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Hello a tous.

Au risque de me prendre une nouvelle volée de bois vert de la communauté, je persiste a affirmer qu'il faut conserver la plus grande prudence quant à l'affirmation que le statut Séro + au soit disant virus ou a ce qu'on voudra (stress oxydatif, prion etc...) n'est pas un statut "sexuellement transmissible"....

Pour ma part, et certes, je concède ne voir les choses que par le petit bout de ma lorgnette... Je ne connais AUCUN COUPLE SERONEGATIF pratiquant régulièrement et sans vergogne des rapports non protégé dont "le receveur" soit devenu ne serait-ce que momentanément séro+... Le receveur reste sero- et point barre, et cela, qu'il consomme des litrons de poppers ou non.

Par contre, je connais plétore de séropositif, aucun d'entre eux ne reconnaissent pas qu'ils ont pratiqué des releations réceptrices avec des partenaires qui se sont bel et bien avéré être séropositif aussi...

Alors evidemment, ce n'est peut être qu'un monceau de coincidence. En tout cas, j'aimerais bien savoir si dans votre entourage, vous connaissez des séro+ ayant contracté ce statut via des rapports non protégé avec un séro-... Moi, je connais pas...

Moi, je dis simplement, méfiance.... La question n'est pas tant de savoir si il s'agit ou non d'un virus exogène ou autre chose, car quoi que ça puisse être, les fait corroborent bel et bien que cela se transmet. Et de ma humbre et minuscule expérience, uniquement d'actif vers passif. Jamais rencontré le cas contraire...

So, et cela, tout le monde sera d'accord avec moi, use an comdom !

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Malgré le respect que je peux avoir pour toi, dans le post qui précède, je ne vois toujours pas le moindre élément qui apporte les preuves élémentaires déjà demandées dans ce post en sorte qu'il n'est nullement prouvé que la séropositivité soit sexuellement transmise. Comme je l'ai déjà expliqué auparavant, la séropositivité est au mieux sexuellement acquise en raison de la pratique sexuelle pratiquée (la réception anale non protégée), mais non transmise. Pour commencer à prouver une quelconque transmission, il faudrait avoir des "anecdotes" (car ce dont tu parles constitue, non des faits scientifiquement avérés, mais des anecdotes) tendant à montrer (mais certainement pas à "prouver") que le partenaire actif deviendrait aussi séropositif en pratiquant cette forme de sexualité.

Pourquoi je parle d'"anecdotes" et non de faits (ou même coïncidence) ?

Parce que tu te focalises trop sur les personnes qui seraient devenues séropositives à la suite d'un rapport (anal réceptif) non protégé avec une personne séropositive (exactement comme mes anecdotes sur les personnes qui deviennent cancéreuses après un rapport non protégé avec une autre personne cancéreuse), et non sur les dizaines ou centaines (et même milliers pour ce qui concerne les rapports hétérosexuels "traditionnels") d'autres qui ont également des rapports (anaux réceptifs) non protégés et qui ne deviennent pas pour autant séropositifs. Qu'il suffise de se rappeler des études scientifiques sur les risques statistiques de (pseudo) transmission sexuelle de séropositivité. Ne fût-ce que sur le seul plan statistique (mais cela est complètement insuffisant pour prouver une quelconque transmission), la transmission sexuelle du "VIH" serait la seule MST au monde qui serait sexuellement transmissible avec une fréquence aussi basse et en plus de façon unidirectionnelle (vers le partenaire réceptif), chose qui n'a jamais été vue jusqu'à ce jour dans n'importe quelle autre (vraie) MST.

Alors, certes, chez les homosexuels, proportionnellement, on trouve plus de cas de séropositivité que chez les hétérosexuels. Mais cela ne se justifie évidemment pas par le fait que le "VIH" aurait une préférence pour les rapports anaux mais bien parce que les homosexuels sont proportionnellement plus exposés aux agents oxydants, qui, bien que liés au comportement sexuel (d'où l'impression que peuvent avoir certains que la séroposotivité est sexuellement transmissible), ne sont pas pour autant sexuellement transmissibles : ainsi, par exemple, les homosexuels masculins qui se droguent sont exposés pendant de longues périodes à l'alcool, aux drogues, aux inhalations de nitrite, au sperme, aux MST et autres infections (et donc aux thérapies anti-infectieuses), à la détresse psychologique et à la malnutrition, soit tous des éléments qui sur le plan moléculaire (et contrairement au "VIH") peuvent expliquer comment on peut acquérir un test "VIH" positif.

Concernant les rapports anaux réceptifs, il y a suffisamment d'études qui tendent à prouver le caractère oxydant du sperme lors de sa réception anale. Statistiquement, il est logique de lire ou d'entendre des anecdotes beaucoup plus nombreuses d'où il ressortirait qu'une personne est devenue séropositive à la suite d'un rapport anal réceptif non protégé avec un séropositif, entre autres parce que par définition, le corps d'un séropositif est déjà bien plus oxydé que celui d'un séronégatif, et ce sera évidemment le cas du sperme d'un séropositif qui sera bien plus oxydé et causera donc un plus grand risque d'acquisition d'un test "VIH" positif lors d'un rapport anal réceptif. Mais cela n'a toujours rien à voir avec une quelconque transmission sexuelle de la séropositivité.

Existe-t-il des cas de couples gay séronégatifs fidèles dont l'un serait malgré tout devenu séropositif ?

Bien sûr que oui mais en raison de la saugrenue idée que la séropositivité serait le résultat d'une contamination par un rétrovirus "VIH", c'est en lisant entre les lignes que l'on trouve (certes rarement mais cela s'explique aisément, entre autres par le fait que par définition, l'organisme d'un séronégatif est fort moins oxydé qu'un séropositif) de tels (rares) témoignages. En cinq ou six ans, il m'est certainement déjà arrivé de lire deux témoignages de couples gay fidèles qui sont devenus séropositifs. Le problème, c'est que comme ces gay sont persuadés que la séropositivité serait le résulat d'une infection sexuellement transmissible, chacun des partenaires accuse l'autre de l'avoir trompé. Et dès lors, quand on lit ces témoignages, on apprend en définitive que l'un des membre de ces couples a été "contaminé" parce que l'autre partenaire l'aurait trompé avec un autre gay, alors que l'autre partenaire persiste à nier à avoir eu une relation infidèle.

Au surplus, il peut y avoir d'autres explications complémentaires à la rareté de ces témoignages (étant précisé que la croyance que la séropositivité est le résultat d'un infection par le "VIH" suffit déjà à l'expliquer, les victimes se sentant obligés de justifier cela par une relation "extra-conjugale" et de modifier, même inconsciemment, leur témoignage original pour faire coller avec l'hypothèse rétrovirale du sida) :

- Est-il déraisonnable de penser que des couples gay monogames ont peut-être moins de rapports sexuels que des gay libertins ayant des rapports à gauche et à droite (personnellement, je peux le constater avec des couples gay de ma connaissance ?)

- N'est-on pas en droit de penser qu'au bout d'un certain temps, les partenaires voient leur organisme s'habituer au caractère oxydant du sperme de son partenaire ? Il va de soi que ce risque est en revanche fortement multiplié pour des gay ayant des relations sexuelles non protégées avec "n'importe qui".

- A partir du moment où un couple séronégatif gay est fidèle, pourquoi diable ferait-il un test "VIH" (si ce n'est dans des cas tout à fait exceptionnels) ? Ce seul fait explique pourquoi il y a aussi peu de témoignages de (pseudo) transmission sexuelle de séropositivité chez les séronégatifs.

En conclusion, que l'on trouve une majorité, voire même une écrasante majorité de (pseudo) transmission sexuelle de la séropositivité chez des gay déjà séropositifs et ne pratiquant pas systématiquement le safe sex, n'a strictement rien d'étonnant et ne prouve en aucune façon que la séropositivité serait sexuellement transmissible. Et plutôt que de se focaliser sur les personnes qui seraient devenues séropositives à la suite d'un rapport sexuel non protégé, il faudrait plutôt se focaliser sur les cent à mille fois plus nombreux qui eux ne deviennent pas séropositives après de tels rapports à risque, parfois des années durant.

Et comme je l'ai déjà dit, des opinions, des avis, des anecdotes, des sentiments n'ont jamais prouvé, même un temps soi peu, une quelconque transmission sexuelle de la séropositivité.

Evidemment, pour le reste, je suis d'accord avec le fait que le safe sex doit être encouragé, mais pour des raisons sans la moindre relation avec le "VIH".

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J'ai oublié un point pour le moins fondamental.

Les séropositifs, et tout particulièrement les gay (et les toxicomanes aussi), sont connus pour avoir une multitude d'anticorps contre une multitude de "choses", tels que de nombreux virus, bactéries, champignons, ... Le terme "multitude" n'est d'ailleurs pas utilisé par hasard car ils sont porteurs d'une multitude de germes opportunistes (parfois, tout simplement pas bien connus) que l'on ne trouve pas communément chez les séronégatifs (contrairement aux séropositifs). Il m'est même arrivé de lire sur www.sidasante.com le témoignage d'un médecin qui a pu constater que certains gay séropositifs étaient porteurs de germes opportunistes ... que l'on ne trouve généralement que chez des animaux !

Quoique ces différents germes ne soient pas spécialement sexuellement transmissibles, ils peuvent être transmis à l'occasion d'un rapport non protégé ou, pourquoi pas, simplement par un baiser profond. Tous ces germes peuvent parfaitement provoquer chez la personne "contaminée" des symptômes d'ordre grippal qui seront assimilés à la (pseudo) primo-infection "VIH". On peut imaginer que chez certaines personnes (et même "rares" personnes vu les statistiques de risque de pseudo contamination sexuelle), déjà passablement exposés à des agents oxydants, que ces symptômes seront les symptômes "de trop" qui causeront les symptômes "d'ordre grippal" et, partant, dans de rares cas, l'acquisition d'un test "VIH" positif.

Il s'agit donc d'un élément en plus permettant d'expliquer pourquoi on peut avoir la sensation que le risque d'acquisition d'un test "VIH" positif pourrait être éventuellement plus élevé après un rapport à risque avec un séropositif. Mais encore une fois, tout cela n'a encore rien à voir avec une quelconque transmission sexuelle de la séropositivité. Au mieux, cela constituera-t-il une acquisition de séropositivité suite à la transmission, pas forcément sexuelle, de divers germes opportunistes transmis par le séropositif, et chez quelques rares personnes, compte tenu entre autres de leurs antécédents, ils pourront éventuellement constituer un cocktail explosif, soit l'acquisition d'un test "VIH" positif.

Mais toutes ces considérations ne prouvent toujours pas que la séropositivité puisse être le résultat de la transmission sexuelle d'un rétrovirus exogène "VIH", ou même de je ne sais quel virus, prion, bactérie, germe, ... D'ailleurs, dans les groupes dits "à risque de sida", il y a presque toujours un "historique" relativement lourd et un cocktail de différents facteurs préalablement à l'acquisition d'un test "VIH", et on peut parfaitement imaginer que chez certains nouveaux séropositifs (au contraire des cent ou mille fois plus nombreux qui ont des rapports sexuels non protégés avec un séropositif sans devenir séronégatif), le dernier élément de cet historique coïncide avec un rapport sexuel non protégé. Ce qui ne signifie toujours pas que la séropositivité soit le résultat d'une quelconque transmission sexuelle de je ne sais quel germe qui serait spécifique de l'acquisition d'un test "VIH" positif.

En définitive, pour prouver une quelconque transmission sexuelle de la séropositivité, et ce de façon rigoureuse, la moindre des choses est d'apporter les preuves élémentaires énumérées dans mon premier post de ce topic. A défaut, tout ce qu'on pourra conclure (et encore), c'est qu'un rapport sexuel non protégé avec un séropositif peut être la source d'un risque plus élevé (que chez des séronégatifs) de transmission de germes divers, augmentant les risques d'apparition de symptômes d'ordre grippal (la pseudo primo-infection "VIH") et d'acquisition d'un test "VIH" positif.

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De toute façon, je m'en souviens maintenant, il y a l'étude de Padian, qui a analysé des couples sérodiscordants. Elle montrait que quasiment aucun des partenaires séronégatifs n'était devenu séropositif après de nombreuses années de relations sexuelles avec un compagnon séropositif.

D'ailleurs, si je me souviens bien, c'est en grande partie pour ça qu'ils ont revu les taux de transmission énormément à la baisse.

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bon parlons peu mais parlons bien.

LE SIDA EST UNE MST

Selon l'orthodoxie du sida cette affirmation repose sur le fait scientifique qu'on a trouvé des traces de vih dans les secrétions humaines (larmes, salive, sperme....) de malades.

J'ai cherché sur internet mais je n'ai pas trouvé : c'est quoi précisément que ces traces ?

QUESTION POUR LA TRES DISCRETE DIAMANT BLEUE

On n'a jamais pu isoler le vih dans la fameuse bande de gradient idéale.

ma question : quand on observe les échantillons de culture du vih au microcospe électronique dans cette bande idéale, à la place d'une pléthore de particules identiques, on voit quoi ?????

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Modifié par cobra
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QUESTION POUR LA TRES DISCRETE DIAMANT BLEUE

On n'a jamais pu isoler le vih dans la fameuse bande de gradient idéale.

ma question : quand on observe les échantillons de culture du vih au microcospe électronique dans cette bande idéale, à la place d'une pléthore de particules identiques, on voit quoi ?????

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Aucune idée. reflechi.gif

Pose ta question à quelqu'un dont c'est la spécialité : nico111 ou pipikandré, tu auras peut etre une réponse qui te satisfera.

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LE SIDA EST UNE MST

Selon l'orthodoxie du sida cette affirmation repose sur le fait scientifique qu'on a trouvé des traces de vih dans les secrétions humaines (larmes, salive, sperme....) de malades.

J'ai cherché sur internet mais je n'ai pas trouvé : c'est quoi précisément que ces traces ?

En fait, ce que l'orthodoxie du sida veut dire, c'est qu'on trouve dans les larmes, la salive, le sperme, ... du matériel génétique (= les "traces") prétendument attribué au "VIH".

Le seul problème (LOL), c'est qu'il n'a jamais été prouvé que ce matériel génétique a pour origine (et encore moins pour origine exclusive) un rétrovirus exogène qui aurait contaminé les séropositifs. En fait, et même les plus grands experts ès "VIH" l'admettent eux-mêmes, on n'a JAMAIS trouvé le supposé génome du "VIH" chez ne fût-ce qu'un seul sidéen, même ayant une charge "virale" (soit du matériel génétique prétendument attribué au "VIH") astronomique.

Par ailleurs, si j'ai bonne mémoire, ce qu'on l'on trouve, en particulier dans le sperme, c'est (une petite partie) l'ADN proviral du "VIH" (et non l'ARN viral du "VIH"). Or même l'orthodoxie du sida admet elle-même que l'ADN proviral n'est pas infectieux.

Quant à l'existence de ce matériel génétique supposé avoir pour origine un rétrovirus exogène "VIH" (ce qui n'a jamais été prouvé), et que l'on peut d'ailleurs parfois retrouver (généralement en moindre quantité) chez un séronégatif (ce qui est toujours bon à rappeler), à défaut nécessairement de l'explication du "VIH", il peut y avoir plusieurs explications possibles à cette apparition, à commencer par le fait qu'ils sont le résultat de l'exposition du séropositif aux agents oxydants, en particulier azotés.

En tout état de cause, ces "traces" ne prouvent bien entendu toujours pas que le séropositif aurait été contaminé par je ne sais quel rétrovirus exogène "VIH".

On n'a jamais pu isoler le vih dans la fameuse bande de gradient idéale.

ma question : quand on observe les échantillons de culture du vih au microcospe électronique dans cette bande idéale, à la place d'une pléthore de particules identiques, on voit quoi ?????

Dans les cultures de "VIH", on trouve énormément de choses (et certainement pas une pléthore de choses identiques), et il y a entre autres de nombreuses particules qui ressemblent à des rétrovirus ...mais qui ne sont pas des rétrovirus pour autant ! Que ces particules ayant la morphologie d'un rétrovirus soient des rétrovirus est une explication ... parmi tant d'autres !

Pour affirmer que certaines des particules d'apparence rétrovirales vues dans la culture sont bien des rétrovirus, il est déjà absolument nécessaire, mais non suffisant, de retrouver ensuite ces mêmes particules dans le gradient de densité dans lequel sédimentent par définition les rétrovirus.

Lors des prétendues isolations de Montagnier en 1983 et de Gallo en 1984 du "VIH", tous deux ont affirmé (et écrit dans leur publication respective) qu'ils ont retrouvé énormément (LOL) de particules rétrovirales dans le gradient de densité 1,16 mg/ml, soit le gradient de densité dans lequel sédimentent par définition les rétrovirus. Compte tenu des autres éléments de preuve apportés (transcription inverse, particules qui bourgeonnent dans la culture, ...) par Montagnier et Gallo, il n'était effectivement pas impossible de penser qu'ils avaient effectivement isolé un nouveau rétrovirus "VIH" ... quoique de nombreuses critiques pouvaient encore être apportées.

Mais il y a un hic fondamental et même rédhibitoire : ni Montagnier, ni Gallo n'ont jamais publié des photographies au microscope électronique de ce fameux gradient de densité dans lequel ils déclarent avoir retrouvé de "nombreuses" particules d'apparence rétrovirale.

Et pour cause ! En 1997 Montagnier fit - enfin - l'aveu qu'il n'avait en réalité JAMAIS retrouvé des particules d'apparence rétrovirale dans ce fameux gradient de densité (même après un travail de Romain !), et qu'en outre, à sa connaissance, Gallo non plus n'en avait pas trouvé.

En fait, ce ne fut qu'en 1997, pour la seule et unique fois d'ailleurs, que deux groupes de chercheurs ont publié le matériel retrouvé dans ce gradient de densité lorsque l'orthodoxie du sida tente d'isoler du "VIH", et le moins qu'on puisse dire, c'est que ce fut un échec éclatant. Tout ce qu'on y trouve, c'est une multitude de débris cellulaires, et il y est vrai, quelques rarissimes particules d'apparence rétrovirales ... qui n'ont de toute façon pas les caractéristiques morphologiques prétendument attribuées au "VIH" !

En d'autres termes, cet aveu de Montagnier et les publications de 1997 auraient simplement dû signifier la fin définitive de l'hypothèse rétrovirale du sida !

Mais on peut supposer que cet aveu ne fut fait qu'en 1997 et ces publications du gradient de densité ne furent fait qu'en 1997 (et pas auparavant) car depuis 1996, les traitements "antirétroviraux" étaient apparus et avaient montré une certaine efficacité (mais à quel prix !). Dès lors, l'orthodoxie du sida a pu affirmer que malgré cet aveu de Montagnier et malgré le fait que l'on ne trouve pas de "VIH" dans le gradient de densité, le sida serait bien causé par le "VIH" puisque les traitements "antirétroviraux" "fonctionnent" depuis 1996. C'est pourtant perdre complètement de vue que d'autres explications peuvent être avancées pour expliquer leur relative efficacité, à commencer par les propriétés fortement antioxidantes de certains de ces traitements dits "antirétroviraux".

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  • 5 weeks later...

bon je continue le jeu des questions :

sur quoi repose les chiffres avancés par l'orthodoxie du sida relatif aux probabilités de transmission du "virus", selon les conditions de pénétration anal ou vaginal, inséminateur ou inséminé, sexe oral, etc etc etc... ???

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je reformule ma question :

comment sont obtenus ces chiffres, si le sida n'est pas une mst, alors le principe sous-jacent qui permet d'obtenir ces estimations de probabilité de risque est biaisé.

5-humhum.gif

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Je crois, mais je n'en suis pas absolument sur, qu'ils se basent en grande partie sur l'étude de Padian. En gros, l'étude portait sur la transmission au sein de couples sérodiscordants. Ils ont trouvé qu'il n'y avait quasiment aucune transmission. Du coup, ils ont sorti ces chiffres là. Disons qu'ils se sont adaptés à l'étude de Padian quoi. Maintenant, pourquoi ces chiffres en particulier ? Ce sont les mystères de l'orthodoxie a priori. Mais, il y a peut-être une réponse précise. Qui sait ?

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Ils font des études statistiques, partant du principe que toutes les contaminations sont de type MST. Les biais ne sont donc pas éliminés, mais ils n'y pensent même pas!

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Je lis à l'instant le passage de Wikipedia relatif à la supposée transmission sexuelle de la séropositivité et je mets à la place du pauvre lecteur lambda qui lit ceci :

Le VIH est présent dans de nombreux fluides organiques. On en a retrouvé dans la salive, les larmes et l'urine, mais en des concentrations insuffisantes pour que des cas de transmission soient enregistrés. La transmissions par ces fluides est ainsi considérée comme négligeable. Par contre, des quantités assez importantes de VIH pour une infection ont été détectées dans le sang, le lait maternel, la cyprine, le sperme, ainsi que le liquide précédant l'éjaculation [19].

Par voie de conséquence, les trois modes de contaminations sont :

les rapports sexuels non protégés, qu'ils soient hétérosexuels ou homosexuels représentent la part la plus importante des contaminations

...

En effet, le lecteur "normal" pensera déjà que l'on aurait trouvé du "VIH" dans les sécrétions et autres fluides organiques en question.

Rien n'est plus faux, bien sûr !

Rappelons pour la énième fois que l'on n'a jamais isolé de "VIH", dans quelque fluide organique que ce soit. Tout ce que l'orthodoxie du sida a trouvé, ce sont des marqueurs (protéine P24, matériel génétique, ...) prétendument attribués au "VIH" ... mais dont il n'a JAMAIS été prouvé qu'ils sont bien des constituants d'un rétrovirus exogène "VIH" !

Dès lors qu'on a précisé ce "détail", il n'y a même plus lieu de se demander si un supposé rétrovirus "VIH" serait sexuellement transmissible.

Le problème avec les études concernant la supposée transmission sexuelle de la séropositivité, c'est que dès le départ, cette transmission est supposée établie et considérée comme un fait établi par l'orthodoxie du sida en raison même de l'hypothèse rétrovirale, soit une hypothèse fondée sur la supposition que le "sida" serait la conséquence d'une infection par un rétrovirus sexuellement transmissible. C'est l'hypothèse même de départ. Celle-ci étant supposée vraie depuis le début (car consacrée par les prétendues isolations du "VIH" par Montagnier en 1983 et Gallo en 1984), n'importe quelle étude sera interprétée dans ce sens, et il ne viendra jamais à l'orthodoxie du sida (à quelques exceptions près) de remettre ce point en question, à moins de devoir se résoudre à remettre en question l'hypothèse même de départ, soit l'hypothèse rétrovirale, ce qui est naturellement inacceptable et impensable pour cette même orthodoxie du sida.

Rappelons en outre et encore pour la énième fois, que l'une des conditions absolument nécessaires, mais non suffisante, pour prouver une supposée transmission sexuelle de la séropositivité est d'avoir préalablement prouvé la spécificité des tests "VIH". En d'autres termes, il DOIT y avoir au moins une étude et plusieurs études confirmatives dans lesquelles la réaction antigènes/antigènes (en supposant déjà que les antigènes sont ceux d'un rétrovirus "VIH", ce qui n'a pourtant jamais été prouvé) a été comparé avec la présence ou l'absence du "VIH", soit avec le "VIH" isolé/purifié. Ces études n'existent pas et n'existeront jamais, faute de n'avoir jamais isolé/purifié le moindre "VIH" chez quelque sidéen que ce soit. Et ces études, inexistantes, censées prouver la spécificité des tests "VIH" doivent naturellement comprendre un nombre statistiquement significatif de patients qui ont le "sida" mais également de patients qui n'ont pas le "sida" mais qui sont malades (idéalement de maladies qui auraient été qualifiées de "sida" s'il avait été supposé que ces patients avaient été "contaminés" par le "VIH"). Enfin, toujours pour prouver une éventuelle spécificité à ces tests "VIH", les études censées la prouver doivent naturellement être réalisées en aveugle.

Or les études supposés prouver une mythique transmission sexuelle de la séropositivité supposent déjà et entre autres que la spécificité des tests "VIH" aurait été prouvée, quod non comme résumé ci-dessus.

Ces diverses raisons (et bien d'autres d'ailleurs) expliquent pourquoi des études donnent ainsi l'apparence de prouver une transmission sexuelle de la séropositivité alors qu'il n'en est strictement rien lorsqu'on se donne la peine d'analyser la situation.

Triste et révoltant à la fois !

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dans ce topic, http://www.onnouscachetout.com/forum/index...00entry180277

la transmission de la sérépo ne touche que les homos ou les hétéros aussi.

Si ça concerne les hétéros aussi, autrement dit via la salive et les fluides sexuelles , on est contaminé par des protéines qui feront réagir les tests positifs, c'est bien cela ?

5-tss.gif

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Aïe, Cobra, oublie ce post que j'avais écrit à mes débuts, il est certainement erroné sur toute la ligne.

Lis plutôt ce post que j'avais écrit quelques mois plus tard et qui me paraît répondre à la problématique d'une façon plus appropriée (ainsi que le premier post de Cheminot qui a suivi).

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je crois que personne n'a jamais abordé le sujet, mais si le vih n'existe pas, alors l'affaire du sang contaminé c'est du pipeau.

Oui, effectivement, plutôt que de parler de "l'affaire du sang contaminé", il aurait surtout mieux fallu parler de "l'affaire de l'AZT".

Sinon, voir aussi la synthèse collective au sujet de la transmission de la séropositivité via le sang, car le sujet a justement déjà été abordé.

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  • 1 month later...

ATTAQUE D'UN ORTHODOXE IMAGINAIRE

Mr Wallypat, Aixur et Cheminot, je ne peux que m'élever contre votre site qui n'est que mensonge, manipulation et désinformation.

Aujourd'hui il a été prouvé le rôle du VIH dans le $ida, et plus aucun scientifique digne de ce nom (digne de ce nom = qui tient à ses budgets de recherche) ne met en doute son implication dans cette terrible maladie qui fait des ravages dans le monde, touchant indifféremment hommes et femmes, enfants et vieillards (mais quand même de façon plus spécifique en Afrique).

Nier cette évidence et en particulier, que le $ida n'est pas sexuellement transmissible est parfaitement scandaleux...

Car c'est favoriser la transmission en incitant à ne pas utiliser les préservatifs ; dont l'utilisation a endigué la transmission du virus, je vous rappelle la démonstration sans équivoque de Candide...

alors moi, je vous pose la question suivante, si le $ida n'est pas une maladie d'origine virale, induit par ce fléau (venu d'Afrique et transmis à l'homme par un chimpanzés par une méthode que je ne souhaite même pas connaitre), comment expliquez vous qu'un africain, touché par le sida provoqué par la malnutrition d'après votre théorie, puisse développer le même anti corps spécifique qu'un homosexuelle utilisant les poppers, développant un sida provoqué par les drogues d'après votre théorie ???

Alors qu'avez-vous à répondre à cela ???

Signé : un orthodoxe convaincu et fier de l'être.

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ps : c'est dur de se mettre dans la peau d'un orthodoxe. 4-ptdrasrpt.gif

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