aixur Posté(e) le 8 novembre 2007 Posté(e) le 8 novembre 2007 J'ai trouvé cette bonne idée de Ngongmahk sur le forum AidsMyth Exposed, dans un sujet sur l'hépatite C (cliquez sur " Afficher tous les messages" pour voir tout le topic en question). Comme il le dit, le virus de l'hépatite C doit servir en fait de camouflage pour expliquer que le foie de nombreux séropositifs au VIH soit bousillé. On porte la faute sur le virus de l'hépatite C et pas sur les médicaments, qui sont la vraie cause des problèmes de foie. Vu qu'un tiers des séropositifs au VIH sont sensés avoir l'hépatite C, ça permet donc d'expliquer 1/3 des problèmes de foie des séropositifs. Sinon, il faudrait augmenter d'autant le nombre des séropositifs ayant le foie esquinté par les médicaments. Ca ferait tache. Citer
Cheminot Posté(e) le 8 novembre 2007 Posté(e) le 8 novembre 2007 Intéressant! Et cela va bien dans le sens du message de Jibrail. Le fait de remmtre en cause l'étiologie du sida et de l'hépatite C revient à détruire les bases de l'édifice mondial en terme de santé. Attention à la dégringolade boursière... C'est sans doute pour cela que les gouvernants mondiaux, qui ne sont tout de même pas idiots, ne permettent que de très petits pas dans cette remise en cause. Citer
wallypat Posté(e) le 9 novembre 2007 Posté(e) le 9 novembre 2007 Pour ma part, si je suis d'avis que l'existence du virus de l'hépatite C n'a pas été prouvée et que donc l'hépatite C n'est pas causée par cet hypothétique virus, si je suis également d'avis que les traitements "antirétroviraux" peuvent faire apparaître ultérieurment des marqueurs (matériel génétique, anticorps, ...) qui seront interprétés - à tort - comme étant la conséquence d'une hypothétique infection par le chimérique virus de l'hépatite C, je pense toutefois qu'il ne faut pas généraliser. Ainsi, je connais personnellement au moins trois séropositifs qui ne sont pas sous traitements "antirétroviraux" (et ne le sont pas jusqu'à ce jour d'ailleurs) ou de manière générale sous traitement antibiotique quelconque (sauf peut-être à titre exceptionnel lors d'une infection) et qui ultérieurement à l'annonce de leur séropositivité au "VIH" ont appris qu'ils avaient été prétendument "contaminés" par l'hypothétique virus de l'hépatite C. Au moins dans ces trois cas-là, les traitements "antirétroviraux" n'y sont pour rien. Sans compter l'écrasante majorité des porteurs du prétendu virus de l'hépatite C (soit plus de 95% des cas d'hépatite C) qui ne sont tout simplement pas séropositifs et qui ne sont donc pas sous traitements "antirétroviraux" (excepté sans doute quelques rares porteurs du virus de l'hépatite B active chez eux). Par conséquent, à mon avis, les traitements antirétroviraux ne constituent seulement que l'une des explications possibles, même chez les séropositifs au "VIH". Citer
Jibrail Posté(e) le 7 août 2013 Posté(e) le 7 août 2013 La question de l'hépatite C, comme celle du VIH, demeure bien sujette à caution, comme en témoigne une nouvelle étude britannique. Cette étude cherchait a évaluer l'incidence de la présence du supposé VHC (Virus de l'Hépatite C) chez les homosexuels masculins séronégatifs dans la région de Londres, étant donné que la coinfection VIH/VHC est fréquente chez leurs homologues séropositifs. Mais cette étude, comme une précedente, a échoué à trouver les prémices d'une épidémie chez les séronégatifs: 1,2% présentait des anticorps au supposé VHC, soit selon les auteurs, "davantage mais pas significativement davantage" que dans la population générale (0,67%), alors qu'à l'inverse 7 à 8% des séropositifs étaient "coinfectés". Les séronégatifs ayant eu une histoire de syphillis, une MST récente ou ayant eu des relations anales non protégées récentes ont également un taux de prévalence plus élevés (4 à 5%). C'est embarassant pour la théorie rétrovirale officielle, car le mode de contamination est censé être presque exclusivement liée à une exposition sanguine (transfusion, utilisation de matériel non stérile pour des injections, etc...), et pas liée aux relations sexuelles, enfin, pas vraiment. Lors de rapports vaginaux au sein de couples hétérosexuels stables, il a été montré que la transmission était plus ou moins inexistante. Même si pour les gays, bizarrement, rien n'est moins sûr, parce qu'il y a bien davantage de cas de VHC chez les gays séropositifs que d'utilisateurs de drogues injectables, et les recommandations officielles, au prix de quelques acrobaties, en sont réduites à incriminer des cas possibles de transmission lors de pratiques sexuelles susceptibles de créer des traumatismes des muqueuses (pénétration anale notamment), pour pouvoir rester cohérent avec la théorie dominante. Je me souviens pourtant très bien la première fois que je m'étais fait tester le VHC en même temps que le VIH, il y a une douzaine d'années, comment l'infirmière m'assurait qu'il n'y avait aucun risque sexuel, même homosexuel, et que seul pouvait importer la transfusion, l'injection de drogue ou le tatouage. Mais bizarrement, comme le montre l'étude britannique, cela ne concerne que les séropositifs et bizarrement bien peu les autres, comme si le supposé VHC avait un genre de préférence selon le statut sérologique des personnes. Les séronégatifs devraient se transmettre le VHC autant que les séropositifs, toutes choses égales par ailleurs. A moins que les choses soient en réalité un peu différentes, et qu'en fait ce soient des causes voisines qui génèrent d'une façon voisine les anticorps au supposé VIH comme ceux au supposé VHC? Car ce qui est étonnant, c'est qu'il est parfaitement clair pour les chercheurs que l'utilisation de drogues récréatives, qu'elles soient injectables ou non, est parfaitement corrélé avec une forte prévalence du supposé VHC. La corrélation avec l'utilisation de méthamphétamine (orale - très utilisée chez une partie des gays), de cocaïne (nasale) ou de crack (fumé) est décrite sans fard dans de nombreuses études (1, 2, 3). Mais comme pour le VIH, les chercheurs semblent prisonniers de la théorie rétrovirale dominante et n'arrive pas à concevoir que c'est peut-être le simple usage de ces drogues qui bousille purement et simplement le foie (qui est en première ligne car les métabolise), que les anticorps au supposé VHC sont peut-être un marqueur plus ou moins fiable d'une certaine dégradation de l'état du foie (le VHC n'évolue pas systématiquement vers une hépatite aigüe)...? Plutôt que d'imaginer toujours et encore un supposé (rétro)virus qui passe de l'un chez l'autre sans expliquer trop comment ? Et non, pour défendre la théorie dominante, ils préférerent toujours expliquer, par exemple, que les gays qui utilisent des drogues récréatives ont plus facilement des rapports non protégés, qu'il faut faire attention aux pratiques de tatouages, etc... Est-ce peut-être parce qu'une remise en cause du virus de l'hépatite C serait susceptible de remettre en cause le supposé VIH ? En tout cas, comme pour le VIH, en terme de santé publique, c'est un sacré gâchis - parce que si le VHC est peut-être chimérique, l'hépatite C est une maladie réelle et grave. Et à laisser entendre dans les messages de prévention que les relations sexuelles ne permettent pas une transmission, sauf "peut-être", "quoique", à tout centrer sur la consommation de drogues injectables et l'échange de seringues plutôt que sur la consommation de drogues en général, injectable ou non, on brouille tous les messages de prévention, on entretient la confusion, et plus personne ne sait quel risque il prend - ou non. Citer
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.