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Le vaccin contre le cancer du col de l'utérus


Chapristi
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Ce vaccin est-il réellement nécessaire ? Il est vrai que les femmes y sont exposées, mais que je sache la grande majorité d'entre elles l'élimine naturellement.

Je ne suis pas convaincue qu'un vaccin soit efficace et encore moins inoffensif.

De plus, à ce stade le vaccin en question peut encore être considéré comme expérimental...

Est-il un espoir ou une catastrophe annoncée ? icon_confus.gif

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Je pense que ce vaccin est du pur n'importe quoi.

Mais ceci étant dit, bizarrement, ça pourrait être un espoir dans un certain sens. Pourquoi ? Ben parce que je pense que de très nombreux cas de cancer ne sont que de simples tumeurs, souvent même de simples artéfacts liés aux instruments de diagnostic, et que ce qui tue dans ce cas, ce sont les médicaments. Donc, ce vaccin pourrait éviter éventuellement des milliers de morts causés par les médicaments anti-cancer. Parce que quand un médecin croit qu'une personne est vaccinée contre telle ou telle maladie, il va bien sur penser que la personne ne peut pas attraper la maladie en question. Donc, le nombre de diagnostics de cancers du col de l'utérus s'effondrerait. Et au lieu de ça, les femmes en question auraient un diagnostic de simple tumeur, entrainant un traitement infiniment moins lourd, et donc moins dangereux, que dans le cas d'un diagnostic de cancer. Donc, le nombre de morts du cancer de l'utérus s'effondrerait. Tout ça, par le simple fait de la croyance dans le vaccin.

Bon, mais évidemment, vu le coté nocif du vaccin en lui même, il faudrait voir si le rapport bénéfice/risque est vraiment positif. Si on vaccinait toute la population féminine, est-ce qu'on n'aurait pas de nombreuses personnes qui développeraient des affections liées à la vaccination ? Ce qui diminuerait, le bénéfice en question. A voir.

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Personnellement, je n'ai pas suivi avec grande attention ce sujet.

Ce que j'ai cru comprendre, c'est qu'il est supposé que certaines cancers du col de l'utérus seraient causés par certains papillomavirus.

Certaines entreprises pharmaceutiques ont donc mis au point un vaccin qui empêche effectivement d'être contaminé par certains des papillomavirus supposés causer certains cancers du col de l'utérus.

Mais à ma connaissance, cela ne prouve toujours pas qu'il y aura effectivement (avec une efficacité supérieure à 99%) moins de cancer du col de l'utérus chez les vaccinés car il semble bien qu'il n'a tout simplement jamais été prouvé que ces papillomavirus en seraient les responsables. La prétendue causalité découle, d'après ce que j'ai pu lire, d'une simple association, à savoir que l'on retrouve chez une relative majorité de femmes souffrant d'un cancer du col de l'utérus ces fameux papillomavirus. C'est pour pourtant perdre de vue :

- qu'une écrasante majorité de femmes sont porteuses, leur vie durant, de ces papillomavirus et ne font pourtant pas de cancer du col de l'utérus,

- et que bon nombre de femmes atteintes de cette forme de cancer ne sont tout simplement pas porteuses de ces papillomavirus.

Par ailleurs, certains scientifiques disent simplement que c'est parce qu'elles sont malades et atteintes d'un cancer du col de l'utérus que cette état physiologique fait apparaître en fait ces papillomavirus et deviennent détectables par divers tests. En d'autres termes, ces papillomavirus pourraient bien être la conséquence et au mieux un symptôme du cancer du col de l'utérus ... mais non sa cause !

Donc, je ne pense vraiment pas que ce vaccin va réellement améliorer la situation. En réalité, j'en attends le pire (vu toutes les saletés que l'on trouve dans ce vaccin) mais pour cela, il faudra attendre 15 ou 20 ans pour le savoir (on n'a tout simplement aucun recul). En tout cas, si j'étais une femme, je ne prendrais certainement pas le risque de me faire vacciner. A mon avis, ce risque ne peut être couru que si dans ses parents, certains sont morts de ces cancers et que le risque serait héréditaire. Je crois que dans ce cas, le risque vaut la peine d'être couru, quoique qu'il semble qu'il n'ait jamais été prouvé que ces papillomavirus en soient réellement la cause.

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Merci beaucoup pour vos réponses.

Aixur, tu dis (je ne sais pas si je peux vous tutoyer ?) que de nombreux cas de cancers sont en fait de simples tumeurs et que le traitement est davantage nocif que ces tumeurs...J'aimerais en savoir plus.

Si un jour un médecin me dis que j'ai un cancer, que dois-je faire ?

Quels sont les "bons" traitements à prendre ?

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Je reprend certaines phrases :

" Il s’agissait déjà là d’un mensonge car il n’existe aucun vaccin contre les cancers," si on prévient la cause d'un cancer on peut dire qu'on vaccine contre même si c'est indirect.

"D’autant qu’il existe plus de 30 virus HPV, parmi lesquels 13, considérés comme à « haut risque », peuvent donner le cancer."

Mais elle dit plus haut que les 4 souches selectionnées sotn responsables de 70%des problèmes ! Elle manipule aussi à sa façon !

"Il est exact qu’il existe une corrélation entre HPV à haut risque et cancer du col, mais 80 % des infections sont asymptomatiques et guérissent sans traitement." oui mais 80 % femmes on ces virus...

"Dans les 2 à 4 ans, seulement 15 % à 25 % des lésions cervicales épithéliales de bas grade évoluent vers le haut grade. Nous sommes loin des affirmations alarmantes du fabricant." 15 à 25%, c'est déjà pas mal ! Bonjour, vous avez une chance sur 4 de passer à un truc pas génial !

"En vérité, ce virus est très commun et se retrouve chez 80 % des hommes et des femmes." Et alors en quoi ça fait qu'il ne pose pas problème!

" La plupart d’entre nous ont subi sa présence sans en avoir souffert et n’en sont surtout pas morts" heureusement vu la prévalence !

"De toute manière, en 2000, le taux de mortalité par cancer du col de l’utérus a été de 3,3 femmes sur 100 000 aux États-Unis et de 4 sur 100 000 en Australie." quid de ceux de la vulve , vaginale, et tous les traitements qui en découle, même hors cancer mais verrue, kystes fibromes etc....?

"L’Institut national du cancer des États-Unis estime que la relation directe entre le virus et le cancer n’est pas du tout prouvée. Dans une étude officiellement contrôlée, 67 % des femmes ayant un cancer du col et 43 % de femmes sans cancer étaient positives au test HPV." Et donc on ne veut pas protéger ces 67% sous prétexte que cette relation n'est pas directe ?

"Ces cancers sont en général observé seulement 20 à 50 ans après l’infection." Vu qu'on est infecté dès le plus jeune age lol !

"Mais nous savons à présent que le cancer est multifactoriel et qu’il dépend aussi bien de l’environnement et du style de vie que de l’hérédité." maitenant ? waouh c'est pas nouveau pourtant, à propos fumer ça tue aussi et pas besion de 36000 études pour le savoir.

"Les spécialistes estiment que 80 % des cancers sont causés par ce que nous buvons, mangeons, fumons, notre exposition aux radiations ou à des agents carcinogènes." donc traiter même 1% des cancers ça n'intéresse pas ? Et est ce par ce que c'est néfaste qu'on s'arrête de le faire ? On continue de boire de fumer, de consommer des graisses et autres de se gaver de hamburgers etc.....

"En 1992, Peter Duesberg et Jody Schwartz, biologistes moléculaires à l’université de Berkeley en Californie, ont fait remarquer que les carcinogènes sont sans doute les responsables de la proliférations des cellules anormales et non le HPV." "sans doute" ? voilà une affirmation indiscutable !

"Etant donné que les cellules cancéreuses sont plus menacées d’infections que les cellules normales, les virus seraient plutôt les indicateurs que les causes des proliférations anormales. " si ce virus provoquait à coup sur un cancer alors on aurait 80% des femmes cancéreuses donc c'est une évidence que d'autres facteurs sont impliqués mais le virus amplifie ou peut déclencher le problème sur un terrain susceptible.

"Le vaccin n’a pas fait preuve d’innocuité ni d’efficacité au cours de ses essais cliniques. Certaines questions restent sans réponse. Combien de filles ont-elles participé aux essais et pendant combien de temps ont-elles été suivies ?" ben ça a l'air pas mal pour l'instant au niveau des résultats et c'est bien relaté sur la plaquette d'info . Si je me souvient bien on est vers les 1000 personnes suivies j ecrois.

"l y a eu 82 rapports d’effets secondaires graves. Ces rapports viennent de 21 États. Plus de 60 % de ces manifestations se sont produites dans les 24 heures suivant la vaccination. Toutes les autres sauf trois sont advenues au cours de la semaine suivante. Parmi ces effets secondaires, il faut citer des névralgies, gastro-entérites, appendicites, inflammations du pelvis, crises d’asthme, spasmes des bronches et arthrite." En prenant du paracétamol on trouvera pareil.......

"En outre, le Gardasil® contient 225 mmc d’aluminium, et nous connaissons les effets délétères de l’aluminium sur le cerveau." in vitro oui et aussi sur les animaux , et chez l'homme ????

"Aussi, étant donné que le cancer du col de l’utérus est responsable de 1 % des décès par cancer chez les femmes, est-il raisonnable de vacciner les petites filles qui sont loin d’avoir l’âge des rapports sexuels avec un vaccin dont la sécurité et l’efficacité sont contestables "

Où donne t elle la preuve que la sécurité et l'efficacité sont contestables ? Et si on veut protégéer il faut le faire avant le contact donc avant le premier rapport, a t elle bien compris le principe ?

"Le Dr Leocmach ne connaît évidemment pas la durée de l'efficacité du vaccin, car il n’existe que cinq ans de recul. Il est certain que des rappels seront nécessaires." ah oui " certain" ? et qu'est ce qu'elle en sait ? où sont les preuves du certain ?

"À cet âge, il est normal que les parents soient réticents." et à 2 mois ils ne le sont pas pour dtpolio hépatite b etc......?????????

"Il a bien besoin de cette somme pour faire face aux nombreux procès intentés contre l’un de ces autres produit, le Vioxx® et compenser ainsi les pertes dues à ce médicament qui fut qualifié de « remarquable », tout comme ce nouveau vaccin actuel." je ne me fais pas de soucis pour merck!

"Le laboratoire a financé une campagne de promotion très agressive avec l’aide de lobbyistes professionnels et d’une organisation agréée par le gouvernement, Women in Government, un groupe de femmes législateurs." comme n'importe quel industriel, aux états de résister.

"Les enfants qui ont été désignés pour payer les dégâts du Vioxx® en sacrifiant leur santé nous rappellent les enfants immolés autrefois au nom des dieux par des civilisations qualifiées de « barbares » par la nôtre"Associer vaccination et sacrifice , magnifique phrase pour condamner sans appel et sans véritable justification ce vaccin. Facile pour marquer les esprits, un peu gros aussi !

"lui aussi vaccin génétique" lol et alors ? et puis un vaccin génétique ça ne veut rien dire mais dans l'esprit des gens c'est forcément obscur donc mauvais.....

"On frémit à l’idée que nous pourrions être une dictature !" je frémis aussi de l'abondance d'avis tout aussi partiaux, injustifiés, non étayés, etcc d'un côté comme de l'autre.......

Voilà, j'y suis allé un peu fort mais c'est pour montrer que même si effectivement le labo vend son truc , de l'autre côté critiquer en manipulant les mots sans apporter de véritables preuves et en frisant la mauvaise foi ne permet pas de se forger une opinion réaliste, éclairée même si c'est vrai que c'ets très difficile à faire voir quasi impossible.

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Ci-dessous, quelques liens vers des articles sans doute bien plus sérieux, mais en anglais, sur l'absence de preuve d'efficacité de ce prétendu vaccin contre le cancer du col de l'utérus mais également sur ses réels méfaits déjà connus à ce jour (sans compter ceux qui seront connus ultérieurement), comme le fait que ce prétendu vaccin augmente le risque de survenance de lésions précancéreuses, ce qui est pour le moins un comble pour un vaccin ... supposé prévenir une forme de cancer !

http://www.newstarget.com/Report_HPV_Vaccine_0.html

http://www.newstarget.com/022404.html

http://www.newstarget.com/022405.html

http://rense.com/general78/hpv.htm

Notons que je ne m'intéresse pas spécialement à ce sujet, il s'agit juste de liens que j'ai trouvés (très) rapidement sur le net.

En revanche, je recommande vivement la lecture de l'ouvrage suivant, dont la troisième édition est sortie fin de l'année passée, et comportant plusieurs centaines de références scientifiques (!) (si pas un bon gros millier de références scientifiques) :

Michel Georget, Vaccinations : Les vérités indésirables, Editions Dangles, 3ème édition revue et augmentée, septembre 2007, 464 pages.

Après avoir lu cet ouvrage (qui n'aborde toutefois pas le prétendu vaccin contre le cancer du col de l'utérus, sans doute parce qu'il est trop récent [ce sera certainement pour la quatrième édition]), vous ne pourrez plus jamais considérer les vaccins en général comme constituant un bienfait quelconque pour l'humanité, pas même pour les pays du tiers-monde, sauf rarissimes exceptions. En tout cas, rien ne justifie que certains vaccins soient rendus obligatoires, entre autres lorsqu'on constate que la notion d'"immunité du troupeau" relève en définitive du mythe (même lorsque 95% de la population est vaccinée) et qu'on tient compte des risques quasiment indénombrables liés aux vaccinations (risques liés au sujet que l'on vaccine, à la partie vaccinante, aux additifs, engendrés par la réaction immunitaire et enfin les risques liés aux contaminations non seulement insoupçonnés mais également celles qui sont connues mais acceptées faute de pouvoir toujours les éliminer) et à l'extrême diversité des accidents observés !

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En re-réfléchissant à cette histoire de vaccin contre le cancer du col de l'utérus et à ce que je disais plus haut, je me rends compte que j'ai parlé trop vite et qu'il va certainement y avoir plusieurs éléments qui vont faire que mon raisonnement optimiste sera mis en grande partie en défaut et que l'industrie médicale va avoir le beurre et l'argent du beurre.

En fait, le vaccin n'est efficace que contre 75 % des cancers dûs au papillomavirus. Les 25 % restant étant dûs à des souches de papillomavirus plus rares. Du coup, on pourra continuer à détecter des cancers du col de l'utérus (les 25 %), tout en ayant vacciné une partie de la population. Surtout qu'il suffira de dire qu'une partie de la population n'est pas vaccinée, et que du coup ça maintient un nombre de cas élevés (si on a 50 % de la population vaccinée, ça fait encore 62,5 % de personnes non protégées). Et il faut voir que certainement que le papillomavirus n'est pas la seule cause du cancer de l'utérus. Donc, si ça ne représente que 50 % des cas (chiffre que je prends au pif), ça veut dire qu'ont n'a plus au final qu'une diminution du nombre de cas de 20 %. Et puis, par rapport à ce que je dis plus bas sur l'ulcère, il suffira éventuellement de trouver de nouvelles causes de cancer de l'utérus, ou de dire que d'anciennes causes entrainent plus de cancers de ce type pour refaire monter la prévalence de celui-ci. Surtout qu'à terme, on pourra toujours dire que le vaccin n'est pas si efficace que ça (genre 40 ou 50 % au lieu de 75 %) pour réduire encore plus l'impact de celui-ci dans la prévalence générale. Donc, le business du cancer du col de l'utérus continuera, et celui du vaccin marchera très bien aussi. Le beurre et l'argent du beurre.

Donc, peut-être que le nombre de diagnostic de cancers du col de l'utérus diminuera un peu, mais pas tant que ça. Enfin, ce sera toujours ça de gagné. Cela dit, pour les ulcères, on a mis en soi-disant en évidence que c'était dû à 99 % à une bactérie. Ce qui était sensé tuer le business de l'ulcère, vu qu'il suffisait de prendre des antibiotiques. Et finalement, il semble que celui-ci continue à se porter très bien (parce qu'ils ont découvert, ô surprise, que les anti-inflammatoires avaient tendance à causer l'ulcère, et que ça représentait la grande majorité des cas désormais). Donc, pour le cancer du col de l'utérus, le business pourrait continuer à marcher très bien.

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Je réfléchis encore un peu à ce sujet.

Plutôt que de nous attarder sur les (nombreux) arguments invoqués par les opposants à cette vaccinations, attardons nous plutôt sur les arguments invoqués par les ayatollahs de cette vaccination.

Sauf erreur de ma part, en définitive, les arguments en question se résument à un seul : l'existence d'une association, au surplus faible (!) entre ce cancer et la présence de certains papillomavirus.

C'est toutefois perdre complètement de vue qu'"association" n'a jamais signifié et ne signifie toujours pas "causalité", même si l'association est extrêmement forte (ce qui n'est cependant pas le cas ici).

En d'autres termes, jusqu'à ce jour, il n'a jamais été prouvé que certains de ces papillomavirus puissent causer, que ce soit directement ou indirectement (peu importe, ce qui compte est la notion de "causalité"), cette forme de cancer.

Etant donné que les vaccins sont tout ce qu'on veut sauf inoffensifs, il va de soi que pour ma part, je n'oserai jamais prendre une décision aussi gravissime que celle de me faire vacciner ... en ayant pour seul argument la notion "d'association" !

Si la notion d'"association" devait être retenue pour justifier une telle vaccination, alors il écherrait également et par exemple :

- de ne plus jamais utiliser (ou, à tout le moins, avec une fréquence éminemment moindre) la télévision et le téléphone puisque de nombreuses études scientifiques ont montré, de manière concordante, répétée et convaincante, l'existence d'une association extrêmement forte (bien plus que l'association existant entre le cancer du col de l'utérus et la présence de certains papillomavirus) entre la fréquence des cancers en général et le degré avec laquelle un pays est câblé,

- ou encore de consommer chaque jour des suppléments d'huile de poisson puisque de nombreuses études scientifiques ont montré de façon plus ou moins constante l'existence d'une association plus ou moins forte entre l'espérance de vie, la diminution de la fréquence des maladies cardio-vasculaires voire même des cancers et la consommation d'oméga 3, alors que c'est perdre complètement de vue, par exemple :

* que les oméga 3 contrebalancent les effets délétères de la consommation en oméga 6, en sorte que la solution consiste en réalité à consommer le moins possible d'oméga 6 et non à consommer des oméga 3 (lire aussi ce topic),

* les personnes qui consomment de l'huile de poisson (après avoir été influencés par la publicité et leur nutritionniste) sont le plus souvent les mêmes qui font attention à leur poids, qui ne mangent pas trop de sucre, qui font régulièrement du sport, qui ne mange pas trop de ceci et de cela, en sorte que la relative association avec la consommation en oméga 3 constitue au mieux une conséquence ou un marqueur ... mais non une causalité !

On l'aura compris, la notion d"association" ne signifie pas "causalité" et cela est bien entendu valable pour le cancer du col de l'utérus.

Tout cela me fait fortement penser au sarcome de kaposi puisque l'orthodoxie médicale affirme que celui-ci serait causé en réalité par une forme particulière du virus de l'herpès (virus cousin des papillomavirus justement, sauf erreur de ma part) ... au motif qu'il existe une "association" extrêmement forte entre le sarcome de kaposi et cette forme du virus de l'herpès! Et cette "association" est bien plus forte que celle des papillomavirus et du cancer du col de l'utérus puisqu'elle dépasse les 90% !

Et pourtant, comme résumé dans ce très long post, il n'a jamais été prouvé que le sarcome de kaposi soit causé par cette forme de virus de l'herpès, ce qui n'a rien d'étonnant vu qu'"association" ne signifie pas "causalité".

Je conclurai donc en disant qu'il n'y aucune bonne raison d'utiliser ce prétendu vaccin contre le cancer du col de l'utérus vu qu'il n'a jamais été prouvé que certains de ces papillomavirus puissent effectivement le causer. En revanche, certains des "accidents" causés par ce vaccin commencent à être connus.

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Je suis tombée aujourd'hui quasiment par hasard sur le site de M. MARTIN WINCKLER qui nous permet de voir le thème de façon intéressante puisqu'une dame médecin, gynéco s'oppose à lui. Elle l'attaque sur les réserves qu'il émet et il répond ensuite... Je pense qu'il propose bien là les arguments face à des médecins convaincus. Très bien "envoyé" en tout cas. Monsieur WINCKLER a des arguments efficaces ! icon_biggrin.gif

LA GYNECO CHOQUEE

http://www.martinwinckler.com/article.php3?id_article=912

LA REPONSE DE MARTIN WINCKLER aux divers paragraphes (accessible d'ailleurs par lien au bas de la lettrede la dame en question mais je mets le "clic" pour accès plus immédiat).

http://www.martinwinckler.com/article.php3?id_article=911

Modifié par mékissety
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Ce débat est effectivement intéressant mais j'en suis toutefois extrêmement déçu et je ne partage l'avis d'aucune des deux parties.

Pourquoi ?

Parce que les deux parties sont au moins d'accord sur le point de départ : certains papillomavirus causeraient le cancer du col de l'utérus. Raison pour laquelle a en définitive lieu ce débat (puisqu'à défaut de ce point d'accord, le débat serait tout simplement inutile).

Winckler ne dit-il pas en effet :

Le cancer du col est favorisé par :

- l’âge (la fréquence est maximale autour de 60 ans).

- la consommation de cigarettes (elle multiplie le risque par deux)

- la multiplicité des partenaires sexuels

- les premiers rapports sexuels à un âge précoce

- l’infection par le HIV, qui diminue l’immunité (et peut-être aussi les infections sexuellement transmissibles (IST) par Chlamydiae)

- les grossesses multiples

- l’utilisation de la pilule combinée (estrogènes + progestatifs) pendant plus de 5 ans

Or certains de ces facteurs peuvent déjà expliquer en soi pourquoi on pourrait éventuellement trouver une (relative) association épidémiologique.

Par ailleurs, à ma connaissance, on n'est jamais arrivé à produire un cancer du col de l'utérus à partir de certains de ces papillomavirus (soit une des raisons pour lesquelles on parle d'"association" épidémiologique et non de causalité). Au surplus, à supposer même qu'un jour, un tel miracle soit réalisé, il faudrait vérifier cela avec des expériences de contrôle, à savoir utiliser les mêmes techniques mais sur des papillomavirus considérés comme n'étant pas pathogènes et voir si on n'arrive pas à obtenir de cette façon des cellules cancéreuses.

Dès lors qu'il n'a jamais été prouvé que ces papillomavirus puissent causer le cancer du col de l'utérus, le débat intervenu entre les deux parties est en définitive purement théorique et à mon avis presque sans intérêt.

Enfin, à supposer même que l'on constate dans dix ou vingt ans que les jeunes filles vaccinées souffrent moins de cancer du col de l'utérus (ce qui m'étonnerait beaucoup), avant de pouvoir affirmer que le vaccin y est pour quelque chose, il faudra vérifier si les jeunes filles ayant reçu un vaccin placebo n'aurait pas également une incidence moindre d'un tel cancer. A défaut de contrôle placebo, il sera tout simplement scientifiquement malhonnête d'affirmer que le vaccin y serait pour quelque chose (tout particulièrement en matière de cancer où il ne fait plus aucun doute à ce jour que les facteurs psychiques jouent un rôle fondamental).

NB : Ce sujet présente finalement de nombreux points communs avec le mythe du "HHV8" supposé causer le sarcome de kaposi. Là également, à partir du "HHV8", on n'est jamais arrivé à produire un sarcome de kaposi. En revanche, on est arrivé à en produire chez des rats qui avaient été trop longtemps et trop fréquemment exposés au sperme d'autres rats. Lisez ce topic pour plus d'infos.

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NB : Ce sujet présente finalement de nombreux points communs avec le mythe du "HHV8" supposé causer le sarcome de kaposi. Là également, à partir du "HHV8", on n'est jamais arrivé à produire un sarcome de kaposi. En revanche, on est arrivé à en produire chez des rats qui avaient été trop longtemps et trop fréquemment exposés au sperme d'autres rats. Lisez ce topic pour plus d'infos.

En fait, la pathogénèse de la plupart des cancers, semble bien mal connue, ou au minimum ne pas faire l'objet de consensus scientifiques - et c'est vrai aussi pour le Sida ou le sarcome de Kaposi. Cela semble particulièrement vrai pour le rôle des HPV dans les cancers du col de l'utérus, et c'est ce qui rend ce vaccin tout particulièrement spéculatif.

Et tant qu'on reste dans la spéculation, en relisant les facteurs à risque listés par le Dr Winckler, je suis frappé de voir parmi eux l'exposition au sperme et la précocité des premières relations sexuelles. En fait, et vu les propriétés relativement "aggressives" du sperme en tant qu'agent chimique, confirmé par ce récent article étonnant et passionnant cité par Cheminot, on peut même se demander si ces cancers du col ne seraient pas liés directement à l'exposition au sperme plutôt qu'au supposé contenu (les HPV) ?

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Je n'ai pas trop le temps ces jours ci de discuter , le dialoque entr eles deux docteus était assez intéressant et le point de vue du Dr Winckler me plait assez mais quand je lis ça (entre autre)

"

Furthermore, the FDA states, in the same press release, "Most women who become infected with HPV are able to eradicate the virus and suffer no apparent long-term consequences to their health."

In other words, HPV infections do not cause cervical cancer! "

Il ne me vient qu'une chose à l'esprit : qui peut oser faire un raccourci pareil et être crédible .......

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tiens encore une perle :

il lis ça : "In other words, the vaccines didn't work on the population studied, and there is no reason to believe that those same vaccines would magically work on other populations, since the biology of women and HPV is so similar across various populations."

il en déduit ça : "

In other words, the authors found no evidence that the vaccine worked at all. This observation led the authors to offer this damning conclusion that appears to render Gardasil nothing more than a grand medical hoax:"

il se f..t de nos g...le ou quoi ? Ce vaccin a été étudié dans une population qui a DEJA les HPV or le gardasil est pour celles qui n'en n'ont pas !!!!!! Super argument donc....

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Un petit rappel de bon aloi (mais sans rapport avec la question de la vaccination).

Une femme qui a un cancer du col de l'utérus mais qui en plus est séropositive au "VIH" ne souffre pas d'un cancer du col de l'utérus ... mais bien du "sida" !

On peut supposer que cette maladie fut ajoutée à la liste des maladies qualifiées de "sida" simplement pour tenter d'augmenter le nombre (de toute façon déjà peu élevé, du moins dans les pays occidentaux) de femmes souffrant de "sida" et créer ainsi l'illusion statistique que le "sida" serait une maladie infectieuse puisqu'il se répandrait également chez les femmes.

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Un passage intéressant trouvé dans cet article-ci :

Le SIDA n'est pas sans évoquer le cas du cancer du col de l'utérus, maladie aujourd'hui incorporée à la liste des maladies opportunistes du SIDA mais qui était connue bien avant l'ère du SIDA pour être liée à la très grande fréquence des rapports vaginaux.

Pas étonnant dans ces conditions que l'on trouve une certaine corrélation entre le cancer du col de l'utérus et la "contamination" par les papillomavirus, entre autres sexuellement transmissibles. Cela ne signifie pas pour autant que ce cancer soit causé par des papillomavirus.

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Cela ne signifie pas pour autant que ce cancer soit causé par des papillomavirus.

Et inversement......

Sans qu'il soit peuve d'une relation directe HPV cancer, il faut quand même bien avoir à l'esprit que les protéines E6 et E7 des HPV

sont de puissantes protéines oncogènes et leur étude a fait énormément progresser la compréhension de certains mécanismes de dérégulation cellulaire notamment avec la fameuse protéine p53.

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Sans qu'il soit peuve d'une relation directe HPV cancer, il faut quand même bien avoir à l'esprit que les protéines E6 et E7 des HPV

sont de puissantes protéines oncogènes et leur étude a fait énormément progresser la compréhension de certains mécanismes de dérégulation cellulaire notamment avec la fameuse protéine p53.

J'avoue ne vraiment pas connaître ce sujet mais je reproduis malgré tout ci-dessous la réponse que m'a fournie le dissident anglais du sida "Softrat" sur ce forum quant au caractère semble-t-il effectivement oncogène des protéines E6 et E7 :

Oh! Another possible relation to the over production of HPV and cancer is that when these viruses interfere with the activity of p53 and pRb too much these proteins can not stop the cell cyle when it really needs to be stopped for activities like DNA repair. As the DNA damage starts to build up that too may play a roll in cancer development in the cell.
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Je ne l'ai pas précisé dans mes messages précédents, mais pour moi, il est clair que cette histoire de virus causant le cancer du col de l'utérus est complètement bidon.

Si on a toujours cette théorie virale de certains cancers, c'est parce qu'on se traine l'héritage des premières expériences d'inoculation de soi-disant virus sur des souris au début du 20ème siècle. C'est le président de Verychip qui a levé le lièvre. Pour défendre ses abominables puces sous cutanées, il a déclaré qu'une expérience d'introduction de ces puces sur les souris ne valait rien, parce que les souris ont tendance à développer des tumeurs au point d'injection quelque soit le produit injecté (c'est ce qu'avait montré l'expérience d'insertion de puce sous-cutanée sur les souris, l'insertion d'une puce causait une tumeur au point d'inoculation). Donc, au début du 20ème siècles, les mecs qui ont fait des expériences d'inoculation de "virus" sur les souris ont évidemment obtenu des tumeurs au point d'injection. Du coup, comme ils étaient en plein délire sur les microbes pathogènes, ni une ni deux, ils ont pensé à des virus oncogènes, des virus engendrant des tumeurs, voir des cancers.

Evidemment, sur les êtres humains, il a été impossible d'obtenir le même résultat (puisque les virus oncogènes n'existent pas et que tout était lié à la sensibilité des souris à l'injection de substances étrangères). Donc, la théorie virale du cancer a été battue en brèche sur la plupart des cancers. Mais sur quelques uns, les spécialistes ont réussi à ce que la théorie virale soit en partie conservée. Bien sur, comme on n'a pas pu faire d'expérience d'inoculation, impossible de prouver la théorie. Mais ce n'est pas grave en médecine. Il suffit qu'il y ait une simple corrélation pour que telle ou telle théorie soit considérée comme encore crédible. Là, on trouve du virus quand il y a des cancers, donc on considère que le virus cause le cancer. On n'est pas capable de le prouver définitivement, mais bon, il y a une corrélation pas trop mauvaise, alors c'est bon.

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