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forum sidasante

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bonjour à tous,

je suis un petit nouveau, mais aixur me connait, il y a quelques semaines je l'ai contacté par email, dans la mesure où j'avais disposé un lien sur un forum du "ying yang du sida".

je ne suis ni séropositif, ni chercheur, ni médecin, juste un homme curieux qui est tombé un jour sur un article concernant la dissidence du sida, ce qui a provoqué un intérêt exacerbé au sujet de cette fameuse polémique : "le Vih est-il la cause du sida ?"

Je ne sais pas si je pose la question au bon endroit, ou si elle a déjà été posé et dans ce cas je m'en excuse mais comment expliquer qu'il soit si compliquer de prouver ou de ne pas prouver que le sida n'est pas sexuellement transmissible.

En y réfléchissant bien, avec la médecine moderne, ce devrait être simple de trancher une question si cruciale...

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En fait, tout repose sur les tests, vu que c'est par là qu'on dit qu'une personne a contracté le virus ou pas. La médecine admet qu'en moyenne, avec 1000 contacts sexuels, le test risque d'être positif au moins une fois. Bref, selon la théorie officielle, le VIH est sensé être très peu contaminant. Mais, même très peu contaminant, ça reste dans la définition d'une MST.

On est pas mal dans le n'importe quoi (parce qu'il faut 5 ans en moyenne avec un contact tous les 2 jours pour qu'il y ait contamination, comme MST, ça se pose là), mais techniquement, on ne peut pas dire que ce n'est pas une MST. Même s'il y avait un contact contaminant tous les 30 ans, ça resterait une MST.

Et, même s'ils ne sont pas conçus pour réagir souvent, les tests sont quand même conçus pour réagir un minimum de fois. Donc, on trouvera toujours des tests réagissant positif, et donc, on pourra toujours dire qu'il s'agit d'une maladie sexuellement transmissible.

Donc, la problématique de la MST renvoie en fait à la problématique des tests. Ce sont eux qu'il faut remettre en cause.

L'expérience de Giraldo a permis de voir qu'en fait, sans les dilutions énormes (400 fois pour l'Elisa et 50 fois pour le Western Blot), tout le monde était positif (cela dit, les nouveaux tests ne sont plus dilués. L'industrie pharmaceutique a du sentir venir le vent du boulet à ce sujet).

Mais en fait, la plus grande faiblesse des tests, c'est que comme ils sont conçus pour réagir rarement (3 % du temps a priori), la situation normale d'une personne, c'est de réagir négatif. Donc, la plupart du temps, quand une personne réagit positif, c'est parce qu'elle est dans une situation de santé anormale. Situation qui n'est pas appelée à durer. Donc, la plupart du temps, une personne qui a réagi positif, réagira négatif 1 an après ou 2 ans après.

Du coup, si tous les séropositifs se faisaient retester, et ceci en n'étant pas dans une situation de santé pouvant faire réagir positif le test (vaccination, maladie récente, prise d'antibiotiques, de certains anti-inflammatoire, grossesse, etc...), probablement qu'entre 85 et 90 % seraient négatifs.

Probablement qu'une faible proportion, genre 10 % d'entre eux doivent réagir positif plus souvent que d'ordinaire, ou seraient toujours dans une situation de santé entrainant un test positif.

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comment expliquer qu'il soit si compliquer de prouver ou de ne pas prouver que le sida n'est pas sexuellement transmissible.

Pour moi, c'est très clair, il n'a jamais été prouvé que la séropositivité soit sexuellement transmissible, tout simplement parce qu'il est très compliqué de tenter de prouver un fait qui n'a jamais existé. Si on devait admettre cela, alors il faudrait par exemple admettre également que le cancer soit sexuellement transmissible.

Je reproduis un extrait d'un de mes précédents posts consacré à la pseudo transmission sexuelle de la séropositivité :

D) La transmission sexuelle de la séropositivité

Comme nous allons le voir immédiatement, à défaut d'avoir déjà pu prouver non seulement l'existence du "VIH" mais également la spécificité des différentes tests de détection utilisés (à supposer même que l'existence du "VIH" aurait été prouvée), il est vain de prétendre ou même de suggérer que la séropositivité puisse être sexuellement transmissible.

En effet, pour prétendre que la séropositivité est sexuellement transmissible,

1)Il est absolument nécessaire, mais non suffisant, de déjà trouver du "VIH" dans les sécrétions sexuelles. Cela va de soi, bien sûr. Cette condition implique déjà que le point A) ait pu déjà préalablement avoir été prouvé, soit l'existence d'un rétrovirus "VIH" !

2) Mais le simple fait que l'on trouve éventuellement du "VIH" dans les sécrétions sexuelles ne prouve pas pour autant que le "VIH" soit sexuellement transmissible. Seules des études épidémiologiques menées sérieusement seront de nature à le prouver.

Mais bien sûr, ces études épidémiologiques ne doivent pas être faites n’importe comment, faute de quoi à peu près n'importe quelle maladie sera sexuellement transmissible.

En effet, pour que des études puissent prouver que la séropositivité est sexuellement transmissible, il faut à tout le moins que les conditions suivantes soient simultanément remplies, faute de quoi la preuve de cette transmission sexuelle ne peut être apportée :

1°) L’étude doit être prospective, c’est-à-dire être suivie à travers le temps (et non rétrospective : c'est-à-dire deviner après coup ce qui aurait pu causer la séropositivité chez tel ou tel individu);

2°) Les tests utilisés pour prouver la séropositivité doivent avoir été prouvés spécifiques, ce qui implique que les points B) et C) susdits (spécificité des tests d'anticorps et des tests génétiques) aient préalablement été prouvés, faute de quoi il est tout simplement impossible de prétendre que la séropositivité puisse être sexuellement transmissible;

3°) Ces études doivent porter sur un nombre statistiquement important de personnes ;

4°) Les résultats doivent être statistiquement significatifs et doivent exclure toute autre possibilité de mode de contamination.

Le lecteur l'aura compris, la preuve de la transmission sexuelle de la séropositivité n'a ainsi jamais pu avoir été apportée jusqu'à ce jour !

Pour le reste, afin d'éviter des redites, j'invite le lecteur intéressé par le sujet de la prétendue transmission sexuelle de la séropositivité à lire la synthèse collective : Chapitre IV ---> D) Conséquences ---> "3) La séropositivité n'étant pas sexuellement transmissible, le SIDA ne peut en aucune façon être une MST."

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je conviens que vos arguments sont péremptoires en ce qui me concerne.

Cependant il y a un très très très très gros hic : les orthodoxes, soit environ entre quatre vingt quinze et quatre vingt dix huit des scientifiques, médecins, chercheurs du monde entier, ce qui n'est pas rien, ne partagent pas votre avis.

Ils disent que le sida et une mst.

C'est de ça que je veux parler : voilà le GROS PROBLEME.

L'orthodoxie, soit la Science officielle (la Science avec un grand S, la branche dominante voire tyranique), a rejeté tout vos arguments et s'entête, à tort ou à raison, je ne sais pas, à croire qu'à une seule hypothèse : celle du virus tueur.

Donc le gros soucis que je pointe du doigt, c'est que moi, qui ai juste mon bac, à l'aide de recherche perso et de raisonnement d'un enfant de dix ans, j'ai la quasi conviction que le sida n'est pas une mst.

comment expliquer que la quasi majorité des médecins, dont le mien pour qui j'ai pourtant le plus grand respect, qui ont fait de longues études, qui ne sont pas des abrutis, considèrent que ce que je considère comme hypothèse "abracadabrante" (magouille de Gallo, virus fantomes, Azt destructeur et j'en passe...) soit la BONNE.

Encore il y a deux semaines j'ai vu un reportage sur la une, on disait qu'en Martinique des tas de pauv' gus, déclaré séropositif, seraient mis en urgence sous azt. Ensuite on voyait un type, en costume cravate avec écrit en tout petit sur l'écran "docteur trucmuche, spécialiste en vih" y allait de son laius : " le vih fait des ravages, patati patata, chaque jours des milliers de gens sont contaminés, patati patata, le cas des Martiniquais est sérieux, pour la plupart des cas la maladie est dans un stade avancé... patati patata... utilisez toujours les préservatifs..."

Moi perso concernant le vih je suis convaincu à 90% que c'est faux, mais je le serai à 100 % lorsque l'orthodoxie du sida sera morte et enterré et qu'il sera écrit dans les livres de médecines : le sida n'est pas une maladie sexuellement transmissible.

D'où ma question initiale : comment se fait-il qu'il soit difficile de prouver que le sida est ou n'est pas une mst ; d'un côté 95 % des scientifiques qui disent que oui, d'un autre une très petite minorité, qui ne sont pourtant pas des c..., qui disent que non; au milieu des milliers de gens qui lorsqu'ils découvrent les arguments dissidents ne savent plus quoi penser.

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alors la cobra je te dis bravo,je suis exactement dans le meme raisonnement que toi icon_cool.gif Tu as tres bien resumé ma pensée,parce que lorsque j'explique mon point de vue sur SIDA,c'est exactement les arguments qui me sont opposés icon_confused.gif Tres pertinente question en tous cas icon_cool.gif

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Cependant il y a un très très très très gros hic : les orthodoxes, soit environ entre  quatre vingt quinze et quatre vingt dix huit des scientifiques, médecins, chercheurs du monde entier, ce qui n'est pas rien, ne partagent pas votre avis.

Il y aurait beaucoup de réponses compliquées qui permettrait de répondre à ta question (comment une masse d'experts a priori sensée peut-elle se planter aussi lamentablement et aussi longtemps ?), avec plein de références sur l'histoire des sciences, sur la sociologie des médecins, sur l'économie de la pharmacie...

Il y a aussi une réponse très simple : imagine deux minutes ce qui se passerait si l'orthodoxie médicale retournait sa veste sur la cause du sida. Elle pouvait encore le faire en 86 ou en 87 sans trop de dégats : à part Gallo et Montagnier, les victimes collatérales auraient été limitées, la médecine aurait conservé sa crédibilité. Mais depuis, l'orthodoxie s'enfonce doucement et inexorablement, et le point de non-retour a été dépassé depuis très longtemps. Il faut essayer d'imaginer les conséquences scientifiques, économiques, politiques, que provoquerait un tel retournement.

L'orthodoxie ne peut plus faire marche arrière - Montagnier l'a brièvement tenté, en vain. Son seul échappatoire, c'est désormais de camoufler sa défaite : faire passer pour des antirétroviraux les futurs traitements appropriés aux véritables causes du sida. Elle l'a déjà fait pour partie, peut-être consciemment (par exemple avec la lamivudine si la séduisante hypothèse de Cheminot se confirme), et si jamais le sida se résout graduellement, comme c'est déjà un peu le cas dans les pays dit "développés", on laissera passer du temps, beaucoup de temps, quelques générations avec leurs principaux protagonistes... Et puis Gallo et Montagnier passeront aux poubelles de l'histoire, comme beaucoup avant eux, et tout ça sera oublié.

En attendant on perd beaucoup de temps, beaucoup d'argent, et beaucoup de malades.

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Cependant il y a un très très très très gros hic : les orthodoxes, soit environ entre  quatre vingt quinze et quatre vingt dix huit des scientifiques, médecins, chercheurs du monde entier, ce qui n'est pas rien, ne partagent pas votre avis.

La science ne repose pas sur des opinions mais bien sur des faits scientifiques prouvés. Il y a quelques siècles à peine, presque tous les scientifiques "pensaient" que la Terre était plate et que le soleil tournait autour de la Terre. Cela était une "évidence" aussi criante de "vérité scientifique" que le serait aujourd'hui le fait que le "sida" serait causé par le "VIH". Etait-ce pour autant une vérité scientifique ? Non, bien sûr, des opinions, aussi majoritaires soient-elles, ne constituent pas des vérités, encore moins des vérités scientifiques. Mais il est vrai que dans l'histoire humaine et même scientifique, à force de répéter des mensonges ou des inexactitudes, ceux-ci deviennent finalement des "vérités".

Au surplus, cet argument des nonante-cinq pour cent a été réfuté depuis bien longtemps.

Qu'il suffise de lire le début de ce post.

L'orthodoxie, soit la Science officielle (la Science avec un grand S, la branche dominante voire tyranique), a rejeté tout vos arguments

S'il est tel le cas, peux-tu alors me donner les réfutations à par exemple les documents suivants :

- La réfutation de la Déclaration de Durban

- Cette autre célèbre réfutation par la dissidence ?

De manière générale, si la "Dissidence" en général aurait été réfutée, peux-tu me donner les références scientifiques d'articles ayant réfuté les articles parus dans des revues scientifiques par le Perth Group ?

Car si ce n'est pas le cas après plus de quinze ans, il n'y a pas d'autre choix que d'admettre que les affirmations du Perth Group relèvent de la vérité scientifique, faute de n'avoir jamais pu les réfuter dans des revues peer review. Car c'est ainsi que fonctionne la science en général.

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Wallypat, je me suis mal exprimé, sur cet exemple je reconnais bien le juriste...

à ce propos j'ai utilisé le mot rejeté, jamais réfuté, tu m'as fait dire ce que je n'ai pas dit...

on peut rejeter sans forcément réfuter... 5-nonnonnon.gif5-nonnonnon.gif5-nonnonnon.gif

je reformule ma phrase : vos arguments ... non que dis-je... NOS arguments, aussi bons soient-il, n'ont pas convaincu les orthodoxes...

voilà c'est mieux...

icon_rolleyes.gif

Modifié par cobra
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Je fais une synthèse de ce que je crois être juste au sujet du sida.

1 Le sida est causé par ce que un phénomène que l’on appelle le stress oxydatif, qui provoque une diminution des CD4 et, par la suite, la mort via les maladies opportunistes.

2 Le stress en question est toujours la conséquence d'une mauvaise (volontaire ou pas) hygiène de vie : drogues, mst, famine, pauvreté, stress de la vie, etc…

3 Le sida n’est pas une mst, cependant, une séropositivité temporaire et trompeuse peut-être transmis sexuellement car le sperme transmet très bien les oxydants.

4 L’orthodoxie en cas de « séropositivité avéré » affirme qu’il y a contamination via le virus VIH et impose un traitement immédiat à l’azt.

5 L’azt est hautement nocif et en conséquence, qu’il soit bien malade ou pas, à long terme finira par tuer le « patient » de symptôme qui se rapproche du sida.

6 Quelqu’un qui a une hygiène de vie irréprochable ne peut pas développer le sida à moins que : il soit déclaré à tort séropositif et entame le traitement à l’azt qui finira par avoir sa peau.

Mes questions :

1 Puisque le sida n’est pas une mst pourquoi la dissidence considère l’anal passif comme dangereux ?

2 Une femme peut-elle transmettre sexuellement une séropositivité ?

Si oui cela est du à ses sécrétions vaginales ?

3 Le sexe oral non protégé transmet-il la séropositivité ?

4 Est-il possible qu’une personne « saine » soit déclarée à tort séropositive malgré la batterie de tests de confirmation ?

5 Selon ma logique une personne à l’hygiène irréprochable ne peut jamais développer un sida. Est-ce correct ?

6 Est-ce correct ? La meilleure façon de prouver l’inanité de la théorie oxydative : des exemples de personnes à la vie pourtant saine qui développent le sida et en meurent sans prendre de traitements antiviraux .

7 Est-ce correct ? La meilleure façon de prouver l’inanité de la théorie virale : des séropositifs qui refusent les traitements orthodoxes et qui ne développent aucun sida ; des malades, qui n’ayant pas dépassé le point de non retour, guérissent grâce aux traitements dissidents.

8 Comment le stress oxydatif, maladie d’origine chimique, engendre toujours ces fameux anti-corps spécifiques, qui ont poussé, à tort, l’orthodoxie du sida à croire à un mystérieux-insaisissable-virus-tueur.

9 A Le stress oxydatif se transmet-il par le sang ?

9 B Si non, alors :

La meilleure façon de prouver l’inanité du VIH :

I) avoir des rapports non protégés avec des séroposif(ves).

II) se faire injecter du sang de malades.

10) Pourquoi les trithérapies, et autres remèdes antiprotéase ou je ne sais quoi, dirigés contre un virus qui n’existe pas, sont-elles si efficaces dans le traitement des maladies opportunistes ?

11) Freddy Mercury est mort du sida.

Mais de quel sida : le traitement à l’azt ?

Ou l’autre sida ?

En l’occurrence, ça signifie bien qu’il avait une mauvaise hygiène de vie : maladies vénériennes à répétition, drogues…

merci de vos réponses...

Modifié par cobra
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Personnellement, je n'ai malheureusement pas le temps de répondre à toutes ces questions, d'autant plus que l'on trouve déjà la réponse à la plupart celles-ci, si pas à toutes, dans la synthèse collective.

Concernant toutefois les premières questions, s'il n'a jamais été prouvé que la séropositivité est sexuellement transmissible, en revanche elle peut être sexuellement acquise en raison du comportement sexuel adopté par le futur séropositif, et indépendamment du statut "VIH" de l'autre partenaire. On en parle dans la synthèse et notamment dans ce post-ci.

Pour le reste, si j'ai le temps plus tard, je répondrai brièvement aux questions. Mais certaines questions résultent manifestement du fait que la synthèse n'a pas été lue complètement (ce qui est compréhensible, vu sa longueur).

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je ne sais pas si j'ai tout compris....

en fait un actif peut rendre séropositif un passif mais pas l'inverse, et uniquement pour l'anal.

On est bien d'accord que l'actif est touché par le stress. Forcément quelqu'un de "sain" ne peut pas rendre séropositif via l'anal ? ou j'ai pas tout suivi...

désolé de ne pas avoir tout lu, mais c'est vrai qu'ia beaucoup... beaucoup trop même 4-ptdrasrpt.gif

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je ne sais pas si j'ai tout compris....

en fait un actif peut rendre séropositif un passif mais pas l'inverse, et uniquement pour l'anal.

En réalité, ni l'actif ne rend le passif séropositif et ni le passif ne rend l'actif séropositif tout simplement parce que la séropositivité n'est pas sexuellement transmissible. En revanche, un passif pratiquant la sexualité anale réceptive non protégée peut acquérir la séropositivité (qui peut parfaitement être provisoire), c'est-à-dire acquérir un test dit "VIH" positif, du fait même de cette pratique sexuelle, que l'actif soit séropositif ou non.

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1 Puisque le sida n’est pas une mst pourquoi la dissidence considère l’anal passif comme dangereux ?

Parce qu'il y a de fortes raisons de penser que la pratique anale réceptive non protégée permet d'acquérir la séropositivité, fût-elle provisoirement. Maintenant je ne dirais certainement pas que c'est dangereux pour autant mais il y a des raisons de penser que pratiquer cette activité sexuelle de façon non protégée avec des milliers de partenaires différents, sur un court laps de temps et en plus en consommant des drogues comme le poppers, n'est certainement pas souhaitable pour la santé (quoique certaines personnes peuvent être plus résistantes que d'autres).

Pour des références en la matière, lire la synthèse ---> Chapitre IV : Le SIDA est un syndrome toxique et nutritionnel, manifestement causé par le stress oxydatif ---> D) Conséquences ---> 3) La séropositivité n'étant pas sexuellement transmissible, le SIDA ne peut en aucune façon être une MST.

Ainsi que des posts comme ceux-ci :

http://www.onnouscachetout.com/forum/viewtopic.php?p=122825

http://www.onnouscachetout.com/forum/viewtopic.php?p=251039

Et également ce post-ci.

11) Freddy Mercury est mort du sida.

Mais de quel sida : le traitement à l’azt ?

Ou l’autre sida ?

En l’occurrence, ça signifie bien qu’il avait une mauvaise hygiène de vie : maladies vénériennes à répétition, drogues…

Cela aurait très bien pu être les deux. Les maladies vénériennes à répétition, drogues, ... l'ont rendu séropositif et puis malade. Le "traitement" en mono"thérapie" avec l'AZT l'a ensuite achevé encore plus vite et causé du "sida" sur ordonnance !

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c'est marrant je suis allé voir le lien

http://fr.wikipedia.org/wiki/Hypoth%C3%A8s...IH_dans_le_SIDA

je cite notamment :

Depuis 1996, grâce à la mise en place des traitements par trithérapie, la majorité de la communauté scientifique considère que le rôle causal du VIH est une chose prouvée et que les arguments des dissidents sont pour la plupart erronés et dépassés, et susceptibles de mettre en danger la santé publique en dissuadant les gens d'utiliser des traitements à l'efficacité vérifiée. Mais le mécanisme de l'action positive des trithérapies est actuellement remis en cause, indiquant que ce pourraient être leurs propriétés oxydoréductrices qui sont à l'origine de cette amélioration, et ce d'autant plus que plusieurs expérimentations ont montré l'importance des oxydants (peroxynitrites) dans l'infection à VIH.

mais en notre défaveur :

Devant l'accumulation de nouvelles études et de nouvelles données, plusieurs spécialistes éminents qui s'étaient associés à un moment à la réévaluation du SIDA ont depuis changé leur point de vue et ont admis que le VIH joue un rôle dans l'origine de la maladie[29]. Robert Root-Bernstein, l'auteur de Revoyons la question du SIDA : le prix tragique d'un consensus prématuré[30] et jadis critique du paradigme VIH/SIDA, a depuis pris ses distances avec les dissidents, en disant : « Ce qu'avancent les négationnistes est manifestement incohérent en regard des études existantes. Quand je contrôle les études existantes, je n'approuve pas leur interprétation des données, ou, pire encore, je n'arrive pas [du tout] à trouver ces études. »[31]. Dans un article 2005, Root-Bernstein et al. ont écrit : « Il est bien connu que l'infection due au VIH-1 a pour conséquence une baisse graduelle des CD4 T-lymphocytes ».[32]

Joseph Sonnabend, qui jusqu'à la fin des années 1990 considérait comme non résolue la question de la cause du SIDA, a changé son opinion en voyant le succès des médicaments antirétroviraux les plus récents et a déclaré : « Il existe maintenant de fortes preuves que le VIH joue un rôle... Les médicaments qui peuvent vous sauver la vie peuvent également vous tuer dans des circonstances différentes. C'est là une distinction que les négationnistes ne semblent pas comprendre. » [31]

Aussi bien Sonnabend que Root-Bernstein préfèrent maintenant une hypothèse moins controversée, en suggérant qu'il faut l'intervention supplémentaire de cofacteurs pour que le VIH provoque le SIDA. Malgré tout, après novembre 2006, quelques sites Internet dissidents proclament toujours que Root-Bernstein et Sonnabend nient le rôle du VIH dans le SIDA.[33]

De même, le prix Nobel de chimie Walter Gilbert, qui avait exprimé son scepticisme quant au rôle du VIH dans le Sida, a récemment revu sa position, arguant lui aussi des succès de la trithérapie.

j'ai cliqué malgré moi sur :

http://fr.wikipedia.org/wiki/AZT

je cite :

Effets secondaires [modifier]

Les principaux effets secondaires de l'AZT sont, entre autre : nausée, mal de tête, déplacements des graisses et la décoloration des ongles. D'autres effets secondaires plus graves sont l'anémie. Ces effets secondaires non désirés pourraient être provoqués par la sensibilité de la polymérase γ-ADN dans les mitochondries cellulaires.

ils ont oublié un effet secondaire non négligeable : .... la mort !

Modifié par cobra
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mais en notre défaveur :

Il se fait que cet article de Wikipédia ne fait que condamner le courant dissident, encore très puissant, affirmant que le "VIH" est bien un rétrovirus exogène mais qu'il ne serait pas la cause du "sida" car étant passager et inoffensif. En ce sens, je ne peux que grosso modo approuver Wikipédia.

Ceci étant, si on prend les tenants de l'hypothèse des agents oxydants comme cause du "sida", ceux-ci considèrent grosso modo que le "VIH" est effectivement la cause du "sida" (en tout cas, dans les groupes à risque) et on peut dire qu'ils rejoignent l'orthodoxie du "sida" et considèrent grosso modo que le "VIH" est la cause du "sida" (en sorte que ce passage n'est finalement pas en défaveur de la dissidence défendant les agents oxydants comme cause du "sida") avec une différence fondamentale toutefois, à savoir ce qu'il faut entendre par "VIH". Pour l'orthodoxie du sida, le "VIH" serait un rétrovirus exogène (pourtant jamais isolé jusqu'à ce jour chez le moindre sidéen) alors que pour les tenants des agents oxydants comme cause du "sida", le "VIH" n'est que des marqueurs (anticorps, matériel génétique, ...), éventuellement des microvésisules produites par l'apoptose préalable des lymphocytes et ayant une infectivité réduite tout en n'ayant aucun caractère rétroviral (pas même endogène), résultant de l'exposition à ces agents oxydants (particulièrement azotés) et interprétés à tort comme étant la conséquence d'une infection par un rétrovirus exogène (pourtant jamais isolé).

Quant à l'argument - éculé et ayant terriblement vieilli - tiré de la (relative) efficacité des traitements "antirétroviraux" comme soi-disant preuve de ce que le "VIH" serait la cause du "sida", celui-ci a déjà été réfuté à maintes reprises et sous de nombreux angles, d'ailleurs.

Qu'il suffise de lire la synthèse collective : Chapitre VII : Traiter la séropositivite et le SIDA ---> 3) Les tri- et autres multithérapies ---> "Leur relative efficacité ne s'explique en aucune façon par leurs prétendues propriétés "antirétrovirales", quand bien même le "VIH" aurait effectivement existé en tant que rétrovirus exogène" (qui renvoit à plusieurs posts).

Rappelons entre autres à cet égard et en résumé :

- qu'in vitro, le prétendu caractère antirétroviral des traitements est sans intérêt vu qu'il n'a jamais été prouvé que les rétrovirus sur lesquels travaille Big Pharma seraient du "VIH", sans compter sur le fait que sur les quelques traitements montrant in vitro quelque effet "anti-VIH", seul un ou deux montrera en réalité in vivo un relatif effet positif chez le sidéen (comme quoi, la toute relative efficacité des "antirétroviraux" résulte en définitive du hasard et non du bien-fondé de l'hypothèse - rétrovirale - sur laquelle ils sont fondés), et comme par hasard, c'est chez ceux-là que l'on trouvera tantôt des propriétés fortement antioxydantes, tantôt fortement antibiotiques,

- et qu'in vivo (soit le seul élément qui compte, vu qu'in vitro, on n'a jamais eu la preuve que l'orthodoxie du sida travaille sur du "VIH"), le prétendu caractère "antirétroviral" (et sa relative efficacité) de ces traitements résulte de la diminution de la charge dite "virale". Etant donné toutefois qu'il n'a jamais été prouvé que charge "virale" = ARN de "VIH", il n'y a dès lors pas la moindre preuve qu'in vivo, la relative efficacité de ces traitements serait due à leur prétendu caractère antirétroviral.

En conclusion, rien dans cet article de Wikipédia ne remet en cause le bien-fondé de la théorie des agents oxydants comme cause du "sida".

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je voulais mettre en lumière le fait que des anciens dissidents disent ouvertement qu'au bout du compte on est des rigolos...

ça je trouve que ça nous fait perdre du crédit...

et pas qu'un peu.

bon je suis en train de lire la bible du dissident, chapitre 3, verset quatre, la parole selon saint-Wally 4-ptdrasrpt.gifhttp://www.onnouswww.onnouscachetout.com/f...=0entry187813

J'en suis à LA REFUTATION DU 2 ARGUMENT DE CANDIDE.

1) La réfutation du prétexte.

b)

excuse-moi de te le dire, mais il y a une phrase que je comprends pas du tout. J'ai passé 30 mn et au moins six relectures et je ne comprends toujours pas où est cette fameuse contradiction ?

Mais dites moi, où est-il précisé dans ce résumé qu'au cours de cette étude, les chercheurs en question n'auraient effectivement pas constaté cette incohérence flagrante à la théorie virale du sida, à savoir que les cas de "contamination" ont baissé dès la fin de l'année 1982 ? NULLE PART ! Candide a fait dire à ce résumé ce qu'il voulait entendre, et rien d'autre. Il a interprété ce résumé dans le sens qu'il souhaitait, et rien d'autre.

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excuse-moi de te le dire, mais il y a une phrase que je comprends pas du tout. J'ai passé 30 mn et au moins six relectures et je ne comprends toujours pas où est cette fameuse contradiction ? 

Mais dites moi, où est-il précisé dans ce résumé qu'au cours de cette étude, les chercheurs en question n'auraient effectivement pas constaté cette incohérence flagrante à la théorie virale du sida, à savoir que les cas de "contamination" ont baissé dès la fin de l'année 1982 ? NULLE PART ! Candide a fait dire à ce résumé ce qu'il voulait entendre, et rien d'autre. Il a interprété ce résumé dans le sens qu'il souhaitait, et rien d'autre.

J'ai eu un peu de mal à retrouver le post en question (ton lien ne fonctionnant apparemment pas) mais je l'ai finalement retrouvé. Il se trouve ici.

En l'occurrence, Candide laissait clairement entendre qu'il était faux qu'une étude orthodoxe du sida aurait affirmé que les "contaminations" par le "VIH" aurait diminué dès la fin de 1982, soit avant que commencent les campagnes de safe sex. Pourtant, après examen du document cité, il s'avère que le résumé même de ce document l'affirme (étant précisé que cela n'enlève rien au fait que le safe sex a certainement permis de diminuer encore davantage le nombre de "contaminations" au "VIH"). Il suffit que tu lises la fin du point b) et le point c) qui suit.

Ceci étant, relisant en vitesse ce très long post (que j'avais écrit à une époque où je commençais à peine à connaître la dissidence du sida), je dois avouer que si je devais l'écrire à nouveau, il serait bien plus concis et plus clair. Je me suis en effet "égaré" dans de nombreux détails alors qu'il aurait été possible de réfuter Candide de façon plus simple et plus expéditive.

Et d'ailleurs, c'est ce que j'ai fait quelques mois plus tard dans ce post qui ridiculise de façon plus expéditive et bien plus convaincante et définitive l'hypothèse rétrovirale du "sida" (faute de n'avoir jamais apporté les preuves y demandées) et, par la même occasion, les "réfutations" de Candide.

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je voulais mettre en lumière le fait que des anciens dissidents disent ouvertement qu'au bout du compte on est des rigolos...

ça je trouve que ça nous fait perdre du crédit...

et pas qu'un peu.

Cobra,

Je te ferai remarquer que Root Bernstein et Walter Gilbert ont changé d'avis à partir du moment où ils se sont rendu compte que la trithérapie était "efficace" par rapport aux anciens traitements.

Ils traitent en fait Duesberg de rigolo, car celui-ci persiste à déclarer, contre toute évidence, que les nouveaux traitements sont tous responsables du sida.

Or il me semble avoir démontré ici qu'il est tout-à-fait possible d'expliquer leur efficacité sans faire appel à l'hypothèse rétrovirale.

Certes, j'ai mis du temps à m'en apercevoir, parce que c'est de la chimie de haut niveau, et il est vrai que Walter Gilbert, Docteur en chimie, m'a un peu déçu sur ce coup-là. Mais lui travaille plutôt sur la biochimie, et les propriétés des acétals, cela ne doit pas être son fort.

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étant moi-même un grand consommateur de prostituées et de lieux de débauches, j'ai la chance de vivre près de la frontière allemande, pays où ce genre de lieux abonde, je vous le dit mais que cela reste entre nous 4-ptdrasrpt.gif.

Il m'est venu l'idée de passer pour de rire, un test du sida...

d'où ma question, quel est le prix de ces fameux tests ????????????

Modifié par cobra
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