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forum sidasante

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- Pour ce qui est de la rubrique des co-facteurs au sens des dissidents, une chose que je voulais depuis longtemps mentionner sur ce forum : de la fin des années 70 au milieu des années 90, un grand nombre d'établissements de relaxation, gymnastique, spas, saunas, etc, étaient équipés de jolis sarcophages transparents qu'on avait baptisés "lampes à bronzer". En d'autres termes, il s'agissait d'appareils pour l'exposition aux rayons ultra-violets (UVA et UVB). Or, ces équipements ont fini par être proscrits en France, en raison du grand nombre de sarcomes de kaposi et autres cancers de la peau qu'ils avaient occasionnés. Comme dirait Irêne Frachon, "combien de morts" ? Non seulement ça, mais, éventuellemnt, combien de sarcomes de kaposi provoqués par exposition aux ultra-violets parmi les cas qui ont conduit chemin faisant à la définition du syndrome du sida ?

Pourtant, il y a toujours des instituts de beauté avec des lampes à bronzer. Il y en a même qui ne font que ça. Donc, je n'ai pas l'impression que ça ait disparu.

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Je réponds ici à Jardinier qui trouve que je suis complaisant avec l'orthodoxie dans certains de mes écrits, en particulier celui-ci :

http://www.carevox.fr/sante-maladies/artic...anger-qui-monte

Il faut d'abord savoir que pour être publié, je ne peux tout de go indiquer que le VIH est en fait un rétrovirus endogène, ce en quoi je suis entièrement d'accord avec Étienne de Harven. J'essaye de faire comprendre sans le dire que le VIH est en fait l'expression biologique d'un stress extérieur que j'attribue aux peroxynitrites. C'est très certainement un numéro d'équilibriste et l'interprétation virale est tellement ancrée que très peu de gens sont capables de tenir compte de tous ces faits et d'en tirer les conclusions qui s'imposent.

Jardinier, tu indiques par ailleurs que soit on est cancéreux, soit sidaïque, selon mes propos. (je me permets de te tutoyer sur le forum, si tu n'y vois pas d'inconvénient). En réalité, je pense qu'en l'état de santé l'équilibre entre ces deux tendances est parfaitement réalisé par le métabolisme, et que cet équilibre est très difficile à rompre. S'il est rompu, c'est que certaines réactions chimiques - qui sont normalement "automatiques" - ne peuvent plus se faire convenablement. Ces réactions sont très certainement perturbées par l'environnement, qu'il soit trop oxydant ou trop réducteur - pour moi oxydant veut dire accepteur d'électrons, et réducteur, donneur d'électrons. A ce titre, les agents complexants (cyanure,...) se comportent comme des réducteurs - . Par la suite apparaissent les dégâts irréversibles, soit le cancer si le milieu est fortement "antiperoxynitrite" (réducteurs puissants, composés aromatiques de type amines..., voire phénols), soit sida si le milieu est trop "properoxynitrites" (donneurs de NO en particulier, manque de sélénium, de dérivés soufrés réducteurs...)

Et ce déséquilibre est provoqué par l'incapacité du monde contemporain à atteindre la compréhension des phénomènes biochimiques, car leurs recherches n'étudient qu'un seul type d'intéraction : le modèle clé-serrure. les substances qu'ils mettent sur le marché et les modes de vie proposés ne respectent pas le principe de l'équilibre métabolique dont je parlais ci-dessus.

Le seuil à partir duquel ce déséquilibre apparaît dépend de chacun, et donc la seule thérapeutique valable doit être individualisée. A ce propos, le test dont tu parles, Jardinier, est effectivement très pervers, non pas parce qu'il n'indiquerait rien en ce qui concerne la présence de peroxynitrites, mais parce le taux morbide de ces peroxynitrites dépend de la personne. Pour l'un, un index de 2 ne signifiera rien (LTNP :long term no progressor), pour un autre, un index de 0,7 sera suffisant pour qu'il devienne malade du sida (immunodéficience idiopathique). Ceci ne peut coller qu'avec un test de nature quantitative, qui détecte des substances normalement présentes (peroxynitrites) dont la quantité augmente anormalement, et non pas avec un test qualitatif tel que devrait l'être un test de virus : est-il présent ou non? soit un test de type 0 ou 1.

Cependant, lorsque ce seuil est dépassé et que le déséquilibre devient irréversible (cancer ou sida), il faut savoir user de substances palliatives pour améliorer partiellement la vie de ces personnes. Certains ARV font partie de ces substances palliatives relativement efficaces. Malheureusement, ceux qui les prescrivent ne connaissent en rien la différence qui existe entre chacun d'eux et se réfugient derrière un protocole auquel ils font aveuglément confiance.

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"Trois ans de recherches approfondies m'ont conforté dans mon sentiment que, sauf pour des médico-scientifiques avertis et susceptibles d'assurer un suivi déontologiquement digne de ce nom, il est assez délicat de conseiller aux personnes sous traitements antirétroviraux à vie d'interrompre leurs traitements (sur les plans psycho-social, somatique, physiologique, et en raison de l'hostilité d'une majorité des soignants concernés à la remise en question des dogmes qui leur ont été fallacieusement inculqués). En revanche, je me sens non moins vivement conforté dans ma certitude que se soumettre, ou inciter des personnes à se soumettre à des injonctions de dépistage constitue une démarche infiniment plus dangereuse qu'utile."

Je persiste et signe,

Pas d'accord.

Je pense qu'il ne faut pas empêcher un dissident qui est influençable (par le discours de l'orthodoxie), de reprendre une trithérapie si ses chiffres sont bas et qu'on lui a diagnostiqué une maladie opportuniste. Ceci parce que de toute façon, à un moment ou a un autre, il aura trop peur et il retournera dans les filets de l'orthodoxie. Mais il le fera au pire moment, ce qui pourra conduire à sa mise à mort par la médecine.

Mais on peut tout à fait et on doit conseiller aux personnes sous traitement de l'arrêter. Surtout maintenant qu'on a compris le truc et qu'on sait qu'il faut l'arrêter progressivement pour limiter le plus possible l'effet en retour. La plupart des gens qui ont arrêté le traitement puis l'ont repris ont eu une vacance du traitement de 7 ou 8 ans. Leur corps a évité les effets très délétères des arv sur leur foie et sur le reste de leur corps pendant 7 ou 8 ans. C'est donc un bilan très positif.

Par contre, effectivement, le problème, c'est que la médecine va chercher à leur remettre le grappin dessus au moindre pépin de santé (en leur faisant croire qu'il s'agit d'une maladie grave et que leur dernière heure va arriver dans très peu de temps) et que la plupart des gens vont succomber à cette influence. C'est à ce moment-là que les dissidents meurent, tués par la prise conjointe d'arv, d'antibiotiques et souvent aussi de morphine (dans les dernières semaines).

En fait, ce problème touche même la plupart des dissidents endurcis, puisqu'ils croient encore au reste de la médecine officiel. Donc, même eux finissent par craquer ; et là, à un moment encore pire que les autres.

Donc, il faut conseiller à ces personnes la chose suivante : prendre le traitement contre la maladie grave, et seulement après, reprendre une trithérapie pendant disons un an, et l'arrêter à nouveau. "Seulement après", parce que la prise en même temps d'un traitement antibiotique et de la trithérapie peut être mortel. Bref, il faut essayer de négocier le mieux possible ce passage délicat.

Mais d'une façon générale, je pense qu'il faut aller plus loin et remettre plus en cause la médecine ; afin de mettre fin à la peur des maladies opportunistes. En clair, comprendre que la tuberculose c'est bidon, que la pneumonie, c'est bidon, le kaposi pulmonaire idem, la toxoplasmose pareil, etc... C'est surtout comme ça qu'on passera ce point délicat de l'abandon de la trithérapie. Mais bon, comme personne n'ose aller plus loin dans la remise en cause de la médecine, c'est pas gagné.

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Cheminot, Aixur, merci pour vos deux réponses ci-dessus. Je crois que grâce à elles, on y voit beaucoup plus clair. Et c'est très important, bien sûr !

Et à tous : en attendant de vous répondre plus longuement, je n'ai pu résister à ma tentation de glissser encore une petite grimace bien dans ma manière ici.

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aixur, où vas tu trouver un médecin qui accepte un plan de traitement intermittent surtout si l'idée ne vient pas de lui 'ou elle) ?ils savent tous que ce n'est pas la peine de maintenir les malades sous effets secondaires destructeurs, mais en plus de soigner, ils ont des recommandations (de santé publique ou des grands pontes industriels déguisés...) à appliquer!!! il y en a un qui m'a dit ça . je lui ai dit que la santé, l'avis, le ressenti du malade était plus important que l'application des recommandations , il ma dit ne pas trop vouloir s'éloigner sous peine de conséquences professionnelles, que je n'avais qu'à m'adresser aux grands spécialistes etc.... énervement donc fin de discussion sur le sujet.

j'en profite pour demander si quelqu'un connait un bon médecin à me conseiller en messagerie perso ?

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@Rebayima,

Ben, l'avis du médecin on s'en fout complètement. C'est le patient qui décide jusqu'à nouvel ordre.

Donc, si le patient a envi d'arrêter, le médecin n'a pas son mot à dire. Et s'il a envi de recommencer, le médecin est obligé de le soigner. Donc, je ne vois pas ou est le problème.

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Aixur, Rebayima

Et même si on ne veut pas reprendre les Tri quand les chiffres sont "out" ils font tout pour fourguer autre chose; tiens le bactrim par exemple, en préventif, justement pour éviter certaines maladies opportunistes !

Si une maladie"opportuniste" venait à poindre son nez, et bien soignons là comme telle en faisant fi des tri, puisque les tri défient la raison et le simple bon sens et une bonne partie de la médecine est basée sur ce concept, prendre des médoc à vie pour ne jamais guérir, ça n'a vraiment pas de sens !

Donc, pour ceux qui arrêtent les ARV de leur plein gré, la décision ne peut venir du médecin bien sûr, puisque ces derniers ont des comptes à rendre, mais ils peuvent proposer tel ou tel cocktail à l'infini si le patient souffre pour l'un mais est prêt à essayer un autre. Et c'est là le piège, car cela donne au patient une apparente liberté, alors que c'est un enfermement, un subtil conditionnement

Et si le FTC ou 3TC étaient les seuls à faire du bien, pourquoi ne les prescrit-on pas seuls justement, eh bien parce qu'il faut les coupler avec d'autres molécules, qui elles sont dévastatrices pour la santé ???

Cheminot, merci pour cette clarification

Sans les peroxynitrites....pas de vih mais un rétrovirus type Herv, comme le soupçonne E. De Harven

La réflexion n'est pas terminée pour autant...du moins pour moi, car des gens meurent du sida sans faire d'infection opportuniste

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aixur, je comprends ta logique mais dans la réalité, j'ai vu un medecin qui n'a pas voulu s'occuper de mon suivi et a préféré me conseiller (avec colère car je venais d'avouer mon arrêt de trithérapie) ; de retourner voir le précédent alors que je voulais commencer un autre suivi (je ne m'entends pas du tout avec).

un autre m'a dit qu'ils avaient des recommandations à suivre, qu'on n'arrête pas un tt comme ça tout seul. Il m' a même préparé un papier "de décharge" puisque je ne voulais pas être traitée; j'ai rusé je n'ai pas signé.

mon premier m'a reproché de disparaître dans la nature et de revenir quand les t4 baissent et la cv monte, et quand les soucis commencent!!

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Mais quand même Rebayima, ma bêtise m'a fait réfléchir !

Et si, celui qui a le sida ( - de 200 CD4 ) meurt d'un infarctus cardiaque ou cérébral, d'une thrombose, bref de tout autre maladie ne faisant pas partie des maladies opportunistes, que dira t-on alors ?

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ils diront "mort d'une affection non classant sida"..

et dis toi qu'ils ont même trouvé une appellation pour ceux qui souffrent et meurent d'immunodéficience alors que séronégatifs au "vih", "immunodéficience idiopathique" donc sans cause connue. obligés car les cliniciens et les patients ont fait remarquer que vih ou pas, l'immunodéficience existe.

maintenant, il faut trouver de vrais médecins.

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ils diront "mort d'une affection non classant sida"..

et dis toi qu'ils ont même trouvé une appellation pour ceux qui souffrent et meurent d'immunodéficience alors que séronégatifs au "vih", "immunodéficience idiopathique" donc sans cause connue. obligés car les cliniciens et les patients ont fait remarquer que vih ou pas, l'immunodéficience existe.

maintenant, il faut trouver de vrais médecins.

Je n'en serais pas si sûr, car mon amie a été hospitalisée dans deux hôpitaux différents pour 2 AIT ( signes avant coureur d'un AVC, dit-on) espacés de 4 mois et on lui a bien fait remarquer que ces accidents étaient liés au sida ( 60 CD4 et CV 600000) et sa phase terminale ???

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Et puis, Rebayima, pour en rajouter à cette pathologie sida qui n'arrête pas de nous faire tourner en bourrique, je cite les propos de L.Montagnier ( encore lui, décidemment) :

"Il y a une très petite fraction de gens qui, bien que porteurs du VIH, et en dépit de l'existence d'infection, ne sont pas malades du sida. Ces personnes utilisent leurs défenses naturelles pour aider leur corps à combattre le virus, sans aucune aide médicale ou médicamenteuse. Malheureusement, la Nature n'a donné un tel cadeau qu'à une infime fraction de la population mondiale."

Alors on a maintenant des séronégatifs qui peuvent déclencher un syndrome d'immuno-déficience "idiopathique", donc sans sans vih et sida associé.

On a aussi, selon L.M, des séropositifs avec des infections (peut-être ne sont-elles pas opportunistes ? icon_confus.gif ) mais sans faire de sida...si bien sûr sida veut dire maladies opportunistes avec comptage des CD4 et de la CV

Alors à quand les séronégatifs développant un sida...car toutes les équations sont désormais possibles

Franchement, trouvez vous une logique dans tout cela ?

Ou alors , il manque encore une pièce maitresse au puzzle ?

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  • 2 years later...

Le feuilleton continue : la vente des poppers, depuis juin, est à nouveau autorisée en France...

Elle avait été interdite par un premier décret en novembre 2007, puis invalidée par le Conseil d'Etat un an plus tard suite à un recours du SNEG (le Syndicat National des Entreprises Gaies), car le Ministère de la Santé avait été incapable de fournir la moindre étude. Le Ministère avait donc commandé un rapport au Comité de Coordination de Toxicovigilance, sur lequel il s'est appuyé pour prendre un nouvel arrêté ministériel en 2011 interdisant à nouveau la production et le commerce des nitrites d'alkyles (poppers), et classait dans le même temps.les poppers dans le cadre de la législation sur les stupéfiants.

Causes voisines, même effet : une nouvelle fois, le Conseil d'Etat a invalidé le décret d'interdiction de 2011 en juin dernier. Il juge que dans les pièces du dossier, et qui doivent s'appuyer essentiellement sur le rapport du Comité de Toxicovigilance, d'une part la toxicité est jugée "faible" aux doses habituelles, et d'autre part aucune étude scientifique ne vient montrer qu'il provoque une dépendance telle qui justifie de le classer comme un stupéfiant au même titre que l'alcool ou l'héroïne...

[...] il ressort toutefois des pièces du dossier que, d'une part, les produits contenant des nitrites d'alkyle ont une toxicité faible aux doses inhalées habituelles et que, d'autre part, aucune étude scientifique ou enquête n'est produite qui permettrait d'établir que les nitrites d'alkyle présentent un risque de pharmacodépendance ou d'abus au sens des dispositions précitées de l'article R. 5132-97 du code de la santé publique ; que, dès lors, le ministre du travail, de l'emploi et de la santé ne pouvait décider d'interdire de façon générale l'offre et la cession au public des produits contenant ces substances sur le fondement des dispositions du code de la santé publique relatives aux stupéfiants [...]

Bref, c'est un désaveu total du travail du précédent Ministère de la Santé, et pour cause puisque visiblement personne au sein des autorités sanitaires, des milieux de la recherche scientifique, des vendeurs et des consommateurs de poppers ne souhaitent prendre au sérieux les molécules (les nitrites d'alkyles) qui composent les poppers et en examiner de façon approfondie sa toxicité, notamment l'absoprtion faible mais régulière sur une longue période.

Le résultat de cette décision du Conseil d'Etat est encore plus déconcertant qu'en 2008, car l'arrêté interdisant tous les poppers avait remplacé celui qui, depuis 1990, interdisait les nitrites d'isobutyle et les nitrites d'amyle, plus puissants que ceux autorisés jusqu'ici. Si le nitrite d'isobutyle devrait rester prohibé, car classé comme cancérogène par l'Union Européenne, le nitrite d'amyle a d'ores et déjà retrouvé le chemin des boutiques, alors qu'il était interdit depuis 1990.

Beau résultat, une fois de plus, des autorités de santé publique...


En résumé : sur la base d'un rapport inaccessible au public, le Ministère de la Santé (Roselyne Bachelot) avait pris un décret interdisant la vente de tous les types de poppers, en plus des nitrites d'amyle et d'isobutyle qui sont interdits à la vente depuis 1990 (le nitrite d'isobutyle est reconnu cancérigène depuis 2005 dans l'UE), ce qui n'empêche pas par ailleurs certains pays voisins soit de tout interdire (Suisse), soit de tout autoriser (Autriche) - c'est le grand n'importe quoi. Suite à ce décret sybillin, le SNEG (le Syndicat National des Entreprises Gaies), qui regroupe tout ce qui vend des poppers dans l'Hexagone a fait recours contre le décret, et a gagné en Conseil d'Etat : celui-ci a jugé l'interdiction comme un excès de pouvoir, considérant qu'elle avait été prise sur la base de présomptions et qu'aucune étude scientifique n'avait été produite !

Et ça y est, ça vient de tomber, tous les nitrites d'alkyles - les poppers - sont à nouveau interdits en France. L'interdiction sera apparemment plus solide juridiquement que la précédente, parce que d'une part le gouvernement s'appuie sur un rapport scientifique, même léger (le rapport du Comité de Coordination de Toxicovigilance, bien que celui-ci concluait en avouant sa relative ignorance, faute de suivi suffisant jusqu'à présent. Et d'autre part, le poppers va être soumis à la législation sur les stupéfiants, ce qui n'était pas le cas lors de la première interdiction en 2007, et ce qui est relativement confondant parce que si les poppers sont toxiques à plus ou moins hautes doses, et si l'effet vasodilateur est réel et puissant, j'ai jamais eu l'impression que c'était un psychotrope bien puissant.

Le gouvernement se fait plaisir en interdisant du jour au lendemain les poppers, qui restent légaux dans la plupart des pays européens et autorisant donc tous les trafics. Ce faisant, il refuse aussi toute évaluation scientifique plus poussée analysant la chimie réelle du poppers - bien sûr aucun lien avec le VIH/sida n'est mentionné - il s'agit surtout de protéger l'innocence de la belle jeunesse de la nation. Et il continue à prendre tous les gens pour des crétins irresponsables qui seraient incapables de modérer leur consommation si on voulait bien les informer des dangers réels des nitrites d'alkyle, ni minimisés, ni fantasmés, et qui n'ont d'ailleurs jamais été vraiment mesurés dans cette perspective. C'est apparemment trop demander pour notre époque...
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  • 5 weeks later...

Salut à tous.

La plus grande force de l'orthodoxie se trouve être notre naïveté.

Démontrer sa mauvaise foi est si simple (le faire admettre aux ensuqués l'est beaucoup moins) !

Il suffit pour cela de voir la procédure mise en place par la médecine conventionnelle pour les gens testés positifs.

En effet, au lieu de souligner au patient que ce résultat peut être dû à plusieurs facteurs et de chercher à lever tous les doutes avant de lui annoncer son malheur, la médecine conventionnelle s'empresse de diagnostiquer un sida et de prescrire des thérapies préventives pour lutter contre l'attaque d'un virus jamais vu en 30 ans de recherches INTENSIVES ET AUSSI RUINEUSES QUE VAINES !?!

Cette conduite assassine contient à elle seule suffisamment d'éléments pour nous mettre en garde.

Si je découvrais l'histoire du sida aujourd'hui, sans avoir subi la pression de 30 ans de propagandes, et que je dispose des infos, par exemple, contenues dans ce site pour m'alerter et m'informer, nul doute que je ne me laisserais pas abuser aussi facilement que je l'ai été.

De plus, aucune connaissance particulière en chimie ou en biologie n'est nécessaire pour comprendre qu'une telle stratégie relève de la mauvaise foi effrontée, et qu'elle rend les toubibs passibles de poursuites pour dissimulation d'infos pouvant entraîner la mort.

L'énormité de la manoeuvre repose sur un virus introuvable... qu'ils mesurent avec précision (charge virale) !?! rien que ça !

Nous allons en toute confiance remettre nos vies entre les mains de docteurs que nous pensons bienfaisants et quand bien même, si une chance sur mille

existe pour expliquer une séropositivité ou des analyses sanguines autrement qu'en en déduisant l'infection d'une maladie mortelle, nos toubib devraient en premier lieu nous le souligner.

Ils ne le font pas et mieux, le dissimulent. Pas par ommission, c'est la règle: prescrire pour prévenir de la maladie (en ne prévenant pas qu'il se peut que d'autres paramètres soient à l'origine du résultat du test ou des analyses) car, se sont les ordres et c'est du business, et non parce que c'est dangereux pour autrui ou bon pour nous !

A ce jour, croire au sida tel qu'il nous est conté démontre seulement de l'ignorance car tout est dit, et ce site comme ceux de la même veine sont de salubrité publique et sauvent des vies.

Quand notre voiture roule, nous viendrait-il à l'idée d'écouter un mécano qui nous dirait de changer le moteur en arguant d'une panne qui, bien qu'introuvable, va me faire tomber en rade... bientôt, un jour où l'autre ?

Je ne pense pas.

A part peut-être si, durant 30 ans, tous les médias s'accordent à dire et à démontrer qu'effectivement, nos voitures sont parfois victimes d'une atteinte invisible que seuls les spécialistes peuvent déceler et contre laquelle le seul remède est le changement de moteur.

Là, les choses seraient différentes et, Midas et speedy and co. auraient un bel avenir comme l'est celui des grands labos pharmaceutiques grâce à l'angoisse suscitée par les maladies depuis cent ans.

La France possède un système de santé envié de part le monde.

Ce qui nous est envié c'est l'illusion que notre système est gratuit alors que c'est un secteur qui ponctionne les finances du pays sans vergognes pour des résultats qui ne font qu'amplifier sciement les problèmes au lieu de les résoudre car, c'est malades que nous sommes clients...

En bonne santé, nous sommes des dangers par le seul fait de notre reproduction débridée qui pourrait, en se poursuivant, mettre en péril l'hégémonie des couards du moment au pouvoir.

Nous entrons dans une ère d'une abondance acquise sans travail. Chacun pourra bénéficier sans effort de tout ce que le génie humain est capable de générer.

Mais ça ne marche pas à 15 milliards d'individus au regard de nos appétits actuels, légitimes ou pas.

Il faut être dans le bon wagon pour ne pas être victime de la purge et nous, représentants de pays industrialisés, sommes à cet égard mieux lotis que 85 % de la planète. La plupart des humains sont désespérés à un point qu'il nous est difficile d'envisager.

Nous sommes ceux qui peuvent oeuvrer à la poursuite du grand idéal qu'est celui de devenir respectueux à l'égard du vivant car la plupart n'ont accès à aucun moyen de crier leur faim et de soulager leur peur.

A+ et bontoujours à tous.

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  • 2 years later...

C'est au tour du Royaume-Uni de s'empoigner sur le cas des poppers. L'examen d'une nouvelle Loi sur les stupéfiants a été l'occasion d'interdire les nitrites d'alkyle au même titre que les autres substances.

Réaction outrée bien sûr de tout le monde, y compris de deux députés conservateurs au Parlement qui expliquaient que c'était n'importe quoi et qu'eux-même en prenaient personnellement. Mais toujours avec les mêmes arguments limités : absence supposée de toxicité (ce qui reste à prouver...) et développement du marché noir.

L'aspect intéressant de la chose, c'est que le gouvernement britannique s'engage à mener rapidement des études sanitaires pour déterminer si les poppers pourront être exemptés de cette interdiction générale. A suivre même s'il y a peu de chances qu'ils explorent le lien de causalité avec le développement des maladies définissant le sida.

Modifié par Jibrail
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