination de l'excès d'acide arachidonique (c'est bien ça? je ne vérifie pas pour une fois), je me suis demandé s'il n'y a pas des compléments alimentaires, ou bien plus simplement des aliments, qui peuvent favoriser l'élimination ? Du genre choux, piments, ail ? J'ai cherché (un peu) mais pour l'instant je n'ai rien trouvé.

Bonne journée à tous.

brume

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