Jibrail Posté(e) le 16 décembre 2007 Partager Posté(e) le 16 décembre 2007 Une américaine "faussement positive" au test dit "HIV", mais ayant pris à cause de cela une thérapie antirétrovirale de type "HAART" pendant 9 ans a obtenu la condamnation de son centre médical par un jury, pour son diagnostic "erroné" du VIH. Le Washington Post, relatant l'audience, laisse entendre que le médecin l'aurait déclarée séropositive sur son profil (un passé contesté de prostitution, un petit ami séropositif, une pneumonie...). En allant faire un test dans un autre hôpital des années après, elle aurait découvert être en réalité séronégative et aurait en conséquence lancé cette procédure judiciaire. Deux liens parmi d'autres (en anglais) : http://elmaltes.blogspot.com/2007/12/for-i...elease-dec.html http://www.washingtonpost.com/wp-dyn/conte...7121300047.html Il serait intéressant de connaître les termes exacts de cette affaire, en particulier le type de test effectué au départ (simple Elisa ou Western Blot), et si une charge virale a été détectée pendant ces 9 années. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wallypat Posté(e) le 17 décembre 2007 Partager Posté(e) le 17 décembre 2007 Très intéressant. Voilà qui prouve, s'il en était encore besoin, qu'il est possible de redevenir séronégatif. Et c'est même parfois possible après avoir consommé des années durant des drogues "antirétrovirales" ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jerman Posté(e) le 18 décembre 2007 Partager Posté(e) le 18 décembre 2007 Un pavé dans la mare des certitudes et un argument de taille qui va dans le sens de la dissidence. Voilà une désicion de justice qui fera jurisprudence, on le souhaite ardemment Merci Jibrail Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jibrail Posté(e) le 2 juin 2008 Auteur Partager Posté(e) le 2 juin 2008 Une américaine "faussement positive" au test dit "HIV", mais ayant pris à cause de cela une thérapie antirétrovirale de type "HAART" pendant 9 ans a obtenu la condamnation de son centre médical par un jury, pour son diagnostic "erroné" du VIH. David Crowe a mis sur son site une vidéo d'une émission américaine avec Audrey Serrano, cette patiente qui avait été diagnostiquée de façon erronnée au test dit "VIH", et qui n'en avait pas moins développée des manifestations cliniques typiques du VIH (fatigue chronique, inflammation intestinales, perte de poids et d'appétit) à la suite de la prise d'une multithérapie. Audrey Serrano est accompagnée dans l'émission animée par un médecin, par deux chercheurs "repenseurs", Andrew Maniotis et Rodney Richards. Je n'ai pas eu le temps de tout regarder; néanmoins, Audrey Serrano indique avoir été sous Abacavir, AZT et sous Bactrim, soit les médocs parmi les plus toxiques de l'arsenal "anti-VIH", aussi la survenue de symptomes graves n'est hélas pas très étonnante. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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